Afficher le menu
Information and comments (0)

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[rp]Il vero Gwenhwyvar

--Lacoscienza
pamphlets pour sa" grandeur" Gwenhwyvar:

Un petit rouquin haut comme trois pommes un peu appeuré s'approcha de la grande place de Reims. Il placarda sur les murs de la ville le plus des pamphlet que son maîste lui avait donné.

Citation:
En champagne.... il trouva là dedans
Une louve cachez ayant la chair entre les dents.
Nous avons parmi nous cette gente canibale,
qui se son vif gibier le sang avalle,
qui au commencement par un trou en la peau
Succe sans escorcher, le sang de son troupeau.

Comme de loin une putain fardée
Apparoit belle aux impudiques yeux
Combien que laid soit son corps vicieux
Si de plus près elle est bien regardé

Ainsi pourra l'homme plein d'ignorance
A ceux qui ont le concil traité et manipulé
Attribuer aucune sainteté
Tant seulement pour leur seule apparence

Souz un beau tiltre, un horrible blaspheme
Souz un beau fard, une laideur extrème,
Et sous le miel la mortel poison

Comme le fard et le riche ornement
comme la putain, comme laideur de vice
Nombre infini de maux pareillement
Gist sous les mots finances et justice

Or il faut à ses pieds ces blasphemes et titres
Poser et avec eux, les tiares, les mitres,
La bannière d'orgeuil, fausses clefs, fausses croix,
Et la pantouffle qu'on baisé tant de Roy.
--Celui_qui_sait_tout
Ne voulant pas surbooker la gargotte avec un autre sujet, je posterais dans celui-ci.




PRISE DE REIMS : PROLOGUE

Ils étaient tous là. Les principaux auteurs de la prise du 12 décembre étaient réunis ici, dans une caverne sombre. Quatres des personnes les plus importantes étaient debout, autour d'une grande table en pierre. Ils avaient tous le visage recouvert d'une cagoule, afin de ne pas montrer leur laideur à leur confrère. Une de ces quatres silhouaites prit la parole :

-Pourquoi avons-nous une cagoule ? Je commence à étouffer là dessous !

Un autre, à sa gauche, lui repondit d'un ton cassant :

-C'est pour pas voir ta sale geule, Pierre... Malheureusement, la cagoule n'empêche pas ton haleine de fiente de pigeons de sortir de ton gosier...

PierreSiorac lui repondit :

-Rho, ferme là, Mala ! Vaut mieux avoir une haleine de compost qu'un derriere de gorille !

Malaterre allait repliquer lorsqu'une troixieme voix extremement aigüe retentit :

-La ferme bande de bouffon décérébrés !!! Je vous rappel que nous somme ici pour planifier la prise du chateau de Reims.

A travers sa cagoule, les yeux de Pierre s'illuminerent. Il déclara, avec un accent allemand :

-Je vais dominer le monde !!!

La troixieme voix, qui était celle de Santiagoriccardo, se fit de nouveaux entendre :

-Mais c'est pas possible !!! Et on va mettre ce bouseux sur le trône ??? Enfin bref... Pask, où en es-tu ?

Une quatriéme voix resonna dans la sombre caverne, celle du dénomé Pask :

-Tout va bien. Personne, à part vous, ne sait que je suis une limace en manque. Ils vont être bien surprit, à Sainte, lorsqu'il vont comprendre qu'ils ont élu une chiffe mole comme moi à la mairie.

Santiago approuva. Au moins une bonne chose... Il posa alors une seconde question, mais celle-ci fut adressée aux trois autres :

-Bon... et votre équipement ? Epée et bouclier, tout est prêt ?

-Je n'ai pas mon épée, je l'ai prêtais à ma mami pour qu'elle puisse tricotter avec, repondit Pierre.

-Moi je l'ai oublié sur le dernier noeud où nous etions. Tu sais, lorsqu'on je m'en suis servit pour griller les saucisses ?, repondit Malaterre.

