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Info:
Suite au débat sur l'élection du coms nous passons aux résultats

[RP]Quand la traitrise se fît réalité

Kaly_du_bayet
Kaly venait de se réveillé au petit matin ,sa demeure dormait encore

La nuit était encore bien fraiche quand son aide de camps vînt lui transmettre son rapport


Mon général , c'est confirmé .Il y a eu des traitre dans le parti ToT , au moins une personne à voté pour la vile dès le premier tours sans attendre l'avis de leurs tête d liste .

Un petit sourire se dessinât sur son visage , il l'avait prévu et prédît bien avant les élections .Son aide de camps déconcerté du fait que son maitre avait eu raison marquât un temps d'arrêt avant de continué

Mon général mes espions m'ont informé du noms d'au moins un traitre.C'est la cousine de la comtesse , vous savez celle qui se jouait opposante pour mieux trahir le peuple

Kaly se mit à réfléchir puis lui ordonnât


Dit à ma garde de doublé les patrouilles , d'affuter leurs épée , de faire briller leurs heaumes et envoi un pli à ces personnes pour leurs demandé audience

Kaly tendît un parchemin à son aide de camps contenant plusieurs noms et l'aide de camps se mît en quête du secrétaire particulier du général
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Kaly du Bayet
--Aide_de_camps
Général , Général , vos craintes sont confirmées
y a pas qu'un traitre comme vous dites Général mais des traitres

Vous aviez raison Général tenez


Lily-jane : Lily-jane
Aldindethau : Lily-jane
Heliorphee : Lily-jane
Josselin : Lily-jane
Bea06 : Lily-jane
Stace : Lily-jane
Cassandres : Cassandres
Vonlichtenchein : Abstention
Neyco : Lily-jane
Ribaute : Lily-jane
Aru : Cassandres
Taliesin91 : Lily-jane
Kaly_du_bayet
L'aide de camps vînt recevoir un rapport de la plus haute importance .Il frappât à la porte , s'inclinât devant son maitre et dit

Maitre , un de vos espions à réussit à subtiliser le résultât des votes.

Kaly se mît à regardé le papier

Citation:
Voici les avis des différents conseillers :

Lily-jane : Lily-jane
Aldindethau : Lily-jane
Heliorphee : Lily-jane
Josselin : Lily-jane
Bea06 : Lily-jane
Stace : Lily-jane
Cassandres : Cassandres
Vonlichtenchein : Abstention
Neyco : Lily-jane
Ribaute : Lily-jane
Aru : Cassandres
Taliesin91 : Lily-jane


Il en croyait pas ces yeux , autant de personne près à trahir impunément le peuple pour avoir quelque miette de pouvoir tel des chien mangeant le reste de son maitre .Était ce cela l'opposition ? Non ils avaient vendu leurs idéaux et leurs honneur comme un catin le faisait pour son corps mais elle au moins n'impliquait pas tout un comté

Soldats fait rédigé par mon secrétaire cette missive


Citation:
Au peuple de Toulouse ,

Je vais vous dévoilé le résultât des votes , vous verrez qui est vraiment un opposant et qui sont les viles traitres vendant vos vies pour un peut de pouvoir .Je vais aussi vous mettre quel poste vaut pour ces traitres vos voix lisez bien :


/SPAN>
Citation:
Voici les avis des différents conseillers :

Lily-jane : Lily-jane
Aldindethau : Lily-jane
Heliorphee : Lily-jane
Josselin : Lily-jane
Bea06 : Lily-jane
Stace : Lily-jane
Cassandres : Cassandres
Vonlichtenchein : Abstention
Neyco : Lily-jane
Ribaute : Lily-jane
Aru : Cassandres
Taliesin91 : Lily-jane


Citation:
Lily-jane => Comtesse
Aldindethau => Connétable
Heliorphee => Prévot
Josselin => Juge
Bea06 => CAC
Stace => Bailli
Cassandres
Vonlichtenchein => Capitaine
Neyco => Procureur
Ribaute => CAM
Aru => Conseiller religieux
Taliesin91 => Porte parole


Voici ce que vous valez pour eux , voici le nom des hommes et femmes vous ayant trahit sans vergogne .Les seuls véritable opposants sont dona Cassandre , messer Vonlichtenchein et messer Aru .Les autres vous nt roulé par leurs belles paroles .

Soyez vigilant peuple de Toulouse , les traitres à vos idéaux sont au pouvoir .

Sachez que ces même traitre ont diffamé le maire de Toulouse , quand celui ci à porté plainte , bien avant la fin des élection , s plainte a été refusé preuve que leurs basses manœuvres était en place .Preuve que vos votes ont été floué .

Les traitres ne méritent que la mort , peuple de Toulouse regardez maintenant et voyez vos ennemis .

En vérité je vous le dis , de tel tyran doivent être exécuté sans autre forme de procès pour leurs fourberies

Signé : un toulousain trahit tout comme vous


















Le secrétaire comprenait pas pourquoi il avait écrit la lettre à la place de son maitre , ni pourquoi la signature n'était pas celle de son maitre mais ce qu'ils savaient c'est que les vils traitres attendais une seule chose pour pouvoir évincé définitivement Kaly et donc la prudence était de rigueur .Avant que missive soit affiché, il calât le courrier das son mantel à l'intérieur et se rendît dans plusieurs maison à cette heure matinal et la dernière fut le tribunal ou il sortît parchemin en main puis l'affichât .Son maitre avait été malin de faire en sorte que jamais on connaisse leurs relatons et donc que l'on fasse le rapprochement entre eux
_________________
Kaly du Bayet
Valdy
Valdy passait par là et entendit qu'il y avait un traitre, il prit donc la parole...

Bonjour Messire Kaly.
J'ai entendu dire qu'une personne était un traitre à cause d'un vote !
Perso, je ne comprend pas, désolé... C'est un simple vote pour l'election du Comte, non ???

Pour ma part et ayant plus d'une dizaine de mandat comtal/ducal, je n'ai jamais pensé qu'une personne était un traitre à cause d'un vote.

Un vote, c'est un choix perso, il ne peu pas y avoir de traitre.
Sur un vote, il n'y a pas de parti politique, c'est un choix personnel que l'on pense etre le plus juste.

D'ailleurs c'est aussi ça la démocratie, avoir un avis, penser soit même à l'avenir...

Sinon s'il fallait voter par rapport à un parti, à un groupe de personne, ce ne serait plus une démocratie, puisque le vote serait dicté par un groupe de gens.

Aprés si nous devons voté par rapport à son parti et que ce vote soit imposé, sa ressemblerait plus à une dictature, si vous voyez se que je veux dire.

En tous cas, je vous souhaite un bon mandat, je parle pour tout le conseil.

Puis maintenant, un conseil, oubliez les parti politique, maintenant il n'y en a plus, vous devez tous former qu'un seul groupe unis, qui est le conseil comtal.

Travaillez main dans la main, faites qu'un seul groupe et je ne doute pas que vous arriveriez à vous entendre, pour le bien de Toulouse !
Kaly_du_bayet
Kaly entendît par la fenêtre un homme parler à une affiche , il en fût ébahit et encore plu quand cette personne était un noble ancien maire de Toulouse , qui en six moi n'avait jamais daigné faire profiter de sa présence le peuple toulousain .Après ce bon moment de rigolade il continuât à garder en mémoire ce bon moment de rigolade , se promettant d'envoyé son médecin au comte qui n'avait plus toute sa tête
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Kaly du Bayet
Malvinae
La petiote passait par là, et tomba sur un bout de parchemin, ou torchon plutôt. Des accusations, aucune preuves. Et aucune signature.
Elle sourit en coin et parla pour elle même.


Déjà on devrait apprendre aux gens à ne pas être lâche, ce serait un bon début.


