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[RP] Duflan, Coms de Tolosa !

Devil.
RP ouvert à TOUS ! Devil est entrain de rêver. Et dans ce fameux rêve, les choses sont bien différentes, pour exemple, c'est Duflan le Comte. Mais ce n'est pas tout. La règle d'or de ce RP décalé est de s'amuser, si possible. ^^ Les critiques présentes dans le RP ne visent personne en particulier, c'est à prendre au 2° dégré. ; )


La journée fut rude. Il avait beaucoup étudié ces derniers temps et se moquer des professeurs, ainsi que des autres étudiants l'épuisait amplement. Il faut dire que la médiocrité le fatiguée. Lui, empli d'arrogance et de misanthropie. Après quelques nuits, là-bas dans son étude, il prit la route pour le Comté de Toulouse. Pour une fois, depuis un moment, les intrigues politiques commençaient à se calmer. Bien que par-ci, par-là, elles subsistaient. Las, il entra dans sa masure actuelle d'Albi, déposa sa canne près de son lit. Il alluma le feu, lieu principale et unique de cet endroit, il faut dire. Après quelques bûches et un bien maigre repas, il s'allongea et s'assoupit...

[Un songe...]

Devil se mit donc à rêver. Et ce rêve était bien étrange. Le rationnel devenait irrationnel. Les "gentils et bien pensants" devinrent des "vils mécréants et de redoutables scélérats sanguinaires". Un juge bien pensant se transforma en homme ou femme de robe autoritaire sans état d'âme. Et un Comte de Toulouse qui serait...
Dans ce rêve, Duflan avec sa liste "DUFLAN LE WINNER" avait été élu en grande majorité face à la liste d'opposition "On S'Est Fait Avoir" et deux autres, la "On N'a Rien Vu Venir, Normal On Étaient Pas Là Au Début" et la fameuse et brulante liste religieuse composée uniquement d'inquisiteurs : "Tas De Cendres" ...


Les premiers jours de l'investiture de Duflan ne furent pas simples, il a fallu répartir équitablement les postes. Bon, ne soyons pas naïfs. Il a filé à tous ses potes, les postes sympas, pépères, plus connus sous le nom de fonctions "OFR - On Fout Rien". Nous passerons les détails sur ces dernières. Les roulage de pouces et autres dégustations de tisanes auprès du feu, à faire des vaches. Ben, cela ne nous regarde pas ! Ainsi un CAM, sous tutelle du bailli ne fera que reporter des chiffres, sans se poser de questions. Ne prenant même pas la peine de le dire au tribun, afin que ces derniers relient l'infos aux nouveaux venus. Ni même, nous ne parlerons du PP qui a toute une semaine pour colorier sur un parchemin afin de donner les bilans de mi-mandat, quand il y pense, entre deux beuveries et quelques sorties à cheval avec ses "relayeurs municipaux". Mais tout ceci, nous le répétons, cela ne nous regarde pas !


Bref, la dame Neyco fut mise à la fonction de juge. Cette dernière sous ses airs innocents et son joli petit minois, était en réalité une légiste tortionnaire et autoritaire imbue de sa personne. Bien entendu, sa tenue de magistrat serait la plus courte possible et tout, et tout. Du moins, c'est ce qui était le cas dans le rêve de Devil... Au poste de bailli, la "près de ses sous et éprise du magnifique Devil" Lily-Jane qui aurait fait une crise de nerf, dès qu'un n'écu disparaissait du trésor comtal. Ce qui arrivait souvent avec le Coms Duflan, vu qu'il s'en mettait pleins les poches...
Nous passerons les détails sur l'ensemble du conseil comtal Toulousain, ceci viendrait plus tard. Venons-en au rôle, dans ce songe, de Devil. Ce dernier, après de brillante étude de théologie, devint un curé -alcoolique et névrosé- conseiller direct du Coms de Tolosa, Duflan...


Dans la campagne, la terreur sévissait. En dehors de la mauvaise gestion des précédents au pouvoir de la liste des "On N'a Rien Vu Venir, Normal On Étaient Pas Là Au Début" qui a entrainée une famine dans la région, mais aussi une peste dévastatrice. Un brigand anonyme connu sous le nom de "Col-Vert" faisait son oeuvre dans les terres Toulousaines. Ceci étant un fléau de taille pour un Comte d'envergure ou presque. Duflan devrait endiguer ce mal-au-trou...euh...malotru ! Mais cela ne serait pas la seule mission du Coms, il devrait en plus de cela contrer les lapins-nains enragés du Rouergues et lutter contre la légende locale faisant peur aux n'enfants, l'abominable homme des latrines !

