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[RP] Un bal masqué pour une fin d'année

--Elania


Enfin ! J’avais maintenant capté son attention. C’est qu’il en faut à ce bougre pour le distraire ! Je savais à présent que pour lui parler, je devais légèrement relever son kilt. Peut-être parce qu’il avait chaud là-dessous ?! Peut-être que le fait de relever l’étoffe alimentait son cerveau en oxygène ? Étrange cette façon de raisonner des hommes… Fallait provoquer les choses afin de centraliser leur attention !

Quoi qu’il en soit, il se retourna finalement vers moi pendant que son regard me détaillait des pieds à la tête en prenant soin de faire une pause à mi-chemin. Voilà une confirmation que j’attendais, c’était bel et bien un homme ! Aucune femme n’aurait louché ainsi sur mes courbes, enfin, pas que je connaisse ! Son regard affichait un discret malaise, de toute évidence, l’écossais n’assumait pas entièrement son costume et les risques qu’il encourait. Franchement amusée de la situation, je me promis de répéter le geste dans la soirée afin de garder l’emprise sur lui ! J’avais maintenant piqué sa curiosité et je le sentais curieux à me découvrir d’avantage. La soirée s’annonçait riche en rebondissement…

Plus il me parlait, plus j’avais un visage en tête… J’en étais presque convaincue d’avoir déjouée son jeu ! Sa voix se collait bien au minois qui planait dans mon esprit, mais il était hors de question que je me dévoile pour satisfaire sa curiosité. Le jeu était bien trop amusant pour tout arrêter si tôt et quel délice que d’être en position de pouvoir !!! Son invitation me fit légèrement sourire en coin, mais rapidement, je forçais mes lèvres à reprendre une position neutre. Voulait-il me faire perdre la tête pour avoir la chance de retirer plus facilement mon loup et ainsi, découvrir qui je suis ? C’était mal me connaître si tel était son intention ! Évidemment, je n’allais pas me priver de festoyer, mais je tins à rester maître de mes gestes ! Je m’approchai donc d’avantage de lui, ne relâchant toujours pas le rebord de son kilt, telle sa demande, et j’acquiesçai d’un minime balancement de tête à son offre. Je me devais de limiter mes paroles au strict minimum avant d’éveiller les soupçons sur mon identité.

Je plongeai de nouveau mon regard dans le sien qui se voulait interrogateur, façon de le défier sans mot dire. Je me plaisais de plus en plus de cet anonymat… Tous les coups étaient permis et je n’allais pas laisser passer l’occasion !
--Sablederiviere



Sable de rivière errait dasn la pièce un verre à la main quand son regard suivit l'étrange sieur tout coloré à l'accent étrange.
Elle sourit.

Peut-être serait-ce lui?
Je ne l'aurais jamais cru! Mais l'accent l'a trahi.


Sable de rivière était agréablement surprise.
Elle sentait que quelque chose pourrait bien changer dans sa vie...peut-être...peut-être...

Elle le suivit encore des yeux lorsqu'il invita une dame à danser.
--Grimaldi


Grimaldi entraine la dame vers le centre de la salle puis se retourne et se met en position pour danser ... Se faisant, il la détaille du regard. Est-elle jeune ou vieille? Tout à l'heure, elle se tenait penchée, mais c'est sans doute son sac qui la faisait se ployer ainsi. Maintenant, elle se tient bien droite, ayant aussi pris la pose pour danser, attendant le signal de son cavalier ... Grimaldi devine un charmant sourire sous le masque qui ne cache pas grand chose, finalement...

Attenzionnnne! On y va! Oune, due, trei!

Grimaldi entraine la dame dans une ronde effrénée. Par moments, leurs visages se rapprochent et il en profite pour lui murmurer, abandonnant son accent italien:

Vous savez le plus drôle?

Et un entrechat ...

C'est que personne ne peut me reconnaitre!

Il fait tourner la dame sur elle-même ...

Vu que je ne suis pas d'ici!

Et trois pas sur la gauche ...

Et que personne ne me connait

Et trois pas sur la droite ...

Grimaldi est soudain distrait, une dame toute habillée de vert, à la coiffure alambiquée ne le quitte pas des yeux, semblant le connaitre.

La musique s'arrête soudain, les musiciens vont se reposer un peu et boire un coup.

Grimaldi salue sa partenaire de danse.


Grazzzieeee mille, bella seniora, pour cette belle danse!

Il l'abandonne et se dirige vers la dame en vert ...
--Princesse_fiona


Etait-ce lui ? elle en était pratiquement persuadée… et puis si ce n’était pas le cas était-ce bien grave finalement ? Un bal masqué était fait de rebondissements en tout genre, et si elle ne pouvait être certaine que c’était bien lui, l’homme qui se cachait sous ce masque n’avait probablement pas non plus une idée sure de son identité.