Elle leva les yeux au ciel et repartit vers sa maison.
Kaly_du_bayet
Kaly se rendît , a ce début d'après midi au castel relevé les nomination .Puis il les recopiât lui même , passât dans la foule sans son heaume et accrochât une missive en dessous

Citation:
Aux peuple de Toulouse ,

J'ai eu transcription d'une missive mit en place public tôt ce matin, à la suite de celà dans l'après midi me suis rendu au registre des nominations et voici ce qu'il y a:


Le conseil du Comté
Lily-jane (Comte)
Populaire

/SPAN>
Citation:
Aldindethau (Connétable)
Populaire
Heliorphee (Prévôt des maréchaux)
Populaire
Josselin (Juge)
Populaire
Bea06 (Commissaire au commerce)
Populaire
Stace (Bailli)
Populaire
Cassandres
TOT
Vonlichtenchein (Capitaine)
TOT
Neyco (Procureur)
TOT
Ribaute (Commissaire aux mines)
TOT
Aru
TOT
Taliesin91 (Porte-parole)
TOT



Je constate que l'auteur de la missive au dessus de la mienne avait fort raison et je comprend encore mieux pourquoi l'actuel prévôt , l'actuel juge,l'actuel bailli , tous issu de PoP ,ont refusé la plainte du maire de Toulouse contre dona Neyco , mais pire on menacé de représailles le maire.Vous aussi maintenant vous le comprenez j'espère dès le début dona neyco n'était aucunement une opposante mais le loup dans la bergerie .La trahison de l'électorat ToT pour cette dona ne fait plus aucun doute .Je suis certain que cette dona viendra geindre que non elle ne l'a pas fait pour le pouvoir , que non elle ne l'a pas fait car c'est la cousine de la comtesse avec qui elle pique-nique avant chaque élection comtal .Mais la vérité est clair comme de l'eau de Roche , méfiez vous peuple de ce beau comté si l'auteur de la première missive a eu raison sur les disposition des postes , il doit avoir raison sur tout le reste .

Général Kaly du Bayet






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Kaly du Bayet
le secrétaire , incarné par Kaly_du_bayet
Kaly ne quittant plus sa demeure avait fait passé par une de ces servante une nouvelle lettre qui devait être recopié.Le secrétaire et la servante s'était retrouvé dans la taverne : brioche dorée.Déserté à cette heure tardive de la nuit

Le secrétaire à la lueurs d'une bougie se mit à écrire .


Citation:
Cher peuple toulousain trahit ,

Vous avez dut entendre quelque badauds parler que comme de par hasard messer Taliesin fraichement nommé Porte Parole quitté ToT .Voyez qu'il est amusant de voir cet homme cet homme tenter de nous faire croire qu'il est de l'opposition ...Voyez que les deux personnes ayant voté ToT pour une comtesse se trouve sans poste .

Passons au révélation du Jours:

Le nominé au procès foireux sont : messer Kaly du Bayet , messer coco et dona cassandre.Qu'il est fort agréable de voir que c'est toujours des opposants à leurs magouilles.En parlant de justice j'invite le peuple a lire les compte rendu de procès , vous y verrez qu''à Toulouse on gagne plus à être brigand qu'opposant .Un brigand à 100 écus d'amende et 1 jours de prisons.Un opposant pour toute infraction aura toujours plus qu'eux.

Seconde révélation: la comtesse de Toulouse à décidé par compassion familiale envers son frère de foutre u feux notre tolérance .En effet son mot d'ordre est de changer la grande charte pour y rajouté du religieux et contrairement u fondement de notre comté , prôné l'extrémisme religieux d'Aristote , cette dame veut tenté de faire voter ce concordat :

/SPAN>
Citation:
CONCORDAT DE TOULOUSE

Préambule

Par la présente, le Comté de Toulouse officialise ses rapports avec l'Eglise et la reconnaît comme base de ses valeurs et de sa culture.
Par la présente, l'Eglise reconnaît le Comté de Toulouse comme Aristotélicien.

Ce concordat ne peut être modifié ou annulé que suite à l'acceptation des deux parties, quelques soient les changements au sein du conseil du Comté de Toulouse ou de la Papauté. Cependant le présent concordat pourra être amendé, avec l’accord des deux parties.


I - Du rôle de l'Eglise dans l'organisation spirituelle du Comté



Article I.1 : Le présent Concordat fait de l’Eglise Aristotélicienne Universelle et Romaine, la religion officielle du Comté de Toulouse. Le Comté reconnaît l’Eglise Aristotélicienne Universelle et Romaine comme seule, unique et légitime Institution du Tout Puissant, ainsi que seule détentrice de la Vraie Foi.
Le Comté de Toulouse reconnaît l'existence du Saint-Siège et de toutes ses institutions.

Article I.2 : Seul le culte Aristotélicien pourra être exercé en public dans les gargotes, halles, tavernes et autres bâtiments et institutions du Comté de Toulouse, ainsi que faire acte de prosélytisme en ces mêmes lieux.

Article I.3 : Le Comté de Toulouse reconnaît la pleine autorité de l'Eglise Aristotélicienne et Romaine dans le domaine spirituel et sur les évêchés couvrant en tout ou en partie le comté et territoires toulousains.

Article I.4 : Toute violation des dispositions du présent concordat sera considérée comme un acte d'hérésie.

Article 1.5 : Le conseil de Toulouse s'engage à soutenir l'Eglise en parole et en action. Ainsi, au moins un membre du conseil toulousain se devra d'assister aux grandes fêtes religieuses de l'Eglise Aristotélicienne. En contre partie, l'Eglise s'engage à affecter un curé par ville toulousaine dans les plus brefs délais et dans la mesure de ses possibilités.
En l'absence de curé, l'Evêque ou un membre de l'Eglise nommé par lui devra se déplacer dans les villes en manque de curé pour assurer l'office du dimanche, cela dans la mesure de ses possibilités.



II - Du rôle de l’Eglise dans l’organisation temporelle du Duché


Article II.1 : (Article sur le 13eme conseiller à placer)

Article II.2 : Le Comte de Toulouse nomme au début de son mandat son confesseur choisi parmi le clergé de Toulouse. Ceux-ci ont une salle privée où ils peuvent converser librement de tout sujet.

Article II.3 : Un membre du clergé aristotélicien qui se voit confier une mission d'ordre temporel ne pourra s'en acquitter que si cette tâche ne heurte point les principes de la Vraie Foi, dont l'Eglise aristotélicienne est unique dépositaire.

Article II.4 : Le Comte de Toulouse ainsi que le Conseil se doivent d’être baptisés avant sa prise de fonction. Les candidats devront dans les 10 jours avant le début des élections être baptisés aristotéliciens ou débuter une pastorale. Tout candidat n'ayant pas vérifié ces conditions lors du résultat des élections devra démissionner ou demander l'autorisation des prélats toulousains et du conseil Comtal pour rester en fonction.
Les clercs s'engagent à procéder au plus rapide pour leur permettre d'effectuer la pastorale.

Article II.5 : Les membres du clergé aristotéliciens sont de fait admissibles à toutes charges temporelles.

III - Du rôle de l’Eglise dans la vie civile


Article III.1 : Un clerc n’a de compte à rendre, sur ses pratiques et actes spirituels, qu’à son évêque.

Article III.2 : Au moins un représentant du conseil se doit d'assister aux offices religieux.

Article III.3 : Tout prélat se doit de s'efforcer de faire acte de présence aux manifestations organisées par le comte et son conseil et pour lesquelles ils ont reçu invitation. L'absence est tolérée, sous réserve que le conseil ou le comte en ait été informé.

Article III.4 : Les mariages aristotéliciens sont les seuls mariages reconnus comme valides.

Article III.5 : Conformément au décret Matrimonium Phohibiti, le « mariage civil », ou toute autre forme d’union de ce genre ayant vocation à lier l’homme à la femme et la femme à l’homme est strictement interdit sur les terres du comté de Toulouse que cela soit pour les fidèles ou les non-fidèles.

Article III.6 : L’Eglise se donne pour mission d’aider les plus démunis par l‘ouverture d‘hospices ou de maisons-dieu et, autant que possible, coordonner leurs efforts avec les autorités municipales et comtales.

Article III.7 : Le comté aidera les diacres à devenir prêtres par la mise en place de don d’écus nécessaires et sur présentation d’un dossier par le prélat en charge du diocèse concerné. Ce don ne sera possible que si le futur prêtre reste en terre de Toulouse après son ordination pour officier, et ce pour un délais minimum de 4 mois.

IV - La justice d’Eglise et les Officialités Episcopales


Article IV.1 : Par la promesse canonique de l’intronisation en la cathédrale de Rodez, le comte, comme ses successeur, s'engage à poursuivre les hérésies sous toutes les formes qu’elles pourraient prendre. Le crime d’hérésie est reconnu comme trouble à l’ordre public car il constitue une atteinte portée contre les fondations de l’autorité comtale et religieuse.

