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[RP] Inauguration de la rue Riwan Nathan de Brocéliande

Anastriana
Le village avait revêtu sa parure de fête, des fleurs séchées avaient été accrochées partout, les rues avaient été balayées, et avec ferveur, les gens venaient, pour venir voir celui que l'on appelait Son Altesse Riwan-Nathan de Brocéliande, le jeune blondinet au visage d'or.

Ana est dans les premiers, au milieu de la rue qui désormais portera le nom du p'tit Prince.
En travers de cette grande artère rohannaise, un ruban rouge a été tendu.
Devant ce ruban, un petit tabouret recouvert d'un joli velours vert, sur lequel repose une paire de ciseaux en or, les ciseaux qui servaient aux diverses célébrations et autres inaugurations.

Elle regarde chacun, les laissant arriver et se serrer les uns les autres tout autour du lieu de l'animation, parce que hein, chaleur humaine, chaleur pas chère.
Et oui, on se les pèle!

Heureusement, Ana est prévoyante, et au milieu de la rue, un grand feu de joie réchauffe l'atmosphère et les gens, créant une ambiance encore plus festive.
Qui plus est, les bon vieux tonneaux de chouchenn avaient été bien évidemment roulés jusqu'ici, et chacun pouvait venir se servir.

Une ambiance chaleureuse et conviviale, Rohan, en somme.

Elle fait signe aux personnes présentes de se taire, d'un index posé sur ses lèvres, avant de prendre la parole.

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Blanche_
Il faut se taire, alors elle se tait. Mais elle est là, l'enfante. Étonnamment jolie, lorsqu'on sait ce qu'elle traverse. Et sous la céruse pâle, la peau fatiguée retient tout son charme. Une Walsh, au port altier et légèrement hautain sans le vouloir. Une fille de, qui tient son rang et ses manières.
Pas loin de la mairesse, qui a insisté pour qu'elle soit présente, la jeune fille attend que quelque chose se passe. Que le blondinet se pointe, que le vent se lève. Un changement, quoi ! Elle s'ennuie vite, se lasse de tout. L'Hermine dans son apothéose.


Oups, pardon. Désolée. Aïe. C'était votre pied ? Pardon. Excusez moi. Poussez vous !
Et la voila, prudente, pas loin du feu de joie mis en place par la brunette en cloque. Et tandis que sur sa peau fragile, les reflets roux des flammèches se reflètent, la jeune blonde écoute d'une oreille attentive le discours inaugurateur de son modèle. Redoutant, sans se le vouloir avouer, la venue en grandes pompes du prince à la grenouille ; quoique ces frasques protocolaires lui conviennent parfaitement : elle aura bien assez de temps pour s'échapper dans la foule, et fuir la désastreuse entrevue culinaire que la mairesse compte lui imposer.
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dicte "l'Hermine" - Ambassadrice de Bretagne en Bourgogne.
Perle de M, Crème de R, Otage d'A.
Riwan
Le jeune blondinet au visage d'or c'était moi. J'avais moi aussi revêtu mes habits de fête: costume vert avec blason cousus dessus, manteau d'hermines et tout et tout...
La dizaine de gardes m'escortant depuis le complot ayant décimée ma famille me suit. Quelques valets me précède afin de m'ouvrir le passage.

J'arrive en vue de l'attroupement.
Dans un sourire, je déclare aux alentours:

Tient, cette place a l'air bien longiligne. Et elle est plutôt étroite.


Puis je me dirige vers la Mairesse. Et lui prend la main afin de la baiser
Mairesse, c'est un honneur.

Du coin de l'œil je ne quitte pas Blanche des yeux. On m'a parlé d'un concours, concours que je ne peux perdre...

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Anastriana
Ana voit arriver le prince et toute son escorte, et ne peut retenir un sourire amusé. On risquait pas de le rater avec un tel entourage.
Et le v'la tout beau bien habillé, il joue le jeu... ça ne l'étonne guère la brunette.

