Tchantches
Il parait que le gogo est une espère disparue, or nous en avons entendu un s'égosiller en ce répétant sans cesses dans nos belles valées Helvètes.
Depuis peu à l'université, j'ai décidé d'étudier les origines et coutumes de cet étrange animal.
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Depuis peu à l'université, j'ai décidé d'étudier les origines et coutumes de cet étrange animal.
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Citation:
Le Gogo ressemblait à une grosse dinde de quelques 70 cm de haut, d’une douzaine de kilogrammes, au plumage sombre et moiré. Il avait des ailes courtes et grêles, des pattes noires, fortes et pourvues de quatre doigts jaunes.
Sa queue était formée de quelques plumes duveteuses assez courtes.
Sa tête, en partie nue, était coiffée d’un capuchon noir et le puissant bec, jaunâtre, était allongé et recourbé. Cet animal est associé au pigeon.
Le cri du Gogo est donné par l’onomatopée « blèctre »
Le Gogo vivait dans les vallées reculées de haute montagne Helvète, Il n’y avait aucun prédateur avant l’arrivée des Nobles Noirs.
Issu des pigeons romains, l’espèce avait évolué en oiseau coureur aux ailes atrophiées.
Le Gogo grattait le sol des forêts à la recherche de baies, feuilles, fruits et graines. Il participait à la germination des graines d'Edelweiss.
À cause de sa lourdeur, ce gros oiseau, marchant mal et incapable de voler, fut le gibier le plus facile à chasser et fut vite anéanti par la Noblesse Noire friande d'oiseaux imbéciles et lourds.
Les Gardes Noirs en tuèrent la majorité pour consommer leur chair ; ainsi, ils en chargèrent leurs chariots afin de disposer d’une bonne réserve de nourriture. Ils le surnommèrent walgvogel (« oiseau dégoûtant ») car sa viande n’était plus comestible deux jours après la cuisson.
De nous jours il reste un seul et unique exemplaire qui a été décrété protégée tant la bonne humeur des Garde Noire est légendaire à sa seule évocation.
souvent le garde Noir boit une bière et se raconte des histoires de Gogo pour faire rire son frère d'arme.
Quand un garde Noir se trébuche ou fait une grosse bêtise, en plus de l'hilarité générale il se fait traiter de Gogo, ce qui à ce moment là est assez mal vécu, tant l'insulte est grave.
Il semble que le seul Gogo encore vivant ait réussi à concentrer toutes les qualités de son espèce en un seul individu ce qui pourrait en faire un symbole important pour le pays.
Chaque famille helvète, dans les montagnes reculées, ayant des membres de leur familles atteints de grave traumatismes mentaux à cause de la co-sanguinité pense utiliser ce symbole plu sympathique à l'avenir.
Ainsi demain on ne dira plus l'idiot ou le taré du village, mais c'est avec le sourire que les pauvres frangins demeurés se feront appeler, le Gogo du village.
Gageons que cette évolution est la preuve que tout peut être utile un jour, même un Gogo.
Sa queue était formée de quelques plumes duveteuses assez courtes.
Sa tête, en partie nue, était coiffée d’un capuchon noir et le puissant bec, jaunâtre, était allongé et recourbé. Cet animal est associé au pigeon.
Le cri du Gogo est donné par l’onomatopée « blèctre »
Le Gogo vivait dans les vallées reculées de haute montagne Helvète, Il n’y avait aucun prédateur avant l’arrivée des Nobles Noirs.
Issu des pigeons romains, l’espèce avait évolué en oiseau coureur aux ailes atrophiées.
Le Gogo grattait le sol des forêts à la recherche de baies, feuilles, fruits et graines. Il participait à la germination des graines d'Edelweiss.
À cause de sa lourdeur, ce gros oiseau, marchant mal et incapable de voler, fut le gibier le plus facile à chasser et fut vite anéanti par la Noblesse Noire friande d'oiseaux imbéciles et lourds.
Les Gardes Noirs en tuèrent la majorité pour consommer leur chair ; ainsi, ils en chargèrent leurs chariots afin de disposer d’une bonne réserve de nourriture. Ils le surnommèrent walgvogel (« oiseau dégoûtant ») car sa viande n’était plus comestible deux jours après la cuisson.
De nous jours il reste un seul et unique exemplaire qui a été décrété protégée tant la bonne humeur des Garde Noire est légendaire à sa seule évocation.
souvent le garde Noir boit une bière et se raconte des histoires de Gogo pour faire rire son frère d'arme.
Quand un garde Noir se trébuche ou fait une grosse bêtise, en plus de l'hilarité générale il se fait traiter de Gogo, ce qui à ce moment là est assez mal vécu, tant l'insulte est grave.
Il semble que le seul Gogo encore vivant ait réussi à concentrer toutes les qualités de son espèce en un seul individu ce qui pourrait en faire un symbole important pour le pays.
Chaque famille helvète, dans les montagnes reculées, ayant des membres de leur familles atteints de grave traumatismes mentaux à cause de la co-sanguinité pense utiliser ce symbole plu sympathique à l'avenir.
Ainsi demain on ne dira plus l'idiot ou le taré du village, mais c'est avec le sourire que les pauvres frangins demeurés se feront appeler, le Gogo du village.
Gageons que cette évolution est la preuve que tout peut être utile un jour, même un Gogo.
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Bon, comme jeune érudit je ferai un piètre professeur, mais je sens que les élèves seront réceptifs à ce genre de cours.
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