[RP]Cérémonie diplomatique du Chancelier Akmer

Sagaben

L'ancien montait tandis que le nouveau descendait... Non, il ne s'agissait pas d'une déchirure d'un livre sacré... qui aurait pensé cela. Regardant toujours Akmer de manière insistante, comme pour demander des explications, le Tempéré se retrouva seul un instant sur l'estrade, devant ce parterre de personne.

Son attente s'interrompit lorsqu'Akmer remonta. Le voilà qui commence un discours sur l'ancien chancelier qu'il était. Diable! Il était sérieux en plus! Il est rare que ce genre d'événement ne soit pas connu à l'avance. C'est donc un Amilly plus qu'étonné qui se trouvait là. Presque ému. Il avait certes beaucoup donné à la diplomate, mais la diplomatie lui avait donné plus encore. Le duché n'avait jamais été que sa seule préoccupation. La diplomatie et lui étaient à leur service.

A la fin de celui-ci, le chancelier ouvrit une boîte noire et en sortit une étoile qu'il accrocha au pourpoint bleuté du Tempéré. Il se recula après et le laissa, pantois, devant l'assemblée. Il fit à nouveau face à Akmer et dans un souffle où il masqua son émotion, il dit avec une pointe d'ironie à peine déguisée.

Je ne sais comment remercier Votre Excellence pour l'honneur qui m'est fait.

Avec un peu plus de sérieux, le Vicomte pencha légèrement la tête en avant, tout en regardant le Chancelier dans les yeux. Signe réel de sa gratitude pour cette reconnaissance, en place de mot qu'il n'avait point l'habitude d'exprimer.
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Akmer

Souriant au vicomte, il ne pu s’empêcher de se rapprocher de lui encore un peu plus afin de lui glisser quelques mots :

Tss un honneur ? C’est juste un gage de remerciement pour tout ce que vous m’avez appris lui dit il, sourire aux lèvres alors qu’il tourna la tête lentement en direction des invités. Il en avait fini avec ces récompenses, et voulait trouver dame Terwagne afin de le lui faire comprendre pouvant ainsi passer à autre chose. Cherchant lentement, il finit par l’apercevoir, et se tourna de nouveau vers les invités.

Chers convives, je vous remercie d’avoir prit part avec moi à cette cérémonie de récompense, et vous invite alors à pendre place, la cérémonie va alors pouvoir se poursuivre !
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Akmer, tout simplement.

Terwagne_mericourt

Alors qu'elle observait en compagnie de sa soeur la suite de la remise des médailles, la Dame de Thauvenay vit le Chancelier s'approcher diriger son regard vers elle, comme si il avait besoin d'elle pour la suite.

S'excusant à nouveau auprès de Mily, elle se leva et alla le rejoindre.
Arrivée à sa hauteur, elle lui chuchota ces mots.

Vous voyez que tout se passe parfaitement bien...
Vous vous êtes angoissé pour rien.

Comment faisons-nous pour la suite?
Je donne les ordres pour que le repas soit servi avant le bal?
Ou préférez-vous dans l'autre sens?

Peut-être serait-ce mieux, non?
Dépenser de l'énergie avant de remplir nos estomacs.
Et puis après mangé, tout le monde risque d'être trop lourd pour se remuer...
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Akmer

Akmer voyait dans Terwagne, et au fur et à mesure qu’il essaya de comprendre ce qu’elle lui chuchotait, son petit sourire disparu. Juste au mot bal il grimaça, avant de lui répondre à voix basse :

Oui z’avez raison, mais heu comment dire … il commença à bafouiller légèrement, je vais m’assurer que la préparation du repas se passe correctement, je ne voudrais pas qu'il arrive un malheur. Je vous laisse ouvrir le bal très chère dame.
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Akmer, tout simplement.

Terwagne_mericourt

Moi? Mais...
Groumpfh!

Enfin, si vous voulez, mais au moins annoncez-le, et puis...
Avec qui de plus?

Sa réponse fusa, parce que oui, elle voulait bien lui rendre ce service, mais après tout il fallait au moins qu'il annonce quelque chose, c'était lui le "maître de cérémonie", pas elle.
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Akmer

Oh si il n’y que ça pour vous faire plaisir lui répondit il à voix basse toujours alors qu’il fit quelques pas en arrière, prêt à s’adresser aux invités.

Mes chers convives. Notre orchestre s’impatiente quelque peu, et à mon avis il n’est pas bon de faire attendre des musiciens. J’ai donc l’immense plaisir de vous annoncer l’ouverture de notre bal, assurée par Dame Terwagne, qui aurait l’honneur de choisir son cavalier. Petit sourire sadique sur le visage avant de continuer, essayant de prendre l’air gêner. Pour ma part je dois m’assurer que le reste de notre cérémonie se passe convenablement. Je vous laisse donc en sa charmante compagnie.

Il fit de nouveau quelques an arrières, laissa dame Terwagne devant avant d’essayer de s’éclipser discrètement vers les cuisines.
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Akmer, tout simplement.

Terwagne_mericourt

L'honneur de choisir son cavalier... Tu parles d'un honneur, mouè...

Regard à gauche, regard à droite, toujours aucune trace de Walan nulle part, et si jamais elle l'appelle et qu'il est sorti prendre l'air, c'est sûr qu'elle aura l'air maligne à rester là toute seule au milieu de la salle, avec tous les regards tournés vers elle et cette fichue robe féminine à souhait dans laquelle elle est certaine qu'elle ressemble à... à une femme, voilà!

Grimace discrète à l'attention du Chancelier qui déjà à commencer à s'éclipser, comme par hasard, et rapide réflexion de la demoiselle qui décidément ne voit pas qui inviter à la place du Vicomte d'Ancelle, ni sur base de quel critère choisir.

Le hasard... Elle n'a qu'à se fier au hasard, ça sera aussi bien.

Aussi, alors que les musiciens font retentir les premières notes, s'avance-t-elle vers la première table se trouvant devant elle et s'incline-t-elle légèrement en tendant sa main devant le premier messire s'y trouvant, sans même avoir eu le temps de voir de qui il s'agissait.

"Je crois bien que le hasard vous a choisi pour me soutenir durant cette partie de plaisir". Lui murmure-t-elle.

(HRP : Clairement je n'ai pas envie de choisir, donc que le premier qui passe par là et qui a envie de danser avec la Bailli n'hésite pas à poster. J'lui en serai très reconnaissante. ^^)
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Loelia

Apres avoir attentivement suivit le moindre mot emanant de la bouche du chancelier, Cyanne regagna la table du gouverneur pensant que le repas allait commencer lorsque l'annonce du bal vint la surprendre.. Coup d'oeil rapide autour de sa tablen'y percevant que deux femmes et un vicomte endormi qu'elle n'oserait inviter, le jeune damoiselle soupire de peur que la soirée ne soit helas bien longue.

Prenant place, ses yeux ne purent s'empecher de se river vers les cuisines. Allait il venir manger avec ses convives, a cette table? Peu de chance... Soupire de tristesse avant de se perdre dans ses pensées.. les oliviers, la mer, les cigales que de choses ravissantes non trop loin pour aller les visiter et les apprivoiser, pourquoi pas s'y installer, même si une partie d'elle même aurait voulu ne jamais quitter cette petite piece où tout a viré au bleu.. les mains, les nez, les joues. Que de rire et de bonheur en se souvenir qui ne sera jamais assez long pour elle.

