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Info:
Armand est bien dans la mouise, Adye veut rencontrer sa belle famille! Belle famille soit disant de la noblesse Languedocienne qui n'a cependant jamais existé.Pour se sortir du pétrin, le jeune homme décide de faire appel à une troupe de comédiens... Arrivera-il à duper Adye? Rien n'est moins sure...

[RP] Quand l'Adye rencontre la belle famille

--Le_conteur.
Parce qu'avec un fond sonore c'est mieux d'Abord!!!


Oyé Oyé, braves gens !

Vous l’attendiez depuis des jours, des mois que dis-je des années ! Il est enfin là, pour votre grand bonheur… Je vous demande de faire accueil triomphale à celui que l’on ne présente plus … J’ai nommé… : Moi évidement ! Approchez donc, n’ayez pas peur et écoutez ce que votre serviteur a à vous dire. Aller Aller ne soyez pas timide enfin, je vous connais. Bon, z’êtes tous là? Vous n’avez pas oublié de bien nettoyez vos esgourdes ce matin ? Parfait on va peut-être pouvoir y aller.

*Le présentateur se pose sur une barrique, regarde la foule de ses petits yeux de fouille, prend un air mystérieux et d'un coup se met à conter...*

Toute mon histoire s’passe vous l’savez à une sacrée époque. 1458… quelle belle année que cette là, on en fait plus des comme ça de nos jours c’est moi qui vous le dit. Donc cette année là, après plus d’un an à se coltiner les humeurs d’un blond prétentieux et à vadrouiller à travers l’royaume, la Adye l’en a un peu marre. Alors elle s’dit quoi ? Ben qu’il s’rait p’être temps de rencontre les géniteurs du blond si merveilleux qu’il daigne la supporter. Faut dire que le gueusard, lui a monté le ciboulot de conneries, s’rait le fils d’un riche baron languedocien tiens… ça se voit pas forcément au premier coup d’œil mais pourquoi pas. Alors la Adye, elle a bien envie d’aller voir de plus près cette belle famille et c’est ce qu’elle demande à son blond.

Mais v’la ti pas qu’le blond est un poils roublard, menteur et manipulateur et que la belle famille ben l’existe pas vraiment… P’tit souci qu’le beau gosse s’empresse de corriger en envoyant la belle trainer avec de sombres mercenaires bien loin du Languedoc. Mais depuis cette lubie exprimée, bizarrement le blond est toujours fauché, jamais un sou d’vant lui, pire qu’un va-nu-pieds. Et pour cause une idée foireuse lui est venue.
Alors qu’en Poitou en compagnie de la zoko le blond traverse une crise ô combien existentielle sur le thème traditionnel du « personne il me aime bande de méchants » là-bas dans le Languedoc se préparait l’odieuse machination…

Faut dire qu'il est couillon ce blond, l'avait en effet décidé de se trouver des parents plutôt que d’avouer la vérité. Il avait alors envoyé un max de tunes là bas dans l’sud à un vieux pote. « Démerdes toi pour qu’tout soit prêt quand on arrive » la consigne avait été donnée. Et l’vieux pote ben l’a fait quoi : L’a fait appelle à une troupe de comédien, pas étonnant qu'il soit toujours fauché. L’allait pas être déçu du voyage le p’tit con!

Petite bicoque pas trop moche a donc été trouvé ou plutôt « empruntée » a quelques proprios volatilisés des mois plus tôt… La crise, ca pardonne pas ! Les comédiens briffés… « Pas de blagues, sinon pas d’tunes, z’êtes des nobliaux pour la donzelle qu’arrive, capiche? »

Ne manque plus qu’une chose, le couple vedette... Que la fête commence…
Adelinda
Le voyage touche à sa fin... Le début des ennuis? The show must go on!

Ah bah ils en ont mis du temps à arriver! A croire que le destin s'amusait à retarder le moment où le mensonge serait dévoilé... ou pas! A moins que ce ne soit qu'un jeune con prétentieux et roublard comme pas deux qui désirait mettre au lendemain un mensonge plus grand qu'une montgolfière (et que personne me dise que les montgolfières ça existent pas encore naméo!)

La brunette, au départ, y croyait fermement qu'ils quitteraient le village honni, c'est-à-dire Joinville, pour aller dans le sud. C'est ce qui était prévu à la base. Mais c'était sans compter un appel d'une bande de bras cassés, et une envie subite de revoir des visages familiers. Et voilà donc que le voyage vers les plages du sud fut mis à plus tard.
Nan mais quelle bande de ploucs! Ils auraient peut-être du finalement y aller directement. Ca aurait éviter des histoires, et sûrement que les plages de Lodève ressemblent à celles de La Rochelle. Mais y pouvaient pas savoir hein!

Et le jour où ils se décident enfin à repartir, v'là-t-y pas que la brunette tombe malade. Maudits, ils sont maudits... se disait-elle dans son lit, incapable de mettre le pied dehors si elle ne voulait pas finir en carpette.
Près de trois semaines à ronger son frein, ses pensées partagées entre vrais rêves et délires délirants. Elle en était même arrivée à voir dans ses songes une blonde devenue brune dans un autre monde. Du grand n'importe quoi!

Mais enfin... ENFIN! le grand jour arriva. La brunette avait réussi à recouvrir une grande partie de ses forces, et une fois le blond revenu avec le médicament, ils avaient enfin repris la route.

...


C'est encore loin?

On est vraiment obligés de passer par ici...?

On va chasser sur la route hein?