Son regard transperçant le sien, d’une démarche presque assurée elle se dirige vers lui. Elle se tient maintenant face à lui, un sourire se devinant sous le voile de son masque. Légère révérence, limitant les paroles au maximum, de peur que le timbre de sa voix ne la trahisse.

L’orchestre est maintenant bien lancé, les participants tournant les uns autours des autres, dans un silence presque religieux, s’épiant mutuellement, essayant de percer le mystère de chacun.

Elle… n’a d’yeux que pour lui. Maintenant si proche, qu’elle sait ne pas s’être trompée sur sa personne. Son regard, elle le reconnaitrait entre mille. Son cœur se met à battre plus fort dans sa poitrine, elle se demande si lui aussi l’a reconnue. S’enhardissant maintenant que les derniers doutes se sont volatilisés, elle lui prend la main et fait un pas vers lui, ne laissant alors qu’un ridicule espace entre eux. Sourire malicieux à peine visible, elle ne détache pas son regard du sien, oubliant alors les nombreux invités autour d’eux.
--Sablederiviere


La musique s'arrete.
Le sieur coloré laisse partir sa cavalière....et se dirige vers elle.

Elle sourit mais son coeur bat la chamade, ses mains tremblent un peu.

Quelle appréhension!
Depuis si longtemps et aussi à peine entrevu... mais cet accent...il l'imite si bien.

Elle ne sait que faire.
Doit-elle feindre la surprise?
D'abord, sait-il que c'est elle? Elle, elle sait que c'est lui.
Ne l'a-t-il oubliée depuis ce moment furtif où ils se sont croisés sous une porte cochère?

Elle hésite, se demande si elle doit lui tourner le dos ou, au contraire, aller vers lui.
Ni l'un, ni l'autre sans doute.
De toute façon, elle est paralysée.
Comme elle se sent bête.

Elle se ressaisit et prend deux verres de ce breuvage d'or clair et où de très fines bulles caressent le cristal comme le bout des doigts peut carresser une peau aimée.

Elle se retourne vers lui.C'est décidé ,elle l'accueillera comme il se doit, bien et avec un verre de bienvenue.
--Grimaldi


Cette silhouette ... serait-il possible? Il y a si longtemps et c'était à mille lieues d'ici. Je dois me tromper ... quelle coincidence, c'est ... ce serait inouï! Non, non, je me trompe surement. Il est vrai que je n'avais fait que l'entrapercevoir et je n'avais pas vu son visage ...

Grimaldi hésite. La dame en vert semble perdre contenance ...

Et pourtant, si c'était elle? Ho, par Aristote! Il faut que je tente ma chance. Tant pis si je me trompe, mais ... si je ne me trompais pas ...

Le sol semble s'ouvrir sous ses pieds, l'empêchant de rejoindre la verte sirène. D'un coup la salle a doublé de longueur, non triplé, non ... centuplé! Plus il marche vers elle, plus elle s'éloigne ...

Enfin, la table finit par se rapprocher de lui et la dame avec elle. Il se sent tout à coup tout petit. Son assurance l'a abandonné.

Il n'arrive qu'à marmonner alors qu'elle lui tend un verre.


Seniorina? On ... on se connait?

Il prend le verre, leurs mains s'effleurent, se touchent doucement.
--La_manon


Un pas, la main dans celle du cavalier, puis un autre qui complète, et il parle.

Ne pas le reconnaitre, il n’est pas d’ici … Avec qui elle danse ? Elle n'en sait rien ...

Bah était ce bien important ? D’après ce qui se disait au village, la soirée était ouverte à tous.

La danse se poursuit jusqu’à ce que la musique cesse et qu’il la relâche en regardant ailleurs.

Amusée, « La Manon » constate que son cavalier d’un moment n’est peut être pas étranger pour tout le monde.


Merci à vous … l’étranger.

Elle allait peut être maintenant pouvoir aller boire ce verre qu’elle avait abandonné plus tôt … ou se trouver un autre volontaire pour enchainer quelques pas, elle n’était pas encore décidée. Elle laisserait faire le hasard.

En passant près de la dame tout de bleu vêtue, elle murmure en dissimulant sa voix, juste assez bas pour que seule cette dernière l’entende.


Vous … je crois vous avoir reconnu !

Et rapidement, elle s'éloigne.
--Diarmuid


Ah... Son aura charismatique et la lumière émanant de sa divine personne (toujours dans son imagination bien sûr), avaient-elles fait effet ? La nymphe désignée s'avançait en tout cas vers lui, d'une démarche souple et gracieuse. Pris d'un léger doute, cet Apollon mortel jeta un rapide coup d'œil derrière lui. Ouf, le buffet ne se trouvait pas dans ce coin, cela ne pouvait donc être afin de se sustenter ou se désaltérer que la mystérieuse demoiselle se dirigeait dans cette direction.

