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[RP CULTE] Eglise Notre-Dame de Sion

Rosana45
Rosa arriva de bon matin a l église avec son fils Brisson dans ses bras et apres s etre signé , elle alla s installer au fond de la grande batisse.

Elle se mit a prier sereinement et a reciter le credo




Je crois en Dieu, le Trés-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Trés-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Eglise Aristotelicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Eternelle.

AMEN


Elle resta longtemp pensive ...................
_________________
Elisea.


Il fit sonner les cloches pour annoncer aux paroissiens le début imminent de la célébration.

J'attendais mes amis sur le bord de la porte de l'Église et a chacun deux je leur disait un grand bonjour avec le sourire,

-entré en silence, Bonjour, Bonjour,
Je suis en retard se matin, veuillez m'excusez, vous m'attendiez, entrons, la Messe va commencer.
Filibert viens suit moi, je vais avoir besoin de toi, n'oublie pas le petit panier pour la quette de tu a l'heure.


Je
partis a la Sacristie chercher mon Ciboire, et revins au bord de l'autel
pour commencer ma Messe, un genoux a terre et je fis un salut posais
mon Ciboire sur l'autel et me retournais vers mes Amis.
je regardais Filibert allumer les cierge du tabernacle.

-Merci, Filibert, va préparer le pain et le vin pour tu a l'heure.

puis je m'adressais a mes Amis Aristotéliciens

-Mes Amis, Bonjour a tous,
-Qui, sommes
venus me voir célébré la messe. remercions en ce beau Dimanche
Notre Seigneur et Dieu qui nous accueille dans sa demeure, Prions Saint
Christo et Aristote, et remercions l'est, car grâce a eux nous sommes
des Aristotélicien ils nous on fait aimer
notre Seigneur.
-Ne pensés plus a rien, Prions le Seigneur, prions nos Saint, mes Amis commençons par leurs demander pardon

-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en
action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le
Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Amen


-Pour suivons avec notre crédo Aristotélicien, soyons fervant et pensons a ce que l'on dit, notre très haut nous écoute, et nous aime, ne l'oublions pas.....






-Un passage du livre de la création, un des plus beau, que je vais vous lire
une histoire vrais mes amis, que vous pourraient raconter le soir au coin de la cheminée a vos enfants et plus tard a vos petits enfants ce que je vous souhaite soyaient en certains



Livre de la Création
Chapitre IV - « Le Doute »



1 Le petit groupe décida de s’arrêter un moment. Ils s’installèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber l’herbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant qu’elles posaient leurs sacs à terre et s’asseyaient en cercle. L’ambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.

2 Toutes les espèces qu’elles avaient rencontrées était doté d’un talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement l’herbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de l’éclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.

3 Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés d’une longévité qui n’avait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à l’envi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe s’interrogeait. Mais pourquoi leur espèce n’avait-elle aucun talent particulier ?

4 Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force n’égalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais c’était une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.

5 Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles n’osèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel qu’elles le faisaient, qu’elles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.

6 Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

7 Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinants de larmes.

8 Mais l’un d’eux était resté à l’écart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible d’esprit. Il leur répondait souvent "Heureux les pauvres en esprit...", mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme s’appelait Oane.

Spyosu


-Oui cet la suite de Dimanche dernier, il faut suivre aussi, une belle
histoire vous ne trouver pas.
-Mes Amis, Oane et une personne pas si simple d'esprit qu'il ni parait
au contraire, Oane est heureux dans l'univers qui cet crée, en lui même il a toute les qualités, mais reste a part alors tout le monde croient que cette homme n'est pas comme eux, il se pose les questions que tout le monde devraient se poser, qu'attend notre très haut de nous ?....
Que veut il de nous ?...
Pour quoi nous a til crées ?...
Lisez bien l'histoire et celle d'avant et vous comprendraient ce que Dieu attends de nous !....




-nous allons communier si vous le voulaient bien, ceux qui veule la communions approche.

-Tiens mon Ami, que Dieu te Bénisse, mange se pain boit se vin, quil t'apporte le bonheur.
-Tiens mon enfant, quil t'apporte un bonne avenir, qu'il te fait aimer tes parents
-a toi ma filleule, que le bonheur s'accroche a toi et qu'il ne te quitte
pas.



Je communiais à mon tour avec Filibert, qui but le reste de vin qui restais je le regardais d'un œil et jus envie de rire.

-Tu as tout but, tu va être beau ce soir .... toi ....
-Mes amis passez une bonne semaine, restaient vous même et tout ira
bien
.


Je raccompagnais mes ouailles jusqu'aux porte de l'église pour leurs dire au revoir, serra je de mains embrassade, et la conversation repris ou on l'avaient laisser tu a l'heure, changement de Maire etc...etc...
Jec60
Jec se rendit de bon matin à l'église avec une question qui lui taraudait l'esprit. Il s'agenouilla devant la croix de Christos et dit :

Ecoute, Seigneur, il faut que je te parle !

Quand tu m’as tissé au ventre de ma mère, pourquoi ne m’as-tu fait qu’à moitié ? J’ai faim, j’ai soif, j’ai peur, j’ai froid...