Inquiète la brunette? Faut bien avouer qu'elle commençait à se demander si un jour ils arriveraient à Lodève. Et de passer par La Rochelle n'était pas pour lui faire le plus grand des plaisirs. Ya des endroits comme ça qu'on peut pas supporter.
Mais bon, dans quelques jours, si plus rien ne se met en travers de leur chemin, ils seront dans le Languedoc.
Et ENFIN, la Adye va pouvoir faire la rencontre de sa belle famille. Si elle savait ce qui l'attend là-bas...

_________________
--Aspasie_d_arpaon
[Lodève, à préparer la supercherie]

La Misère est la semence propre aux êtres défavorisés, capable de faire germer une lueur d’intelligence, même dans les esprits les plus misérables. On nomme cela : la débrouille. De cette graine de débrouille, Ernestine cultive tout un champ et c’est ce qui immanquablement l’a conduit à intégrer cette histoire. Mais ne plaignons pas cette pauvresse outre mesure. Son sort elle l’a choisit.

On dit d’elle qu’elle avait des parents, jusque là tout va bien. On dit aussi qu’elle était fille de Comte. Ici par contre, ce ne sont peut-être que des racontars de vielles rombières. Cependant, Ernestine n’était pas de pauvre condition lorsque son histoire commença à s’écrire.
Mais Dame Misère touche parfois même les foyers les plus prestigieux. Celle dont souffrait cette enfant à l’âge où l’on cherche de palpitantes aventures, fut l’Ennui. Effroyable ennemi de la jeunesse, redoutable assassin des esprits éveillés, terre aride où plus rien ne germe si ce n’est de folles idées désespérées. Frappée par ce mal juvénile qui survient parfois sans crier gare, Ernestine sombra dans la mélancolie et le désespoir.

Comme je l’ai énoncé quelques lignes plus haut, bien que l’Ennui soit stérile de toutes « bonnes idées », il est fertile des idées moins bonnes voire insensées. Il est des êtres qui ont beau naître avec une petite cuillère en or dans le bec, quand la nature même de l’homme devient pernicieuse, c’est tout le fruit qui est pourri. Dieu nous est témoin que cette pomme là n’était plus bonne à rien si ce n’est vouée à un avenir peu prometteur.

Et quel avenir ! Pour perdre cet Ennui, mari forcé des jeunes vierges, elle alla vendre pucelage et fierté dans un bordel parisien, dont nous tairons le nom, pour ne point défavoriser la concurrence. La suite n’a que très peu d’importance, malgré ces aventures nocturnes, la routine finit tôt ou tard par nous rattraper, et ce qui au début ressemblait à une nouveauté tomba dans la banalité la plus grande. Elle n’avait pour ainsi dire plus de parents, car reniée, pas de toit, car chassée. Elle avait contribuée toute seule à sa perte et devrait dès lors s’en accommodé du mieux qu’elle put. Mais avant que d’aller plus loin dans le portrait que j’aimerai vous faire de cette femme ; Intéressons nous à ce moment présent qui pour un œil peu averti, est en tout point particulier.


*************************Un masque pour aller danser***************************


Un peu de fard, que dis-je un peu ? Une bonne couche de cette pâte blanchâtre qu’elle s’étale sur la trogne. Et puis une fois que c’est tout bien réparti sur sa face angélique, elle travaille la matière, elle boudine, elle tire, elle plisse. On étale bien puis on fronce ça et là. Que fait-elle depuis quelques jours déjà ? L’Ernestine se vieillit. Vous m’direz c’est étonnant, parce qu’elle n’est pas laide cette blonde là. Nan, elle est plutôt jolie, rudement bien faite, tellement bien faites qu’elle en a fait son gagne pain. A défaut d’être cultivée, l’Ernestine à une autre intelligence, celle des reins. Enfin il arrive un moment où dans la vie d’une putain on aimerait quand même faire autre chose. Alors et bien on se cherche un point de chute, elle veut faire un bon mariage. Pauvre gosse, aucun bonhomme qui se respecte ne voudra d’une pomme dans laquelle un autre à déjà mordu. Et puis elle n’est plus vraiment Ernestine depuis quelques années. Elle se fait appeler Aspasie, Aspasie d’Arpaon. Elle se cherche un titre, comme pour se restituer un peu de dignité, maigre illusion. Enfin il se présente à elle une drôle d’occasion, c’est la raison pour laquelle elle se farde. Une occasion de cesser d’être Ernestine la ribaude pour devenir Aspasie la Baronne. Comme quoi dans la vie tout arrive. On la paye pour faire semblant d’être ce qu’elle n’est pas et pourtant ce qu’elle aurait pu être.
« Tu dois avoir l’air d’une quinquagénaire » Qu’on lui a lâche en la sortant de son bordel. Facile à dire.
A quinze ans elle se prostitue dans des lupanars, à vingt-trois elle joue les mères de bonne famille. Elle a su finalement se le cultiver ce champs de débrouille, même si tout ça n’a rien de bien reluisant.


- Alors comment tu m’trouves ? Qu’elle lâche après s’être retournée face à l’homme qui jouera le baron. J’devrais peut-être en remettre une couche ? Et les cheveux ça va ? Elle glisse une main dans sa tignasse dorée. Si je porte une coiffe, on n’les verra pas de toute façon ? Sans attendre qu’une réponse lui soit faite, elle s’inspecte à nouveau dans le miroir. Le résultat est effroyable.

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--Lucas.