Que de défis à relever pour Duflan.

La scène, se passe dans la taverne aristotéliciennes "A l'hérétique fumant" où Devil complètement bourré voit le Coms entrer et quérir son conseil...
Neyco
La sadique et tordue mais néanmoins maligne Neyco avait eu le poste qu'elle rêvait depuis toujours être juge de Toulouse.

Fallait dire qu'il ne fut point dure pour elle de convaincre l'autre idiot trop proche de sa gniole pour réfléchir le super Coms de Toulouse Duflan le winner comme il avait fait sa propre liste.
Une promesse d'enfermer tout ceux qui oserai lui piquer sa bouteille et les autres buvant un peu trop ne lui payant même pas un coup a boire.

Toujours vêtue de son petit uniforme qui ne cachaient point ses formes la laissant a peine respirer de par le corset bien serrer portée juste au ras de sa poitrine afin que tout les accusée passant par le tribunal ne soient concentrée que sur cette partie de son anatomie, les perturbants au plus au point et les laissant ce faire condamner a des bucher sans ce défendre.

Une chose était sure en ce qui concernait l'animation, Toulouse avait atteint son apogée. Le peuple ne parlais sans cesse de qui serai le prochain abruti a passer entre ses griffes.

Hélas depuis quelques temps un violent bandit du nom de " Col-Vert" faisait rage en rase campagne.

Ses foutue on sent pas bon des pieds et on s'en fou, venait a pleurer jusqu'à son bureau tout propre en dehors de miettes de biscuit trainant ca et la sur quelques dossiers de la plus haute importance.

Une battue avait été organisée sur ses fonds personnels et pour cause, la radine mal lécher de Bailli hélas accessoirement sa cousine, avait chiner et tempêter sur les sous du Comtat.

Image mentale bien pitoyable lui rappelant sa dernière visite de celle qui gardait de par son corps la montagne de pièces d'or qui ne cessais de diminuer pour partir on ne savait ou.


Nan pas mes précieux!! Mon argent tout cet orrrrrr!!!

Dans un crissement de dents, la juge parfaite dans son costume une pièce, la deuxième étant trop cher et la bailli ayant voulu faire des économies elle s'en retrouvai le fessier a l'air, sortit du coffre comtal.

Bon la traque l'avait ruinée mais quelques déhanché et surtout quelques condamnation a mort et op elle serai vite rembourser. Manquait plus qu'a trouver un idiot l'inculper de n'importe quoi et c'était partie.

Ce baladant en place toulousaine, elle voyait sur son passage les gens courir ce cacher dans des tonneaux vide de peur de passer au tribunal sans passer par la case défense mais directement condamnation au bucher.

La taverne "A l'hérétique fumant" proche, elle ce dit que les quelques écus qui lui restaient serviraient a lui remonter le moral pour la peine.

Même pas une petite pendaison.

Autrefois crie pleur et arrachement de cheveux était toujours en cours sur la place publique.

Ah c'était l'bon temps comme dirai certains elle la première.

Espérant que le plus beau des Coms que Toulouse ai eu l'immense honneur d'avoir, change toute cette monotonie affligeante.

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Devil.
Ah ! Que c'est dur de l'avoir si molle, par un temps si raide ! Lança un paysan qui fureté dans le coin, au sujet de sa baguette de pain. Un décret comtal venait de tomber : "Interdiction de vomir et de passer sous les tables". Voilà, qui avait eu fait parler dans les chaumières.
- Ben si, on n'peut même plus picoler et dégobiller sur l'nobles ! Où va-t-on, hein ?!! Ce "hein" typique, en principe dans le Nord avait migré à Toulouse et était devenu à la mode. En soit, c'était une nouvelle forme de ponctuation avec celles que l'on connaissait déjà comme "p****n" et "c*n". Mieux que le dialecte local connu sous l'appellation non contrôlée de "patois".


