La Sainct Arnvald

Marymetal

La ligne de novices avançait dans l'abbatiale. Mary n'arrêtait pas d'agiter ses doigts sous sa longue manche. Son autre main tenait fermement une pièce du tableau qui devait représenter, une fois les pièces assemblées le portrait de Saint Arnvald, Saint patron de l'Abbaye.

Le groupe de novices avait maintenant monté les petites marches de l'estrade et chaque soeur déposait son morceau de portrait à l'interieur du joli cadre doré. Mary vit sa main tremblotter légèrement lorsqu'elle déposa sa propre pièce, elle cacha vite sa main dans ses manches, et tout en redescendant les marches pour se placer à gauche de l'abbatiale, elle se mit à tordre ses doigts, se les entrelasser, jouer nerveusement avec..

La Soeur Sophie avait laissé un silence, laissant le reste des novices rejoindre le groupe.
Mary se redit compte du nombre d'assistants à la cérémonie. Le nombre égalait surement le mariage des Barons de Montfort en a cathédrale de Lyon!
Cette pensée lui fit un petit pincement au coeur.... Isalyne.... Appo.... Montélimar....
Elle reprit le dessus sur elle même, il n'était pas là le temps de chagrinner!

La cérémonie continuait, lentement, et la salle parraissait à Mary toujours plus étroite et plus chaude...

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arthefax

Arthefax suivait nerveusement soeur Ellya dans la file des novices jusque l'autel.

Arthefax s'avança d'un pas incertain, posa son morceau et retourna à sa place laissant le tour à une autre novice.

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passionpomi

La procession des novices se déroulait comme l’avait prévu sœur Ellya. Le tableau de Saint Arnvald prenait forme peu à peu et chacune était fière de participer à la cérémonie en l’honneur de leur « justicier fondateur ».
Elle portait le haut du tableau et le déposa à son tour dans le cadre de bois.

C’était une phase émouvante de la cérémonie que cet honneur donné aux novices de reformer l’image du Saint patron dont-ils suivaient les enseignements….

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http://www.youtube.com/watch?v=LQKvMojzoH0&feature=related

Agwalenn

Agwalenn avait pris place dans l'abbatiale, il sétait placé le plus haut possible pour ne rien manquer.
La procession des novices venait de commencer , il se mit à prier pour l'âme de ses amis, surtout pour celle de Mimicracra qui venait de rejoindre Aristote.

crapaudine

Crapaudine arriva dans l'abbatiale où se déroulait la cérémonie, elle prit place curieuse de voir en quoi consistait cette feste.

Bientôt une prière fut dites en l'honneur du Saint puis une procession entra dans la nef apportant ce qu'elle reconnu comme les objets qu'avait distribuée sa nièce avec tant de joie.

La jeune femme comprit bien vite que les morceaux mis bout à bout permettraient de contempler le visage du fêté.
La cérémonie promettait d'être très belle à voir.

vincent.diftain

Le Cardinal Vincent Diftain d'Embussy s'était installé au premier rang pour assister à la célébration en l'honneur de Saint Arnvald.

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Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Chancelier du Saint Office Romain
Préfet à l'Enseignement Aristotélicien
Archevêque de Cambrai

kurios

Kurios accompagnait ses frères Marc et Lololtse ainsi que le reste de la délégation franciscaine. Il écoutait attentivement la cérémonie. il souriait en repensant aux paroles d'un de ses frères bretons qui s'insurgeait sur la place prise par ce saint. Ce saint qui avait remplacé un saint breton Saint Erwan dit pour les français Saint Yves en tant que saint patron des hommes de lois et de la justice. Ce saint qui est alors tombé dans l'oubli, son hagiographie ayant disparu. Il se dit devant la magnificence de la cérémonie que peut importait. Ce qui comptait c'était la grandeur de l'Église. Unie, forte allant dans le même sens et volant au dessus des tensions séculière et des jalousies. Il priait avec ferveur avec tout ses frères prouvant son amitié pour chacun d'eux.

Thomaslatapie

Thomas regarda la salle se remplir. Il sourit. Puis il essaya de ressemblé avec son esprit tous les fragments de l'image ... C'etait donc lui Saint Arnvald ??? Il sourit suivant tous bas les prière ditent par les personne.

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Aux grands maux, les grands remèdes

aurelien87

Mgr Aurélien entra dans la chapele. Il avait revétu son habit de moine grégorien, car il venait là non comme prélat, mais comme simple moine ami des cisterciens. Il jeta un oeil discretement sur l'assistance et vit avec grande satisfaction beaucoup de têtes qui lui étaient familières. Il alla s'installé dans la stalle qui lui avait été désignée.

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leello

Leello s'était installée près de frère Tom pour assister à la cérémonie.
Elle était assez impressionnée de voir tant de monde.
Elle restait silencieuse et appréciait l'instant.

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Aldebbarant

Aldebbarant arriva les mains jointes devant lui et la tête baissée. On pouvait voir ses lèvres bouger, récitant une prière silencieuse. Puis il releva la tête et remis ses mains de chaque côté de son corps. Il prit place avec ses frères déjà arrivés et écouta la cérémonie.

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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit, et en écrivant ce qui mérite d'être lu" Pline l'Ancien

Anne de Culan

Juste à temps.
Anne eut la chance, lors d'un mouvement de têtes, de repérer la chevelure de son frère, dorée par la lumière tombant d'un vitrail. Il était assis auprès de deux dames, en qui elle reconnut des connaissances parfois croisées à Culan.
Elle venait de se glisser près de lui, et allait le saluer discrètement, quand elle s'aperçut qu'il priait.
Pour leur mère, peut-être ? Anne était inquiète. La vicomtesse était tombée malade peu après le mariage de sa sœur Johanara. Anne la savait ici, à Noirlac, quelque part en ces murs. Mais elle n'avait pas de nouvelles. Il lui faudrait s'enquérir d'elle, après la cérémonie.
Et si elle allait mourir ?
Anne frissonna, prise d'une soudaine terreur. Ce ne fut pas au Père universel qu'elle adressa sa prière, ni même à Saint Arnvald, mais bien à son propre père, mort avant sa naissance.

Père, aidez-nous...

finn

I arrive in silence, a prayer in my mind and heart. I bring the frame of the portrait, carrying it with gentleness and respect.

neocor

Neocor, assis dans les premiers rangs suivait avec grande attention la cérémonie... Très inquiet de la santé de Frère roger, il interrompait par moment son écoute pour prier... Cette célébration se déroulait selon Lui avec grande dignité et amour immense pour le Très Haut...

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Frère Cistercien. Archevêque de Tarentaise.

Invité

Kynthiia suivit d’une marche lente le petit groupe de novices cisterciennes tout en gardant sa place. Elle marcha silencieusement jusqu'à s’approcher de l’autel. Elle déposa son morceau à l’emplacement informée avant de laisser la place aux autres. Kyn regarda discrètement la pièce ou déjà de nombreuse personne arriver.

La Sainct Arnvald

Sophie_Ancee

L'abbatiale Saint Bernard avait été décorée tout particulièrement pour la St Arnvald.
L'équipe célébrante avait réquisitionné tout ce qui ressemblait de près ou de loin à un novice pour suspendre bannières et oriflammes en hommage aux visiteurs attendus.

Le Berry et l'Ordre Hospitalier avaient naturellement une place d'honneur, juste à côté des armes de l'ordre cistercien.

Ordres Religieux et Militaro-Religieux avaient également leurs bannières ainsi que les différents Ordres Royaux et Duchés/Comtés représentés ce jour.

Quelques moines cisterciens finissaient la mise en place, tandis que la chapelle St Arnvald était consacrée aux prières pour le rétablissement de Frere Roger.

Le grand prieur Mgr. Bardieu avait confirmé que la cérémonie commencerait vers 21 heures. Soeur Sophie fit une dernière fois le tout de l'abbatiale pour vérifier que tout était en ordre avant de retourner accueillir les invités.

... il ne restait plus qu'a attendre quelques heures...

Bardieu

Le frère Bardieu était en train de prier près de la tombe de Saint Arnvald. Après avoir fini quelques prières rituelles, il commença à prendre du pain et à le couper en morceau pour le moment de la cérémonie.

Les morceaux de pain étaient maintenant disponible. Bardieu fit une bénédiction sur les morceaux de pain et mit un torchon humide dessus pour qu'ils ne sèchent pas. Une fois la tâche terminée, Bardieu regarda le soleil pour savoir combien de temps il restait avant le début de la cérémonie.
Plus que quelques heures et déjà les premières personnes était dans le cloître de l'abbaye à attendre le début de la cérémonie.

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

Bushiro

Le Père Bushiro qui faisait son grand retour dans les Royaumes motivé par la possibilité de prêche In Gratibus ce trouvait fort amusé de constater que cela correspondait, a peu de jours prêt, au même moment que la Grande cérémonie en l'honneur de Saint Arnvard. Cela était un signe peut être...

Il pénétra dans L'abbatiale dans lequel il avait passé temps de temps autrefois. Il était bon de ce retrouvé là, une chaleur envahit son cœur. L'émotion était tel que des larmes montaient a ses yeux quand tout a coup il aperçu le Frère Bardieu.

Ce dernier avait l'aire surpris de revoir Bushiro ici. Le prêtre Toulousain esquissa un sourire au Frère Bardieu, ferma les yeux et inclina la tête. C'était une façon de dire "et oui c'est bien moi, je n'allais pas raté une occasion de partagé un tel évènement avec mes frères Cistercien"

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Hummm ..... J'adore les hérétiques....... .... Doré a la broche bien sure !...

Ysabeau

Ysabeau pénétra dans l'Abbatiale magnifiquement décorée. Elle était un peu intimidée.
Le père Bardieu était là, coupant du pain, ainsi qu'un autre père qu'elle ne connaissait point.
Ysabeau ne voulut point les déranger, et s'assit sur un banc, priant avec ferveur pour que St Arnvald protège son village, Sancerre. Sancerre, village natal du saint patron du Berry.

(hrp serai pas là ce soir, mais je participerai dès demain)

Lolotlse

Mgr Laurent de Nivellus accompagnait la délégation franciscaine jusqu'à l'église où devait se tenir la cérémonie.
L'édifice comptait encore peu de personnes présentes, mais nul doute que les fidèles venus de tous les Royaumes allaient arriver en masse et remplir rapidement les bancs.

Le Franciscains se firent indiquer leurs places et s'installèrent tranquillement.
Laurent observait avec admiration la décoration et l'architecture de l'abbatiale. Il se pencha vers son secrétaire qui ne le quittait jamais.

Eh bien, ma foi, les Cisterciens ont mis les petits plats dans les grands... On ne pourra pas dire qu'ils ne savent pas recevoir...

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Mgr Laurent de Nivellus, Evêque de Nevers

Gabriel

Le vicomte de Culan pénétra dans l'abbatiale sans savoir que l'homme qui s'agitait dans le choeur avait été, jadis, un ami de son père, le regretté Valatar. Pour lui, il ne s'agissait que d'un vieux prieur barbu qui se livrait avec application à des préparations liturgiques qu'il adorait faire lui-même, dans sa paroisse de Vienne.

Il aperçut la Dame de Sury-sur-Léré, vieille amie de la famille, déjà rencontrée à de multiples occasions lors de ses séjours en Berry. Instinctivement, il alla s'asseoir près d'elle, et la salua poliment. C'est qu'il ne connaissait pas grand monde ici.

Soudain, une idée lui passa par la tête: il était en Berry, sur les terre de son suzerain, le duc qui avait juré de planter sa tête au bout d'une pique. Et si ce dernier était assez fou pour envoyer ses hommes l'assassiner comme on soupçonnait qu'il l'ait fait pour son père? Lui n'avait ni garde, ni arme. Il avait certes des moyens et un statut lui permettant tout cela, mais il préférait se placer directement sous la protection de Dieu, de Saint Arnvald, protecteur des Berrichons, de Saint Georges, protecteur des Dauphinois, et de Sainte Boulasse, protectrice des Culan.

Pour se rassurer, il prononça à voix basse, presque inaudible, une courte prière à leur attention, espérant que cela n'importunerait pas sa voisine Ysabeau.

Je m’en remets à Toi, Créateur de toute chose.
Toi qui as confié la terre à l’Humain pour qu’il te serve,
Aide-moi à être la couronne d’épine qui tiendra l’hérétique loin de nos terres,
Aide-moi à protéger la terre de Culan de l’ombre de la créature sans nom,
Ne laisse pas nos terres souffrir, comme Christos à souffert,
Fait que cette fois ce soit nos épines qui percent le cœur de Tes ennemis.

Sophie_Ancee

Il était temps. De nombreux visiteurs venus des 4 coins du Royaume - et d'au delà - attendaient dans les jardins de l'abbaye.

Sophie avait travaillé tout le jour à l'accueil et à l'intendance. Elle avait demandé quelques minutes de repos pour se concentrer, remercier le Très Haut pour l'affluence du jour et revêtir le traditionnel scapulaire blanc et noir cistercien.

Elle entra dans l'abbatiale, découvrant la quelques freres et soeurs qui avaient pris les devants.
Elle salua respectueusement le grand prieur Mgr. Bardieu sans qui cette cérémonie n'aurait pas été possible.

Elle alla ensuite au fond le long de l’allée central et demanda à un jeune novice de tirer sur les cordes des cloches qui se mirent a résonner à travers l’abbaye et à travers le domaine et encore au-delà.

Beaucoup de visiteurs s'étaient déplacés pour assister à la cérémonie spéciale d'aujourd'hui. Les frères et soeurs cisterciens les accueillaient à l'entrée de l'abbatiale.

Pendant ce temps, la soeur, pris quelques minutes pour préparer l'autel.
Une fois que tous furent à l'intérieur, les moines et moniales cisterciens, à l'exception des novices, les suivirent dans l’abbatial en procession solennelle.

Soeur Sophie accueilli alors l'assemblée d'un grand geste de bienvenue.

Elle attendit quelques secondes que les présents fassent silence puis annonça le déroulement prévu de la messe du jour :

Chers nobles et dignitaires,
chers prélats et clercs,
chers grand-maitres et recteurs,
chers frères et soeurs,

Je vous souhaite la bienvenue en ce jour de la Saint Arnvald en l'abbatiale St Bernard de l'abbaye St Arnvald de Noirlac.

Au nom de l'ensemble du chapitre cistercien, je vous remercie d'avoir répondu si nombreux à notre invitation à célébrer ensemble celui qui fut le fondateur de notre ordre, le protecteur du Berry et des Hospitaliers, le modèle des hommes et femmes de loi.

Ce jour, nous allons célébrer Saint Arnvald et nous allons également accueillir dans nostre ordre les Freres Arthur de Nivellus et Yan de Kerch ainsi que notre soeur Marymetal.

Et avant toutes choses, en accord avec la liturgie exceptionnelle de l'ordre cistercien, nous allons accueillir tous ensemble nos novices.

Thomaslatapie

Thomas arriva il s'assit au troisième banc. Il était 9h 12 il espérait qu'il n'était pas en retard. Il écouta les dire de la sœur et entendit ses frère et sœur.

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Aux grands maux, les grands remèdes

Enosch

Enosch etait tranquillement assis dans le coin reservé au chapitre cistercien. Son regard etait rivé sur la chaise vide de Frère Roger qui luttait contre la mort pendant la ceremonie.

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Ellya

Ellya arriva en grande pompe suivie de plusieurs jeunes filles: les novices Cisterciennes.

Harmonieusement placées, elles grappillèrent les quelques pouces qui les séparaient de l'autel, avant de se retourner vers les invités, les moines... Tout le monde, en somme.

S'écartant légèrement, la jeune sœur laissa ses soeurs et amies poser tour à tour les différents morceaux qui, une fois réunis, constitueraient le tableau du Saint fêté.

Bardieu

Le frère Bardieu entendit les cloches sonnaient. Il avait comprit que la cérémonie commencé. Il vit les moines se diriger vers l'abbatial en tenue de cérémonie. il avait eu le temps de remettre sa magnifique robe et prit sa crosse.

Le grand prieur se mêla à l'ensemble des moines se dirigeant vers l'abbatial et fit son entrée en tête du cortège. Les rangs d'oignons arrivèrent de partout et Bardieu récitait une petite prière en l'honneur de Saint Arnvald dans sa barbe.

SAINT ARNVALD, tant que tu as vécu parmi nous
Tu as été l’avocat des pauvres,
Le magistrat impartial, sévère mais juste,
La Providence de tous les justiciables ;
Écoute aujourd’hui notre prière.

Obtiens nous d’aimer la justice comme tu l’as aimée.
Fais que nous sachions défendre nos droits,
En cherchant avant tout la réconciliation et la paix.
Pour que « justice soit rendue dans l’amour aristotélicien»,
Sans indulgence pour la culpabilité d’un ami ou d’un puissant.

Guide nous sur la chemin parsemé d’embûches de l’intégrité,
Capable de résister à l’attrait du pouvoir et des richesses,
Respectueux de la parole donnée et de l’idéal d’honneur chevaleresque,
Protège nous de la tentation de la facilité et de la créature sans nom.

Toi, le modèle du prélat humble,
Qui parcourais nos campagnes en quête de vérité
Bouleversant les foules par le feu de ta parole
Et le rayonnement de ta vie,
Obtiens à notre pays les hommes vrais il a besoin.

Saint Arnvald le justicier, priez pour nous,
Aide nous à concilier l’idéal du juste milieu aristotélicien
Avec ton exemple de quête de Justice, de Vérité et d’Intégrité

Bardieu reconnut alors un certain nombre d'ordre et de congrégation. Le vieux moine se dit que ça allait être une très grand cérémonie, comme on fait une fois tous les deux mois.
Le Grand Prieur arriva devant l'autel et se retourna pour voir la colonne des novices passer dans l'abbatial. Pour eux aussi, ça allait être un grand jour.

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

MarcLancien

Frère Marc avait revêtu sa robe franciscaine car en ce jour c'est le franciscain qui était venu prier avec ses frères cisterciens et non point le cardinal.

Il avait aperçu la chaise vide de frère Roger et en était très inquiet.

Il m'en pria que plus profondément Saint Arnvald, ce Saint qui comptait tant pour Roger.

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alienor_de_flore

Aliénor se reposait sur un banc, dans les jardins de Noirlac, en attendant que la cérémonie commence. Elle avait passé la matinée à Bourges, à préparer la processions, puis à participer
Oh elle avait l'habitude de marcher, elle voyageait très souvent en Berry ou ailleurs, mais une procession ce n'était pas pareil: il fallait marcher doucement, afin que tout le monde, y compris les porteurs, les vieillards et le enfants, puisse suivre. Et elle, elle avait l'habitude de fouler le sol à grandes enjambées.

Bref, elle prenait un moment de repos, quand les cloches sonnèrent pour annoncer le début de la cérémonie.

Elle entra vite dans l'abbaye et, apercevant son amie Ysabeau, elle alla la rejoindre. Un tout jeune homme était à ses côtés, en train de prier déjà.

Elle poussa un "Oh !" d'étonnement, quand elle reconnu Gabriel, le fils de Maryan et feu-Valatar. Elle lui adressa un sourire amical, puis chercha du regard où se trouvait sa sœur et sa mère.
En effet, il avait envoyé un courrier à Culan, pour signifier sa venue avec elles deux.
Ne les voyant pas, et ne voulant provoquer de vagues, elle s'assit de l'autre côté d'Ysabeau et écouta la cérémonie qui commençait.

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Aliénor_De_Flore

Titca

Titca suivit Ellya et dans ses mains le morceau de tableau, marchent avec calme parmi tout ce monde, la jeune femme n'aimais pas trop la foule, une veille angoisse une fois à la bonne place elle tourna son morceau et le montra bien en évidence, ses yeux se posèrent un instant sur la chaises vide de frère Roger et la jeune femme prit la décision de regarder ailleurs, pas besoin d'être triste maintenant du moins.

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Elvis_

Elvis arriva a la cérémonie...son bapteme allait commencer et il eu l'idée d'alle a cette cérémonie qustion de se relaxer une peu

Il reconnu la chère Tictac et la salua.

Marymetal

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arthefax

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passionpomi

C’était une phase émouvante de la cérémonie que cet honneur donné aux novices de reformer l’image du Saint patron dont-ils suivaient les enseignements….

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Agwalenn

crapaudine

vincent.diftain

Le Cardinal Vincent Diftain d'Embussy s'était installé au premier rang pour assister à la célébration en l'honneur de Saint Arnvald.

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Vincent Diftain d'Embussy
Cardinal Chancelier du Saint Office Romain
Préfet à l'Enseignement Aristotélicien
Archevêque de Cambrai

kurios

Thomaslatapie

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Aux grands maux, les grands remèdes

aurelien87

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leello

Leello s'était installée près de frère Tom pour assister à la cérémonie.
Elle était assez impressionnée de voir tant de monde.
Elle restait silencieuse et appréciait l'instant.

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Aldebbarant

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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit, et en écrivant ce qui mérite d'être lu" Pline l'Ancien

Anne de Culan

finn

I arrive in silence, a prayer in my mind and heart. I bring the frame of the portrait, carrying it with gentleness and respect.

neocor

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Frère Cistercien. Archevêque de Tarentaise.

Invité

Ryms

Tout penaud Ryms s'est avancé en baissant la tête. La vie allait changer pour lui, cétait un grand jour !
Dans le silence le plus complet, il attendit que la cérémonie commence.

Fontvell

Fontvell s'installa discrètement aux côté de ses Frères et regarda avec intérêt et curiosité le rituel qui se déroulait sous ses yeux.

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Calam

Calam était impressionée de voir tant de monde. Elle baissa la tête et commença à réciter les prières

soaz

Dans les murs de l'abbaye pour son baptême, elle avait été conviée à le cérémonie.
Elle entrait dans un monde inconnu pour elle.
Elle chercha du regard des visages familiers. Ainsi elle vit Titca et se sentit apaisée.

Elle s'installa à une place libre et se mit en communion avec les gens présents.

fantik37

Une fois dans l'abbatiale, Fantik hésita un instant sur la place qu'elle pouvait occuper.
Tant de monde déjà était installé!
Elle aperçut Elvis, un "voisin" de Cahors puis son attention se porta sur la procession des novices.
Une à une, les jeunes femmes déposaient dans un cadre le morceau qu'elles tenaient à la main et petit à petit une image se formait.
Celle d'un homme...mais oui! St Arnvald que l'on fêtait aujourd'hui.
Elle décida de s'assoir dans le milieu de l'église, espérant que la place convenait à son statut.
Un autre visage se rappela à son souvenir...le père Aurélien qui avait quitté la Guyenne pour Genève.
Fantik se souvenait de la cérémonie d'adieu qui avait eu lieu à cette époque.
On disait qu'il allait revenir à Bordeaux pour la charge d'archevêque métropolitain. Il allait trouvé la Guyenne changée...

mug

Mug suivi frère Fontvell et s'installa à côté de lui.
Il joignit ses mains, ferma les yeux et fit une prière pour tous ceux qui souffraient en ce moment dans le royaume.

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Lepopeck

Lepopeck arriva sur le seuil de l'édifice. Il se recueillit quelques instants.

A pas feutrés il s'avança et alla s'installer au milieu de ses frères à quelques pas du Grand maitre de L'Ordre.

Il porta alors toute son attention vers le coeur de la Nef.

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fishcat

Après cette émouvante cérémonie Fishcat se dirigea vers la messe donnée en l'honneur de Saint Arnvald.
Quoi de plus normal pour la procure de venir prier pour son saint patron, lui qui avait su rendre la justice dans l'idéal aristotélicien, était une référence dont elle savait se rappeler dans les moments difficiles.
La jeune femme prit place aux côtés de Soaz, elle lui prit la main et commença à prier.

Seamus

Seamus s'avança discrètement

Cela faisait très longtemps qu'il n'était venu en ce lieu

Il prit place au fond et regarda les uns et les autres entrer célébrer le saint patron du lieu

Il s'installa humblement et prit part à la cérémonie en se recueillant

Terwagne

Une arrivée et entrée discrète, comme souvent...

La Dame de Thauvenay était bien présente, mais peu de personnes avaient du l''apercevoir...

Elle avait en effet pris place dans un coin d''ombre, et se recueillait d''ores et déjà. Priant pour la sécurité de ceux qu''elle aimait.

Thomas de Clérel

Le Duc de Dun-le-Roy qui avait depuis longtemps beaucoup d’affection pour l’ordre Cistercien, il y suivait même un séminaire, avait promit d’être présent pour y célébrer la Saint Arnvald, le Saint Patron des berrichons, qui avait beaucoup œuvré durant sa vie pour le Berry.

Il arriva donc avec à son bras sa douce tourangelle, légèrement en retard, ils allèrent donc discrètement, pour ne point troubler la cérémonie qui semblait avoir commencé, s’asseoir sur l’un des bancs.

Thomas regarda Bitterly quelques instants, content qu'elle soit près de lui, puis porta son regard vers les célébrants, et les écouta pieusement, espérant ne pas s'endormir durant la cérémonie, même si celle qui était près de lui s'occuperait de le réveiller, le cas échéant.

mousse4480

Mousse était entré discrètement, il s'était placé dans le fond.
Il ne connaissait personne à part Ellya et Crapaudine.
Elles paraissaient bien occupées, alors il ne fit pas de grands signes ni rien, et attendit bien sagement, sans se faire remarquer pour une fois.

wedyco

Wedy arriva au bras de son fiancé, ils avaient tout deux célébrés leur baptème en l'abbaye. Aussi, elle fut d'abord surprise de voir autant de monde. Il faut dire que les invitations avaient du être envoyées à foison.

Elle prit place au coté de Kachalot sur un des bancs du fond. Elle était fatiguée, le voyage avait était long. Elle reconnu quelques rares personnes.
Elle avait hate de voir le visage du tableau apparaitre.
Elle souriait béatement en écoutant la suite de la cérémonie.

Arthur de Nivellus

Monseigneur Arthur de Nivellus arriva à la Cérémonie, il avait reçu l'invitation de ces pairs afin d'y assister, c'était un jour important pour l'ordre Cistercien! Il ne pouvait manquer cela lui qui allait d'ici peu devenir Cistercien et ce officiellement!

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Anciennement appelé Monseigneur Zeuxp

Petitjehan

Jehan entra en priant lui aussi et se joignit à son filleul et au Grand Maitre entouré d'autres frères et sœurs.

Puis il releva la tête et regarda discrètement l'assistance reconnaissant certains visages.

Mais il était là pour se recueillir et méditer ce lieu lui offrait fort à propos l'ambiance qui lui était nécessaire à faire un bilan moral et spirituel au moment où sa vie allait prendre un virage important

Il réfléchissait à St Arnvald se demandant s'il avait lui aussi douté ou connu ce sentiment de parfois ne pas être à la hauteur de ce que l'on attendait de lui...

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georgepoilu

Le Duc de Berry était arrivé à l'abbaye et suivait calmement la cérémonie anonyme au milieu des berrichons venus en nombre assisté à cet hommage à leur saint protecteur.

il apercevait plus loin les nobles de son pays assis au premier rang mais en ce jour, il avait fait choix de se fondre dasn la foule en signe d'humilité pour Arnvald qui de sion vivant avait, quelles que soient els hautes charges qu'ils occupaient, toujours été un humble aristotélicien attachant peu d'importance au faste et titre

En voyant les novices assembler l'icone du saint, George reconnait sa filleule et sourit en la voyant choisir la voie de dieu

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Duc d'Aigurande

Bitterly

Noirlac, cela ne la changeait pas beaucoup. Elle y était en effet arrivée il y a peu afin d'y faire sa pastorale et de se faire baptiser. Même si la procédure semblait longue à se mettre en place... Accompagnant Thomas, elle regardait les environs. Pas mal de monde avait fait le déplacement. Elle s'était brièvement renseignée sur ce Saint Arnvald dont elle avait vu le nom exposé par des tas d'affiches dans le duché. Mais elle ignorait que cette cérémonie était si importante pour un nombre aussi conséquent de Berrichons.

Ne sachant pas trop ce qu'elle devait faire en ce jour qui semblait être très important pour le duché qu'elle visitait, Bitterly observa ce qui se passait autour d'elle. On priait, on écoutait. Elle dévia un instant sur son voisin qui semblait fort concentré. Au fil des mots, elle se prit à rêver éveillée. Elle se secoua brièvement et se reconcentra sur le fonds des paroles plutôt que sur leur doux ronronnement. Finalement elle pria même pour ses soeurs, sa vassale, sa future vassale, ses amis, dont Rochebelle, son Chancelier préféré, et ceux à qui elle pensait. Elle ne pensait pas que ce fut là le but de la cérémonie, mais elle ne pouvait mentir au Très-Haut en honorant une personne dont elle ne connaissait que très partiellement l'histoire.

Non loin, devant, derrière, à gauche, à droite, elle repérait des visages connus, là une amie, là un Chambellan, là un Duc... Tous réunis quelque soit leur rang, afin de prier et de louer la vie d'un seul homme... Elle pensa quece dernier devait être une sacrée personne. Morgwen... Sans savoir pourquoi ses pensées dérivèrent vers la Duchesse, emportée il y a peu.

Nephertiti*

La frêle silhouette de noir vêtue descendit lentement de cheval, laissant sa monture dans l'écurie. Nephe s'accorda quelques secondes pour défroisser sa vesture, arranger ses cheveux, elle était déjà bien assez pâle comme ça, nul besoin de se présenter en plus comme une souillon.

Elle se dirigea vers l'Abbitiale, il semblait déjà y avoir beaucoup de monde, et la cérémonie avait apparement commencé. Sans un bruit, elle entra dans le lieu saint.

Elle aperçut quelques personnes familières mais d'humeur maussade, elle n'alla pas les rejoindre.
Elle préféra s'installer dans un coin discret. Il se mit alors à penser à Saint Arnvald, lui qui avait tant oeuvré pour le Berry et écouta avec attention le début de la cérémonie

Deubs

guide par le muet, il entra dans l'abbaye, voit la foule et prends place dans un coin de la piece, sur un banc discret...

Regarde les gens entres et prendre place et se mets a songer a la vie du saint en ecoutant la ceremonie se passer

ange_78819

Ange arriva discretement et s'assit ecoutans le reste de la ceremonieen priant

Optat

Simple invité dans ce lieu sacré, Optat suivait la cérémonie avec recueillement. La ferveur transpirait dans chaque prière déclamée ou simplement plus muette de l'assistance. Un grand moment d'émotion assurément.

Kronembourg

Arrivant tout droit de son mariage où Diia n'était toujours pas apparue, le Protecteur vint s'aviser que la cérémonie en l'honneur de Saint Arnvald se déroulait sans problème.
Son humeur était des plus sombres.

Tout les arrivants semblaient correctement installés. Certains priaient déjà, d'autres venaient à peine de s'asseoir, tout semblait en place pour que la cérémonie se déroule au mieux.
Il avait beau chercher, Diia n'était pas parmi les visages que son regard rencontait.
Quelle poisse, quelle journée. Quelle semaine même.

Inquiet pour la santé du vieux Roger - Aux dernières nouvelles le Recteur n'était toujours pas sorti du coma - le protecteur resta posté près de la porte au cas où un trop grand afflux de personnes pousseraient certains visiteurs au malaise.

Sur son visage se gravait peu à peu une ride d'anxiété. Fêter Saint Arnvald sans Roger, c'était comme faire du pâté au groin sans cochon.
Il se tint à la disposition de ses Frères au cas où l'un d'eux lui adresserait un signe puis, rapidement aspiré par le recueillement ambiant, il baissa les yeux et se joignit aux prières.

louis1er

J’entrais dans l’abbaye fidèle parmi les fidèles. Ne disant mot, je prenais place non loin d’Aurélien vêtu en moine grégorien parmi ses frères Cisterciens et écoutait la première parti du sermon du grand prieur. Dans son discours, fort bien tourné, il rendait hommage à Saint Arnvald. J’écoutais attentivement m’imprégnant de cet exemple de vie, essayant de comprendre la leçon qu’il nous imposerait pour l’avenir.

Ensuite, chaque novice apportait une pièce de portrait qu’ils inséraient comme un puzzle sur une toile avant de regagner leur place. J’attendais la suite de la cérémonie avec impatience.

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Duc de Bielle

Siva d'Appérault

Elle avait suivi le Grand Maitre,comme le preconisait son rang d'Ecuyer.
Assise a ses cotés,elle gardait la tete baissée en signe d'humilité et recita le Credo.Ses yeux furtaient rapidement dans les rangs,reconnaissant quelques visages de prelats,ou encore de simples personnes croisées.
Elle s'attendait a voir beaucoup de monde,et la place que leur avait reservé les Cisterciens permettaient de les observer.Elle apercu un visage aux traits familiersqui la troublerent.Secouant legerement la tete,elle tenta de reprendre le fil de la ceremonie,suivant religieusement le deroulement de celle ci et tentant de garder l'esprit a Noirlac,ce jour,plutot qu'a Villemor.