Article IV.2 : La Très Sainte Inquisition et le tribunal inquisitorial (ou Officialité) de l’archevêché de Bourges et de Narbonne sont institués sur le territoire du comté de Toulouse. (Ou l’officialité indépendante de Rodez, si elle vient à être instaurée dans le futur).Les attributs de la Très Sainte Inquisition et des Officialités sont ceux définis par le droit canonique de la Sainte Eglise Aristotélicienne et Romaine.

Article IV.2 bis : De surcroît, les juridictions ecclésiastiques (Officialité et Inquisition) sont réputées en matière spirituelle et disciplinaire interne au clergé non soumises à l’article IV.7.

Article IV.3 : Les tribunaux inquisitoriaux et la Justice d’Eglise sont compétents dans les cas d’hérésie, de schisme, d’apostasie, d’insulte, de blasphème ou de diffamation envers l’Eglise, ses institutions, ses membres ou ses enseignements ; de prévarication et de rupture de serment fait sur les Saintes Ecritures.

Article IV.4 : Les tribunaux religieux font appliquer les différentes punitions qui leur sont propres et prévues par le Droit Canon à tout prévenu présent en terres toulousaines, via les services de la vidamie de Bourges ou de Narbonne.

- Article IV.4 bis : Les sanctions lourdes, conformes à la charte du juge, telles que les bûchers en place publique sont soumises à l’autorisation comtale.

- Article IV.4 ter : Lorsque les tribunaux ecclésiastiques ne sont pas en mesure de faire appliquer la sentence, le condamné est déféré devant le tribunal temporel local qui devra se conformer à la sentence prononcée par le juge laïc, elle-même conforme à la demande de la procure ecclésiastique.

Article IV.5 : Les tribunaux ecclésiastiques ont préséance sur les tribunaux temporels, les premiers pouvant dessaisir les seconds, uniquement pour les cas jugés de son ressort. L’action temporelle In Gratebus s'éteint alors ou, si nécessaire, sert de support à l’application de la sentence prononcée par le tribunal religieux.

Article IV.6 : Les prévenus peuvent faire appel des décisions des tribunaux inquisitoriaux auprès du Tribunal de la Rote Apostolique et de la Cassation à Rome.

Article IV.7 : En cas de désaccord sur l'application d'une peine ou d'un appel ou sur le dessaisissement, une commission quadripartite comprenant un juge d’appel de la Sainte Inquisition, l’Archevêque de Bourges ou de Narbonne, métropolitains compétents, le juge de Toulouse et le Chancelier de France, se réunira, devant chercher la solution juridique respectant au mieux la forme et les droits de la défense. Le Chancelier a le dernier mot en cas de désaccord.

Article IV.8 : Les jugements de l'Église en matière matrimoniale prennent effet civil.



V - Des privilèges de clergie.


Article V.1 : L’évêque de Rodez ou l'archevêque de Toulouse peut lever une garde épiscopale au sein du comté à la condition que celle-ci ne porte point atteinte aux intérêts de ce dernier.

Article V.2 : Les corps d’armées et les lances de cette garde pourront librement circuler sur l’intégralité du territoire toulousain tout en communiquant avec le Capitaine.

Article V.3 : Les clercs ne pourront être attaqués en justice qu’avec le parrainage d'un autre clerc.






Voila comment à Tolosa nous vendons le comté .Par la présente je remercie un certain nonce pour son aide précieux .

Sachez aussi que la comtesse a dépensé hier énormément d'argent pour défendre Toulouse et qu'elle à appelé des hommes de Toulouse pour protéger son trône.Cela amène à cette réflexion non dénué de bon sens: Si la comtesse se croyait dans son bon droit , si elle était sur de pas avoir floué le peuple avec ces bases magouilles .Pourquoi avoir juste hier fait défendre un cinquième des Toulousain son trône ?

Peuple Toulousain attention la trahison n'est qu'à ces balbutiement .Notre comtesse est prête a Tout pour garder son pouvoir quitter à vendre , rogner et effacé les valeurs de notre cher comté .Mais faut la comprendre , qu'es ce qu'une identité et un peuple contre de belle place grâce au appuis familial .Qu'es ce qu'une histoire contre un poste ?

Signé : un toulousain trahit tout comme vous










Le secrétaire brulât l'original dans sa cheminé et fît bien attention que TOUT le parchemin ne soit plus que cendre avant de quitter sa demeure , visité le palais de justice et la cathédrale puis pendant que les gardes était quelque assoupît déposât la missive sur le panneau
Desiderade
L'air frais, vivifiant, lui faisait du bien, elle était restée trop longtemps enfermée à lire. Curieuse, elle s'approcha du panneau d'affichage.

Certaines choses qui lui semblaient auparavant inconcevables...lui apparaissaient aujourd'hui presque comme habituelles. Désidérade se souvenait bien des élections Comtales en Bourbonnais-Auvergne, elle y avait même participé. Elle se rappelait de dialogues feutrés. Parfois virulents, mais toujours calmes. Depuis son arrivée ici, elle découvrait la haine, les cris, les insultes.

Ca serait facile de faire encore une fois ses bagages, et de repartir sur les routes. Mais elle était fatiguée.

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Diaconesse de Toulouse,
Professeur de la Pastorale et du Séminaire
le secrétaire , incarné par Kaly_du_bayet
Le secrétaire vît des officier royaux passé devant lui .Il observât la scène qui se passait devant lui puis écrivît un vélin



Citation:
Au peuple de Toulouse ,
Je vous écris une seconde lettre pour vous faire part de mon étonnement . En effet je viens d'observer une drôle de scène .

Des officiers portant la fleur de lys fît leurs entré dans notre belle capitale , ils demandèrent à un passant le chemin pour le tribunal .Je suivîs ces dit officiers et je les vîs tendre un parchemin . Puis quelque instant plus tard , je regardas le juge sortir du tribunal . Il ne portait plus l'hermine lié à sa fonction. Les deux officier royaux avec qui je discutâmes quelque instant m'apprirent que l'homme avait été retiré de sa fonction et aussi du conseil toulousain . Ils ne voulaient pas me donner plus de détail , vu les couleurs qu'ils portèrent je n'insistâs pas.

Peuple de Toulouse , ceci est un signe fort .Les hautes instances surveillent les dérives de notre comtesse et de son conseil . Nous pouvons alors espérer que cela fera réagir les vrai opposants et qu'il demanderons une VRAI justice pas un simulacre qu'on voit depuis la régence de lily à aujourd'hui. Nous pouvons espérer que la comtesse n'ira pas contre la volonté des haute instance et fermera la porte du conseil à cet homme.

Peuple de Toulouse nous pouvons espérer à un avenir sous de meilleurs hospices

Un toulousain trahît





Le secrétaires fît déposé par un petit garçon de confiance la nouvelle missive
Cassandres


La jeune greffière pensait trouver Messere Kaly_du_bayet et ce n'est que son aide de camp qu'elle rencontre
Peux tu dire à ton maitre qu'un de ses appels a été accepté , remets lui bien ce parchemin



Citation:
Procès ayant opposé Kaly du bayet dict Pepe_k au Comté de Toulouse
Kaly du bayet dict Pepe_k était accusé de T.O.P..
Nom du procureur : Josselin
Nom du juge : Vonlichtenchein Elhrik , Aldindethau
Date du verdict : 04/01/1458
Lieu concerné par l'affaire : Toulouse


[ACCEPTE]Kaly_du_bayet vs Comté de Toulouse (A)

http://forum.lesroyaumes.com/viewtopic.php?t=1129856&sid=YGxMRlBbSXsThK5n91CSAxpqY



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Jason a écrit:
Maitre

La Procure a accepté votre Demande.

S'il s'avérait que la peine prononcée lors du Procès de 1ere instance, amenait des peines d'inéligibilité ou de bannissement, celles-ci seraient suspendues jusqu'au verdict de la Cour d'Appel.

Bonne Journée


Jason a écrit:







Tu lui diras aussi qu'il pourrait avoir pitié d'une petite greffière qui ne cesse de faire des allers retours à Paris
_________________





--Secretairebob
Le secrétaire déposât un parchemin

Natale a écrit:
Saisine de la Pairie : Diplomatie et Provence



A Sa Très Aristotélicienne Majesté Levan le Troisième, Roy de France ;
Ainsi qu’à Son Altesse Armoria de Mortain Grand Maitre de France ;
A la Très Noble Assemblée des Pairs de France et à la Première d’entre eux ;

Honneur et Salutations !