Devil vidant son énième verre, avait cru voir venir le Coms de Tolosa, Duflan. Mais, il n'en était rien... Il ne s'agissait rien de plus, rien de moins que du "médecin" comtal. Oui, car il y en avait un, spécialement détaché pour soigner la goutte du précédent Comte. Ce dernier, le médecin, pas le gros..Comte qui était "mourru" depuis, étouffé par un bout de saucisson. L'homme de science s'approcha du curé, religieusement alcoolique -alias Devil- et lui dit :


- Bien le bonjour, mon Père. Avez-vous eu vent des rumeurs concernant le brigand qui sévit en nos terres ?
- Hips ! Naaaaaaaaaaaaaannnnnnnn, laiiiiiiiiiiiiiiiiiiiissssssssssssssssssssezzzzzzzz-moiiiiiiiiiiii. J'essayyyyyyyyyyeeeee deeeee voiiiiiiiiiiirrrrrr Aristoteeeee !!!!
Le médecin ne se laissa pas démonter pour autant, ayant l'habitude de voir l'homme d'église dans cet état. En même temps, c'est bien connu. Ils portent des soutanes pour quoi faire, tous ? Pour les lever, en chantant, debout sur les tables et les autels : "Il est des nôtreeeeeuuuuh !! Il a vu Aristote comme les autreeeeeuuuuuuh !!"
- Hips ! Et leeee coooommmttte, il vieeennnt pô ?
- Oui...alors...le....Coms. Dit le medecin visiblement gêné, au milieu de la taverne. Il a...comment dire...il a...quelques soucis gastriques.
-Hips ! C'est salooooopioooots de Guyennnnoiiiiiis, ils oonnnnt esssayyyyés de l'empoissonné avec leurs maudits vide-estomac. Foutuuuus pruneaux !
M'enfiiiiin, docteur.*hips* vous connaissez le proverbe*hips* : Pet contenu furoncle au...Il se fit interrompre par le médecin.
-Oui, oui, je connais ! Bon, je venais vous apporter les nouvelles. Quand à vous, vous devez assurer l'office, n'est-il pas ? Bien. A ces mots, le médicastre prit la poudre d'escampette et sortit de la taverne, croisant la terrible et sanguinaire juge Neyco.
Neyco
La petite juge aux sourires multiples de sadiques a diabolique parcourait de long en large la rue principale a la recherche d'un pauvre pecnot qui oserai pointer le bout de son nez puant.

Grognant tel un chien enrage en manque d'os a ce foutre sous la dent, elle aperçut rapidement le médecin abrutit faux jeton qui sois disant devait soigner les Coms.

Vite le suivre il ferai probablement une erreur un faux pas en dehors des lignes autorise ou autre étrangeté.

Depuis qu'elle avait été nommé juge, Ney avait réussit par quelques tour de force aussi malsain que tordue a faire imposer ses lois.

Interdit de boire dans les tavernes non autorises.
Tout les futs d'alcool se devait d'être percée et gouter par le Coms et validé.
Interdiction de marcher de travers lorsque l'on était pas soul comme une outre pleine.
Interdiction de boire l'alcool préférer du Coms sans y être inviter par celui ci.

Les taxes sur toute marchandises quel-qu'elles soient et ainsi de suite au points que le livre de lois qui autrefois pouvait ressembler a un livre pour enfants, aujourd'hui prenait tout un pan de bibliothèque.

Scrutant le moindre faire et geste de ce faux homme de médecine, elle ne put que constater dans sa grande tristesse qu'il était rentrée chez lui sans un seul faux pas.

Repartant vers la rue principale, elle entra dans la taverne règlementaire sous toute ses formes qualité d'alcool grands cru tous validée par le Coms.

Avachit sur une table telle une loque prête a être brulée tellement son utilité devenait flagrante, le curé du coin complètement plein.
Vu l'état d'ébriété de ce dernier, son corps devait probablement contenir bien plus en liquide qu'un tonnelet.

Imaginant le corps du maigrelet suspendu a des chaines roulé dans un pressoir, elle se dit qu'on pourrai probablement en extraire quelques grands cru unique.

S'approchant du Devil tel un lion proche d'une pauvre gazelle blessee, la main au dessus de sa tête, telle une griffe du démon.

Appercevant le regard torve de ce dernier, elle baissa sa main désespérer.

Aucune réaction s'était pas possible. Meriterai le bucher comme tout ses saligot qui s'amusait a lui foutre de la paperasse sur son magnifique bureau.

S'asseyant a une distance raisonnable tout de même afin de ne pas être contaminée par sa médiocrité affligeante elle lui parla en espérant que ce dernier comprenne.


Ou est le Coms?