"Pourquoi je ne t’ai fait qu’à moitié ?" Dieu répéta la question. Puis, avec grande douceur il répondit : "C’est vrai, tu n’es pas achevé; c’est vrai, tu n’es qu’à moitié. Mais je suis, moi, tu sais, l’autre moitié de toi... Je suis la lumière de tes yeux, le pain de ta faim, le chemin de tes pas, le feu de ton coeur, l’eau de ta soif. Prends ma main... donne moi la tienne !

Rassuré par les réponses de son Dieu, Jec s'en alla le coeur léger.
Jec60
Jec se rendit à l'église comme tous les dimanches. Il prit place dans les bancs et commença à réciter le crédo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Comme il ne pouvait pas rester pour la célébration de la messe dominicale, il resta encore de longues minutes les mains jointes en demandant au Très-Haut sa protection. Ensuite, il se signa et sortit afin de préparer quelques affaires pour son voyage.
Elisea.


-Bonjour, messire Jec, ne rester pas sur les marches, vous aller prendre
froid mon Ami, vos chiens vous les attachés à l"anneau qui est prévu pour çà
-entrons il ne fait pas chaud.....

j'ouvris les portes en grand comme à mon habitude, pour laisser le bon aire rentré et aéré un peu.

-Prenez une chaise, vous avez le choix, elles sont toute vide..
-Je m'excuse je vais vous laisser 10 minute il me faut me préparer pour la Messe les villageois vont arrivés d'ici peu
-je reviens à tu a l'heure....


j'allai a la sacristie me préparée pour la Célébration de la Messe de ce beau Dimanche d'Octobre......

-FILIBERT ....FILIBERT... DESCENT... LA J'AI BESOIN DE TOI ..DEPECHE TOI.... UN PEU... PARESSEUX VA ..... celui la il me coute plus cher qu'il ne me rapporte
-Sonne les cloches et met si tout ton cœur, il faut qu'on les entendent de loin...

Enfin prête j'entendais sonner les cloches, avec joie, la Messe pouvais commencée.
L'église était a moiter remplit mais les gents arrivaient deux pas deux comme de coutume.


-Bonjour, mes Amis, merci d'être venus, si nombreux, j'espère que vous avaient passé une bonne semaine et que vos récolte on étaient bonne, car avec les impôt tout les 15 jours qui nous tombe dessus et nous ruine petit a petit jusqu'à pour certain il ne reste même pas un quignon de pain pour nourrir leur famille nombreuse, mais vous savais que pour certain qui sont au bord de la misère, je me ferais une joie de leur en vendre au plus juste prix.
Nous allons comme de coutume commencer la Messe par la confession
-Ne pensés plus a rien, Prions le Seigneur, prions nos Saint, mes Amis commençons par leurs demander pardon

-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en
action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le
Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

-Poursuivons avec notre Crédo Aristotélicien, si vous le voulaient bien




-Après cette jolie prière à nos chers Saint je vais vous lire un passage du livre des vertus......

Livre de la Création
Chapitre V - « La réunion »


1 Dieu regardait, ému, le petit groupe de créatures qui pleurait. Elles se sentaient abandonnées de Lui, car elles n’étaient pas dotées de talents particuliers. Elles en étaient venues à croire qu’Il les détestait, alors qu’Il aimait chacune de Ses créations. Elles faisaient partie de Lui et les détester reviendrait à haïr une part de Lui. Il avait créé l’univers, le monde et la vie pour pouvoir les aimer, et Il les aimait.

2 Par à cet amour, Dieu avait doté chaque espèce de créatures composant la vie de talents afin qu’elles trouvent toutes leur place dans Sa création. Mais ce magnifique cadeau restait invisible aux yeux de ce petit groupe de membres. Les humains qui le composaient étaient habités par le doute, restant aveugles à Son amour. Leurs larmes étaient sincères mais injustes. Ils ne demandaient qu’à être aimés de Lui, mais ne voyaient pas qu’Il le faisait déjà.

3 Les autres créatures étaient conscientes de ce cadeau, mais n’en avaient pas compris la raison. Elles s’imaginaient toutes être les seules à être ainsi récompensées. Les unes pensaient que seule la force était un cadeau de Dieu. D’autres faisaient la même erreur avec la vitesse, la nombreuse progéniture, la longévité, la laine, la capacité à voler ou encore le territoire qui leur avait été alloué par Lui. Elles s’estimaient donc toutes favorisées de Lui et se croyaient Ses préférées.

4 Mais cet humain, que les siens appelaient Oane, portait en lui le germe du talent que Dieu avait donné aux siens. Il prenait petit à petit conscience du véritable amour que Dieu portait à Sa création. Il commençait à comprendre que chaque composante de la création était aimée de Dieu, mais ne savait pas encore pourquoi. Il passait son temps à regarder les étoiles, espérant y trouver le Très Haut, mais il ne savait rien de Son omniprésence.

