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[RP] Latcho drom et autres dilos....

Salvia
[Limousin....enfin faut croire...]

Deux formes roulées en boule l’une contre l’autre dans la paille d’une barge
Une de fourrure blanche, une de laine noire
Aurore frileuse
Ouvrir des yeux brillants de fatigue et de fièvre
Coups de langues affectueux, toiletteurs du canin compagnon
Main qui repousse un peu les ardeurs amicales
Asseoir, étirer le corps endolori
Frisson
Regard sur la grange
Les abris de fortune décidément se suivent et se ressemblent
On est où là ?
Quelques instants pour remettre les idées en place
Limousin ah oui
Et on va où déjà cette fois ?
Poitou…encore un peu de route….mais pas tant….
Faut retrouver un blond au drôle d’accent….
Une ville…une sommaire description…et un « colis » à remettre en mains propres…
Enfin façon de parler
Elle mériterait bien un bain la Salvia….mais trop froid les ruisseaux…plus de saison….
Peu importe…
Elle avait l’art d’être discrète….ombre qui passe, fluet fantôme des chemins de traverse
Solitaire
Soudain grognement d’estomac qui tire une grimace
Avant tout se mettre en chasse de quelque pitance
Pas pour elle les villes et leurs marchés trop peuplés
Pas pour elle les tavernes et leurs âmes fades…partout pareil
Pas sociable la gamine
Mais la discrétion d’une belette pour se glisser dans les poulaillers et autres potagers
La reine du collet, la princesse de l’affût, une artiste de la débrouille
Et un allié à la truffe alerte pour dénicher lapereaux et autres poules d’eau

Aucun bruit suspect au dehors
Ça roupillait encore ferme dans la ferme
Heure de s’éclipser
Pas vu pas pris
Sauf peut être bien le coq
L’avait qu’à pas faire le malin de si bon matin

Maudits tremblements
Etre malade il manquerait plus que ça
Caresse qui vient flatter l’entre-oreilles du fidèle
« Allez Aristote…on y va… »

Fraxie
[Mortagne. Quartier du Lys]


La tête perdue dans une des malles de sa roulotte, Fraxie ronchonnait, pestait en faisant voler, là, une paire de bas dépareillée, tinter, ici, quelques fioles de mixtures diverses et variées mais obligatoirement alcoolisées, ou encore bruire, frissonner les pages d’innombrables calepins et autres parchemins griffonnés….

Mais nom de nom..où est ce que j’ai bien pu la mettre...soupira t’elle en désespoir de cause, la mèche rebelle, les deux mains sur les hanches en jetant, dans sa pourtant si petite maison sur roues, un regard interrogatif et désemparé….Petite certes…Mais fort pleine...de trop…..

Après un long moment à soulever coussins chamarrés et autres tentures colorées, à bouger un à un guéridons, étagère et autre matelas elle brandit, enfin, dans un sourire victorieux et pas peu satisfait, la carte du royaume tant quêtée….

S’affalant comme elle aimait tant à le faire sur sa couche douillette, elle se mit, courriers à l’appui et le doigt en goguette, à dresser l’improbable parcours d’amitiés à retrouver…

Une « Mange-fleur » poutrée en Normandie….
Un fillot attendant elle ne sait qu’elle donzelle à la Trémouille….
Une « sœurette » sauvageonne, si prompte à disparaître, apparemment en route pour le rejoindre...
Un roi de l’alambic dans le Rouergue aux dernières nouvelles, mais ayant pour seule boussole le charme des jupons croisés...
Ajoutez à cela un Bourguignon ayant raté le départ, une armée Alençonnaise en mode faucheuse….
Et on en passe et des meilleurs....Arf…Dur de tracer une trajectoire et de planifier un tant soit peu les retrouvailles…..