Le sourcil lever en signe de dédain des plus total, la tyrannique juge du Comtat observait du coin de l'œil quelques idiot assis a la table derrière, tel le démon face a des âmes pourries jusqu'à la moelle. Rêvant en son sein de les voir bruler vif, la chair se decomposants de leurs petits corps vicié.

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Lily-jane


Rhaaaaaa ce qu’il est beau! Il est grand, magnifique, charmeur, intelligent, musclé, si drôle, si… Ahhhh Devil!!! Je me damnerai pour toi!!!!!

La folle bailli du Comté parlait à son miroir. Elle venait de rêver encore une fois à ce cher Devil, conseiller privilégié auprès du Comte Duflan…

Duflan… ça y’est, la migraine revenait. Elle s’empressa vers les coffres du château, qui contenait toute la fortune du Comté.
Trois tours de clefs vers la droite, deux vers la gauche. Une deuxième porte. 6 tours vers la gauche, trois nœuds à défaire;
Puis un mur. On touche la bonne brique et hop, la salle au trésor.

Lily observa d’un œil anxieux les coffres remplit d’écus.
Elle s’approcha et les ouvrit…. Puis se mit à compter les pièces …. Son aide comptable l’avait suivit et fit la même chose avec un autre coffre.
Bien entendu Lily avait finit avec le sien, et écouta gravement les pièces retomber dans celui de l’autre…

L’homme les faisaient retomber


Gling
Gling
Gling
Gling
Gling

Gliiiiiing!


La brune se releva d’un coup, le visage blanc, une fièvre naissante

Il en manque une!!!!!!!

Argggggggggggggggggggggggghhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!

Cri déchirant qui résonne dans tout le château….

Noooooooooooooooooon!!!! On est pauuuuuuvre!!!! Qui a osé toucher sans me demander!!!! Au bucher!!! Qu’on le peeeende!!!! Qu’on l’étriiiiiiiiiiiiiiiiiiipe!!!!!! Qu’on l’écartèèèèèèèèèèèle!!!

Elle se mit à taper dans les murs en hurlant, tout en quittant la salle du trésor, en pleine crise d’hystèrie, mais réussissant tout de même à refermer tout bien comme il faut, et laissant à l’intérieur le pauvre aide comptable.

Une fois tout fermé elle reprit sa course dans le Castel en gémissant, hurlant, insultant


On touche pas aux écus! Pas mes écus! Je l’ai dit pourtant! Arghhhhhhhh! Les sous du comté!!! Arghhhhhhh!!! Qu’on les abatte les chiens qui ont osé prendre ce denier !!!!!!

Arghhhhhhhh!!!

Et ça hurle, ça gesticule… Rien ne pourrait la calmer… Sauf peut être son merveilleux, grandissime, sublimissime, Devil!


Leyoun
En plein milieu de la place du chateau du Coms, la OSFA connue son instant de gloire. Les élections comtales les avaient élus avec d'avantage de voix que la ONRVV NOEPLAD.
Le Winner plaça en toute logique les postes par niveaux de difficultés.
Le lendemain on pouvait venir contempler la splendeur du fou du Coms, nouvellement nommé parmis les élus OSFA. Arnaché d'un costume boudonnant vert blanc et rouge, leyoun s'agitait sur une barrique à l'aide de symbales ou autres instruments musicaux de torture qui égaillaient vivement l'assemblée regroupée sur la place pour les feux de joies de la TDC.

Tout en sifflotant entre chacun de ses meddley inaudibles le fou s'écriait..


Du premier au second jour de la semaine, la TDC offre le méchoui
!

Deux trois sifflements plus tard et quelques coups de tambours complétement détendu sur lequel il frappait très fort...

Du troisième au cinquième, la guillotine, la presse et les chevaux pour l'écartèlement sont réserver pour la Judge !


Tout en criant le dernier mot il tapa avec la grosse baguette du tambour sur la tête d'un adorateur de TDC...Leyoun porta sa main à la bouche ...Oups !
Droite...Gauche...personne à vu...l'homme raide par terre dans la foule...Leyoun descendit de sa barrique...la traina un peu plus loin et remonta dessus...

Du cinquième au septième, nooooosstre Grâââââce nous fera l'immense plaisir de redistribuer quelques deniers à sa bourse! Pour le plaisir des yeux de tous ici !

Le PP arriva près de leyoun en lui faisant signe de se baisser pour qu'il lui souffle quelque chose à l'oreille.
Leyoun se pencha en prenant le soin de retirer son casque à plume....

