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[RP] Les Tourangeaux en croisade

Donotach
Départ de la Touraine pour la croisade Décembre 1457

En ce lundi 7 décembre le groupe composé des soldats Robin, Fiocco45, Mumbly, Gerard, Lilouz, Griffious, Senctus et Donotach finissent de faire leurs paquetages tôt dans la matinée. Après des adieu à leurs familles tous se rejoignes au points de rassemblement en fasse de la caserne.

Donotach pris le temps de regarder tous les hommes et femme qui compose sa lance. Plusieurs ne lui étaient que vaguement connu. Puis il se tourna vers le capitaine qui leurs prodigua les dernières information de départ.

Voila, il est maintenant temps de partir. Donotach fit l'accolade à Line, Ellana et Skippy, saluat Barbe, le capitaine et tous les soldats présent. Se retournat vers ses compagnon de voyages, mes amis il est temps de partir, que le tout puissant vous gardes tous.


Mardi 8 décembre 1457.

Aujourd'hui nous sommes rendu à un noeud de Saint-Aiguan, en route pour le noeud entre Saint-Aiguan et Bourges.

Tout c'est bien passé, nous avons vu un peu de paysage connu. Quoi que la température est plutôt grise et froide en ce temps de l'année. Tout le monde à bien suivi et nous ne déclarons aucun accrochage.


Mercredi 9 décembre 1457

Aujourd'hui nous somme rendu au noeud entre Saint-Aiguan et Bourgues. Dernière journée près de l'armée, nous les saluons et tenterons de sécuriser dès à présent les routes pour leurs passage.



La grisaille fait maintenant place à la pluie et la température toujours basse. Les couverture ne furent pas de trop la nuit passé.



Jeudi 10 décembre 1457

La journée fut marqué par un épais brouillard, sur la majorité du chemin nous ne voyions pas deux mètres en avant de nous. Cela à ralenti quelques peux nostre avancé et nous dûmes marcher jusqu'à tard dans la soirée avant d'arrivé à nostre point de ralliement.

Un décompte vite fait à l'arrivé et ce fut l'horreur, nous avions un manquant à l'appel. Hey oh, il y a quelqu'un qui à vu Gérard aujourd'hui. Pas de réponse, qui est-ce qui l'a vu la dernière fois? Où vous me dites, mais cela fait un sacré bout de chemin. Monté le campement, je rebrousse chemin autant que je peux voir si je ne le trouverais pas quelques part.

J'avais beau chercher partout, aucune trace de Gérard. J'espère qu'il n'est pas tombé dans une embuscade avec tout ce brouillard! Après plus de 2 heures de recherche je dû me rendre à l'évidence, je ne le retrouverais pas ce soir. Je retournai donc au campement et fut accueilli avec une bonne boisson chaude par de joyeux confrères et consoeurs.

Allez il est maintenant l'heure d'aller au dodo, on essai de retrouver Gérard demain donc on se lève tôt.

La nuit fut froide, plus froide que les jours précédent encore. Lorsque nous nous levâmes, une gelé enveloppait le campement, une première gelé de nostre route.

Nous nous levâmes et partîmes le but est de dépasser Nevers aujourd'hui.

Vendredi 11 décembre 1457

Je viens de recevoir un pigeon du capitaine, il est content que tous ce passe assez bien. Il a bien vu nostre message pour Gerard mais malheureusement il ne l'a pas aperçu en chemin.

Nous allons donc organiser une battue en revenant sur nos pas pour essayer de le retrouver au plus vite. Cela implique que nous serons à Chalon seulement dimanche.


J'espère que vous avez tous suffisamment de vivre pour vous rendre jusque là?


Samedi 12 décembre 1457

Les recherches avait été effectué avec entrain et ce presque toute la nuit mais nul trace de Gerard. Nous décidâmes donc de monter un campement restreins et de partager les tentes pour dormir quelques heures. Ayant pris le premier tour de garde je fûts le dernier à me lever le matin.

C'est alors que Dame Fiocco vint me réveiller. Donotach, Donotach, réveillez-vous nous avons une surprise pour vous.

--- Ah, Heu, Donotach se leva les yeux a peine ouvert. Quoi, une surprise?
--- Allez, venez lui dit-elle.
--- Alors il la suivie hors de la tente. Ah Gerard, mais où étiez vous donc passé mon frère? Voilà presque deux jours que nous vous cherchons!



Un peu plus tard dans la journée...