5 Alors, Dieu décida que le temps était venu de donner sa véritable place dans l’univers à l’espèce dans laquelle se trouvait la seule créature qui comprenait l’amour, seul véritable sens de la vie. Il se dit qu’il fallait éprouver l’amour que Ses créatures avaient pour Lui. Pour ce faire, Il décida de réunir toutes les créatures du monde en un seul endroit et de leur demander ce qu’était la vie. Ce qu’Il ferait d’elles dépendrait de leurs réponses.

6 Alors, d’une seule pensée de Dieu, toutes les créatures du monde entier furent au courant de la convocation divine. Sans attendre, elles se mirent en route. Il existait une gigantesque plaine verdoyante sur un continent verdoyant. C’était là que le monde entier devait se réunir pour entendre la question divine. C’était là que le sort de l’univers allait se jouer.

7 Il fallut de nombreuses années pour réunir tant de créatures. Toutes ne survécurent pas à ce long voyage, mais aucune n’avait l’intention de rebrousser chemin. Dieu avait insufflé en elles l’envie irrépressible de venir rejoindre la grande réunion de toute la création. Elles traversèrent les mers, les montagnes, les glaciers, les déserts brûlants et tant d’autres lieux difficiles. Elles continuaient cependant à vivre, à mourir, à se nourrir et à procréer. Mais tout cela en ne cessant jamais d’avancer.

8 Et enfin vint le jour fatidique où toute la création était réunie.

Spyosu


-Oui cet la suite de Dimanche dernier, il faut suivre aussi, une belle histoire vous ne trouver pas.
-Mes Amis, Oane et une personne pas si simple d'esprit qu'il ni parait
au contraire, Oane est heureux dans l'univers qui cet crée, en lui même il
a toute les qualités, mais reste à part, alors tout le monde croyaient que
cette homme n'est pas comme eux, Oane se posait les questions que tout le
monde devraient se poser, qu'attend notre très haut de nous ?....
Que veut il de nous ?...
Pour quoi nous a t il crées ?...
Lisez bien l'histoire et celle d'avant et vous comprendraient ce que Dieu attends de nous !....



-nous allons communier si vous le voulaient bien, ceux qui veule la communions approche.

-Tiens mon Ami, que Dieu te Bénisse, mange se pain boit se vin, qu'il t'apporte le bonheur.
-Tiens mon enfant, qu'il t'apporte un bonne avenir, qu'il te fait aimer tes parents
-à toi ma fille, que le bonheur s'accroche à toi et qu'il ne te quitte
pas.


Je communiais à mon tour avec Filibert, qui but le reste de vin qui restais je le regardais d'un œil et je nus plus envie de rire.

-Calme toi un peu.... tu me coute cher... pour le peu que tu me rapporte et tu ne fait rien de tes dix doigts.....

Je
raccompagnais mes ouailles jusqu'aux porte de l'église pour leurs dire
au revoir, serra je de mains embrassade, et la conversation repris ou
on l'avaient laisser tu a l'heure, les impôts et nous conversions bon train tout le monde avaient quel que chose a dire sur le sujet.
Jec60
De retour au village, Jec se rendit à l'église pour prier le Très Haut comme tous les dimanches. Il prit place dans les bancs et commença à réciter le crédo.

Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.

Et en Aristote, son prophète,
le fils de Nicomaque et de Phaetis,
envoyé pour enseigner la sagesse
et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.

Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyre pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait Aristote à la droite du Très-Haut.

Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine, Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés
En la Vie Éternelle.

AMEN


Puis il se recueillit en pensant aux personnes qu'il aimait. La célébration de la messe dominicale n'allait pas tarder à commencer.
Elisea.


La diaconesse était assez désolée qu'aussi peu de monde soit présent ce dimanche. Elle soupira et prit
place devant l'autel avant de débuter la cérémonie :


Chers paroissiens, sais avec du retard que je Célèbre la Messe de ce Dimanche, mais je suis arrivée quand même, je vous dit, un grand Bonjour à tous et bienvenue.
Nous allons débuter la messe par la récitation de Notre Credo. Si vous voulez bien répéter ces paroles avec moi :



Alors qu'elle
s'apprêtait à réciter le Credo, Safia vit un de cet paroissien préférer entrer et se glisser
vers les places réservées aux personnes de son rang. La diaconesse lui
adressa un petit sourire tandis que son voisin le laissa passer et s'assoir prêt de lui, un autre, poussait à son tour la
porte de l'édifice suivie par une Dame dont le nom lui était inconnu.

Safia fut ravie de voir d'autres paroissiens arriver et se dit
qu'elle devrait peut-être reculer l'heure de la messe afin que tous
puissent être présents dés le début.

Le Credo récité, Safia se pencha sur son livre des vertus.




-Voici la lecture que j'ai sélectionnée pour aujourd'hui.

Livre I, chapitre VIII

-Parmi tous les humains, un groupe se forma, cherchant à comprendre la réalité divine. Mais ce groupe était tout aussi ignorant de Dieu que le reste de l’humanité. Les humains ne ressentaient plus l’amour divin, car ils s’étaient détournés de Lui. Ils cherchaient une explication à leur vie, alors que la réponse leur était donnée. Mais ils ne savaient plus l’écouter et y restaient sourds.