Nous venons par la présente, dénoncer divers traités liants les provinces du Royaume de France avec la Provence.
Ces Actes sont tout à fait contraires aux prérogatives du Traité liant le Royaume de France et le Saint Empire Romain Germanique. Texte ratifié à l’hiver 1456 par Son Altesse Juliano Di Juliani, alors Grand Maitre de France, Sa Grandeur Arielle de Gilraen de Dénéré, alors Grande Ambassadrice Royale, ainsi que pour la partie impériale : leurs Grandeurs Alandaros Von Valendras alors Haut Connétable Impérial, Azalée de Cernex alors Rectrice Impériale, Cassandres de Séviliano alors responsable de la Cour Suprême Impériale et Sirus de Riddermark alors Mareschal d’Armes.
Force est de constater à la lecture de ce qui suivra qu’en plus de soutenir des félons, ces provinces vassales comprises dans le Royaume de France portent atteinte de ce fait à la légitime autorité du Votre Majesté.




Virtus Unita Fortior

Natale Adriano Dario d’Ibelin, Vescoms de Rabat & Senher de Santa-Maxima
Fait en la Bonne Ville de Saumur le 18 décembre 1457



De Notre Qualité à Agir :

Nous sommes Natale Adriano Dario d’Ibelin, Vescoms de Rabat, Senher de Santa-Maxima et sujet Gascon.
De part notre noblesse nous avons ainsi un pied en Toulousain au sein du Royaume de France et un pied en Empire du côté de la Provence.
Durant notre jeune âge nous avons été diplomate en Provence, puis avons recouvré notre liberté en devenant d’abord sujet Tolosan, puis par la suite le Vème Coms de Toulouse.
En Toulouse nous avons également œuvré dans la diplomatie en devenant d’abord simple ambassadeur, puis Vice-Chancelier.
Aujourd’hui nous venons de constater que les Hautes Autorités de la province Toulousaine ont commis cette affreuse vilainie, chose qu’en tant que diplomate et Coms nous avons toujours refusé de faire naguère.
De plus, depuis juin 1457 nous sommes au plaisir de vous informer que certain nobles Provençaux ont décidé de prêter allégeance directement à l’Empereur, cela est notamment le cas pour mon suzerain, Vicomte de Fréjus dont je tiens le domaine de Santa-Maxima.
Ainsi en tant que sujet et noble Françoys, mais aussi également noble de la Provence Impériale je demande à ce que les autorités françoyses comprennent que dans cette affaire si l’autorité royales est bafouée, mon honneur l’est également tout autant.


Des Faits :

Ainsi nous avons appris que le Comté de Toulouse traite directement avec les autorités provençales.
Or ceci est tout à fait contraire aux dispositions du Traité de Non-Agression entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae (cercle francophone et néerlandophone) visible aux Ambassades Royales de France (ainsi qu’aux Institutions Impériales) qui stipule bien que :

/SPAN>
Citation:
IV. Les cercles francophone, germanophone et néerlandophone s'engagent à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Domaine Royal et au sein des vassaux du Royaume de France.
Le Royaume de France s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du SRING.

Nous rappelons que dans ce Traité il est question du Royaume de France, compris dans son entièreté, et point seulement du Domaine Royal.
Ainsi, tout autre acte liant une province du Royaume de France, même une province vassale, à la Provence actuelle, ainsi qu’au pseudo Marquisat des Alpes Occidentales constitue de la part des Souverains s’y engageants un acte de Trahison à l’encontre du Roy.

Il s’agit là pour la province toulousaine de deux traités :

  • 04/12/1457 - Traité de Coopération Judiciaire entre les Comtés de Provence et MAO et de Toulouse
  • 09/12/1457 - Traité de Non Agression entre les Comtés de Provence et MAO et de Toulouse


Après enquête nous nous sommes rendu compte que Toulouse n’est point seul dans ce cas là, il y a également :
Sous réserves de plus amples investigations, le Poitou et le Languedoc pourraient être touchés également.

Or un traité portant mention de Provence libre, de Marquisat des Alpes Occidentales, leurs sceaux, ainsi qu’une quelconque coopération judiciaire, ambassadoriale ou entente contracté depuis l’indépendance de la Provence constitue en soit une reconnaissance de ces autorités félonnes.
Cela est contraire aux dispositions du présent traité et qui plus est nuit à votre autorité elle-même et aux bonnes relations entre le Royaume de France et le Saint Empire Romain Germanique.
Ainsi dans cette optique il nous apparaît également plus qu’opportun de rappeler que la Provence et le pseudo Marquisat pactisent avec Genève dont on sait tout le tord que cette dernière à pu faire en notre Royaume ces derniers temps par l'intermédiaire des Lions de Juda.



De la validité du Traité France-Empire ainsi que de sa portée géographique :

Le Traité de non agression passé entre la France et l’Empire porte bien sur l’ensemble des duchés et comtés vassaux compris en le Royaume et en Empire.

L’Article Premier dudit traité stipule clairement les termes de nations (françoise et germanique), de cercle francophone, de la reconnaissance des Souverains et Institutions légitimes.
D’autre part l’alinéa IV du premier article stipule bien que :

Citation:
Les cercles francophone, germanophone et néerlandophone s'engagent à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Domaine Royal et au sein des vassaux du Royaume de France.
Le Royaume de France s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du SRING.

C’est donc bel et bien tout le Royaume de France qui est concerné par ce Traité. C’est d’ailleurs peut-être bien l’une des rares fois où l’on communique au nom du Royaume de France (au sens large) et non point au nom de ses institutions voir de ses provinces diverses.
L’Article Deux, alinéa IV précise également que ce traité concerne Tout le Royaume de France et indique la manière à suivre en cas de guerre entre les provinces du Domaine Royale et celle d’Empire d’une part, et les provinces vassales du Royaume de France et celle d’Empire d’autre part.
Il n’y a donc aucune ambigüité à ce niveau. C’est bien tout le Royaume de France qui est concerné aussi bien sur la frontière qu’à l’intérieur de nos lignes de défenses.

Ledit traité ne comporte aucune date concernant sa ratification, cependant il a été placardé en les Ambassades Royales un 5 décembre 1456.
Il est mentionné que

Citation:
Ce traité est valable pour une période de six mois, reconduit de manière tacite au bout de cette période, sauf refus signé et scellé de l’un des signataires.

Au jour du 5 Juin 1457 aucune des deux parties contractantes n’a refusé à nouveau de signé et scellé ce Traité qui a dès lors été reconduit de manière tacite, ce qui est tout à fait normal.
Les Signatures côté France engagent bien Le Grand Maitre de France, la Pairie et la Curia Regis, ainsi que les Ambassades Royales.
Ceci constitue une preuve supplémentaire que ce traité engage tout le Royaume de Sa Majesté et point uniquement le Domaine Royal (se reporter pour cela aux Statuts de la Pairie ainsi qu’aux article VII et VIII dela Charte du Royaume).
On peut reprocher que les vassaux n’y aient point apposé leurs scel, cependant, comme stipulé dans le texte ils ont eu 6 mois pour faire valoir leurs prérogatives alors que ce traité était affiché aux yeux et à la connaissance de tous. Comme dit l’adage : Qui ne dit mot consent ! Cela vaut donc comme autorisation à agir.
Dire que ce traité concerne uniquement le Domaine Royal c’est affirmé que le Royaume de France se borne uniquement au Domaine Royal et ainsi trahir son allégeance auprès du Roy de France lui-même.
Aujourd’hui, concernant les provinces vassales, seul le Grand Maitre de France pourrait demander la révision de cet acte. Bien entendu ce n’est pas pour autant que les actes déjà ratifiés perdraient leur caractère blasphématoire puisque les concernant il faudrait juger au regard des dispositions du Traité actuel.



De notre demande légitime :

  • Nous demandons au Grand Maitre de France, à la Pairie, à la Curia Regis et aux Ambassades Royales de faire tout en sorte pour contraindre lesdites provinces signataires à respecter le Traité de non agression liant le Royaume de France et le Saint Empire Romain Germanique. A exhorter les Souverains de ces provinces à dénoncer lesdits traités contractés avec la province félonne au risque de se voir eux-mêmes taxés de félonie et perdre leurs privilèges.