_________________
- veste de capitaine déchiré
- vêtu de simple braies
- blessure sur le flanc gauche récente cachée par sa veste
- pas d'arme ni d'armure ni casque rien ! ^^
Devil.
Comme l'avait dit cette ivrogne de Sainte Boulasse : " Il vaut mieux la bière dans le corps que le corps dans la bière. " Mais la limite pouvait être facilement franchie. Après le départ, du médicastre personnel du Coms, il ordonna qu'on lui offre une nouvelle chopine mais le tavernier refusa. Ce qui le mit passablement en colère. Au moment où il allait taper le dit tavernier, un paysous hurla :
"Nom de Diou ! C'est là terrible jutge qu'arrive !"

Sur quoi, la taverne prit des airs d'édifice religieux, le silence se fit présent à l'instant, où à la messante juge Neyco mis un pied sur le plancher imbibé d'alcool et de vomie. Mais ça, c'était à la bonne vieille époque. Depuis, ce décret...Ah lalala ! La sanguinaire mais aussi sexy Neyco prit place dans ce lieu de beuverie. Elle s'adressa directement au curé, du moins c'était sa fonction à ce qu'il parait.

Alooooorrrrrs leeee Com ! *hips* il est pas làaaaaa. Fauuuut pas être sortieeeeee du séminaiiiiiiiirrrrreeeee de Lyonnnn pour le compreeennndrree et surtout le voir. *hips* Le médicastre *hips* a dit qu'il était souffrant. *hips* Bon sinonnnn ma booooonnnnneeeee lorgnant sur son décolleté. juge *hips* Avez-vous choooooppppé ce fichuuuuu Col-Vert ? *hips*

Il regarda à côté de lui avec un sourire complètement niais et idiot. Comme s'il sortait justement de ce fameux séminaire...


*hips* Pis...moué, j'ai pô l'temps ! J'dois aller *hips* faire l'messe ! J'espère que *hips* vous viendreeeeezzzzz...
--Coms_duflan


Duflan avait quitté le comté de Toulouse en hâte, un vil brigand, des nains c'était trop, il s'était réfugié dans le comté du Languedoc avec une caisse pleine d'or.
Il prit le temps d'écrire à ses sujets néanmoins.


Citation:
Mon cher Peuple.
J'ai du partir en hâte pour négocier un traité avec le comté du Languedoc.
Traité très important nous permettant d'échanger moult liqueur sans taxe.
Malheureusement deux jouvencelles m'ont dérobé mon saucisson, alors que je l'avais sorti pour le faire respirer dans une taverne.
Ce vol ayant pour conséquence un agravement de la situation, le Languedoc à fermé ses frontières, les anglois ont dépêchés des navires de guerre.
L''évêque local à décréter qu'il s'asseyait dessus.
La comtesse du languedoc épicurienne notoire, fait tout pour voir ce saucisson et dépêche des soldats armées.
Désireux d'arranger la situation, j'ai décidé de faire partager mon saucisson sauf pour l'église ou je dépêcherais un ambassadeur muni de son propre saucisson.
Peuple de Toulouse ayez confiance !
Duflan .


Apparemment, le vil médicastre avait menti. La juge devrait régler son cas, au plus vite !
Neyco
L'outre pleine qui servait de cure avait encore du boire l'équivalent de son poids en bière et autre vin de pays. Espérant désespérément qu'un jour prochain en faisant comprendre au Coms quel grands cru ils risquaient de perdre si on ne le balançait pas a la presse a raisin, elle écoutait distraitement ses déboires.

Cet imbécile finit ne savait point non plus ou ce trouvai le Duflan.

Arg si seulement il était la, elle trouverai bien moyen de lui faire faire accepter une nouvelle loi bien vicieuse du genre tout les biscuits se devaient être aux normes et tout les autres enfermée dans son coffre personnel ou elle plongerai dedans s'en imbiberai le corps jusqu'à qu'elle ne sente que cette odeur a plus de dix lieu aux alentours.

Non je ne l'ai toujours pas retrouve ce fichu "Col-Vert". Si j'avais les fonds nécessaire cela ferai bien longtemps que nous l'aurions attraper.

D'ailleurs, une bouteille de gniole et vous dites a l'autre Bailli de m'accorder plus d'écus. Réfléchissez y le cure.


Pouffant par rapport a la réflexion de la messe, comme si elle en avait que ca a faire.

