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[RP] Quand les hérétiques portent des soutanes!

Lenada
Elle regarda le Baron en souriant, posa sa main sur son bras et lui dit

Cher ami, je suis peut être une femme soit !!! mais voyez vous en moi une faible femme ?

Croyez vous que Lingus veut me faire du mal? Je ne crois pas pour ma part, cet homme à un coeur, j'ai déjà eut l'occasion de m'en apercevoir même s'il ne fait pas parti de mes amis.


Toujours souriante, elle s'approcha du Baron et lui chuchota à l'oreille

Me permettez vous de lui parler en tête à tête? Bien sur si Lingus lui même est d'accord, et si vous me donnez cete permission, je vous invite à un souper dans ma modeste demeure
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Ex Bourgmestre de Tonnerre ( 5 fois ) Bourgmestre de Chalon - Prefet - Diaconesse
Vaxilart
Et voilà qu'un soupé était en jeu. Homme faible, ou alors, totallement dépassé par l'étrangeté des Bourguignons, il ne sut refuser.

-Faites vite. Il a rendez-vous.
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Lingus
En chemin, Lingus vit arriver Lenada et songea au molosse qui devait errer dans la mairie, son panier à la main.
Il valait mieux occuper son esprit à cela plutôt qu'à ce qui l'attendait. En réalité, il ignorait ce qui l'attendait.

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Lenada
Lena se dirigea vers Lingus, le prit par le bras et l'entraina loin des oreilles indiscretes de l'armée.

Lingus, je sais que malgré ce que vous avez fait, derrière cette carapace, se trouve un homme avec un coeur, un homme qui a aimé.
Vous n'etiez pas fait pour être curé, mais je sais que malgré tout, vous aimez votre prochain.

Si vous avez besoin de quelque chose,dites le moi, je ferai en sorte que vous l'ayez.

Le temps que vous resterez dans les geoles de Chalon, je m'occuperai de vous, je vous apporterai de quoi manger, et viendrais vous tenir compagnie.




Lena vit que les soldats s'impatientaient!! le froid peut être, ou l'envie d'une bonne biere. Fallait pas trop en demander à ces hommes, ils suivaient les ordres tête baissée sans réfléchir.

Lingus et elle revinrent vers le groupe. Lena lacha le bras de Lingus et en souriant lui dit :

Je vous apporterai ce soir des onguents pour votre jambe, j'ai une amie herboriste, et puis j'ai quelque chose à vous dire, mais ici il y a trop d'oreilles indiscretes.


Lena s'approcha de Vaxilart

Voilà Messire, vous pouvez l'emporter avec vous, mais voyez vous comme il a eté blessé par l'armée il y a quelques temps, en réparation peut être pouvez vous, le faire monter sur vostre cheval? Vous aussi, j'espère vous avez un coeur.... le pauvre homme a du mal à marcher,l'aider serait suivre les paroles d' Aristote .....
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Ex Bourgmestre de Tonnerre ( 5 fois ) Bourgmestre de Chalon - Prefet - Diaconesse
Comte_baltazar
Si y’as bien une chose que le colonel ne comprenait en ce bas monde fut la bêtise de l’homme ou de la femme. Chaque endroit réservé son lots de surprise, ou qu’il allait il trouvait des gens qui savent tous mieux que tout le monde. Qui place des stéréotypes pour monstrer leurs sciences (qui n’ont pas !).

Ce fut très certainement le cas de cette chalonnaise qui vint vers le groupe de militaire, pour parler a l’hérétique.
Le colonel appela un soldat et lui glissa quelques mots a son oreille, ce dernier pris le panier et s’en retournât, tout le monde le vit prendre la direction de la mairie mais sa mission était bien sur tout austre.

Le colonel admirait le peuple qui se plaignait sans cesse, qui se fiait à quelques vieilleries que ce soit. Il regarda la gente Dame avec dégout.


Mais bien sur, je vais lui donner mes propres appartements pour qu’il ait un confort digne de lui …

Allez! On se met en route.


Le colonel ne remontât pas tout de suite en cheval, il se plaça aux cotés du connétable, et de la dénommée Lenada.

Mon connétable, sauf vostre respect, nous sommes attendu ailleurs, ne perdons pas nostre temps icelieu !
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Lenada
Lena regarda le militaire avec dédain.

Encore un qui se prend pour le nombril du monde, ou tout droit sortit de la cuisse de Jupiter.

Messire, je savais que l'armée recrutait n'importe qui !!! surtout des gens qui ont un petit pois à la place du cerveau, mais je pense que là, ils y ont été fort avec vous !!!!

Il est vrai que personne ne vous demande d'estre intelligent, juste d'obéir à des ordres, ou de les donner, je ne sais vostre grade et personnellement, je m'en fiche, l'armée et moi ça fait deux.