Pourtant, intime conviction, dictée uniquement par son, comme toujours impatiente et rêveuse, aptitude à croire en des jours meilleurs et insouciants, il fallait que cette mauvaise troupe se retrouve, se forme, divague…..peut-être...à voir...
Mais quand...comment….il lui arrivait même de se demander pourquoi...
En plus elle se sentait comme d’habitude le cul entre deux chaises….Tiraillée entre «ambition », possibles charges « honorables» ….et enivrante liberté ….Rien de moins….mais bon, encore heureux qu'elle avait sur mettre son félon coeur d'artichaut aux arrêts...parce que sinon....elle même ne se supportait pas parfois....l'entre et la nuance ça donnait souvent au final que des choses insipides ...

Se redressant un peu, elle jeta un regard par la fenêtre
A coté de la sienne, dans la roulotte-héritage du parrain, Niflheim et Cyrinea étaient déjà là….Celle de la « Croqueuse de pHommes » suivrait…obligé…car si il ne devait n’y en avoir qu’une ce serait celle là….
Bref…la cerise rouge sur le gâteau de la tentation décadente était déjà réunie à Mortgane….Alors malgré un "traître" frileux et un parfum de Lys idem …CQFD…C’était quand même un bon début…

Le reste….la suite…..et autres plans sur la comète, voir trajectoire d'étoile filante solitaire, elle les perdit, plus rapidement qu’elle ne l’aurait voulu d'ailleurs, dans l’illusoire secour de sa flasque argentée emplie de « Vielle-prune »…

Demain sera toujours un autre jour…..*hips* solitaires mais pas si mécontents de leur sort, loin de là, à l’appui…..


Chapuce
Filant sur la route, la truffe sur le sol, Chapuce se hatait vers le nord pour arriver avant les grands froids. Lui si frileux se hâter vers le nord, quelle incongruité ???
Il avait à livrer un alambic déjà rodé et une épée qui bringuebalait contre ses cuisses
Avec un alambic comme bagage tintinnabulant et une épée comme comme entrave, le chemin s'annonçait long

Pressé d'arriver, il avait même dû abandonner sa petite soeur en route, trop malade pour continuer,... quelle honte,
Pleure pas Jolietitine, je reviendrais te chercher ...

Lodève, Millau, Rodez, Aurillac, Tulle, Limoges, Bourganeuf ... tout ça au pas de course ... pour cause de tavernes peu ou mal fréquentées ...
Chateauroux, Loches, Tour ... ça sent le frais

Enfin c'est tout droit ... Bouge pas, Mortagne, j'arrive ...
Salvia
[Poitou...]


Trois jours à errer en hère dans les rues mornes de la ville.
Déficit d’âmes vivantes par ici… ça devrait aider…mais non…
Dommage que l‘Aristote chasse mieux la bécasse que le larron
Se demander s’qu’elle fait encore par ici…son ombre sur les talons
Petite missive à la « commanditaire »

Citation:
Rapide bafouille
A la trémouille
Ben j’suis bredouille
L’est pas venu ou reparti
Mais sur l’est pas dans l’coin ton slave
Il doit être déjà en route vers l’nord
J’fais quoi maintenant, j'bifurque, j’furete, j’l’débusque ?

Salvia


Emprunter, discret, un pigeon à la ferme voisine
Et se faire un coin pas loin histoire d’pas rater l’retour
Elle savait que l’attente serait pas longue
La brunette était du genre nerveuse
Effectivement
Pas eu le temps d’roucouler en chemin l’piaf
Moins d’un jour de passé
Et l’revoilà

Citation:
Bonjour toi,

bah désolée de t’avoir fait faire une route inutile, si il n’est pas là tant pis, je vais aviser autrement. Garde le « colis », tu sauras en faire bon usage et puis, va où bon te semble.
Rejoins nous si tu veux, mais je sais bien que les petites communautés en errance incertaine tu t’en passes fort bien…
Et là parfois, et bien, je te comprends et je t’envie même, âme solitaire…
De toute façon je vais finir par descendre plus au sud
On se donne des nouvelles
Prends soin de toi, et au hasard….