-Et moi, je l'ai brisé en voulant egorger un poulet, repondit Pask

Santiago se prit le visage dans les mains. Non... ils ne pourraient jamais y arriver avec cette équipe de bras cassés ! Mais il se souvint que lui même n'avait pas d'épée, car il n'avait pas les bras asser solide pour la soulever, même en si prenant à une main. Il posa donc les mains sur la table, et parla, sa voix temoignant de sa profonde dépression :

-Pierre... tu souhaites toujours avoir de l'argent pour te payer des catins et perdre ton pucelage ? Mala, tu veux toujours t'acheter un cerveau ? Et toi, Pask, toujours envie de te financer un elevage d'escargots ?

Les troix désignés hocherent la tête, avident de réaliser enfin leur rêves.

-Dans ce cas, nous n'aurons pas le choix... Nous devons nous prendre un Pack Furtif !


THE END
Delphirus


( vraiment tres bas et pitoyable...sourtout cacher derriere un pnj )fiere d'etre menehildienne et fiere de son maire pask!

_________________
--Lacoscienza
j'aurais aimé que ce topic reste pour les pamphlet et qu'on ne me le pollue pas. Merci


Pour toi ö Gwen

Citation:
Que certains soient assez crédules pour vous écouter (vous écouter dire, par exemple « Je représente la vérité »), arrivistes pour vous suivre ou menteurs pour s,enrichir en votre compagnie ne vous autorise pas à nous entraîner tous sans notre consentement sous votre bannière tape-à-l'oeil et de mauvais goût..."

Evidemment, en se donnant un aussi beau satisfecit moral, innocent comme l'agneau qui vient de naître dans ce vilain monde, on s'y retrouve toujours !

De la grosse ficelle, car en fait vous avez choisi, flattant le climat insipide de notre époque qui vomit tout ce qui peut être du ressort de la fidélité et de l'engagement.

Ce qui manque alors dans le tableau parfait de cet arrivisme grandiloquent, ce sont les étapes.

ça sonne foutage de gueule dans les grandes largeurs
Loin de l'imaginaire, des heures passées à travailler, à construire, à rêver et là par bassessevous la réduisez au rang d'objet, d'outil de votre réussite.


Votre attitude est affligeante, navrante, écœurante,
A force de prendre des positions excessives, répétitives, à la limite de la caricature où vous faites Gwen preuve d'obsession et où vous montrez que vous avancez avec des œillères .

devenir une tête de turc sinon une tête à claques. Comme dans les foires et autres fêtes, vous devenez une sorte de figurine sur laquelle on se défoule. Ce que vous pouvez dire, répéter ne compte plus: on s'amuse de vous et de vos déclarations et on vous transforme en sac à fiendre pour frapper dessus. Vous êtes devenue objet de dérision. C'est un sort bien triste , mais on récolte ce que l'on sème...........
--Lacoscienza
[JACQUES DUTRONC QUI SE SOUCIE DE NOUS ]

mais qui se soucie de nous, pas vous (Gwen)
mais qui se soucie de nous, pas vous (Gwen)
mais qui se soucie de nous, pas vous (Gwen)
mais qui se soucie de vous, pas moi

vous êtes les cracks de la ruse
vous avez la science infuse des zones ministrées
vous avez du bol et bien sûr le monopole
c'est tout juste dans la colle

mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de vous, pas moi

la théorie la pratique (c'la va )
mais vous avez aussi la technique : vraiment des cadors !
ecoutez vos discours c'est badourd chacun son tour
sinon l'issue d'secours

mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de vous, pas moi

on vous a écoutés on vous a regardés
on vous a supportés on vous a clamés
on vous a acclamés on vous a réclamés
on peut plus vous respirer

mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de vous, pas moi

mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de nous, pas vous
mais qui se soucie de vous, pas moi
mais qui se soucie de vous, pas moi
mais qui se soucie de vous, certainement pas moi
mais qui se soucie de vous, pas moi moi moi moi ...
--Celui_qui_sait_tout
Je ne sais pas pour vous, mais j'ai trouvé les pamphlets de mon acolythe du haut plutôt compliqués à comprendre. J'ai donc fait une petite balade, afin de vous montrer l'idée général.