Nous fûmes interpellé par Yohann65, un Bérichon de niveau 4. Je me précipitai donc à sa rencontre en avisant mes hommes de se mettre en possitions de défense et de vérifier les champs et les bois avoisinant craignant une possible embuscade. En m'approchant de cette homme, il me sembla le reconnaitre. "Où l'ai-je vue? Ce ne serais pas au rempart de Loches quelques mois plus tôt." je me mis donc sur mes gardes de plus belle et tentai de prendre les devants.

--- Bonjour messires, je me nomme Donotach.
--- Bonjour à vous sire moi c'est Yohann65.
Il ne sembla me reconnaitre...
--- Puis je savoir où vous aller? Peut être qu'on pourrait faire une partie du chemin ensemble me dit-il.

Est-ce un piège? Il faut s'en sortir...

--- Nous somme des croisés et ne sommes que de passage dans vostre beau Duché. Nous allons rejoindre les armées de nostre Roy pour défendre la France. Malheureusement comme vous voyez nous ne pouvons prendre personnes avec nous car nostre lance est complète. Il fut déçu car il partait seul pour la croisade de son côté.

Je lui souhaitai donc la bonne journée et nous nous remires en route, sans jeter un coup d'oeil en arrière de nous.


Nous revoilà en route pour Chalon. Nous devrions donc dépasser Nevers aujourd'hui.

C'est alors que le sergent Griffious appela le garde à vous.

Tous les soldats s'empressère de se mettre en rang serré, ben quoi il faut bien en profiter pour se réchauffer.

Citation:
Originaire de Chinon, le soldat Griffious âgé de 18 ans, n'avait connu que élevages et guerres. Il avait répondu présent lorsque la Touraine fusse attaquée en l'an de grâce 1456 par les félons celtiques. S'en suivirent plusieurs missions et batailles.

De batailles en batailles devinrent des guerres, il venait d'en terminer une au Berry qui sous le joue d'un unique homme, avait failli au respect de la souveraineté Tourangelle.

Quoiqu'il en soit, il s'était vue remettre à son retour sur Chinon une requête qui l'appelait à partir loin de sa terre pour cette fois-ci non pas défendre son Duché, ni celui de ses intérêts mais bien celui du Royaumes de France. Le visage encore tuméfié par les traces des dernières batailles il prenait la décision de répondre favorablement à la croisade.

Pourquoi se battre en dehors de ses terres ? Pourquoi se battre pour un Roi qui n'en vaut pas la peine ? Pourquoi se battre pour les Béarnais qu'on accusent d'être à l'origine du conflit contre les Lions de Juda ?

Tant de questions qui demeurent dans la tête du jeune sergent. Peut-être pour la gloire, l'estime de soi, s'enrichir ?

Cette rechercher d'identité lui trottait dans la tête depuis le départ de Chinon.

Griffious s'en retournait sur Loches point de départ de la dernière guerre. Il allait retracer le même chemin qu'il avait souillé de sang Berrichons avec sa lame aiguisé.

Cette fois-ci non, il ne tuerait pas, il ne pillerait pas, il ne violerais hommes, femmes, enfants. Il ne faisait que passer, dans un froid hivernale, qui taillé des crevasses sur les visages de ces braves.

Le chemin vers le Béarn était risqué, l'image de la guerre était encore toute fraiche dans l'esprit des Berrichons qui, sous le poids des Osts de l'alliance avaient reçus une belle leçon. Combien, de veuves veufs et d'orphelins avaient-ils laissés ? Le nombres devait dépasser l'entendement. Même si notre Duché envoyé les Osts de Tourraine qui se composés de la crème de la crème, elles ne pourraient rien contre la vengeance des Berrichons. L'ordre été d'éviter les villes. Mieux valait-il se faire discret et de passer tranquillement d'un Duché à l'autre.

Cette stratégie se montra efficace les premiers jours de marches. Mais les Osts perdirent nombreux hommes d'armes, pour causes semblent-ils, selon les rumeurs de sorcelleries. La météo peu clémente ne facilitait pas les missions de recherche de ces malheureux qui se volatilisaient en cour de route. Des guettes à pan avaient pus être tendus aux sections détachés du gros des Osts, le doute commencé à s'installer dans nos rangs :

"Peste et choléra !

Dieu s'acharne déjà contre nous, il ne veut pas que nous nous rendions à cette croisade" pestaient des jeunes recrues sceptiques quant aux réels objectifs de cette croisade. Ces derniers furent pendus pour exemple. Discipline et sang froid était de mise pour cette croisade, les officiers l'avaient maintes fois répétés.

Nous ne pouvions pas nous permettre d'attendre les quelques trainard, soulards et autres boulets d'une armée, il fallait avancer, la commanderie planifia en secret les nouveaux sentiers à parcourir.