Extirpée de ses songes par un valet lui proposant un breuvage, Cyanne releva la tête acceptant le present avec plaisir puis le verre au bord des lèvres contempla la salle avec attention a la recherche d'un cavalier. Il était certain qu'elle ne danserait pas avec un inconnu, bien trop pudique pour cela et même si dans son coeur il n'y avait qu'une personne qu'elle aurait voulu sentir contre soi au rythme d'une danse, cela n'allait surement pas etre possible. Seulement il n'y avait pas enormement de personnes en qui la jeune fille avait confiance la moitier d'entre elles n'étant presentes.

Dans sa robe emeraude a la coiffe de paon, droite et distinguée toujours, elle espera qu'il trouverait le temps, le courage et l'envie de l'inviter, ne serait ce qu'une danse.. une toute petite.. 5 minutes juste à eux..
Son regard chavirant de son verre à la direction des cuisines, distraite, elle tenta de suivre d'une oreille les discussions de sa tablée.

Milyena

Mily s'amusait à voir l'embarras dans lequel se trouvait sa soeur.

Petites elles dansaient ensemble, mais là, on était loin de ce temps là.

Terry avait l'air de se diriger vers une table choisie au hasard, pas plus mal pour s'en sortir.

Mily écoutait la musique, regardant les personnes se réunir pour les danses à venir.

Danser, voilà bien longtemps que cela ne lui était arrivé.
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Tenshikuroi

Alors que l’ancien Chancelier avait reçut une distinction du nouveau, Tenshi, après avoir copieusement applaudit, se décida à rejoindre la table du Gouverneur. Il salua les convives déjà présents avec un sourire appuyé pour sa marraine. Il fut aussi ravis de constater que Damoiselle Cyanne était elle aussi atablé. Il commençait à la croiser de plus en plus régulièrement et en était plutôt ravis.

Installé depuis quelques minutes, les yeux dérivant à droite et à gauche de la salle, il ne fit guère attention à la femme qui s’approchait. Le temps de tourner la tête et il vit la Dame de Thauvenay s’incliner devant lui… Légèrement géné par la chose il le fut encore plus en entendant son murmure…

"Je crois bien que le hasard vous a choisi pour me soutenir durant cette partie de plaisir"

Tenshi bredouilla quelques explications mais, tous les regards étant braqués sur eux il ne pouvait décemment pas refuser.

Le hasard fait parfois très mal les choses.. j’ai bien peur d’être un terrible cavalier Dame Terwagne…je m'en excuse d'avance. dit-il en se levant et en proposant son bras à la Bailli.
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Milyena

Au moment où le cavalier choisit au hasard se leva, Mily reconnu Tenshikuroi.

Une envie de rire la prit. Et si il était aussi bon cavalier que lanceur de crêpe?
"Gare au bobo".
Mais bon elle reconnu qu'il la devançait sur ce coup là.
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Emilie_la_belle

Bernwart n'eut pas le temps de lui répondre. Les discours commencèrent et Emilie en profita pour attraper un verre et le boire d'une seule traite. Il lui fallait quelque chose pour retrouver ses esprits et ce verre là n'était pas assez fort. Profitant qu'il était absorbé par le discours du chancelier, elle fit quelques pas en arrière puis trouva la tablée du buffet et autres liquides à boire. Lorgnant les alcools proposés, son choix se porta sur du génépi qu'elle avait eu l'occasion de goûter à Briançon. Elle en vida un verre puis en prit un autre et retourna discrètement vers celui qui l'avait troublé en arrivant.

L'alcool aidant, le trouble était passé et lorsqu'elle vit Tenshi recevoir une décoration, elle posa son verre sur la table près d'elle et l'applaudit à tout rompre. Autre discours, nouvelle médaille et voilà qu'on annonçait l'ouverture du bal.

Non pas ça .....

Elle grimaça un sourire à Bernwart et se dit qu'il fallait absolument qu'elle trouve une bonne excuse pour échapper à ça. Son regard parcourut la salle. Il fallait vraiment qu'elle se trouve une sortie de secours .... et vite !
Plus loin, elle vit que Tenshi allait commencer à danser. Si seulement il avait pu venir à son secours ! Il fallait trouver autre chose. Oui mais quoi ? Son regard se reposa sur Bernwart. Elle ouvrit la bouche pour lui dire qu'elle devait partir, qu'elle était trop épuisée pour rester plus longtemps mais les mots ne sortirent pas.
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Terwagne_mericourt

Avant de relever son regard elle savait grâce à sa voix devant qui le hasard l'avait poussée, et un sourire illumina son visage.

Ouf! Ce n'était pas un inconnu!

Posant sa main sur son bras, elle se laissa guider jusqu'au centre de la piste, en lui murmurant quelques mots fort maladroits, du genre de ceux qu'elle était très douée pour exprimer.

J'aurais pu tomber sur pire que vous, je crois bien...

Argh, la voila qui devient aussi rouge que sa robe et qui se met à balbutier.

Norf, je n'ai pas voulu dire par là que vous étiez un piètre danseur, juste que...
Groumpfh... Que, enfin, j'suis bien heureuse de danser avec vous, je crois.

Tais-toi, tu aggraves ton cas, là! C'est pas dieu possible d'être aussi gourde quand même. Pourvu que tu te trébuches moins dans tes pas qu'avec ta langue, Dame de Thauvenay!

Un, deux, trois... Hop! On se lance! On prend une profonde respiration et on laisse son cavalier donner le mouvement, ça va aller tout seul, même si t'as horreur de laisser un autre décider de ce que tu dois faire.
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Milyena

Même si elle était à nouveau seule à sa table, Mily s'amusait de voir les réactions...l'embarras de Terry et son cavalier, Emilie qu'elle venait d'apercevoir se diriger au buffet alcool avait elle aussi l'air de tourner en rond, j'y vais j'y vais pas.....puis repartir à sa table toujours avec le même embarras

Ha quelle soirée...
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Tenshikuroi

J'aurais pu tomber sur pire que vous, je crois bien..
Norf, je n'ai pas voulu dire par là que vous étiez un piètre danseur, juste que...
Groumpfh... Que, enfin, j'suis bien heureuse de danser avec vous, je crois.

Tenshi préféra sourire de l’apparent embarras de Terwagne et lui glisser quelques mots pour la rassurer.

Et bien et bien... on va faire une sacrée paires de danseurs croyez moi… dit-il sur un ton qui se voulait amusé…

Une fois au centre de la piste, Tenshi se recula légèrement pour s’incliner devant sa cavalière. Autant il ne savait pas forcément danser, autant il y mettrait tout de même les formes. Un fois le salut fait, il lui tendit une main qu’elle saisit délicatement puis plaça son bras, recourbé, sur le coté du buste de la Dame, sans contact inapproprié, la laissant poser sa main dessus.

La musique, qui n’attendait qu’eux, jaillit des instruments et Tenshi essaya de se laisser entrainer par la mélodie et de diriger du mieux qu’il pouvait. Ses pieds mal assurés tentaient comme ils le pouvaient de se relayer en rythme. Il entrainait Terwagne dans un improbable pas de deux, tournoyant doucement sur les notes qui les entouraient.

Cette… danse… ne ressemblait pas vraiment à quelque chose de connu et n’était d’ailleurs pas tout à fait régulière dans ses mouvements… Mais l’effet ne devait pas être si mauvais. Au pire, les quelques danseurs émérites présents à cette cérémonie devaient bien se moquer, mais au moins, Tenshi et Terwagne ne se marchaient pas mutuellement sur les pieds et la rigidité des premiers pas laissait peu à peu place à une certaine fluidité.