Fraxie


Faire ce qu’elle veut…l’colis en salaire...Pas si mal en fait
Mais pour que la brunette lui dise « jt'envie »
C’est qu’devait encore y avoir du mélo dans son méli…

Pas si inutile de toute façon la virée en Poitou…
Repenser à l’affichette sur le parvis du tribunal
La blonde était dans le coin et tentait de prendre une mairie...par les urnes…
Ça faisait un peu de remous…La méthode semblait guère dans ses habitudes
Remarque qu’est ce qu’elle en savait de ses habitudes
Donzelle croisée trop vite au hasard d’une taverne
Mais comme un supplément d’âme dans le regard
Curieuse de voir ça
Peu de chance qu’elle arrive avant l’résultat de l’élection
Mais quelquechose lui disait qu’elle y serait avant le verdict
Encore un bout de route
Mais bon…quitte à avoir un but…

S’éloigner de la ferme
Bois humide, flammes difficiles à s’élever
Et s'faire griller l'pigeon histoire de pas partir à vide…
Fraxie
[Mortagne. Hôpital Saint Ol...celui qui fait du bien là où ça fait mal.....]

Fraxie était au jardin…
Aucun patient dans les lits, ni dans le couloir à attendre une consultation, ni à l’herboristerie…..
Bref…les journée à l’hôpital étaient fort mornes et désertes mais finalement y avait il à s‘en plaindre….
L’Alençon respirait la santé…..

Fraxie profitait donc d’un hiver qui tardait à venir pour achever de bêcher les carrés sagement alignés du jardin, et, même si la sainte Catherine était maintenant fort passée, de mettre en place quelques pieds d’aromatiques et autres médicinales déracinées de son propre jardin en les recouvrant avec soin de feuilles protectrices…..ce serait toujours ça de fait…

Mais alors que, courbée sur un pied de Sarriette aux fermes et parfumés aiguillons, elle relevait la tête, elle aperçut la silhouette de deux hommes qui marchaient l’un à coté de l’autre d’un pas lent un peu plus loin.
Du monde !!!...et la voilà les mains et les chausses maculées de terre grasse, "amoureuse" comme on disait par chez elle….

Elle essuya ses paumes de vifs allers-retours sur le tissu de son tablier et alla à leur rencontre…deux hommes qu’elle connaissait peu certes, mais qui ne lui étaient pas inconnus pour les avoir croisés une ou deux fois en grand place de la gargote…

Un sourire, quelques mots, interrogations….et elle comprit bien vite toute la raison de leur présence…
Une nouvelle vie demandait à voir le jour….
Quelques paroles rassurantes au futur père, quelque peu livide et le regard anxieux, promesse de leur faire au plus vite une petite tisane de Mélisse calmante agrémentée d’une lichette de gnole revigorante et elle fila vers la grande salle...

Une femme était allongée sur le lit, le visage crispé de douleur, les mains plaquées sur son ventre….bon pas besoin d’être la plus éveillée des érudites, et heureusement, pour comprendre que c’était la future mère et donc Teanuanua, la femme de Dom…à coté d’elle deux autres femmes…Fraxie reconnue idmédiatement Lafred et, petit effort de mémoire en plus, retrouva le nom d’Halliwel.