Le Tres Haut venait a ses exécutions non? Donc ca ne valait pas la peine d'être présente. Si l'autre ne bougeai pas son popotin jusque sur sa place des exécutions elle ne ferai pas le premier pas.

Laissant l'autre ivrogne qui rouge rubicond a force de boire la couleur en disparaissait plus, elle jeta un coup d'œil sadique tel le démon qu'elle était afin de les faire mettre aux fer.

Après tout en arrivant elle ne ce souvenait point qu'ils l'ai salué.

Les pointant du doigts.

Vous les gueux puant sans nom dont l'utilité médiocre est a peine de cueillir un vulgaire légume.

Vous ne m'avez point saluer en entrant ou je me trompe?

Le sourcil levé en forme pyramidale, les dents grinçant les unes contre les autres, les ongles prêt a sortir tel des griffes.

Mais m'dame la juge on a po oser deringer hein, vous savez on fait po d'mal j'vosu assure pardon.

Le pauvre bougre se mettant a genoux.

Pardonnez moue avec min femme on est des povr' paysans. On c'nait po les bonne manière hein!!


Prenant un vulgaire moreau de bois, elle toucha l'idiot qui avait osée lui répondre.

Par mon droit de juge, je te condamne a...


Ne pouvant finir sa tirade d'accusation, qui dans le meilleur des cas aurai valu au gueux une humiliation publique, un abrutit de pigeon muni de plusieurs lettre portant le sceaux du Coms.

Étrange, l'autre outre a vin avait pourtant dit qu'il était souffrant, or cette information il la tenait du faux jeton d'homme médecine.

Faisant claquer sa langue contre son palet, elle en oublia le gueux et sortit rapidement de la masure que certains osaient appeler taverne.

Enfin c'était devenu la seule légale or ca même en faisant autant de dehanche que possible, jamais il n'accepterai de la fermer. A moins de lui dire que tout l'alcool finirai dans sa réserve personnelle.

Un fin sourire malsain sur ses lèvres, voila la solution.

Bon déjà un imbécile a faire venir au tribunal, en deux minutes le problème sera régler.

Hélant les gardes.


GARDESSSSSS !!!!!!!!!!


Une fois les lourdot enfin en face d'elle puant et dégoutant, elle fi transmettre les ordres.


Allez me chercher l'autre abrutit d'homme médecine mettez lui les fer et apportez le au tribunal.

Et au pas de course!!!!!!!!!!


Fière d'elle, elle s'en retourna dans son bureau de juge afin d'attendre l'arrivée de celui qui avait osé mentir.
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Lily-jane


Mon denier!!!!! Qui a oséééééééé!!! Mais gné pas potiiiiiible!!!!!! A laaaaa gaaaaaaaaaaaaarde!!!! On m’assassiiiiiiine!!!! On me spolie! On me meeeeeent! Arghhhhhhhhhhhhhhhhhhh!!!

Non, pas la peine de chercher, ya pas de bouton off sur elle… A partir du moment où y’était question de sous, la cinglée de bailli devenait verte de rage, hurlait à s’en éclater les poumons, frappait quiconque osait tenter de la raisonner.

D’ailleurs un pauvre garde tenta une main appaisante sur son épaule… Et hop! Les marques de la parfaite dentition de la Lily sur celle-ci!


Graaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa!!!! On me touche pas!!!! Viiite faut que j’aille en confession! Un homme m’a touché!!!! Malheuuuuuuuuur!!!
Et mon denier!!! L’est où????


Dans toute la dramaturgie de la scène, elle se mit à genoux en frappant le sol, les larmes de rages coulant sur ses joues. Quand tout à coup elle sentit quelque chose remuer dans sa poche….

Le fameux denier manquant!


Qu’on amène la servante! Qu’on la pende haut et court!! C’est elle qui a fait ça!!! Argh!!!! Justiiiiice!

Elle attrapa un autre garde par le col

Toi là! File prévenir ma couse qu’elle juge coupable de haute trahison, de crime à lèse majesté, la servante qui a planqué ce denier dans ma poche!!!!

Comment ça quelle servante? Je m’en fiiiiche! T’en prends une au hasard! Qu’on la pende demain à midi! Ça fera du spectacle et mettra en appétit!
ET BOUGE TOI!!!!

Puis elle parti en courant dans le bureau de Devil… Heu en taverne…. Elle l’aperçut et se jeta à ses pieds


Ah mon cher!!! Heu… Mon Père!!!! C’est terrible! J’ai besoin d’être entendue en confession de suite!!!!

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