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Lolotlse

Laurent suivait la cérémonie avec attention aux côtés de ses frères franciscains. Il observait de temps en temps l'assemblée qui était venue en masse assister à cette grande messe. Tout à coup, il aperçut son frère de sang, Arthur de Nivellus, qu'il n'avait pas vu depuis un long moment. Il espérait capter son regard pour lui faire un signe discret de salut.

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Mgr Laurent de Nivellus, Evêque de Nevers

verty

Mgr Verty, assise à coté de ses frères Franciscains suivait la célébration avec attention et paix intérieure.

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Hobb

Le Ritter Hobb, à l’appel du son des cloches se dirigea vers l’abbatiale qui avait été décorée particulièrement pour cette cérémonie d’hommage.
Sœur Sophie qui avait accueilli le chevalier Teutonique à son arrivée débuta la messe par un message de bienvenue. Hobb connaissait bien Noirlac. Il y avait été élève plusieurs semaines, comme beaucoup de ses Sœurs et Frères. Il avait été formé par le Père Bardieu et le Frère Roger, ce dernier semblait absent d’ailleurs, cela inquiétait Hobb.
Il descendit l’allée centrale après le narthex et entre les bannières et gonfanons des invités, et de l’Ordre Cistercien du plus bel effet et une belle attention.
Il s’installa et écouta la prière à Saint Arnavald qui lui parlait bien , « l’avocat des pauvres , justice soit rendue dans l’amour aristotélicien, l’idéal d’honneur chevaleresque, le feu de ta parole, Avec ton exemple de quête de Justice, de Vérité et d’Intégrité».
Puis vint un défilé de gens portant chacun une partie de ce que Hobb comprit être la représentation d’un portrait. Les Cisterciens faisaient bien les choses.
Hobb reconnut certaines personnes qu’il saluerait à la sortie, car icelieu les règles Teutoniques disaient de"Tenir Silence en dehors des prières et chants".

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Raboude

Raboude entrait l'Eglise, et regardait tout en silence. La beauté de la Foi... Il sourrit.

Ysabeau

Les invités arrivaient, en nombre, l'abbatiale se remplissait d'un monde divers et recueilli.
Ysabeau sourit à Gabriel, venu s'asseoir à côté d'elle. Il semblait soucieux, murmurant une prière.
Puis Ali vint les rejoindre.
Les novices entraient en procession, portant des fragments d'une icône qui représentait le saint Patron du Berry.
La jeune Anne de Culan, soeur de Gabriel, s'assit près d'eux. Elle connaissait peu la jeune femme, elle avait assisté à son baptême.
Le frère Bardieu parla du saint, Ysabeau écoutait religieusement.

Elle pensait au Berry, elle pensait à son village. Inquiète par ce qui se tramait, par ce qui se passait là bas, sur la colline de Sancerre.
Le soleil illuminait les vitraux, des taches multicolores se posaient sur les cheveux, les visages, le sol. Comme si le ciel souriait.

Tiens... un visage connu... se tournant, elle aperçut quelques rangées derrière elle Kronembourg, qu'elle avait rencontré en taverne à Sancerre, et qui lui avait fait déguster son fameux pâté de groin... elle lui fit un clin d'oeil discret, puis se retourna pour suivre la cérémonie.

Elle voyait dans le choeur un fauteuil vide... Celui de frère Roger, dont elle avait appris qu'il était au plus mal. Frère Roger... Intérieurement, elle pria pour lui.

mili_cia

Se rendent à l'abbatiale il y avait déjà du monde regardent un peu tout le monde il y avait des personnes que je connaissais et d'autre nom leur fis un sourire puits ce mit sur le coté sans un mot écoutent les prières.

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myolis13

Myo se tenait tout pres de l'entrée, hesitante comme toujours.
Elle finit par se decider et entra dans l'abbaye.
Au 4ème rang, les bancs etaient presque tous inoccupés. C'est la qu'elle choisit de s'assoire et commença a prier.

Alatariel

Alatariel avait suivit la délégation hospitalière et s'était assise au près de ses frères cadets. Elle chercha un instant dans la salle si elle connaissait quelqu'un, jusqu'au moment où elle aperçut l'archevêque de Bourge. Grincement de dents, Alatariel ferma les yeux un instant, et fixa son regard sur l'officiant. Elle devait trouver la paix, pas chercher la querelle...

Ellya

La jeune fille regardait tendrement ses sœurs reconstituer le tableau, fière d’un quelque chose qu’elle n’aurait su expliquer. Fierté ? Ou simple joie, pure et délicate, reposante du tout moins.

Sophie avait accompli des merveilles. Elle et tous les autres. Par Aristote, n’y aurait-il aucun faux pas pour une fois ? Aucune maladresse ? La pression monta alors en elle. Ne pas bouger. Déglutir lentement. Respirer calmement.

Le regard vague sur l’assemblée, elle ne fit pas réellement attention aux personnes présentes. Juste une certitude : sa tante était là. Quelques heures plus tôt, quand elle sortait encombrée du cadre, un des novices était venu la prévenir. Ellya n’attendait donc plus que la fin de cette procession pour aller la rejoindre. Se jeter dans ses bras. Et la remercier. Lui présenter sa filleule, également.

Elle chercha du regard le chambellan qui avait fini par promettre de venir s’il le pouvait. L’occasion était belle. Elle devait lui montrer la gentillesse et l’amour des Cisterciens. Mais pas de chambellan. Pas encore.

Le temps de divaguer, et voilà que les sœurs avaient déjà fini leur besogne. La jeune nonne regarda Elzbieta, leur sœur polonaise, mettre en place le dernier bout du puzzle.

Les remerciant chaleureusement d’un sourire plein de reconnaissance et de pensées aimantes, la remplaçante du maître des novices rapprocha le tableau des invités avant de se mettre en retrait, humblement.

Le dos contre la paroi de l’abbatiale, elle observa les traits d’Arnvald. Inconsciemment, et de nouveau, ses pensées virevoltèrent vers le frère Roger. Certaine que son impression était partagée par tous ses frères et sœurs, et le cœur gros à l’idée qu’il puisse les quitter, Ellya se rapprocha de Sophie et enfila sa petite main dans la sienne. Un regard plein de larmes vers elle suffit à faire comprendre à sa sœur combien elle était inquiète.

Mais c’était jour de fête. Jour de célébration. Elle devait aller s’asseoir, mais tant de places étaient prises ! Libérant en un souffle sa main tremblante de celle chaude et rassurant de sa sœur, la jeune fille partit à la recherche d’un siège. Le plus près possible de l’autel, au cas où…

Jouant du buste et se cambrant pour passer entre les uns et les autres, elle finit par réussir à poser ses deux fesses sur un bout de banc. Attentive.

Clodeweck

Le Cardinal de Montfort n'avait pas eu grand chemin à faire pour être présent puisque la vieille il était partie prenante d'un baptême célébré ici même en cette abbaye de Noirlac.
Malgré ses problèmes de santé il était donc assis avec les cardinaux aux premiers rangs de l'assemblé.
La congrégation de la Sainte Inquisition était évidemment, concernée par l'hommage rendu à St Arnvald.
En remontant l'allée il avait aperçu beaucoup de gens connus et moins connus de lui. Certains, dont la présence ici l'avait un peu surpris. Comment pouvait-on être hypocrite au point de soutenir une fronde contre l'église en certains duchés ou comtés et se présenter ici sous l'apparence pieuse. Mais c’est aux vrais fidèles que l’on doit s’arrêter, pour les autres ils ne seront jugés que par Dieu…Cette pensée le fit sourire, car la justice était là, on peut tromper les homme éternellement mais pas notre créateur.

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LOVE

Love arriva dans l’abbaye qui était déjà bien pleine elle s’avança sans bruit pour ne pas troubler la cérémonie qui venait de commencer pris place sur un banc à coté de sa jumelle tout en écoutant le reste de l’office

Poupounet

Poup avait été convié en tant que ... ba on s'en moquait non ... le principal était d'être là. Elle s'était installer avant le début de la cérémonie afin de en rien perdre. Elle pensait faire a ses paroissiens une messe sur Saint Arnvald ce dimanche, ce serait de circonstance.

La cérémonie débuta et elle la suivit avec attention.

xena

xena ariva enfin a la céremonie.
L'abbaye était remplie, jamais elle n'avait vu pareil foule pour une cérémonie;
xena fut ravie d'être conviée a cette céremonie.
Elle deposa les armes au dehors, entra discretement dans l'enceinte, fit le geste de crois, et se faufila à l'interieur, sans bruits et...

EMUE!! oui xena était emue d'être ici et de partager pareil cérémonie.
Elle chercher du regard ces compagnons de la garde episcopale mais trop emue, son regard se troubla.

une fois ses larmes sechées , elle ecouta la procession.

RAPHAEL83

Raphael83 arriva légèrement en retard , et en essayant d'être le plus discret possible, il rejoignit le groupe hospitalier qu'il avait facilement répéré .
Il salua d'un hochement de tête tous ses frères et soeurs Hospitaliers qui étaient déjà installés...
L'Ordre Hospitalier était bien representé ....Il y avait le Grand Maitre Aldébbarant, le Grand Consul Petitjehan . Toujours là quand il faut , pensait il en souriant au sujet Grand Consul...
Et puis les frères Lepopeck, Optat, Mug et Thomaslatapie avaient fait le voyage , tout comme nos soeurs Leello, Alatariel et Siva ...
Il s'assit donc à coté d'Alatariel qui l'avait précédée de peu et lui dit discrétement...

J'ai été retardé par une affaire de la plus haute importance à Toulouse... J'espère ma soeur que je ne suis pas trop en retard...

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Secrétaire d'Etat et Ambassadeur Royal auprès du Saint Empire Germanique Françoys

Sophie_Ancee

Sophie avait assisté à la procession des novices en silence.
Voilà qui lui remplissait le coeur de joie : les novices cisterciens qui ainsi rendaient hommage au fondateur de l'ordre.

... "A ses fondateurs, l'avenir reconnaissant" ... voilà de quoi il était question aujourd'hui.

Et au delà de la reconnaissance du passé, le présence des novices à la place d'honneur était aussi un message pour l'avenir. Une sève neuve et dynamique coulait dans les veines de l'ordre cistercien. Les projets foisonnaient, de nombreux jeunes gens rejoignaient l'ordre des 4 coins de l'Europe. Sophie, elle même étaient de ces derniers.

Lorsqu'Ellya vint à ses côtés, la légate lui offrit un regard plein de tendresse et de réassurance ... autant qu'elle le pouvait alors que son coeur à elle aussi était tourmenté par l'absence de Roger.

Le silence avait repris sa place dans l'Abbatiale. Les regards de l'assistance s'étaient portés sur le portrait de St Arnvald. Soeur Sophie profita de ce moment de répit pour reculer de quelques pas et laisser le grand prieur prendre place devant l'autel.

Elle rejoignit sa place au milieu du chapitre cistercien, partageant les regards d'inquiétude de ses frères.

Sindanarie

Sindanarie arriva enfin, et ne fut pas surprise de voir autant de monde rassemblée pour la cérémonie, tant attendue.

Elle s'installa vers le fond de l'église abbatiale et observa tout autour d'elle avant le début de la cérémonie.
Durant la cérémonie, Sindanarie regardait le portrait de St Arnvald, comme beaucoup de personnes.

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Hugoruth

Le vice-président de la Cour d'Appel, bien qu'en retard, se devait d'être là. Certes, l'affaire sur laquelle il planchait lui prenait beaucoup de temps, mais qu'importe, il fallait être présent pour honorer celui qui était le Saint-Protecteur du Berry mais surtout celui qui représentait le mieux la Justice. Rien que de penser que le Berry puisse encore être associé au concept de justice le fit frissonner. L'époque du magistral Arnvald était hélas révolue en province de Bourges.

Hugo aperçut sa filleule et son neveu, fils du regretté Valatar. Il irait les saluer sitôt la cérémonie terminée. Il prit simplement place dans les derniers rangs et baissa la tête pour montrer tout le respect dû à l'illustre personnage.

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Hugo de Cornedrue-Angillon

Vice-Président de la Cour d'Appel

Vicomte d'Angillon
Baron d'Ainay-le-Vieil

Malice

Malicène arriva en retard à la cérémonie. Il s'installa le plus silencieusement possible et assista à la cérémonie en se recueillant.

Blazingfast

Abbé Blazingfast regarda autour de lui. Le lieu etait remplis avec des gens. Il y en avait ce qu'il connait. Il essaya de voir s'il etait le seul anglais ici.

Bardieu

Le frère Bardieu regarda l'assistance depuis sa place. C'était une des plus grandes cérémonies cisterciennes de l'année avec la Saint Noël et la Sainte Boulasse. Il vit de nombreuses connaissances du Berry et d'ailleurs. Tous les mouvements aristotéliciens étaient présents pour fêter un des moments les plus importants de l'année pour tout aristotéliciens qui se doit.

Il se leva alors. Son ventre apparaissait plus gros du fait de ses habits pompeux de cérémonie. Le Grand Prieur s'approcha de l'autel et contempla la salle. Comprenant le message, les moines cisterciens se levèrent et prirent position aux endroits convenues.

Bardieu pris alors une voie grave et tendu, qui surpris l'assemblée venue pour une journée de célébration et de fait en l'honneur du grand saint.

Mes frères et mes sœurs, notables et clercs, je vous remercie d'être venue si nombreux aux commémorations de la Saint Arnvald.
Saint Arnvald fut un des plus grand de notre église et sa foi est un exemple pour nous tous. Mais en ce moment, un autre homme en appelle en nos prières. Il s'agit de notre recteur, le frère Roger, qui lutte aujourd'hui entre la vie et la mort.
Frère Roger est actuellement alité dans sa cellule, dans un profond coma malgré le passage de nombreux médicastres et autres physiologues.

Pour sa survie, je vous demande, en plus de Saint Arnvald, de prier pour lui en votre intérieur et de faire une minute de silence.

Bardieu termina ses paroles sur une larme et resta stoïque. Il ne rejoignit pas son banc. L'ensemble de l'abbaye devint alors silencieuse. Pas un bruit, rien, ni une feuille morte.
Intérieurement, le vieux moine pria et espérait un miracle. Si le frère Roger ne sortait pas du coma pour la Saint Arnvald, alors c'est que tout était perdu.
La minute s'égrena lentement, seconde après seconde. La chorale de l'ordre cistercien attendait patiemment en priant près du chœur la minute de silence pour faire profiter de sa voie l'ensemble des fidèles présent à la cérémonie.

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

Masacio

Arrivé dans l'abbatiale, le jeune chambellan reconnut quelques visage familier. Son Duc tout d'abord, mais également la chambellan de Touraine, accompagnée du Duc de Dun-Le-Roy.

Il reconnut ainsi son ami, Jehan, chancelier du Poitou et prochainement, sans nul doute possible, futur Comte du Poitou. Enfin, il vit également Ysabeau et Alienor, sans oublier Neph, la porte parole du duché. Ne voulant point la gêner dans sa prière, il prit place au milieu des fidèles ; saluant au passage Leello, l'ambassadrice qu'il avait croisé en Orléans.

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La Guifette Noire

Terwagne

Apprenant la nouvelle au sujet de Frère Roger, la Dame de Thauvenay, anciennement Diaconesse de Bourges, resta un instant bouche-bée... Avant de prier en effet pour sa guérison, comme le frère Bardieu venait de les inviter à le faire.

C'est au moment où elle baissait la tête pour ce faire qu'elle aperçut Hugo, qui était assis quelques places plus loin, mais ne semblait pas l'avoir vue. La tête dans ses dossiers, une fois encore, songea-t-elle...

Il y avait vraiment beaucoup de monde, en tous cas, et cela la rassura sur le fait que non, les gens n'oubliaient pas toujours le passé et les leçons qu'il y avait à en tirer.

alienor_de_flore

Aliénor avait fait un sourire timide à Anne, qui était venue s'asseoir près d'eux, se demandant où était Marayn. Mais ce n'était pas le moment, elle lui poserait la question plus tard.

Pour l'heure, elle écoutait Frère Bardieu, qui venait de prendre al parole, et leur annoncer que frère Roger était soufrant !
Elle fit une courte prière pour sa guérison, puis respecta la minute de silence demandée.

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Aliénor_De_Flore

Alatariel

Alatariel sourit au Grand Bailli et murmura lui murmura
Non, la cérémonie vient juste de commencer...
Puis le Grand Prieur commença la cérémonie sur une nouvelle affligeante. Alatariel baissa la tête priant pour que l'homme survive à son mal et espérant que les médecins hospitaliers pourraient se rendre à son chevet. Il lui semblait impossible que cet homme puisse trépasser un jour de fête ou tout l'Hospital était présent...
La pensée de son époux lui revint, son cœur se sera soudainement, comme si malgré tout, il restait l'homme de sa vie.

Aradiia

Les couloirs de l’abbaye glacés en hiver laissaient se faufiler une douce brise parfumée. Aradiia marchait a pas rapides dans un bruissement d’étoffe qui l’enchantait malgré sa colère qu’elle n’avait pas l’intention de retenir.
Elle soulevait les pans de chaque coté de sa robe, cette magnifique robe de mariée que lui avait offert sa fine marraine Ellya. Elle la portait à présent avec aisance, courant partout à la recherche de son promis, mais ironie du sort, le marié restait introuvable.
Elle avait constaté son absence et était décidée à le trouver coûte que coûte pour la cérémonie de leur mariage.
Elle bougonnait entre ses dents.* Mais ou peut-il être caché ? *

Elle entra en posant la main sur la lourde porte ouverte, soupirant fort afin de calmer sa colère et ne pas hurler le nom de son fiancé. Etirant le cou elle s’éleva sur la pointes des pieds et fouilla la foule des fidèles du regard.
Le protecteur de Noirlac son amoureux, ne semblait pas si trouver.
*Tout ce monde ! *

diacre horvy

le frère avais finit de manger le poisson a la tente de la garden party lorsque les cloches sonnèrent, agacé car il aurais voulu continuer le repas un peu plus longtemps il mit quelques bout de nourriture de coté et rejoignit tout le monde dans l'abbatiale.

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Anne de Culan

Frère Roger est actuellement alité dans sa cellule, dans un profond coma malgré le passage de nombreux médicastres et autres physiologues.

Abîmée dans sa prière pour sa mère, Anne avait un peu perdu la notion de ce qui l'entourait. Les paroles de l'officiant la ramenèrent à la réalité. Dans le profond silence qui s'installait, elle replongea dans son recueillement, rassemblant dans sa prière sa mère, le frère Roger, dont elle avait toujours entendu le plus grand bien, et tous ceux, malades et soignants, confrontés à la misère physique.

Sophie_Ancee

Sophie respectait la minute de silence en pensant à Frere Roger. Juste au moment où le recueillement prenait fin, Bernardo, l'assistant muet du Frere Portier lui fit passer un petit mot...

[...]

Elle pris cependant sur elle-même et sortit discrètement, faisant signe à ses Freres chapitrains qu'elle revenait et donna à Frere Enosch le mot de Bernardo.

ladycharmed

Ladycharmed suivi de ses Officiers entra dans la Chapelle et à pas feutrés les invitait à la suivre dans une travée réservée aux Ordres et une petite plaque indiquait la place des Semper Vigilans. Ladycharmed prit place et une eu prière muette pour Frère Roger qu'elle avait souvent croisé à Rome.
Un grand Homme...

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ptitmec13

Au son des cloches les Semper s'étaient rassemblés devant les portes et firent leur entrée à la suite du Grand Maistre.
En attendant le début de l'office, le commandant se recueillit silencieusement, adressant prière au Trés Haut pour la protection de se frères et soeurs ainsi que de ses amis.
La cérémonie commença et Ptit la suivit avec grand interêt.

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Ysabeau

Ysabeau se leva, avec toute l'assemblée, à l'appel du frère Bardieu demandant une minute de silence pour le frère Roger. Elle pria avec ferveur pour qu'il sorte de sa torpeur, pour qu'il revienne parmi les vivants.
Dans l'abbatiale, on aurait entendu voler une mouche.

Pendant que tout le monde se recueillait, Horvy fit son entrée dans l'abbatiale, la bouche encore luisante de graisse, un morceau de ce qu'elle devinait être un poisson au coin de la bouche. Elle eut un petit sourire. Le diacre aimait toujours autant les nourritures terrestres !

De l'autre côté de l'allée, debout, droit, un jeune homme priait. Elle eut un regard vers lui, elle le trouvait beau.

Amelyana

Comme a son habitude Mel arriva en retard. Pfff depuis qu'elle avait toute ces fonctions a Limoges, et la preparation du mariage elle n'avait plus une minute a elle, mais bon peu importe ca en valait le coup.
Elle arriva radieuse, dans deux jours ce lieu serait celui de son mariage avec son Kamui, rien au monde ne pouvait decrire le bonheur dans lequel elle se trouvait. Elle entra discretment essayant de voir une connaissance, et apercut Ysa, . Elle s'avanca auprès d'elle et se mit a ses cotés dans un grand sourire, elle etait heureuse de revoir son amie en ce lieu.
A l'evocation de Frère Roger, Mel fit une prière pour son retablissement, elle esperait que totue ses prières reunies lui feraient du bien et l'aideraient a s'en sortir

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mun von frayner

Le Premier Maréchal de la Garde Episcopal venait de lancer vers le plafond de la tente, qui lui servait de demeure depuis quelques jours, parchemin et plumes.
D’un regard rapide vers son intendante.
Cela ne sert a rien suivez moi.

Les ordres furent donnés rapidement et le détachement la GE se déploya arrivant à l’abbaye rendant les hommages.
Le son des cloches emplissait les murs de l’abbaye.
Nous sommes en retard
regardant vers le porte Gonfanon de la Garde.

D’un pas rapide Mun se dirigea vers les marches de l’église prenant position comme il l’avait fait depuis des mois protégeant les lieux Saints et son serment par la même occasion

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ysandre

"Que de monde, que de monde.." s'appensait la duchesse en parcourant la foule des yeux.
Avant que la cérémonie ne commence, elle se glissa non loin de son ami dont la belle stature n'avait pu lui échapper même parmi les innombrables convives venus par monts et par pechs qui s'amassaient silencieusement en ces lieux.
Une fois près de Jehan elle posa très légèrement sa main sur son avant-bras afin de se signaler puis lui sourit affectueusement.
Ysandre savait bon nombres de ses proches assemblés en l'abbatiale mais ne chercha point, préférant prier incontinent le saint pour lequel ils s'étaient tous rassemblés et sachant qu'à l'issue de la cérémonie, elle saurait les rejoindre tous et les saluer.
Il lui suffisait de fermer les yeux pour se ramentevoir les récits qu'on lui fit naguère de cet homme, en sa grande bénignité, célébrant les épousailles d'Aragoth ou bien partageant son pain avec quelque pauvre hère à l'estomac criant famine.

A l'évocation de Frère Roger, Ysandre retint une grimace et, sourcilleuse tout à trac, soupira après cet homme de grande valeur dont elle pensait le plus grand bien.
Que falait-il dmander au Très Haut?
Le sursis?
Qu'Il ne refuse point à son fidèle serviteur quelques années supplémentaires en cette vie terrestre ou bien la grâce de l'acceuillir à ses côtés, lui permettant ainsi de contempler de ses yeux la Vérité?

Makcimus.

Lourde démarche, mais sourire aux lèvres, le Bruder Teutonique entra en l’abbatiale en se signant. Voilà qui lui réchauffait le coeur de revenir ici ou il était entré en la grande famille Aristotelicienne. La grande carcasse s'installa derrière l'Hochmeister et les Hauts Dignitaires teutoniques présents.

Il reconnut de suite le frère Bardieu qui s'avançait vers l'autel. Il ne manquerait pas de le saluer à la fin de la cérémonie. Son sourire s'effaça immédiatement en entendant les premiers mots du Grand Prieur cistercien.... Il joignit immédiatement les mains et à genoux sur le Prie-Dieu, il se recueillit en implorant le Très-Haut de veiller sur le frère Roger.

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Marymetal

Mary entournée de ses soeurs Novices et de tout le monde observa une minute de silence. Mary avait effectivement apprit ce qu'avait le pauvre homme, mais elle ne l'avait jamais vu.. Ou surement de loin. Elle pria donc tout de même pour son bon rétablissement qu'elle espérait de tout coeur. Ainsi que pour le Saint justicier qu'Arnvald, qui était fêté en ce jour tangeant du triste au joyeux...

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METEORITE

Le son des cloches s'était fait entendre. Les Semper étaient rassemblés et le Grand Maistre Ladycharmed s'engagea dans l'allée principale de la chapelle suivie de ses officiers.
Meteorite se glissa dans la travée et prit place à côté de sa sœur Ptit.
Après avoir glissé un large regard sur cette magnifique chapelle il baissa la tête en croisant les mains, il avait une pensée pour son ami et regretté Père Aizu qui aurait certainement apprécié d'être ici...
La cérémonie venait de commencer.

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Armoria

Ayant appris en chemin que Frère Roger était souffrant, elle avait adressé une prière au Très-Haut, répondant sans le savoir à la demande faite en le lieu saint. Puis, menée par sa guide, elle parvint - enfin, et en retard, comble de l'horreur - au lieu de la cérémonie. Beaucoup de monde, dont bien des têtes connues... et plus ou moins appréciées.

Mais ses saluts se firent de discrets signes de tête en remontrant les travées jusqu'à la place qui avait été prévue pour elle. Malaisé, dans ces conditions, de ne pas se faire remarquer, et la rougeur qui avait envahi ses joues en témoignait.

Sophie_Ancee

Soeur Sophie avait accompagné la Princesse jusqu'à l'Abbatiale St Bernard.
La laissant prendre place juste devant l'autel comme il avait été prévu, elle remonta l'abbatiale par une allée latérale discrètement pour reprendre place auprès de ses Freres et Soeurs chapitrains.

Elle remarqua alors que, pendant son absence, le Père Enosch avait du s'eclipser discrètement car il avait de toute évidence changé de robe... La nouvelle était plus... voyante...

A peine s'était elle assise qu'Enosch justement se levait et rejoignait le Père Bardieu accompagné de Mgr. Neocor...

Qu'avaient ils préparé donc... ?

Henri de Rubempré

Après avoir assommé le cadet Mathis (C’est une image !) qui tentait de le retenir par tous les moyens, le blessé revêtit (tout seul) son uniforme et ses bottes fraichement cirées. Le grand gaillard clopina ainsi en direction de l’abbaye de Noirlac en s’appuyant sur son hallebarde. Malheureusement pour lui, on la lui retira à l’entrée de l’édifice mais le frère portier eut l’amabilité de lui confier une canne pour s’aider. Non sans peine, il gagna ainsi la cérémonie qui était déjà entamé. Ses camarades étaient déjà là. Toutes les places assises étaient déjà prises par des encore plus croulants que lui.
Il resta ainsi debout, droit comme un I, trop fier pour courber l’échine.

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Kronembourg

Que de monde que de monde... ça allait forcément créer des problèmes. Cependant il fallait le reconnaître : Soeur Sophie orchestrait merveilleusement bien l'évènement.

Relevant les yeux tout en gardant les mains jointes, Kro écouta les paroles ~~de Baba~~ du Grand-Prieur et observa à son tour une minute de silence. Non qu'il éprouvait l'envie de parler, bien au contraire car la simple idée d'être appelé pour participer à la Chorale de la Noirlac Académie lui flanquait des nausées.
Mais parce qu'en cet instant le grand bourru avait envie de zigouiller la terre entière. Enfin surtout Ellya qu'il venait d'apercevoir parmi les novices.

Kro recouvra son calme lorsque le bon Bardieu évoqua le coma du vieux Roger. Sans l'émacié pour guider le petit monde de cette abbaye, lui si prolixe, lui qui veillait sur chacun avec la douceur et la patience d'un père, beaucoup de membres de l'Ordre risquaient de voir leur foi bien ébranlée. Le ~~p'tit c~~ jeune Enosch ne s'en remettrait sûrement jamais, la communauté tout entière devrait subir ses pleurnicheries jusqu'à ce que le galopin surdoué devienne Pape, et encore...

Tiens ? Quelques visages connus. Pas grand monde venant de Guyenne bien entendu. Il est vrai que le Régent lui-même était en train de se marier, il avait d'autres Saints à fouetter. Les Teuteus et les Episcos étaient de sortie. En observant la foule le protecteur reconnut quelques visages Champenois et l'un plus agréable à regarder que les autres attira son attention. Il n'osa pas sourire.
Mais pas de Diia dans l'Abbatiale noire de monde.
Toujours pas de Diia.

Enosch

L’heure était venue. Enosch avait attendu ça depuis des mois. Lorsque les deux « vieux » l’avait envoyé commander les costumes, il n’avait pas pu résister et avait demandé une bure plus brillante pour lui. C’est que c’était pas tous les jours qu’on avait l’occasion de chanter devant tout ce beau monde. Une belle occasion de se mettre en avant. Enosch s’approcha du pupitre.

- Mes bien chères sœurs, mes biens chers frères. Merci à vous pour avoir partagé les prières que nous adressons pour notre frère Roger, qui est le grand absent de cette cérémonie et nul doute que de là où il est certainement il nous regarde.
Merci à tous aussi d’être venus, et parfois de très loin, pour célébrer avec nous cette fête de la JUSTICE, de LA VERITE et de L’INTEGRITE.
A présent la "vieille" chorale cistercienne va vous interpréter un de ses tubes. Je tiens à vous signaler que vous pourrez retrouver l’intégralité des chants cisterciens dans un recueil en vente dans une des tentes lors de la Garden party. La recette ira directement dans les po…heu..pour les bonnes œuvres.
Merci à vous encore et de votre générosité.

Le Père Enosch fit signe à Monseigneurs Bardieu et Neocor de s’avancer près de lui.

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uriel

Uriel avait abandonné sa tenue habituelle pour revêtir celle de la Garde Episcopale.

L'uniforme impeccable et les bottes correctement cirées, il ne manquait à son accoutrement que ses armes ) mais pour l'occasion elles resteraient dans sa cellule.
Ayant prévenu le Maréchal qu'il ne serait pas près de ses soeurs et frères, car il chanterait avec la chorale.

Comme les gens entraient, il les saluait et plus particulièrement ceux qu'ils connaissait davantage comme certains de ses élèves, des frères de la garde ou encore des bruders des chevaliers teutoniques.

Pour l'instant, il se tenait près d'Ellya et de Oisele, attendant leur tour pour entamer leur petit couplet ...

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Sophie_Ancee

Beau - Beau et émouvant - Voilà ce que Soeur Sophie aurait dit du chant des dignitaires.

Elle restait là à écouter les belles voix de ceux qui étaient des piliers de l'abbaye.

La grâce divine, le partage de l'Amitié Aristotélicienne dans la vie en communauté...

... si seulement Frere Roger avait pu entendre ça...

adalberic

Adal entra dans l'abbatiale et se rendit compte que la cérémonie venait de commencer. Le plus discrètement possible, il se déplaça pour réjoindre la place réservée aux ordres.
Il y retrouva immédiatement le Grand Maistre ainsi que ses autres Frères.

Après un moment de recueillement, il écouta attentivement Père Enosch diriger la cérémonie.

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kondo

Kondo enters humbly and takes in the wonder of the service. Grateful for both Jah's grace and the outworking of that grace in the lives of these brothers and sisters.

temudjin

tem comme a son habitude arriva dans les derniers mais il vit le monde qui etait deja là
sa tenue bien astiquée et ses cuirs huilés il penetra dans l'abbatial et alla se ranger pres de ses camarades

il salua rapidement mun et uriel et se mit en priere derriere le dernier puis commença a regarder certains de ses amis présents et les salua du regard discretement

Tadeus de Rohan

Tadeus attendait le Premier Maréchal à l'exterieur de sa tente, il portait toujours le Gonfanon de la Garde Episcopale, c'était un grand honneur pour lui. Après plusieurs minutes le Premier Maréchal sortit et fit un signe de tête à Tadeus pour avancer vers la chapelle.

*Ces le moment de faire honneur au Premier Maréchal.*

Tadeus suivait le Premier Maréchal, quand les émissaires de la Garde Episcopale pénetrent dans la Chapelle, Tadeus était toujours émerveiller par les Chapelles du Royaume.

*Sa va être une belle cérémonie.*

Tadeus resta derriere le Premier Maréchal en attente d'ordre ou d'indication pour se placer.

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Marymetal

Mary aimait énormément les chants religieux, surtout masculin. Le trio était vraiment magnifique! Dans un murmure inaudible, elle disait Bravo. La cérémonie avançait vraiment dans une ambiance... Inimaginable presque! Mary réfléchit un instant à sa vie dans l'Abbaye, et.. il est vrai qu'elle n'aurait pas donné une image aussi positive qu'à l'instant d'une Abbaye.

Le joli chant monodique des frères fut bientôt terminé, et Mary, sortant de ses pensées, applaudit. La mélodie était si jolie, il fallait mériter ce travail par un quelconque geste !