Mais pour moi tout homme est innocent tant qu'il n'est pas reconnu coupable. Cet homme a servit Aristote avant de sombrer dans la démence.

S'il a sombré c'est peut être de vostre faute, enfin celle de l'armée qui un jour alors qu'il voyageait, l'a lachement blessé, ohhh!!!! je sais il n'est pas le seule dans ce cas, l'armée a fait beaucoup de dégats. De plus cet homme est un homme d'église et s'il a à êstre jugé c'est par l'église pas par l'armée.


Une fois qu'elle eut fini de parler à ce gougat, Lena tourna les talons sans attendre une réponse
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Ex Bourgmestre de Tonnerre ( 5 fois ) Bourgmestre de Chalon - Prefet - Diaconesse
Frim2811
Frim, de retour en terre Bourguignonne, reçut quelques pigeons lui relatant les derniers évènements de Chalon.

Après avoir réglé ses affaires, elle entra dans la première taverne qu'elle trouva, et s'attabla pour lire ses messages.

Sa lecture la laissa perplexe, se demandant si son intermédiaire n'en avait pas rajouté un peu, pour le coup.

- Hum, tout ce déploiement était donc bien pour ça. Toute une armée pour arrêter un vieillard ... Toujours aussi mesurés nos soldats.

- Feraient peut être mieux d'aller patrouiller sur les routes, ça éviterait quelques mauvaises rencontres aux voyageurs

- Bref


Secouant la tête, elle continua sa lecture, et chercha à comprendre à quoi jouait tout ce beau monde ...

Que Lenada et Vaxilart s'emmêlent les pinceaux, rien d'étonnant, ils pouvaient se trouver à un mètre l'un de l'autre, à chaque fois qu'elle les croisait, elle avait l'impression qu'ils étaient en plein décalage. Apparemment, ils aimaient ça, et y montraient un certain talent.

Frim finit sa lecture et fut quelque peu interloquée. Les échanges entre Lena et Lingus ne lui étaient pas rapportés, mais cela ne manqua pas de l'étonner ...

- Eh bien, je verrai à mon retour ce qu'il en est, étrange tout de même


Frim commanda une bière, et s'installa confortablement, espérant croiser quelqu'un dans ce village qu'elle n'appréciait que très modérément

Lingus
Lenada l'entraîna à l'écart du groupe pour lui parler mais il n'eut pas le temps de lui répondre car le soldat revenait à la charge.
S'en suivit une courte dispute, puis Lenada s'en alla sans même laisser à Lingus le temps de placer un mot.

Il espéra que la proposition de le faire grimper sur le cheval était passée inaperçue. Jamais de sa vie il n'avait approché ces animaux à moins de trois pas et ce n'était certainement pas aujourd'hui que cela allait changer.

Il frappa dans ses mains comme s'il décidait lui-même du moment du départ, certain que cela ferait rager les soldats.


Bien! allons-y, dépêchons!
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Vaxilart
Le connétable jaugea Lignus, puis Lenada. Bon, la dame était furieuse, pas le peine de lui répondre, et l'hérétique avait bien hâte d'en finir.

-Tant d'empressement vous honore. En route!

Le cortège, pas encore funèbre, mais bientôt sans doute, amena le détenu aux geôles de Chalon. En rentrant, Monseigneur M4dboris les y attendait déjà. Une fois face à l'évêque, le Baron se mit à genoux et se signa.

-Monseigneur. Voici l'homme en question, livré pour vous.

Il se retira un peu plus loin, laissant l'évêque et l'hérétique régler l'affaire.
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M4dboris
L'Evesque d'Autun se tenait droit, la crosse à la main.
Il guettait comme un douanier surveille l'horizon pour détecter les nouveaux venus.

Enfin, le convoi ducal passât à proximité et l'Evesque d'Autun pu prendre les choses en main.

Le prélat s'adressât d'abord au Duc...


Duc Vaxilart, je vous remercie d'avoir mené à bien cette...capture.
Il y avait des risques pour que nostre traitre nous fausse compagnie pour aller rejoindre ses petits amis du Lion de Juda.

Manifestement, nostre traitre à la foi aristotélicienne s'est vu pris de cour par l'armée.
En cela, je vous félicite Duc Vaxilart, vous et les hommes qui vous ont accompagné.

La cible était peut être assez aisée à maitriser...mais vous avez eu raison de vous déplacer en groupe...cela simplifie le travail de recherche et permet de prévenir toute tentative d'aide de la part des autres hétérodoxes du Lion de Juda.

Si vous le voulez bien, je vous demanderais Duc vaxilart de rester stationné encore quelques jours à Chalon...histoire de convaincre nostre homme de rester tranquille en ville.


