Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>

Veillée au coin du Feu

--L_anecdotier
Batista236 :



batista entendit un bruit devant les rempard il alla voir

beaucoup de monde en perspective 

il s'adressa a eux 

olala du vin et autre je peut me joindre a vous 
--L_anecdotier
Pascale :



Un grand signe au nouvel arrivant..

Amènes toi mon gars!!...En plus pas les mains vides...

le cercle s agrandit....se double...Sourire imperceptible sur les lèvres de la blonde...
Une joie commence a remplir son coeur...
Elle retrouve cette famille un peu oubliée par tout le reste...
Pas de grade...rien d officiel..juste eux..la COBA...
ces hommes et ces femmes unis pour la meme chose, pour un seul but...Force et honneur...
Espère de toutes ses forces qu ils vont venir encore et encore...
--L_anecdotier
Laurentide :



Marchant en long et en large sur les remparts, je vois un groupe au tour du feu, ils semblent s`amusé, il se fait tard, l`ennemis est surement eu aussi sur leur repos.
Je les rejoins, histoire de voir de quoi il en retourne.
bonsoir a vous tous, j`espère ne pas vous déranger.
--L_anecdotier
Merenwenn :



Merenwenn salua les nouveaux arrivant

Qui veut une chopine ? Il en reste encore... et puis va bien trouver des tonneaux de reserve quelque part

Elle sourit et finit sa chope
--L_anecdotier
Pascale :



Décidement, la jeune femme retrouve ce qui lui a fait aimé la COBA...
L union ..la réunion de tous autour du même drapeau...des même couleurs...
cette amitié si différente des autres...Ou l on peut en toute conscience confier sa vie a n importe lequel d entre eux...
--L_anecdotier
Laurentide :



La chaleur du feu me réconforte quelque peut, être entre amies m`aide a l`attente d`un traité de paix, voyais tous et chacun avoir le sourire m`aide encore plus a passé a travers l`épreuve.
Toujours dans mes pensé, j`entends le sergent-chef Merenwenn offrir a boire.

Sans hésité, j`accepte volontiers.

J`accepte avec plaisir votre verre de l`amitié
--L_anecdotier
Linoa :



Les soldats venus avec Silec prirent place à leur tour autour du feu, Meren qui les invitait à venir boire, Lin se demanda s'il retrouveraient ses bouteilles dans le tas, après tout c'était tout à fait possible que quelqu'un se soit servit s'il était pas dans son bureau. Ahhh, pauvre papy Conchilex.
Elle remarqua que Rasta s'approchait un peu plus d'elle, léger soupire de lassitude, le laissait faire ou aller juste à côté de sa Sofiloute? Les yeux de la mercenaires semblaient tellement tristes, le regard de la Tyx se porta pourtant sur Rasta qui pensait peut être s'être rapproché sans que personne ne le voit, tout en lui tendant une bouteille.
Tentation plus forte que la raison, que n'aurait elle donné pour pouvoir se saouler ce soir là, oublier un seul instant tout ce qu'il se passe, ces malheurs, ces déceptions, cette haine et cet amour absent...
Elle porta le goulot à ses lèvres et dans ses pensées, ne se rendit compte que la bouteille était vide, elle ne s'était rendue compte de rien et planta le fond de la bouteille dans le sable où il se trouvaient tous, avec la force de sa colère.

Silec prit place lui aussi non loin d'eux, la brune lui esquissa un sourire non convainquant autant que non convaincu.

D'autres soldats arrivaient, voyant Laurent parmis eux, cela lui fit plaisir. Elle chipa une autre bouteille qui trainassait non loin de là, sans doute était ce la deuxième de Rasta, elle ne voulu en savoir d'avantage que déjà la bouteille était à moitiée vidée et il ne lui fallu pas plus de temps pour vider le reste. Sa tête lui tournait un peu, oublier...
--L_anecdotier
Batista236 :



un pour moi aussi
--L_anecdotier
Merenwenn :



Merenwenn prit des chopes vides et les remplis pour les tendres à laurentide et batista. Puis remplis la sienne une nouvelle fois.
Elle commencer a avoir le sourire facile, les joues lui chauffer, et sentait que sa courrait partout dans sa petite tête.