*CLAP* *CLAP* *CLAP* *clap...* *clap...* *clap...*

Mais.... personne d'autre qu'elle n'avait agité ses mains...
Mary devint vite rouge de honte... Encore une fois elle se faisait remarquer... Rha que nounouille.....
Elle essaya de se cacher entre ses épaules.. courbant la tête..

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Doctorgradus

Monseigneur Doctorgradus sourit en voyant tous ces fidèles qui affluaient. Même si personne ne l'avait remarqué, il était arrivé à l'heure, au début de la cérémonie...pour une fois

Mais soudain, une quinte d'éternuements se fait entendre. C'est le vieil évêque de Poitiers! Décidément, il ne fait pas bon avoir le rhume des foins... Il adressa alors un petit sourire gêné à tous ceus qu'il connaissait, comme pour s'excuser de perturber le magnifique chant qu'entonnait le choeur.

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Evêque de Poitiers et dignitaire honoraire du Chapitre Général

Hobb

La cérémonie faisait honneur à Saint Arnavald. Les intervenants, le Père Bardieu le Grand Prieur, Frère Enosch, étaient de grande qualité. Et que dire du Chant interprété ?
Un bijou dont l'écrin était le lieu Saint et dans la tradition Cistercienne.
Tout cela marqué par une grande émotion due en grande partie par la maladie de Frère Roger.
Le diacre de Grandson suivait cela avec ferveur.
Pourtant il fut tiré de celle-ci par des éternuements. Une épidémie ?

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Licio_da_correggio

Licio_da_correggio giunse stanco, sudato ed affaticato dall'Italia era molyto che nohn vedeva i Fratelli francesi dopo aver bussato alla porta ed essere entrato sentì strani rumuri come se l'abbazia fosse in festa corse immediatamente verso le stanze donde venivano codesti rumeri e più si avvicinava più il vociare aumentava entrato nella stanaz restò sorpreso vi era una vera e propria festa per San Arnavald

Cari Fratelli è molto che manco e l'Onnipotente mi manda a voi in questo giorno di festo che possa esso essere benedetto e che nnoi tutti nella smania della festa non dimentichiamo i sacri precetti del Santo...ma ora ditemi come va da queste parti? Posso apsteggiare con voi e riposarmi un poco?

Tanys

Tanys ont assisté à la cérémonie très heureux de voir ses frères et peut à nouveau passer du temps dans Noirlac. Si la santé fragile de la dernière fois qu'il avait été contraint de réduire le nombre de voyages au cours des dernières années, mais ce fut sans doute l'occasion exceptionnelle et si bien mérité effort.

La minute de silence demandée par son professeur bien-aimé, frère Bardieu pas plus vite. Avec beaucoup d'enthousiasme et de renouvellement Foi Tanys suivi de près à la cérémonie

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Ysabeau

Un chant s'éleva sous la voûte, un chant majestueux, calme, serein, des voix d'hommes à l'unisson.
Ysabeau écoutait, la musique lui apportait la paix de l'âme.

Mel était venue s'asseoir non loin d'elle. Elle lui sourit. Son amie devait être heureuse, bientôt ses épousailles...

Le jeune homme qu'elle avait remarqué tout à l'heure traversa l'allée pour venir s'asseoir à côté d'elle. Elle eut un regard pour lui, un peu embarrassée. Elle voulut se pencher vers son amie Mel, et ce faisant, heurta le bras du jeune homme. Elle rougit.

oh, pardon..., murmura-t-elle, confuse.

Alda Arégonde

Arégonde toute intimidée, se présenta auprès des frères qui s'occupaient de recevoir les nombreuses personnalités venues pour la cérémonie. Du regard elle chercha à apercevoir Enosch mais sans plus de résultat. Puis elle prit place parmi l'assemblée et écouta avec attention le discours de Sophie.
Lorsque les novices firent leur entrée et formèrent tour à tour le tableau représentant Saint Anrvald, Arégonde compris l'importance de cette cérémonie et les larmes lui montèrent aux yeux. Elle profita de la minute de silence demandée afin d'ajouter ses ferventes prières à celles de l'assemblée pour le rétablissement de Frère Roger.
Le temps de prière terminé elle vit alors le Père Enosch se présenter et avec deux autres frères commencer un chant mélodieux, elle ne s'attendait pas à cela un timide sourire illumina son visage.

Koicheen

Arrived in abbaye de NoirLac just yesterday Koicheen felt he had a lot on his plate. His cell was at the end of the hall, and after a night of sleep he was awaken by disturbing sounds. He slept tight that night after long time he felt the bed.. No wonder. Reaching out of the cell he saw all the monks talking to each other and wearing clean clothes. He was troubled as to what is going on.. But the answer came soon after that. He spoke to Sister Sophie and found out that the most important ceremony is right on this day. How lucky he was, he thought at first. Then he had to do his first duty at the Abbaye for which he came and has left to sign up for the classes.. That went rather smooth.

Couple of brothers instructed him where to attend ceremony as he was still new to the environment and couldn't really orient himself. Even his new clothes gave him a totally new look of himself. Everything felt weird. He was a novice, and guessed its how everyone feels. Although, the kindness and help of all brothers and sisters brought him confidence. Entering the ceremony he stood in awe. He's masses back home were attended by no more than several people, but this ceremony, all the flags of various origin. Some he knew, some he didn't. He took a seat at the back, trying not to interrupt anyone, slightly bowing to the men and women in his row. Soon enough the bells rang.. and the ceremony was to start. Koicheen felt understood.

Le grand prieur Mgr. Bardieu, as they called him started the ceremony. Although not much in words could be understood, Koicheen's heart could understand everything. At one point.. he just let his head slip down, as he sat there in awe, realizing everything he thought in the past.

Sooner than later Le grand prieur Mgr. Bardieu added another comment and asked for a minute of silence and prayer for Frère Roger. Wow.. Koicheen was seriously troubled with this news. He met Frère Roger in Rome, and now he is coma? He needed explanation.. what is going on? What happened? So many informations..

Everyone seemed disturbed by this information. Koicheen as well, not that he knew him that well, but on this most important day for all Cistercians. such news shaken his thoughts..

He must pray in his cell. He must.. he thought.

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Собзиром да је тек досао у Abbaye de NoirLac, Коицхеен је био веома уморан. И брзо је уснуо у својој собице, наравно вец у саму зору цуо је разно разне гласове, који су га пробудили по обичају. Иако је одлицно спавао било му је теско да закљуци о цему се ту заправо ради. И ста се десава, видио је брацу и сестре како се досаптавају, носе најцистију одећу. Но ипак .. брзо је сазнао. Сестра Сопхие му објасни да је данас вазан дан за све у Abbey и да је данас велика церемонија. Несто сто не сме пропустити. Но пре тога се морао пријавити због онога због цега је досао у Berry, а то је уцење.

Једва да је уз помоц браце пронашао где се церемонија десава био је позитивно згранут свим дешавањима. Унутра је био огрман број људи. Одакле долази на својим литургија би било тек по неколико људи а овде стотине, разно одевени. Док су заставе многих дрзава висила, ал 'много их је било и непознато. Било је цудно закљуцити одакле су сви ти људи .. Но коицхеен није хтео да их ремети.Те седе у последњи ред.

Убрзо је како га они зову Le grand prieur Mgr. Bardieu, запоцео церемонију. Собзиром да је све на француском Коицхеен није много разуме у ријецима које је овај изговарао, но у срцу било је као на матерњем. У једном моменту је само погнула главу Схватајући све о цему је раније размисљао.

Није просло много времена а, помену веома тузну вест да је Frère Roger у коми. У коми? Како он мозе бити у коми? Па скоро сам га видео у Риму? То је немогуће мислио је Коицхеен? Ста се то десава .. ха? Затражио је минут цутње и да се молимо за њега.

Коицхеен није могао доци к себи. Било је тузно. Но ипак морао се сконцентрисати на најважнији дан иједног верника у Аристотела ..

Но чврсто одлуци да се мора молити за Frère Roger у својој собице, једноставно морa.

Griko

Desde las tierras lejanas de España llega Griko a la Abadía, piensa para sí que ha llegado un poco tarde pero se consuela a pensar que San Arnvald sabrá perdonarle.

Entra en una abadía muy similar a la que él pertenece y por eso sabe el camino, entra en silencio y reza.
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Depuis les terres lointaines de l'Espagne Griko arrive à l'Abbaye, il pense pour oui qu'il est arrivé un peu tard mais il est consolé à penser que San Arnvald saura le pardonner.
Il entre dans une abbaye très similaire à laquelle il appartient et c'est pourquoi lui sait le chemin, il entre en silence et prie.

San Arnvald, mientras viviste con nosotros,
fuiste el abogado de los pobres,
el magistrado imparcial, severo pero justo,
la Providencia de todas las personas justiciables.
Escucha hoy nuestra oración.

Haznos amar la justicia como tú la amaste.
Haz que sepamos defender nuestros derechos,
buscando sobre todo la reconciliación y la paz.
Para que "la justicia se vuelva en amistad aristotélica",
sin indulgencia para la culpabilidad de un amigo o de un poderoso.

Guíanos por el camino sembrado de trampas de la integridad,
capaz de resistir la atracción del poder y las riquezas,
respetuoso de la palabra dada y del ideal de honor caballeresco,
protégenos de la tentación de caer en lo fácil y de la Criatura sin Nombre.

Tú, el modelo del prelado humilde,
que recorría nuestros campos en busca de la verdad,
que trastornabas a las muchedumbres con el fuego de tu palabra
y el resplandor de tu vida,
haz que nuestro país tenga los hombres rectos que necesita.

San Arnvald el justiciero, orad por nosotros.
Ayúdanos a conciliar el ideal del justo medio aristotélico
con tu ejemplo de búsqueda de Justicia, Verdad e Integridad.

Charles de valorl

Le jeune Charles de Valorl était à Noirlac pour la première fois, il était très intimidé par la sollennité du lieu, à ses côtés, son vieux serviteur revenait non plus en invité, mais en accompagnateur.

urbs

Urbs arriva quelques temps après son fils, Charles de Valorl en l'abbaye de Noirlac. Il lui avait appris ce que représentait cette abbaye non seulement pour l'Eglise mais pour le royaume.

Venant à sa hauteur, il lui manda de bien respecter les lieux et les saints protecteurs de Noirlac. Urbs souhaitait aussi rencontrer les plus importants cisterciens afin de discuter sur les rapports personnels qu'ils pouvaient se créer.

Ijarkor

Ijarkor arriva très en retard... une fois de plus, mais était heureux de retrouver l'abbaye où il avait fait son séminaire.

L'abbatiale était noire de monde. Grrr... Même plus la peine de chercher une place assise, se dit le curé. A moment où il entra, s'éleva du chœur les voies des Pères Enosh, Neocor, et Bardieu. Le père Néocor l'avait baptisé, et le frère Bardieu avait été son professeur, mais il ne connaissait pas leur talents de chanteur !

Le chant pétrifia l'assemblée, aussi le curé de Guéret en profita pour se frayer un chemin au cœur de la foule, essayant de n'écraser aucun pied, ce qui n'était pas une mince affaire. Il trouve finalement une colonne sur laquelle s'adosser, et attendit la suite de la cérémonie.

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Vicaire du Rouergue

icie

La cérémonie était commencée. Il lui semblait reconnaitre l'habit des novices. Silencieusement, elle se glissa sur le côté droit, s'efforcant d'avancer un peu, sans occasionner de gene.

Il n'etait pas facile d'apercevoir ce qui se passait vers l'autel. Il y avait tant de monde! Mais la vision n'etait guere utile aux prieres et elle se joignit à celles des autres.

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Horsem@n

Horse entra dans la chapelle avec son Grand Maître Ladycharmed et ses frères et soeurs, il s'installa à leurs côtés. Sa respiration était calme et son regard apercevait chaque détail qui ornait les murs, ceux qui font qu'on ressent mieux les choses autour de soi. Il se recueilla brièvement avant le début de la cérémonie.

Lorsque les Hommes de Dieu commencèrent, Horse redressa son regard, attentif à ce qui était en train de se passer dans l'édifice religieux.

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http://sempervigilans.meilleurforum.com/forum.htm

Elvis_

Elvis n'avait jamais vu autant de barbus réunis au meme endroit..

..il souriant chaque fois qu'il reconnaissait un visage connu..il alla rejoindre Fishcat , Soaz et Tictac...

L'atmosphere etait d'un tel sérieux qu'il se sentait un peu mal a l'aise...il pris la main de sa douce et lui souria.

passionpomi

Jamais il ne lui avait été donné d’assister à plus belle cérémonie. Une pointe d’angoisse lui prit la gorge lorsqu’elle remarqua le nombre de personnes venues, à leurs tenues des quatre coins des Royaumes...
Hum… Et si Sœur Ellya réservait aux novices une autre mission à remplir ? Il ne serait pas temps de se laisser flouer par le trac au risque de faire ou dire une bétise…

Elle prit le temps de s’attarder à contempler l’édifice décoré simplement mais suffisamment pour faire honneur à leur Saint Patron. C’est à ce moment qu’elle aperçut Monseigneur Aurélien dans sa tenue Grégorienne qu’elle n’avait point de mal à reconnaitre et auquel elle espérait avoir le temps de glisser quelques mots après la cérémonie.

Puis vînt le tour de la chorale Cistercienne et du message qu‘elle souhaitait faire passer… La jeune novice (ou presque novice) en avait les larmes aux yeux, pas seulement d’émotion mais aussi de tristesse avec au fond du cœur le souhait que ce chant puisse avoir été entendu par Frère Roger et qu’il fasse son œuvre…

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http://www.youtube.com/watch?v=LQKvMojzoH0&feature=related

Bardieu

Le frère Bardieu, après avoir chanté, se reposa quelques secondes en regardant le triomphe qu'avait provoqué le chant au milieu des participants à la cérémonie. Le vieux Néocor était toujours debout apparemment, sa cage thoracique ne s'était pas effondrée lorsqu'il s'était redressé pour chanter à pleins poumons. Le Grand Prieur remercia d'une embrassade fraternelle ses deux frères de chorale. Il remercia également toutes les sœurs qui formaient les secondes voix derrière eux. Il se retourna vers l'autel et prit la parole devant l'ensemble des fidèles.

Mes biens aimés frères et soeurs, je vous invite maintenant à vous repentir de vos péchés et à prononcer avec moi, la prière d'absolution.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Un petit instant de silence suivit la prière d'absolution. Bardieu en profita pour faire un geste à la chorale de novices. La sœur Sophie Ancée interpréta rapidement et efficacement le signe et mit toute la chorale en ordre de bataille.
Bardieu aimait ce chant, le Kyrie Eleison, car c'était une interprétation directe des écrits et pensées de la petite fille d'Aristote, Posidonia.
En effet, grâce à ses écrits, nous savons aujourd'hui qu'Aristote savait la venue de Christos et qu'elle connaissait son nom, bien qu'elle ne l'ai jamais connu de son vivant.

Le vieux moine pensa très fortement à cette femme, qui vit son grand père mourir après avoir bu le terrible poison, et lança d'un geste le chant du Kyrie Eleison en mémoire de Posidonia.

Le chœur entama avec passion le Kyrie Eleison.

Une fois le chant terminé, Bardieu se tourna vers l'assemblée et, d'une voie calme et sincère, invita les aristotéliciens à prier.
Mes frères et soeurs, je vous invite maintenant à réciter le crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Petitjehan

Jehan priait presque détaché des fidèles présents...il priait pour ceux qui avaient été rejoindre d'autres âmes...et, tout particulièrement, pour son fils Gabriel et son oncle Cubitus...

Il priait pour ce Frère Roger, dont il ne connaissait rien mais, qui semblait être une des figures de cet Ordre...

Il pria en songeant au saint qu'ils honoraient tous ici et il sentit une main se poser sur son bras...

Son visage s'illumina d'un léger sourire mais il ne se détourna pas adressant une supplique au Saint pour la protection de tous ceux qui avaient accepté la charge de Juge. Charge des plus lourdes et pour laquelle il fallait avoir de l'humanité à revendre et une connaissance de ses contemporains des plus fines et poussées.

Certes il était plus versé dans les textes diplomatiques que dans les prières mais il avait la faculté d'ouvrir son cœur tout simplement et de s'adresser où qu'il soit au Très Haut. Après tout, les choses vivantes ou non qui l'entouraient n'étaient elles pas ses créations donc recelant toutes un peu de sa divinité.

Puis il ouïe le chant entonné par les dignitaires y voyant encore l'œuvre du Très Haut pour que ces hommes expriment ainsi la piété. Un claquement de main lui fit hausser un sourcil mais il comprenait que leur auteur sans doute emporté par la ferveur n'avait surement pas réfléchit avant que d'applaudir...

Ce qui comptait le plus c'est qu'il se trouvait à prier, presque en anonyme au milieu de ces gens parmi lesquels se trouvaient des personnes qui lui étaient chères à plusieurs titres allant de la simple connaissance à ses sœurs et frères qu'il allait sans doute voir un peu moins dans les semaines à venir...

Il serait temps, après l'office, par la suite de passer aux relations permettant ainsi à son Ordre de s'ouvrir et de nouer des liens solides que cela soit avec les autres Ordres ou avec des États. La tâche qu'il avait acceptée était lourde et d'importance pour l'Ordre mais il n'en avait pas peur et pour peu que St Arnvald l'assiste il avait bon espoir d'y parvenir.

Un nouveau chant s'élevait en prière....

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Sophie_Ancee

Sophie avait prit quelques instants après le chant des dignitaires pour observer l'assemblée. Elle fut particulièrement heureuse d'y voir ses Frères Espagnols, Italiens et Serbes.

Leur présence témoignait de l'universalité du message de St Arnvald et de l'Eglise Aristotélicienne toute entière. Cette démarche lui importait d'autant plus qu'elle avait récemment accepté de s'occuper de l'Office des Eglises Renaissantes.

Le père Bardieu, Grand Prieur que tous enviaient à l'Ordre Cistercien, continua la cérémonie en invitant les fidèles à faire acte de contrition.
Sophie répéta donc à la suite du Grand Prieur les paroles rituelles. Oui, elle avait pêché - en pensée notamment...

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Lorsque le grand prieur lui fit signe de rejoindre la chorale, elle s'exécuta rapidement. Le père Bardieu leur avait fait travailler un chant en grec ancien; la langue du prophète Aristote. Cela avait été l'occasion de forces recherches liturgiques et débats théologiques en l'abbaye...

Le chant fini, Soeur Sophie regagna sa place auprès des autres chapitrains avant de réciter le Credo à l'invitation de Mgr. Bardieu toujours :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Aldebbarant

Aldebbarant assistait à la cérémonie avec retenu dans les gestes et les actes. Il avait prié pour la rémission de Frère Roger, l'un des piliers de l'Eglise Aristotélicienne en son sens, bien plus que nombres de gros prélats qui sombraient dans la décadence et l'opulence, loin des préoccupations du peuple. Après la célébration, il irait proposer ces services de médicastres. Peut être cela ne changera rien, c'est même quasiment certains, mais il se devait de le faire.

Il respecta la minute de silence, concentrant ces pensées sur la guérison du frère souffrant puis fut tirer de sa focalisation par l'annonce d'un chant de la chorale de Noirlac. Le Grand Maitre de l'Ordre Hospitalier n'aurait pas voulu manquer ça pour rien au monde. Il écouta religieusement les voix des frères de l'Ordre Cistercien, voyant en cette chanson, en son message et en les voix, pureté divine. Il sentait un frisson parcourir son échine tout le long de la performance. Et même après l'arrêt, sa peau continuait d'avoir la chair de poule.

Puis vint le moment de la confession qu'il récita en même temps que les autres membres de l'assemblée:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Puis vint un deuxième chant dédié à Posidonia. Il l'écouta avec attention ressentant à le rythme un message que sa méconnaissance du grec l'empêchait de saisir. Là encore, il sentit ses poils se dresser pour son plus grand plaisir.

Enfin, il récita le credo, profession de foi de tout bon Aristotélicien, chose qu'il espérait être en menant l'Ordre Hospitalier avec pour seul intérêt le bien être du peuple.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit, et en écrivant ce qui mérite d'être lu" Pline l'Ancien

Mamylou

Il y avait bien longtemps que Malou n'avait point pénétrée dans ce lieu de prière. Elle prit bien soin d'enlever la poussière sur sa tunique avant d'entrer.
Elle était encore sur le parvis quand lui parvinrent les prières déjà bien avancées de la messe aussi entra-t-elle discrètement et prit place dans un des bancs à l'arrière pour ne point déranger l'assemblée des fidèles.

Elle s'agenouilla, se signa et commença à prier elle aussi en n'omettant point la confession et le crédo que tous récitaient déjà à la demande de son ancien professeur.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Elle était bien contente de le revoir après tout ce temps et espérait bien avoir la chance de lui parler après la cérémonie pour s'enquérir de sa santé. Elle avait bien aimé être son élève car elle avait beaucoup apris avec lui...

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Il te faut vivre ta foi, elle te conduira toujours plus près de ceux qui en ont réellement besoin. La vie est une roue qui tourne sans fin. Méfiez-vous des apparences car elles sont souvent trompeuse l'eau qui dort cache souvent un aspect bien différent...

Siva d'Appérault

Elle avait ecouté pieusement le chant de la chorale,appreciant le son des voix qui s'elevaient aidés des hauts murs de la batisse.Le chant etait magnifique,quoique dans une langue qu'elle pratiquait peu par tradition.
Une priere silencieuse pour ceux qui en avait besoin,Frere Roger,ainsi qu'Arman.
Son regard avait furté dans la masse,et croisa celui du guyennois qui etait venu jusqu'en Champagne.Le souvenir du duel au baton lui revint,ainsi que celui des bleus qu'illui avait causé.Il semblait preoccupé,mais pris le temps de lui adresser un sourire discret,auquel elle répondit,avant de reporter son attention sur l'office.

En choeur,elle repris le Credo,dans un murmure,les mains jointes et les yeux baissés.La Baronne s'effaca pour ne laiser la place qu'au Diacre Hospitalier,priant avec ferveur.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

_________________

mili_cia

écoutent la messe ce mit a récité le credo comme tout le monde

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

_________________

Invité

Elzbieta qui suivait la ceremonie,a genoux,pria d'une voix sereine:
Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen
Et ensuite le credo:

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

temudjin

tem s'agenouilla et entonna la priere

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN
en esperant qu'un peu de tolerance soit de mise dans notre beau royaume

Lolodrogba24

Lolodrogba24 était entré em même temps que sa soeur le Grend Maître des Semper Vigilans et de ses autres frères.
Il avait pu apercevoir des visages connus et d'autres juste apercus.
Il pria pour le rétablissement du frère Roger et écouta la cérémonie.

Il récita le credo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Lolotlse

Laurent à l'invitation du Grand Prieur observa la minute de silence et pria avec ferveur pour la guérison prompte de Frère Roger.
Quand le silence fut rompu et que la cérémonie reprit son cours, le jeune moine essuya une petite larme d'amotion qui coulait sur sa joue.

Vint ensuite la chorale qui entonna un champ d'une pure beauté ; Laurent ne put réprimer un léger balancement de tête au rythme du chant. Les voix des chanteurs s'élevaient comme des anges vers le Très Haut...

A l'invitation des officiant, le jeune moine récita enfin la prière du pardon et le Credo, ce dernier avec beaucoup de ferveur car il revêtait une très grande importance dans sa vie, étant le symbole de sa croyance aveugle et de son amour inébranlable en Dieu le Père.

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Mgr Laurent de Nivellus, Evêque de Nevers

adalberic

Adal écoutait attentivement tout en regardant autour de lui l'intérieur de l'abbatiale. la sobriété était de mise, mais elle dégageait un sentiment de beauté et de puissance

Il s'arrêta de contempler pour reprendre le Crédo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant
Créateur du Ciel et de la Terre
Des Enfers et du Paradis
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète
le fils de Nicomaque et de Phaetis
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos
Né de Maria et de Giosep
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce
Il est mort dans le martyre pour nous sauver
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible
En la communion des Saints
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle

AMEN

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[

fishcat

Les chants qui résonnaient dans l'abbaye avaient un écho particulier pour Fishcat et c'est un sentiment de plénitude qui l'envahit.
Des hommes et des femmes étaient venu des quatre coins du Royaume et même par de là ses frontières, un lueur d'espoir en somme, qui prouvait que les conflits pouvaient cesser et laisser place à des rassemblements de fidèles tous uni avec la même ferveur.
La jeune femme serrait fort la main de son bien aimé, comme pour lui montrer le chemin de la foi, lui nouveau venu dans la famille aristotélicienne, puis elle lui adressa un sourire bienveillant qui l'invitait à la suivre dans les prières.

Le dos courbé, les genoux au sol elle reprit la prière d'absolution.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Elle récita ensuite le Credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Mcchipie Von Frayner

Mcchipie avait été retardée par pas mal de petits détails mais avait réussi à atteindre la salle de cérémonie. Elle avait remarqué son oncle au loin et se promettait d'aller près de lui. Pour l'instant, place à la prière.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN

Elle aimait réciter le credo en savourant chaque phrase. Ces phrases qu'elle apprenait à ses enfants, ces phrases qu'elle avait quasi gravé sur son cœur.

Elle était toujours heureuse dans la prière. toujours pleine d'espoir.

Ysabeau

oh, pardon... avait-elle murmuré au jeune homme qu'elle avait bousculé bien involontairement. Comme quoi il ne faut pas se laisser distraire.
Ysabeau, un peu rougissante, récita avec l'assemblée le confiteor, demandant pardon pour sa distraction.

Citation:

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

puis ce fut le Credo, qu'elle aimait à réciter car il était l'expression de sa foy

Citation:

Les voix se mêlaient, dans un choeur recueilli. Ysabeau pensait au frère Roger, à ses amis sancerrois, à sa vie...

METEORITE

Meteorite écoutait avec attention les paroles du Père Bardieu et de répéter après lui la prière d'absolution :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Un chant s'en suivit.

Le Père Bardieu invita les fidèles à réciter le Crédo.

Meteorite s'agenouilla, baissa la tête et le récita en méditant sur chaque mot..

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Zoyah

Arrivée très en retard alors qu’elle avait dit à Masacio qu’elle n’avait pas l’intention de mettre les pieds à cette cérémonie. Trop de monde…Des gens qu’elle n’avait pas forcément envie de voir…trop de travail…les prétextes n’avaient pas manqué. Et puis elle s’était ravisée, le visage déçu de Masacio s’étant allé seul la hantant le reste de la journée. Elle s’était alors glissée discrètement dans l’édifice profitant que l’attention de tous était absorbée par la cérémonie. Assise dans un recoin, aux côtés de parfait inconnu, elle tâcha de prendre la cérémonie en route et essaya de dénicher la tête blonde de son promis. D’une voix terne, elle murmura le Crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Thomaslatapie

Thomas était entouré par ses frère et sœur. Il vit entré la vicomtesse Icie et lui fit un signe de main, enfin après avoir jouez des coude pour pouvoir sortir sa main du banc il lui fit un signe. C'est vrai une bonne dizaine d'hospitalier sur le même banc cela fait beaucoup. Puis il regarda autour de lui et tout le monde se mettait a prié. Alors lui aussi pria tous bas.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Aux grands maux, les grands remèdes

Doctorgradus

Le vieil évêque aimait beaucoup le Credo. Cette prière lui semblait vraiment bien résumer les valeurs aristotéliciennes, et quoi de mieux pour louer Saint Arnvald!

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Evêque de Poitiers et dignitaire honoraire du Chapitre Général

Fontvell

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arthefax

Arthefax fut impressionnée par le monde mais aussi tres heureuse de participé à cette cérémonie en l'honneur de Saint Arnvald.
Elle reconnu son ancien professeur du séminaire de Lyon et souria un peu, rassurée.
Elle admira la salle et le chant que les frères et le grand prieur venait de faire.
Puis l'assemblée fut invitée à prier et à réciter le credo.
Arthe le fit avec conviction et heureuse de participer à tout cela.

Citation:

Arthe, pendant qu'elle récitait le crédo, eu une pensée pour le Frere Roger, inestimable recteur.

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ladycharmed

Monseigneur Bardieu de sa voix profonde nous invitait à la prière d'Absolution et Ladycharmed à genoux la recitait avec ferveur.

Cette même ferveur se ressentait dans l'élan puissant avec lequel tous entonnèrent le Crédo.
Et ensuite le credo:

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http://sempervigilans.meilleurforum.com/index.htm

uriel

Le professeur entendit l'appel à la prière et ferma les yeux tout en joignant les mains.
Il récita alors la prière de la confession et du pardon :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Enfin, lorsque tous entonnèrent le Crédo, il joignit sa voix à celle de ses soeurs et frères dans la Foy ...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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hildegarde la pure

Hildi s'était retranchée dans un coin paisible pour pouvoir prier avec ferveur pour le rétablissement du père Roger...
Elle avait vu bon nombre de personnes connues en entrant durant la procession...mais le temps n'était pas aux retrouvailles... un homme se mourrait... quelqu'un qui avait tant apporté à l'aristotéliscisme...Hildi en était bouleversée... encore une figure importante qui risquait d'être emportée par la Faucheuse...
Sa prière était silencieuse... pas un mot ne sortait de ses lèvres immobiles... même durant les prières on n'entendit pas sa voix... ses grands yeux bleu azur étaient clos... prier saint Arnvald d'épargner le Père Roger, de le laisser finir d'accomplir sa mission ici... que le temps est toujours trop tôt surement...
Elle était pâle comme un linge... la petite fée de Sarlat... et elle savait qu'une fois de plus elle ne pourrait rien faire pour influer sur le cours des choses... elle en venait à se demander l'intéret de sa propre existence... à quoi tout celà sert si je ne peux rien pour des hommes et des femmes qui méritent tant pour avoir tant donné aux autres...
Elle continua avec ferveur de prier Aristote...

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Conseillère municipale de Périgueux à l'animation
Conseillère municipale de Périgueux aux dons et successions
Des envies, des idées, n'hésitez pas à me contacter
Vous sentez votre vie vous échapper? n'hésitez pas à donner

dame_oisele

Oisèle était assise au premier rang avec tout les chanteurs de la chorale. Elle avait suivit la cérémonie et avait adressé une prière pour frère Roger. Elle avait aperçue plusieurs personnes de sa connaissance et se réjouissait de voir autant de monde pour commémorer Saint Arnvald. Quand le maitre de cérémonie termina par récité le crédo et que tout le monde d’une même voix en fit de même, elle se leva et pris la parole.

Mes bien chères sœurs et frères, je vous propose à présent d’écouter notre chœur qui est encore un peu lui aussi novice…. Nous allons interpréter un chant en mémoire de notre bon Arnvald….

Puis Oisèle lança un petit regard vers ses compagnons et entama le chant

Oh Très-haut qui veilles sur les enfants !

Ellya

Prière faite. Confession faite. Crédo fait. Souriante, l'ingénue pensait maintenant à la suite du programme: le banquet. Comme ils ne mangeaient pas des masses à Noirlac, et que la nourriture qui se voulait originale lui donnait la nausée, c'était évidemment un grand jour!

Une langue gourmande et empressée passa sur les lèvres de la jeune fille. Elle n'attendait donc qu'une chose: que tous se lèvent et se dirigent vers les jardins.

Amusée de voir sa sœur Oisele se lever, elle se dit immédiatement qu'elle ne devait pas être l'unique à gargouiller de l'estomac.

Donc, ravie, elle se leva à son tour. Et se dessina sur son visage une légère grimace quand elle réalisa avoir oublié la chorale. Par Aristote, ils allaient devoir chanter!

Écarlate, elle rejoignit ses frères et soeurs tout en essayant de se remémorer ce qu'elle avait à dire. Elle avait bonne mémoire, certes, mais ces occupations dernières avaient rangé le couplet dans un recoin obscur de son cerveau. Une seule certitude: elle chantait après l'introduction de Oisele.

Ah, un autre souvenir, finalement. Derrière elle, chantait Uriel. Elle était fort déçue qu'il ne chante pas avec le soldat, mais bon. Écouter ces deux-là provoqueraient sans doute un fou rire qu'il lui faudrait contenir.

Sur l'heure....

Joignant ses deux mains saintement, se raclant légèrement la gorge, elle fit sortir les premiers sons d'une voix enfantine...

Puis-je au moins, une chose, te mander;
Non pour moi, mais pour tout tes fils;
Perdus sur tant de chemins qui glissent;
Par cause de dessins peu éclairés.

Ravie de n'avoir fait aucune fausse note - ou du moins de ne pas les avoir entendues, elle tourna un regard espiègle vers l'adorable frère.

uriel

Le major avait bu de la tisane tout le matin afin de se réchauffer les cordes vocales.

à la suite de Soeur Ellya il chanta le morceau du chant qu'ils avaient convenu.

Puisses-tu leur indiquer le chemin dans la nuit;
Qu'ils ne prennent pas racine sous la moindre pluie:
Qu'ils trouvent nourriture tout les deux jours;
Et qu'ils n'aillent point au marché chaque jour.