[Lodève, à préparer la supercherie]

Lodève, village forestier non loin de Montpellier, ville que le gamin des rues, d'une quinzaine d'année qu'il était, connaissait bien. C'était dans cette ville qu'il avait été abandonné par une mère certainement trop jeune et ne pouvant pas le nourrir. Enfin c'était ce que lui avait raconté sa mère adoptive. Sylas, de son vrai nom, avait été recueilli par une famille de saltimbanque encore bébé. Ils vivaient de diverses choses, entre autre de spectacles et de rapines.

Pour cette fois, ce serait un spectacle, mais un spectacle grandeur nature. On lui avait demandé de jouer le rôle d'un môme de quatorze ans et pas n'importe quel môme, celui du fils d'un noble Baron. Fils un peu rêveur et vivant dans son monde. Il était censé être le dernier d'une fratrie de trois enfants. Pour ce faire, il avait dû faire quelque sacrifice, mais que valait une tignasse plus courte à côté du pactole qu'ils allaient tous empocher. Après avoir pris un bain brulant pour enlever le plus possible de crasse qu'il avait sur lui, il avait pris une dague et c'était coupé les cheveux. Si cela ne plaisait pas au reste de la troupe, ils auront qu'à lui arranger ça.


Avec les quelques piécettes qu'on lui avait donnés et celles qu'il avait chipé a quelques passants, il était allé voir un tisserand pour qu'il lui fasse quelques belles tenue. La troupe allait certainement tous venir voir l'artisan qui allait faire son beurre pour cette fois. Quand la commande fut passée, le garnement qu'il était alla voir une boutique d'instrument de musique. Il voulait une Harpe, mais pas une comme celle qu'il avait déjà. Il la voulait neuve et en parfait état. Cela irait mieux qu'une Lyre cassée et toute rafistoler.

Après avoir fait divers autres choses, il rentra voir les autres pour savoir où ils en étaient. Avant de partir a leur encontre, il prit le temps de se changer. Il portait des braies noires, lacet sur le côté. Une paire de bottes lui remontant jusqu'aux genoux et en haut il avait une chainse en toile surmontée d'un bliaud bleu qui lui allait comme un gant. Il glissa ses doigts dans ses cheveux pour les discipliner un peu et le voilà parti à la recherche des autres sa Harpe sous le bras. Il se dirigea vers les sons de voix qu'il entendait, mais il ne s'attendait pas à ce qu'il allait voir. Il en resta pétrifier un moment avant d'éclater de rire devant la mine enfariner d'Aspasie. Si elle voulait ressembler à une vieille toute ridé moche au possible, elle avait réussi. Dire que c'était elle qui jouait le rôle de sa mère, c'était pas gagné.


Bonjour mère, vous êtes d'une grande beauté aujourd'hui. Ricana-t-il. Il savait que cela la ferait certainement enrager, mais il s'en moquait, pour l'instant il se marrait bien et il n'avait pas hérité du plus mauvais rôle.

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--Mathurine_quincampoix


Voilà longtemps qu'elle ne joue plus les jeunes premières la Mathurine. Oh jeunette elle était plutôt bien tournée, la jambe fine, le popotin rond et la poitrine.... Seulement voilà, ce temps là est bien passé. L'âge et la gravité ont eu raison de sa beauté et désormais on ne l'engage que pour jouer des rombières ou autre chaperon. Et les rôles ne sont pas légions. Alors forcément quand on lui en propose un de cuisinière pour un spectacle un peu particulier ben elle fait pas la fine bouche. Justement parce que ça lui permettra d'y fourrer quelque chose dans sa bouche. Entre les écus promis puis la cuisine dans laquelle elle va tenir son rôle, va y avoir moyen de moyenner comme on dit. Et ça, hors de question de le laisser passer.

Bon bref pomponnage avant de partir rejoindre le reste de la troupe. Par pomponnage comprendre chercher une robe qui ressemble à quelque chose, dans quoi elle ressemble à quelque chose et dans laquelle elle rentre. Ce qui prend quand même un bon quart d'heure sous l'oeil goguenard du Jean. Et la met en rogne pour le reste de la journée. Enfin prête, elle ne manque pas de lui faire savoir qu'au lieu de se marrer comme un perdu il ferait bien d'en trouver un d'emploi, histoire qu'elle soit pas la seule à faire bouillir la marmite. Nan mais oh!

Bon le tout était désormais de se rendre à la bonne adresse et de rencontrer les autres. Lodéve n'était pas une ville assez grande pour qu'elle ne sache pas où se trouvait l'adresse qu'on lui avait indiqué. Elle ne mit donc pas trop de temps avant de tomber sur le lieu dit et d'arriver pour entendre un gamin dire à sa mère qu'elle était d'une grande beauté. Ce qui ne manqua pas de lui arracher un sourire au vu de l'emplâtre qu'elle avait mis sur sa figure.


B'jour tout l'monde. J'suis Mathurine. La cuisinière. Et euh... Fin faites comme vous voulez mais... Devriez en mettes moins hein. 'Fin ce que j'dis moi....
--.le_baron