Bien campé sur ses jambes, comme si elle devait se jeter dans ses bras pour l'embrasser fougueusement, comme devrait en avoir envie n'importe quelle femme normalement constituée, même si pour lui une seule comptait, Diarmuid resta immobile tandis qu'elle s'approchait de plus en plus, indifférent aux danseurs qui tournoyaient autour d'eux dans un ballet multicolore du plus bel effet. Il laissa à nouveau son regard s'attarder sur ses formes, que, si c'était bien elle, il connaissait si bien, adorant y promener ses mains.

Devait-il faire le premier geste ? En général, c'est l'homme qui fait le premier pas, et encore plus quand on est un homme au dessus du commun des simples mortels. Galanterie, galanterie... Le temps de se poser la question, de plonger son regard dans le sien, appréciant la couleur noisette de ses pupilles, tout à fait sûr désormais qu'il s'agit de sa princesse, celle à qui il pense chaque seconde et qui le rend plus heureux que quiconque chaque jour que fait le Très-Haut, et voilà, trop tard...

Diarmuid tressaillit au contact de sa main qui prend la sienne, si douce, comme chaque parcelle de sa peau, et sourit de nouveau en sentant son corps tout contre le sien, juste séparés par le tissu de leurs déguisements respectifs. D'ailleurs, c'est fou ce qu'il tenait chaud ce déguisement. Le déguisement, ou bien la présence de, il en est sûr maintenant, la femme de ses rêves ? Au bout de quelques secondes, interminables et brèves à la fois, il se décida à prendre la parole, d'une voix plus grave qu'à l'accoutumée, davantage pour éviter que d'autres invités ne le reconnaissent que pour tromper sa dulcinée.


Belle entre les belles, m'accorderez-vous cette danse ?

Il se retint de justesse d'ajouter "M'accorderez-vous votre main et tout le bonheur que vous me donnez déjà chaque jour ?".
--Funambule
Vêtue, gantée, à demi-masquée de noir, plumes fragiles, elle entra dans la salle majestueuse.
Le crépuscule avait laissé place à la noirceur de la nuit et la lune descendante jouait les néons, dardant ses pâles rayons à travers les grandes baies vitrées.
Elle s'arrêta au seuil de la pièce.
Ses yeux balayèrent la salle, calme et silencieuse.
Vêtue d'une longue robe noire aux reflets anthracite, longues manches cachant ses mains croisées, doigts entrelacés.
De fins rubans se croisant de manière symétrique sur sa poitrine.




Vêtue, gantée, sertie de sombre, ses cheveux fins et lisses, couleur nuit glissant sur ses épaules, telle une rivière sombre et sauvage.

Elle avança lentement, saluant les êtres présents d'un léger signe de tête.
Se déplaçant en silence, elle s'approcha d'un pilier de la grande salle. Posant délicatement sa main gantée sur la pierre.
Ses yeux continuèrent d'arpenter la pièce, s'arrêtant par instant sur les gens présents, sans s'y attarder.
Puis lentement ils glissèrent sur ceux qui dansaient déjà sous les rayons lunaire et les lumières des bougies éphémères.
--Esquise



La blonde après s'être ressourcée prêt de l'orchestre se déplaça d'un pas léger et souple vers le banquet.
Là s'y trouvait des mets de différentes sortes. Fromages, pains, cochons de lait, poulardes, fruits de saison... décidément elle ne savait ou ses mains allaient se porter tellement tout lui paraissait appétissant. Saisissant de quoi se sustenter, elle se retourna pour regarder un peu mieux les gens qui déjà, pour la plupart, étaient en train de s'approcher.

Son loup surplombé de plumes épousait le velours de sa peau laissant son regard ourlé de noir en seul point de repaire...

La belle savoura de sa bouche charnue et gourmande la chaire cuite à la perfection. Cette dernière fondait entre son palet fin et ses papilles.
Et oui elle était épicurienne et aimait ravir son palet.

Passant entre les personnes présentes, elle se faufila vers un fût afin de se désaltérer et prit le temps, verre en main d'affiner la situation.

Il y avait l'homme oiseau, elle pensait d'ailleurs, d'après sa façon de danser le reconnaitre pourtant elle n'avait pas fait tellement de bal en sa présence mais parfois, quelques postures ne trompent pas après tout elle le connaissait très bien, puis l'homme au kilt avait l'air bien parti tiens, une femme déjà prise en ses filets mais qui était elle ... peut_être sa compaire du moment tiens ?
Puis ... un homme portant une lune, un masque ... tout de noir vêtu attira sa curiosité. Il était un peu plus loin que les autres, ne s'était pas encore mélangé à la foule... pourquoi ce comportement ? Cela lui piqua la curiosité. Son observation serait discrète mais bien réelle.
Tiens puis ces deux là se frôlant... hum ma petite idée tiens ... eux aussi je vais les surveiller se dit elle un sourir malicieux aux lèvres.
--Sablederiviere


Les mains s'effleurent...le frémissement parcourt le bras, traverse la poitrine et plonge dans le coeur.
Le doute n'est plus permis.
Cette sensation, elle la connait, elle l'a déjà vécu....il y a longtemps.