Griffious qui appartenait au régiment de Donotach avait sous ses ordres une section composait à 80 % de bleus, en effet même si nous avions remportés la guerre au Berry les pertes n'avaient pas été moindre pour cela. Le jeune sergent s'adresse à la quinzaine d'homme qui lui obéissait :

"La bleusailles ! Bougez vot' fion on repart, je veux pas voir de trainard,

J'ai une règle d'or et une seule, tout le monde se bouge, personne ne se barre, celui qui se dégonfle, je le descend personnellement !"

Les bleus encore terrifiés par la pendaison des croisado-sceptiques, obéirent sans broncher. Les Osts se remirent en marche pour une destination encore secrète.


Donotach de répondre:

Sergent j'ai peur que vous ayez fait peur à Dame Lilouz, avec toute cette brume qui ne lâche pas elle c'est évaporé, à moins que ce sois de la sorcellerie!!!

Pour ma part je n'y crois pas à cette sorcellerie et je vous assure que tout ces phénomène sont naturel. Nous somme dans une contré ou la température est plus froide que chez nous et avec tout cette humidité présente ce n'est pas surprenant de voir autant de brouillard. Pour ce qui est des disparitions, je suis certain que ce ne sont que des hommes et femmes qui se sont égarer dans le brouillard, nous les reverrons très bientôt nous rejoindre.


Vous savez avec ces températures avoisinant le 0 degré nous aurons peut-estre des surprise dans les prochains jours. On m'a dit qu'à cette température la pluie se transformait en floccons blanc qui reste sur le sol. On verra bien si ce n'est pas des racontars de plus.

Avec le retour de Gerard nous reprîme nostre avancé. Aujourd'hui malgré nostre retard pour avoir cherché dame Lilouz partout nous partons pour Chalon où nous pourrons nos rassasier d'un bon repas et refaire nos provisions.

Voilà que j'entendis des grognements:

Citation:
Rob grognait sans arrêt. Contre à peu près tout, le silence quasi omniprésent, le brouillard tellement épais qu'on n'y voyait pas à 2 mètres, les soldats qui se perdaient tout le temps, le fait qu'il faille aller les chercher ensuite et ses provisions de pains qui s'étaient évaporées... Il aurait tué pour un bon feu et une bonne bière servie par une tavernière gironde.

Après Gérard, c'était Lilouz qui s'était paumé... Une raison de plus pour râler.

La seule chose qui le faisait sourire de temps en temps, c'était quand il tripotait son bracelet en étoffe, souvenir d'une prunette et de la mission qu'elle lui avait confié. Il le touchait fréquemment, comme pour conjurer le mauvais sort. Que faire quand il l'a reverrait ? Bonne question qu'il allait avoir à creuser. Enfin, en ce moment, c'est pas les moments pour réfléchir qui manquaient... Une large sourire illumina sa face de crapaud et pour la première fois depuis le départ, il sifflota tout en marchant.


C'est alors que Donotach entendit dans les grognements un sifflement. Mais que ce passe t'il?

Bien qu'il ne voyait pas grand chose il se dirigea vers le sifflement. Il se rendit compte que le sifflement provenait de Sieur Robin. Mais mon ami quel bonne idée que vous avez, de cette façon nous saurons que vous suivez toujours.

Oh mais sieur Gerard, nous comprenons avec tout ce brouillard que ce n'est pas facile de ce suivre. Nous n'en tenons rancoeur personne. Nous en sommes à nostre première semaine, vous verrez lors de nostre retour ce genre de chose sera oublié.

De discussion en discussions en ce Lundi 14 décembre 1457 nous arrivâmes finalement à Chalon, avec un peut de retard certes mais que pouvait-on espérer avec tout ce brouillard et les journée qui devenais de plus en plus froide. Je préférais quand même le brouillard à la pluie. Bien que c'était tout de même humide, au moins la tête était presque sèche.

Dès l'arrivé quelques uns se sont porté volontaire pour faire une ronde histoire de faire certain de ne pas se faire encercler. Les autres ayant commencé à faire le campement j'en profitai pour aller annoncé nostre venu à la mairie.

C'est alors que le Sergent gronda ses ordres. "Ceux qui ne font rien vous devez monter la tente de commandement et plus vite que cela, le capitaine ne sera pas content de vos lamentation"


Bien qu'il était tard, la mairesse Dame Saxaltesse de la Clairiere Chantante était toujours à son bureau. Je me présentât donc et expliquât le but de nostre arrêt à Chalon. En lui expliquant que nous étions des croisé appelé au front par nostre Roy. Je l'avisai également de l'arrivé prochaine de nostre armée.