Il regarda ses camarades de la Garde, surtout les cadets.
Aucun d'eux n'avait intérêt à se moquer, sinon ... gare aux pompes ...

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arthefax

Arthefax s'avanca et chanta à la suite de Frère uriel.

La nervosité disparue une fois le premier mot chanté :

Trouves le donc une place dans les mines;
Ou alors montre leur l'Église qui s'illumine;
Pour leur expliquer que trop dépenser;
Peut être bien plus qu'un pêché.

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Sophie_Ancee

Sophie pris place aux côtés de la novice qui était de toutes les animations du jour décidément...

Elle n'avait pas l'habitude de chanter et avait été rattrapée par la vice doyenne du séminaire in-extrémis. Elle avait été traînée dans les catacombes pour les répétitions mais les avait finalement presque toutes manquées....

Voilà, maintenant, elle le regrettait !

Elle prit une grand respiration et se lança :

Citation:

Qu'ils soient guidés par un parrain;
Chez qui ils pourront trouver une solution;
Comment voyager, ou alors trouver du pain;
Ou bien plus, où trouver l'absolution.

Voila ... les regards de ses freres et soeurs lui firent comprendre qu'elle aurait mieux fait de venir aux répétitions....

Et le prévôt hilare dans le fond de l'Abbatiale qui n'avait pas encore fait mine de bouger.
Sophie lui fit un petit geste discret mais ferme l'invitant à venir chanter à son tour ... nonmého ...

Kronembourg

Son regard se perdait en direction de sa Baronne favorite lorsqu'en entendant la voix de Soeur Sophie, le protecteur ne put retenir un rire moqueur.
Le rire se mua rapidement en effroi lorsqu'elle l'invita à chanter le couplet que dame Oisele lui avait réservé.
Chanter.
C'était son tour.

Après l'exploitation des vieux voilà qu'on lui intimait à lui de donner du coffre. Et devant du monde qui plus est.
Le protecteur toussa depuis la porte où il se trouvait puis respira par le ventre afin que sa voix retentisse dans un gigantesque écho à travers l'abbatiale.

Citation:

Qu'ils ne soient point incultes;
Et qu'ils participent au culte;
Sur un forum magnifique;
Où tu pourras être une sorte de relique.

Mince, pour le coup il n'avait pas autant de coffre qu'il le pensait.
Et curieusement, il réalisa qu'on lui avait réservé le coupet évoquant l'inculture ... sans doute un mauvais coup du Chapitre Général.
Le Kro baissa immédiatement les yeux en espérant que sa mèche rebelle dissimulerait entièrement son visage.
Quelle honte...

dame_oisele

Oisèle avait entendu tout le monde...
Ellya et sa petite voix enfantine, Uriel et sa petite crainte de se faire charrier par ses compagnons de la garde épiscopal, Arthefax et sa belle voix douce mais quelque peu fébrile, Sophie qui avait tout manqué des répétitions et qui du coup avait un pense bête dans sa main, Kronembourg et sa toute petite voix qu’on entendait a peine, lui qui fanfaronné sans cesse n’avait plus du tout de grande voix….
Et comme ses compagnons l’avaient décidé, Oisèle devait finir le chant par le dernier couplé de sa belle voix mélodieuse…

Grâce à cela, tu brilleras;
Dans nos cœur, et nos esprits;
Que par ton aura;
Nous soyons guérit.

Voilà tout était fait. Oisèle remercia toute l’assistance et ses compagnons de bonne fortune et alla s’assoir.

Horsem@n

Après l'intervention de Monseigneur Bardieu, Horse reprit les saintes paroles en coeur avec ses frères et soeurs. Il était ému de prononcer chaque mot dans ce lieu saint.

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Puis Horse enchaîna avec le Crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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http://sempervigilans.meilleurforum.com/forum.htm

Jackson21

L'Hochmeister de l'Ordre Teutonique fit une apparition tardive dans l'Abbatiale. Ils avaient eu des problèmes avec les montures et avaient été retardés.

Il était suivi par plusieurs membres de l'Ordre Teutonique venus en nombre pour cette grande occasion.

La première chose qui frappe le Chevalier fut le nombre impressionnant de fidèles et convives présents dans l'édifice.
Il ne pouvait reconnaitre tout le monde et c'est difficilement qu'il se fraya un chemin afin de pouvoir suivre la cérémonie.

Le credo fut entamé peu longtemps après son arrivée. Il répéta en chœur.

Citation:

Un chant radieux se fit entendre par la suite, Jack était subjugué par la beauté cristalline de la voix puis le changement pour une voix bien plus grave.
Une véritable harmonie régnait en ce lieu et le Grand Maître s'y sentait bien.

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Jackson de Nivellus,

Hochmeister (Grand Maître) et Ritter (Chevalier) de l'Ordre Teutonique.

mousse4480

Mousse n'avait fait aucune bêtise, il s'était tenu discret et bien sage dans son coin.
Il regarda les fidèles avec leur petit bout de papier, il ne comprenait pas vraiment à quoi ces morceaux serviraient.
Puis soudain, le credo, il allait devoir répéter lui, alors qu'il ne connaissait aucune des paroles, ce n'est pas grave, il articulera les lèvres pour faire semblant, sans qu'aucun sons ne sortent sauf sur les dernières syllabes
Il se concentra et essaya de finir juste avec les bonnes syllabes:

-............ ssant
-..........reuh
-..........dis

Il s'arrêta là en voyant qu'il risquait d'en placer une à côté.
Une fois le credo finit, il entendit une chorale chanter, il entendit sa douce Ellya chanter, qu'elle chantait bien, pas comme lui.
Le chant termina, il se leva doucement, passa le plus possible dans les coins d'ombres, ouvra la porte et sortit s'en faire de bruit, personnes ne l'avaient vu, qu'importe, il y avait été, il en était content, dommage qu'elle ne l'avait pas aperçu, dommage qu'elle n'avait pas senti sa présence.
Là, il devait récupérer sa monture, pas facile, avec le nombre de chevaux qu'il y avait sur place.

Giova

le Franc bien installé , suivait la Ceremonie avec intention tout en gardant un oeil sur l'Abbé Franc qui se trouvait non loin de lui.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Hobb

Le Milites récita le Credo avec ses l'Assemblée des fidèles.

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aranwae

Le prouvaire, discret jusqu'à lors, récita le Credo avec l'Assemblée des fidèles tandis que des visages familiers se firent plus nombreux.

[/quote]

Armoria

Fraîchement confessée de la veille, ce fut d'un coeur léger qu'elle se lança dans le confiteor, puis, ses prières portées par les chants, elle participa ensuite au credo.

D'autres chants intervinrent, plus ou moins forts, plus ou moins mélodieux, et à voir la rougeur s'emparer de certains visages, se dessina sur ses lèvres un sourire indulgent : il leur avait sans doute fallu bien du courage pour chanter de la sorte, et tant pis pour les oreilles, les chanteurs n'en avaient que plus de mérite.

Elle ne doutait pas, avec ce bel élan de ferveur, presque palpable, que Frère Roger se remettrait, soutenu par toutes ces prières comme par autant de bras amis.

louis1er

oh, pardon..., murmura-t-elle, confuse

Ce n'est rien ma Dame,

Dis-je en souriant à la dame qui venait de me bousculer en prenant la place à mes côtés...

J'avais remarqué un peu plus tôt, la princesse Armoria, ainsi que certain membre des sanctes armées, mais aussi de l'ordre de l'éperon. Décidément tout le gratin était là...

Je récitais en coeur le crédo Aristotélicien...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Duc de Bielle

LOVE

Love écoutant très attentivement la messe joints ses mains se mit a prier et récita le credo à voix basse

Citation:

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Ysabeau

Ysabeau sourit au jeune homme, et fit un léger signe de tête.
Puis elle finit, avec tous les autres participants, de réciter le credo.
L'abbatiale était pleine.
Tout à coup, curieusement, elle se demanda s'il y aurait assez de nourriture pour tout le monde.
Elle rougit. Pensée profane, alors qu'elle devrait être tout à la ferveur...

Pierroleon de Riddermark

Pierroléon de Riddermark était arrivé en retard à cause d'une petite indigestion d'olives gentiment offertes par Monseigneur Pouic. Le nonce dut faire de nombreux arrêts pour soulager sa mule et arriver jusqu'à Noirlac. Il pointa le bout de son nez et salua discrétement les derniers rangs avant de réciter - comme les autres ! Y a pas de raison - le credo :

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN

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Père Pierroléon de Riddermark. Vicaire Général de Narbonne. Nonce Apostolique du Languedoc.Inquisiteur. Curé d'Alais. Chapelain de la Principauté de Condé. Seigneur d'Amoncourt.

Ijarkor

Ijarkor, pour qui la confession n'avait de sens que si elle était individuelle, ignora ostensiblement la prière d'absolution, en paraissant se concentrer sur le bas-relief de la colonne sur lequel il s'appuyait.

Par contre, il récita avec plaisir le credo, que tout le monde connaissait. Pour lui, la reprise de cette prière par l'ensemble des personnes présentes était la plus belle image de ce que serait l'Amitié Aristotélicienne future.

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Vicaire du Rouergue

Bardieu

Une fois le chant fini, le grand prieur félicita longuement les choristes et entrepris la bénédiction de l'assemblée. Il alla au centre près de l'autel et prononça une phrase rituelle.

« Le Très-Haut a agencé l’univers à partir des 4 éléments puis l’a doté d’une âme pour mouvoir le tout.Le Logos a disposé ces éléments les uns à l’égard des autres, de telle sorte que ce que le feu est à l’air, l’air le fût à l’eau, et que ce que l’air est à l’eau, l’eau le fût à la terre. Par après, il les a englobé en un divin éther unificateur».

L'ensemble de l'assemblée comprit immédiatement que la bénédiction allait commencer. Ils se mirent à prier. Certains s'agenouillèrent. Le frère Bardieu avait tracé un cercle sur une petite table au milieu de l'abbatial et prit un des objet situé sur l'autel. Il s'agissait d'un petit brasier. Il l'emmena sur la table. Une fois au centre, il leva au dessus de la tête le brasier et répéta une phrase qu'il connaissait maintenant par cœur.

Face à la flamme du brasier qui monte vers le ciel, que le Feu aristotélicien purifie et donne bénédiction à ceux qui sont venue pour célébrer Arnvald.

Bardieu posa le brasier sur la petite table et partit à l'autel récupérer la flasque d'eau. Un principe de base religieux voulait que l'on manipule le brasier très près de la flasque d'eau, mais Bardieu n'avait jamais réussit à comprendre pourquoi. Il souleva la flasque d'eau et la porta au dessus de sa tête.

Face à l'eau symbole de pureté, que l'Eau aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ceux qui sont venue pour célébrer Arnvald.

Vient maintenant le tour de la pierre. Il la leva au dessus de la tête et bénit encore une fois de plus.

Face à la pierre taillée, socle fondateur sur lequel repose toute l'architecture de l'édifice de notre Sainte Eglise Aristotélicienne, que la Terre aristotélicienne purifie et donne bénédiction à ceux qui sont venue pour célébrer Arnvald.

Bardieu prit l'encensoir que lui donna la douce sœur Ellya et commença la bénédiction à l'encens.

Face à l'odeur de l'encens qui chasse les mauvaises émanations, que l'Air aristotélicien purifie et donne bénédiction à ceux qui sont venue pour célébrer Arnvald.

Bardieu avait maintenant les 4 éléments aristotéliciens sur la petite table. Personne n'était dupe depuis le début, le 5ème, l'éther, était là depuis un bon moment

Que l'Ether aristotélicien achève lui-même ce les autres éléments ont débutés. Et que cette bénédiction permette à la quintessence divine de descendre sur ceux qui sont venue pour célébrer Arnvald. et y demeure à jamais.

Saint Miguaë, archange du don de soi, guide nous sur le dur chemin de l’abnégation pour la grandeur de l’église et le service divin.

Saints Archanges, qui chantez sans cesse les louanges du créateur de toute chose, qui ne respirez que la gloire du Très Haut, et qui resplendissez du feu de son amour, qui présentez au Père les misères et les vœux de ses Enfants, qui volez à notre secours, bénissez cette noble assemblée.

Que les Saints Archanges et les saints Apôtres Titus et Kyrène, dont la puissance et l'autorité à notre confiance, intercèdent personnellement pour nous auprès du Très Haut !

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

temudjin

tem se teint agenouillé et apprécia tous simplement la chorale surtout la voix de son compagnon uriel dont il ecoutait chaque mots avec delectation tellement la voix etait enchanteresse

Alatariel

Alatariel récita le confiteor, un brin mal à l'aise... Les pêchers ne manquaient point depuis la dernière fois qu'elle s'était confessée. Un instant ces pensées divaguèrent, elle se demandait si Monseigneur Payns accepterai d'être son confesseur. Puis elle entonna le Credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN

ladycharmed

Dès qu'elle comprit que la bénédiction allait commencer, le Grand Maistre Semper s'agenouilla et se mit à prier également.

Elle regarda avec attention les gestes du Grand Prieur et écouta également les paroles de l'homme d'Eglise.

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http://sempervigilans.meilleurforum.com/index.htm

arthefax

Arthefax priait en regardant le déroulement de la bénédiction.

Elle trouva cela magnifique et impressionnant. Dans ses prières, elle remercia et pria pour cette force qui avait guider ses pas jusqu'ici.

Egalement une prière et une pensée pour son archevêque qui lui avait fait confiance en lui donnant le poste de diaconesse et qui continuait à lui faire confiance malgré son passé tumulteux qu'elle avait récement confessé.

Arthé était heureuse de participer à tout cela et afficha un visage radieux. Elle pria encore plus pour tout ce qu'elle avait vécu et ce qu'elle allait encore vivre.

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adalberic

Voyant la Grand Maitre faire, Adal s'agenouilla également.

Peu coutumier des églises en général et de leurs rites en particulier, Adal ne perdait pas une miette de la bénédiction.

Il jetta un oeil sur les personnes présentes et les vit pour la plupart aussi attentives que lui. Il ne reconnaissait personne, mais il n'y avait rien d'étonnant à cela...

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[

Melior

Melior, sur la demande d'un ami qui tenait absolument à venir assister à cette cérémonie, avait fini par pointer le bout de son nez. Le procureur de la cour d'appel prit place aussi discrètement qu'il lui était possible de le faire au fond de la salle. Pour une fois, il s'agissait pour elle de se taire et de laisser les autres parler, grand défi pour elle.

hildegarde la pure

Hildi était restée agenouillée, les yeux clos... continuant à prier avec ferveur... elle entendait ce que disait le frère Bardieu et apprécia toute la symbolique et la force de cette bénédiction...

Elle avait beaucoup de peine pour le frère Roger... elle n'ouvrit pas les yeux... cette bénédiction lui rappelait le temps lointain où le Père Bynarr la bénissait pour affronter son Destin... ce temps béni où il l'appelait "ma petite Hildi"... celui où elle n'avait pas encore idée de ce qu'était la mort des hommes ni la souffrance...

Elle se sentit rassurée par la bénédiction du frère Bardieu...une sorte de protection qu'il ne pourrait rien advenir de mal ici...

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METEORITE

Agenouillé à côté de ses frères, Meteorite écoutait les paroles du Père Bardieu pendant la bénédiction.
Non loin d'eux se trouvait Hildegarde la pure et ne pu s'empêcher de lui adresser un sourire...

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Aldebbarant

Alors que la bénédiction allait commencer, Aldebbarant se mit à genoux pour recevoir celle ci. Il ferma les yeux et observa la scène avec ceux de son âme, tout entière tournée à la célébration de la Saint Arnvald, homme très important pour son ordre car en étant issu.

Il sentit la chaleur du brasier passer sur lui, suivi par la fraicheur de l'eau qui glissa sur son corps. Puis, à travers la pierre taillée sous ses genoux, il ressentit un flux monter en lui qui tourbillonna en même temps que l'encens envahissait l'air et ses narines. Mais au fil de ses sensations, une seule question revenait sans cesse en lui: Qui suis je pour recevoir bénédiction? Qu'ai je fait dans ma vie qui me permette de justifier un tel don de Dieu?

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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit, et en écrivant ce qui mérite d'être lu" Pline l'Ancien

hildegarde la pure

Hildi entendit son ami Aldebbarant penser et se questionner... celà la tira doucement de sa reclusion spirituelle... et la fit sourire...

Elle souriait peu en ce moment... elle était soucieuse... la solitude du coeur surement... elle tentait de se persuader que les évidences n'en étaient pas mais sa raison gagnait du terrain de plus en plus et rien ne semblait rattraper ce qui allait bientôt être inéluctable...

Elle ouvrit les yeux... elle avait mal de l'oubli dont elle venait de faire l'objet et qui avait fissuré sa confiance plus qu'elle n'oserait jamais l'avouer...

Elle referma ses grands yeux bleu azur et ne lui jeta même pas un regard... Elle se replongea dans sa prière... tentant de pardonner l'impardonnable... et sachant que de toutes façons plus rien ne serait comme avant après aujourd'hui...

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ptitmec13

Ptit écoutait avec attention les paroles du Père Bardieu et récita après lui la prière d'absolution :

Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi, mes Amis,
parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le Créateur pour moi.
Que le Très Haut nous accorde le pardon, l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

Amen

Puis enchaina avec le Crédo.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Vint ensuite un coeur magnifique que le commandant écouta avec grande attention.
Regardant les personnes présentes, elle en vit certaines qu'elle avait croisé au 5ème Festival de la Couronne puis vit Hildi. Elle lui sourit en espèrant qu'elles pourraient discuter plus tard.

A l'annonce de la bénédiction Ptit s'agenouilla, les mains jointes en signe de prière.

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Titca

La jeune femme avait trouvé une place près de Soaz, saluent Elvis et la ''proc'' de loin elle leur sourit et se promis de leur parler à la fin de la cérémonies, prenant la place libre près de son amie elle lui donna un coup de coude léger et lui murmura quelques mots à l'oreille avant d'écouter sagement, bientôt sonna l'heure du crédo que Titca récita concentré sur la cérémonies.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Néanmoins malgré tout elle pensait encore à Frère Roger, espèrent que le très-haut laisse leurs chère recteur parmi les vivants, bien qu'il était tout à fait compréhensible qu'un homme tel que lui soit rappeler bien vite au près du créateur.

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Anthelme

Anthelme arriva sur ses entrefaits. il s'etait perdu dans la campagne berrichone, n'ayant jamais quitté son dauphiné natal.

Discretement il se faufila aupres des autres hospitaliers présents.
Il demanderait plus tard a son parrain de lui expliquer l'histoire de Arnvald qui semble t-il fut un personnage important pour l'ordre..

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nainainus

Le Père Nainainus, doyen du séminaire et membre du chapitre cistercien assistait à la cérémonie, entouré des pères de l'Ordre. Pour sur, c'etait un grand jour.

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Xollir

Xollir était arrivé fort en retard à l'abbaye. Pas sa faute, on l'avait prévenu tard. C'est néanmoins avec un vague sentiment de culpabilité qu'il se laissa conduire par Bernardo jusqu'à la cérémonie.

Il remercia celui-ci d'un bref hochement de tête et d'un sourire, puis se glissa dans les derniers rangs. Prenant un air absorbé et fervent, il jeta quelques discrets coups d'oeil autours de lui.

crapaudine

Crapaudine jeta un regard discret autour d'elle tellement de monde...
Des visages connus croisés au détour de soirée en taverne, quel plaisir de les revoir de nouveau ici.

Le credo fut entonné, un peu en retard elle fit de même.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

La jeune femme vit sa nièce se lever en compagnie d'autres, était-ce la fin de la messe ? ravie, elle allait pouvoir aller l'embrasser.
Elle rassembla ses jupes et se prépara à se lever, regard autour d'elle, personne ne bougeait, regard vers l'autel, un chant s'élevait, oooh... mon dieu... elle avait failli se couvrir de ridicule. Elle laisse tomber les pans de sa jupe et prend un air aussi naturel que possible, ses voisins avait du penser qu'elle éprouvait une pressante envie...
Avec un sourire qui se voulait tranquille et dégagé elle écouta le chant entonné par la chorale.

Puis le recteur reprit la parole pour une bénédiction, Crapaudine suivit ses paroles avec attention

mug

La bénédiction avait commencé, Mug se mit à genoux pour la recevoir. Il entendit les paroles du Grand Prieur évoquant la chaleur du brasier purificateur, la pureté de l'eau, la pierre taillée, socle fondateur de notre Sainte Eglise Aristotélicienne mais aussi symbole de notre quête intérieure. Puis il sentit l’odeur envoûtante de l’encens.
Mug se sentit en fervente communion et pria pour un rétablissement de frère Roger et si cela n’était plus possible, que son passage vers l’au-delà se fasse dans l’amour et la sérénité.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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aurelien87

Mgr Aurélien, tout en continuant ses prières, observait l'assistance fort nombreuse. Même la princesse Armoria s'était déplacée. Il suivait avec beaucoup d'intéret et de satisfaction le déroulement de la cérémonie, conforme à la rigueur et l'inventivité des cisterciens. Regardant le fauteuil vide du Frère Roger, Mgr Aurélien pria pour qu'il recouvre la santée, pensant en même temps à son père qui était lui aussi entre la vie et la mort.

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

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Ysabeau

La bénédiction commençait. Ysabeau s'agenouilla, regardant le père Bardieu officier. Les trois éléments, feu, eau, pierre. Elle aimait ces symboles, qui lui rappelaient l'essentiel de la religion aristotélicienne.
Le brasier brûlant, l'eau rafraîchissante, la pierre solide...
Elle écoutait attentivement, recueillie, ne se laissant plus distraire.

Honoré.Saint_Cyr

Honoré qui s'était retiré pour s'adonner le temps nécessaire à une retraite méditative voire contemplative, arriva un peu en retard, il franchit discrètement les portes de l'église au moment ou le prélat donnait la bénédiction, il avança à pas de chats dans l'allée de gauche et par on ne sait quel miracle, il reconnut parmi les fidèles son pasteur d'ami le frère Ijarkor.

Le prêtre se faufila en s'excusant du dérangement et alla s'installer à côté de son honorable frère limousin...plus pour longtemps se dit le religieux, il lui fit un petit clin d'oeil et s'agenouilla...Honoré joignit les mains et récita à voix basse le crédo:

Citation:

Ensuite, le prêtre porta toute son attention à la cérémonie qui se poursuivait...

Marymetal

Mary ferma les yeux, et se confessa dans un murmure qui se mela aux autres... pour finalement former un Brouhaha pas possible. Mais tout le monde s'entendait, c'était déjà ça.

Citation:

Puis elle entonna la crédo en coeur, avec le reste de l'assemblée, regardant l'autel principal devant eux.

Citation:

Tout le monde se tut pour laisser les voix des choristes s'évader sous les voutes de l'abbatiale. Le chant mélodieux emplissait toute la salle. Pas un bruit pour les perturber, ils chantèrent à la gloire de Saint Arnvald merveilleusement. Soeur Sophie qui, apparement n'avait pas de grande aise avec le couplet, chanta tout de même d'une belle voix.. Peut être que l'ambiance complète reflétait sur leur représentation.

Mary s'agenouilla ensuite, afin de recevoir la bénédiction faite par le grand Prieur...
L'ecens commença a sentir très fort dans l'abbatiale... Mary n'avait jamais aimé cette odeur bien que bénéfique... Elle se mit à respirer par la bouche en essayant de ne pas faire de bruit... Et ne pas trop montrer ses dents. ^^'

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pygaer

Pygaer, comme souvent ces derniers temps, était arrivé en retard. Il vit de loin Titca qui l'avait vu entrer et qui lui désignait un siège près d'elle. Se faisant aussi discret que possible, il prit place tout en saluant les quelques personnes qu'il connaissait.

Comme tous les autres il récita les textes religieux qu'il avait appris.

Citation:

ensuite le crédo

Citation:

Il attendit ensuite, les yeux fermés et le coeur lourd, la suite de l'office

Eracle

Le nonce apostolique de Provence, après avoir récité, lui aussi, la prière de confession et le crédo. Il apprécia les chants de la chorale, et eu, pendant la bénédiction, une pensée émue pour le recteur de l'Ordre Cistercien.

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Bardieu

Le frère Bardieu prit la parole pour stopper les crédo qui se multipliaient intempestivement, même après avoir fait la bénédiction. Il commença l'oraison.

Mes frères et mes soeurs, je vous remercie encore d'être venue si nombreux pour célébrer aujourd'hui la cession 1457 de la Saint Arnvald. Bénit soit il. Je vais maintenant procéder à la lecture du livre des vertus.

Le vieux moine ouvrit un grand livre très décoré et commença à lire d'une voie hésitante. Sa vue commençait apparemment à décliner avec l'âge. Bardieu choisit un passage fort joyeux pour la saint Arnvald, la fin du monde.

Ysupso à dit...

Citation:

La fin des temps II: Le château

Et c’est alors que l’horreur commença.

Le ciel s’assombrit, se chargeant de ténébreux nuages. Le tonnerre gronda, résonnant dans toutes les chaumières. Et la pluie se mit à tomber. Un déluge comme personne n’en avait vu jusqu’alors! Les bourrasques tourbillonnaient et la mer se fit si houleuse que je vis plusieurs pêcheurs disparaître sous les flots. Tous se mirent à l’abris, mais la pluie ne cessa plus de tomber.

Trois jours et trois nuits durant, elle travailla à réduire à néant tous les efforts des agriculteurs, qui voyaient, impuissants, leurs récoltes mourir. Les rues se transformaient en torrents. Tout le pays était gorgé d’eau. Et la mer frappait de tout son courroux contre la cité, détruisant les embarcadères, coulant même les bateaux les plus gros, et venant s’abattre contre la côte.

Puis, le ciel s’assombrit encore, étouffant totalement les rayons du soleil, et ne s’éclairait que par les éclairs dont le tonnerre résonnait dans toutes les maisons où les gens se massaient, apeurés. La pluie se fit de plus en plus froide, se changeant en neige. Le gel acheva de détruire les récoltes et le vent glacial fouettait les maisons, où les gens, terrifiés, souffraient de la faim et de la soif sans oser dire un mot.

Alors, la neige se changea en grêle. Celle-ci était composée d’énormes grêlons gros comme une balle de soule et durs comme la pierre. Ils frappèrent de toutes leurs forces les solides murailles et les bâtiments de pierre. Les toits semblaient souffrir de ce traitement, mais s'efforçaient de résister. Cela ne suffit pas toujours, car nombre de maisons s’effondrèrent sur leurs infortunés habitants, dans des cris déchirants d’appel à l’aide qui se perdirent dans le bruit du cataclysme.

Mais le calvaire sembla prendre fin lorsque la grêle diminua, puis s’arrêta. Petit à petit, les gens sortirent de leur modestes abris et nombre d’entre eux, hagards, se dirigèrent vers le château, afin de trouver des réponses à leurs questions. Le curé et le duc s’adressèrent alors à la foule. Mais le discours du seigneur temporel fut interrompu par l’effondrement de la tour, qui l’écrasa sans autre forme de procès.

En effet, la terre s’était mise à trembler. Et le malheureux élu s’était trouvé sous la trajectoire verticale de l’énorme monument. Les gens se mirent à courir afin de rejoindre à nouveau leurs abris. Mais les faibles maisonnées s’effondraient les unes après les autres. Les rues s’ouvraient, des crevasses s’ouvrirent, dévorant de leurs crocs de terre les infortunés qui se faisaient prendre dans leur terrible piège. Les murailles, déjà ébranlées par la grêle s’effondrèrent, apportant elles aussi leur lot de morts.

Toute la ville s’écroula ainsi peu à peu, laissant de nombreuses personnes aux prises avec la panique. Seule l’église avait survécu aux assauts des éléments déchaînés, le saint bâtiment semblant épargné par les éléments déchaînés. La terre s’arrêta de trembler et le calme se fit. Sans un mot, les survivants s’attroupèrent donc dans la maison du Très Haut. Le curé s’y trouvait. Il prêchait la repentance des fautes commises. Sa verve était d’or, mais on sentait dans sa voix l’angoisse que ses prières ne suffisent pas à les secourir. Mais tous écoutaient cependant le prêche du curé comme ils ne l’avaient jamais fait auparavant.

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

louis1er

Le prêche continua par la lecture d'un passage de l'apocalypse. Je fermais les yeux, entrant dans une méditation totale pour me retrouver au milieu du château, sur la terre qui tremblait, je comprenais alors la nécessité de faire le bien, de donner de l'amour, de permettre de manger à leur faim. Je priais simplement, le monde autour de moi avait disparue.

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Duc de Bielle

Bardieu

Bardieu souffla un instant, la longue lecture l'avait essoufflé. Il commença à traduire le texte.

Mes frères et sœurs, je ne pense pas qu'il faille commenter plus ce passage connue de l'assemblée. Il est connue des clercs car c'est un des plus remarquables du livre des vertus. Il est connue des nobles, car il s'agit du passage les concernant directement. Je n'en dirai rien d'autre, la parole étant suffisamment clair pour tous. Rappelons nous ici en priant la toute puissance de Dieu.

Bardieu reprit le livre des vertus pour lire l'hagiographie de Saint Arnvald.

Citation:

La vie du bienheureux Arnvald

Qui fut en religion prêtre de Sancerre, chanoine Berrichon, cardinal et nonce apostolique au service du Saint Père Nicolas V ; abbé de Noirlac & recteur de l'ordre Cistercien ainsi que Chevalier de grâce et haut-dignitaire de l'ordre hospitalier & confesseur privé de la lignée des Ducs du Berry

"Ce qui suit fut et c'estait la vérité. Comme il a esté prouvé par des témoins bien instruits qui donneroient la raison de leur science, ou parce qu'ils ayont vu ou parce qu'ils ayont entendu, et comme il est constant d'après la tradition et la réputation."

Son enracinement aristotélicien

Le pieux Arnvald, miroir des ecclésiastiques, ornement de son siècle, advocat et père des dissidents, des pauvres, veuves & orphelins, protecteur fidèle du duché de berry, nasquit à la ferme familiale des Robins, en la paroisse de Dalhem, dans la très aristotélicienne principauté épiscopale de Liege alors fief du Saint-Empire Germanique. Ses parents furent soigneux de l'élever, nommément sa Mère, Dame forte pieuse, laquelle avoit eu spéciale révélation de sa future Sainteté ; &, aussi tost qu'il eut passé ses premiers ans, le pourveurent d'un précepteur, lequel, en la maison paternelle, luy donna les premières impressions de la piété, & luy enseigna aussi les premiers rudimens des sciences, à quoy l'enfant se portoit de grande affection. Il fréquentoit les églises, écoutant attentivement le service divin, pendant lequel, il disoit ses Heures en Christos et Aristote & il les recitoit tous les jours sans y manquer.

Son édification juridique et théologique

Estant forcé de quitter contre son gré son village natal à cause d'une rude famine, le bienheureux Arnvald vagabondoit à travers tout le Royaume de France à la recherche de la bonne fortune et avec le Livre des vertus comme livre de chevet. Ayant déjà suffisamment estudoyé au Païs, son père, le voyant desireux de continuer ses études, le recommandoit à l'université de Paris, il s'habitua & s'adonna à l'étude de la logique & des arts; esquelles sciences il profita si bien, qu'il fut passé maistre és arts. Alors il changea de logis & alla entendre le Texte des Aristotéliques, la theologie & le droit canon. Ayant consommé son cours en ces sciences, il alla de Paris à Bourges en Berry où malgrè son jeune âge, il etudia en droit civil, sous le fameux Jurisconsulte maistre Volpone de Médicis, lequel depuis, pour ses merites, fut fait Premier pair et Grand Connétable de France. Ayant achevé son cours en Droit Civil, il entra aux services de son protecteur le duc du Berry Volpone qui en fit son grand justicier de l'honorable cour de justice Berrichonne chargée de rendre haute comme basse justice en ses fiefs. A cette espoque, il ousvrit une officine d'advocat du cabinet du dragon en sa bâtisse de Sancerre, ville auquelle il fut toujours fidèle à travers les années. Il frequenta les écolles d'un docte & pieux religieux de l'Ordre de S. François, frère Norv, Cardinal et archevêque de Narbonne sous lequel il ouït les livre des Sentences Aritotéliciennes & l'interpretation de la sainte escriture, enflammant sa volonté en l'amour de Dieu, à mesure que son beau jugement le luy faisoit connoitre, &, par la familiere frequentation qu'il avoit avec ce pere, qui estoit tenu en grande reputation, il conceut un saint mépris du monde et mais ne se resolut pas à le quitter tout à fait & mais décida de se ranger au service de Dieu et de l'Eglise; ce que longtemps auparavant il avoit projetté.