Le souvenir revient aussi rapide que le frémissement s'est répandu.

La porte cochère...un souffle...un contact....un regard.
Ses amis l'appellent "...... le bouc...". Il leur répond avec cet accent italien...sublime.


Serait ce son nom?
Ce n'est point possible, son parfum si discret ne fait pas penser à l'odeur du bouc.
A-t-elle bien compris? Qu'importe,elle glisse ce nom dans un petit coin de son coeur. Jamais, elle n'oubliera.


Elle le regarde à nouveau, ne sait que dire.
Citation:

Seniorina? On ... on se connait?


Malgré le trouble, elle se ressaisit.

Je ne sais.

Elle hésite un instant.

N'est-ce pas un bal masqué ici? Devons nous nous connaître par avance?
OU est-ce une occasion inespérée de faire connaissance sans à priori avant de faire tomber le masque?

Le coeur est seul juge dans ces circonstances-ci.


Elle baisse les yeux et rougit légèrement.
--Grimaldi


Il regarde la jeune femme qui a repris contenance et qui répond à sa question par une autre ...

Cet air mystérieux, cette discrétion, lui rappellent quelque chose. Mais elle a raison, autant redémarrer sur de nouvelles bases et faire connaissance petit à petit ...

Il sourit en la voyant rougir.


Vous avez raison, seniorina ... Ma qué, malheureusemente, je ne souis qu'oune voyageur de passage. Et je ne pourrai pas rester jusqu'à la fine dou bal!

Il réfléchit quelques instants.

Ca vous dirait de m'accompagner dans mon voyage? Je suis avec ma soeur. Venez avec nous, je vous prie!

Voyant la jeune femme acquiescer, il la prend doucement par le bras et quitte la salle de bal, beaucoup plus discrètement qu'il n'y est entré...
--Gatto


Citation:
Puis ... un homme portant une lune, un masque ... tout de noir vêtu attira sa curiosité. Il était un peu plus loin que les autres, ne s'était pas encore mélangé à la foule... pourquoi ce comportement ? Cela lui piqua la curiosité. Son observation serait discrète mais bien réelle.


Il avait remarqué cette jolie petite blonde, plutot sa charmante chutte de rein. Elle avait beau findre de s'intéresser à autre chose, il sentit plusieurs fois son regard sur lui. Il sourit derrière son masque et espérait de tout coeur que ce serait bien elle. Cette femme qu'il commençait à connaitre et qu'il appréciait de plus en plus de jour en jour.

Il attendit qu'elle tourne la tête une fraction de seconde pour disparaitre tel un félin. Il ne l'avait pourtant pas perdu de vue et la voyais tourner la tête en tout sens pour essayer de retrouver son gros matou. Peine perdu el gatto s'était fondu dans la foule et arriva dans le dos de la jeune femme.
Il lui murmura alors à l'oreille:


- rompi nocciola è di uscita? il rit de bon coeur de sa sotise puis lui tendit son bras. Que pensiez vous d'aller faire un tour sur la terasse et de voir le clair de lune?
--Jacqueline

Elle était très très en retard pour le bal mais ne voulait rater ça pour rien au monde. Elle avait mis tellement de temps à tenter de se camoufler qu'elle en avait perdu la notion du temps.
C'est donc en courant tant bien que mal que Jacqueline se rendit à la fête, guidée par la musique de l'orchestre.
Elle était enfin arrivée, elle ralentit son allure, reprenant son souffle, et découvrit ce qui l'entourait. Des gens se scrutaient derrière leurs masques pour la plupart et d'autres trouvaient l'occasion de s'amuser idéale, et dansaient avec entrain.
Elle se servit une bière pour se désaltérer et se mit en quête de reconnaitre au moins quelques personnes, avant d'espérer s'amuser à son tour...
_yseult_
Yseult avait appris la présence du Bal grâce à son grand frère... Le connaissant, elle était sûre et certaine qu'il s'y trouverait. Un peu en retard, elle arriva au lieu de la fête, elle entra, se présenta aux quelques personnes croisées, mais, toutes étant masquées, pas facile pour les reconnaîtres... Elle chercha son grand frère, tant bien que mal .. Ne voulant pas dissimuler son identité au risque de gâcher la surprise des autres personnes masquées, elle chuchotta le surnom qui lui était le mieux attribué

Coeur Ardent ? Coeur Ardent ? Où es-tu ?

Elle sourit toute seule, et continua à chercher derrière quel masque il pourrait bien se cacher
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