Citation:
Tous les garçons du village me demandent,
Gwen, pourquoi tu fermes pas ta boite ?
Moi je comprends pas, je suis si intéressante,
Plus bête que moi tu claques.

Quand je leur dis que je veux être,
Plus célèbre que Caedes Wagner,
Ils me répondent en ricanant :

« On préfère que tu fermes ta boite,
Quand tu parles c’est écoeurant,
Tout ce que tu dis, c’est du vent,
T’es trop une nouille,
Nous on préfère que tu fermes ta boite. »

Je les impressionne avec mes fesses d’hippopotame,
Il faut qu’ils me remarquent.

Hey les hommes,
Regardez le discour plein d’absurdités,
Que j’ai écrit pour le peuple.
Même ça, ça les énerve.

Quand je leur dis que j’ai couchée
Avec le cheval d’Yza d’Airain
Je prends une claque en entendant :

« On préfère que tu fermes ta boite,
Quand tu parles c’est écoeurant,
Tout ce que tu dis, c’est du vent,
T’es trop une nouille,
Nous on préfère que tu fermes ta boite.»

« On préfère que tu fermes ta boite,
Quand tu parles c’est dégoûtant,
Tout ce que tu dis, c’est du vent,
T’es trop une nouille,
Nous on préfère que tu fermes ta boite. »



Ah, sinon une petite chose : pour tout mes fans qui souhaiteraient me remercier de leur apporter Lumiere et Vérité, sachez que j'accepte les bourses pleines d'écus, les demandes en mariage et les sous vêtements féminin.
Maltea
Maltea eut vent des pamphlets circulant sur la fromagère et éclata de rire en lisant les parchemins affichés et surtout en écoutant le dernier. La fromagère avait été bien cernée. Quand on pense qu'une rumeur courrait comme quoi, comme une chienne en chaleur, elle s'était offerte au Roy, afin de poser au ommet de sa tête la couronne de Reyne. Voilà ce qui arrivait lorsque l'on avait les dents trop longues, elles rayaient le parquet...
Elle devrait d'ailleur se renseigner afin de savoir si l'épisode qu'un conseiller du LD lui avait rapporté... parce que ça la brie ne s'en était pas vantée en Champagne. Elle déposa une bourse dans la main du troubadour, il la méritait amplement.


Tu as été des plus inspiré mon brave, tiens voilà pour toi, tu feras une longue carrière j'en suis certaine. C'est tout ce que je peux faire pour toi, j'ai peur du mariage, mais sache que je t'aurais épousé séance tenante si cela n'avait point été le cas.
Si besoin d'inspiration, tu peux toujours chanter l'amour.... le capitaine royal est amoureux de ma vieille belle-mère, pétillante. Information des plus sure, tu peux y aller à coeur joie.
Et dire que j'ai accusé une autre jeune femme, il faudra que je m'excuse d'ailleurs.
_________________
--Lacoscienza
adapté de la Venus callipyge
by Georges Brassens


Citation:
Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité

Votre dos perd son nom avec si bonne grâce
Qu'on ne peut s'empêcher de lui donner raison
Que ne suis-je, madame, un poète de race
Pour dire à sa louange un immortel blason

En le voyant passer, j'en eus la chair de poule
Enfin, je vins au monde et, depuis, je lui voue
Un culte véritable et, quand je perds aux boules
En embrassant Fanny, je ne pense qu'à vous

Pour obtenir, dame Gwen, un galbe de cet ordre
Vous devez torturer les gens de votre entour
Donner aux couturiers bien du fil à retordre
Et vous devez crever votre dame d'atour