C'était un homme, vieux, moche, puant, alcoolique, crâde, malpoli, voleur, dépressif.....Oui rien que ça...
Et v'la ti pas qu'il avait été embauché pour jouer le rôle d'un baron... L'homme accepta de suite évidement vu l'argent qu'il y avait à la clef... Zavez pas du bien r'garder les gens qu'ils l'embauchaient mais après tout c'tait leur problèmes...
Ca allait lui changer un peu les idées tiens, pis mentir à une donzelle c'tait drôle et surement facile vu le crâne de piaf qu'on la plus part des femmes....
Alors il serait le Baron d'Aldalt... Père de trois enfants et accompagné d'une femme pas bien terrible apparemment...
Donc un noble.... Et bien là fallait qu'il révise parce qu’il ne connaissait pas vraiment ce milieu vu son tire de gueux...
'Fin bref il se rendit chez un tisserand mais ne fit pas affaire, il l'assomma d'un gros coup de gourdin et piqua une tenu des plus excentrique ... Du Rouge, du rouge et encore du rouge..Pis un chapeau énorme, et puis plein de bagues toutes plus grosses et grotesques les unes que les autres... Il remonta sa moustache d'une ligne parfaite, enfila des chausse en peau de serpent (les vipères d’à côté hein!!)Enfila une cape blanche avec des broderies dorées, laissa un dernier gros coup de chausses au tisserand et se tira fissa..!
Fallait trouver les lieux dit et ce n’était pas gagné vu l'état alcoolique de l'homme... Il passa au moins une bonne dizaine de fois devant la maison avant de repérer la toute moche qui allait jouer le rôle de sa femme.



- Alors comment tu m’trouves ?

Euh on dit Bonjour à un baron pis on s'incline!!! Ben oui le spectacle à déjà commencé pour l'homme!! Non mais elle se prend pour qui la paysanne là...

"Appelez moi Baron et vouvoyez moi!! J'vous trouve plutôt pas mal bien moche comme il faut, bien vieille"

Bon là le baron pensa qu'ils zauraient pu trouver un peu plus charmante comme donzelle, mais qu'elle chute de reins, l'homme regardait plus que ça, elle pouvait se tartiner tant qu'elle voulait après tout....


J’devrais peut-être en remettre une couche ? Et les cheveux ça va ?


Yeux penchés sur ses jolies fesses... (Oui c't'un homme hein!!)

"Oui oui ça va.... Bon l'est où l'idiote à qui on doit mentir? Sont pas arrivés encore j'espère?!"


Poserait bien ses mains sur ses fesses mais bon va pas se faire remarquer tout de suite....


"Et moi alors... j'ressemble à un baron...? "


Il recoiffa ses moustache quant un jeune entra dans la.... demeure... L'homme avait déjà oubliait dans qu'elle ville il se trouvait...Le garçon était beau, bien coiffé, blond.... Surement un de ses fils...Habillé comme il était pouvait que jouer aux nobliaux celui là aussi!!


Bonjour mère, vous êtes d'une grande beauté aujourd'hui.

Le Baron rêvait ou il se foutait radicalement de la tronche de sa mère?! Ben oui l'était pas terrible c'te pauvre femme mais bon il fallait faire avec!!


"Fils.... appelez moi Baron pis ne vous moquez pas comme ça de votre mère vous commencez très mal!!!!"


Non mého, si en plus il fallait faire le metteur en scène c'tait pas gagné!!!

Là, une dame arriva, avec une poitrine qui fit loucher l'homme alcoolique, pervers, malpoli,, sans gêne, euh non le baron pardon... Pis ses fesses... miam.. L’en mangerait bien un bout le baron tiens, l'aurait préféré elle dans le rôle de sa femme, une bien ronde avec des forme... Mis l'autre avec sa chute de reins terrible.. Ben enfin il n’était pas là pour regarder le voyeur mais il n’allait pas se priver tout de même...




B'jour tout l'monde. J'suis Mathurine. La cuisinière. Et euh... Fin faites comme vous voulez mais... Devriez en mettes moins hein. 'Fin ce que j'dis moi....

Ah c'tait la cuisinière, tiens don bah le Baron allait sans doute passer beaucoup de temps dans les cuisines!! A la reluquer!! Après tout c't'un baron maintenant, il fait ce qu'il veut, demande ce qu'il veut, et tout le monde marche au pas!!


"Bien le bonjour.... la bonne... euh la cuisinière pardon enfin c't'un peu pareil hein..."


Pourrait s'incliner celle là aussi devant le baron, non mais c'est quoi cette équipe de bras casser?! Va en toucher deux mots à son employeur celui là...


"J'espère que au moins... vous savez cuisiner que l'on passe pas pour des zoiv!! "

Le Baron secoua sa cape en arrière et jeta un petit souffle sur ses bagues, pour faire un peu de buée pis les lustrer...

"Hummm où est mon trône?! J'suis pas roi mais tout de même... J'voudrais un truc agréable pour m'assoir..."
Armand.
[Le début d'une longue traversée]

C’est quand qu’on arrive ? …… *Tête de 10 pieds de long ON*

C’est que notre blond ben l’a pas vraiment envie d’arriver lui. C’est pas exactement comme s’il n’avait pas tout fait pour reculer ce moment hein, mais un peu quand même. Et voila qu’ils arrivaient à Lodève…fallait bien que ca arrive un jour vous me direz. «J’veux rencontrer ta famille » Non mais qu’elle idée ! Bon pouvait bien la comprendre mais mauvaise foi oblige, le Armand avait décrété que tout ce qui en avait suivit était à la seule faute de la brune. Oui c’est bien ca, il était une victime des événements ! Etait-ce de sa faute si, sur un malentendu, Adye avait compris qu’il était issu d’une famille de noble et que, trop gentil il n’avait pas osé lui expliquer qu’elle n’avait rien compris ? Non, un gentilhomme ne peut décemment pas agir ainsi…. Et les mois avaient passé et le mensonge était resté. « J’veux rencontrer ta famille » Oui, oui, il avait bien compris l’idée…. Manquait plus qu’un léger détail : la dite famille !