Déclaration qui l'amuse, à laquelle elle répond:


"L'étroitesse de la largeur est tel votre fine taille musclée de fringant jeune homme, la longueur par contre, est telle votre grandeur, admirable, en somme, cette place qui ressemble à une rue, est toute à votre image, voyons!"

Ana est au bord du fou rire, mais faut rester sérieux. On a du prince, restons chics. Enfin n'en faisons point trop non plus, il te connait Ana, il est jeune, pas idiot.

Elle s'incline avec grâce, relevant avec soin le jupon de sa longue robe de velours vert, celle qui s'accorde si bien avec ses yeux, puis le laisse lui baiser la main.


"L'honneur est pour nous tous Votre Altesse."

Elle regarde la foule, et entame son discours.

"Mes chers rohannais, aujourd'hui, Son Altesse Riwan Nathan de Brocéliande, tel un soleil éclairant la pièce la plus sombre en perçant la poussière du bord des fenêtre, à offert à notre mairie le don conséquent de quatre mille cinq cent quatorze écus, et cinquante deniers!
Oui! Vous avez bien entendu!
Alors certains babilleront, palabreront, contesteront, l'origine de ces écus sonnants, et trouvent qu'ils trébuchent plus qu'autre chose. Franchement, je m'en moque pas mal. Tout ce qui compte, c'est que nous avons désormais les moyens de vous offrir des animations de qualités, avec des lots intéressants, nous allons pouvoir investir sur le marché, racheter vos denrées.
Tiens un nettoyage de légumes, ça vous tente?
Je vous enjoins donc tous à applaudir et à acclamer, Son Altesse, Riwan Nathan de Brocéliande!"


Et ana étend ses bras vers le blondinet, qui en jette dans son manteau d'hermine quand même faut l'dire!
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Rowenda
On avait demandé a tout le monde d'être présent pour l'événement alors il s'était sagement pointé, tant qu'a faire ça lui donnerais toujours une occasion de râler. Il avait revêtu sa cote de maille par dessous son tabard bleu de nuit d'officier, un tabard remis a neuf mais qui datait néanmoins, de ces jeunes années chez les loups de Fougères.
La côte de maille et l'épée, en ville et en terre Bretonne, voilà qui lui ressemblait peu, il avait l'habitude de se dire en sécurité en Bretagne et de se balader avec seulement son épée. La côte de maille était sans doute là pour autre chose, pour protéger son cœur et son esprit de la douleur cuisante et de l'amour qui pourrait en causer de semblables a l'avenir.

Adossé a un mur a l'écart de la foule il suivait d'un œil morose la scène, mâchonnant le bout d'un brin de paille qu'il crachat par terre en lâchant.


Ça un prince... Et ses gardes, même pas des soldats bien entrainés, sont justes bons a défiler...
Donner l'nom d'une rue a ça...


Il continue ainsi ces marmonnements dans son coin à l’ écart, disant que le tabouret devait se retourner dans sa tombe en voyant son fils qui s'pavanait tout fier. Puis il accepte un gobelet de chouchenn que lui tend une jeune femme du village la remerciant sans même esquisser un de ces fameux sourires.
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"L'ancien forum ou rien !"
Blanche_
[Elle a des yeux Revolver]

Les vieux ont parfois des réactions extraordinairement drôle. A celle que venait de faire le sieur Rowenda, la Walsh faillit éclater de rire. C'était tellement vrai ! Tellement juste ! Ou tellement en accord avec son obsession habituelle, continuelle et sans fondement de dénigrer le Broc' pour mieux y échapper.
Bref.
Esquissant un petit sourire, qu'elle cache candidement derrière un mouchoir, la petite cadette se garde bien de faire éclater au grand jour sa brusque joie. On aurait vite fait de mettre cela sur le compte de l'arrivée princière, elle qui voulait éviter par dessus tout qu'on ne la prenne pour une groupie du Dukaillon.
Bon, c'est que ça cause. Reste concentrée, pimprenelle !
La rosière écoute d'une oreille distraite, obnubilée par un détail monstrueux. Devra elle payer 5000 écus pour ne pas avoir la désagréable obligation de dîner avec le généreux donateur ? N'y voyant aucun échapatoire, puisque ses propres économies ne faisaient pas le poids, elle se jura silencieusement de remercier la mairesse de la façon qu'il fallait. Quitte à lui faire écouter le timbre de sa voix dans des fréquences étonnamment aiguës.