  • Nous demandons à vos autorités royales de contraindre les signataires à présenter excuses publiques par devant Votre Majesté au risque de perdre leurs fiefs pour ce crime de lèse majesté doublé d’une faute manifeste durant leur règne malgré la réception de leur allégeance. Que si lesdits signataires persisteraient dans leur félonie demandons à ce qu’aucune charge ne leur soit concédée à l’avenir et qu’aucun fief et titre ne leur soit octroyé.

  • Nous demandons à vos royales autorités de faire connaître ces dispositions en tous lieux et places de France, ainsi que de l’assemblée des Feudataires jusqu’à la moindre petite assemblée réunissant la noblesse provinciale.

  • Nous demandons à vos autorités royales de renforcer leur coopération avec les autorités impériales afin de luter activement contre la vermine, la félonie et l’hérésie. Pour ce faire nous nous tenons prêt à toute éventualité.

  • Cette saisine ne saurait concerner les traités ratifiés par les autorités provinciales à l’époque où la Provence était encore partie prenante au sein de l’Empire. Nous considérons ainsi que ces traités sont devenus caducs et n’ont aucune force de loi à l’heure actuelle.


Nous demandons à vos autorité de s’exprimer le plus promptement et le plus fermement possible afin d’endiguer ces actes qui nuisent aux bonnes relations entre la France et l’Empire ainsi qu’à Votre légitime autorité.
Ainsi, nous ne pouvons que constater qu'en reconnaissant la félonie en terre d'Empire, ces provinces françoyses encouragent à la félonie en terre de France.
Pour notre part nous sommes également tenu d’informer la Haute Connétablie Impériale faces à ces comportements belliqueux.




Pièces annexes :

Traité de Non-Agression entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae (cercle francophone et néerlandophone) visible aux Ambassades Royales de France ainsi qu’aux
Institutions Impériales

Citation:
Traité de Non-Agression entre le Royaume de France et le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae (cercle francophone et néerlandophone)



Article Premier

I. Par le présent écrit, les deux parties se reconnaissent mutuellement comme nation établie et reconnaissent également chacun de leurs représentants dans leurs fonctions et charges qui leur ont été attribuées par chacun des autorités.

II. Les Cercles Francophone et Néerlandophone et Germanophone reconnaissent Levan III comme légitime souverain du Royaume de France, et Catherine Victoire d'Appérault, Marquise de Valois, Reyne de France, à qui il a délégué ses pouvoirs royaux, légitime souveraine du Royaume de France. Enfin, ils reconnaissent Marc Philippe comme Dauphin de France. Le Royaume de France reconnait LongJohnSilver Ier comme légitime Empereur du Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae.
Chaque partie reconnait la souveraineté des institutions de l'autre partie dans les domaines qui leurs sont attribués.


III. Toute nouvelle nomination, élévation, anoblissement, procédé par le souverain légitime ou ses représentants sera aussitôt reconnue par l’autre partie.

IV. Les cercles francophone, germanophone et néerlandophone s'engagent à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du Domaine Royal et au sein des vassaux du Royaume de France.
Le Royaume de France s'engage à ne pas reconnaître l'indépendance d'éléments félons au sein du SRING.


Article Second

I. Par la présente, les deux parties signataires s’engagent à ne point interférer et ce par quelque manière que ce soit dans la gestion économique, politique, diplomatique, militaire de l’autre, sauf demande expresse, signée, scellée de celui-ci.

II. Il est établi que hormis cas de crise nécessitant fermetures des frontières, les citoyens françois et impériaux sont autorisés à traverser, voyager à travers les deux nations. Cette autorisation s'applique aussi aux membres des ordres de chevalerie reconnus par une des deux parties, et ne peut leur être retirée à cause de leur appartenance aux-dits ordres de chevalerie. Cependant, pour entrer en groupes armés sur le territoire d'une des deux parties, une demande devra être faite aux autorités concernées.

III. De même une ambassade accueillera toujours les émissaires françois en la Chancellerie Impériale et les émissaires Impériaux en la Chancellerie Françoise.

IV. Dans le cas où un Duché/Comté du Domaine Royal viendrait à déclarer une guerre à une province impériale, le Royaume de France s'engage à tout mettre en oeuvre pour rappeler la province à l'ordre.
Dans le cas où une province impériale viendrait à déclarer une guerre à un Duché/Comté du Domaine Royal, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à tout mettre en oeuvre pour rappeler la province à l'ordre.
Dans le cas où un Duché/Comté du Royaume de France hors du Domaine royal viendrait à déclarer une guerre à une province impériale, le Royaume de France s'engage à ne pas lui prêter assistance.
Dans le cas où une province impériale viendrait à déclarer une guerre à un Duché/Comté du Royaume de France hors du Domaine Royal, le Sacrum Romanorum Imperium Nationis Germanicae s'engage à ne pas lui prêter assistance.


Article Troisième

I. Ce traité est valable pour une période de six mois, reconduit de manière tacite au bout de cette période, sauf refus signé et scellé de l’un des signataires.

II. En cas de non-respect d’un des articles de ce traité, l’un des signataires en proclamera l’annulation par acte signé et scellé. Le traité sera alors jugé comme non avenant dès la réception par l’autre partie du-dit acte.

III. A tout moment, l'un des signataires peut demander l'annulation de ce traité. Il devra alors le signaler et en expliquer le motif à l'autre partie par acte signé et scellé. Le traité sera alors jugé non avenant une semaine après réception par l'autre partie du-dit acte.


Pour la Pairie et la Curia Regis,
Juliano Di Juliani
Grand Maitre de France


Pour les Ambassades royales de France,
Arielle de Plantagenest de Dénéré
Grande Ambassadrice Royale de France


Pour la Commission Impériale,
Les 4 dignitaires impériaux:

Alandaros von Valendras
Haut Connétable Impérial
[ [x] sceau existant mais erreur d’affichage]

Azalée de Cernex
Rectrice Impériale


Cassandres de Sevillano
Responsable de la CSI
[ [x] sceau existant mais erreur d’affichage]

Sirius de Riddemark
Maréschal d'Armes



De la reconnaissance le la noblesse en Provence Impériale :

Victorine a écrit:
Suite à diverses missives reçues ainsi que discutions menée au sein du Haut Commandement Impérial depuis le début de mon mandat de Maréchal d'Armes Impérial, j'ai le plaisir de vous informer le retour de certains fiefs dict provençaux à l'heure actuelle.

A savoir que le Comté de Menton, le Vicomté de Fréjus, le Vicomté de Castellane ainsi que la Baronnie d'Hyères ainsi que leur vassaux feront partie intégrante de l'Empire une fois que les tierces personnes auront prêter allégeances à Sa Majesté l'Empereur. La cérémonie d'allégeance se tiendra au sein de la Cathédrale d'Aix la Chapelle ce lundi et sera présidée par les dirigeants provinçiaux ainsi que ma personne. Nous invitons bon nombre de personnes à participer à cet évènement.

Faict le dimanche 31 mai 1457,
Victorine Von Frayner Rubempré
Duchesse de Longuyon, Baronne de Varennes et de Charmes, Dame de Saint Menge
Maréchale d'Armes Impérial




Nous nous permettons également de rajouter cette dernière correspondance de Sa Majesté concernant le sujet provençal et rendu publique par vos scribes du Palais du Louvres sis en Paris :
Levan a écrit:
Messire notre cousin,

Parmi nos vassaux du sud, d'aucuns sont inquiets de ce qui se passe en votre turbulente Provence. En effet, cette région qui vous fait l'offense de se prétendre hors de votre giron, s'engraisse, paraît-il, de rapines, pillages et brigandages pratiqués chez nos vassaux.

Tout comme vous, il est de mon devoir de suzerain de protéger mes vassaux, vous le savez : aussi ai-je besoin de savoir ce que vous comptez faire de ces sujets qui se comportent si mal envers ceux de votre cousin. Vous vous doutez que si vous préférez ne pas avoir à intervenir, nous serons amenés à autoriser ceux de nos vassaux qui le souhaiteraient à se faire justice eux-mêmes.