Son engagement au service de Dieu

Il print les Ordres de rang jusqu'à la Prestrise inclusivement grâce à son ordination en la cathédrale de Bourges célébrée par le cardinal Turambar, menant une vie sy sainte & si édificative, que le Duc Cardinal Evêque du Berry Volpone, en estant informé, l'apella prés de soy & pour son desvouement luy accorda l'annoblissement comme vicomte de Vierzon à charge pour luy de fonder en tant que père abbé une abbaye Cistercienne à Noirlac, charge qu'il exerçoit avec reputation de grande integrité. Le XV° siècle estant un désastre pour l'ordre Cistercien : guerre avec l'anglois, peste, pillage en règles & incurie. Les cinq abbayes rectrices de l'ordre cistercien Cîteaux, la Ferté, Pontigny, Clairvaux & Morimond disparaissèrent aussy l'une après l'autre dans le chaos du milieu du siècle. Le père Arnvald desvint alors l 'homme providentiel qui fit en tant que recteur la grandeur de l'ordre Cistercien dans une optique refondatrice et salvatrice.

Son appel à Rome

Estant informé de ses grands mérites & sa vie pieuse, le Très Saint Père le Pape Nicolas V l'appeloit à Rome au grand méscontentement de tous ceux qui le connoissoient en Berry. La population Berrichonne se cotisoit pour luy faire don d'un superbe coursier pour rejoindre la cité Romaine mais mais il le vendit dés Bourges & en donnoit l'argent aux pauvres, puis s'en vint à pied à Rome, bravant sur les routes par monts et par vaux brigands et froidure. Jugeant que Dieu le luy envoyoit pour le service de son Eglise, le Saint Père nosmma Arnvald cardinal. Sa confiance en lui grandissa tellement que Nicolas V décidoit d'en faire aussi son Nonce Apostolique chargé de s'assurer du renforcement des relations diplomatiques & fraternelles entre le Vatican & les régions épiscopales asfin d'apporter sa modeste contribution à l'essor de la Pax Aristoléli dans le royaume.

Sa conception de la justice

Toujours au service de la Maisnon ducale du Berry, il se comportoit en cét office de Premier Juge avec sy grande intégrité, qu'il ravissoit tout le monde en admiration de sa vertu, & remarqua-t'on que jamais il ne prononça Sentence, qu'on ne luy vist les larmes couler le long des jouës, faisant reflection sur soy-mesme & considerant qu'un jour il devoit luy-mesme estre jugé. Il tranchoyait les litiges avec adresse dans des jugements ciselés inspiré par l'immanente justice divine et son respect des lois humaines. Il taschoit à pacifier ceux qu'il voyoit en discorde, sur le point d'entrer en procés ; &, lors qu'il ne les pouvoit mettre d'accord, il assistoit ceux qui avoient le bon droit, specialement les pauvres qui n'avoient les moyens de poursuivre leur droit ; ausquels il fournissoit liberalement de l'argent pour leurs frais ; même poursuivoit les appellations des Sentences iniques & jugemens pervers donnez contr'eux ; jamais l'injustice il toléroit jamais l'illégitimité il supportoit ; toujours la vérité il défendaist contre vents et marées ! Même en toutes circonstances, jamais traitements de faveur il ne donnoit à la cour ; presférant condamner un ami tel l'éminent Franciscain Jarkov ou le Vicomte De Saissac Bouboule plustôt que de déroger à son idéal d'extrème intégrité et de justice divine. Il aquittoit des innocents qu'en sa conscience il croyoit avoir le bon droit. Et encore bien qu'il prist plus gayement en main la defense des miserables & pauvres gens, dénuez d'assistance & faveur, que des grands Seigneurs, & que mesme, en faveur de ceux-là, il faisoit décheoir ceux-cy de leurs prétentions, neantmoins jamais on ne s'est plaint qu'il ait donné jugement inique, ny entrepris la defense d'aucune cause qui ne fut bonne & juste.

Son service pour la prospérité du Royaume

Le régent de France lévan III ayant ouï son ardeur à célébrer la justice et son modéle de vie exemplaire se résoluoit de le prendre à son service en son conseil privé. Il élevoit donc le pieux Arnvald à la dignité de Pair du Royaume de France & le mandatoit en sa Cour d'Appel comme Premier Juge-Président afin de resformer les torts & les abus des juges féodaux de toute la France

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En quoi la spiritualité d'Orient serait elle inférieure à celle d'Occident ?

aranwae

Voyant le Père Honoré, Aranwaë luy adressa un bref signe de teste lorsque leur regard se croisèrent puy reprit le cours de ses prièrent, tout à l'écoute du Prieur, le Frère Bardieu

Anthelme

Anthelme se joignit a la foule et entonna a son tour le credo...

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN

Puis il s'agenouilla sur le prie dieu, ecoutant le frere bardieu

Killdragon

Monseigneur Killdragon était arrivé en retard, il avait fallu désinstaller le campement et sécuriser le lieu Saint.Il était posté à l'entrée de l'édifice religieux. Il répéta la prière:

Citation:

Vint ensuite le credo qu'il répéta en choeur avec le reste de l'assistance:

Citation:

L'aspirant Vidame de Bretagne reconnut dans la nombreuse assistance le Cardinal Clodeweck ainsi que Monseigneur Verty, il se réjouit également d'apercevoir d'autres visages qu'il connaissait bien.

Posté non loin du Premier Maréchal, il suivit la suite de la cérémonie avec beaucoup de ferveur.

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Titca

La jeune femme jetait parfois quelques coup d'oeil à la porte quand elle vis dans l'ombre de celui-ci son ami Pygaer, discrètement elle lui fit un petit signe de là main et l'invita à s'assoir près du petit groupe d'amis. Une fois celui-ci à sa hauteur elle posa une main sur son bras et sourit heureuse de le revoir, ne voulant pas couper le silence des lieux pour prendre de ses nouvelles, cela pouvait attendre la fin de la cérémonies.

Sa main retrouva sa place et Titca écouta Bardieu, lire le texte de la vie de Saint Arnvald, le même texte quelle étudiait en ce moment même lors de ses cours, souriante elle suivit le reste de la cérémonies dans le calme absolu.

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adalberic

Adal écoutait attentivement la vie de Saint Arnvald. Peu habitué aux hagiographies, il pretait une oreille plus qu'attentive et fut saisi par tout ce qu'un homme pouvait faire quand il se dévouait pour les autres. Il comprenanait mieux désormais pourquoi une jolie abbaye lui était dédiée.

Il s'apprêta à écouter la suite et vit que ses Frères étaient aussi attentifs que lui aux paroles du Père Bardieu.

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[

Raboude

Raboude était attent. Il ne connait pas le credo en français, donc quand on l'avait prononcé, il faisait le même, mais en néerlandais, en silence pour ne pas confondre ses voisins.

Après le Credo, il écoute la Hagiographie de St. Arnvald, et essaie de comprendre l'essence de chaque mot.

Sindanarie

Sindanarie, assise en fond de salle, énonça le credo, comme chacune des personnes présentes à la cérémonie, puis, écouta attentivement le père Bardieu, lire l'Hagiographie de St. Arnvald.

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ange_78819

Ange a coté de sa jumelle recita aussi le credo

Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
AMEN

puis ecouta la cermonie

Horsem@n

Après avoir récité son crédo, le Chancelier des Semper Vigilans releva la tête et donna un bref coup d'oeil sur l'ensemble des prieurs conviés à la cérémonie. De son côté, ses frères et soeurs étaient tous autant captivés que lui, les Semper ne faisaient qu'un comme toujours. Il aperçut un peu plus loin la ravissante Hildegarde la Pure, il lui adressa une légère inclinaison de la tête pour la saluer discrètement. Il lui sembla aussi reconnaître quelques visages qu'il avait pu croiser à travers le Royaume il y a fort longtemps.

Il se dit qu'il creuserait un plus tard dans sa mémoire, mais pour le moment Seigneur Bardieu continuait, Horse écouta avec grand intérêt l'histoire de Saint Arnvald.

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Petitjehan

Jehan lors de la bénédiction baissa humblement la tête.
Puis il releva la tête et suivi la cérémonie écoutant l'officiant lire un passage de l'apocalypse puis il l'écouta raconter la vie de Saint Arnvald.
Curieux de nature il s'intéressa fort à ce résumé songeant que l'Ordre devrait peut être, pour édifier les plus jeunes, mettre en exergue la vie de cet homme. Il en parlerait, à l'occasion, au Haut Conseil...

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ladycharmed

Comme l'ensemble des personnes présentes à la cérémonie, elle ne perdit pas un mot de la vie de Saint Arnvald; Elle trouvait que le narratuervivait avec passion l'histoire sainte qu'il racontait.

Elle jetta un oeil discret sur ses Frères et put s'apercevoir que tout écoutait également. Son esprit vagabonda quelques secondes dans l'abbatiale et elle reconnut quelques têtes, qu'elle irait peut-être saluer à l'issue de la cérémonie.

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Invité

Landelin, silencieux mais au combien concentré sur cette magnifique célébration, était installé aux côtés de ses Frères Mug et Fontvell.
Il était fier d'appartenir à cette grande famille qu'est l'Ordre des Hospitaliers ainsi que d'être présent à cette cérémonie.

Ysabeau

Impressionnée, Ysabeau écouta le passage de l'Apocalypse, la fin du monde... que dire ? que ressentir ? Ces catastrophes qui se succédaient, la destruction des champs et des villages, du château... Seule restait l'église...
La Foy était-elle le seul rempart contre le destin cruel ?
Puis le frère Bardieu, d'une voix sourde, relata la vie édifiante du saint patron du Berry.
Ysabeau ne l'avait point connu, il était mort avant sa naissance.
Un saint homme sans nul doute, attentif aux autres, soucieux de justice, généreux. Un exemple pour tous.

Sophie_Ancee

Soeur Sophie avait écouté le père Bardieu lire l'hagiographie de St Arnvald, ce texte quel tout Frère et Soeur cistercien avait naturellement étudié en profondeur pendant le noviciat.

Comme convenu avec le grand prieur, elle prit à son tour place devant l'autel pour commenter la lecture aux fidèles réunis en ce jour de la St Arnvald.
Lissant son scapulaire blanc et noir, éloignant une mèche de cheveux, elle prit place à son tour devant le lutrin (il n'y avait pas de chaire en l'Abbatiale Saint Bernard).

Mes chers Freres et Soeurs, Prélats et Notables, Seigneurs et Dames. Nous venons d'entendre l'histoire de Saint Arnvald, le patron aristotélicien du triptyque JUSTICE VERITE INTEGRITE, fondateur de l’ordre cistercien, protecteur du Duché de Berry, Saint patron des hommes et femmes de loi (Justice), des journalistes (Vérité) et des chevaliers (Intégrité).

En ce jour béni, je vous propose de nous inspirer ensemble de l'exemple de St Arnvald et de la vitalité de cet exemple aujourd'hui encore.

St Arnvald est le protecteur du Berry, où, encore jeune homme, il fut accueilli par le fameux Volpone de Medicis. Le Berry est donc sa terre d'adoption, grâce à une communauté berrichonne qui lui a ouvert les bras. La communauté berrichonne en fut payée mille fois en retour tant le saint homme s'investit dans la vie de son duché.

Je voudrais donc profiter de ce jour pour remercier nos amis berrichons et vous inviter tous à vous inspirer de l'ouverture à autrui qui fut et est toujours celle de ce fier duché. Aujourd'hui encore, le Berry est exemplaire ! J'étais ce matin même à Bourges où une procession et une messe solennelle en l'honneur de St Arnvald furent organisés.

Mes Frères et Soeurs, soyons comme les berrichons qui accueillirent Arnvald. Ne rejetons pas celui qui vient à nous et nous tend la main. Donnons lui une place dans l'Amitié Aristotélicienne. Partageons avec lui le plaisir du travail pour le bien de la communauté. Ainsi, avec ouverture, tous ensemble, nous construirons, pour le bien de tous et dans la foi, des vies de raison et de vertu.

Saint Arnvald est aussi, mes chers Freres et Soeurs, le patron des ordres de chevalerie. Vous êtes nombreux ici dans cette assistance à représenter de tels ordres. Je pense tout particulièrement aux Hospitaliers de St Jean de Jerusalem dont St Arnvald est un des fondateurs. Il siégea de nombreuses années au conseil de l'ordre, prodiguant conseils spirituels et faisant bénéficier les chevaliers de sa grande sagesse. Je pense également à vous tous, membres de l'Ordre Teutonique, de l'Ordre des Templiers, de l'Ordre de Santiago, de l'Ordre Semper Vigilans, de l'Ordre de la Licorne. Je pense à vous tous chevaliers, qui, par votre exemple, personnifiez tous les jours les valeurs de St Arvnald. Nos royaumes ont besoin d'hommes et femmes de votre trempe pour faire reculer la créature sans nom.

Mes Frères et Soeurs, aujourd'hui et à chaque jour de notre vie, inspirons nous des valeurs de la chevalerie. Soyons intègres, respectons la parole donnée, faisons preuve de charité et d'humilité, ne refussons pas notre aide à ceux qui sont dans le besoin. Oui, mes Frères et Soeurs, soyons nous aussi des chevaliers de St Arnvald dans notre coeur, nos actes et notre foi !

Enfin mes Frères et Soeurs, je voulais vous parler de St Arnvald, le protecteur des hommes et femmes de lois. Vous êtes nombreux ici à être juges, procureurs, prévôts, avocats, membres de la cour d'appel, rédacteurs de textes de loi, jurisconsultes. Tous les jours, vous servez le droit, pilier essentiel de la vie en communauté. Tous les jours vous êtes les dignes héritiers d'Aristote en permettant à la vie de la cité d'être pour tous équitable.

Inspirons nous aujourd'hui de l'exemple de St Arnvald en matière de justice, lui qui vivait cette dernière plus qu'il ne la rendait.
Son but a toujours été de rendre simples et naturelles toutes ses décisions en matière de justice, croyant plus dans l'application de principes directeurs que sont l'intégrité et la vérité, que dans une démarche bureaucratique consistant en l'interprétation de textes.
St Arnvald croyait également en une justice qui ne tenait pas compte des statuts sociaux ou autres affinités. Au contraire, il cherchait une équité permanente dans ses décisions. Surtout, ces vertus étaient chez lui la conséquence de sa conscience de son statut ultime de justiciable devant l'oeil du Très Haut.

Souvenons nous tous les jours que nous aussi, nous serons jugés et tentons, dans notre humble, faible et humaine condition, d'être justes dans notre conduite. Souvenons nous de St Arnvald nous disant: "Une pensée servile aurait été moins encline à attirer les courroux des puissants mais il vient un moment dans la vie d'un honnête homme où se taire équivaut à perdre l'estime de soi."
Comme lui, relevons la tête et exprimons nos propres idées. Souvenons nous que le Très Haut nous a tous créé sans préférence, sans qu'il y ait des personnes qui ne mériteraient pas l'estime des autres. Ne sombrons pas dans la facilité qu'est le silence et la soumission !

Mes Frères et Soeurs, oui, vivons aujourd'hui comme Saint Arnvald. Inspirons nous de son exemple et ainsi, devenons des hommes et femmes meilleurs, plus proches de nos prochains et du Très Haut.

Les yeux brillants, la gorge sèche, Soeur Sophie cessa la sa prédication. Elle resta quelques secondes encore devant le lutrin, repensant au Très Saint Homme puis, le coeur en paix, retourna s'asseoir auprès de ses Freres et Soeurs.

Hobb

Le Ritter Teutonique ne pouvait qu'adhérer aux paroles dites par Soeur Sophie Ancée. Les valeurs de chevalerie il en avait fait siennes. Et c'est avec émotion qu'il pensa à Saint Arnvald et au travers de lui à toutes ses Soeurs et Frères qui oeuvraient pour le Très Haut. Décidément à Noirlac il recevait toujours la Parole de vérité de la vraie foi.

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Honoré.Saint_Cyr

Le Père Honoré releva la tête et aperçut qu'un homme dont les traits du visage ne lui étaient pas inconnus, lui faisait un signe de la tête, il fit de même... c'est alors que le prieur entama son sermon, Honoré fut très absorbé, il n'était pas le dernier à avoir parcouru le livre des vertus, il connaissait le chapitre de l'apocalypse et encore mieux l'hagiographie de Saint-Arnvald, la justice étant un des ces principaux chevaux de bataille.

Malheureusement d'expérience, il savait que bien des magistrats n'étaient pas aussi intègres qu'ils auraient voulu le faire croire, Même ceux qui étaient baptisés, et pour cause ls restaient des humains avant tout, le prêtre se rappela son dernier sermon à ce sujet mot pour mot:

*Nous savons tous que le symbole de la justice est une balance, nous ne pouvions trouver plus bel emblème pour représenter l’égalité, toutefois, il arrive qu’un des plateaux penchent plus d’un côté.

Par rapport à la Justice du Tout-puissant, celle des hommes se montre souvent aléatoire, les magistrats, humains et êtres de savoir dont c’est la tâche de juger, autant que les autres trouvent sur leur chemin la créature sans nom, ce qui met, à l’évidence leur impartialité à rude épreuve, ils sont soumis à la tentation de laisser leurs appréciations personnelles prendre le dessus sur leur objectivité, d’où parfois cette vile conception dont parle Aristote, la loi Talion « œil pour œil, dent pour dent », il peuvent également se laisser corrompre et relaxer un plus nanti des leurs.

C'est sans doute pour cela que la justice humaine prévoit une alternative, une seconde chance dirons-nous, d’autres magistrats seront sollicités afin d’analyser le premier jugement et leur verdict sera susceptible d’être différent.
Néanmoins, il réside un risque que la peine soit aggravée ou confirmée, mais une fois de plus, nous en reviendrons à notre libre arbitre, c’est un choix, une opportunité qui nous est donnée, à nous d’en peser le pour et le contre, de quel côté penchera la balance de notre réflexion, nous sommes avant tout notre propre juge, il est important de se remettre en question.

Quant au Tout-puissant, il aime ses enfants sur un pied d’égalité et il désire que nous l’aimions en retour en lui prouvant que nous tendons à la vertu, il ne nous ménage point, chaque jour nous amène notre lot de tentations, nous devons combattre cette vile créature qui s’immisce en nous afin de suivre un chemin de qualité.

Lorsque nous nous présenterons devant notre créateur, comme à Sypous, il fera appel à notre sens de l'objectivité en nous demandant de faire un choix, la mort ou la résurrection, nous serons dans ce cas nos propres juges, si nous optons pour la mort, gare à nous si nous ne faisons pas preuve d'humilité, car sa décision de nous diriger vers le paradis ou l'enfer ne dépendra plus que de son jugement sur l’existence que nous avons menée, il n’y aura point de seconde chance, il estimera qu’il nous a laissé le choix de faire preuve d'objectivité par rapport à nos actions du temps de notre vivant et que nous sommes les seuls responsables de son verdict, humains nous sommes, humains nous resterons, Dieu est notre créateur, il connaît nos défauts, il ne servira à rien d'essayer de le leurrer où nous ne ferons que nous enfoncer...
*

Perdu dans sa réfexion, le religieux se reprit et essaya d'à nouveau se concentrer sur la cérémonie...

louis1er

La cérémonie se poursuivit ensuite par la lecture de l’hagiographie du fondateur de l’ordre cistercien. Une vie exemplaire dont il fallait tiré les leçons pour les épreuves de tous les jours me dis-je. Ensuite, une jeune femme prit la parole. Elle déclama une tirade sur les vertus chevaleresque, comment ne pas être d’accord avec ce qui fut dit,… Mon esprit vagabonda quelques instants vers ma vie de tous les jours… Je soupirais…

J’étais heureux d’être en ses lieux, simplement moi, fidèle parmi les fidèles qui rendent hommage à un ordre, à un homme à leur foi, sans rien attendre en retour si ce n’est le pardon du tout puissant, du tout miséricordieux.

Mes pensées reprirent leur chemin, certaines réponses je commençais à trouver. Il était si simple de demander pardon, facile de l’accorder. Pourtant, tellement dure de faire passé sa fierté au second plan… Peut être étais-ce cela le début de la voix de la sagesse…

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Duc de Bielle

Enosch

Apres le prêche de la sœur Sophie, a qui il tapota sur lepaule pour lui dire combien il avait apprecié son discours, Enosch s’avança de nouveau vers le pupitre.

-VERITE.. !
JUSTICE.. !
INTEGRITE… !

Transpirant, Enosch réunit ses fiches afin de retrouver les mots à dire pour la prière universelle.

Saint Arnvald, notre modèle, est avec nous en ce jour afin de nous rappeler ce que ces valeurs représentent en nos cœurs. Nul doute qu’il assiste à cette cérémonie. Peut être est il là assit juste à coté de vous. A présent j’aimerais vous appeler a venir témoigner de l’enseignement que vous apporte Saint Arnvald dans la vie de tout les jours. Oui si certains d’entres vous désirent se lever et venir parler, qu’ils le fassent à présent.

Enosch se tourna vers le tableau de Saint Arnvald. Le désigna du doigt avant de se tourner a nouveau et reprendre. Mais c’est un visage figé par la stupeur que les participants à la cérémonie purent voir.
Une ombre venait de passer devant un vitrail, ombre qui repassa une deuxième fois, et lorsque Enosch plissa les yeux car la lumière du soleil l’empêchait de voir avec précision, un grand fracas se fit retentir dans l’abbatial. Un aigle noir traversa, au milieu des bouts de verre cassés, qui tombèrent au sol non loin des bancs heureusement.
L’aigle fit deux tour dans les hauteurs de l’abbatial avant de faire une embardée et de ressortir d’où il était entré. A présent, un rayon de lumière traversait l’architecture et formait un rond parfait, divinement pur prés de la grosse porte d’entré de l’abbatial.

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aurelien87

Mgr Aurélien écoutait les différentes interventions avec beaucoup d'intéret. Il apprécia le choix des textes et reconnu bien là, la pertinence du Frère Bardieu. Il faillit s'étouffer lorsqu'il entendit que l'on mettait l'Ordre des Templiers dans le lot des Ordres Chevaleresques. Depuis les anathèmes, cet ordre n'était toujours pas rentré dans le giron de Rome.

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frère roger

Ceux qui étaient dans l'axe de la porte monumentale ou dehors de l'abbatiale virent que le magnifique aigle noir fini son trajet sur le toit du manoir Saint Arnvald où reposait le corps du comateux Frère Roger.

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le vieux roger prend sa retraite bien méritée ...

Sophie_Ancee

Sophie n'avait rien vu venir. Elle n'écoutait que d'une oreille distraite l'intervention du père Enosch après s'être assise à nouveaux avec ses Freres et Soeurs.

Elle fut donc totalement surprise par le fracas des vitraux cassés. Sophie pensa d'abord que la cérémonie tournait mal : des brigands, de nouveau, ou quelquechose du même goût. Ses freres et soeurs lui avaient raconté les événements de l'automne précédent. Profiter d'un tel rassemblement de prélats pour une agression ou une prise d'otages, d'autant plus que les combattants étaient désarmés, était loin d'être stupide.

Elle vit alors l'aigle noir, semblant crever le ciel, tournoyer lentement. Elle pensa une fraction de secondes que l'oiseau ressemblait étrangement à l'aigle Teutonique.

Une fraction de seconde plus tard, elle sortit de sa rêverie pour entendre le fracas des chaises et des bancs déplacés. Tous s'étaient levés et criaient, parlaient tous en même temps. Des enfants pleuraient, effrayés par le fracas soudain.

Puis, regard aimanté par le rayon de lumière solaire, les visages se retournèrent vers l'entrée de l'Abbatiale.

Il s'était au plus écoulé qu'une paire de secondes....

Prospero de Milan

Après avoir beaucoup travaillé pour mettre au point sa première messe, Prospero entra doucement dans l'abbatiale Saint-Bernard, et se mit à prier Sainte-Boulasse et Saint-Arnvald.

Il se leva ensuite timidement, et, affrontant son appréhension, monta les degrés menant à l'autel. Il s'éclaircit un peu la voix et dit :

Mes frères, mes soeurs, je prends conscience, en vous voyant assemblés pour célébrer Arnvald, de la chance que j'ai de faire ma pastorale à Noirlac. La ferveur commune qui nous réunit est bien la preuve que notre église est vivante.
Je ne me risquerai pas à un sermon ou à un commentaire, d'autres plus expérimentés l'ont déjà fait mieux que je le pourrais.
Je voudrais simplement porter témoignage de ma pastorale.
Je suis arrivé au séminaire de l'abbaye il y a quelques semaines, et j'ai été accueilli avec une gentillesse et une prévenance exemplaires. Mon professeur, Passionpomi, me guide avec une patience infinie sur les chemins de la foi, tantôt larges et baignés de lumière, tantôt escarpés et tortueux. Le voyage que je fais avec cette guide à la fois précise, délicate et érudite, d'autres, très nombreux, l'ont déjà fait.
Je rends hommage à notre abbaye, à sa direction et à son saint patron. Je rends bien sûr hommage au courage et à l'abnégation de frère Roger, recteur cistercien.
Soyez tous remerciés. Grâce à vous, les pierres de notre église aristotélicienne sont bien vivantes. De par le vaste monde, le message divin est répercuté tel qu'Aristote et Christos nous l'ont rapporté.

Il souriait malgré la confusion qui régnait à cause de l'intrusion du grand rapace. Plein de cette joie profonde, il retourna s'asseoir.

frère roger

Le vieux Roger avait du mal à se déplacer. Il éjecta discrètement le novice qui lui servait de béquille en arrivant à la hauteur de l'abbatiale et utilisa alors sa crosse d'abbé. Son arrivée juste après le vol de l'aigle, se fit dans le rayon du soleil trouant le vitrail cassé et tel un troubadour soignant son entrée en scène, l'arrivée de FR fit son effet des plus miraculeux sur l'assemblée.

Salut les cocottes & les amiches, En vérité, Je ne sais pas d'où je viens, mais je reviens de loin. J'ai apparemment expérimenté l'éradication totale In Gratibus avec la fusion de mon âme dans le grand réservoir cosmique divin. Mon médicastre ne peut expliquer seulement rationnellement cette rareté qu'est la super-résurrection d'au-delà de l'éradication même. Mais la foy nous permet d'appréhender cette opportunité.

un moment de silence et roger chancelle. il continue assis sur l'autel.

En tout cas, j'ai eu l'impression de revenir d'un long rêve tranquille. Imaginez un séjour onirique & paradisiaque sympa en all-in dans un palace solaire à la mode. J'ai découvert la soule avec lapinus comme coach, discuté des heures avec Arnvald sur la décadence de la société actuelle et même discouru sur les mérites du gouda de hollande avec Sjnoel pour accompagner les bières spéciales monastiques. L'intransigeant Norv m'a même enfin expliqué le secret de sa tombe après un concours de bras de fer. Bref, mon absence se termine plutôt bien même si des vandales ont dévastés en mon absence mes deux champs et ma boucherie pour plus de 600 écus.

sourire

En tout cas, la vie est trop courte pour s'emmerder avec des conneries. Nous sommes tous des fils d'oanylone, illuminés par le logos solaire. Béni sois les hommes de bonne volonté. Oui encore une chose, ON a insisté pour que je revienne mais je peux pas vous en dire plus pour éviter le ridicule en public.

le vieux roger aurait voulu encore parler de saint arnvald et de son périple par delà l'éradication mais il était exténué.

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le vieux roger prend sa retraite bien méritée ...

METEORITE

Après avoir entendu un fracas se faire entendre dans l'abbatiale il aperçut un aigle noir tournoyer et ressortir aussitôt.......

Qu'est-ce que cela pouvait signifier..se disait-il!

Une personne se présenta à l'autel et il ne lui fallut que peu de temps pour reconnaître son ami Prospero de Milan. Il le connaissait pour l'avoir côtoyé à l'Université de Pau...

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aranwae

Le spectacle fut surréaliste autant qu'impressionnant. Le vicaire resta calme mesme sy la présence de Frère Roger, dont tout le monde présageait le pire, estoit des plus miraculeuse.
Il sourit à iceste pourpense, * La résurrection de Fra Roger *

Sophie_Ancee

Frere Roger !
La !
Devant ses yeux !
Ses yeux soudains pleins de larmes de reconnaissance ...Reconnaissance envers le Très Haut, envers St Arnvald...
Il était vivant ! Flabbergastingly vivant !

Un miracle ! Un miracle ! Le 21 mai, jour de la St Arnvald !

Sophie tomba a genoux, n'écoutant même pas le recteur, à peine consciente du bruit de sa voix, perdue dans des prières de remerciement et de louanges du Très Haut !

Son cerveau était déconnecté. Elle ne cherchait même pas à comprendre. La foi n'a pas besoin de la raison dans certaines circonstances.

Ce n'est que lorsque le recteur eu fini qu'elle cria.

C'est un miracle !
Loué soit le Très Haut ! Loué soit Saint Arnvald !

passionpomi

Passi qui était restée en compagnie des novices eut un sourire en voyant Prospero se lever et prendre la parole. C’était une chose courageuse en ce jour et c’était d’autant plus important qu’il représentait leurs élèves, ceux qui font vivre cette abbaye et qui contribuent à répandre leurs enseignements dans les royaumes.
Elle se fit la plus discrète possible, le remerciant d’un regard et d’un sourire. Ce qu’elle ressentait c’était une vague de courage pour continuer et le sentiment d’avoir réussi à faire ce que le feu Martin Aizu avait fait pour elle…

..................

Et puis cet aigle, l’entrée de Frère Roger qui, comme si sa présence était coutume, s’était dirigé vers l’autel et leur parlait comme il y a encore quelques semaines…. Déjà plusieurs jours que leurs prières étaient leur seul espoir et il était là… Il avait l’air faible certes, mais restait le même, comblant d’émotion la plupart de ceux qui n’osaient plus y croire…

Elle eut un sourire, les larmes aux yeux en écoutant Sophie et chuchota à sa suite….

Loué soit le Très Haut…

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http://www.youtube.com/watch?v=LQKvMojzoH0&feature=related

mun von frayner

Le Premier Maréchal avait raté une bonne partie de la cérémonie.
Son intendant était arrivée avec bon nombre de parchemins sous le bras .
S’écartant de la haie qui avait été formée.
Mun les lus un à un son visage devenant de plus en plus sévère lorsqu’il fessait sauter le sceau de cire.
Reconnaissant celui de Rome et de la Province de Reims.
Laissant les parchemins à son intendante après lui avoir sourit comme pour la rassurer, Mun repris les marches à grande volée entrant dans le lieux Saints cherchant rapidement du regard la place qui avait été réservée au Haut Dignitaire sans bruits faire, il s’y dirigea.

Il y avait longtemps que la honte n’était plus sienne trop d’événements était entrain de se préparer.
Prenant place levant les yeux vers les prélats rassemblé face à lui, il chercha du regard son filleul.
Tout en sortant de sous sa cuirasse le parchemin qu’il allait lire.

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Honoré.Saint_Cyr

Honoré ne ratait pas une once de la cérémonie, il était toujours aussi concentré sur la justice et son saint bien aimé, lorsque le frère Enoch s'avança vers le lutrin, il s'exclama si fort avec des mots si intenses que le prêtre en fut tout retourné...soudain, un vitrail se brisa, alors apparut un oiseau de proie, d'où venait-il, quelle était donc cet augure qui fit régner dans la cathédrale, l'espace de quelques instants, un capharnaüm indescriptible?

C'est alors qu'un homme prit la parole mais son intervention passa pratiquement inaperçue quand, quasi théatralement, le célèbre et non moins insolite frère Roger franchit les portes de la cathédrale...Saint_Cyr n'avait jamais eu l'honneur de le rencontrer, c'était chose faite, cependant, crier au miracle eût peut-être été exagéré, qu'à cela ne tienne, à entendre Roger on pouvait aisément penser qu'il avait choisi la prudence plutôt que la mort, de là à imaginer qu'il avait eu peur du jugement divin, il n'y avait qu'un pas...le prêtre se dit qu'il était tout de même étrange qu'il se souvienne d'autant de détails de l'au delà, décidément les voix du Tout-Haut étaient impénétrables....Fichtre...se dit Honoré.

Bitterly

Perplexe. C'était bien là oui le mot. Bitterly, qui dans sa vie avait très peu assisté à d'aussi grandes cérémonies religieuses, se demanda si c'était toujours comme cela les célébrations Berrichonnes... Cependant c'avait le mérite d'être distrayant. Pas possible de s'ennuyer avec tout ce vacarme et ces moults rebondissements. Et puis au moins pour une fois elle était restée discrete. Ca se fêtait presque. Se retenant de rire, ce qui aurait été surement inconvenant. Elle se rejouit avec les autres de la complete remission ou presque, du frere Roger. Il semblait aimé de tous en tout cas... Regard en biai vers son Berrichon. Sourire sur le visage.

Ysabeau

Soyons intègres, respectons la parole donnée, faisons preuve de charité et d'humilité, ne refusons pas notre aide à ceux qui sont dans le besoin.

Encore des mots qui parlaient particulièrement à Ysabeau, encore des mots qui représentaient ce qui pour elle était si important, la solidarité, l'humilité. Ne pas se prendre au sérieux...
Quand tout à coup ...
Fracas de vitraux brisés
Aigle noir entrant dans l'abbatiale, majestueux
et... le frère Roger, revenu d'entre les morts, revenu de l'au-delà !