Ainsi, n’ayant plus Dieu dans leur cœur, ils s’étaient inventés tout un panthéon de faux dieux. Mais il n’y avait pas d’amour pour leurs nouveaux dieux. Ceux-ci ne servaient qu’à rendre des services en échanges de ces sacrifices. Certes, ces païens respectaient leurs divinités, mais c’était par peur plutôt que par amour.

Il restait un vide dans le cœur des hommes et des femmes. Il leur manquait ce pour quoi ils avaient été conçus. Il leur manquait l’amour que Dieu voulait leur donner et qu’Il attendait en retour.


La diaconesse se concentra sur la prière et poursuivit par la lecture du livre saint avant d'entreprendre l'homélie :



-Nous sommes réunis aujourd'hui pour
prier ensemble le Très-Haut. Si celui-ci a choisi de faire de nous ses
Enfants, c'est parce que nous sommes les seules créatures capables
d'éprouver l'Amour. L'Amour du Très-Haut et de sa perfection divine et
l'Amour de notre prochain. Toute comme l'Amitié au sein de Notre
Eglise, cet amour est désintéressé. Le partage est le symbole de
l'Amitié. Le Don de Soi est le symbole de l'Amour.
Prions le Très-Haut ensemble aujourd'hui dans l'Amour que notre coeur
éprouve pour lui. Et ne nous détournons pas de ce sentiment en égrainant
nos prières de demandes personnelles et égoïstes.
Sachons profiter pleinement de cette confiance que Dieu a placé en nous
en faisant des Hommes ses Enfants qui tendent vers une vie d'Amour et
de vertu.

Amen

-A présent, Nous allons et le moment est venu d'ouvrir nos coeur a Dieu et de confesser nos péchés.

Je confesse à Dieu tout-puissant,
Je reconnais devant mes frères,
Que j'ai péché en pensée, en parole,
Par action et par omission,
Oui, j'ai vraiment péché.
C'est pourquoi je supplie Aristote et Christos,
Les archanges et tous les Saints,
Et vous aussi mes frères,
De prier pour moi le Créateur.
Que le Tout Puissant nous fasse miséricorde,
Qu'il nous pardonne nos péchés,
Et nous conduise à la vie éternelle,
Dans le paradis solaire.

Amen

Je vous invite maintenant à venir partager le pain et le vin, au nom de l'Amitié qui nous unie.


Safia fit passer la coupe contenant le vin et partagea les pains qu'elle avait confectionnés dans la matinée.



-Mes
Amis, Allez en paix! Et n’oubliez pas : don de soi et tempérance
doivent être vos maîtres-mots dorénavant ! Que Aristote et Christos vous
guident vers le Très-Haut !
Donner a ceux qui n'en on pas, ce dont... il restera gravés sur leurs coeur à jamais, pour les aidés à ne plus mendier à ne plus tendre la main comme des malheureux qu'ils sont....
Les quel que piécette d' écus que vous donneraient ils seront pour eux, alors soyez généreux Dieu vous le rendra....je compte sur votre générosités, aidons
notre prochain, nos frères et nos sœur qui ne sont que des vagabonds.
Passez une bonne Journée rappelez vous le Sermon de tu a l'heure
Que la paix soit avec vous !...



Je fis sonner les Coches, par Filibert qui venait de finir sa quette



Chers paroissiens,
Je vous souhaite maintenant une agréable semaine
Qu'Aristote guide nos pas

Amen
Uriel
De rapide passage à Vaudemont, Uriel entra dans l'église.

Des personnes lui dirent que Safia faisait de belles messes, et c'était une bien bonne chose.
Il était fier de cela !

Le Premier Archidiacre s'avança donc, se signa et alla poser genou au sol face à l'autel.
Dans ses prières, il avait surtout des pensées pour son ami le plus cher : Fedy.
Puisse Dieu faire qu'il guérisse.
En effet, le pauvre jeune homme était atteint d'un bien étrange mal qui semblait pour le moins incurable ...

Uriel récita le Credo :


_________________
Isis25
Isis alla à l'église du village pour aller prier pour sa sœur.

Elle aperçut Uriel en plein prières lui aussi. Elle ne le dérangea pas et alla se mettre un peu plus loin.

Elle se mit à genou face à l'autel et commença à prier.
Elle ferma les yeux et des larmes se mirent à couler sur son visage.
Elle espérait de tout cœur arriver à Verdun avant qu'il ne soit trop tard.
qu'elle pourrait voir sa sœur une dernière fois avant qu'elle ne rejoigne dieu et les bienheureux.


Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi me faire encore souffrir ainsi? Qu'ai-je fait pour mériter cela? Dis-moi Seigneur? Pourquoi me punir ainsi? J'essaie de faire le bien autour de moi. N'est-ce pas assez? Que dois-je faire de plus? Donnes moi une réponse à toutes ces questions.


Malgré le chagrin qui la tenaillait, Isis réussit tant bien que mal à méditer mais elle entendait tout ce qui se passait autour d'elle.
_________________
Elisea.