C’est quand qu’on arriveuuhhh ? ……

Sur le chemin la brune parlait déjà de chasse… comme s’ils avaient que ça à faire traquer le lapin.. Alala les femmes… Bref, passons ! C’est que le blond l’avait d’autres choses en tête et à mesure que les lieux s’écoulaient sous leurs pieds et que Lodève approchait, notre téméraire trouvait son idée de moins en moins… intelligente ? Pourtant ça l’avait bien faire rire notre petit farceur mais il se méfiait quand même de l’équipe de branques qu’avait bien pu lui dégoter son pote. « T’en fais pas je gère »… mouais…. Petite goutte de sueur froide chassée d’un revers de manche alors qu’ils entraient en Languedoc, déglutition soudainement difficile alors qu’ils passaient les portes…
Dis Adye tu es vraiment sure Hein ? Tu sais qu’on n’est pas obligé ?... AH tu le veux vraiment ? Non, non t’en fais pas aucun soucis. Il adressa à sa belle un large sourire innocemment alors qu’une pensée étrange lui traversait la tête…. Mais qu’elle galère !

C'est encore loin?

Regard inquiet d’un blond qui cherchait n’importe quoi pour éviter d’arriver au point de rendez vous et soudain… LA rencontre. Et voila notre blond tout sourire qui s’en alla à la rencontre d’une belle, descendit de cheval et s’avança dans les champs bordant la route par laquelle ils venaient d’arriver. Poings qui vinrent sur les hanches et Armand qui se retourna : Adye faut que tu viennes la voir, n’est-elle pas magnifique cette créature de rêve.... Large sourire et voila notre Armand qui poursuit de plus belle. Allez nous avons tout notre temps …

Et le temps passa ….


[Quelques minutes plus tard, campagne Lodèvoise]

« C'est encore loin? »

*Et cette fois il ne pouvait plsu reculer notre petit plaisantin, direction la rencontre avec les parents. Sur les hauteurs de lodève, un peu en dehors de la ville, dans un vieux manoirs abandonné depuis queqlues années et remis en état pour l’occasion allait se jouer une sacré comédie…
Pieds enfin mis à terre dans la cour d’entée de la demeure des Aldalt, l’enfant prodigue était de retour…. Et que la fête commence…


Nous y voilà princesse...
_________________
juste un jeune con prétentieux...
Adelinda
C'que c'est long!

Nan, ya pas à dire, le père Ari fait tout pour qu'ils arrivent pas à Lodève. Si c'est pas l'une qui tombe malade, c'est l'autre qui oublie l'heure du départ et s'endort calmement dans la chambre de l'auberge, alors que le reste du groupe attend impatiemment dans le froid d'une nuit de février qu'il puisse enfin reprendre la route.
Et quand le lendemain la cousine, car oui c'est bien elle qui retarde tout le monde...


"Nan mais j'l'avais dit qu'c'était une chieuse!"

Hey! On parle pas à la place du narrateur! Donc je disais que quand le lendemain la cousine arrive la bouche en cœur et même pas gênée d'arriver avec un jour de retard, le groupe pense pouvoir reprendre la route. Tant pis, ils seront quand même presque dans les temps.
Eh bien non! La cousine, encore et toujours elle, s'amuse à les retarder encore une fois par avarice.


"Et on m'croyait pas quand j'le disais..."

Mais ça suffit! Ici c'est au narrateur d'parler! Attends ton tour toi! Ah ces personnages!
Donc voilà. Deux jours de retard à cause de la cousine.

Mais finalement, comme toute chose, bonne ou mauvaise, a une fin, les voilà enfin sur celle du voyage.

Adye n'en peut plus. Il est temps qu'ils se posent. Et même pas de chasse pour clôturer le tout! Renfrognée, la jeune fille fait avancer sa monture sans dire un mot, pensant à toutes ces richesses qu'ils pourraient avoir si ils décidaient de courir le lapin. Elle le fera quand même! Même si lui ne vient pas! Après tout, ça fera plus pour elle! Vala!

Et voilà qu'elle commence à avoir faim...


Adye faut que tu viennes la voir, n’est-elle pas magnifique cette créature de rêve...

La voleuse à la retraite tourne le visage vers son blond, pour découvrir avec stupeur la créature de rêve de celui-ci. Allons bon, le voilà transformé en amoureux des bovins... Elle aura tout vu...
Perdue dans le sud, contrainte à l'inactivité, l'estomac dans les talons et un compagnon qui se délecte de la vue d'une vache... Que peut-il lui arriver de pire...
Mais alors qu'elle voyait la vie en noir, une petite loupiote semble s'allumer au-dessus de sa tête. Un large sourire fend son visage en deux, et elle saute de sa monture pour rejoindre son blond et sa nouvelle conquête, dague à la main.


Ouais magnifique. Et sûrement délicieuse.

Et ni une ni deux elle dessine un sourire sur la gorge de l'animal, qui s'écroule sur le sol, raide morte.

Allez viens m'aider, on va la dépecer, on aura d'la viande pour la fin du voyage. Nan nan, me remercie pas!

Fin du périple?

Lodève! Naaaaaan, ils y sont enfin arrivés?! Comme quoi, tout vient à point à qui sait attendre! La besace remplie de morceaux de viande, la tête fourmillant de mille questionnements, les voilà en vue des murs du manoir dans lequel va se dérouler toute une histoire. Petit coup d'œil jeté au blond, bizarrement il ne semble pas si heureux qu'elle se l'était imaginé, de retrouver sa famille. Est-ce du à la raison expliquant son comportement depuis quelques jours? Étrange, distant, et à la fois si proche. Elle ne sait plus comment le prendre. Elle sait qu'il cache quelque chose, ça elle en mettrait sa main à couper, les deux même, mais quoi? Voilà la bonne question.
Peut-être aura-t-elle ses réponses ici.
A moins qu'elle ne se fourvoie complètement et qu'elle ait perdu la tête. Possible aussi.