Miracle ! Miracle ! Miracle de St Arnvald ! Miracle !

Elle ne put s'empêcher de crier... C'était bien le frère Roger, elle reconnaissait entre toutes sa voix, bien qu'un peu faible, son humour, con goût de la plaisanterie... Frère Roger, de retour parmi les siens....

Ijarkor

Ijarkor sourit à son ami Honoré, le saluant de la main pour ne pas troubler la cérémonie.

Il écouta les différents orateurs, tout en regardant l'entrée de l'abbatiale. Des Fidèles continuaient à entrer, alors qu'il lui semblait pourtant que la salle était pleine. C'est un miracle, pensa-t-il, notre Foi agrandit les lieux au fur et à mesure des besoins ! Cette abbaye est vraiment bénie par le Très Haut.

La venue de l'oiseau noir sortit le curé de ses réflexions, et il baissa instinctivement la tête quand il passa sous le toit de l'abbatiale. L'arrivée de Frère Roger et son allocution le laissèrent sans voix. Deux miracles la même journée, se dit-il, il y a de l'abus !

Mais les cris raisonnaient de tout côté, aussi se laissa-t-il lui aussi entrainé, et s'écria:

Un Miracle ! Vive Frère Roger le Thanatonaute !!!

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Vicaire du Rouergue

Armoria

Elle en était encore à songer à l'apocalypse et au fait que les hommes avaient attendu la dernière limite pour aller trouver refuge dans le saint lieu ; aussi, quand le fracas de verre brisé se fit entendre, crut-elle que son coeur allait sortir de sa poitrine tant il fit un grand bond. Apparut alors un homme dont elle ne retint tout d'abord que les mots étranges, la tête penchée de côté, yeux verts tirant sur le perplexe. Il lui fallut quelques secondes pour réaliser ce qu'il était en train de dire. Perplexité devint alors stupeur, puis pieuse extase : tombant à genoux, elle rendit grâce à Dieu, les yeux clos, de leur accorder une fois de plus une raison tangible de croire, à exposer aux mécréants et hérétiques de tous poils.

Marymetal

Mary qui avait choisis de résumer la vie de Saint Arnvald pour le dernier cours de son noviciat connaissait maintenant sa vie par coeur! Les différents discours lui rapellèrent combien cet Homme de bonté avait été généreux envers son prochain et combien il était important de le suivre. De suivre son exemplarité. De suivre son Saint modèle...

Mary écoutait, avec assiduité les paroles de ses Frères, puis... dans un souffle de vent frais, un aigle noir traversa la salle.. Des cris stridents gaîrent, mais se calmèrent peu de temps après. La cérémonie reprennait son cours...

Et..../i]

Miracle! C'était un véritable Miracle!

[i]Toutes les têtes se retournèrent vers la porte de droite d'où apparut comme un mirage, le frère Roger! Tenant sur ses jambes, et commençant à parler... Tranquillement! De son retour de l'au delàs..

Loué soit Arnvald! Loué soit notre HAUT ET PUISSANT PERE!

Sorti d'un si long coma! Mary n'y croyait plus... Elle s'était éfforcée de ne penser qu'aux nouvelles joyeuses, tout en priant pour sa résurection, et il était là! Dieu nous avait entendu. Il nous a exocé nos prières... nos voeux de rétablissement pour notre bien aimé Recteur...

La sainte journée devait être doublement fêtée! Jour de grace et jour de miracle! JOUR HEUREUX!

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adalberic

Adal avait suivi les diiférentes interventions qui commencaient à le faire réfléchir.

Le fracas de l'entrée de l'aigle..quasi théatr^le l'avait fait sourire. Il se demandait bien qui avait pu mettre en scene ce genre d'évènement.

Mais l'arrivée de l'aigle semblait bien peu de choses comparéeà l'homme qui l'avait suivi. Qu'est ce que tout cela pouvait bien signifier... Il ne lui fallut que quelques secondes pour s'avoir que cet homme était précisément celui qu'on célébrait aujourd'hui...

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[

ladycharmed

Les paroles de Soeur Sophie sur le Saint Patron des Chevaliers avaient touché le Grand Maistre des Sempers. Elle avait déjà fait siens les préceptes qui étaient énoncés et les partageaient désormais avec les Frères de son Ordre.

Elle n'entendit soudain que le fracas d'un bris de verre et mit par réflexe sa main sur le pommeau de son épée...qu'elle ne trouvat pas, puisque les armes étaient bannies des lieux saints. C'est donc avec soulagement qu'elle vit l'aigle tournoyer dans l'abbaye

Pas encore totalement remise de sa petite frayeur, elle se trouva subjuguée lorsqu'elle apercut ce que beaucoup autour d'elle qualifiaient déjà de "MIRACLE"

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http://sempervigilans.meilleurforum.com/index.htm

Titca

La jeune femme écoutai avec soin le frère Enosch, quand un bruit hors du commun la fit sursauter et elle se retourna pur voir une ombre noir passée, un peu apeurer par cette ombre elle attrapa avec soin le poignet de Soaz puis remarqua qu'un aigle noir tournoyais un peu avant de partir que si de rien était, bouche bée la femme ne trouva pas les mots à dire dans ce genre de situation, mais apparemment les conversation allait de bon train, certaines paniquée, d'autre étonner, Titca elle ne disait rien, elle restai assise bouche bée , quand déjà des gens hurlait au miracle.

Tournent son regard vers la porte elle découvrit Frère Roger debout et bien vivant, fermer les yeux pour mieux les reposer sur l'homme elle écouta son discourt et sourit, bien heureuse de revoir le Recteur sur ses deux pieds ! C'est donc avec un sourire un peu idiot aux lèvres, quelle regardait le recteur de sa place et écoutait avec plaisir ses amis ou autres invitées hurler au miracles.

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Père Aaron

Un homme vêtu de pourpre, accompagné d’une femme vêtue de violet, arriva à Noirlac avec comment dire, un retard conséquent. Ils allaient devoir faire leur entrée devant tous, c’était bien malin, encore la faute de la violette qui avait passé un temps dingue à enfiler sa soutane, trop petite d’ailleurs, on voyait ses chaussette blanches par-dessous, comme les petite vieilles avec des botillions qui se promènent dans Compiègne.

Le prélat le plus éminent de deux, autant en vertus qu’en charge, poussa la porte, qui, comme si ses gonds avait été huilés jour et nuit depuis des lustres, s’ouvrit brusquement et avec une facilité déconcertante…

Il y avait une bonne brise à l’extérieur, et un vieux moines qui brûlait des feuilles mortes mouillés (malin le gars, il sait pas qu’on doit les laisser sécher ?) devant l’entrée de l’abbatiale faisait une fumée d’enfer, c’était le cas de le dire. Le vent poussa ce panache vers les deux prélats se tenant devant la porte ouverte, donnant l’impression à ces deux individus d’être deux anges descendus du ciel dans une lueur intense et voilée…

L’empourpré s’avança, lentement, et entonna…

Un beau jour, ou peut-être une nuit, à Noirlac, il s'était endormi, quand soudain, venant de l'abbatiale, et nimbé de lumière, surgit un aigle noir…

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Siège de l'Archevêché de Reims

Zoélie

Elle se demandait encore si cet assemblage de couleurs, "Sa"pourpre et "Son" violet n'allait pas faire étinceler les yeux des assistants de retentissants bruissements de stupeur, lorsqu'elle se présenta, bras dessus, bras dessous, aux côtés du barbu nouveau.
Elle le regardait à la dérobée, songeant que son air de mal rasé lui allait fort bien. Elle gloussait, en son for intérieur, en imaginant la Berthe au Grand Pied qui risquait de ne pas apprécier le voyage à venir, tellement elle était soucieuse des vertus hygiéniques et des bains prolongés.
A son âge, évidemment ! songea-t-elle, in petto. Fi donc que de tout ceci !
Elle fit à ses côtés, son entrée au moment où retentissait quelques échos musicaux d'un air vif et entrainant...

Hum.. qu'est-ce donc que tout cette fumée ? Qui voit-on donc surgir sous les regards ébahis ?

A tout hasard, n'y voyant à peine qu'à la mesure d'un pied, trois pouces, elle s'avança, comme nimbée d'une auréole ...

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Diocèse de Rodez - militante pour la réhabilitation du point virgule ;

Sophie_Ancee

Sophie n'en pouvait plus.
Le stress de la cérémonie, la princesse, prendre des forces pour faire son speech, l'aigle, bling le vitrail, Frere Roger !

Trop, trop ... et puis non, ça n'était pas encore assez. Voila que les archanges, nimbés de fumée étaient de la partie. Car ça ne pouvaient être que des archanges.

L'amitié Aristotélicienne avait fait son office : Babar avait lu l'apocalypse et voilà que les saints des premiers jours descendaient sur terre !

Puis, une voix puissante se mit à chanter.
Sophie, ne sachant pas pourquoi, inspirée par la mélodie, besoin de se dégourdir la langue, suivit et répondit sur le même tempo :

Lentement, Roger ouvrit les yeux,
Lentement, il sortit du coma.
Près de lui, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
Il vit Sjnoel.

Miracle, elle ne chantait pas faux !

Père Aaron

Aaron sortit doucement de la fumée épaisse et du contre-jour qui occultaient son visage… Il fit trois pas, écartant les jambes, s’appuyant sur elles en s’abaissant et tendant le bras vers l’avant en pointant du doigt, il fit parcouru l’assemblé en dessinant un demi-cercle… il reprit d’une voix caverneuse :

Il portaiiiiiiit, les couleurs teutoniiiiiques, et parlaiiiiiit, avec uNe voix graaaave. C'est alors, que l'abbé cisterciennnnnnn, retrouvant sa vigueur, se leva de sa couche.

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Siège de l'Archevêché de Reims

Armoria

L'allégresse se faisait palpable. Elle se releva, emportée par l'enthousiasme, et ajouta sa pierre à l'édifice, ou plutôt sa voix au chant.

Ô, Très-Haut,
Tu l'as touché du doigt,
Tu le rends à ses frères, ici-bas.
C'est ainsi que Tu es reconnu
Ceux qui osent le nier
Oh, qu'ils soient pourfendus.

Les mains jointes au niveau de la poitrine, sur son Etoile d'Argent, elle était hors du temps, toute à son adoration, juste un coeur que faisait battre l'amour de son Créateur.

Sophie_Ancee

S'avançant devant l'autel, esquissant une légère glissade vers l'avant puis un tour sur elle même, emportée par la foule qui nous saoule, Sophie, dans un relâchement total, se donna totalement à son public ...

En ce jour, béniiiiiiit de tous les saints.
Le fameux, fondateur hol-lan-dais,
En héros, sur les terres cis-ter-ciennes,
Surgissant du passé,
Nous était revenu.

Zoélie

S'approchant du centre de la cérémonie, la jeune évêque baronne entr'apercut la grande maitresse de France qui se relevait de son pieux agenouillement.
Elle l'entendit entonner chant d'allégresse et se joignit, sans vergogne, en signe de partage et d'amitié.

"Mon Très Haut, O dis, écoute-nous.
Donnes nous, à vivre ta sagesse
Fais de nous, des constructeurs d'empires,
Au service uniquement de Toi,
dans notre immense foy."

Le balancement de la foule se faisait sentir ; tel le résonnement de la foule, telle la vague de la houle, pareil aux ovations de la soule...

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Diocèse de Rodez - militante pour la réhabilitation du point virgule ;

Enosch

Enosch était resté en retrait, du a sa peur craintive des volatiles. Puis vint le choc, son bien aimé recteur (qu'il avait confié a Sophie, qui apparemment n'avait pas bien fait son boulot puisqu'il avait failli mourir) fit son apparition et Enosch manqua de faire une crise d'apoplexie. Mais ce n'était pas fini puisqu'après le discours du fringant Frère Roger, apparut dans un nuage de fumée les archanges. Magnifiques, splendides, empourprés et vertifère... Les douces et suaves voix avaient entonnés le chant, suivi de celle de sœur Sophie, puis de la si belle et douce armoria ET Enosch se sentit poussé lui aussi par une force mystique. De sa bouche ouverte, des sons se mirent à sortir et Enosch entonna le couplet suivant du chant mystique.

Citation:

Comme avant, dans ta vie cistercienne,
Comme avant, chez tes freres teutoniques,
Comme avant, en la cure de Leiden,
Être faiseur de joies
Montres nous des merveilles."

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METEORITE

Meteorite tentait désespérément de se concentrer sur la cérémonie....de drôles de phénomènes s'enchainaient tour à tour.

Cet aigle noir venant fracasser les vitraux pour venir faire son petit survol et repartir.

Le frère Roger qui revenait soudainement d'un comas profond.

Et maintenant deux personnages à peine visibles et cachées par une épaisse fumée blanchâtre faisant leur entrée.

Restait à savoir ce qui allait suivre......

Il regardait le Grand Maistre qui semblait quelque-peu nerveux ainsi que ses frères tout aussi ébahis que lui!

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anguillerusee

porté par la merveilleuse ambiance de cette cérémonie, il lui vint à l'esprit un quatrain rimé par son cousin mickelig le troubadour

Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Être faiseur de pluie
Et faire des merveilles.

Sophie_Ancee

Dans un décrescendo maîtrisé, chuchotant presque sur la finale, en larmes et en sueur, Sophie termina ce qui resterait pour toujours un moment de grâce gravé en son coeur :

L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes
Repartit, pour regagner le ciel.
Et toujours, au paradis solaire
Sur ses Frères et ses Soeurs,
Il veille sur nos vies.

ptitmec13

Ptit sursauta en entendant le bruit du fracas des vitraux. Reflex aidant, elle chercha son épée qu'elle n'avait point. Voyant le Grand Maistre faire de même elle esquissa un sourire.

Un homme qui apparement n'était autre que le Frère Roger entra et beaucoup crièrent au miracle.

Elle regarda ses frères, tout aussi ebahis qu'elle.

Un chant maintenant, les paroles s'enchainaient chacun donnant son couplet. Ptit en était sure, cette chanson resterait dans les anales...

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Raboude

Raboude did notice frereroger when he entered again. Wasn't he ill? Then, he began to speak. Raboude absorbed every word of him. Did he really say Sjnoel? Did... Then a song began, that spoke about the miracle of Sjnoel... He didn't doubt it was possible, Sjnoel was the example of faith in Holland, and had already performed a miracle. But a second one? It was unbelievable.

His heart rejoiced. A miracle! A second miracle of Sjnoel! He memorised every word of the song, later he would have to write it down and translate it...

[Je m'excuse, c'est beaucoup plus facile pour moi d'écrire quelque chose en anglais.]

gustave

Le Wärter Gustavev arriva tant bien que mal certes en retard mais ayant essuyé un terrible orage durant son voyage ,ayant été contraint de se réfugier dans un abri pour attendre une accalmie ,il arriva ,ses vestures et sa cape teutonique gorgés d'eau ,il s'installa discrètement salua les nombreuses personnes qu'il connaissait puis se contenta de prendre cette cérémonie au stade ou elle était.

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Aldebbarant

Aldebbarant réfléchissait à l'apocalypse et se disait qu'il ferait vérifier les remparts de son château pour savoir si celui si serait un refuge en cas d'apocalypse, et surtout sa chapelle. Quand l'oiseau frappa le vitrail, que frère Roger fit son apparition et que le chant monta en l'abbaye Il y alla alors de son petit couplet donné par sa voix puissante de ténor basse.

Une tenue, couleur de la nuit,
Une voix, ou peut-être un rubis
J'avais peur, il m'a rendu l'espoir
L'oiseau nous a laissé
Seuls avec Frère Roger.

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"La gloire s'acquiert en faisant ce qui mérite d'être écrit, et en écrivant ce qui mérite d'être lu" Pline l'Ancien

Siva d'Appérault

Siva avait regardé la ceremonie,etl'evenement qui s'y produisit,regardant les personnes s'ecrier au miracle,et avisant Frere Roger.Elle resta interdite et perplexe devantle spectacle,mais se laissa porter par la bonne humeur de l'assemblée quand son Maitre entonna un chant d'une voix surprenament grave.Un leger sourire se dessina sur ses levres,ecoutant,et songeant que si Arman survivait,ellesongerait peut etre a demander au Grand Maitre de leur faire l'honneur d'un chant.

Son regard continua de parcourir l'assemblée,l'office etant loin des habituelles ceremonies,ce qui la changeait,et Aristote savait comme elle avait besoin d'un changement d'esprit ces jours ci.

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louis1er

Je ne compris tout de suite ce qui se passait dans tout le vacarme et le brouhaha qui s'en suivit. Je vis ensuite Frère Roger vivant en chair et en os devant nous discourant sur le paradis céleste. On en appelait au miracle dans la salle, je ne trouvais rien d'autre à faire que de fermer les yeux baisser la tête et réciter à haute voix le crédo version Monseigneur Scarpia, car c’était celui qu’il m’avait appris à réciter par cœur dans ma jeune enfance.

Je crois au Très Haut le Créateur tout puissant Qu’a créé la parole qui bouscule les silences infinis de la bêtise,
Avec ses syllabes poétiques et douces qui font s’amouracher les âmes les plus ingrates,
Qu’a aussi fabriqué les mots dégoulinant de fiel,
Pour que les plus aventureux et les plus curieux d’entre les hommes, et les femmes aussi,
Puissent s’essayer, parfois à la méchanceté, le plus ordinairement à la médiocrité et à la bassesse,
Et en revenir, la larme au groin et le sourire en coin.
Je crois en Aristote, son prophète,
Un sacré Grec, un adepte de la parlotte, qui donnait de belles leçons,
D’abord à ses géniteurs Nicomaque et Phaetis,
Puis à tous les passants qui passaient sans savoir par ses chemins,
Et qui reçurent pêle-mêle, sagesse et révélations sur les lois divines de l'Univers.
Je crois aussi en Christos, un autre bavard indiscipliné,
Né de Maria et de Giosep, un couple plutôt taiseux.
Il a voué sa courte vie à nous raconter le Soleil et la Lune,
Comment qu’il fallait faire pour se dorer la pilule grâce au premier,
et éviter les froides caresses, parfois bien tentantes, de l’autre.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.
Que la fulgurance d'Aristote nous accompagne !
Que l'extase de Christos nous transcende!
Que le Très-Haut nous garde !
Amen !

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Duc de Bielle

Honoré.Saint_Cyr

Comme si ça ne suffisait pas, le frère Ijarkor tomba lui aussi en pamoison, Honoré le regarda de coin et lui chuchota:

- Vous n'allez pas de mains mortes mon frère!

Honoré eut à peine le temps de terminer sa phrase qu'il se mit à toussoter..Ahum...Ahum…, comm’ dit si bien Ahum…au vent mauvais, il suffoque, il blêmit en pensant qu’a sonné son heure… L'homme était fragile des voies respiratoires, celles-là n'étant pas impénétrables, il ne bénit donc pas l'âcre fumée qui venait de s'engouffrer dans la cathédrale.

Le prêtre se dit... après la cerise sur le gâteau, C’était le bouquet final, que nenni...le couplet empoulé ceint de lueur, psalmodié était ... et force fut de constater que l’incantation s’était répandue telle une trainée de poudre qui n’était certainement pas de celle à canon, chacun allant de sa petite composition, tous chambrés qu’ils étaient…Pour peu, ils auraient formé une farandole en se secouant le bas des reins…

Le religieux aurait pu lui aussi être aux antipodes mais très prosaïquement, les évènements qui se déroulaient sous ses yeux lui rappelèrent deux sœurs parisiennes qui se dénommaient aurore et Barbara, autant la première était lumineuse et charismatique, autant l’autre était blafarde et énigmatique, tout voile arboré, elles se produisaient dans un cabaret et avaient un grand succès avec une chanson que Saint_Cyr ne put s’empêcher de fredonner :

« nous sommes des sœurs pucellllles nées dans le donjon d’un chasteau…
Mi fa sol la mi ré, ré mi fa sol sol sol ré do
Toutes deux damoiseeeellllles, Ayant comme amant le bedeau….
Nous fûmes toutes deux élevées par papa
Qui à cause de nous se prosterna et vaillamment pria….

Bref, Honoré s’était quelque peu écarté…du sujet…qui pour lui avait été exploité à l’excès, il ne put s’empêcher de bailler, puis, entendant réciter un crédo peu ordinaire, le prêtre songea qu'après la cérémonie il irait bien se coucher dans les prés avec le soleil pour témoin…

frère roger

Le vieux roger se releva pendant que l'assemblée finissait d'entonner collectivement ce chant improvisé et assez entrainant lancé par soeur sophie_ancee:

Un beau jour,
ou peut-être une nuit,
A Noirlac, il s'était endormi
Quand soudain, venant de l'abbatiale
Et nimbé de lumière,
Surgit un aigle noir.

Lentement, Roger ouvrit les yeux,
Lentement, il sortit du coma.
Près de lui, dans un bruissement d'ailes,
Comme tombé du ciel,
Il vit Sjnoel.

Il portait, les couleurs teutoniques,
Et parlait, avec une voix grave.
C'est alors, que l'abbé cistercien,
Retrouvant sa vigueur,
Se leva de sa couche.

Ô, Très-Haut,
Tu l'as touché du doigt,
Tu le rends à ses frères, ici-bas.
C'est ainsi que Tu es reconnu
Ceux qui osent le nier
Oh, qu'ils soient pourfendus.

En ce jour, bénit de tous les saints.
Le fameux, fondateur hollandais,
En héros, sur les terres cisterciennes,
Surgissant du passé,
Nous était revenu.

"Dis mon Frère, O dis, écoute-nous.
Donnes nous, à vivre ta sagesse
Fais de nous, des constructeurs d'empires,
Au service du Très Haut,
Toujours dans la foi.

Comme avant, dans ta vie cistercienne,
Comme avant, chez tes freres teutoniques,
Comme avant, en la cure de Leiden,
Être faiseur de joies
Montres nous des merveilles."

Comme avant, dans mes rêves d'enfant,
Comme avant, sur un nuage blanc,
Comme avant, allumer le soleil,
Être faiseur de pluie
Et faire des merveilles.

Une tenue, couleur de la nuit,
Une voix, ou peut-être un rubis
J'avais peur, il m'a rendu l'espoir
L'oiseau nous a laissé
Seuls avec Frère Roger.

L'aigle noir, dans un bruissement d'ailes
Repartit, pour regagner le ciel.
Et toujours, au paradis solaire
Sur ses Frères et ses Soeurs,
Il veille sur nos vies.

Le vieux roger pris un moment pour capter l'attention de son auditoire entre ceux qui s'étaient évanoui, qui chantaient en décalé, qui priaient à genoux et qui criaient au miracle, le tumulte était à son comble en l'abbatiale Saint Bernard.

J'invite toutes les personnes présentes, simples fidèles ou clercs romains, qui sont motivées par une intervention, une lecture, un chant, un témoignage, un sermon à venir ici près de moi et à s'exprimer même de façon peu conventionnelle sans gêne devant nous tous assemblés dans l'amitié aristotélicienne. Ce moment est en principe dédié à la prière universelle et aux intentions vers le Très-Haut (demande, merci, pardon, confession publique & pénitence) mais il peut aussi concerner plus spécifiquement cette cérémonie du 21 mai, les évènements qui y sont liés ou des interventions en lien avec ce que St Arnvald apporte dans leurs vies. Pour ma part, je n'ai pas d'autres mots à ajouter et la cérémonie reprendra quand chacun qui le souhaitera aura pu s'exprimer.

plus bas à mi-voix et rigolant

Si vous voulez savoir comment je suis revenu de Tout là-bas, je vous répondrai juste ceci : le satané volatile, j'ai mis plusieurs heures à l'amadouer avec un bon kilo de gouda mi-vieux avant qu'il se décide à doubler le soleil.

[hrp] Chacun peut désormais s'exprimer ici à tour de rôle et de sa propre initiative. Je suis pour un topo rp libre du moment que l'on garde bien à l'esprit que nous sommes dans le cadre d'une célébration religieuse même si l'humour décalé et un peu d'excentricité est possible.
[/hrp]

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le vieux roger prend sa retraite bien méritée ...

Ijarkor

Honoré Saint Cyr a écrit:

Vous n'allez pas de mains mortes mon frère !

Le regard goguenard de son ami ramena sur Terre le curé de Guéret. Moi qui suis d'ordinaire un adepte de la Raison Aristotélicienne, se dit-il, me voila happé par un transport de pure Piété Christique. Trop fort ce Roger.

Le chœur des prélats, suivi d'autres chants venant ça et là empêcha Ijarkor de répondre au père Honoré. La bonne humeur était contagieuse, et le curé de Guéret, à nouveau transporté par l'allégresse générale, entama à son tour un petit couplet, en oscillant en rythme.

C'est la danse des Aristos,
Qui honorent le Très Haut
En récitant le Credo,
Do do do do

Faites comme le bon Christo
Et pour que le monde soit beau
Priez à tir'larigo,
Go go go go

À présent applaudissez
Notre ami le Frère Roger
Qui plus jamais ne sera
E-ra-di-qué

Allez mettez-en un coup,
on s'amuse comme des p'tits fous
Maintenant pliez les genoux
Priez pour nous

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Vicaire du Rouergue

Yan de Kerch

Le frère Yan arriva fort en retard à la célébration, boitillant après sa rencontre brutale avec une charrette, genre bœufs 4 * 4 qui ne l’avait pas vu sur le chemin. Âne et moine avaient volés dans les air un court instant pour choir en définitif dans un champ.

Il se glissa silencieusement dans un coin de l’abbatiale et pria le Seigneur et son Saint patron pour l’avoir épargné cette fois ci.

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Ysabeau

Ysabeau ne savait que dire, elle était étourdie, comme enivrée par tous ces chants, toutes ces paroles, tous ces rires. Silencieusement elle remercia St Arnvald et Aristote d'avoir permis au frère Roger de revenir parmi les siens, et surtout d'avoir gardé son esprit blagueur, sa joie de vivre, de vivre....

Résiiiiiste ! Prouve que tu existes !

ce fut tout ce qu'elle parvint à chanter d'une voix douce

mun von frayner

Le Premier Maréchal de la Garde Episcopale avait ressenti toute la ferveur qui était présente parmi les personnes rassemblées, il est vrai qu’il n’en connaissait que quelques peu.
Se levant lentement de son Siège il se dirigea vers les marches qui menaient à l’autel suite à l’invitation du Frère Roger.
Mun s’inclina légèrement devant les Prélats puis se tourna vers les fidèles rassemblés.
Prenat le temps de regarder les Gardes présent.
Mun déroula le parchemin qu’il avait en main laissant le silence envahir les lieux.
Et d’une voix forte

Rendant hommage à votre Saint Patron, Saint Arnvald, pieux défenseur de la Justice, de l'Intégrité et de la Vérité, la Garde Épiscopale a tenu à se déplacer pour la première fois en l'Abbaye Cistercienne de Saint Arnvald de Noirlac .

Un jour il dit devant tous :
La force de celui qui croit en Dieu n'est pas en Dieu mais dans sa foi.
Posant le regard sur tous les Gardes rassemblés
Nous, membres de la Garde Épiscopale, nous nous y reconnaissons bien également.

Peut-il y avoir un vrai amour de Dieu s’il n’y a pas d’engagement concret envers son prochain, un engagement qui inclut la justice et cet amour?
Aimer Dieu de tout son cœur et son prochain comme soi-même en nous respectant et en vivant ces principes, c’est l’honorer.

Il n’y a pas de vrai amour de Dieu sans l’amour du prochain. Et cet amour dépasse les barrières et les frontières de la famille, de la langue, de l’appartenance à un groupe culturel ou à un peuple.
Car Dieu est Amour et sait pardonner à ceux qui l’ont oublié.

Ainsi nous pouvons mettre à notre compte certains de nos actes : partager son pain avec l’affamé, défaire les chaînes injustes, renvoyer libres les opprimés, ne pas se dérober devant celui qui est sa propre chair
Alors notre lumière éclatera comme l’aurore, notre blessure se guérira rapidement, et notre justice marchera devant nous et la gloire du Très-Haut nous suivra.

Car même si il a tracé le chemin qui nous conduira vers lui et que nous nous en égarions, il nous tendra toujours sa main
Tendant sa main vers ses frères d’armes présents
Cette main
Refermant la sienne
tendue qui m’a si souvent éclairée.
Privons-nous pour l’affamé, libérons l’opprimé ; notre lumière illuminera doucement ténèbres, et l’obscurité sera pour nous comme le milieu du jour.

Certes, seuls, nous ne pouvons pas faire tout cela, nous avons besoin de former une famille pour donner des mains à nos actions et nous attaquer davantage aux causes des malheurs et des injustices plutôt qu’aux seuls symptômes visibles.
Tout en nous rappelant qu’ils sont des enfants de Dieux comme nous le sommes.

Dieu nous a laissé notre libre-arbitre, à nous de faire en sorte de bien l'utiliser pour le transformer en idéal de Justice et de Vérité.
Roulant le parchemin que Mun glissa sous sa cuirasse après avoir salué d’un léger signe de tête, il regagnât son siège. Tout en épongeant son front.
Il détestait vraiment les discours préférant l’action

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Ysabeau

Dieu nous a laissé notre libre-arbitre, à nous de faire en sorte de bien l'utiliser pour le transformer en idéal de Justice et de Vérité.

Les paroles de cet homme qu'elle ne connaissait pas, mais qui devait être un grand dignitaire à voir sa prestance et la majesté qui émanait de lui, résonnèrent dans le coeur d'Ysabeau.
Libre, oui, nous sommes libres... Et cette liberté peut être pour le meilleur... ou pour le pire. Libres, nous sommes libres...
Elle savait combien cette liberté pouvait se révéler dangereuse, quelle force d'âme, quel idéal il fallait pour qu'elle soit porteuse d'amour, de justice, de vérité...

Sophie_Ancee

Le calme était revenu dans l'abbatiale après l'allégresse partagée de la bonne nouvelle du retour de Frère Roger.

Le maréchal de la Garde Episcopale était venu témoigner. Plus aucun candidat à la prise de parole ne semblait se manifester.

Une fois de plus, Soeur Sophie revint devant l'autel.

Mes chers Freres et Soeurs, Prélats et Notables, Seigneurs et Dames. En ce jour de la Saint Arnvald, réjouissons nous d'accueillir maintenant dans l'Ordre Cistercien trois nouveaux membres. Cette triple intronisation, témoignage de la vitalité de l'ordre fondé par Saint Arnvald, concerne les novices Marymetal, Yan de Kerch et Arthur de Nivellus.

Puis, se tournant vers les novices et s'adressant à eux en particulier.

Chers novices, vous avez suivi avec attention les leçons de vos professeurs et vous êtes impliqués dans la vie de notre Abbaye. Vous avez écouté les enseignements de notre maître des novices et avez fait preuve de votre respect des valeurs de l'ordre.

Vous allez ce jour être intronisés tous trois oblats de l'Ordre Cistercien. Avancez vous devant l'autel que tous dans l'assemblée ici présente puissent vous voir devenir les héritiers de St Arnvald !

Elle fit alors un geste de la main pour les inviter à approcher.

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Arthur de Nivellus

L'évêque s'était préparer pour l'occasion, il avait mit sa plus belle soutane verte...il était installé depuis le début de la cérémonie qui venait de se terminer, la Soeur Sophie d'un geste l'appela à venir ainsi que deux autres personnes...il s'avança donc vers elle...

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Anciennement appelé Monseigneur Zeuxp

Marymetal

Mary reprennait peu à peu ses couleurs vives, le sang affluait dans sa tête... Et elle s'était toujours demandé pourquoi... elle n'aimait pas rougir ainsi pour un rien!
Elle s'avança donc, avec les deux autres novices, vers Soeur Sophie.
Elle eut un flash, le souvenir de l'intronisation de cette même soeur, quelques temps auparavant. Savoir qu'elle allait à son tour vivre tout ça! Ouah! Elle avait peine à l'imaginer. Devenir Oblate cistercienne, elle aurait dit ça à ses amis disparrus, ils lui auraient peut être ris au nez... Pourtant c'est une grande chose pour Mary, et elle avait un léger sentiment de fièreté....
Elle se tenait droite comme un i, attendant la suite avec impatience.

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Yan de Kerch

L’Archidiacre de Cambrai, délaissant pour quelques temps l’Artois et les Chancelleries du Royaume, s’avança à l’invite de Sœur Sophie, en compagnie de deux autres futurs intronisés. C’est avec plaisir qu’il reconnu, l’un deux, Monseigneur de Nivellus Évêque de Tarbes.

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patrocle34

Patrocle arriva en retard à la cérémonie, il se fit discret et alla s'installer au fond avec les jumeaux.

Sophie_Ancee

Les trois novices avaient pris place devant l'autel. Il était maintenant temps de les introniser un à un.