Dame Terwagne… je trouve que vous vous débrouillez parfaitement bien…
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Cérémonie diplomatique du Chancelier Akmer

Terwagne_mericourt

(HRP : Avec un jour d'avance pour la préparation, mais c'est bien demain qu'a lieu cette soirée)

Dans quelques heures à présent débuterait cette soirée que le Chancelier lui avait demandé d'organiser en son nom, et elle devait bien s'avouer que - comme souvent lorsqu'elle avait en charge la mise en place de quelque chose - chaque nouvelle minute s'écoulant faisait monter en elle la nervosité et la crainte qu'un détail aie été oublié.

Faisant un énième tour de salle, elle donna quelques dernières instructions au personnel de confiance qu'elle avait fait engager pour l'occasion, vérifia que chaque table était bien entourée de huit chaises, que aucun pli ne vienne gâcher les nappes bleues, et recentra quelques uns des montages de fleurs jaunes qui les ornaient.

La scène pour l'orchestre était prête, la petite estrade pour le discours du chancelier également.

Les plats seraient déposés sur les deux très longues tables bordant la pièce, et les alcools et autres boissons sur celle du fond... Rien ne manquait, et rien n'avait été laissé au hasard.

Cinquante invités... Cela allait en faire du monde, tout de même! Elle-même allait une fois encore se sentir bien petite et perdue parmi ces gens. Heureusement, nombre de visages lui seraient connus, et elle trouverait sans doute du réconfort dans la présence de Walan. Enfin, elle supposait qu'il serait là, en tous cas...

Avec un mot de remerciement à "son équipe", elle finit par quitter les lieux pour aller se préparer dans sa chambre d'auberge. Après tout, ce soir elle faisait partie des invités, et il était hors de question de ne pas être à la hauteur de l'évènement.

Pourvu que la robe rouge qu'elle avait commandé à sa couturière aie été livrée à temps...
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Akmer

Akmer ne voulait pas être en retard cette fois-ci, il se devait d’être à l’heure. Il s’était préparé durant toute la journée, avait répété ses discours, mais il était toujours aussi anxieux. Il tremblait légèrement de la main, et bien que n’était qu’à peine perceptible, cela l’agaçait.

Finalement il se mit en route, mieux valait arriver tôt, quand trop tard comme lui disait son cher père, d’ailleurs il n’arrêtait pas de le lui répéter, à ce qu’il disait Akmer était comme sa mère, pour elle s’était plus mieux valait arriver, que de ne pas partir.

Quittant Briançon avec le sourire, il arriva où on donnait la cérémonie. Il fut l’un des premiers, et s’empressa de saluer d’un signe aussi chaleureux que possible les quelques personnes présentes. A première vu, aucun invité, et ce n’était pas faute de chercher, regardant même dans les cuisines.

Il s’attarda longtemps un peu sur la décoration, et la disposition de la salle. Tout était parfait, et dame Terwagne avait vraiment fait quelque chose de splendide pour l’occasion, et le chancelier n’arrêtait pas de penser qu’il ne l’avait pas assez remercié.

Il essaya de chasser cette pensée, commençant à tourner en rond, alors que la peur montait de plus en plus en lui, le moment crucial, où plusieurs dizaines de personne de haut rang auraient toutes les yeux rivés sur lui approchait.
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Akmer, tout simplement.

Elle arriva devant la salle où devait se dérouler la Cérémonie diplomatique du Chancelier Akmer.

Elle avait troquée son uniforme si souvent porté contre une houppelande de velours noir, échancré poliment , bustier rouge épousant sa taille .Elle avait tirée ses cheveux en arrière qu’elle natta et remonta en chignon . Chose faite elle se rendit à lieux où la cérémonie devait ce dérouler .Tenshikuroi l’avait convié as l’accompagner avec sa fille Indy et elle avait positivement répondu à cette demande .

Elle prit sa monture pour s’y rendre .Pas vraiment le moyen de transport le plus habiliter pour sa tenue mais elle n’avait autre .

De nature timide et pas vraiment habituée à tout cela , elle se décida de l’attendre en dehors de la salle .
Elle n’était pas invitée et accompagnait seulement Tenshi , elle ne voulait entrée comme ça dans la salle , de plus il ne semblait y avoir personne encore .Mais à ces habitudes d’arriver souvent en retard elle ne semblait l’être pour une fois . Ya alla se mettre sur un coté des portes et attendit patiemment .
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Militante " GONES " // Soeur de Jrjm10

Tenshikuroi

Tenshi avait eut le plaisir de recevoir une invitation pour une cérémonie diplomatique. Akmer devait surement vouloir offrir une vitrine à la diplomatie dauphinoise en cette période de recrutement d'ambassadeurs et ce n'était pas une mauvaise chose.

Tenshi enfila sa tenue de diplomate, aux couleurs du Duché mais aussi de la Savoie, province dans laquelle il avait la charge de représenter les intérêts du Lyonnais-Dauphiné depuis quelques temps maintenant.

Il avait demandé à sa fille de l'accompagner. Il la retrouverait sur place et il doit l'avouer, non sans un certaine impatience de la revoir. Il ne passait pas assez de temps avec elle à cause de sa charge de Procureur notamment. Cette soirée avait aussi pour but de leur offrir l'opportunité de passer un peu de temps ensemble, qui plus est, dans un cadre rayonnant, préparé avec soin par Dame Terwagne qui organisait ces cérémonies toujours avec un goût exquis.

Il avait aussi demandée à son amie Ya. Une amitié plus que solide s'était forgée entre eux et il avait décidée de profiter de sa deuxième invitation pour passer, avec elle aussi, un peu de temps loin de la garnison. Elle se tenait d'ailleurs à l'entrée de la salle, n'osant surement pas entrer seule. Tenshi découvrit une femme habillée d'une façon particulièrement élégante. Il avait l'habitude de la voir en uniforme, elle était resplendissante. Il la salua.

Bonjour Ya. Tu es superbe tu sais ça ? Cette robe te va à ravir... Je crois que j'ai été touché par une inspiration divine quand je t'ai demandé de m'accompagner dit-il en souriant, sur et certain que Ya serait un peu gênée par ses compliments.

On va attendre qu'Indy arrive et ensuite on pourra entrer si tu veux bien.

Tenshi préférait attendre sa fille avant d'aller dire bonjour à Akmer qui devait déjà être à l'intérieur et de féliciter Dame Terwagne pour le travail qu'elle avait fournit.
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Indy_rose_blanche

Indy avait était conviée par son Père d'assister à une cérémonie diplomatique, c'était avec une très grande joie qu'Indy accepta d'y accompagner son Père. Elle était fière d'être sa fille et se réjouissait à l'avance de pouvoir être à son bras. Elle avait trouvé une nourrice qui garderait sa fille Eloane le temps de la soirée. Indy avait également trouvé une couturière qui accepta de lui confectionner une robe pour l'occasion.

Elle lui avait demandé de lui coudre une robe couleur jade qui ferait ressortir ses yeux. Indy quant à elle s'attaqua à sa longue chevelure, trop souvent négligée. Elle brossa et peigna délicatement ses cheveux, puis les remonta en un chignon et laissa échapper quelques mèches.

Elle enfila sa robe, elle était simple quelques perles venaient rehausser son bustier, elle passa une cape sur ses épaules, puis prit son cheval, pas vraiment évident avec une telle tenue, mais cela ne faisait pas peur à Indy, et releva sa robe jusqu'aux genoux et c'était parti !!

Elle arriva devant la salle, elle vit que son Père et Ya l'attendaient déjà, elle sauta presque de sa monture, ajusta sa robe et se dirigea vers eux...

Bonsoir Papa, bonsoir Ya, j'espère que je en suis pas trop en retard !