Toujours est-il qu'elle met pied à terre une fois arrivée dans la cour. L'endroit semble agréable, plus qu'à voir comment sont les gens qui y vivent.

_________________
--Pierre_le_ptit



Tenir un rôle de garçon d’écurie qu’on lui avait dit au gamin. Oh bah pour sûr qu’ça allait pas être bien compliqué, parce que garçon d’écurie, il l’était pour de vrai depuis qu’il avait l’âge de marcher. Seulement cette fois ci il devait se prétendre au service de la famille d'Aldalt, nom inventé de toute pièce s’il avait tout saisit.

Le hic, justement, c’est que notre ado crasseux et boutonneux, l’a le cerveau qui n’fonctionne pas très bien … et il y circule beaucoup d’air entre ses deux oreilles. Contre la promesse d’une bourse bien fournie, il a pourtant accepté le marché, et il jouera son rôle du mieux qu’il peut, c'est à dire ... heu ... comme il peut surtout. Pis s'il peut faire cracher le payeur un peu plus encore, il ne se privera pas de ce plaisir, à la force de ses poings s'il le faut. Idiot pour sûr, faiblard que nenni !!

Mais une petite voix dans son esprit tout aussi minuscule ne cesse de lui répéter « Ne parle pas … ne parle pas … t’vas finir par dire une ânerie plus grosse que toi. Patience ... ton tour viendra. ». Rapidement on lui a présenté ses « maitres » et indiqué la place qu’il devait tenir : les écuries de la grande propriété. Parfait pour lui, il n’aurait pas à trop se montrer, et n’aurait à intervenir que si les héros du jour décidaient d’aller visiter cet endroit.

Alors, comme le jour J arrive, le garçon mi crétin mi voyou est à « son » poste, dans les écuries du domaine, loin de la foule des domestiques, espérant que la grande supercherie n’est pas besoin de lui pour fonctionner. Chiquant son tabac habituel, déjà ses fantasmes s'enflamment. En effet, son seul espoir de jeune homme pré pubère : apercevoir la promise du « fils prodige » de retour au pays. Une belle femme qu’on disait, et lui, il ne voulait pas passer cette journée sans parvenir à voir cette beauté qui à n’en pas douter hanterait longtemps ses rêves. Brosse et étrille en mains, il s’emploie à tuer les heures qui passent en s’occupant d’un bel étalon, toutes ses pensées libidineuses s’évadant déjà vers LA femme de toutes ses pensées.


______________
Un benêt d'une quinzaine d'années.
--.le_baron
Il n'avait toujours pas son trône ni de verre en or pour boire sa.... tisane...
Il allait encore falloir demander à la cuisinière qui en était pas une de se presser un peu, parce que le Baron allait vite perdre patience!!
Le Baron allait se lever pour saluer son... Fils et pis sa... douce, mais après il resterait assis! C'est pas qu'il était feignant mais si en faite.


"Dis don la cuisinière.... Humm tu n'as point entendu ton Baron qui te demande un trône? Oh et il voudrait un verre en or aussi, on est dans un manoir ici tu vas bien trouver !!"


Le Baron qui n'en était pas un, aimait parler de sa personne à la troisième personne du singulier... Oui ça faisait Baron ça, donc à partir de maintenant il ne ferait que ça.
En attendant le la cuisinière, plutôt bien roulée mais apparemment idiote, ramène le trône, le Baron regarda par la fenêtre, deux zoivs étaient dans la cours... Il se tourna vers celui qui jouait un de ses fils, le blond mal fagoté là...


"Hummm Lucas.... Le Baron se demande bien qui s'est les deux là? Est ce celui qui devrait jouer l'autre fils du Baron et sa comcumachin?"


L'était plutôt bien roulé celle là aussi, décidément on lui mettait que des belles donzelles sous les yeux au Baron qui n'en était pas un, sauf, sauf... Celle qui devait jouer le rôle de sa femme, oui, le Baron qui n'en était pas un la trouvait vraiment pas terrible, d'ailleurs pour se fait il demandera augmentation à son patron, parce que c'était pas acceptable ça.


"La femme.... Enfin celle du Baron vient voir pas là... On va allait saluer notre fils... Pis après moi je vous préviens je bouge plus de mon trône! Hé oui je suis Baron moi et les barons ben... ça ce laisse vivre...."

Il remit sa cape plus voyante que le plus voyant qu'on puisse imaginer, puis ce répéta dans sa tête la première phrase qu'il allait dire à son fils et sa donzelle toute bien roulée... "Bien le bonjour mon fils, Je me présente damoiselle je suis le Baron d'eldatl... erf.. D'Aldalt... Le frère de l'oncle de votre compagnon... En soit son père!!!"
Oui cela lui convenait tout à fait tiens..
--Lucas.



[Tous en scène, que la fête commence]

Une autre personne arriva dans l'histoire et ce n'était certainement pas la dernière qui pointerait sa trombine. Après tout un manoir comme celui-ci se devait d'avoir du monde pour l'entretenir et servir. Il avait toujours son sourire moqueur sur le visage quand une soit disant « cuisinière » arriva. Il se tourna pour la jauger de pieds en cape et faire une grimace d'approbation en entendant les paroles censées de cette bonne femme ...

B'jour tout l'monde. J'suis Mathurine. La cuisinière. Et euh... Fin faites comme vous voulez mais... Devriez en mettes moins hein. 'Fin ce que j'dis moi....