Tiens, on dirait qu'il vous regarde, Mademoiselle, lui souffle sa suivante.
Hein ? Mais de qui ?
Du pacha qui se pavane icelieu, votre blondeur.
Ah...
brusque regard, prêt à le mitrailler comme il se doit. Mais ce n'est qu'une prunelle, sûrement indifférente, qui vise la foule avec un manque d'intérêt total. Il ne la regarde pas, c'est évident ; en vérité, il ne fait que surplomber l'amas rohannais présent d'une ombre supérieure, et ducalement hautaine. Mais il snobe bien, le blond.

Mais non, mais non. Ce n'est pas moi qu'il regarde, c'est la foule.
Vous avez sûrement raison, Damoiselle B. Sang Walsh ne saurait avoir tord. Mais... Pourriez vous, dans ce cas, nous enquérir de la cause de votre rougissement soudain ?
Je ne suis PAS rouge !
répondit la neveziad, maudissant ses pommettes tiédies par la timidité. Et tu m'ennuies avec tes questions !
Puis, d'un pas las, elle se dirigea vers la cote de maille ambulante, lui adressa un sourire, et pria pour que le sieur engage la conversation, et la délivre d'une situation qui ne lui plaisait guère.

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dicte "l'Hermine" - Ambassadrice de Bretagne en Bourgogne.
Perle de M, Crème de R, Otage d'A.
Kurios
L'évêque était jonché sur un tonneau, assis une jambe tombante et l'autre relevé genou contre poitrine, la robe pendante,un pied un bras appuyé sur sa crosse au sol, et l'autre tenant une lettre.
Quelle agilité tout de même cet homme là. A son age il est aussi souple qu'un chien se léchant le derrière après s'être piqué dans les orties.

Il avait une classe incomparable et son sourire en coin lui donnait un air tellement intelligent... heureusement qu'il en avait l'air. Il regardait la scène à une certaine distance.

Le prélat avait reçu un courrier de la mairie de Kastell Paol pour une affaire urgente. Il devait voir son 'tiDuc.

Je vous jure être évêque, baron et en arriver là... faire ce genre de besogne... Il fallait qu'il l'aime sa ville pour faire tout ça. Ma doué quel homme ayant véritablement le sens du sacrifice.

L'évêque se demandait si un jour il aurait une rue à son nom... non pas qu'il faisait ça pour ça ou qu'il le recherchait vraiment. C'était plus une petite pointe de curiosité... il se serait d'ailleurs contenté d'une rue sentant l'urine et le vomit derrière quelques menues tavernes de soulards et de soudards.
En même temps méritait-il mieux? D'ailleurs il ne méritait pas de rue lui.
Par contre il pense qu'il mériterait bien une bolée.

Il espérait que cette affaire puisse être rapidement réglée afin de pouvoir aller se désaltérer au plus vite.

Sa gourde était presque à sec.

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Riwan
La Mairesse porte du vert. C'est de très bon goût pour une fête en mon Honneur.

J'accueille sa réponse avec un sourire plein de charmes. Et lui répond, enjôleur:

La diplomatie, ca vous intéresse ? Vous avez de toutes évidences de grands talents pour ca.

Elle s'incline, et me fait la réponse habituelle sur l'honneur réciproque. Parce qu'il me faut éviter de salir ma réputation, je réponds:
Je n'en doute pas un instant.

Puis c'est l'acclamation. Un peu faible l'acclamation tout de même, surtout pour 5000 écus.
En observant la foule, je passe sans donner l'impression de m'arrêter sur la Walsh. J'ai l'impression qu'elle a rosit en croisant mon regard...
Je termine mon tour de regard en apercevant mon vassal d'évêque de Nantes. Il a fait le déplacement, un bon point pour lui.