Elle embrassa tendrement son Père et Ya...
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Leovigilde

Léovigilde avait eu vent de la cérémonie que le Chancelier avait fait organiser. Avant de s'y rendre, il s'était rendu à la masure pour se changer. Par la même occasion, Léovigilde avait pensé pouvoir y être accompagné de Ya. L'invitation qu'il avait reçu mentionnait qu'il était possible de venir accompagné de deux personnes. Cependant, lorsqu'il fut à la masure, il n'y trouva personne. Léoff se dit qu'elle devait encore être en garnison. Il se dépêcha de se vêtir correctement puis avant de quitter sa bâtisse, il décida de laisser un petit mot à l'attention de sa chère et tendre lui indiquant où il se rendait et lui proposant de l'y rejoindre une fois qu'elle serait rentrée...

Il quitta Vienne avec Calva et se rendit au lieu dit. Il prit son temps pour la chemin voyant qu'il n'était pas pressé. Léovigilde finit par arriver à l'endroit où la cérémonie allait avoir lieu. Il laissa sa monture à l'endroit approprié, puis il prit la direction de la salle...

Léoff pénétra dans la salle de cérémonie. Tout avait été soigneusement préparé et il était impressionné de voir à quel point cela était si bien organiser. Les premiers invités commençaient à arriver et Léoff avança un peu plus la pièce. Il put reconnaitre de loin Dame Terwagne. En continuant, Léovigilde croisa le Chancelier Ahmer. Il se dirigea vers lui.

Arrivé à sa hauteur, il le salua... Bien le bonsoir Chancelier Akmer.

Le regard de Léovigilde vint ensuite se porter sur un petit groupe dans lequel il crut reconnaitre une personne... "mais... mais oui, c'est Ya" Léovigilde fut surpris de découvrir Ya en compagnie de Tenshikuroi ainsi que d'Indy.

Je vous pris de m'excuser Chancelier... Il laissa la personne derrière lui et se dirigea vers le petit groupe pour aller les saluer.

Bien le bonsoir la compagnie... Tenshi, Indy... Ya, quelle surprise de te retrouver ici même...
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Bernwart

L'invitation était arrivé dans la journée, et il lui restait peu de temps pour se préparer. Il faillait faire vite, pour sa première cérémonie officiel il ne pouvait pas se permettre d'arriver en retard. Mais il se devait aussi d'être présentable.

Dès son arrivé dans sa maison, il ne perdit pas une minute. Il prit un bain et se changea pour une tenue plus adéquate. Il prit ensuite son cheval et chevaucha jusqu'au lieu du rendez vous. Il faudrait bien qu'un jour il pense à s'acheter un fiacre, le cheval c'est toujours un peu salissant.

Il arriva enfin au lieu dit, tendit ses reines à un serviteurs et commença à gravir les marches. Avant de pénétrer dans les lieux, il prit quand même le temps de réajuster sa tenue et de l'épousseter. Quand il fut satisfait, il poussa la porte du lieu.

L'aménagement était du meilleur gout. Tout était ajusté avec soin, et une horde de serviteurs était là pour palier à tout problème. On me demanda mon invitation que je tendis avec diligence. Une fois les formalités accomplie, il s'avança plus en avant dans la salle.

La salle était encore peu remplie, mais déjà ici et là des groupes se formait. Il aperçu du coin de l'œil Leovigilde, qui était devenus un apprenti diplomate en même temps que lui. Il le salua d'un signe de tête pour ne point l'interrompre dans sa conversation.

Il aperçu ensuite le chancelier. Il se devait d'aller le saluer. Il s'approcha donc de lui pour entamer la conversation.

Bien le bonsoir messire Akmer. Cette soirée est très réussi !
Je vois qu'il y a encore peu d'invité, mais tout les conseillers sont-il invité ? Cela fait un moment que je n'ai pas vus mon ami Dame Isabeau et j'aimerais profiter de la soirée pour la saluer !
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"Nul vent n'est favorable au voyageur sans destination"

Terwagne_mericourt

Repartir vers l'auberge et se préparer - surtout se préparer- lui avaient pris bien plus de temps que ce qu'elle l'avait cru au départ.

Non pas que la robe couleur passion qu'elle avait commandée ce soit faite attendre, loin de là même, puisque c'était plutôt celle-ci qui l'attendait sur son lit lorsqu'elle avait franchi la porte. Pas non plus parce qu'elle avait été faite trop étroite et que la demoiselle eut du mal à la porter. Elle lui allait même parfaitement, du moins au niveau des dimensions.

Le soucis avait plutôt été lorsque la Bailli avait croisé son image dans la glace, et qu'un "norf" s'était échappé de ses lèvres. Etait-ce bien elle qu'elle venait d'apercevoir?

Elle avait bien du mal à se reconnaitre aussi élégamment vêtue, le bijou qu'elle portait au cou depuis toujours exceptionnellement visible, sur la peau blanche de sa gorge bien plus dénudée qu'à l'accoutumée, les cheveux relevés sur le haut de sa tête, et la courbe de sa nuque offerte au regard.

Elle ne pouvait pas sortir comme ça, cela ne lui allait absolument pas, elle était bien trop féminine, bien trop voyante, bien trop... tout!

Se jetant dans une "chasse au trésor de rechange" effrénée au fond du coffre à linge se trouvant dans le fond de la chambre, on put l'entendre grogner, soupirer, pester, et même norfer pendant de longues minutes, mais en vain... Elle n'avait absolument pas de solution de rechange... Et l'heure avançait...

En retard, elle allait finir par l'être à coup sûr...

Se résignant, elle finit par quitter l'auberge, vêtue et coiffée exactement comme celle dont elle avait croisé l'image avant de se mettre à paniquer.

Quelques dizaines de minutes plus tard, elle faisait son entrée dans la salle où la cérémonie allait se dérouler. (HRP : Désolée pour ceux qui l'ont déjà saluée, mais elle n'était plus là^^)

Il y avait déjà quelques personnes présentes, qu'elle alla saluer brièvement, avec l'envie folle de s'enrouler dans une des nappes pour dissimuler sa soudaine féminité, mais il y avait surtout le Chancelier qui devait s'impatienter et angoisser de ne pas encore l'avoir vue. Elle ne savait que trop bien son anxiété depuis quelques jours au sujet de cette soirée. D'une démarche lente, elle s'approcha de lui, adressa un bonjour de tête à l'homme avec qui il s'entretenait, et s'excusa pour son retard.

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Walan

[HRP : Ne connaissant pas encore la conclusion du RP "Songe hivernal d'un vicomte", je considère que bien que commencé après, les faits de ce RP se déroulent avant ceux du sujet voisin.]

Oublié.
Encore et toujours. Fâcheuse chose que la mémoire, surtout lorsque vous trahis et vous fait omettre des choses dont vous connaissez l'importance.

C'est presque par hasard que Walan venait de se rappeler que l'invitation qui lui avait été faite par sa tendre Tempête était pour ce soir là. Constatant l'amoncellement de parchemins qui encombrait la petite table dans sa tente, dans le camp aux portes de Lyon, il avait entrepris de faire du tri et du rangement, conservant certains, mettant d'autres de côté pour les gratter et les réutiliser, brûlant les plus sensibles. Et c'est alors qu'il était tombé sur l'invitation en question.

Un coup d'oeil à travers l'embrasure de la porte de toile permit à Sans Repos de constater qu'il n'était pas trop tard pour arriver à temps à la cérémonie. Abandonnant son tri, il alla rapidement fouiller dans l'un des deux coffres qui meublaient ce logement temporaire pour en sortir une tenue d'apparat. N'eut été ses fonctions au conseil ducal, il n'aurait pas pris avec lui de tels vêtements pour une campagne militaire, mais il lui fallait avoir de quoi se vêtir convenablement pour des occasions comme celle-ci sans avoir à devoir retourner à Meyrieu.