Elle aperçut sur le chevet quelques ustensiles…Diantre….elles étaient là depuis assez longtemps sans qu’elle ne se soit aperçu de rien……
Elle lança par la porte ouverte sur la salle, un « Booonjour, j’arrive tout de suite ! » et fila vers la cuisine…

De l’eau était déjà en train de bouillir..parfait….elle y jeta quelques poignées de thym aux vertues antiseptiques....puis elle se débarrassa de son tablier, rinça ses mains dans un seau d’eau claire, fila à la remise sortir une pile de draps propres et rejoint la parturiente et ses amies…

Elle se présenta et rassura la première, questionna les secondes….
Eaux perdues….douleurs très régulières….
Se pencher vers Tea….bonne haleine et bon teint….La future mère allait bien, enfin autant soit peu le lui permettait sa situation…

Quelques mots de plus échangés avec Lafred et Fraxie appris qu’elle était médicastre….sourire soulagé….même si elle avait eut à donner vie à quelques âmes déjà en ce monde, elle, elle n’était que simple herboriste….mais ainsi entouré l’enfant comme la mère avaient la Chance de leur coté….même si dame nature restait seule maître….comme toujours….
Elle repensa avec tendresse et émotion à Jaime et Léo auxquels elle avait aidé aux premiers cris…Mais une nouvelle contraction de Tea la tira de cet état émotionnel si particulier que donne le fait d’être là à la naissance d’une âme….entre angoisse et plus pure des félicit酅

Bonochcs dames..avant toute chosehqueaucun homme nmentre ici .

Ensuiteuje vous demande de dder tout ce que vous trouverez sur vous ovcette pin de liens noud.ceintures, rubans, attaches diversesa.cela risquerait daattirer le cordon du bl autour de son couu.


Regards un peu ahuris

Cherchez paslfaitesrchest ainsi ceest touta.

Cris de douleur de Tea
Assured aucune prsnce masculine, Fraxie dans quelques paroles aussi douces que ses gestes alla trouver de sa dextre ronse es interrogationsn
Puis la senestre alla caresser, rassurante, la joue de la future m,, replaet au passage quelques mles de cheveux perdues sur son front

Je sens sa to Teaeil se prlnte bienn.il est sur le cheminr.soyez forte..accompagnez le de votre souffle dans ses efforts pour venir au monden.
Toutes les douleurs seront si vite oubli quand vous le serrerez contre votre seind.
Soyez fortet..


Elle se releva et s adressa oix basse ees deux amies
Priez pour elle, pour eux-

Et Fraxie adressa elle aussi ses suppliques silencieuses qulimporte le nom de celui ou de ceux auxquels elles snadressaient .
Le destin eit le ma pour tous…..le nom qu'on lui donnait importait peuo
Chapuce
Traversant le Maine aux fronti2s fermn, coinc"entre douaniers chasseurs d'eangers, Chapuce vola de ncud en neud pour atterrir aortagne par un beau matin d'hiver ...

Vos papiers demanda le douanier local .;. rhoo quelle race efficace et peu sensible aa palabre ... mais le nom de Fraxie sonnait partout comme un seme et sa seule mention aplanissait toutes les difficultt .... vive toi, Fraxie !

Assis devant la roulote Fraxinellienne, chapuce regardait monter en un ciel sublimndu fond du lac, des liles nouvelles ...

A ccde lui, son alambic, ramence Pegueux, un de ces alambic Il ne lui faudra que quelques jours pour le remonter et quelques coups de marteau pour le dlbosser ... aprqzou, ea chaufffe ...
Chapuce
Chapuce le forgeron ba des dieux avait d d 'abandonner sa forge Ptgourdine pour reprendre son apprentissage auprede dame Fraxie, forgeronne de renom.

Mais hier, impossible de s'installer aortagne
"certains meers ne peuvent e abandonnbquot;
Chapuce se savait important, mais auprMde son club de soiffards, pas auprtdes pontes du comtr..

Que dire que faire ??? Chapuce est inquiet et redoute l'expulsion ....
Il dès da d'envoyer missive ..gueux disant qu'il abandonnait sa forge ui voulait,
madame la nouvelle maire lui en voudrait certainement ... quel créri ceur de dnvoir une aussi jolie dame ....