Le prélat saluait les différentes personnes du cortège en félicitant leur action couronnée de succès...une action rapide et efficace.

Puis le prélat entrepris de voir Lingus...il se rapprochât de lui et lui lançât


Alors vous voilà, Lingus !
Quand je pense que je vous faisais confiance...

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Lingus
Sur le trajet qui menait le convoi vers les geôles municipales, Lingus s'était peu à peu assombri, son front était à présent barré d'un pli soucieux qui lui conférait un air de profonde réflexion.
Et c'était bien là ce qu'il faisait, il réfléchissait.

Il se remémora les jours précédents, ses pensées le ramenèrent au dimanche, jour où il avait prononcé ce sermon qui lui valait d'être ici plutôt qu'au coin d'un bon feu.
Il ne put retenir un ricanement lorsqu'une pensée sinistre lui traversa l'esprit : il en aurait peut-être bien assez tôt du feu, et plus qu'il n'en fallait pour se réchauffer les orteils!
Il retrouva le fil de ses pensées, il lui fallait raisonner pour traduire le divin dessein que contenaient les évènements. Car il y en avait forcément un, caché derrière leur apparente absurdité, il le fallait, sans cela sa vie n'avait aucun sens.

Une fois l'église désertée, il s'était retrouvé seul avec la bouteille de vin destinée à la communion... pour finalement se retrouver vraiment tout seul! Il est plus aisé de vider une bouteille que d'y remettre le bouchon!
Dans un état d'ivresse avancée, il avait clos l'intense conversation qu'il entretenait depuis une bonne heure avec un candélabre pour se diriger d'un pas chancelant vers la sacristie où se trouvait le tronc à aumônes.
Malgré un apparent mépris pour le concept de ligne droite, il avait fini par atteindre le lourd coffret de bois et avait essayé une à une toutes les clefs de son trousseau, la bonne était forcément dedans!

Lingus avait réussi à ouvrir le cadenas et s'était aperçu que la trésorerie n'augmentait plus depuis le départ de Dame Jo.
Il s'était souvent demandé à quoi servait les fonds de cette collecte, sûrement à alimenter l'entreprise de falsification de Rome!
Ces écus seraient bien mieux dans sa poche! Lui saurait les utiliser à la diffusion de la véritable Foi!
Après deux très longues secondes d'hésitation, peut-être même trois, il avait empoché l'argent.

Une voix intérieure lui avait alors soufflé "Si ta pauvre mère te voyait Lingus..."
Cela faisait bien longtemps qu'il n'avait songé à sa mère mais il avait tout de même été pris de remords et avait placé dans le revestuaire toutes les miches de pains qu'il avait. Cela l'aiderait également à marcher plus vite et il le fallait!

Il était allé se coucher et le lendemain, alors qu'il allait quitter le village et raccrocher sa soutane au clou, il avait vérifié sa bourse une dernière fois avant de prendre la route.
Grand bien lui en avait pris car, il ne savait comment cela était possible, mais l'argent n'y était plus. Et lorsqu'il était allé vérifier s'il ne l'avait pas oublié dans la petite annexe de l'église, il avait découvert stupéfait que les écus étaient retournés à leur place dans la tirelire et que ses pains avaient disparus!

Lingus aurait pu fuir Chalon malgré tout mais ce phénomène étrange l'avait plongé dans une perplexité si grande qu'il n'avait pu se résoudre à partir ainsi.
Il était finalement parti cueillir quelques champignons en compagnie de Zarath pour se changer les idées et deviser nonchalamment.
A son retour, il avait trouvé plus de soldats à Chalon qu'il n'avait trouvé de champignons en forêt.


Ils approchaient des geôles, Lingus se gratta le menton d'un air dubitatif.

*Le plus étrange, c'est que cette même nuit, j'ai fait un rêve. J'étais au marché et je me vendais des pains... à moi-même! J'étais double, le vendeur et l'acheteur. Et je ne parvenais pas à saisir l'argent que je me tendais. Pendant ce temps-là, mes pains disparaissaient sur l'étal, transformés en une multitude de parchemins sur lesquels il y avait une inscription incompréhensible, toujours la même : "BUG 1240".
Serait-ce un signe divin?*


Le convoi s'arrêta à hauteur de l'évêque qui félicita les soldats puis s'adressa à Lingus, le tirant ainsi de ses réflexions.


M4DBORIS a écrit:
Alors vous voilà, Lingus !
Quand je pense que je vous faisais confiance...


Confiance? Si vous voulez dire confiance comme celle, aveugle, qu'ont les fidèles envers l'Eglise romaine? Pour mieux les berner ensuite?
Alors oui vous me faisiez confiance de la même façon...
Qu'il est amer le sentiment de la trahison n'est-ce pas?