Enfilant rapidement sa tenue -comme toujours, il avait choisi l'une de ces sobres tuniques de belle qualité, celle-ci étant de l'azur brodé d'argent de Meyrieu et Charpey - et vérifiant le reste de sa mise avec une attention mêlée de promptitude, le vicomte d'Ancelle s'empressa ensuite de charger Hugues de s'occuper du camp en son absence et se rendit au plus vite vers le lieu de la cérémonie.
Sur la route, il se rendit compte qu'il avait omis d'inviter qui que ce soit d'autres, avant de songer que la seule personne qu'il aurait souhaité invité était celle-la même qui l'avait convié aux festivités.

Il finit par pénétrer dans la salle, constatant avec un certain soulagement que -pour une fois- son oubli ne l'avait pas fait arrivé en retard et qu'il n'y avait que quelques personnes présentes. Il parcourait comme à son habitude les dites personnes du regard depuis la porte avant de s'engager plus loin dans la pièce, lorsqu'il aperçu Terwagne*. Restant figé un instant dont il n'aurait su dire la durée, il contempla la dame de Thauvenay dont la tenue n'avait rien à voir avec ses vêtements habituels, avant de s'avancer dans la salle en saluant de divers signes de tête.

Sans doute l'aurait-il fait même sans cette mise si particulière, mais Walan se dirigea directement vers la Tempête et il ne put cacher le sourire qui était sur ses lèvres lorsqu'il s'inclina légèrement devant elle pour la saluer et lui dire à mi-voix.

Ma Dame, vous êtes ... radieuse.

*hum, désolé ^^
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Raithuge

Raithuge avait reçu l'invitation pour la cérémonie de la chancellerie concernant Akhmer. Il ne connaissait que très peu cette personne pour l'avoir vu à l'office diplomatique de Pierre-Scize lorsqu'il y exposait et discutait des différents choix à faire dans ce domaine.
Raithuge s'était donc préparé pour aller à la cérémonie, quittant son office de commissaire aux mines plus tôt que l'habitude, allant se préparer, mettant ses couleurs de la Vallouise, il prit la route pour la cérémonie.

Lorsqu'il fut arriver sur place, il laissa ses affaires, puis entra dans la salle qui avait été fort décoré pour l'occasion. Les invités commençaient à arriver, et Raithuge vit qu'il était, pour une rare fois, en avance...

Il remarque quelques uns de ses collègues conseillers, notamment sa collègue bailli, ainsi que le maitre de cérémonie, messire Akhmer.

Raithuge se mit donc discrètement dans un coin et attendit de voir les invités arrivés...
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Dedelagratte

Une cérémonie diplomatique, voilà l'événement auquel il avait été convié. DeDeLagratte, bien qu'étant assez occupé il allait s'y rendre, ce n'étais pas tous les jours qu'il y avait une cérémonie diplomatique et puis en tant qu'ambassadeur il se devait d'être présent.

Le soir même, il troqua son uniforme de conseiller militaire qu'il portait la plupart du temps pour ses vêtements plus "habillés" d'ambassadeur du Lyonnais-Dauphiné sur lequel on pouvait apercevoir une petite couture discrète, celle du blason de Meyzieu.

Le Seigneur de Meyzieu était prêt à y aller, il vérifia d'un geste de main sur sa tête si ses cheveu n'étaient pas en désordre puis se rendit à la cérémonie.

Seul .. Comme à l'accoutumée depuis déjà un certains temps, c'était seul qu'il se rendrait à la cérémonie, qui aurait-il pu inviter à se rendre avec lui à la cérémonie ? Il réfléchit à cette question qui pourtant n'était que pure rhétorique pour se rendre à l'évidence même de la réponse.

Quoiqu'il en soit cela ne l'empêcha point d'atteindre assez rapidement le lieu des festivités. Il n'était bien évidemment pas en avance, mais, chose suffisamment rare pour être notée, il ne semblait pas non plus en retard.

Une petite rotation de tête complétée par un coup d'oeil lui permit de voir qui était déjà présents, parmi eux le principal protagoniste des festivités, à savoir le Chancelier Akmer. le Seigneur de Meyzieu s'en alla le saluer

Excellence Akmer, c'est un plaisir de vous voir, cette soirée m'a l'air de commencer à merveille.
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Nestor, personne ne t'oubliera, promis.

Penelopedefrance

En retard.....Serait-elle en retard encore comme bien souvent, elle se posait la question avec nonchalance au lieu de s'activer.
Plantée devant son coffre sans trésor, elle fronça le nez, son humeur n'était pas au plus haut et risquait à tout moment de sombrer dans des dispositions tempétueuses.
Elle avait ennuyé des jours et des jours un tisserand de Valence sur la couleur de la robe qu'elle lui avait commandée, une discussion homérique avait ensuite eu lieu, concernant la coupe de sa tenue, tout le monde savait qu'elle était nettement plus à l'aise avec ses bottes et les braies qui vont avec.

Bref....pas d'hésitation à avoir, elle revêtit donc la fameuse robe, c'est vrai que ce bleu en jetait à max, puis dompta ses cheveux dans un complexe mêli-mêlo de tresses avant d'enfiler ses bottes que personne ne pourrait deviner sous l'ample tissu.
Des bijoux...il fallait maintenant qu'elle trouve des dorures.....rapidement elle farfouilla à nouveau dans son coffre, tout aussi rapidement elle abandonna l'idée de ressembler aux lustres de Pierre-Scize, et choisit d'orner son poignet de son bracelet bleu, l'unique, au moins elle ne ferait aucune faute de goût...c'était un sacré bol quand même !

Frileusement enveloppée dans son manteau, elle monta dans le coche qu'on lui avait imposé et se rendit à la cérémonie donnée en l'honneur du Chancelier.

Arrivée sur le lieu des festivités, le Gouverneur entra dans la salle fort bien décorée pour l'occasion, tout en cherchant du regard sa fille qu'elle avait invitée, elle salua les quelques personnes présentes, murmurant un mot de félicitations pour Terwagne qui une fois de plus s'était surpassée pour organiser la réception, puis s'avança vers le Chancelier.

Bonsoir Excellence.........
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Ya n’attendit pas longtemps avant que son ami Tenshi arrive à son tour .Elle s’avança à sa rencontre .Elle sourit à son salut et rosi légèrement des joues .

Oui cela change un peu merci .Je ne peut que te retourner le compliment je n’ait pas l’ habitude de te voir vêtu ainsi .elle sourit

Tenshi lui proposa alors d’attendre sa fille Indy avant de rentrer dans la salle et ils n’attendit pas longtemps non plus avant qu’elle n’arrive . Arrivé à leurs hauteur , elle lui afficha un large sourire.

Elle embrassa Indy pour lui dire bonjour puis ils entrèrent dans la salle. Elle suivit le groupe et attendant pour présenter leurs bonjour au chancelier Akmer , Ya vit Léoff qui le saluer. Elle en fut surprise de le voir présent en ceci lieux .Il ne lui avait parlé .....Peu être ne voulait il pas lui en faire part...