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Rowenda
Sirotant le chouch que viens de lui apporter une paysanne du village il regarde la scène sans cesser ces ronchonnements incessants qui n'ont de cesse. Soudain un éclat de voix, il tourne la tête pour voir qui l'interrompt dans sa marmonnerie lyrique et chiante en beuglant qu'elle n'est pas rouge a tout le village.
La jeune femme en question se diriges vers lui un mouchoir masquant le bas de son visage comme pour se protéger de l'odeur et approchant lui adresse un sourire candide avec lequel il aurait pu sucrer sa tisane.
Haussement de sourcil circonspect, qu'est ce qu'elle lui voulait donc la p'tite oiselle ?


D'mat, j'peux faire quelque chose pour vous dame oiselle ?

Le verre de chouchenn viens a nouveau se porter à ses lèvres en toute tranquillité alors que l'cerveau fonctionne à plein régime aider par les yeux qui détailles la silhouette. Calculant au passage si elle porte une arme, si elle en porte une cachée, si elle a une culotte sous ses jupons, la taille de sa poitrine et même si elle a du poil au pattes.
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"L'ancien forum ou rien !"
Anastriana
La diplomatie? Dire ça a une guerrière, une qui chargeait dans la cavalerie, c'est cocasse avouez? Bon elle sait bien causer aux gens la mistinguette faut l'admettre. En fait elle est douée dans tout. Normal, elle est sublime, n'est-il pas!
Hum.

Donc, voila l'acclamation glorieuse.

...

Bon on la refait alors. Hum hum. Soyez prêts hein on le refera pas une troisième fois!

Donc... Voila l'acclamation glooorieuse!

...

Oui bon, voila une acclamation dont il faudra bien se contenter. C'est toujours ça. Ils en entendraient causer tiens. Elle avait pourtant donné ses ordres. Quoique... Non elle avait juste demandé de venir. Cest malin.


"Et bien Votre Altesse, vos oreilles de hautes distinctions ne seront point lésées en Rohan. Point besoins de cris, de brouhaha, et de grands applaudissements, pour vous saluer, vous êtes bien au-dessus de ça n'est-il pas. Et puis à vrai dire, nous gardons nos acclamations pour lorsque vous aurez découpé le ruban."

Se tourne vers l'assemblée, leur fait les groooos yeux.

"Pas vrai vous autres, que vous gardez vos acclamations pour après?!!"

Voit du coup le blondin qui cause avec sa filleule. Non di diou. Elle met ses encore-plus-gros yeux! Bon, s'occupera de ça plus tard. S'il est pas déjà trop tard, diantre...
Se retourne vers Riwan et lui tend les précieux ciseaux.


"Allons, découpez, qu'on acclame et qu'on boive un coup après!"
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Blanche_
Humpf.
Zarbi, le gars à coté de l'enfante. On dirait qu'il ne la connait pas. Ne pas la connaître, elle ! C'est tout bonnement impossible ; quand la majorité des ragots planent sur son minois, quand on fait des éloges jusqu'à la mer de son charme -mais moins de son caractère, 'faut l'admettre-... bref, elle ne comprenait pas.
Alors pour dissoudre le regard perplexe et un brin instigateur du sieur -non, elle n'a pas de poils aux pattes-, la v'la qui se présente. Poliment, ça va de soi.


Blanche-Anne de Walsh-Serrant. Vous êtes le sieur Rowenda, n'est il pas ? J'ai beaucoup entendu parler de vous.

C'est ça, reste dans le vague. En bien ou en mal ? A lui de s'imaginer.
Elle se prépare à partir, mieux vaut le faire avant que le ducaillon se retrouve avec un objet contondant dans les doigts. Il serait peut être capable de la menacer, qui sait ?
Ou... non. La parano la gagnait, sûrement.
Oh, et puis la mairesse parle de boisson. Ça va devenir intéressant... Autant rester.