Je vis Isis avec un aire triste en pleine prière agenouillée étonner, il était tôt, et un peu frais aussi.....

Bonjour, ma chère Isis comment va tu?... tu es bien matinal, entre ne
reste pas dans le froid, je vais faire un bon feu et réchauffé un peu la demeure de notre Seigneur, tu va m'attraper un refroidissement....
Viens nous allons, nous faire un bon chocolat chaud, avec des tartines
beurrées.
Qu'est ce qui t'amène tu a des soucis, tu m'inquiète, un chagrin, un pêché à te faire pardonner, entre tu va me raconter, mais tu viens pour la Messe que je suis sotte... bien sur tu, viens pour la messe... mais tu as la mine bien triste...


Nous nous installions, avec tartine, chocolat, et nous voila partis dans de grande discutions

Tien.....Tien.....Filibert, viens t'installer avec nous.... prends un bol...
le chocolat est encore chaud... tu as bien dormi......mon ami....
Après tu va me sonner les cloches... à toute volée.....
Oui je te disais....ou en étais je ????....
Aujourd'hui c'est la Toussaint fête des tout les Saints!...
7h Filibert n'oublie pas ton panier pour la quette....

DINGDON DIGDON DIGDON DIGDON DIGDON DIGDON DIGDON DIGDON


-Oh lalala...tu as vu l'heure...il me faut faire la Messe, les Paroissiens on du entrées pendant que nous discutions, je me sauve

viens, as tu fini au moins ton chocolat?...
il t a réchauffer un peu, ca fait du bien un bon chocolat
de bon matin, entent tu Filibert qui sonne les cloches il va de bon cœur

-oh regarde il a oublier le panier de la Messe qu'elle tête en l'air il a celui là..
Je vais le sermonner ca lui apprendra...
Je n'arrête pas de lui dire pourtant...il n'écoute rien...le sacripant...
Bon je me sauve..je suis en retard...


Une bonne dizaine de personne c'était assis en silence et m'attendait...

-Bonjour, mes Amis, nous allons commencer par la confession...
Votre semaine a été bonne, j'espère, je vous le souhaite en tout les cas...

La confession
-Ne pensés plus a rien, Prions le Seigneur, prions nos Saint, mes Amis commençons par leurs demander pardon

-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en
action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le
Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

- Pour suivons, par récité le crédo Aristotélicien




-Je vais vous lire un passage du livre des Vertus

Livre de la Création
Chapitre IV - « Le Doute »


1 Le petit groupe décida de s’arrêter un moment. Ils s’installèrent sur une colline verdoyante, où poussaient de superbes fleurs que les abeilles venaient butiner. Une légère brise venait courber l’herbe. Les oiseaux chantaient. Les étoiles venaient éclairer les créatures pendant qu’elles posaient leurs sacs à terre et s’asseyaient en cercle. L’ambiance était maussade, car elles se posaient toutes la même question.

2 Toutes les espèces qu’elles avaient rencontrées était doté d’un talent particulier. Les vaches, créatures qui broutaient placidement l’herbe, avaient une nombreuse famille. Les moutons avaient une laine douce et volumineuse. Les ailes des oiseaux leur servaient à parcourir le monde en volant. Les chevaux, nobles et fougueux animaux, galopaient à la vitesse de l’éclair. Les poissons étaient les maîtres des vastes océans. Les cochons étaient puissants et farouches.

3 Même les végétaux étaient dotés de talents uniques. Les chênes étaient dotés d’une longévité qui n’avait rien à envier à leur taille. Le blé se multipliait à l’envi, couvrant de larges territoires. Le maïs avait ses épis, gorgés de vie. Les fruits avaient un délicieux goût sucré et les légumes des senteurs appétissantes. Et le petit groupe s’interrogeait. Mais pourquoi leur espèce n’avait-elle aucun talent particulier ?

4 Certes, les créatures du petit groupe avaient des mains, mais leur force n’égalait pas celle du cochon. Certes, elles avaient des jambes, mais elles ne les amenaient pas aussi loin que les oiseaux et pas aussi vite que les chevaux. Certes, elles pouvaient procréer, mais pas autant que les vaches ou le blé. Certes, certaines étaient barbues, mais c’était une bien piètre consolation comparé à la volumineuse laine des moutons.

5 Certes, elles étaient pleines de vie et de santé, mais bien moins que le maïs, les fruits et les légumes. Et elles n’osèrent même pas se comparer à la longévité et à la taille des chênes. Toutes ces créatures, animales comme végétales, avaient de sérieux arguments pour affirmer, tel qu’elles le faisaient, qu’elles étaient les préférées de Dieu. Leurs talents étaient uniques. Alors, le petit groupe essaya de se trouver un talent qui était propre à son espèce.

6 Son espèce se tenait debout. Mais quel avantage cela lui donnait ? "Aucun", répondirent de concert tous les membres du groupe. Leurs mains leur servaient à construire des outils, mais c’était pour compenser le manque de griffes ou d’autres organes. Ainsi, leur estomac était si faible qu’il leur fallait cuire la viande pour la manger. Et leurs yeux étaient si peu perçants, contrairement aux chats ou aux hiboux, qu’il leur fallait s’éclairer dans le noir. Leur fourrure était si peu épaisse qu’ils devaient s’abriter lorsque la pluie, la neige ou la grêle tombaient ou lorsque le vent soufflait trop fort.