Le « Baron » n'était pas en reste ... Du genre discrétion, il se posait là. Ventripotent et laid comme ce n'était pas permis, il était du genre « très » voyant avec son pourpoint rouge. Il allait falloir qu'il le supporte comme « père » alors que lui n'en avait jamais eu. La grimace qu'il avait eue quand la cuisinière était arrivée se transforma en mimique de dégout, envers cet homme à moitié ivre qui puait le vin à cent lieux à la ronde. Pour éviter les bourdes grosses comme lui, il allait devoir le surveiller de près ...

"Fils.... appelez moi Baron pis ne vous moquez pas comme ça de votre mère vous commencez très mal!!!!"

"Hummm où est mon trône?! J'suis pas roi mais tout de même... J'voudrais un truc agréable pour m'assoir..."


Il haussa les épaules, il s'en moquait royalement de ce qu'il pouvait bien dire celui-là ... Voilà-t-il pas qu'il se prenait pour un Roy maintenant, il voulait un trône ... Bin voyons, pourquoi pas ... Fallait pas exagérer non plus, il était sensé n'être qu'un Baron, rien d'autre ... Que faisait-il maintenant ? Il ne trouvait pas le moyen de râler encore tout en regardant dehors ... Y avait quoi dehors ?

"Hummm Lucas.... Le Baron se demande bien qui s'est les deux là ? Est ce celui qui devrait jouer l'autre fils du Baron et sa comcumachin ?»

Froncement de sourcil, De quoi parlait-il ? Il s'approcha de la fenêtre et regarda dehors pour voir de quoi il parlait. Deux personnes dans la cour venaient d'arriver à cheval. Il se retourna pour regarder sa « mère » et son « père » puis lâcha d'une voix directe.

Que le bal commence, tous a vos places, allons accueillir « mon frère » et sa dulcinée ...

Invitant le Baron à le suivre, il se dirigea vers la grande porte pour accueillir les nouveaux venus comme il se devait ...

Venez « père », allons accueillir votre premier fils et sa compagne comme il se doit ...

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--.le_baron



Mon père le Baron aurait été fort mieux, mais, aparement le Lucas était un petit rebel qui n'écoutait point, se qui fit plisser les yeux du Baron un tant soit peu vexé!

"Appelez moi Baron, la dulcinée machin chose comprendra!"


L'homme se dirigeat au côté du Lucas tout de même, il pensait à son salaire, un peu de richesse dans les poches ne lui ferait pas de mal. Lui qui connaissait la rue depuis quelques mois maintenant, l'ivresse, le froid, et le sourire niais des passants...
Il plia son bras et posa sa main sur sa hanche que sa femme... (beurk) vienne y placer son bras à son tour et qu'ils saluent leur fils ensemble, mais la pauvre femme avait l'air dans ses rêves, pourtant c'était vraiment pas le moment!


"Cuisinière?! Venez par là, et veuillez frotter mes bagues avec votre chemise, que ça brille!!!!"


Sourire en coin, il n'allait surement pas oublier le profit qu'il avait avec sa place de Baron! Déjà que son trône n'était toujours pas en place!
Le baron ne sortira qu'une fois ses bagues lustrées, et lustrées correctement, le Fils attendra un peu , voilà comment l'avait décidé le Baron encore sous l'emprise de l'alcool qu'il c'était enfourner avant son arrivé au manoir.


"Dites c'qui ce gamin tout moche dehors, serai mon garçon d'écurie? Ils l'ont bien choisi celui là encore! Des moches, des moches encore des moches... 'Fin heureusement il n'est point de ma famille!"


Main pleine de bagues tendu vers la cuisinière plutôt lente à son gout, regard rivé sur son soit disant fils avec sa coupe de blond mal famé, le Baron prétencieux et impétueux attendait que le monde s'active!



--Lucas.



"Appelez moi Baron, la dulcinée machin chose comprendra!"

Non mais il était en train de rêver ou cet idiot illuminer ne connaissait même pas le nom de celui qui venait d'arriver ... L'homme qui l'avait engager l lui avait bien dit, alors autres devait le savoir aussi ... Il poussa un soupir exaspéré et cela ne faisait que commencer ...

"Cuisinière?! Venez par là, et veuillez frotter mes bagues avec votre chemise, que ça brille!!!!"

Cette fois il perdait patience. Etait-il le seul à réagir ? Il regarda les autres et le vieux fou. Pas le temps pour ce genre de baliverne où il allait tout faire rater avant même que cela ait commencé ... Poussant le "Baron" vers la porte pour qu'il l'ouvre.

Pas le temps pour ça l'ivrogne !! Tenez-vous comme un Baron digne de ce nom où vous allez tout faire rater. C'est votre fils qui est là dehors et son nom c'est Armand, au cas où vous l'auriez oublié. On ne va quand même pas les faire attendre toute la journée ...

Il n'avait peut-être que quinze ans, mais il avait certainement plus de jugeote que cet idiot irréfléchi ... Il se tourna ensuite vers les autres et leur parla d'un ton tout aussi agacer ...

Vous la cuisinière, allez donc dans votre cuisine faire ce qu'il y a à faire. Et vous "mère", finissait votre "beauté" et venez nous rejoindre dehors ... Allons-y maintenant, ils sont dans la cour depuis trop longtemps ...

Il n'écouta pas la dernière phrase de vieux fou et ouvrit la porte faisant un grand sourire à l'encontre de son "frère". Il était toujours à côté du Baron, mais il le laissa pour aller accueillir le couple comme le ferait un garçon de son âge.