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dicte "l'Hermine" - Ambassadrice de Bretagne en Bourgogne.
Perle de M, Crème de R, Otage d'A.
Rowenda
Repart tranquillement à l'assaut de sa bolée de chouchenn en détournant le regard de la jeune femme vers la scène, Ana demandant des acclamations pour le pantin. Il soupire et demande bien ce qu'il fait là, avant de se rappeler que c'est elle qui l'as demandé, enfin pour les acclamations elle repasseras...

'Chanté, Rowenda chevalier de Pontblanc, dict le blondin en effet... Et ça m'étonnes pas que vous ayez entendu parler de moi, z'êtes la filleule d'Ana c'est ça ?
Alors vous êtes venu acclamer l'beau prince ?


Lui dis ça sur le ton de la conversation ne la regardant même pas, regardant plutôt ce que fait le dit prince des fois que ça serait amusant.
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"L'ancien forum ou rien !"
Leyah
N'ayant aucune, mais vraiment aucune envie d'assister au gonflement d'égo, qu'elle trouvait déjà bien mesuré, de celui qu'elle appelait morveux, Leyah avait trouvé une occupation bien plus intéressante.
Présente bien sur, de corps mais pas d'esprit, elle s'était prise d'affection pour un cailloux qui se baladait sous sa botte.
Bidule ! Voila un nom parfait pour ce nouveau compagnon d'infortune.
Infortune d'être en ce lieu, en ce moment, alors qu'elle avait tant d'autres choses a faire.
Bidule lancé vers la droite, ratrappé avec aisance par la rouquine de la pointe du pied et hop pirouette de la gambette pour récupérer le cailloux parti vers la gauche.
Course avec un escargot rescapé du froid, et la rousse de loucher sur la bestiole a savoir si bidule va gagner sur une distance de dix centimètre .
Voui!
La bestiole gluante et rampante battue a plates coutures par bidule proclamé vainqueur et récupéré aussitôt sous la godasse qui trainasse.
Évidemment elle aurait pu s'occuper autrement, mais là ..

Et bla bla bla, et on glorifie monsieur et demain son cou va tellement enfler qu'on prendra sa couronne pour un mini diadème
Foutre dieu , n'y avait il pas mieux a faire ?
Ronchonnant d'être la , la rousse se demandait pourquoi elle avait dit être présente.
Mais soit, suffisait juste d'attendre que cela se termine.


Screugneugneu qu'il fait froid
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Riwan
Je ne peux que sourire devant la capacité de la Mairesse à rendre brillant ce qui semble ne pas l'être aux premiers abords.

En prenant les ciseaux je me débrouille pour toucher lentement les blanches mains de la Dame de Coëtlogon.

Allons-y alors.
Puis en quittant lentement sa silhouette des yeux, je m'avance pour couper le fameux ruban.
Je prend bien garde de le faire en une seule fois.

Et voilà.

Je me retourne vers la foule en délire.
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--Brouhaha
Heureusement, parmi la foule présente, y'a aussi des tas de péquins.
La roture est venue saluer celui que la mairesse semblait appeler un prince... Prince de qui de quoi et pourquoi, les gueux s'en moquent.
Au moins il est beau, et en plus il a de jolis habits. C'est donc forcément un haut noble, et venir saluer du prince, ça n'arrivait pas tous les jours.

Voila donc les rohannais réunis en masse, qui écoutent tout ça d'un air distrait. Parce que bon, changer le nom des rues, ils s'en foutent faut dire.
Par contre, la picole distribuée à volontée, ça c'est intéressant.
En plus y'a un grand feu pour réchauffer leurs corps misérables, j'ai envie d'dire... Que d'mande le peuple??!!

Et alors que le prince découpe le ruban, une acclamation très chouchennisée s'élève parmi la foule, dans un brouhaha inaudible.
Les applaudissements et les sifflements fusent, c'est la folie dans les gradins!
A droite, une banderolle commence à s'élèver, bientôt portée par toute la foule:


Citation:
"Merssi bau praince pour votre jainérozité!"


Sont mignons les gueux quand même! Très émouvants, si si!
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