Si vous considérez que les Provençaux demeurent vos sujets malgré les prétentions, nous comptons sur la bonne qualité de nos liens pour que le calme revienne au sud. Si vous préférez vous en laver les mains, mes vassaux ne se sentiront dès lors plus tenus par l'amitié entre nos deux pays, et pourront dans ce cas faire valoir leur droit, sans que vous n'y voyiez quelque problème entre nous.

Que le Très-Haut vous garde, mon cousin.

Paris, le 24 juillet 1457
SMLIII



Citation:
Liste des Traités Signés entre le Comté de Provence et le MAO et le Comté de Toulouse

  • 04/12/1457 - Traité de Coopération Judiciaire entre les Comtés de Provence et MAO et de Toulouse
  • 09/12/1457 - Traité de Non Agression entre les Comtés de Provence et MAO et de Toulouse

Citation:
TRAITE DE COOPERATION JUDICIAIRE ENTRE LE COMTÉ DE TOULOUSE, LE COMTÉ DE PROVENCE ET LE MARQUISAT DES ALPES OCCIDENTALES
Nous, les hautes Autorités Comtales de Toulouse,
Nous, les hautes Autorités Comtales de Provence,
Nous, les hautes Autorités Marquisales des Alpes Occidentales.


Forts de notre volonté de nous unir dans une coopération sans cesse plus approfondie entre nos divers peuples, composant les comtés de Toulouse et de Provence
Conscients que l’impossibilité de prononcer des jugements par contumace tend à laisser impunis des criminels supposés qui auraient trouvé refuge dans l’une de nos provinces et seraient susceptibles de perturber la bonne entente entre nos peuples,
Avons décidé le traité suivant :

Article I: Dispositions préalables

1. Les Hautes Parties Contractantes reconnaissent le principe qu'une personne ne peut fuir la loi qu'elle enfreint et échapper à l'autorité de son Comte sur ses terres.
2. Si un citoyen est mis en accusation dans l'une de nos provinces, il sera jugé en fonction des lois et aux coutumes du lieu de son crime ou délit. Le verdict devra cependant être conforme aux lois constitutionnelles du lieu du jugement.
3. Toute infraction commise dans une de nos terres, déjà commis auparavant dans une des autres pourra être suivi comme récidive.
4. Eu égard à la reconnaissance de la jurisprudence et à la règle bis in idem, un individu condamné par l’une des Cours de Justice des Comtés de Toulouse et de Provence ne peut pas être condamné pour les mêmes faits par l’autre Cour de ces mêmes provinces.

Article II: Procédure judiciaire à adopter

1.a. Les Conseils Comtaux sont habilités à lancer des poursuites à l'encontre d'une personne suspectée d'avoir enfreint la Loi et qui se réfugie sur le territoire des Comtés liés par ce traité. Ils doivent pour cela adresser une demande de suites.
1.b. Cette demande prend la forme d’un acte motivé du Conseil Comtal requérant ou de son émissaire, exposant l’identité, les faits reprochés et les éléments de
preuve appuyant la plainte, adressée au Conseil Comtal requis.
2. La mise en accusation effectuée, le Procureur de la Justice requérante fournira au procureur du Comté requis l'Acte d'Accusation.
3. Le procès sera mené par la Justice requérante, en étroite collaboration avec la Justice requise.
4. Au terme des délibérations, les deux Juges des Comtés liés par ce traité se concerteront pour donner la sentence.
Le Juge requérant proposera une peine, le Juge requis devant la valider, cela dans le but de veiller au respect des lois et coutumes des Parties liées par ce traité.
5. Lorsqu'il existe, l'ambassadeur judiciaire assurera le suivi des procédures et fera le lien entre les procureurs des Comtés pour la transmission des actes demandés.

Article III: Dispositions finales

1. Le présent Traité entrera en vigueur au lendemain de l’échange des consentements, exprimés au terme d’un débat et d’un vote des deux Conseils Comtaux.
2. Les membres de chacun des conseils ainsi que leurs successeurs sont contractuellement tenus de respecter ce traité.
3. Le présent Traité est bilatéral et n'est point ouvert à l'adhésion d'une tierce partie.
4. Des modifications totales ou partielles de ce présent traité peuvent être décidées par consentement mutuel.
5. Le non respect d'une clause de ce traité par l'un des Comtés signataires de ce traité, libère l'autre signataire de toute obligation vis à vis de ce Comté jusqu'à ce qu'une compensation ou un accord puisse être trouvé.

Article IV: De l'annulation du traité

1. Une annulation unilatérale de ce présent traité en temps de paix doit respecter la procédure suivante :
1.a. Une missive du Comte ou de son représentant voulant se retirer de l'application de ce traité sera adressée au Comte de l'autre comté signataire.
1.b. Une déclaration officielle et formelle sera alors publiée dans les gargotes respectives et les ambassades.
2. Toute annulation unilatérale en temps de guerre sera considérée comme Trahison et pourra aboutir à des représailles.
3. Cet accord ne prend pas acte en cas de guerre entre les Comtés liés par ce traité.
Ce traité prend effet dès sa signature et jusqu'à résiliation partielle ou totale par l'une ou l'autre des parties.
Les autorités de chaque partie s'engagent à ce que leur peuple prenne rapidement connaissance de ces faits.


Signé à Avignon le 25 Novembre 1457,
Sa Majesté Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas
Souveraine et Marquise des Alpes Occidentales

Sa Grandeur Massimin d'Aubignan
Comte Illustre de Provence Libre

Son Excellence Sherry de Marigny, Baronne de Beuil
Chancelière Marquisale
&
Son Excellence Délia dou Paradou, Baronne de Fayence
Ambassadrice de Provence à Toulouse


Signé en l'Hotel d'Assezat, Toulouse
Le quatrième jour du mois de décembre de l'An de grasce 1457
Pour le Comté de Toulouse :
Sa Grandeur Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, IXeme Comtessa de Tolosa.

Son Excellence Raphael83, Senher de Saint Genest de Contest,Chancelier et Sécrétaire d'Etat du Toulouse ,
Ambassadeur Royal auprès de Sainct Empire Germanique françoys.



Son Excellence Ombelinne, Ambassadrice de Toulouse en Provence


Citation:
TRAITE DE NON AGRESSION ENTRE LE COMTÉ DE TOULOUSE, LE COMTÉ DE PROVENCE ET LE MARQUISAT DES ALPES OCCIDENTALES
Nous, les hautes Autorités Comtales de Toulouse,
Nous, les hautes Autorités Comtales de Provence,
Nous, les hautes Autorités Marquisales des Alpes Occidentales.

Forts de notre volonté de nous unir dans une coopération sans cesse plus approfondie entre nos divers peuples, composant le comté du Toulouse et le comté de Provence.
Conscients de la nécessité d'avoir des relations paisibles, placées sous le signe de l'entente et de la collaboration, pour le bien de nos terres et de leurs sujets respectifs,
Avons décidé le traité suivant :

Article Premier :
Les deux Hautes Autorités des Provinces liées par ce Traité ainsi que les membres de leur conseils respectifs s'engagent à ne pas faire pénétrer de troupes sur leurs territoires respectifs sans autorisation expresse et préalable.

Article Deuxième :
Les deux Hautes Autorités des Provinces liées par ce Traité ainsi que les membres de leurs Conseils respectifs s'engagent à ne pas créer de trouble sur l'autre territoire signataire par quelque moyen que se soit. (pillage de mairie, fomentation de révolte, etc...)

Article Troisième :
Les deux Hautes Autorités des Provinces liées par ce Traité ainsi que les membres de leurs Conseils respectifs acceptent que la signature de ce Traité ne crée aucune obligation de défense mutuelle.

Article Quatrième :
Une annulation unilatérale de ce présent traité doit respecter la procédure suivante :
- Une missive de la Haute Autorité de la province dénonçant ce Traité sera adressée à la Haute Autorité de l'autre province signataire.
- Une déclaration officielle et formelle, mentionnant clairement la date effective de l'annulation de ce Traité, sera alors publiée dans les gargotes respectives et les ambassades.
Ce traité prend effet dès sa signature et jusqu'à résiliation partielle ou totale par l'une ou l'autre des parties.
Les autorités de chaque partie s'engagent à ce que leur peuple prenne rapidement connaissance de ces faits.