7 Faisant ce sinistre constat, les créatures du petit groupe se mirent à pleurer. Ils étaient persuadés que leur espèce était le moins aimée de Dieu, qu’Il les méprisait, qu’ils étaient la lie de Sa création. Un silence pesant s’était installé, alors que tous se regardaient mutuellement, chacun cherchant dans les regards des autres une réponse à ses questions. Mais ces regards ne portaient aucune réponse. Ils étaient juste dégoulinant de larmes.

8 Mais l’un d’eux était resté à l’écart du groupe. Il regardait vers les étoiles. Tous les membres du groupe le négligeaient, le considérant comme un faible d’esprit. Il leur répondait souvent "Heureux les pauvres en esprit...", mais ne savait que rajouter à cette réplique. Pourtant, de tous, il était le seul à se demander ce que Dieu désirait, au lieu de se plaindre de son sort. Cet homme s’appelait Oane.

Spyosu


-Quelle belle chose que nous avons, gardons intacte toute ces belle chose de la nature, inquiétons nous des nuisance que nous faisons a cette beauté qui ne nous émerveillera plus ne nous rempliera plus les yeux de bonheur en la regardant, profitons d'elle...le plus possible sent lui nuire...
Elle nous a été donnée en cadeau par notre Seigneur, respectons là comme si c'était a nous, comme notre bien propre...
Je ne vous fait pas la moral juste des conseils et surtout vous ouvrir les
yeux par toute cette beauté, que nous passons sent regardé et des fois que nous ne respectons pas, changeons tout revoyons nos habitude pas toujours bonne et nous préserverons pour nos enfant et petits enfants, apprenons leurs à la respectée...
J'espère que mon sermons vous a plus

-Nous allons communier, pour ceux qui le veule approche en rangé d'oignons, ne vous bousculer pas il y en aura pour tout le monde pour
le vin je compte sur vous juste une petite gorgée pas plus....



-Buvaient ce vin manger ce pain que Dieu vous Bénisse


je mangeais le reste de pain que je mettais réservé et but d'un trait le reste du vin, dans un rot énorme je dit merci mon Dieu *hips* *hips*
bin vla que j'ai le hoquet


-A la semaine prochaine *hips* *hips* mes amis, passer une bonne *hips* *hips* semaine quelle *hips* *hips* vous soit bénéfique.....
vous soit bénéfique a tous *hips* *hips**hips* *hips*
Zahra.2
Des dimanche et des mercredi, la Zahra en avait laissé passer, loin de boudait l'eglise, elle n'arrivait plus à se reveiller assez tôt pour prier à l'eglise ou assister aux messes.

Ce matin là; était un peu particulier, elle était tombée du lit au sens propre, la demoiselle était en train de rever ...qu'elle était en pleine guerre contre un peuple barbare, et qu'elle était capitaine de l'armée, aussi elle avait une force herculèenne, mais bizarrement alors qu'elle combatait contre un gros colosse, elle reçu une poire , le fruit...en pleine face... pour être precis dans l'oeil droit.... puis elle se mit à chialer toutes les larmes de son corps, tant le choc était trop puissant... lachant épée et bouclier, puis se mettant à genous, tenant son oeil et suppliant le colosse de l'aider... trop les jettons de devenir une borgne la guerriere.... c'est ainsi que le colosse lui envoya une droite en pleine tête , profitant de son état pathetique ... la Zahra tomba baignant dans une marre de sang et la poire qui la nargait lui parlant :" mouhahahaha, capitaine je t'ai eu en pleine face! je suis Poire le fruit qui a detruit la mirabelle de Lorraine hahahah!"... sur cette phrase... on entendit un BOUM dans la chambre de la bourgmestre du village, Zahra tomba de son lit... ce qui expliquait sa presence aussi matinale à l'eglise... bien heureuse que sa defaite face à une poire et au colosse était un simple vilain rêve...

Pour information, Zahra était ivre morte avant son sommeil ce qui peut expliquer ses rêves quelque peu speciaux...

Elle arriva à l'eglise, livre des Vertus dans les mains, prète à assister à la messe, mais avec un mal de crâne, que dieu seul pouvait ...calmer.


Elle ecouta la messe avec attention, et recita le credo , avec quelques fautes , depuis le temps qu'elle ne priait plus, l'aristotelicienne en avait oublié la base...

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Joce_rr
De passage à Vaudémont, le jeune prêtre se déplaça discrètement vers l'église. Il entra et prit place parmi les parroissiens. Il avait hâte d'assister à la messe de la diaconnesse.

Il écoutait chaque parole avec soin, méditation et prière.


Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en
action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le
Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Oui, il avait péché l'ex-vicaire, comme tous. Il pouvait l'admettre haut et fort.