Mais l'apprentissage Fraxilien iit e prix ....
Cyrinea
[Mortagne, le 17 D/mbre]

Elle avait beau se tortiller dans tous les sens, cela ne voulait pas entrer, ou plutgceest elle qui ne parvenait pas /y faufiler dedans. Fichu marcht On regarde, on jauge, on suavise du prix mais pas moyen dnessayer. D ailleurs elle avait rencontrt,un des tisserands de Mortagne et elle sfait jur ue la prochaine fois elle seoffrirait le luxe de passer commande. Elle en souriait daaise d’avance, seimaginant se pavaner dans une pis toute de tissus flamboyants dtri discutant couleur et texture, dans des sourires entendus et des gestes feutre

Puis elle regarda nouveau ce qui ndait devenu qu un vulgaire morceau de tissus et le jeta uravers la pi . Une robe quails appelaient ! 200 us en plus !

Un bruit se fit entendre gaext eur, devant la roulotte de Fraxie. Cyrinea srapprocha de la fense et en erta les rideaux. Un homme, qui lui rappelait vaguement quelquuun, se tenait assis, semblant attendre. Elle faillit sortir, mais rrisa que sa tenue ne lui permettait pas de se montrer...ou pas tout de suite quand mi !

Ce qui la fit songer nouveau uette fichue robe vers laquelle elle jeta un regard courroucrElle qui voulait se faire belle avant ce voyage, cdeit ratnA moins que...elle ne la revende ! Ou qu elle ne l offre >iflheim ? Mais cette id ne seincrusta pas dans son esprit car llimaginer en robe...md une robe pour homme...non. Son gois hommes la portait davantage vers une virilitsffich. voire l rement sugg!e, ce qui ne serait rdemment pas le cas avec ce genre de tenue...qui...tout de ms...enfin...cela metait roexion. Cette penselui arracha un sourire, puis une petite grimace, rdisant qu il y avait di quelques jours qurelle ne senit pas retrouv contre la virilitduggee ou afficha justement, de son amant favori.

Elle avait nrmoins trouvxn la personne de Judas de quoi s occuper une aprnmidi entig, apremidi de dnces et de dvuverte mutuelle. Aristote savait combien elle pouvait ée e difficile pourtant, mais cet homme leallez savoir pourquoi, lui avait plus tout de suite. Elle guetta lnarriv de Fraxie, pour la remercier de le lui avoir prrntnmais aussi, pour renouveler sa commande deherbes.

Il ne fallait pas non plus qulelle oublie le but de ce voyage, et quselle prenne des risques inconsidqs. Et puis elle avait dtddue le plaisir valait bien un petit mal de ventre.

Un pigeon atterrit soudain contre le rebord de la fenae. Une missive ! Elle adorait les missives ! Elle se dpcha dualler en lib r lbanimal auquel elle offrit quelques graines en guise de reconnaissance, seinstalla et la lut. Lordangel arrivait...impatient, un cadeau d.anniversaire dans sa besace. Elle soupira diaise et slallongea en travers du lit, songeuse. Hum...ce voyage promettait dEdlnt d de amusant. Il faudrait drailleurs quuelle en avertisse Grenade, presssde rencontrer son Ange.

Un Rapace et un Ange. Cyrinea iit une femme de paradoxes...

_________________
Salvia
[la Rochelle...]

Pas tas traRr ses chausses boueuses...
Ombre lente, anonyme, discrt rlse"
Une affiche luee but t/>..voir m/ d>et
Une blonde trop vite crois=
Y Rien en attendre vraimentt
Un " Pourquoi pas l/span>" de plus
Rien en attendre vraiment ..Rien>
nteRieno ?
et pourtant…. e l .

Errance se demandant soudainement sa que
Vertige ange au dessus d un gouffre btt p
Chasser l ab deun battement de cile

Pas as sourde lassitude coll aux chausses
Et comme un truc gris et froid rivnlen estomac
A cause d ce satan…iel dnhiver srnt>
Ontans leattente dbun suivant Qui dit jamais son nomt.