Il arriva à eux ……

Bonjour Léoff elle se retient de lui dire bonjour comme as son habitude n ' étant pas le lieux pour. Elle le regarda

Et bien surprise de te voir ici léoff .Tenshi m’as invitait de l’accompagner , je ne t’avait pas vu dans la journée pour t’en faire part .Et toi ? Je suis surprise de te voit ici du moins que tu ne m’en ait parlé ou proposé de venir en ta compagnie Elle se passa alors sur les mots se disant qu‘il avait surment une raison à tout cela et qu‘il en dirait mots plus tard dans le soirée .Elle sourit à Léoff et bien je croit que nous allons passer la soirée ensemble bien sur si tu n’est accompagné ?…….Mais avant je vais aller présenter avec mon ami Tenshi et Indy mes salutations au chancelier……..
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Militante " GONES " // Soeur de Jrjm10

Dameisabeau

[Domaine De Hauterives]

Fin d’une semaine harassante où la juge n’avait eu de cesse de courir de ci de là, veillant souvent fort tard à la faveur des chandelles
afin d’accomplir ses devoirs, aussi pensa t'elle avec ravissement au repos qui l’attendait.

Installée confortablement sur une des bergères du salon, elle tendit le bras pour attraper un manuel sur une console où se mêlaient ouvrages,
pense bêtes et parchemins de toutes sortes quand saisissant celui du dessous, la pile en équilibre précaire chavira sur le sol.
Se levant pour tout remettre en place, son regard fut attiré par un parchemin scellé.

Nom d’un petit bonhomme en bois ! la cérémonie ! c’est aujourd’hui.
Grand dieu, où ai je la tête en ce moment.

Petit instant de panique… mais il est peut être encore temps , ces cérémonies débutent fort heureusement toujours enretard.

Jacynthe, vite ! une tenue de bal, qu’on fasse atteler au plus vite ,vous avez une heure pour me rendre présentable.

[l’arrivée à la cérémonie]

C’est vêtue d’une robe blanche perlée, sans autre colifichet inutile, chevelure disciplinée maintenue savament par un chapeau assorti
qu’elle fit son entrée dans la salle, saluant leur hôte chancelier qui accueillait les invités déjà nombreux sur place et qui devisaient dans une joyeuse cacophonie.

Votre excellence, je vous remercie de cette invitation.
Au vu de l’apparat de cette salle, je présage que ce sera une belle cérémonie,
Veuillez pardonner mon léger retard, des ...euh ..soucis d'intendance m'ont retenue

Accompagnant ses paroles d'un sourire, elle réussit à ne point rougir en prononçant ce petit mensonge.

Je gage que nous aurons l'occasion de converser plus avant dans la soirée,
si vous permettez, pour l'heure, je vais saluer quelques connaissances.
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Ken_cohiba

Invité par son amie de longue date, juge en ce Duché, cela faisait un moment qu'il attendait discrètement, comme à son habitude, aux abords de la salle où la cérémonie devait avoir lieux. Il s'était choisi une tenue sombre mais élégante, dénuée de toute marque distinctive, pour sa première apparition publique.

Il devisait avec un passant sur la pluie, le beau temps, les armoiries de certains attelages, le bon goût, ou le mauvais, de certains atours, lorsqu'il vit passer en trombe les grilles à un attelage aux couleurs de Hauterives. Le temps qu'il se présente au planton muni de son invitation, Dame Isabeau s'était déjà engouffrée dans la salle, disparaissant à son regard.

Ils suivit son chemin à son rythme, traversant les jardins jusqu'à la grande entrée, pour pénétrer ensuite dans la grand salle, savamment décorée. Il donna poliment de la tête à droite et à gauche, saluant tous ces visages inconnus, ne manquant pas de remarquer à quel point le noir de ses atours détonnaient avec les couleurs chatoyantes de ceux des autres convives.

Arrivé au fond, il se retrouva face à un homme que son amie venait de saluer, et qu'il supposa être l'hôte du jour. Il s'inclina profondément et se présenta.

Excellence, c'est un grand honneur tant de me trouver face à vous que d'avoir été invité en cette fastueuse feste. Mon nom est Ken Cohiba de l'Isle, fraischement arrivé en vostre belle contrée et invité céan par vostre éminente juge, la Damà de Hauterives. J'ose espérar qu'à l'avenir, je pourrai, telle cette noble Damà, rendre à ce Duché et à ses institutions les services que mon humble personne sera en mesure de rendre

Il se redressa avec un sourire poli, et s'effaça pour laisser les nouveaux arrivants saluer leur hôte. Il s'enquit de se trouver une place dans la salle, avisa le procureur en grande discussion dans un coin, mais préféra se mettre un peu à l'écart pour commencer par observer les convives avant de s'y mêler.
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Emilie_la_belle

Echanges épistolaires durant son voyage en Savoie. Dans son dernier courrier il lui parle d'une cérémonie pour les ambassadeurs. Nouvellement nommé il y est bien entendu invité et peut y aller accompagné. Et c'est à elle qu'il proposa cela .... Fichtre ! Lecture et relecture .... Elle a effectivement bien compris ! Petit sourire aux lèvres, elle se demande si elle y aura vraiment sa place. Des ambassadeurs et sûrement tout le gratin Dauphinois*. Oui mais si elle y allait, c'était pour lui et non pour les autres. Le sourire se fit alors plus grand et elle savait déjà ce qu'elle allait porter. Oh bien sûr, toujours la même robe de velours de couleur prune et pour ceux qui la connaissaient, ils ne manqueraient pas de remarquer qu'elle portait toujours cette même toilette. Mais au prix qu'elle l'avait payée, il fallait qu'elle la rentabilise ! Et puis le tisserand avait fait du bon travail et elle était de très bonne qualité.
C'était décidé, elle irait à cette cérémonie !

Tout juste le temps de rentrer chez elle et de prendre ce qu'il lui fallait qu'elle retourna à Lyon. Elle était arrivée tôt dans la matinée, deux jours plus tard, justement le jour de la cérémonie, lui laissant le temps de se reposer un peu dans une chambre à l'auberge et surtout de sortir sa robe pour qu'elle ne soit pas trop froissée au moment de l'enfiler.

[Enfin le moment arriva... ]

L'avantage de l'auberge choisie, c'est qu'elle se trouvait à quelques pas du lieu où se déroulerait la cérémonie. Emilie, après s'être reposée plus qu'il n'en fallait, prit un bain, éparpillant dans l'eau des pétales séchés de sa fleur préférée, à savoir la rose. L'avantage de l'auberge, c'est que les bains se passaient dans un baquet et avec de l'eau chaude. Habituellement, pour la paysanne qu'elle était, les bains étaient froids et se prenaient bien souvent dans la rivière .....
Soupir de satisfaction en sortant du bain. Elle se sécha puis enfila sa toilette. Nul doute qu'il y en aurait de très belles ce soir et qu'elle se régalerait à les contempler. Regard dans le miroir, les mains qui lissent un ou deux plis .... Brossage intensif de la tignasse pour obtenir quelque chose de correct, le tout maintenu par un ruban de soie de la même couleur que sa robe. Médaille de son baptême autour du cou. Léger décolleté qu'elle couvre d'un foulard. Cape mise sur les épaules et la voilà prête pour y aller. Au moment où elle ouvrit la porte, elle se rendit compte qu'elle était encore pieds nus ! Catastrophe évitée de justesse, elle enfila ses bottes et sortit enfin de l'auberge. Direction la cérémonie !