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M4dboris
L'Evesque d'Autun arborait un air sévère, intraitable...un air qu'on ne lui connaissait pas.

Il n'était pas homme à haïr, pourtant, ce Lingus l'avait poussé dans des retranchement qu'il ne pensait jamais connaitre.

Oui, cet homme l'avait trahi, il avait trahi Rome, l'Eglise...il avait trahi tous les chalonnais, tous les croyants.

Pire que cette trahison, Lingus ne semblait montrer aucun remord...et le prélat eu la confirmation de ce qu'il présageait...Lingus avait menti dès le début...

M4DBORIS avait la conviction qu'on ne changeait pas du tout au tout en un instant...il était donc maintenant convaincu que Lingus s'était joué de lui depuis le premier jour.

Il s'était fait passé pour théologien en quête d'une cure...soit disant pour prêcher la parole du Très Haut...
MENSONGES !!!
Il avait menti, il avait joué un rôle pour mieux obtenir les clés d'une église et y distiller son poison hétérodoxe...


Je vois que vous ne montrez aucun regret.
Et je devine que vous m'avez trompé, moi, l'Eglise et tous les fidèles aristotéliciens depuis le début.

En cela, vous m'aurez appris à ne plus faire aveuglément confiance...
En retour, je vous apprendrais qu'on ne poignarde pas l'Eglise dans le dos impunément.

Vous voulez vivre en Averoiste ? Je pense plutôt de mourir comme tel.

Il y a quelques temps, vous m'aviez confessé vos péchés...je pense que cette trahison sera la cerise sur le gateau d'une longue vie de péché.
Vu la liste, j'imagine que les 7 princes-Démons vont se battre pour vous avoir, vu que vous collectionnez la diversité dans vos péchés.


Le prélat avait toujours le regard noir...comme s'il envoyait du venin d'un simple regard.
Il n'avait pas laissé l'opportunité à Lingus de lui couper la parole...cet hérétique n'avait pas ce droit là...

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Lingus
Lingus soutint le regard chargé de haine de l'évêque et attendit que celui-ci finisse sa tirade.

Lorsque je suis venu vous trouver pour la première fois, je n'avais pour seule quête que la gloire du Très-Haut, quête sincère qui m'anime encore aujourd'hui.
Ce n'est qu'au cours de mes études que j'ai découvert les écrits averroïstes malgré l'interdiction qui les frappe.
Je n'ai jamais cherché à tromper les fidèles, au contraire, j'ai voulu les éclairer.
Car ces écrits renferment la Vérité que Rome veut museler.
De quel côté vous trouvez-vous Boris? Vous prosternez-vous devant l'Unique ou êtes-vous le vil serviteur d'un pouvoir mensonger?

Il marmonna à voix basse, plus pour lui-même qu'à l'attention de l'évêque.

Certes, Nous leur avions envoyé des messagers. Mais chaque fois qu'un Messager leur vient avec ce qu'ils ne désirent pas, ils en traitent certains de menteurs et ils en tuent d'autres. Ainsi sont les Aristotéliciens qui refusent la Vérité.

Il se mura ensuite dans le silence, attendant qu'on le conduise à sa cellule.
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Frim2811
Frim, de retour à Chalon, ne savait pas trop où donner de la tête.

Elle s'approcha, et s'adossa à un pilier, non loin du remue ménage principal

Les soldats avaient investi la place, cernant Lingus, de peur sans doute qu'il ne s'envole.

Face à l'attroupement hétéroclite se tenait l'évêque, l'air sombre.

Frim écouta les échanges entre les deux protagonistes, silencieuse et attentive.

Étonnée d'entendre parler de cerises et de gâteau en cette saison et dans ces circonstances, elle ne put s'empêcher de grimacer.


- Des champignons, lui avait on rapporté, maintenant des friandises, c'est plus une arrestation, mais un rendez vous de culinaires, ma parole

Frim resta sur place, attendant la suite des évènements, tout en se demandant ce qu'étaient les 7 princes-Démons, puis après un instant, se dit qu'elle avait pas vraiment envie de le savoir.
Vaxilart
Le Baron écoutait l'échange... Surpris, il ne put s'empêcher de nourrir une certaine curiosité envers les paroles de l'hérétique... Il se reprit bien vite! Ses paroles étaient un venin qui pénétrait dans l'esprit des bons croyants afin de mieux les faire couler en enfer!

Combattant sa curiosité, il entendit le commentaire de dame Frim qui s'était approchée du groupe. La reconnaissant du baptême de Tupamaler, il se permit se lui répondre à voix basse.


-Dame, ce n'est qu'à la parfin de mieux le cuire!
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