Santé Messieurs !

Elle trinqua puis regarda l'assemblé autour du feu, cherchant du regard ceux qui voulais boire un verre. Chacun d'eux avec un regard différents, une expression différente... Puis s'arreta sur celui linoa..


Arrete donc avec cette bouteille, vla sa fait une et demie que tu t'enfile en l'espace de 2 min.. a ce rythme tu va finir le cus part terre les jambes en l'air...


Elle lui fit un sourire amicale et continua à suivre tant bien que mal les différentes conversation...
--L_anecdotier
Sofio :



Entre deux picoles, le cœur se réchauffe, les langues se délient, ca fait venir du monde, et ca fait un bien fou, pouvoir l'instant d'un soir,oublier tout, juste la, le plaisir, des verres qui cognent de la vie qui chante, du feu qui danse et de eux sa famille, de eux son passé, ses années, des visages connus ca fout le cœur en vrac, et elle son cœur il est déjà mort, comme avant,il s'est ouvert il en paye le prix fort, mais la ce soir il marche encore, ce soir il déborde de sentiments fous, il doit même tremper dans l'alcool tellement elle en déborde, mais elle se devait ce soir d'être la.

Elle salue de la tête les arrivants,les reconnait,a appris a les connaitre, des noms des visages, a pas de grades ce soir ca c'est pour les affaires de bureau, ici ce soir c'est le feu de la veillée.

" en a eu des morts un paquet, moi je vous dis, nous quand on es partis de gueret on suivait,je connaissais pas les trognes autour de moi, et en marchant on a causé, je me souviens de ce type, il m'a dit moi c'est liam..liamchaa et je suis noir, ca je l'avais bien vu qu'il était noir, pas la peine qu'il me le dise, mais chez memento on causait pas trop de nous et de qui on était, car on était tous d'un peu partout, certains avait un passé de fuite et de butins, d'autres avaient des trognes a faire fuir les évêques, liam lui il avait un collier autour du cou , un collier de dents ce con la s'amusait a arracher une dent a chaque mort qu'il faisait , et le gaillard devait faire au moins un mètre quatre vingt dix alors au garrot ca en fait des ratounes hein.....

Légère pause, le temps de prendre une bouteille au passage, qu'importe le gout pourvu que ca fasse ventre.

Le noir quand il est tombé au sol ca a fait trembler la terre de Châteauroux, je l'ai vu en emporter encore 2 autres en tombant, il est tombé a genoux, et dans un mouvement circulaire il a fauché 2 berrichons avec son épée, sont tombés comme ca NET ..a ses cotés...et pendant que lui pissait le sang, j'ai vu son regard de noir s'éteindre,c'etait liam un mercenaire, un pas beaux ouaiss..mort pour l'alliance, foutaise...le noir il a fallu qu'on se le tape même mort il pesait son paquet, alors on l'a cramé sur place, un grand feu la comme ce soir, un feu de veillée, on a raconté sa vie de noir, pendant qu'il cramait dedans c'est qu'il avait vécu le noir et on avait tous a dire un truc sur lui moi j'ai rien dit je connaissais pas, en a qui ont sortit des foulards ca pue un corps, et le bruit que ca fait....

Elle jette une poignée de terre dans le feu , il crépite et projette des flammes


Elle regarde autour d'elle et continue

La le feu il crame bien, et quand le corps du noir cramait les flammes hurlaient, et cette fille a coté qui chialait elle avait perdu son noir,j'ai encore l'odeur dans le pif de la peau qui crame, pire qu'un cochon quand tu sais qu'il marchait a coté de toi lla veille, puis dans le brasier tu pouvais voir son regard encore, un regard noir ca te transperçait, comme si il voulait encore parler la cramé.... sur qu'il reviendra pas le bougre, ca épure ca....