Je peu vous dire que nous avons eu un très bon accueil et somme tous invité à aller discuter en taverne, la mairesse Saxaltesse de la Clairiere Chantante sera ravie de faire vostre connaissance mes frères.


Mardi 15 décembre 1457

Aujourd'hui,hui nous fûmes occupé à faire la lessive et à huiler nos armures. Après une semaines les tentes commencèrent à estre détrempé nos bottes et nos couvertures mouillé de part en part.

Allez trouvé du bois le plus sec possible lança le sergent. Il faut faire un beau grand feu histoire de dormir dans des couvertures sèche cette nuit. Ce ne serait pas une mauvaise idée de sécher les bottes aussi sinon tôt ou tard vous ne pourrez plus marcher.
Linexiv
[Mardi 15 décembre, Arrivée à Chalons]

Des remparts. Line ouvra péniblement les yeux et les referma aussitôt. Des remparts à l’horizon. Elle sursauta et se redressa d’un seul coup tout en tâtant à la recherche de son épée et s’éclata le crâne contre… l’un des montants de la charrette… Elle se laissa aussitôt retomber dans la posture qu’elle n’aurait pas dû quitter, soit complètement avachie entre un tas de toiles plutôt humides et un tonneau.

Quant à savoir comment elle avait pu se retrouver là, ça restait flou… Foutu mal de crâne. Foutue charrette. Quoique que c’était un peu gros comme symptôme là pour tout mettre sur le coup de sa dernière maladresse. Et si on rajoutait « bouche pâteuse », ça ne pouvait signifier qu’une chose. Aie.

Remettre les pendules à l’heure. Se concentrer. Bon déjà le voyage. Vu le paysage alentour devait pas y avoir de berrichons en face. Elle se décida à bouger un peu et se détournant de la silhouette du conducteur, elle s’intéressa aux cavaliers qui les précédaient. Bannière de la Touraine. Logique. Mais deux autres l’encadraient, la première argent à tête de taureau, soit la Maison du Val de Loire représenté par son chef le Vicomte de Montlouis, la seconde azur aux trois aigles d’or, Azay, Barbe.

La croisade ! Elle manqua de s’étouffer. Bravo. Trois chopes et ça suffisait à lui faire oublier l’objectif ! Faut dire qu’elle n’était guère motivée par l’idée générale, les combats y’en avaient suffisamment à la maison sans se déplacer d’abord et puis, fallait pas être baptisé pour faire le croisé ? Mais la Maison du Val de Loire avait répondu au nom de la Touraine et elle se devait d’être là.

Réflexion. Hier, ils étaient à Autun. Très jolie la taverne. Nouvelle grimace. La honte quand même, si elle se rappelait bien du programme, la ville devant, ça devait être Chalons. C'est-à-dire le lieu de rassemblement des croisés et de ralliement avec la compagnie de Donotach partie en éclaireur… Et elle, ben elle avait fait la route en charrette parce qu’apparemment elle devait être trop bourrée pour tenir sur son cheval… Cela ne pouvait pas être pire.

Et ça concluait en beauté un voyage long, ennuyeux, froid et particulièrement humide. Non franchement, sans l’escale en taverne de la veille en compagnie du Sergent-chef Ellana pour remplir la paperasse au sec, ça aurait été mortel. Même si elle le regrettait vu l’état au réveil. Ella n’allait pas la louper surtout si en plus elle avait été obligée de la ramener au campement…

Elle se leva tant bien que mal, redoublant de prudence pour ne pas se prendre les pieds dans un sac et s’approcha du conducteur s’efforçant d’inscrire sur son visage un air impassible. Hors de question que ce dernier ose faire le moindre commentaire. Dragon de Touraine fatiguée mais Dragon de Touraine quand même !

Voyons, devait-elle tenter de descendre en marche pour rejoindre son cheval histoire de reprendre un peu de dignité ou bien considérer que c’était trop tard. A la réflexion, prendre le risque de s’étaler dans la boue, c’était peut-être pas malin.

Elle se contenta donc de s’installer à côté du conducteur, façon, « je vous assure, je suis là pour surveiller le chargement » et regarda la ville grossir. Bientôt les retrouvailles ! Elle observa le défilé des chevaux, c’est qu’ils avaient de l’allure ! Surtout le chef avec son cimier.

C’est alors qu’elle se remémora un léger détail. Hier, Ellana était rentrée avant elle au campement. Elle n’avait pas pu la ramener. Ce qui ne laissait que… le Capitaine… Elle avala péniblement sa salive… On pouvait encore parler de gaffe ou de honte à ce stade là ?
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