Sa Foy en le Très-Haut était intacte, même s'il commençait à douter de la bonne volonté de certaines instances cléricales...




Puis il écouta la lecture et alla communier avant de sortir tout aussi doucement...
Amyr
Endormie, ce serait le mot exact pour expliquer l'humeur TRÈS matinal du Teutonique. Sortant de sa petite maison, attendant impatiemment son manoir en construction. Se rendant à la messe, il voyait le petit soleil se lever derrière le verger.

Rentrant dans l'église, il se signa.Il ne savait point pourquoi il allait toujours s'asseoir sur le banc du fond, mais aujourd'hui il se rendit en avant, espérant avoir encore une petite place.

Ses idées vaguaient toujours sur les paroles d'un autre Teutonique, lui disant, surement avec une quelque moquerie qu'Amyr n'avait pas prise au sérieux; qu'il n'était pas très Aristélicisme, et celui-ci ne croyait pas le Neuling qu'il y avait deux petites hérétiques en Berry. Ces deux phrases que le Ritter lui avait dit l'avait mit dans tous ses états.

Fermant les yeux, essayant d'oublier cette histoire, il dit le credo intérieurement cette fois.



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Isis25
Isis était arrivée très tôt le matin.

Malgré la grande fatigue qu'elle avait, elle alla prier un moment dans l'église.

Elle entra et alla au pied de l'autel. Elle tomba à genoux et paumes de mains vers le ciel, elle commença à prier


Dieu, toi qui est si tolérant, pourquoi m'avoir enlevé ma sœur et ma nièce.
Qu'ai-je donc fait pour que tu m'enlèves ainsi des êtres de mon sang?
Depuis, mon voyage, je suis plus sereine et je suis aussi enfin en paix avec moi-même. Alors pourquoi me faire souffrir encore? Je ne comprends pas ce que tu veux de moi, ni ce que je dois faire? Je suis perdue là.

Pourtant, tu as tout fait pour que je sois à nouveau heureuse puisque tu as mit sur ma route un homme que j'aime plus que tout. Dis-moi ce que tu veux de moi? je t'en conjure, dis moi ce que tu veux
.



Isis médita encore un moment, sortie de l'église et alla à l'auberge pour se reposer.

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Elisea.


Je traversais le village, le vent, le froid, m'accompagnait, j'arrivais au parvis de l'église les mains et les pieds gelés, j'espère qu'il reste du bois dans le coffre, je vais faire un bon feu, pour réchauffer tout çà avant que tout le monde arrive...
plus de bois, dans le coffre!... ca Filibert il va m"entendre... je vais lui
en dire des verte et des pas mûres...il va m'entendre, pas le son dla cloche mais le son dma voix, ca va carillonner dans ses oreilles, il doit avoir chaud
en ce moment, il faut que je remette de l'ordre, on dirais qu'il y a eu un troupeau de zébu qui est passé....
il est encore tôt pour carillonné de si bonne heure, je vais réveiller
le village, temps pis la grasse matinée c'est pour les riches, tout ceux qui sont la haut avec leur beau domaine, eux là il on des écus, plein
les poches, sa roule en carrosse, décapotable, sa frime en passant à toute
allure au village...Eux!... ils en ont des terres, mais nous pas grand chose
juste de quoi ne pas mourir de faim !...
èh!... oui ..deux heure de grand ménage qu'il ma fallut pour que de nouveau notre église brille de tout ces éclats....
Je vais changer, je vais prendre une jeune fille, à la place de filibert, les
femmes on le sens du ménage, elle ne commence pas par la fin, elle
commence au début...hum.. enfin on verra...

Bonjour, tout le monde, vous avaient passés une bonne semaine, elle
vous a été profitable au moins, nous allons nous confesser, car vous devaient en avoir a dire, sa c'est sur, qui ne pèche pas personne a ma connaissance.
-Ne pensés plus a rien, Prions le Seigneur, prions nos Saint, mes Amis commençons par lui, demander pardon


la confession
-Je confesse à Dieu Tout-puissant, à tous les Saints, et à vous aussi,
mes Amis, parce que j'ai beaucoup péché, en pensée, en parole, en
action.
Je supplie tous les Saints, et vous, mes Amis, de prier le
Créateur pour moi. Que le Très Haut nous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

- Pour suivons, Pour suivons, ne nous arrêtons pas en si bon chemin...et récitons le crédo Aristotélicien



-Mes Amis, nous avons perdu cette semaine un ami cher, qui fut
notre Maire plusieurs fois et que nous avons aimer et apprécier tout au temps, Messire Supremejulien sans est aller rejoindre tout nos Saint, Messire, Julien
était Diacre, puis Curé, il faisait partis de notre Sainte église Aristotélicienne
puis devenus, par la suite un simple citoyen il eu une petite fille et pris
une femme pour faire comme tout le monde faire une famille...
Je viens dire tout mes regret à sa famille, prions pour que le Seigneur
l'accueille auprès de lui et le Bénis, car Mes Amis il le mérite, il nous a servit et pas que ici, dans notre village, il est partis ailleurs ou il a servit avec honnêteté et dévouement les conté et duché qu'il a traversé et qui
ont eux besoin de lui....prions, pour lui...