Sophie allait les accueillir par délégation du recteur. C'était la première fois qu'elle intronisait de nouveaux membres de l'ordre et c'était pour elle une raison de grande joie.
Elle reprit la parole :

Mes frères et soeurs, vous avez devant vous de jeunes novices méritants, qui attendent depuis longtemps leur intégration dans l'ordre, impatient de partager avec nous la règle de Saint Benoît, qui est notre code et de vivre en communauté parmi leurs frères et soeurs.

Sophie marqua une pause.

J'invite le premier de nos novices à s'approcher de moi. Il s'agit de Monseigneur Arthur de Nivellus; frère Arthur en ces murs.

Approche toi de l'autel, mon frère.
Je t'invite maintenant à écouter nos valeurs, issues directement le la règle de Saint Benoît :

Citation:

Foi

L'engagement dans l'ordre est avant tout religieux. les cisterciens se doivent de respecter les textes fondamentaux, le dogme et la discipline de l'Eglise Aristotélicienne ainsi que la hiérarchie vaticane et éviter de sombrer dans l'hérésie. Les rapports harmonieux avec les autres membres de notre clergé et le respect de ses supérieurs ecclésiastiques sont fondamentaux.

Charité

C'est une valeur cistercienne fondamentale d'ailleurs reprise dans le titre de son texte fondateur : charte de la charité. L'égoïsme forcené et la recherche du seul profit sont à bannir. Chacun agit dans ce domaine en âme et conscience. L'aide aux vagabonds perdus dans les méandres des Royaumes, l'offre d'un salaire supérieur au minimum légal à ses employés, la vente à des prix non prohibitifs de sa production et le refus d'une spéculation à outrance sont encouragés.

Exemplarité

Le frère cistercien est tenu au respect d'un certain code d'honneur implicite. Il se doit d'être un exemple pour les fidèles de par sa conduite. Ce devoir d'exemplarité passe notamment par le respect d'autrui, des lois régionales ou royales et le respect des vœux prononcés. Cette recherche de perfection et d'intégrité est capitale pour l'ordre cistercien.

Sophie dit alors solennellement a l'assemblée après avoir de nouveau marqué une pause :

Nous sommes réunis en ce jour de la St Arnvald de l'an 1457 dans cette abbatiale pour célébrer l'admission du frère Arthur de Nivellus au sein de l'ordre cistercien.
Aujourd'hui, il promet de s'inspirer de la Charte de Charité pour la conduite de sa vie aristotelicienne selon la Vita de Christos. En union avec la communauté, il cherchera le Trés Haut et voudra progresser dans la charité et la sainteté. Il cherchera également à promouvoir le bien en ce monastère.

Qu'Aristote l'aide dans cette nouvelle vie !

Puis, se tournant vers le frère Arthur à nouveau :

Mon Frère, je vous invite à prononcer, devant l'assemblée ici présente, les voeux mineurs suivants qui feront de vous un oblat :

Citation:

Promesse de Stabilité :

Par le vœu de stabilité dans sa communauté, l'oblat, confiant en la Providence de Dieu qui l'a appelé en ce lieu et dans ce groupe de frères et soeurs, s'engage à employer là, avec constance, les instruments de l'art spirituel.

Promesse de Conversion de Vie :

Par le vœu de conversion de vie, l'oblat, cherchant le Trés Haut dans la simplicité de son cœur, sous la conduite de la Vita de Christos et du Livre des Vertus, s'engage à la discipline cistercienne.

Promesse d'Obéissance :

Par le vœu d'obéissance, l'oblat, aspirant à vivre sous une règle et un abbé, promet d'accomplir tout ce que les supérieurs légitimes ordonneront suivant les présentes Constitutions. Renonçant ainsi à sa volonté propre, il suit l'exemple du Christos obéissant jusqu'à la mort et s'engage dans l'école du service du Très-Haut.

Nous vous vêtiront ensuite de l'habit cistercien.

Le traditionnel habit blanc et le scapulaire noir cistercien avaient été posés non loin de la. Le nouvel oblat les revêtirait après avoir prononcé ses voeux.

HRP : essayez de personnaliser vos voeux (mais pas les valeurs hein) - c'est pour ca que je ne vous les donne pas tout cuits. C'est important car cela engage le personnage à vie!

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Arthur de Nivellus

C'est alors tout ému que l'Evêque de Tarbes s'approcha devant tout les gens présent ici, afin de présenter ces vœux, il était heureux de pouvoir enfin prononcer ceux-ci il avait attendu cela depuis la fin de sa licence!, Il portait pour ce jour sa plus belle soutane verte!

Moi, Arthur de Nivellus, Evêque de Tarbes, Professeur de Saint Benoît, Frère Vocateur, et Chantre de notre Sainte Abbaye Arnvald de Noirlac, Archiviste des grands registres Aristotélicien, c'est ici présent devant vous que je peux enfin prononcer mes vœux afin d'être Frère Cistercien!

L'Evêque répéta donc ses vœux:

Promesse de Stabilité :

Par le vœu de stabilité dans sa communauté, l'oblat, confiant en la Providence de Dieu qui l'a appelé en ce lieu et dans ce groupe de frères et soeurs, s'engage à employer là, avec constance, les instruments de l'art spirituel.

Promesse de Conversion de Vie :

Par le vœu de conversion de vie, l'oblat, cherchant le Trés Haut dans la simplicité de son cœur, sous la conduite de la Vita de Christos et du Livre des Vertus, s'engage à la discipline cistercienne.

Promesse d'Obéissance :

Par le vœu d'obéissance, l'oblat, aspirant à vivre sous une règle et un abbé, promet d'accomplir tout ce que les supérieurs légitimes ordonneront suivant les présentes Constitutions. Renonçant ainsi à sa volonté propre, il suit l'exemple du Christos obéissant jusqu'à la mort et s'engage dans l'école du service du Très-Haut.

Puis respira un grand coup

Je suis fière d'être ici présent et de pouvoir faire partie de cette famille Cistercienne qui m'accueille aussi sympathiquement et qui m'a apprit beaucoup de chose, j'ai ici suivi ma licence où j'ai apprit de nombreuse chose, et je remercie mon professeur, mais aussi tout ceux qui m'ont soutenu depuis mon arrivée à Noirlac! Monseigneur FrèreRoger, Nainainus, Sœur Sophie, Enosch, et j'en passe! Merci à vous tous qui avez été présent pour m'aider et me soutenir tout au long de mon entré en ces lieux!

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Anciennement appelé Monseigneur Zeuxp

Sophie_Ancee

Le frère Arthur s'était maintenant agenouillé devant Soeur Sophie pour la suite de l'intronisation.
Sophie se tint devant lui et imposa ses mains sur le novice puis récita :

Arthur de Nivellus, par l'imposition de mes mains, je te consacre en ce jour oblat cistercien de la Sainte Église Aristotélicienne.
Ô Dieu, toi qui connait ton fidèle, donne lui la force de guider ton église dans l'exemple de Christos ! Que la Sagesse d'Aristote éclaire le candidat et lui apprenne à l'aimer, à agir selon la volonté de Dieu et à faire le bien dans le monde !

Soeur Sophie aida ensuite le nouvel oblat cistercien à se relever puis le revêtit de l'habit traditionnel en disant :

Mon Frère, tu porteras désormais l'habit cistercien, symbole de ton engagement dans nostre voie.

Tu y trouveras :

- La calotte : symbole du salut qui protège le profès des forces du mal.
- La capuchon monastique : gage du salut éternel ou auréole de gloire.
- La nouvelle soutane : symbole du passage de l'homme ancien à l'homme nouveau.
- La ceinture : symbole de la force, l'exigence et l'ardeur dans la lutte de la vie.
- Le manteau : symbole de la gloire, l'allégresse et la joie.
- Les souliers : symbole du cheminement nouveau et évangélique qui surmonte toutes les ruses du mal.

Le Frère était maintenant vêtu à l'égal des membres de la communauté qu'il rejoignait.

Mon Frère, bienvenue dans notre communauté. Vous vous êtes investi dans les travaux de l’Abbaye avant même d'en être membre et nous vous en remercions. J’espère d’ailleurs que vous continuerez ainsi.

Pendant qu'Arthur de Nivellus retournait s'asseoir parmi ses Frères et Soeurs, Soeur Sophie se tourna vers la seconde novice : Marymetal.

La charte de St Benoît commandait à Soeur Sophie d'aimer également tous les membres de l'ordre. Elle avait cependant partagé avec Marymetal des moments privilégiés. Elles avaient toutes deux été baptisées ensemble et soeur Marymetal était quasiment à ses côtés le jour de sa propre intronisation.

Elle s'adressa alors à elle comme elle l'avait fait précédemment pour Arthur de Nivellus dans des paroles rituelles dont la répétition même était symbole de la continuité de l'héritage cistercien :

J'invite la seconde de nos novices à s'approcher de moi. Il s'agit de Marymetal de Herstal; soeur Mary en ces murs.

Approche toi de l'autel, ma soeur.
Je t'invite maintenant à écouter nos valeurs, issues directement de la règle de Saint Benoît :

Citation:

Sophie se tourna alors vers l'assemblée une fois de plus.

Nous sommes réunis en ce jour de la St Arnvald de l'an 1457 dans cette abbatiale pour célébrer l'admission de la soeur Marymetal, qui est déjà notre soeur portière, au sein de l'ordre cistercien.
Aujourd'hui, elle promet de s'inspirer de la Charte de Charité pour la conduite de sa vie aristotelicienne selon la Vita de Christos. En union avec la communauté, elle cherchera le Trés Haut et voudra progresser dans la charité et la sainteté. Elle cherchera également à promouvoir le bien en ce monastère.

Qu'Aristote l'aide dans cette nouvelle vie !

Puis, se tournant à nouveau vers la novice, un sourire chaleureux sur le visage :

Soeur Mary, je t'invite à prononcer, devant l'assemblée ici présente, les voeux mineurs suivants qui feront de toi une oblate :

Citation:

HRP : comme pour le camarade précédent, essayes de personnaliser tes voeux (mais pas les valeurs hein). C'est important car cela engage le personnage pour un bon bout de temps (mais pas à vie puisqu'un oblat peux quitter l'ordre quand il le souhaite après avoir prévenu le chapitre - j'étais allée un peu vite en besogne pour Arthur - j'en suis désolée)!

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ysandre

Elle regardait fixement le Frère Roger, coite et comme seule tout à coup.
Par quel miracle... Miracle ?
Sanguienne ! Un miracle!
La cérémonie se poursuivait dans une atmosphère étrange et presque hors du temps mais Ysandre n'entendait plus ni ne voyait.
Toutes ses pensées se dirigeaient vers le Frère roger, un peu chancellant mais bien vivant.
Tout à trac alors qu'elle béait depuis plusieurs minutes face à ce prodige inexplicable , un énorme doigt, du moins c'est ce qu'elle ressentit sur l'instant, se posa entre ses omoplates et la poussa en avant, presque à la faire chuter tant le coup la surprit!
Incontinent elle s'accrocha au bras de son ami Jehan auprès duquel elle avait poursuivi la cérémonie, retenant un petit cri de surprise et d'indignation puis se retourna, sourcilleuse et le regard chargé de reproches afin d'enguirlander le fâcheux ou la fâcheuse qui avait eu l'audace de la malmener de la sorte!!
Coupant son élan, la duchesse, les reproches ne demandant qu'à jaillir de sa bouche, chercha l'auteur du méfait du regard mais ses yeux ne rencontrèrent qu'une petite nonne agenouillée et perdue dans ses prières et son cher fillot Masacio qui la dévisagea avec grande surprise.
La première était trop vieille et trop faible pour l'avoir bousculée si fort et le second trop éloigné. Il l'interrogea du regard, manifestement inquiet.
Il fallait bien dire que si la duchesse avait un teint lilial en temps ordinaires, cette fois sa pâleur aurait fait peur même au bourrel.
Personne..?
Qui donc avait osé?
Une sorte de brûlure intense la lançait à l'endroit même où elle avait senti ce...doigt dans son dos.
Reprenant place, intriguée, elle prit une grande inspiration et tâcha un instant de reprendre ses esprits.
Ventre Saint Gris!
Encore!
Cette fois le coup fut plus violent encore et les personnes qui l'entouraient commençaient à la regarder étrangement comme si elle eût perdu la raison.
C'est à cet instant qu'elle comprit.
La main de Christos s'était posée sur elle, elle ressentait son contact intensément et su.
Une grande lumière jaillit en elle et une grande joie s'ensuivit!
L'allégresse!
Depuis quand n'avait-elle pas vécu un sentiment si violent, l'enveloppant toute entière de sa douceur?
Le Miracle! Le Miracle!

Tout s'éclaira...
Si ses prières avaient été entendues pour que Frère Roger revint parmi eux, elle s'appensa, toute à sa joie que Christos, lui donnerait aussi la joie immense de guérir son Turenne de l'humeur qui le frappait depuis si longtemps, cette insidueuse malencolie qui l'avait mené à se retirer ici_même, à Noirlac en cette petite cellule propice à la prière qui la séparait de lui depuis si longtemps..

Qu'attendez-vous de moi, vous le Très-Haut?
Ne suis-je donc pas assez fervente?
Ne suis-je pas chaque jour agenouillée devant l'autel à mâtines, aux vêpres pour louer votre gloire divine?
Qu'attendez-vous de moi...

Un reliquaire! L'idée était bonne!
La duchesse imagina commander un superbe reliquaire dont elle pourrait faire don à ses chers cisterciens!
Un reliquaire particulier bien sûr, de l'or le plus pur, serti de pierres plus précieuses les unes que les autres, d'une préciosité rare!
Non.. Non..
Sa bourse ne lui permettait pas telle extravagance à moins de plumer des nuits entières au ramponneau George ce qui finirait par lui valoir ses foudres, son parrain n'aimant guère être battu ainsi par une femme.
Alors..
Tudieu! Oui!
C'était si évident...
Cette fois elle su qu'elle avait trouvé de quelle manière rendre grâce au Très-Haut.
Sa belle chapelle St Louis dans laquelle elle avait si souvent pleuré et prié serait la plus judicieuse des offrandes.
Sa décision prise, la duchesse de Chantôme poursuivit ses pensées en se disant qu'il fallait sans appel qu'elle mande à Turenne de la suivre en sa démarche et de donner lui aussi, la basilique St François à Noirlac.
Elle trépignait presque, impatiente de mander audience à Frère roger afin de lui annoncer sa décision.
Et cette cérémonie qui n'en finissait pas..

Aradiia

[Un peu avant]

Les grands et les petits de ce monde se recueillirent ensemble avec ferveur. Aradiia s’élevait toujours à la porte sur le bout de ses pieds regardant le déroulement de la cérémonie.
Quand un chant des plus mélodieux tinta l’abbatiale silencieuse jusqu'alors.
Elle ne pu entendre juste que quelques mots qui retentirent non loin d’elle.

Citation:

Qu'ils ne soient point incultes;
Et qu'ils participent au culte;
Sur un forum magnifique;
Où tu pourras être une sorte de relique.

C’était une voix reconnaissable entre toutes souvent caverneuse et grave mais là bizarrement fluette et presque inaudible, en tout cas sans aucun doute celle de son fiancé. Il se trouvait donc là…
Aradiia sentit la colère resurgir empourprant ses joues, son sang ne fit qu’un tour, quand elle se précipita derrière la porte relevant les pans de sa robe de mariée. Kro se tenait tête baissée le corps ramassé sur lui-même comme un gosse attraper sur le fait. Aradiia le foudroya du regard, excédée de devoir courir toute l’abbaye après son fiancé. Oubliant le lieu ou elle se trouva se mit a le sermonner d’une voix sèche audible de tous.

Kro !!! Tu sais qu’on se marie aujourd’hui ? L’as-tu oublié ? Mais que fais tu la ?
Elle attendit un moment sans espérer de réponse et poursuivit.

Allez viens ! Dépêche toi, tout le monde nous attend là bas.

Non loin de l’autel un peu en retrait les novices et sa marraine Ellya priaient, le grand prieur Bardieu bénissait l’assemblée des fidèles, les dignitaires de l’abbaye annonça la prière universelle, mais… l’arrivée miraculeuse du grand recteur, revenu du monde des mourants sembla troubler la cérémonie… Au point que des liesses de prières plus soutenus et des cris vinrent célébrer dans l’allégresse le récussité.

Miracle ! Miracle ! Miracle de St Arnvald ! Miracle !

Un Miracle ! Vive Frère Roger le Thanatonaute !!!

Il portaiiiiiiit, les couleurs teutoniiiiiques, et parlaiiiiiit, avec uNe voix graaaave. C'est alors, que l'abbé cisterciennnnnnn, retrouvant sa vigueur, se leva de sa couche

Quel brouhaha, on ne s’entendait plus !

Aradiia ne croyait pas aux miracles, quoique si elle se mariait un jour cela en serait sûrement un.
Sans ménagement et sans attendre les explications plus que douteuses de son fiancé, elle l’attrapa par le bras et tira le barbu hors des lieux. Lui serrant fortement la main, ils se précipitèrement à la cérémonie de leur mariage.

Marymetal

Mary regardait avec des grands yeux fixes la soeur Sophie et le frère Arthur. Essayant d'emmagasiner les mots qu'ils dirent pour ne pas en oublier lors que son tour viendrait...

Il prononça avec persuasion ses voeux mineurs. Et il fut revêtu de sa soutane neuve, signe d'une 'nouvelle vie', emplie de foi et de bon sens. Mary sourit à l'idée d'avoir une nouvelle tenue dans sa garde robe. Bien que n'ayant rien à voir avec une petite robe verte à joyaux, ou d'une robe de rue, elle aimait les vêtements! ^^'

Le frère l'avait maintenant rejoins avec l'autre futur Cistercien. La soeur Sophie l'appela alors.. Mary! C'était elle oui oui, Le temps était venu! Un coup de stress revint, et elle essaya de rester calme, au moins elle ne tremblait pas! Elle s'avança, et face à la soeur, elle écouta ses paroles avec attention.

Pour la enième fois, elle écouta les fondamentales valeurs Cisterciennes qu'elle avait lu et relu lors de ses soirées éclairées à l'abbaye, dans sa petite cellule.
Vint le temps des voeux.
Le stress s'était un peu dissipé.. Surement le fait que ce soit Sophie devant moi ! Cette pensée la mit encore plus en confiance. Puis elle écarta ses bras, et se mit à parler.

Ainsi donc le moment est venu! Je vais devenir Oblate Cistercienne! Quel honneur.. Et grace à qui? A vos prêches et à une certaine personne que je remercie beaucoup. Elle se retourna pour regarder l'assistance, et la scruta un instant, puis la trouva! Bien cachée sur la gauche, près du Chapitre, Ellya! Oui, Ellya, je te remercie énormément d'avoir su me guider, et de m'avoir aidé durant ces quelques temps, je suis fière de t'avoir comme amie. Et je remercie également mes professeurs, et mes frères et soeurs qui dans les jours gais comme tristes font de l'Abbaye un endroit rayonnant! Et qui m'ont aussi permis d'être là aujourd'hui.

C'est donc en cet heureux jour de fête, que j'annoncerais mes voeux mineurs.. Elle s'y était préparé à cet instant, et c'est sans trop de difficulté qu'elle trouva ses mots, afin d'exprimer sa foi à travers ces voeux.

Je m'engage par la promesse de Stabilité à vivre une vie Vertueuse dans le Très Haut, en exerçant l'art spirituel par chez moi comme dans les institutions religieuses comme l'Abbaye de Noirlac avec constance.

Avec une simplicité de coeur je chercherais Notre Père dans mes actions, et dans ma conduite. Je m'engage à la discipline vertueuse des Cisterciens. Je serais humble de coeur dans mes pensées et mes actes dans ma vie qui sera placée sous le signe Aristotélicien et Cistercien.

Je promet d'accomplir tout ce que les supérieurs légitimes ordonneront suivant les constitutions. Je suivrais donc Christos dans l'obéissance.

Elle avala nerveusement le surplus de salive qu'elle avait dans la bouche. Elle espérait ne pas avoir dit de bêtises, puis attendit calmement

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Armoria

La suite de la cérémonie avait apporté un peu de calme dans ses veines et dans son esprit. Se remettant doucement du merveilleux choc ressenti, elle se sentait encore le souffle court, les tempes encore humides d'une légère suée, la poitrine ayant du mal à ne plus se soulever, la peau encore frissonnante, les joues de feu encore, comme quand elle venait de... Ses yeux s'écarquillèrent. Comme quand elle venait de... Mon Dieu ! C'était donc une extase ? Sans homme, sans que les fluides ne se soient mêlés ?

Elle se mordilla la lèvre et tenta de se reprendre un peu.

Sophie_Ancee

La soeur Mary avait prononcé ses voeux d'une façon vraiment personnelle. Il était clair qu'elle avait prit le temps de se les approprier et qu'elle s'engageait ainsi avec détermination. Sophie était très heureuse de la voir ainsi réaffirmer devant tous son engagement.

Celle qui était encore novice pour quelques secondes s'agenouilla alors devant Soeur Sophie qui imposa ses mains sur sa tête et récita :

Marymetal de Herstal, par l'imposition de mes mains, je te consacre en ce jour oblate cistercien de la Sainte Église Aristotélicienne.
Ô Dieu, toi qui connait ton fidèle, donne lui la force de guider ton église dans l'exemple de Christos ! Que la Sagesse d'Aristote l'éclaire et lui apprenne à l'aimer, à agir selon la volonté de Dieu et à faire le bien dans le monde !

Une fois soeur Mary relevée, Sophie la vêtit de l'habit cistercien en disant :

Ma Soeur, tu porteras désormais l'habit cistercien, symbole de ton engagement dans notre communauté.

Tu y trouveras :

- La calotte : symbole du salut qui protège le profès des forces du mal.
- La capuchon monastique : gage du salut éternel ou auréole de gloire.
- La nouvelle soutane : symbole du passage de l'homme ancien à l'homme nouveau.
- La ceinture : symbole de la force, l'exigence et l'ardeur dans la lutte de la vie.
- Le manteau : symbole de la gloire, l'allégresse et la joie.
- Les souliers : symbole du cheminement nouveau et évangélique qui surmonte toutes les ruses du mal.

Sophie marqua alors une pause le temps de finir d'habiller la soeur. Les soutanes taille quasi-unique, ce n'était pas très pratique.

Ma Soeur, tu as fait preuve de dévouement dans ton travail en tant que portière au quotidien. Ton accueil aimable de nos visiteurs fait honneur à l'Ordre Cistercien. Que tu aies décidé de rester parmi nous me touche particulièrement et, au nom du chapitre, je te souhaite la bienvenue.

Soeur Mary retourna alors s'asseoir à son tour. Sophie pouvait maintenant appeler le troisième et dernier intronisé de cette cérémonie : Yan de Kerch, qui était également son vice légat et qui avait participé à l'élaboration de la cérémonie en y invitant notables et prélats du Royaume de France.

Elle s'adressa à lui, prononçant les même mots que Saint Arnvald, refondateur de l'ordre cistercien, lorsqu'il y fit entrer ses premiers Frères et Soeurs :

J'invite le troisième nos novices à venir à moi. Il s'agit de Yan de Kerch; frère Yan en ces murs.

Approche toi de l'autel, mon frère et écoute à ton tour nos valeurs qui nous ont été données par Saint Benoît :

Citation:

Puis, s'adressant à l'assemblée :

En ce jour de la St Arnvald de l'an 1457 je vous demande d'accueillir avec moi au sein de l'ordre Cistercien, notre frère Yan.
Aujourd'hui, il promet de s'inspirer de la Charte de Charité pour la conduite de sa vie aristotelicienne selon la Vita de Christos. En union avec la communauté, il cherchera le Trés Haut et voudra progresser dans la charité et la sainteté. Il cherchera également à promouvoir le bien en ce monastère.

Qu'Aristote l'aide dans cette nouvelle vie !

Sophie adressa alors au novice un grand sourire et lui dit :

Frère Yan, à toi maintenant de prononcer, devant l'assemblée ici présente et témoin de ton serment, les voeux mineurs suivants qui feront de toi un oblat :

Citation:

HRP : Tu as compris déjà probablement ...

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Zoélie

Zoélie, bien que baronne, bien que Guérande, bien qu'évêque, s'était laissée emporter par la saine et joyeuse et franche camaraderie qui régnait en la cérémonie.
La Sophie avait repris les rênes et poursuivait, à présent, sur le mode cher aux cisterciens, leur inégalable mode QSLP, et elle tentait de reprendre un peu de ses esprits pour accompagner les réjouissances obligataires à venir à la suite.
Apercevant la Douce Maitresse de France qui semblait avoir quelque mal à sortir dignement de la transe religieuse qu'elle venait de vivre, elle s'approcha d'elle et lui chuchota doucement :

Ma douce dame, chère Grande Maitresse,
Ne pensez-vous pas comme moi que ces cérémonies communautaires, ce partage de la foy en toute amitié aristotélicienne peut mener à certaines révélations ? Non ?
Franchement ? Au niveau de votre vécu ? Celà ne vous a-t-il pas interpellé ? Etonnant, n'est-il point ?

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Diocèse de Rodez - militante pour la réhabilitation du point virgule ;

Armoria

Elle ne put réprimer un léger sursaut de surprise : une Evêque, en plus... Ses joues s'empourprèrent encore un peu, quand la stupide idée que ce qu'elle venait de découvrir se lisait en lettres de feu sur son front.

Interpellée, c'est le moins que l'on puisse dire, en effet... C'est la seconde fois que j'assiste à un miracle, et celui-ci était encore plus... retentissant que le premier. Il faudrait, en réalité, que tout cela soit dit à la face des hérétiques, Monseigneur... ?

Ellya

Elle écouta ses frères et sœurs chanter chacun à leur tour, ses yeux jonglant au rythme des couplets.

L'avant-dernier fut particulièrement discret. La jeune fille chercha longtemps du regard qui diantre avait été rajouté dans la chorale. Mais personne n'avait été rajouté. C'était juste le prévôt, le bougre avec si peu de manières qui chantait aussi doucement que Ellya elle-même.

Sourire malicieux aux lèvres, certaine de ne pas oublier un tel moment, c'est à ce moment qu'elle vit son fiancé s'éclipser de l'abbatiale. La surprise se dessina sur son visage et elle allait s'élancer vers lui, folle de joie, quand elle vit son vénéré Père Bardieu entamer la bénédiction. Elle ne pouvait décemment pas sortir de suite.

Elle se dirigea donc vers sa tata, non sans écraser quelques chausses au passage, et poser un tendre baiser sur sa joue. Sans un mot, elle s'assit à ses côtés. Elle regarda son recteur faire son apparition, folle de joie à l'idée qu'il ne rejoindrait pas le Très-Haut de sitôt.

Et l'intronisation débuta. Les souvenirs affluèrent, et la sensation de ses pieds engourdis aussi. Une intronisation n'est pas aisée! Ellya avait dû rester de nombreuses heures debout, immobile, avant d'avoir la chance d'être Cistercienne.

Fort heureusement pour ses frères et sœurs, ils n'auraient pas à subir cela en ce jour. Leurs discours secouèrent son petit cœur de bonheur, en particulier celui de Mary. Depuis leur rencontre à Montélimar, Ellya n'avait cessé de l'apprécier toujours un peu plus, de jour en jour. Si elle l'avait guidée, Mary lui avait également apportée beaucoup. Quand Sophie lui eut remis l'habit Cistercien, la jeune fille s'approcha de la toute nouvelle Oblate et l'enlaça de ses menus bras.

D'une voix émue, elle approcha ses lèvres de son oreille,

Bienvenue, Mary. Bienvenue, ma sœur.

Après lui avoir adressée un charmant sourire, elle se tourna vers Arthur pour lui effleurer la joue de ses lèvres, fraternellement.

Bienvenue à vous aussi.

Elle attendit que Yan ait fini ses vœux, pour reproduire le même geste, se demandant un instant si elle avait le droit, au fond.

Bienvenue, Yan.

Laissant les derniers mots être dis, Ellya finit par sortir discrètement du saint lieu pour se rendre au mariage de sa filleule.

Zoélie

Armoria a écrit:

La jeune femme qui avait bel et bien exercé, comme souvent , son sens intuitif pour deviner les gens, se sentit néanmoins un peu sotte et interloquée d'avoir ainsi osé interpeller la successeuse du très décédé Juliano l'imbu, lui-même venu après le controversé Heraklius, qui suivit le sieur Biquette et son étonnante (épouvantable) dentition...et... bref !...sans s'être elle-même présenté au préalable.
Elle réfléchit un instant, ne voulant pas paraitre ni mijaurée, ni ignorante, ni trop fière, ni rebelle, ni Dieu, ni maitre.. Euh, non ! La, elle se laissait emporter, comme souvent, dans des réflexions intellectuelles mais intempestives qui la dépassaient.
Elle revint à son propos et à son sujet.. Euh, non encore une erreur ! Pas à son sujet, mais...à sa Maitresse, la Grande Maitresse. Elle chuchota pour ne pas déranger la suite de la cérémonie.

Excusez-moi, Votre Grâce, Noble dame, Ma chère Paire...hmm...J'ai omis de vous dire qui suis-je...
Modestement, évêque, et baronne, et nonce apostolique et procureure de la Très Sainte Inquisition et euh... c'est tout, je crois. Je suis Zoélie de Guérande, résidente de la ville d'Albi en Toulouse ; mon diocèse est celui de Rodez, sis en partie en Rouergue..

Elle soupira....pfff.... Les découpages ! Vous savez bien ! et poursuivit:
Il est bien possible que vous ayez un courrier de ma part, d'ailleurs, à un quelconque moment.. Et sinon ? Les cisterciens ? Ils se la pètent un peu pour impressionner leurs nouvelles recrues, non ? Vous ne trouvez pas ?

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Yan de Kerch

Yan écoutait sa soeur et son frère prononcer leurs vœux, tout en se souvenant de la démarche qui l’avait conduit à ce jour ou il allait intégrer la grande fraternité des Cisterciens.
Comment aurait-il pu échapper à l’attraction des valeurs que ce saint homme, SAINT-ARNVALD a répandu autour de lui. Servant son Église sans relâche, avec opiniâtreté, dans l’abnégation totale de lui-même. Glorifiant notre Seigneur, se dévouant pour son prochain. Comment aurait il pu faire autrement que d’essayer de marché dans les pas de ce saint patron aristotélicien du triptyque JUSTICE VERITE INTEGRITE. ?

Yan s’avança , l’émotion et la détermination dans la voix, pour prononcer ses vœux.

Promesse de Stabilité :

Par le vœu de stabilité dans sa communauté, l'oblat, confiant en la Providence de Dieu qui l'a appelé en ce lieu et dans ce groupe de frères et soeurs, s'engage à employer là, avec constance, les instruments de l'art spirituel.

Promesse de Conversion de Vie :

Par le vœu de conversion de vie, l'oblat, cherchant le Trés Haut dans la simplicité de son cœur, sous la conduite de la Vita de Christos et du Livre des Vertus, s'engage à la discipline cistercienne.

Promesse d'Obéissance :

Par le vœu d'obéissance, l'oblat, aspirant à vivre sous une règle et un abbé, promet d'accomplir tout ce que les supérieurs légitimes ordonneront suivant les présentes Constitutions. Renonçant ainsi à sa volonté propre, il suit l'exemple du Christos obéissant jusqu'à la mort et s'engage dans l'école du service du Très-Haut.

Yan, en toute simplicité, sourit à sœur Sophie avec qui il travaillait pour la renommée de l’Ordre dans tout le Royaume

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Marymetal

Mary se fit revêtir par la soeur Sophie. L'ensemble de l'habit n'était pas des plus légers, mais ses épaules supportaient avec aise les tissus supperposés. Elle était toute heureuse. Enfin cistercienne! Ouah.

Elle s'était replacée aux côtés d'Arthur. Lui souriant, les joues rouges. Et c'est avec surprise qu'elle vit Ellya se lever des rangs. Elle n'osa pas trop bouger, et la voyant commencer à l'enlacer, elle sourit et ferma les yeux en l'entourant légèrement de ses bras. Elle la sentit tappoter dans son dos, et lui souhaiter la bienvenue! Tout cela lui rapella une famille qu'elle n'avait jamais eut.. Et ça la toucha énormément, que l'Homme pouvait être bon parfois. Qu'elle se sentait bien ici...

Dans un souffle, elle la remercia. Puis elle sourit devant la bise chaleureuse au frère Arthur, puis se reconcentra, un peu à l'ouest tout d'même, sur les voeux du dernier intronisé.

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Alatariel

[i]Alatariel suivit l'office avec recueillement, jusqu'à ce qu'elle voit pointer le bout du né de Mary. La Grand Maitre de la Garde robe se redressa et ne put réprimer un sourire radieux sur son visage.

Elle n'avait pas été prévenu que sa jeune protégée entrerait chez les cisterciens ce jour et en était agréablement surprise. Seule l'idée de savoir que la jeune couturière allait elle aussi faire veut d'humilité la rembrunit. Plus aucune couturière n'allait pouvoir porter ses créations a ce rythme là.