Un regard qui se glisse dans les tavernes
Des trop vides/ elle trop pleine
Pas trddouipour lrbadinage...

Alors, pas cas, traur ses pas
Sur le sable, face a mer....
Bourrasque froide saline
Plant haut sur la dune
Sroffrir une monotonie dnor eint
Un chant d tme vibrant
Et une immensitr'Ailleurs fuyants
Ligne dehorizon en seul pr/ntA

Faut bien se chouchouter parfois
Oyider eombrera
Qui sait"..
...
Pause du sablier..
Sur le sable...
Face Ba mer
d
Ame houleuse
......
b

Soudain Aristote eott elle, vigilant
"Grouamphhh" sourd, la truffe au vent,
Deux hommes palabrantb.passant... et repartanti
Sans les voir...
Mais sens aill. aux aguets, extraits de leurs madres
Et dans le vent.des voix/plus loinl lmas
Descendre un peu la dune...
Deux fines silhouettes courantsu.ci Ar..
Quelques autres snaffairant
...Brefs "ats glaclde fer sous le soleil.....
Et bdn dansant au ventn
Savait pas ce qulils fabriquaient l 'si bonne heure
Mais sur qurelle devait pas avoir lvbon carton dainvitation.

La discrr s>apprdit donc ente eouveau...
Pas aas qui s>apprcnt rourner les talons..
Pourtant plisser les yeux sous un des reflets blonds
l.et comme un gof certitude ...
Le monde it petit faut croire.
Pas de grande illusion sur la m ire d la donzelle
Pas franchement sur de tomber au bon moment
Mais bon...

Pas bas suivre le hasard
Un regard, un geste au ' Tot êta Prudent u

Pas ras, sable crisse sous les chausses
Finir de duler la pente, marcher

Pas gas... lents et pos.
T s qui se tournent, la scrutent

Pas nas plus assuruqulil ne sont en v to
Quatre femmes, un homme et elleo.

Pas as regard droit sbavancer
Chercher les yeux dsla blonde, les trouver, s y accrocher
Malgrstyat agact.

Pas as.... plus de pas
Pas son truc les discourss
P Salvia...
J sais pas si tu mtremet
Jeai appris que t is dans les coins
Et j espuis justement te recroiser j crois bien...

Leaurait fallu en dire plus
Elle trouva pas...

Pas as ...Ciel suivantl
Hochement de te en bref salut aux autres
Attendre une r/tions
Qupelle qupelle soit...

...








































































Grenade
[Mortagne]

Depuis quelques temps Grenade faisait le grand vide dans son bordel.
Elle avait entass=ci les affaires =mporter et l?elles uendre.
Elle s'sit procurfne charrette en faisant du gringue an bouseux du coin.
Elle avait m. rfsi, en lui montrant gratuitement ses charmes les plus beaux, "e qu'il entasse tous ses meubles dans le v cule.

La belle avait du se rendre a sortie du marchsour vendre discroment tout son fatras.
Elle avait tout de ms pu en tirer un prix correct.

Sa petite mansarde ait presque vide .>
Entre les nombreux allgretours de sa maison sur roue /on ancien bordel, la jolie brune se faisait un malin plaisir de snober ses rombixs de voisines : celles qui s' ient ssnt rsll d'aller d.ncer ses soit disant mauvaises tenues et frrentations.
Bientpoutes ses frustrète seraient satisfaites, mb si Grenade ait persuad qu'elles auraient pr rra voir sur un br

La belle de nuit tira la porte de son bordel une dernie fois, dvocha la lanterne rouge et cloua sur la porte de bois vermoulu une pancarte.