C'est le duc Régent de champagne qui s'en va, tête basse
Car il ressemble au mien comme deux gouttes d'eau
S'il ressemblait au vôtre, on dirait, quand il passe
" C'est un joli garçon que le duc de Champagne ! "

Ne faites aucun cas des jaloux qui professent
Que vous avez placé votre orgueil un peu bas
Que vous présumez trop, en somme de vos fesses
Et surtout, par faveur, ne vous asseyez pas

Laissez-les raconter qu'en sortant de calèche
La brise a fait voler votre robe et qu'on vit
Ecrite dans un cœur transpercé d'une flèche
Cette expression triviale : " A Julot pour la vie "

Laissez-les dire encor qu'à la cour du roy de nos terres
Faisant la révérence aux souverains d'artois
Vous êtes, patatras ! tombée assise à terre
La loi d'la pesanteur est dur', mais c'est la loi

Nul ne peut aujourd'hui trépasser sans voir Naples
A l'assaut des chefs-d'œuvre ils veulent tous courir
Mes ambitions à moi sont bien plus raisonnables:
Voir votre déchéance, madame, et puis mourir

Que jamais l'art abstrait, qui sévit maintenant
N'enlève à vos attraits ce volume étonnant
Au temps où les faux culs sont la majorité
Gloire à celui qui dit toute la vérité
--Yaissaitout
En changeant deux trois mots de cette chanson célèbre on arrive au petit jeu de Brie. Dieu sait qu'elle le maitrise.


Ainsi font, font, font
Les petites marionnettes,
Ainsi font, font, font
Trois p'tits coups et puis s'en vont.

Les mains au duché,
Sautez, sautez marionnettes,
Les mains au duché
Marionnettes recommencez.

Ainsi font, font, font
Les petites marionnettes,
Ainsi font, font, font
Trois p'tits coups et puis s'en vont.

Et elles danseront
Les petites marionnettes,
Et elles danseront
Quant les Champenois dormiront.
--Lacoscienza
Citation:
« Je ne suis l'aparté que des honnêtes gens,
Pas plus fier qu'un putois, au lu du mécréant
Qui s'approprie le droit,de ces dires ballants,
D'extorquer à défaut le droit d'être vivant

Vous maniez le verbe et la langue de bois
Comme un apôtre en herbe avide d'imprudence,
Prendriez vous plaisir à jouer le fou du roi
Amusant l'auditoire et sa chaste ignorance ?
Ou seriez vous plus sot que le triste soldat,
Qui se nourrit de sang à la vue du combat,
Plaidant l'intégrité de la belle nation,
Pour laquelle il se bat sans nulle compassion ?

Cherchez dans vos grimoires la raison des autres,
Dépoussiérez tiroirs et formules d'apôtres,
Appelez en au diable ou autre incantation,
Mais gardez nous des fables qui n'ont de raison
De vos propos sournois dénués d'intelligence,
Je ne lis que dégoût parodiant l'excellence,
Et que dire de l'âme aussi flasque que molle,
D'un pauvre neurone aux allures de gaudriole

Allez y, débouchez cette triste bouteille,
Ecrasez votre aigreur et ces pauvres mégots,
Enivrez vous de l'hypocrisie qui sommeille,
Soyez un bon mouton à défaut d'être héros
Continuez à salir par vos tristes passages,
Je ne vois là qu'un chien vidant ses excréments,
Un corbeau déployant son bien triste ramage,
Jetant son dévolu dans les affres du vent. »

Quant à toi cher lecteur, je te sais assez sage,
Pour ne point faire de ton navire un naufrage,
Le silence édifie les meilleurs ennemis,
L'ignorance préserve au-delà du mépris…
Je ne suis de ces lieux par souci de vengeance,
L'éperon a ses Dieux et ses rêves d'errance,
Pour ce qui est du ressort de l'intolérable,
Je pends ma destinée à ces vieux Misérables…
--Lacoscienza
de la part de mon très cher ami le poète crotté^^

See the RP information
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)