Les yeux de l'angevine fouillèrent l'assemblé à la recherche d'une autre bonne surprise... Elle apperçu de loin la Princesse et Zoéli, ancienne diplomate orléanaise

Sophie_Ancee

Alors que Yan prononçait ses voeux, Sophie aperçu dans la foule des présents, Monseigneur Zoélie avec qui elle avait récemment échangé à Rome autour du pénis d'Oane. Il nota mentalement d'aller la saluer.

Le Frère Yan en avait fini et Sophie lui fit signe de s'agenouiller. Elle lui imposa les mains et dit, comme pour les deux précédents :

Yan de Kerch, par l'imposition de mes mains, je te consacre en ce jour oblat cistercien de la Sainte Église Aristotélicienne.
Ô Dieu, toi qui connait ton fidèle, donne lui la force de guider ton église dans l'exemple de Christos ! Que la Sagesse d'Aristote l'éclaire et lui apprenne à l'aimer, à agir selon la volonté de Dieu et à faire le bien dans le monde !

Sophie se rendit alors compte qu'elle n'avait plus d'habit cistercien sous la main... Seuls deux avaient été prévus.
Elle demanda à un jeune novice d'allez en vitesse en chercher ... et pendant ce temps, Yan restait à genoux. L'entrée dans l'ordre était parfois un long chemin de rigueur.

Après trois petites minutes, le novice revint tout essoufflé. Il avait du battre le record du tour du cloitre. Sophie vêtit alors Yan de l'habit cistercien et lui dit comme aux précédents :

Mon Frere, tu porteras désormais l'habit cistercien, symbole de ton engagement dans notre communauté.

Tu y trouveras :

- La calotte : symbole du salut qui protège le profès des forces du mal.
- La capuchon monastique : gage du salut éternel ou auréole de gloire.
- La nouvelle soutane : symbole du passage de l'homme ancien à l'homme nouveau.
- La ceinture : symbole de la force, l'exigence et l'ardeur dans la lutte de la vie.
- Le manteau : symbole de la gloire, l'allégresse et la joie.
- Les souliers : symbole du cheminement nouveau et évangélique qui surmonte toutes les ruses du mal.

Après cette pause vestimentaire, Sophie continua :

Mon Frère, cher vice-légat, soit le bienvenu parmi nous. Continues de te montrer digne chaque jour de porter cet habit. Marche dans les pas de St Arnvald et St Benoit.

Alors que Yan retournait s'asseoir, Sophie fit signe a ses frères et soeurs chargés de la communion et du partage du pain (sûrement rassi vu la longueur de la cérémonie et le fait que le père Bardieu avait anticipé pour le découper...). Elle se mit ensuite en retrait.

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louis1er

Je regardais la suite de la cérémonie l’esprit plus reposé et calme, c’était désormais le moment de l’entrée dans les ordres de nombreux novice Cistercien. Je me sentais à nouveau moi-même, j’étais de retour sur terre après ce voyage intense au cœur de la méditation et de la foi.

Un part un les novice devenait, sous les mains de sœur Sophie_Ancee, de nouveau chantre de la sagesse, de l’amour et des vertus sortirais de cette chapelle. Je prenais un peu le temps de regarder qui était présent au sein de l’assemblée.

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Duc de Bielle

Armoria

Elle répondit à Zoélie, à mi-voix, pour ne pas troubler la cérémonie :

Oh... Enchantée, Monseigneur. Armoria de Mortain.

Oui, elle avait pour habitude de se présenter avec sobriété, parce qu'elle le val... Euh parce que. Pas le PARCE QUEEEEEEEEEE de certaine boisson à la robe orangée teintée de rouge, hein, juste un petit parce que classique. Normal, quoi. Ahem. J'en étais où, là ? Ah oui, pardon.

Inquisition, disiez-vous ? Intéressant... Une lettre ? Eh bien je la lirai.

Elle pouvait de moins en moins cacher, à elle-même, en tout cas, cette espèce de fascination morbide pour les bûchers et la question. Des bribes de souvenirs remontaient du fond de ses nuits, mais l'éveil se chargeait de céler tout cela à sa conscience.

Je trouve qu'il est bon de bailler de la solennité lors d'une cérémonie... Cela permet de se mieux souvenir des mots que l'on y a dits, et des serments prononcés...

Horsem@n

Sans être décontenancé, Horse avait suivi toute l'agitation que provoqua l'arrivée du frère Roger. Tout cela l'avait laissé un peu interrogatif, surtout pendant un jour de cérémonie et de recueillement comme celui-ci. Mais il préféra ne pas se poser de questions inutiles, il savait que le Très Haut veillait toujours sur ce lieu saint.

C'est avec plus d'intérêt que le Chancelier des Semper Vigilans regarda l'entrée des nouveaux membres. L'instant où on intègre un Ordre est souvent empreint d'une atmosphère pleine d'émotions. On pouvait voir la foi et la détermination de chacun dentre eux, des valeurs que tous les Semper partageaient.

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Zoélie

L'évêque de Rodez se concentra sur la cérémonie après avoir glissé en apparté à sa voisine :
Bien sûr, vous avez raison, dame. C'est toujours avec émotion que je célèbre moi-même tout office, même le plus simple. Partager l'amitié dans la communauté de nos frères et soeurs est toujours un moment privilégié.

Il est vrai que la cérémonie était importante pour les trois personnes qui étaient là, sous les regards de leurs amis et des membres de l'ordre, un peu empêtrés dans leurs habits tout neufs, mais fiers et dignes.
Elle se demandait ce que le protocole cistercien exigeait à présent.

Y aura-t-il un petit buffet ? Je n'ai pas pensé à demander...

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neocor

Neocor, dissimulé en un endroit plus sombre assistait à cette cérémonie avec grande émotion. Il souhaitait ardemment intervenir à la suite afin de faire communier de la plus aristotélicienne façon les nouveaux promus...

Il se déplaça légèrement, évitant Monseigneur Zoelie de manière ostensible et s'assit finalement sur un banc proche du Choeur...

L'oeil pétillait de joie, et il est certain que le définiteur prenait grand plaisir.

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Frère Cistercien. Archevêque de Tarentaise.

Armoria

Et voilà... Mettez deux femmes en présence, et vous êtes assuré du bavardage...

Un buffet ? A dire vrai, je l'ignore : en général, au sortir d'un office, je n'ai guère faim... Sans doute une manifestation de la foi, je ne sais.

La cérémonie continuait, et parler lui en faisait perdre une partie, mais comment le dire à un Evêque sans paraître brutale ou inconvenante ?

mmm mmm

Evêque, certes, mais femme... Et les femmes sont coquettes. Idée.

Oh, regardez, la dame Alatariel : elle fournit des toilettes magnifiques pour la Maison du Roy... De la belle ouvrage, vraiment.

Appât lancé, et confirmé par un discret signe de tête et un sourire vers ladite.

Zoélie

Monseigneur Guérande tourna son regard vers la dame indiquée. Il lui semblait l'avoir déja croisé, mais où ? Alors là, aucune idée... Elle avait tellement voyagé depuis Orléans et rencontrer tant de monde.
Pourtant, elle n'oubliait que les pénibles en général et là, il lui semblait avoir quelque bon souvenir. Puis soudain, le mot percuta dans son esprit - des toilettes ? magnifiques ?

Ah, vraiment ? Elle est douée ? Voyez-vous, il me faut absolument une personne compétente ; il parait que ma dernière soutane, une merveille pourtant, coupée dans un tissu que j'ai fait venir à grands frais d'Italie, était... heu...transparente. Imaginez-vous comme l'église s'est emplie quasiment à vue d'oeil, ce jour-là ! Le Très Haut me patafiole ! J'en rougis encore !

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Armoria

Une punition. C'était une punition, forcément. Ses yeux se levèrent vers l'un des vitraux, tentant d'y trouver le force de rassembler un peu de patience. La peste soit des femmes et de leur langue plus rapide que le... Non. C'était une épreuve. Elle devait faire montre de tempérance, et de sérénité.

Respirer.

Elle hocha imperceptiblement la tête, sans toutefois répondre. De nouveau, elle regarda la cérémonie, portant sa main sur son Etoile. Seigneur, donnez-moi la force de surmonter cette épreuve inattendue, et de me montrer patiente et compréhensive, se dit-elle.

Zoélie

Lors, il ne se passait plus rien. Les intronisés nouveaux attendaient debout devant la soeur Sophie Ancée. Tout le monde semblait perdu dans ses pensées.
Elle jeta un oeil sur la récente veuve, à ses côtés. Elle avait posé sur son coeur l'étoile d'Aristote et semblait s'abimer dans des réflexions lointaines.
Il est vrai qu'elle se relevait à peine d'une transe extatique.
La jeune évêque se demanda un court instant si elle n'assistait pas en direct à l'appel du Très Haut près d'une âme tourmentée par sa peine et son chagrin. Elle décida de ne plus rien dire et resta à l'observer discrètement du coin de l'oeil.

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Armoria

Voilà... Retour du calme et de la sérénité, voyant de la tempérance au vert. Tout allait bien. Comme souvent, la froideur de son étoile avait fait son oeuvre. Après tout, sa voisine était bavarde, certes, mais pas de quoi fouetter un chat, n'est-ce pas ? Et puis, elle était Evêque, et chargée de l'Inqu...

Tilt.

Oh, puisque vous parlez de la Saincte Inquisition... Savez-vous si les requêtes sont promptement écoutées ? Parce que j'ai une plainte à déposer, concernant un Duc qui a rompu la trève de Pâques en faisant massacrer des innocents, et qui non seulement ne le regrette en rien, mais en outre s'en est vanté par voie d'affichage... Je suis tenue d'attendre quelques jours, toutefois, avant que d'en aviser Rome, mais Monseigneur Lolotse est au courant de ces faits.

L'idée lui était venue que si c'était une épreuve, c'était aussi un signe : ce qu'elle allait dire permettrait peut-être à la foi d'être fermement rétablie en Bourgogne.

Lolodrogba24

Tout était revenu au calme, Lolodrogba avait été un peu surpris par les évènements qui s'était passé mais ses pensées étaient ailleurs, elle était rentrée dans l'abbaye après lui mais elle n'était pas à ses côtés , pourquoi........

Il n'avait même pas pu la voir tellement les choses se passaient que enfin en se retournant il la vit toujours aussi belle mais elle le regardait avec un visage plus froid que d'habitude...

Il réussit à se faufiler à ses côtés puis lui prit la main et la lui réchauffa.

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ladycharmed

Ladycharmed après tous ces rebondissements se pose sur le banc et regarde s'avancer les novices.

Elle se permet alors de regarder les personnes présentes et salue d'un sourire ses connaissances et amis.

Louis1er qu'elle a fessé pour lui donner son premier souffle, Hildegarde son amie et l'amie des Semper Vigilans, Néocor son ancien prieur et tant d'autres qui tous réunis symbolisaient l'Amitié.

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Prospero de Milan

Prospero arriva dans la grande abbatiale et se trouva une petite place pour assister à l'intronisation des trois novices.
Il se disait qu'il serait bientôt à leur place si Aristote le voulait bien, et cela l'emplissait mais lui donnait quand même aussi pas mal le trac...
Il salua Lady, Zoélie, Néocor, et se concentra sur la cérémonie.

neocor

Neocor se leva enfin, ayant réussi à rompre en lui le charme de cette cérémonie qui le paralysait presque... Se dirigeant vers le Choeur et faisant face à tous :

Eminences, Excellences, très estimés membres et responsables de la Garde Episcopale et des Ordres militaro Religieux, gens de toutes conditions, mes Frères et mes Soeurs !

Vous êtes venus, vous avez vu, vous ... enfin vous êtes là ! Comment vous remercier de votre présence pour fêter notre bon Saint Arnvald ? Et bien, il est apparu qu'un vieux Cistercien de la presque première heure pouvait vous donner ce qu'il y a de plus grand, de plus magnifique, de plus... vous voyez ce que je veux dire, n'est-il pas ?

Nous sommes sur un nuage ! Et quel nuage ? Le nuage de l'Amour, celui qui nous fait voir ce qui est invisible, seulement imaginable, eh eh... Et chacun, dans ce nuage imagine à sa guise... Croyez vous que St Arnvald nous l'aurait reproché ? Allons, St Arnvald laissait une grande place dans la vie de chacun à l'improvisation. Il est dit quelque part qu'un jour il péta une sandale alors qu'il se rendait en un lieu sacré éloigné de tout, dans une nature hostile et surtout pierreuse ! Et que croyez vous qu'il fit ? J'en vois déjà qui se disent en douce qu'il s'est enroulé le pied dans des chiffons ! C'est mal le connaître...

St Arnvald appela un de ses disciples assez ventripotent, et songeant que celà l'aiderait à perdre de son organe ventral, il monta sur son dos en lui criant dans l'oreille : Avance bourrique, je vais être en retard ! La suite nous importe peu... Nulle part il n'est dit si ce cortège arriva à destination, mais on s'en moque !

Une mention spéciale pour nos Frères et Soeurs des Ordres Religieux qui sont présents. Nul doute que sans le désirer, ils m'inspirent ! Debout, mes Frères, debout mes Soeurs, faites le pas ! Et l'un après l'autre s'il vous plait ! En l'honneur de ce Saint qui savait marcher sans godasse, mais aussi en celui de Marymetal, Yan de Kerch et Arthur de Nivellus, faites la file jusques à moi et venez communier !

La Communion ! Oui, c'est là que nous avons la démonstration parfaite que nous sommes unis, que l'Eglise Aristotélicienne a raison en tout et que tout ce qui n'est pas intime avec Elle est nul et non avenu !

Debout, venez humer et prendre en vous le divin morceau d'Aristote que je vais vous introduire... Je vous aime, mes Frères et Soeurs, et cette Communion, je vais vous la donner comme jamais je n'ai su le faire... Alors, en ordre, bien sagement, venez, venez, et n'hésitez pas à dire ce que vous avez sur la patate en cet instant précis !

Un sourire ravi, apparemment satisfait, Neocor alla chercher ce qu'il fallait, le produit quoi... et attendit les premiers arrivés.

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Frère Cistercien. Archevêque de Tarentaise.

Ijarkor

L'enthousiasme - le mot était approprié - provoqué par la résurrection de Frère Roger était retombé, et la cérémonie avait repris un cours normal. L'ordination des Oblats se faisaient dans le calme.

Ijarkor suivait avec attention la cérémonie, intéressé par ce rituel qu'il ne connaissait guère. L'assistance était silencieuse, à part deux pipelettes qui chuchotaient à l'autre bout de l'abbatiale. Ijarkor sourit en se souvenant d'une vieille maxime de Saint-Menbouchincoin.

Citation:

Le Très Haut a fait les femmes sensibles comme Christos,
alors pour respecter l'équilibre entre ses Prophètes,
Il les a fait bavardes comme Aristote.

Mais voila que le Père Neocor proposait la communion. Neocor ! Ijarkor se rappelait comme si c'était hier de la cérémonie du 1er pélerinage de Bourges, où il avait reçu le baptème de ce même Père Neocor. Il n'avait pas changé: toujours autant de verve malgré son age avancé. Ijarkor écouta son sermon.

La communion en file indienne ? se dit-il. A Guéret, on mange et on boit tous ensembles autour de l'autel... Faut croire que les rituels varient... Enfin, comme on dit: à Rome, fait comme les Romains.

Aussi se mit-il dans la file et attendit-il son tour.

hildegarde la pure

Il arriva vers elle et lui prit la main... elle l'accueilla avec un regard et une froideur inhabituelle... le lieu n'était pas propice aux explications... et bien au delà de la colère qu'elle avait ressenti... le manque de lui avait été grand... quelques minutes plus tard elle lui caressa machinalement le dos de la main du bout du pouce mais ne lui dit rien... son regard était simplement triste et ailleurs...

Elle serra ses petits doigts froids dans sa main d'homme fort et continua de prier...

Sophie_Ancee

Dignitaire parmi les dignitaires, Neocor avait gratifié l'assemblée d'une chouette invitation à la communion. Il n'avait cependant pas parlé du vin... Heureusement qu'il y en avait pour le buffet d'après cérémonie...
Le partage de l'amitié Aristotélicienne pourrait ainsi continuer dans sa phase liquide (le vin étant la phase liquide du pain, c'était bien connu ... la phase gazeuse ne venait qu'en fin de repas et il restait recommandé de l'éviter).

Sophie prit donc place dans la file parmi les premiers pour pouvoir s'éclipser et faire ouvrir les bouteilles et tonneaux qui attendaient sous les tentes...
.

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Thomas de Clérel

La cérémonie réservait bien des surprises, un miracle qui se produisit, voila chose rare, les prières des fidèles réunies dans l’édifice avaient elles suent émouvoir le Très Haut ? Nul ne le saurait jamais, mais cela avait agités les fidèles, fait parler les commères et allait encore les occuper quelques jours….

Le Duc de Dun-le-Roy s’expliqua le miracle par la présence du vieux Roger en Berry, comme le signe de la volonté du Très Haut de vouloir qu’il cesse de vivre au milieu des limousins, ces êtes perdus et rentre au plus vite en Berry, cette terre où avait vécu saint Arnvald, où l’ordre cirstercien c’était développé et qui ne l’avait jamais trahit.

Regard vers l'assistance, écoutant les paroles du père Neocor, le fugace curé de Bourges, et cherchant des visages connus.

ladycharmed

Ladycharmed d'un regard enjoignit Les Semper Vigilans aux couleurs de l'Eperon à la suivre pour la Communion. Tous étaient des enfants d'Aristote et de Christos et partager le pain (et le vin!!) avec leurs Frères et Soeurs serait un rappel des valeurs d'Amitié bien souvent oubliées au profit du prestige, du pouvoir et de la gloire.

Lady Salua Propero juste devant elle et fit un pas de côté afin de rejoindre la file des Fidèles.

Elle partagerai cette offrande en pensées avec son fidèle Sénéchal Arkin de Mellédhor dont la santé l'inquiétait.
Il aurait tant aimé être ici à leurs côtés.

Lady vit Son Ordre la suivre cérémonieusement et elle était fière de leur belle Humilité et de leur Foy profonde.

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Marymetal

Mary se faufila entre deux de ses frères, légère. Elle sourit, un peu rouge, puis attendit avec la lonngue file de fidèles qui s'allongeait pendant que le dignitaire invitait l'assemblée.
La communion! Elle aimait bien ça Mary. :p

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Ellya

A la queue - leu - leu -, Ellya rejoignit ses frères et ses sœurs sur le " nuage de l'amour " comme l'avait si bien dit Neocor.

D'ailleurs, c'était bien la première fois qu'il allait lui donner la becquée...

METEORITE

Le moment de l'invitation à communier était arrivé et sans attendre Meteorite se glissa dans la file à hauteur du Grand Maistre Ladycharmed...
Un salut de la tête à Messire Prospero, un sourire à son amie Hilde et patiemment attendit son tour...

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ptitmec13

Lorsqu'il fut temps de la communion Ptit se leva et suivi le Grand Maître Ladycharmed dans la file des fidèles.
Elle détonnait un peu au milieu de ses frères par sa petite taille mais elle était une Semper et fière de l'être.
Elle avançait au meme rythme que les autres, pas aprés pas, attendant patiement son tour.

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Armoria

Nul doute, cette célébration était placée sous le signe de l'allégresse... Elle se prit à penser à des offices où les fidèles chanteraient gaiement des airs entraînants, dont certains improvisés, avec un enfant qui donnerait le rythme en tapant avec ce qu'il aurait sous la main. Gosse, pelle, quelque chose du genre.

Aussi, quand elle se leva, avait-elle un air qui lui trottait dans la tête, qu'elle fredonna à voix à peine audible :

Mets tes deux pieds en canard
C'est la communion qui démarre ;
En avant, frères prieurs,
La communion, c'est le bonheur !

Acceptez l'humble ripaille,
Pour pas que votre Foi défaille,
Tout ira bien si on le veut,
La Communion, c'est Gloire à Dieu.

adalberic

Adal avait un peu perdu le fil de la cérémonie. Déjà peu coutumier de ce genre de réunion, il était frappé par ce qui venait de se passer. Il avait donc laissé son esprit vagabonder sans rien suivre de la suite des évènements.

Ce n'est que lorsque le Grand Maistre se leva qu'il sortit de ses rêveries. Il vit ses Frères se lever et en fit de même. Ce n'est qu'au bout de quelques instants qu'il comprit que c'etait l'instant de la communion. Il regarda autour de lui et vit le Grand Maistre saluer de la tête des personnes qu'il ne connaissait point, son Frère Lolo avait joint ses doigts à son amie Hildegarde la Pure, et ses autres Frères attendaient sagement leur tour.

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Horsem@n

Horse se leva en même temps que ses frères et soeurs Semper et les suivit pour communier à leurs côtés, ainsi qu'avec tous les fidèles d'Aristote présents dans l'abbaye.
Il se plaça dans la file en ordre hiérarchique derrière son Grand Maître Ladycharmed, il avança patiemment.

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Zoélie

Armoria a écrit:

Zoélie sursauta tout de go, à l'écoute du murmure fredonné par sa voisine. Paire, grande maitresse, transfigurée, transcendentale et totalement illuminée, voila qui faisait pas mal pour s'affirmer en une cérémonie dédiée à Saint Arnvald le justicier.
Elle jeta un regard autour d'elle, et tout bientôt, emportée par la fougue et l'élan de sa jeunesse, elle enchaina, à la fois pour échapper à la communion queue-leu-leu initiée par le viel officiant et aussi pour symboliser ce partage de l'amitié tout aristotélicienne :

Voici la fête! Arnvald est grand !
Nous sommes tous ses enfants
Communions tous ensemble,
C'est l'amitié qui nous rassemble
Gloire au Tres haut, Très Haut !
C'est lui qui qui nous permet
De communier dans la Gaieté.

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Diocèse de Rodez - militante pour la réhabilitation du point virgule ;

Eloin

En retard... Totalement...

Mais c'estoit pour la bonne cause, elle venoit tout juste d'achever la cérémonie de mariage dans la chapelle latérale. Rien ne fut laissé au hasard, pour que tout se passe bien, et la cérémonie fut belle et sans immprévus. Le genre de célébration qui luy plaisait, en somme.
Et elle arrivoit donc dans l'abbatiale au moment de la communion, dirigée par le père Néocor dont elle venoit tout juste d'entendre les dernières paroles. Ce qui luy tira un sourire, elle qui n'avoit encore jamais ouï le vieil home parler avec une telle emphase.
Se glissant dans les rangs emplis de fidèles, elle parvint à rejoindre le choeur et les membres du chapistre, prenant de fait la file d'attente en marche, attendant son tour pour communier.
De loin, elle reconnut la grand maistre de france, à qui elle adressa un signe de teste respectueux, et un aultre à sa voisine, qu'elle avoit reconnue pour l'avoir croisée à Rome, dans l'aile réservée aux membres de la nonciature.
Heureuse de voir que la cérémonie dédiée à Sainct Arnvald avoit reçu un tel accueil et rencontrait un tel succès, Eloin sourit à soeur Ellya, à quelques pas devant elle.

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Utilisez MSN pour me joindre uniquement en cas d'urgence, SVP.

Armoria

Diantre, sa ritournelle faisait écho ! Un signe de tête en réponse à Eloin, le souvenir fugace d'une sarabande dans le Maine, et d'un Erik en chemise de nuit, une pantoufle en perdition... Mais l'inspiration, que voulez-vous, l'inspiration ! Le chant qui se créait dans son esprit et franchissait ses lèvres sans effort prit des accents plus doux :

On communie les uns après les autres
On prie les uns avec les autres
On se soutient, on se cajole
On se comprend, on se console
Et au bout du compte
On se rend compte
Qu'on n'est jamais tout seul au monde

Titca

La Novice après avoir laissé passer toutes les personnes importantes présentes, prit place et attendit sagement son tour, souriant à Soaz, Titca veillait à ne pas trop la perdre de vue, une main douce se posa même sur le bras de son amie, elle qui n'était jamais loin lui donnait assez de courage pour supporter cette sensation d'étouffer encore un moment, la cérémonie serait certainement bientôt fini et l'air du jardin lui fera oublier ce léger désagrément. Lançant un regard vers Monseigneur Nainainus, la jeune femme lui sourit avec un petit geste de salutation discret pour ne pas trop attirer les regards sur elle.

Après quoi, Titca se pencha vers Soso et lui murmura tout doucement pour que personne ne puisse comprendre les quelques mots.

J'aurais besoin de ton aide, pourrait-tu quand tu auras le temps venir me rejoindre dans ma cellule ?

Puis se redressant, la novice sourit et accorda un clin d'œil à Dame persil, avant de se replacer bien sagement en rang, histoire de ne pas se faire voir de son parrain. Un coup d'œil à gauche le même à droite, puis un sourire satisfait se dessina sur ses lèvres.

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crapaudine

un baiser sur la joue la fit sursauter, elle se tourna vers sa gauche, un sourire naquit sur ses lèvres, sa nièce Ellya l'avait rejointe. Il tardait à la chaurrienne que la cérémonie se termine et qu'elle puisse passer du temps avec elle.
Mais quelques minutes après la voici qui se relève, avait elle donc des problèmes intestinaux qui l'empêchaient de rester en place ? La regard de la tantine la suivit inquiète, regard qui se fit honteux en remarquant qu'une file s'était formée pour recevoir la communion et elle était là assise sur son banc à rêvasser.

Ni une ni deux, Crapaudine se leva à son tour et se plaça dans la file.

hildegarde la pure

Hildi fut tirer de sa prière par une chanson que quelqu'un dans l'assistance pensait si fort que celà résonait dans sa tête... une histoire de canard et de file... Elle ouvrit ses grands yeux bleu azur et alla vers la communion... saluant d'un regard ou d'un sourire des personnes qu'elle connaissait et qu'elle n'avait pas vu au préalable...

Sa main avait eu du mal à quitter celle de Sieur Lolodrogba...

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Hobb

Hobb, encore sous le coup de la venue de cet aigle que d'aucun avait appelé Teutonique, se leva pour prendre rang dans une colonne qui s'avançait vers l'autel pour la Communion.
Que d'émotions, le retour de Frère Roger, avec cet aigle les voeux, Mazette, la cérémonie resterait dans l'histoire.
Le diacre Helvète resta néanmoins dans une attitude des plus ferventes.

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Honoré.Saint_Cyr

Honoré fut quelque peu bousculé par ses divers voisins, dont Ijarkor..ça y est? lui demanda-t-il La cérémonie est terminée?...

Le religieux s'aperçut rapidement que ce n'était pas la fin, que nenni, les fidèles, tels des moutons rassemblés par le chien du berger se dirigeaientt vers l'autel, sans doute pour commmunier se dit le curé, qui se demanda tout de même s'il ne s'était pas assoupi car il lui semblait avoir loupé une partie de la cérémonie.

Ce qui l'inquiéta surtout c'est de savoir s'il avait ronflé...mais ça c'était du temps où le vin ruisselait, c'était du temps...bref...Honoré releva sa soutane pour rattraper le père ijarkor dans la file, c'est ainsi qu'il exhiba ses mollets de coq, pas de quoi mettre ces dames en extase, non pour le joujou extra c'était plus haut...Le curé lacha sa robe et se fit une pincette discrète...pour tes pensées impures, ça t'apprendra Saint-Cyr..se dit-il...Non mais...

frère roger

Le vieux roger arriva en retard au pas de charge. Roger était venu avec sa toge abbatiale d'apparat, sa mitre de recteur cistercien et son pallium d'évêque canonique.

Excusez moi de mon retard, mais j'ai un des ces plannings chargés depuis mon retour à la vie, entre les interviews de la presse people et mes dossiers en retard, j'ai pas vu le temps passé.

large sourire pour décontracter l'atmosphère.

Vous savez que la tradition veut que la cérémonie ne se clôture pas sans un partage du vin et du pain pour célébrer l'amitié aristotélicienne. Bien, disons que mon séjour ad patrès m'a rendu moins conventionnel qu'auparavant. Le beau soleil de mai me donne des idées assez fun à vrai dire. Loin d’ici les profanes, les impies et tout ceux dont l’âme est souillée. Mais que les autres me suivent pour un barbecue et un pique-nique improvisé dans la grande tente prévue pour la garden-party de ce soir. Par ICI, les amiches.

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le vieux roger prend sa retraite bien méritée ...

Marymetal

Après avoir reçu la communion comme ses petits camarades, Mary s'était mit dans un coin de la pièce, et pria. Remerciant Dieu de cette journée inoubliable et des bénéfices qu'elle en tirera. Elle dit 'merci' dans un souffle inaudible, et releva la tête.
Le frère Roger était là, au miieu de la pièce.

Ils les invitait à festoyer! Dans le jardin. Eheh! La nouvelle oblate se précipita devant lui.

Ouiiii! J'ai grand faim...
... Et j'y serais la premièrrreuh!!!

Elle hésita un instant, et pis non! Tant pis si elle se fait remarquer! Elle avait envie de courrir un peu.
Elle fit quelques pas rapides puis commença à courrir à petite vitesse, pinçant sa soutane neuve au niveau de ses genoux pour ne pas la trainer à terre. Puis elle courut.

Elle courait dans les couloirs, et elle se mit à rire. Jour heureux que la Saint Arnvald! Jours bénis que ceux des semaines! Elle était reconnaissante envers le Créateur pour toutes les choses qui rendaient la vie si belle et si riche. Merci Ô notre puissant Dieu!

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Armoria

Communion à peine reçue, cours de vocabulaire. Les amiches ? Morbleu, encore un mot berrichon, sans doute. Enfin, elle avait pour habitude de se conformer autant que faire se pouvait aux us et coutumes. Elle allait donc... amicher.

hildegarde la pure

Hildi avait les yeux clos, priant encore, lorsqu'elle entendit sa voix... cette voix... elle ouvrit les yeux et ce fut pour elle un pur Bonheur de le voir céans, debout et bien vivant... le Père Roger allait mieux... tout devait aller mieux alors... Aristote avait entendu ses enfants prier...

Elle le fixa de ses grands yeux bleu azur baignés de larmes de joie... elle était très très troublée de le voir en si bonne forme... elle lui sourit, heureuse...

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patrocle34

Patrocle reconnut certains curés dans l'assistance, il alla essayer de se rapprocher discrètement lorsqu'il entendit parler de repas.

Quittant l'abbétiale, il se dirige avec les jumeaux direction le réfectoire.

Lolodrogba24

Lolodrogba tenait toujours la main d'Hildegarde, il ne la lacherait sous aucun pretexte.

- Nous devrions aller au repas, tu viens.

Il la regarda et sourit.

hildegarde la pure

Hildi sortit de son émoi de revoir le frère en si bonne santé en entendant la voix de son futur époux, elle lui sourit...

"Oui avec plaisir, je crois savoir que des personnes sont impatientes de te connaitre..."

Elle rougit à ce moment là... elle sentit sa main dans la sienne... il avait sa confiance... ils allèrent au buffet hors de l'abbétiale...elle était très heureuse...

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Sindanarie

Elle avait suivi en silence, hormis pendant les prières où sa voix s'était mêlée avec ferveur à celles de ses frères et soeurs en Aristote, la cérémonie, et avait finalement rejoint la file de la communion, reconnaissant ici et là un visage. Les Pères Enosch et Ijarkor, surtout, il fallait bien être honnête. Et la Soeur qui l'avait accueillie la veille. Et peut-être, là-bas, Anne de Culan, l'Académicienne. Et, un peu plus loin encore... Armoria de Mortain ?! Elle ne l'avait entr'aperçue qu'une fois, lors d'un banquet en Limousin, lequel banquet avait rapidement tourné au délire avec l'arrivée d'une bande de brigands avides de ripailler. Banquet au cours duquel s'était produit ce déclic qui la poussait irrésistiblement vers un certain Lieutenant. Bref, Sindanarie semblait s'égarer dans ses pensées alors qu'elle s'avançait dans la file avant de recevoir la communion.

Inutile de dire combien lui était étrangère pareille cérémonie. De tels fastes étaient loin d'être en vigueur par chez elle. Mais... Autant de splendeurs grave dans l'esprit d'une jeune femme des souvenirs inoubliables. Et la voix forte de celui qui avait placardé en Limousin l'affiche annonçant la cérémonie se fit entendre, invitant les présents à se joindre à lui pour un... déjeuner sur l'herbe, mettons. Avec un sourire non dissimulé, la jeune femme suivit les quelques personnes qui semblaient se diriger vers le lieu qu'il avait indiqué. Peut-être y croiserait-elle des connaissances, après tout... Qui sait ? Et... Ne pas oublier. Voir, regarder. La Licorne avant tout. La cape azur ornée de l'animal mythique, symbole de son engagement, volait autour de la silhouette mince de la jeune femme, vêtue d'une noire houppelande, quand elle passa le portique de l'abbatiale, suivant le mouvement déjà engagé.

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La Sainct Arnvald