Puis a bien fallu que on la défonce cette muraille, la nous étions des dizaines, on a cogné sur ces parois de pierres et de bois, et ca tombaient encore partout, autour de moi, la muraille a eu une brèche on est rentrée dedans, peinard on a foutu les berrichons dehors Châteauroux c'est pas mal quand t'es dedans, on a fête ca le soir même, chacun les yeux fixés sur sa bibine moi je les avais sur l'Auvergne, je me demandais ce que vous faisiez ou vous étiez, j'étais ivre même un peu comme ce soir....


petit rire ivre ca oui mais pt'in ca fait du bien de l'être

Et ce soir la j'avais même un air de troubadours j'étais l'Auvergne a moi seule, alors je me la pétais ouais l'Auvergne c'est beau c'est riche et on es les meilleures non??

Elle se leve et se met a chanter d'une voix troublée par l'alcool

Quand tout l'monde dort comme des peinards
Dans les villages berrichons
C'est l'heure où les soudart descendent sur les terres des couards
Qui c'est qui viole les territoires
Le soir dans les chemins
Qui met l'feu aux neouds
C'est toujours les soudarts
Alors c'est la panique chez les berrichons
Quand on arrive en village...

Tout les regards s'dirigent sur l'auvergne
On avait pas l'air comme ca en bon voisinage
Mais on fait peur à voir quand on marche sur vos champs
Des gars qui avancent en rangs
Ça fait rire les habitants
Mais quand ils voient du sang
Sur nos dagues et nos lances
Ça fait comme un éclair dans le brouillard
Quand on arrive en village...

Nous tout c'qu'on veut c'est vous tuer
Etre heureux de souiller vos territoires
On n'a pas l'temps d'attendre encore 2 années
Nous tout c'qu'on veut c'est de bouffer votre terroir
Etre heureux de pietiner vos champs
On prend tout c'qu'on veux mais en attendant

place aux combats




et ouaiss enfin bon c'etait bien sur le moment hein la peut etre que non, enfin bon

se rassoit confuse, s'en fout demain sera un autre jour ou plus rien ne comptera et si elle doit leur laisser un souvenir, cela sera surement pas d'une voix de cantatrice.


Âpres fallait tenir a le garder ce village, pas gagnée ca, un berrichon c'est con mais c'est bourrin alors ca fonçait chaque nuit le teston dans la muraille, ca te balançait des trucs sur la tête du bas des remparts, me suis pris une caillasse, m'a assommée net , me suis retrouvée sous une tente avec d'autres, Aristote a pas voulu de moi ce coup ci, a croire que je devais finir des trucs, j'ai appris cette nuit la que l'oriflamme des terribles avançait sur les plaines du Berry,j'ai eu le regard braqué des jours et des jours j'étais intenable même , a l'hosto de campagne, ont même voulu me rapatrier, je faisais des bonds en parlant des terribles, partout ca les gavait a tous, j'ai vu des regards noirs ca m'a calmé tout ca, a des mercenaires qui aiment pas les terribles disent que ca pètent haut tout ca mouais, ché pas si vous l'avez pété haut mais hééé rasta écoute un peu la, moi je te dis péte toi la haut car tu le vaut, fais le claquer ton drapeau sous un air insolent, petit duc mouarfff, prend l'air totale détaché des grands, fais le mec qui se la joue et si on vient te chercher des noises tu réponds...hé je t'emmerde moi je suis rasta roi du Berry et chef des terribles, alors change ton chemin , promet Rasta que les terribles tu vas les mener partout et que de leurs noms seuls on entendra des claquements de jambes hein....

Allez on boit quoi la??je cause je cause et pendant ce temps la je me sèche moi
--L_anecdotier
Noucky77 :



Noucky arriva silencieux vers le feu ,il saluât l assembler et se dirigeât ver merenwenn et sofio de vieux souvenir remonter a la surface depuis son expérience d être mort et revenu des morts

Alors on boit un coup ici ?? ou c est juste de la figuration :B:
--L_anecdotier
Rv007 :



rv écouta avec attention la belle histoire a la Sofio...
c'est marrent, mais ça lui avait donné faim cette histoire de cochon grillé.

Il s'éclipsa et retourna jusqu'à l'endroit où il avais attaché son cheval, pris deux de ses sacoches et se besace.