Citation:
A VENDRE
Niflheim
[Intemporalit ans le npt des songes niflheimiens]

Les bras en croix, dans la roulotte pr e par sa belle, douce et dithyrambique rose des bois au nom si parfum=e Fraxie, Le jeune homme se reposait depuis des heures, pour ne pas dire des journ. entias de temps en temps. La bouche semi-ouverte regardant le plafond par son fond de gorge, il dormait oings fermp dans un bruit de ronflement qui ne pouvait laisser aucun doute quant =a plttude du monde dans lequel il it plongnQuelques murmures parfois, des soupirs aussi. Une vue banale offerte par le ltme, pour des rfs fondants /'int>eur. Tout se pr it, dans la maisonette sur roues, au daloppement propice d'une ambiance soporifique: un bois isolant, des draperies aisses et confortables, une chaleur constante, apprLequand au dehors la temptture met le corps ,'peuve, etc...

Mais pourquoi reste-t-il ici et ne va-t-il s'envoyer les quatre fers en l'air avec une chopine de trop, comme il adore le faire, en taverne? C'est que la solitude n'est agrule que quand elle est diru Et durant cette peode festive, l'lo ne voyait plus que rarement celles qui le dandaient, et cela l'ennuyait au plus haut point. Or le temps passe plus vite quand on est d chêtau monde rl et qu'il n'a alors plus aucune prise sur nous. Et quel est le meilleur endroit pour iapper aux turpitudes de la reitesi ce n'est notre jardin secret de l'inconscient? Mais son souhait d'esion n'est pas sa seule raison.
Culture livresque et grimoires durifurent l'apanage de ces derni s semaines. Une bibliothse avait m vu le jour portagne. Id,de gme s'il en est, puisque Niflheim, r'tif quand il voit l ne occasion d' ler sa science, a md eu l'idE plus gtale encore, d'utiliser cette bibiothve pour essayer d'avoir son propre rayon avec ses propres ouvrages. Que de sourires cela lui arrache shaque fois qu'il y repense! C'est que le rapace aime les tremplins pour prendre son envol plus facilement...

Puis aussi, le voyage qui s'annonce ademment! Il avait emmenoyr ici pour een lui faisant une promesse selon laquelle ce serait une ode a'henisme. Et puis il >it pressre revoir Fraxie et Grenade. Il y a certaines compagnies, me pour un misanthrope partiel, dont on ne peut se lasser, surtout quand celles-ci prsntent des cuisses qui appellent le cannibalisme. Mais faisait longtemps qu'il ne les voyait plus. Cyr lui avait offert une robe qui lui allait au mieux selon lui, et qu'il portait haque fois qu'il sortait. Ca lui faisait ressembler de plus en plus au sage qu'il fit. Ce fut la derni! rencontre en date. Mais comme rhacune de leur entrevue, c'est un snement digne d' e marqu ans les annales...
Mains dans les poches, cheveux flottants au grru vent et yeux admirant l'horizon enneig t vide, sur une hauteur qu'il n'avait jamais vue auparavant dans la ville, et qui pourtant la surplombait, c'est dans ces moments-lêmeourtant qu'il a l'impresion d'apercevoir tout le Royaume de France et d'en imposer par sa stature et son charisme idtogique, la robe flottant elle aussi. Que ce soit dans le sommeil ou la mrtation contemplative, le jeune homme dageait un calme presque exasp'nt, car il ne disait rien et se plongeait dans le plus pur stolsme expressif, et pourtant derri lui, comme pour assurer sa prestance, les femmes qu'il d re, les amis qu'il appree le regardent confiants, accompagnade leurs carosses en signe de libertMicinale. Philosopher et enseigner au fil des chemins. Une influence toujours mieux exercé equ'elle n'est pas recherch'ou demandtde vive voix.