Ceci dit, poursuivons... notre Messe avec piété et recueillement.
Nous en étions nous, je ne sais plus avec toute cette émotion, de bon matin...
Oui!...Alors,

je vais vous lire un passage du livre des vertus, que vous ne connaissaient pas enfin j'espère, mais moi je ne vous l'ai jamais conté encore..


Livre de la Création
Chapitre V - « La réunion »



1 Dieu regardait, ému, le petit groupe de créatures qui pleurait. Elles se sentaient abandonnées de Lui, car elles n’étaient pas dotées de talents particuliers. Elles en étaient venues à croire qu’Il les détestait, alors qu’Il aimait chacune de Ses créations. Elles faisaient partie de Lui et les détester reviendrait à haïr une part de Lui. Il avait créé l’univers, le monde et la vie pour pouvoir les aimer, et Il les aimait.

2 Par à cet amour, Dieu avait doté chaque espèce de créatures composant la vie de talents afin qu’elles trouvent toutes leur place dans Sa création. Mais ce magnifique cadeau restait invisible aux yeux de ce petit groupe de membres. Les humains qui le composaient étaient habités par le doute, restant aveugles à Son amour. Leurs larmes étaient sincères mais injustes. Ils ne demandaient qu’à être aimés de Lui, mais ne voyaient pas qu’Il le faisait déjà.

3 Les autres créatures étaient conscientes de ce cadeau, mais n’en avaient pas compris la raison. Elles s’imaginaient toutes être les seules à être ainsi récompensées. Les unes pensaient que seule la force était un cadeau de Dieu. D’autres faisaient la même erreur avec la vitesse, la nombreuse progéniture, la longévité, la laine, la capacité à voler ou encore le territoire qui leur avait été alloué par Lui. Elles s’estimaient donc toutes favorisées de Lui et se croyaient Ses préférées.

4 Mais cet humain, que les siens appelaient Oane, portait en lui le germe du talent que Dieu avait donné aux siens. Il prenait petit à petit conscience du véritable amour que Dieu portait à Sa création. Il commençait à comprendre que chaque composante de la création était aimée de Dieu, mais ne savait pas encore pourquoi. Il passait son temps à regarder les étoiles, espérant y trouver le Très Haut, mais il ne savait rien de Son omniprésence.

5 Alors, Dieu décida que le temps était venu de donner sa véritable place dans l’univers à l’espèce dans laquelle se trouvait la seule créature qui comprenait l’amour, seul véritable sens de la vie. Il se dit qu’il fallait éprouver l’amour que Ses créatures avaient pour Lui. Pour ce faire, Il décida de réunir toutes les créatures du monde en un seul endroit et de leur demander ce qu’était la vie. Ce qu’Il ferait d’elles dépendrait de leurs réponses.

6 Alors, d’une seule pensée de Dieu, toutes les créatures du monde entier furent au courant de la convocation divine. Sans attendre, elles se mirent en route. Il existait une gigantesque plaine verdoyante sur un continent verdoyant. C’était là que le monde entier devait se réunir pour entendre la question divine. C’était là que le sort de l’univers allait se jouer.

7 Il fallut de nombreuses années pour réunir tant de créatures. Toutes ne survécurent pas à ce long voyage, mais aucune n’avait l’intention de rebrousser chemin. Dieu avait insufflé en elles l’envie irrépressible de venir rejoindre la grande réunion de toute la création. Elles traversèrent les mers, les montagnes, les glaciers, les déserts brûlants et tant d’autres lieux difficiles. Elles continuaient cependant à vivre, à mourir, à se nourrir et à procréer. Mais tout cela en ne cessant jamais d’avancer.

8 Et enfin vint le jour fatidique où toute la création était réunie.

Spyosu


Que pensaient vous de se fantastique voyage a travers le temps, que de chemin par couru depuis, que de chose on été faite, pas les hommes et les femmes que nous sommes, petit ils est vrais dans cette univers gigantesque, fait d'eau et de terre, et nous sommes là au milieux de tout cet belle chose qui nous sont offerte, qui nous fond travailler, qui
nous nourrice, qui nous abrite et que nous aimons a regarder.
mon sermon n'a pas été long, mais en vous rappelant votre devoir de respect a cette terre, car ou irions nous si elle venait a disparaitre, pas difficile a voir vous l'avaient deviner dans sont entre bien sur, elle nous engloutirait nous nos enfant tout ceux que l'on aime, psitpsit...plus personne....
ne pensons plus a ca, pensons que cela n'arrivera pas puis que nous prenons soin d'elle comme notre mère nourricière qu"elle est
Amen

La communion approche, pour ceux qui le désir approcher en rang d'oignons...
chacun sont tour il y en aura pour tout le monde ne pousser pas vous aller me faire tomber dans le bénitier...
ou le seau à charbon, je serais belle après ca tien ....




aller en paix vers la voie de notre très Haut, bonne semaine a tous et a toute, que notre Seigneur nous Bénisse....
A dimanche prochain si vous le voulais bien...

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