De retour avec les autres, il déposa ses sacoches prêt du feu



Il y a quelques bonnes bouteilles dans ces sacoches !
Servez vous, c'est ma tournée




petit sourire avant d'ouvrir sa besace et d'en sortir une miche de pain et du saucisson.

Je sais pas vous, mais ces histoires m'ont mis en appétit, vous voulez un bout de sauc ?


n'attendant pas de réponse il se mit a couper le saucisson en rondelles et coupa aussi quelques morceaux de pain.
Ceci fait, il mordrit a pleine dents dans l'un des bouts de pain et enfloutir 2-3 rondelles de saucisson
en laissant pas mal pour qui voudrait
--L_anecdotier
Riggins :



Tim venait de voir noucky sortir de la caserne et rejoindre un feu de camp.
Peut etre des ennemis se dit il puis il entendit des voix et des rires.

Il reconnut surtout la voix du capi et sortit de l'ombre.

Bonsoir, alors, sofio, de passage dans le BA ...

Puis il avisa tous les autres soldats présents.

je vois que tu es bien entourés en plus.
--L_anecdotier
Ninon914 :



Elle traîne ses chausses en direction de la caserne, elle termine ses préparatifs de départ avant de fermer son bureau. Elle a beau retourner le problème dans tous les sens, il n'y a pas de solution. Elle veut partir, elle ne renoncera pas, quoi qu'il lui en coûte, qu'il doivent en coûter à la garnison. Mais son bonheur nouveau est tinté de tristesse malgré tout.

Alors que la caserne n'est pas encore en vue, des bribes de conversations lui parviennent, à peine étouffées par les bois environnant. Sortie de sa rêverie, intriguée, elle allonge le pas. Plus elle s'approche, plus elle se demande ce qu'il se passe, pour un peu elle se mettrait à courir. Des lueurs apparaissent entre les arbres, jaunes orangées, comme un feu.

Cette fois elle n'y tient plus et accélère pour finalement courir comme une dératée

Un feu ? Il y a le feu, c'est sûrement ça ! M...... !!!!

Quand elle émerge, complètement échevelée, elle est saisie par le spectacle d'une bande de joyeux lurons rassemblé autour d'un grand feu. Elle pile sur place et reprend son souffle en observant la scène. Un sourire se dessine lentement sur ses lèvres au fur et à mesure qu'elle reconnait les participants. Sofio !


Mouahahahahaha !!!! Sacrée Sofio ! Y a qu'elle pour inventer un truc pareil ! Et c'est que ça à l'air de picoler en plus !

Tracas oubliés dans l'instant, elle s'approche alors qu'ils devisent et se glisse entre eux, sans un mot. La démissionnaire se laisse tomber entre Vince et Rv, leur fait un clin d'oeil et fait signe à la tavernière improvisée de lui remplir sa chope.
--L_anecdotier
Laurentide :



Une chope de bière se présente devant moi, c`est avec plaisir que j`accepte le précieux liquide tendu par Merenwenn.

Merci Merenwenn, cela va me faire un grand bien,

Assis au tour du feu, j`écoute Sofio conté un récit de guerre, avec des explications bien détailler.
Suivit du jour ou elle a du baissé les bras suite a de grande blessure.

Puis soudain elle louange les terribles, des mots réconfortant, a savoir que nous ne somme pas inutile, surtout que je me pose cette question ses jours si.

Tient RV a un petit creux, il nous offre a boire et a manger, toujours le même, un cœurs sur deux pattes.
Me levant, puis me dirige vers lui.

Au la tu m`en laisse un peut, surveille ta ligne Rv

Prennent un morceau de pain et de saucisson, je me régal.

Soudain sortant de nul par Ninon en crient
Un feu ? Il y a le feu, c'est sûrement ça ! M...... !!!!

Puis réalise qu`il y a juste un feu de joie, puis s`assoie avec nous tous.
La saluant de la main, elle semble heureuse entre Vince et Rv
See the RP information <<   <   1, 2, 3, 4, 5   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)