[En direct de la cérémonie qui voyait déjà pas mal d'invités arriver]

Elle se rendit à pieds jusqu'au lieu qu'il lui avait indiqué. Elle devait l'y rejoindre lui avait-il écrit. Il serait donc sûrement déjà à l'intérieur. Sans se poser plus de questions, elle pénétra dans la salle magnifiquement décorée. Sans avancer beaucoup plus, elle balaya de son regard aigue-marine l'ensemble des invités déjà arrivés espérant le trouver rapidement pour ne plus se sentir comme un cheveux sur la soupe. Mais ses yeux s'arrêtèrent net sur la scène où se tenait un orchestre. Son sang ne fit qu'un tour et il ne lui en aurait pas fallu beaucoup plus pour qu'elle fasse demi-tour. Mais elle ne le fit pas. Elle trouverait une parade s'il l'invitait à danser. Et avec un peu de chance, peut-être ne savait-il pas non plus. Prenant une longue inspiration, elle tenta de se calmer et reprit sa recherche du regard.

* désolée, ça a été plus fort que moi ^^ Pardon aux familles, aux amis, toussa .... ^^
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Akmer

Akmer se demandait où pouvaient être ses invités, faisant les cent pas. Il avait l’impression que le temps s’était arrêté, et qu’il était ici depuis une éternité. Il essayait de se calmer, donner l’image d’un chancelier sur de lui, quand les premiers invités commencèrent à arriver. Le premier à entrer dans la salle fut messire Leovigilde, l’un des deux nouveaux ambassadeurs.

Bien le bonsoir Excellence dit il en insistant à peine sur des derniers mots, lui qui se souvenait parfaitement de la première fois où l’on avait appelé de la sorte. Merci de votre présence ajouta-t-il avant que ce dernier ne s’excusa afin d’aller saluer d’autres personnes.

Il se retourna, le voyant s’éloigner quand un autre convive vint le saluer.

Messire Bernwart, un plaisir de vous voir ici. Cette cérémonie sera je l’espère des plus merveilleuses, et je n’en doute pas, vous aurez sans doute l’occasion de croyez cette dame. Il lui sourit avant d’apercevoir dame Terwagne se rapprocher d'eux.

Dame Terwagne dit il, sourire un peu plus détendu sur les lèvres. Un plaisir de vous voir. Mais laissez moi vous présenter son Excellence Bernwart, nouvel ambassadeur. Messire, je vous présente la dame sans qui cette splendide et très réussie réception ne serait possible, Dame Terwagne, dame de Thauvenay. Encore une fois, mes félicitations et mes remerciements pour tout ceci.

Puis d’autres personnes firent à leur tour leurs apparitions. Il s’excusa auprès du messire, et fit de même auprès de Terwagne à la différence qu’il se mit juste à ses cotés pour lui chuchoter je suis mors de trouille, mais bon quand on est partit, on est partit lui dit il, soupirant légèrement avant d’aller saluer les autres.

Après coup, il ne savait pas vraiment pourquoi il lui avait dit cela, lui qui d’ordinaire n’était pas de ceux qui crient leur faiblesse, ou leur doute sur tous les toits. Il n’eut cependant pas le temps de s’attarder sur ce point qu’il remarqua l’entré de Messire Walan. Discrètement il le vit se rapprocher de la dame de Thauvenay non sans un léger sourire. Ne voulant pas vraiment s’initier entre les deux, il ne fit rien, mais n’eut pas vraiment le temps de s’ennuyer, que déjà d’autres personnes arrivèrent.

Messire Raithuge, un plaisir de vous voir ici ce soir. J’espère que vous passerez un agréable moment lui dit il, avant d’excuser pour se diriger vers son ambassadeur pour l’Orléans et le grand duché de Bretagne.

Messire DeDe, un réel plaisir de vous voir parmi nous. Il se mit à sourire en coin, sans aucune idée apparente. Oui cela semble bien commencé, espérons que le reste de cette soirée se poursuive sur cette impression lui dit il, avant de s’excuser de nouveau. Pardonnez, Sa Grasce vient d’arriver cela voulait tout dire, il s’excusa une nouvelle fois avant de se diriger vers Pénélope.

Votre Grasce, votre présence honore cette cérémonie. Merci d’avoir répondue présente. J’espère que vous passerez un agréable moment. Il sourit, un peu naïvement avant de s’incliner afin de d’excuser, mais une nouvelle personne venait d’arriver, il s’agissait de dame Isabeau. Il se dirigea alors vers elle.

Le bonsoir Dame, et c’est moi qui vous remercie de votre présence. Un souci d’intendance dites vous ? Il prit un moment un air sérieux avant de laisser échapper un sourire sur le bout des lèvres, l’important reste le fait que vous soyez arrives.

Elle s’excusa ensuite, allant saluer d’autres personnes quand un homme vint vers lui. Son visage ne lui disait rien, mais Akmer n’était pas un homme de mémoire. Ce dernier disait s’appeler Ken Cohiba de l'Isle.

Messire, je suis le Chancelier Akmer. C’est un plaisir de faire votre connaissance, et de vous voir à cette cérémonie. C’est toujours un plaisir de voir de nouvelle personne s’impliquer pour ce duché si cher à nos cœurs.

Tous les deus s’excusèrent, Akmer avait encore quelques personnes à aller saluer, mais après direction les cuisines, il avait besoin de génépi pour reprendre des forces. Pas sur qu'il tienne le choc sans.
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Akmer, tout simplement.

Leovigilde

La salle de cérémonie se remplissait un peu plus à chaque minute qui passait malgré les invités arrivaient au compte-goutte. Après avoir été salué le Chancelier qui l'avait d'ailleurs nommé d'une façon qui sonna un peu étrange aux oreilles de Léovigilde mais dont il se dit qu'il allait surement devoir s'y accoutumer, il y avait retrouvé Ya qui semblait avoir accompagné Tenshikuroi. Il savait que les deux étaient bons amis et qu'ils avaient passé beaucoup de temps ensemble du fait qu'ils s'occupaient tous deux de l'armurerie à la garnison de Vienne.

J'ai n'ai eu l'invitation que peu de temps avant l'heure. Et comme tu l'as dit, nous ne nous sommes pas croisé de la journée. Je pensais donc te retrouver à la masure en début de soirée et te demander de m'y accompagner... Il regarda en direction de Tenshi en faisant un sourire... cependant il semblerait que je n'ai pas été assez rapide...

Léovigilde ramena son regard sur Ya... Étant parti un peu à la hâte, je n'ai pas pu demander à quelqu'un de m'accompagner. Mais comme tu es là le problème semble résolu. Si tu n'y vois pas d'inconvénient, je pourrais me joindre à vous proposa-t-il à l'attention de Tenshikuroi...

En tout cas, tu es vraiment radieuse ma tendre Ya... lui fit-il remarquer en lui souriant...

Je vous laisse aller saluer le Chancelier et je vous retrouve ensuite...
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Bernwart

La cérémonie se déroulait à merveille. Tout était orchestré de façon magistral. Les serviteurs virevoltaient entre nous pour nous apporter tout ce donc nous pouvions avoir besoin. A côté du chancelier, il souriait et saluait toutes ses connaissances, qui étaient fort peu nombreuses pour le moment.

Le chancelier lui présenta une dame habillé de façon très élégante. Mais quelque chose dans son attitude montrait qu'elle n'était pas tout à fait à son aise. Ne s'attardant pas sur cette impression, il salua la Dame

Enchanté dame Terwagne ! Vous avez fait un travail admirable et tout me semble parfait dans cette soirée ! Je gage que tout les invités passerons une excellente nuit.

Le chancelier s'excusa auprès de lui. Il partit donc plus en avant dans la salle, récupéra un verre auprès d'un serviteur et observa la salle. Les tenues d'aparat était toute plus magnifique les une que les autres. N'étant pas habitué à autant de faste, il se sentait un peu perdu. Ses vêtements, bien que d'une certaine facture, était très passe partout par rapport à ceux des autres convives. Il faudrait qu'il pense à trouver des tenues plus appropriées pour ce genre de cérémonie.