Et c'est fort de ces quelques rbries que le jeune homme ouvrit les yeux sur la triste condition hivernale. D'olvient, la neige est coutumi . Prsnte constamment, elle n' ut plus. C'est un couple de longue date qui ne s'attend plus, mais ne se rejette pas. L'indiffnnce conjuguale. Ce qui n'hit pas le cas de ceux qu'il cuait dehors. Des visages enjout dans des familles qui se pensent heureuses par ce respect des traditions sentimentales et religieuses confondues, Niflheim en eit d'iTant de niaiseries audibles dans un "esprit de Notquot; inventés t eurant de bsitude, c'est lassant! Les rns n'en deviennent que plus attractifs envers des fUs toutes empruntes de ponctualitcet d'absence de significations, oun'y aurait rien eespecter, si ce n'est le fait de finir par terre, sans en prrser la condition pour y arriver...
Le jeune homme ne se leva pas... Attendre le d t du voyage est la meilleure chose taire. Son air aigri ne serait pas contagieux...

_________________
"Carpe diem, quam mininmum credula postero." (Horace)
Fraxie
[Montmirail]

Courte et rapide premip escalen.
Les roulottes avaient arr"s leurs grandes roues quelques heures auparavant 2a lisiW dkun bois proche de Montmirailp.juste le temps de faire prendre un peu de repos aux voyageurs comme eurs chevaux qui avaient vaillamment du dguer les orni"s boueuses et ils repartiraient avant la nuitp.

Chacun sur le camp vaquait mes occupations, somnolentes ou affamel
Chapuce lui eit en la roulotte de luherboristerie en train de v"fier que son alambic ntavait pas trop souffert des soubresauts chaotiques auquel il avait soumiso.
Fraxie se glissa bes cots ouvrit l=une des malles, en sortit quelques fioles et les glissa dans sa besace
Je vais faire un petit tour en ville lui dit elle en lui volant un baiser qui stattarda un peu, voir si je ne pourrais trouver quelques douceurs au marchuspan>aelle marqua une l’re pause avant de poursuivre….et voir si par hasard je ne pourrais croiser Esquiu.
Chapuce lui sourit et la laissa filer avec la promesse de la retrouver sans doute ici ou lblus tard.

Au hasard des rues et des ruelles elle se trouva bient/ace au vaste chantier des thermes dont elle avait tant entendu parléril y rqait une joyeuse agitation au milieu des gravats, des uafaudages et Fraxie diuvrit tout dsabord dans un petit iOoooohhh aussi surpris que=rveillwles fresques qui sisillaient , se r laient, et puis dans un H">vSQUI !!!! o aussi ravi que sonore, et ccest peu dire, les jupons dansants de son amie.

Quand elle fut auprtd elle Fraxie lui offrit les quelques fioles drhuiles de massages prisent un peu plus t ui conseillant vivement de ne pas attendre leouverture de ses Thermes pour user et abuser de celle au romarin pour les entuelles courbatures de sa petite troupe laborieuseu.

Cela faisait si longtemps qutelles ne sarient vues ou mt uit ..Fraxie sien excusa
Le temps avait filaengloutit dans le travail dtson entraau conseiluune certaine lassitude aussi zit venu siemparer d:ellem.Mortagne mourait oetit feutalors ce long voyage avec quelques amis, dont Grenade et elle parlaient depuis si longtemps, ,it enfin sur les routes d
Elle avait d"ssionnisa sulfureuse princesse avait abandonnta eCroqueuse de Phommes H et elle son terrain au Quartier du Lyss.ils partaient reaventure sans trajet bien pros mais snnt pour longtempsElle lui parla aussi avec sincetle cette si ancienne et complice amitiehapucienne qui avait depuis quelques temps pris une couleur bien plus douce et tendreede son regret de ne pas shattarder plus rontmirail, de leaider au chantieru.

Et le temps passa, passa tant et si bien en compagnie de l/exquise Esqui dont Fraxie aimait tant ce feu sacr ui la faisait rayonner de vitalitefourmiller d/idL, qumelle due, iegret, la quitters

Promesse de snsire, de se revoir un jour, au hasard du temps et des chemins…..

Les roulottes repartaient ydge..

_________________
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