Signé en l'hôtel d'Assezat, Toulouse
Le neuvième jour du mois de décembre de l'An de grasce 1457
Pour le Comté de Toulouse :
Sa Grandeur Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, IXeme Comtessa de Tolosa.




Son Excellence Raphael83, Senher de Saint Genest de Contest, Chancelier et Secrétaire d'État du Toulouse



Son Excellence Ombelinne, Ambassadrice Toulousaine en Provence


Signé à Avignon le 30 Novembre 1457,
Sa Majesté Hersende de Brotel, Còmtessa de Valréas
Souveraine et Marquise des Alpes Occidentales


Sa Grandeur Massimin d'Aubignan
Comte Illustre de Provence Libre


Son Excellence Sherry de Marigny, Baronne de Beuil
Chancelière Marquisale
&
Son Excellence Délia dou Paradou, Baronne de Fayence
Ambassadrice de Provence à Toulouse


A titre anecdotique : le traité d’Entente liant le pseudo Marquisat à la Cité réformée de Genève :
Citation:
Traité d'amitié et de justice entre le Canton de Genève, la Provence Libre et le Marquisat des Alpes Occidentales.

En présence de la puissance divine.

A tous ceux qui liront ou entendront les présentes, qu'il soit notoire que nous, avoyers, conseillers et bourgeois des villes de Genève et nous, gens de Provence, avons, avec une très grande satisfaction, conclu, sous le nom de la paix, une amitié mutuelle se concrétisant de par la reconnaissance de la Souveraineté de nos pays et au-delà sous la forme que voici :

Premièrement, à l'avenir et tant que subsiste cette amitié, s'il arrive que les susdits syndics, conseillers et bourgeois des villes de Provence soient attaqués, molestés et opprimés contre le droit et l'équité par des ennemis en armes quels qu'ils soient, et que violence et dommage soient faits à leurs privilèges, libertés, droits, juridictions, terres, biens et propriétés; et si nous, avoyers, conseillers et bourgeois de Genève, sommes requis en vertu de nos serments d'examiner, établir et décider si une attaque à main armée ou un acte agressif a été commis contre le droit et l'équité et par violence; au cas ou contestation et déclaration seraient faites qu'il y a eu en effet attaque, dommage, oppression, outrage et violence, nous lesdits Genevois sommes tenus d'apporter auxdits provençaux tous secours, aide, assistance et protection qui sont en notre pouvoir, les frais et la solde étant à la charge des provençaux ; en toute bonne foi. Et nous, Gens de Provence, promettons et sommes tenus de porter secours, selon nos forces et possibilités, aux susdits Genevois, s'ils sont atteints d'un malheur semblable, les frais et la solde étant cette fois à leur charge.

En outre, il a été arrêté et conclu d'un accord unanime entre nous les susdites parties que ni l'une ni l'autre ne doit sciemment tolérer ni souffrir dans ses villes et pays des ennemis ou adversaires de l'autre partie, ni leur accorder sous aucune condition le passage, mais les chasser et repousser selon ses moyens; à la partie qui demanderait que l'affaire soit l'objet d'un prononcé de droit, on l'accordera chaque fois que cela paraîtra opportun.


Fait ce quinzième jour d'avril de l'An 1457, pour la gloire de Dieu et pour la Paix.

Sa Majesté Kalanquin de Cianfarano, dit Lordfear
Souverain et Marquis des Alpes Occidentales



Sa Grandeur Iselfia Deslacets,
Comtesse Illustre de Provence



Son Excellence DuchesseSherry
Chancelière Marquisale



La Grande Avoyère de Genève, Nefti du Lac
Le Conseil de la République de Genève


Citation:
Genève, fait Ce jour béni, le 3 décembre de l'an de Grâce 1456 du Seigneur.

Nous, Avoyer, nous bourgeois dans le Conseil du Canton Souverain de Genève, te saluons ! Kalanquin de Cianfarano, dit Lordfear, Souverain et Marquis des Alpes Occidentales.

Nous enstendons par la présente qu'il est juste et honorable que les autorités du Marquisat des Alpes Occidentales et du Comté Illustre de Provence Libre en le château d'Avignon, siège du Marquisat des Alpes Occidentales, soient pleinement et entièrement libre et souveraine dans toutes ses lois. Nous proclamons que quiconque vouldraient lui en imposer d'autres, même bonnes, est un méchant. Et ce depuis la Déclaration d'Indépendance du XXII Novembre 1454. Nous proclamons cela sans malice ni malveillance envers quiconque.

Nous, genevois, sommes gens libres et fiers, et sommes heureux d'accueillir dans notre amitié, les gens d'en-bas du Rhône. Et promettons sur l'honneur, et solenellement de ne point faire trop pipi dedans, sous le pont de chez nous, afin que l'onde reste pure jusque chez vous.

Nicbur, Avoyer du Canton Souverain de Genève
Le Conseil, Dame_Donzelle, Kirkwood, Traviatore, Kartouche, Julia_condoin, Schmurtz, Annalolo, Notwen,
Nainainus, Izaac, Méliandulys, Queen65, Yoyo73

Scellé par nos soins du grand sceau perpétuel de Genève






















































































Raphael83 a écrit:
/SPAN>
Citation:

De Nous Lilyjane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, IXeme Comtessa de Tolosa.
et Raphael83, Senher de St Genest de Contest, Chancelier et Secrétaire d'Etat de Toulouse,

A Vous De la Très Noble Assemblée des Pairs du Royaume de France
Paix et Prospérité.

Venant d'apprendre la saisine faite par le Vicomte Natale, nous venons , par la présente, vous communiquez les éléments qui nous semblent bon de vous apporter concernant le fait que Toulouse ai signé deux traités avec la Provence et le MAO.

En effet en date du 12/11/1457 une de nos villes du Sud fût une fois de plus la proie de ressortissants provencaux qui tentèrent de la piller et dont le chef s'appele Ifrit. Cette ville , Albi, ne doit son salut que grace à l'armée toulousaine dépêchée sur place pour rétablir l'ordre en reprenant la mairie aux assaillants.
Mais s'en était trop ....

Nous ne pouvions une fois de plus laisser de tels faits se reproduire sachant qu'ils seront impunis
Fort d'avoir eu connaissance du courrier adressé par Sa Majesté à son cousin l'Empereur du Sainct Empire Romain Germanique en juillet de cette année, il nous fallait prendre l'initiative d' une décision pour mieux protéger les intérêts de notre Comté donc d'un vassal de Sa Majesté.

Sa Majesté elle même, dans son courrier du 24/07/1457 n'a t-elle pas alerté son cousin d'une façon on ne peut plus claire :

/SPAN>
Citation:
Si vous préférez vous en laver les mains, mes vassaux ne se sentiront dès lors plus tenus par l'amitié entre nos deux pays, et pourront dans ce cas faire valoir leur droit, sans que vous n'y voyiez quelque problème entre nous.


Fort de cet encouragement Royal, nous avons donc pris la décision , non pas d'aller porter la terreur en terres Provençales pour faire justice, mais de signer un traité de coopération judiciaire avec cette province ainsi qu'un traité de non agression pour bien montrer à la Provence que nous ne la considerions nullement responsable des agissements de certains de ses compatriotes.

Il est évident qu'avant de signer de tels traités avec cette Province particulière, nous avons interrogés les Ambassades de France sur cette possibilité. Nous n'avons reçu aucune objection.

Ensuite, il faut quand même rappeler que la Provence a proclamée son indépendance depuis plus de 5 ans, le 22/11/1454 pour être très précis.
On serait en droit de penser qu'elle est de fait bien indépendante, car depuis cette date les éléctions Comtales se déroulent normalement tous les deux mois sans pour autant que l'Empereur ne fasse un communiqué de protestation , ou n'envoie des troupes pour réassoir son autorité auprès de cette Province.

Aucune protestation ,à notre connaissance, également de la part de l'Empereur en ce qui concerne les traités signés par les autres provinces vassales de sa Majesté:
06/12/1454 Traité de coopération Judiciare avec le Languedoc
12/05/1455 Traité de coopération Judiciaire avec le LD
23/09/1455 Traité de coopération Judiciaire avec le BERRY
13/11/1455 Traité de coopération Judiciaire avec Les Flandes
13/07/1457 Traité de coopération Judiciaire avec le Béarn
07/12/1457 Traité d'ambassade avec l'Anjou
1454 (Date exacte non connue) Traité de coopération Judiciaire avec le Maine qui rappelons le fait partie du Domaine Royal, qui n'aurait semble t-il , sauf erreur de notre part, pas été dénoncé et serait toujours en vigueur .