Armandddd !!! Mon frère ... Sois le bienvenue chez toi ...

Il se tourna ensuite vers une ravissante jeune femme brune. Il s'inclina devant elle et lui saisissant une main, il y déposa un baiser puis il se redressa ...

Belle Damoiselle, je me présente. Je suis Lucas, le benjamin de la fratrie ... Avez-vous fait bon voyage ?

Il tenait parfaitement son rôle, il espérait que les autres ferait de même sinon c'était un fiasco assuré ...


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Adelinda
Ah bah quand même!

Ou une brunette qui commençait vraiment à croire que Lodève leur était interdit.
Mais nan, et les voilà même dans la cour, rênes des chevaux en main, à attendre qu'on vienne les accueillir après avoir sonné la cloche, signifiant ainsi leur arrivée.


Sont long à v'nir...

Bah ça commence bien. La voilà qui commence déjà à grogner.

C'est une habitude de noblios d'faire attendre les invités?

Bon, garder son calme, et prendre une grande inspiration. Après tout, ça ne fait que quelques secondes que la cloche a été tirée. Qu'elle mette un peu son impatience de côté, que diable!
Mettant alors le temps d'attente à profit, elle parcourt les lieux du regard. Le manoir est grand sans être trop imposant, formé d'un corps de logis devant lequel les deux nigauds attendent qu'on vienne les accueillir, dont la façade avant comporte deux colonnes encadrant la porte d'entrée.
Sur chaque côté se trouve une aile positionnée perpendiculairement au bâtiment principal.
Un peu plus loin derrière eux, les écuries du domaine. Endroit qu'Adye aimerait découvrir assez rapidement. Elle va pas tenir sa jument par la bride encore longtemps, et aimerait l'accompagner jusqu'à son futur box, pour jeter un p'tit coup d'œil aux bêtes à quatre jambes que le baron possède. Si la brunette déteste les animaux, elle a quand même un petit faible pour les équidés.


Armandddd !!! Mon frère ... Sois le bienvenue chez toi ...

Tient? Ya quand même quelqu'un qui vit ici? Adye retourne le visage vers le manoir, pour voir un gamin blond se diriger vers Armand. Un couple bien plus âgé se tient sur le pas de la porte, et la brunette réprime un éclat de voix à la vue de la femme qui semble avoir reçu un pot de farine sur la tête.

Rapidement elle passe son regard d'Armand au jeune garçon. Bizarre, à part la couleur de cheveux, pas une grande ressemblance. Bah peut-être que la mère est allée batifolé ailleurs, allez savoir avec ces grandes familles...


Belle Damoiselle, je me présente. Je suis Lucas, le benjamin de la fratrie ... Avez-vous fait bon voyage ?

Et un baise-main, un! Adye réprime cette fois une grimace. Pas se montrer impolie... pas se montrer impolie... Et pas essuyer le dos de la main sur les braies. Tient, au fait, elle aurait peut-être du mettre tenue plus correcte avant de rencontrer la belle famille... La tenue de voyage, bof bof... Bah tant pis, ce qui est fait est fait.

Ah euh... Ouais euh oui, très bon voyage, merci. Ravie d'faire ta... votre connaissance Lucas. Moi c'est Adye.

Tsss la voilà qui bredouille. C'est qu'elle se sent gênée la donzelle. Si d'ordinaire elle fait pas attention à sa façon de se comporter face à des nobles, cette fois-ci elle va faire un effort. Pas trop foutre la honte au blondinet quoi.

Les azurs après avoir terminé de zieuter le frangin se posent sur le couple, très certainement les parents. Bon sang... pense la brunette en détaillant le beau-père, pourvu qu'Armand lui ressemble pas dans quelques années...

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--Mathurine_quincampoix


Elle a dû avoir un blanc. Sans doute qu'entendre le faux Baron réclamer un trône pour poser ses miches l'a provoqué. Non parce qu'un trône c'est pour un Roy. Elle sait pas grand chose la Mathurine mais ça au moins si. Puis sa façon de la reluquer comme si elle est un perdreau de l'année alors qu'elle a dépassée la date limite de fraicheur. Non franchement il l'a trouvé où le patron? Et voilà qu'en plus il pense qu'elle cuisine mal.

Alors oui forcément elle en reste comme deux ronds de flanc, les bras ballants, la bouche en cul de poule.

Le plus jeune 'fils' finit par s'en mêler et lui dit de filer à la cuisine, alors que le 'maitre de maison' lui agite sous le nez des bagues en lui demandant de les astiquer pour qu'elles brillent.


Non mais dites don des fois, z'auriez pas pris un coup sur l'tête ou vous l'auriez pas trop près du bonnet comme on dit par chez moi?!

Si je sais faire la cuisine? Vous osez me demander ça avec la silhouette que j'ai? Crévindiou j'aurais tout entendu dans c' bas monde. Moi... Pas savoir cuisiner. Ah nan mais on m'aura rien épargné... Rien.

'Spèce de mal embouché! Pis t'nez-vous un peu, ressemblez à un Baron comme moi à une Duchesse.

Grommellement alors qu'elle part vers SA cuisine pour prendre possession des lieux et préparer un tit frichti de derrière les fagots histoire de montrer à l'autre mou du bulbe comment qu'elle sait manier la cuillère et la casserole. Non mais des fois!

Mains sur les hanches elle regarde l'état de son antre pour les jours à venir et soupire.


Eeeet ben... Si s'pas malheureux d'voir ça. Allez zou ma fille, un ch'ti coup d'ménage puis j'm'y mets.
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