Vous comprendrez , qu'en ce qui concerne Toulouse, la signature de tels traités avec la Provence et le MAO , n'a nullement été faite dans le but de nuire à Sa Majesté ou même à l'Empereur , son cousin, mais uniquement dans un but préventif des intérêts de notre Comté donc du Royaume de France .

Bien évidement Toulouse, soucieuse d'être une province vassale irréprochable de Sa Majesté , se conformera à la décision de la Pairie sur cette affaire . Nous espérons cependant qu'elle ne nous désapprouvera pas.

Fait en l'Hotel d'Assezat, le troizième jour de l'an de Grasce 1458

Sa Grandeur Lilyjane de Cognin-Franchesse Casaviecchi Von Waldershut, Donà de Labastida Sant Pèire, IXeme Comtessa de Tolosa




Son Excellence Raphael83, Senher de St Genest de Contest, Chancelier et Secrétaire d'Etat de Toulouse



Citation:





































Citation:
Nous avons été informé par la Curie des risques de guerre civile au sein du Royaume de France. Les affaires du siècle nous inquiètent au plus haut point, dès qu'elles mettent en péril l'union et la concorde entre les croyants.

L'Eglise Aristotélicienne a toujours appelé à la paix, et par notre voix elle exhorte les responsables concernés à entreprendre toutes les actions pour rétablir l'unité des fidèles.

La paix des hommes ne peut subsister que dans l'ordre. Aussi, c'est avec une grande crainte que nous avons eu connaissance des intentions des responsables de Bretagne et d'Anjou de bouleverser l'ordre établi. Pourtant, cet ordre a été voulu par le Divin, par la grace duquel gouvernent les dirigeants de l'Europe.

Nous avons reçu du Roi de France les garanties pleines et entières que tous les efforts de négociation seront entrepris pour éviter que le sang ne coule. Il nous a également assuré de sa volonté que l'Eglise au sein du Royaume, occupe toujours la place éminente qui est la sienne : ces propositions seront officialisées dans un Concordat. En ces temps troubles, les croyants se doivent de respecter la loi des souverains d'Europe et l'ordre des Etats. Suivre la voie des secessionnistes serait suivre la voie du Malin.

Si véritablement, comme on nous le rapporte, la Bretagne et l'Anjou ont déclaré unilatéralement leur indépendance et concentrent des armées, nous ne pouvons qu'exhorter les fidèles au respect de l'ordre et à la défense de la Couronne de France.

SS Eugène V


Fait à Aurillac, le 18 de Janvier 1458,
Pour la France, pour le Roy,
Armoria de Mortain


Richelieu1 a écrit:
/SPAN>
Citation:

Au Très Saint Père Eugène V,
Au Sacré-Collège des Cardinaux Romains,
Aux membres des Assemblées Episcopales de France et du Saint Empire,
A Sa Majesté Lévan, Roy de France,
Aux dirigeants des Armées Françoyses foulant le sol Provençal,
Au peuple Françoys sur le Sol Provençal,
Aux Provençaux,
Enfin à l’Universalité des Fidèles,


Nous constatons avec stupeur que depuis quelques jours les terres du Comté de Provence ont reçue la visite d’armées du Royaume de France, sans que celle-ci n’aient eu la prévenance d’annoncer leur arrivée et d’en exposer les raisons.

Les autorités Temporelles Provençales se sont donc préparés à se défendre, tout en déplorant cette attaque gratuite et sans fondements aucuns. En effet celles-ci sont en bon termes avec le Royaume de France, dans un souci de Foy, elles ont même envoyé des hommes combattre en Béarn les hérétiques Lions de Juda. Et pour tout remerciement, voilà que des armées se présente aux portes de la Capitale ?

L’on aurait pu croire à un quiproquo, une erreur de direction, une indélicatesse du Royaume, mais non, ce matin le Connétable de France, exige de la Provence une reddition. Une question se pose alors, de quel droit ? D’où cet Anthémios de Deliancourt tire t’il un quelconque droit d’imposer sa volonté à la Provence ? D’où tire-t-il le droit de menacer de mort d’honnêtes Provençaux Aristotéliciens qui eux n’ont jamais fait couler le sang que sur appel de la Très Sainte Eglise, et qui malgré les menaces qui pèsent sur eux ont maintenu leur force en Béarn pour lutter aux cotés d’un coté Français ? De quel droit s’est il inspiré pour attaquer de simples passants ces deux dernières nuits qui n’avaient que pour seul crime de s’être trouvés au mauvais endroit au mauvais moment ?

Nous avons en ce jour peur pour les Armées Françoyses et leurs dirigeants, peur que dans le cœur de certains l’on puisse entendre la complainte de la Bête Sans Nom prônant une domination du Fort sur le Faible, complainte mêlée à cette chansonnette terrible de Satan qui se terminait par Laisse-moi te détruire pour m’en enrichir, pour devenir mien.

Que ces âmes égarées n’oublient pas les paroles de Saint Origène : L'Humanité, par le libre arbitre que Dieu lui a donné, a son avenir entre ses mains. Il revient à chaque homme de savoir résister à la créature sans nom pour éviter que celle-ci ne l'entraine vers sa destruction finale.

Nous demandons au Soldats au pied des remparts d’Aix de méditer ces paroles, aux dirigeants Françoys de recadrer leurs plans sur le chemin de la Vraie Foy.
Nous demandons à la Provence de continuer sa conduite admirable, celle de se défendre sur son sol et de ne pas attaquer quand bien même elle serait en droit de le faire, et de défendre la Foy en Béarn.

Enfin c’est en vertu de ceci :

Lorsque Dieu comprit qu'on ne pouvait pas seulement laisser aux Hommes la liberté absolue de choisir entre le bien et mal. Car la liberté absolue n'était que la liberté de la Créature Sans Nom et des Princes-Démons. Il fallait les guider sur le chemin de la raison et de la rédemption quand ils chutaient : la liberté devait être encadrée afin d'être toute puissante pour faire le bien, mais liée pour faire le mal, de sorte que l'on peut affirmer que l'Homme a bien été créé libre par Dieu, mais que, dans son infinie sagesse, Dieu a voulu empêcher que l'Homme puisse répandre le mal impunément.
C'est pour cela qu'il fonda une Église qui fut chargée de définir les Lois et la morale découlant des préceptes de ses enseignements afin que la liberté des hommes soit encadrée et non plus anarchique, que l'Homme puisse non seulement distinguer le bien du mal, mais puisse aussi distinguer les chemins qui mènent à la vertu.


Que je demande une intervention de la curie, ou des Assemblées Episcopales de France et du Saint Empire en faveur de la paix.

Que la Paix triomphe !

Ludovi de Sabran, dict Richelieu1,
Archevêque Métropolitain d’Aix en Provence


Faict à Aix, le XVII Novembre de l'an de grâce MCDLVIII de notre Seigneur




nainainus a écrit:
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Citation:




Au Très Saint Père Eugène V,
Au Sacré-Collège des Cardinaux Romains,
Aux membres des Assemblées Episcopales de France et du Saint Empire,
A Sa Majesté Lévan, Roy de France,
Aux dirigeants des Armées Françoyses foulant le sol Provençal,
Au peuple Françoys sur le Sol Provençal,
Aux Provençaux,
Enfin à l’Universalité des Fidèles,


Moi, Nainainus de Nivellus, évêque de l'Assemblée Episcopale de France souhaite apporter mon soutien à Mgr Ludovi de Sabran dans son appel à la paix.

Fait le XVIIème de septembre MCDLVIII.

Mgr Nainainus, évêque de Rodez, Vice Primat de l'AEF




Comme vous le voyez la comtesse lily-jeanne et son conseil et l'évêque de Rodez de la famille de la comtesse , trahit les toulousain mais aussi le Roy .

Certaine sources m'ont rapporté cette rumeur:
la comtesse lily tentait en sous main de fédéré une alliance avec la Provence dans le but de se se déclaré indépendante et de se rattacher au marquisat contre un lopin de terre en plus.

Peuple de Toulouse méfiez vous , l'ennemi peut avoir plusieurs forme
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