Il n'eut pas le temps d'aller plus en avant des ses réflexions, qu'il aperçut quelqu'un qu'il connaissait bien. Il vit Dame Isabeau rentrer dans la salle et allé saluer le chancelier. Il attendit qu'elle en ai finie avec lui pour s'approcher d'elle à son tour.

Bonsoir Isa !
Et bien ma chère je crois que je ne t'ai jamais vus avec une telle robe depuis ton mariage ! Tu es splendide et ce n'est pas peu dire.
Alors comment vont les affaires du conseil ? Toujours débordé ? On ne te voit plus aussi souvent en Taverne... J'ai d'ailleurs une tisane à t'offrir pour fêter mon nouveau poste de diplomate du duché auprès de l'Alençon !

Il n'alla pas plus en avant dans la conversation car il vit la personne qu'il attendait entre tous apparaitre soudain à la porte. Il perdit un peu de sa contenance et beaucoup de son attention sur la conversation qui ce déroulait entre lui et Isa.

Il la vis dans une robe de couleur prune toute simple, qui loin de la dépressir rendait sa beauté encore plus flagrante. Il la vit hésiter un peu fasse à l'orchestre, mais il ne compris pas pourquoi, et de toute façon ce genre d'information n'arrivait plus jusqu'à son cerveau. Il s'excusa auprès d'Isa, lui promettant de revenir plus tard dans la soirée. Il s'approcha d'elle et croisa enfin son regard...

Bonsoir Emilie, je suis ravi que tu es pût répondre à mon invitation pour ce soir ! Tu es splendide ce soir.
J'espère que ton voyage c'est déroule sans problèmes !
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"Nul vent n'est favorable au voyageur sans destination"

Maccornell

De retour de Vincennes où une chasse royale au sanglier s'était déroulée, MacCornell essayait de se remettre à jour dans son courrier et dans ses tâches au service du Lyonnais-Dauphiné. À Embrun, les missives s'étaient accumulées et lorsqu'il reçu la note de la présidente du Comité des fêtes l'invitant à venir préparer la salle pour une cérémonie du Chancelier Akmer, il se demandait si il aurait le temps d'aller donner un coup de main. Mais lorsqu'il reçu la deuxième missive l'invitant personnellement à la cérémonie, il se dit qu'il n'avait plus le choix et qu'il ne pourrait économiser le temps d'un voyage sur Lyon.

Le jour fatidique, il se présenta à Lyon avec deux tenues: l'une de travail, l'autre d'apparat. Il comptait les porter successivement. Lorsqu'il arriva au lieu de la première invitation, il se rendit compte que tout était déjà prêt. Et qu'il ne pourrait apporter son aide à la préparation. Il fit donc demi-tour et retourna à l'hôtel pour se changer et revêtir sa deuxième tenue. Mais les rues de Lyon sont encombrées et le retour se fit en pleine heure de pointe. Tant et si bien que MacCornell arriva avec un léger retard. Lorsqu'il arriva, le gouverneur était déjà là avec le Chancelier et beaucoup d'autres invités, des nouvelles têtes et des nouvelles se mélangeaient. L'embrunais salua toutes les personnes présentes comme tout bon ambassadeur se devait de le faire. Puis s'approchant de la Dame de Terwagne, il la félicita pour le travail accompli.

Très bel aménagement ! Je pensais que l'on devait venir donner un coup de main pour monter tout cela. Le Duché vous a alloué un budget pour le personnel ?
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[img]en reconstruction[/img]
Grand Louvetier (11/57 - )
Ambassadeur du LD en terres lointaines (12/56 - )
Doyen de la Corporation des Forgerons Unis (10/56 - )
Conseiller communal d'Embrun (01/56 - )
Soldat de l'Ost ducal (12/55 - )

Emilie_la_belle

[Quand le calme est de courte durée ....]

Au loin elle vit son ami de toujours, son Tenshi comme elle l'appelait. Petit signe de la main pour le saluer. Au pire, elle savait qu'il y avait au moins une personne qu'elle connaissait bien dans l'assemblée. Mais par Aristote que la salle lui semblait grande à chercher comme ça !! Puis une nouvelle tête qu'elle reconnut de suite. Isa était là .... et elle n'eut pas le temps de lui faire signe qu'il s'approchait d'elle. Il était là et avançait vers elle. Mais pourquoi diable se sentait-elle toute chose d'un coup ?

Bonsoir Emilie, je suis ravi que tu es pût répondre à mon invitation pour ce soir ! Tu es splendide ce soir.
J'espère que ton voyage c'est déroule sans problèmes !

Bon....soir Bernwart ....

La voilà qui se mettait presque à bafouiller maintenant ! Et les joues qui virèrent aux rouges après le compliment ! Non mais des fois ! Qu'est-ce qu'il lui prenait ce soir ??!! Elle secoua légèrement la tête pour tenter de retrouver ses esprits et tenta de ne rien laisser paraitre de plus que ce qu'il avait déjà dû remarquer, à savoir son rougissement.

Je ne pouvais pas refuser ton invitation. J'ai même été assez étonnée que tu aies pensé à moi j'dois dire. En tout cas, toutes mes félicitations pour cette nouvelle responsabilité !
Le voyage ? Oh oui oui, tout s'est bien passé, même si je n'ai pas retrouvé la joyeuse ambiance savoyarde de ma première visite.

Ou bien avait-elle l'esprit ailleurs ? Peut-être bien oui .... Son regard était rivé au sien et elle n'arrivait pas à s'en détacher, un grand sourire sur les lèvres et le cœur battant bizarrement plus vite qu'à l'accoutumée. Il fallait pourtant qu'elle trouve autre chose à dire ! Elle n'allait pas rester comme ça bêtement !

Mais dis-moi ? Comment ça se passe alors ce travail d'ambassadeur ? Ce n'est pas trop dur ? Et c'est à quel duché déjà que tu es rattaché ?

Comme si elle ne le savait pas déjà ..... mais on aurait dit que son cerveau avait été noyé et qu'il n'était plus fonctionnel. Pourtant elle n'avait rien bu depuis des jours à part de la tisane. Ou alors était-ce la tisane qui ne lui réussissait pas ? En tout cas, le reste de la soirée allait être prometteur si elle continuait comme ça.
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Terwagne_mericourt

Avant même que le Chancellier n'aie eu le temps de lui répondre, elle aperçut celui contre qui elle était pour le moins en colère depuis qu'il l'avait laissée seule à sa fièvre dans cette chambre d'auberge témoin de sa rage et de sa déception.

Elle allait le remercier du compliment, malgré tout, lorsque d'autres invités vinrent saluer Messire Akmer, lui adressant quelques mots à elle au passage, auxquels elle répondit avec toute la modestie qui était sienne. Ce qu'elle faisait, elle le faisait avec plaisir, toujours, et pas pour se mettre elle en valeur, loin de là, même.

Elle était râvie pour le Chancelier que nombre des invités répondaient présents à l'invitation, et elle lui sourit avec une espèce de complicité lorsqu'il lui avoua - de façon fort surprenante - sa "trouille".

Le seul trait d'humour qu'elle se permit ensuite fut adressé à un des membres du Comité des fêtes ducal, le sieur MacCornell, et encore à voix couverte.

Ne parlons pas de ce qui fâche, et donc surtout pas de budget ducal ce soir, voulez-vous?
Pour ce qui est du coup de main, vous savez comment je suis... En me rendant compte que vous étiez parmi les invités, je n'ai guère voulu vous déranger avec la mise en place.
Vous ne m'en voulez pas, n'est-ce pas?

A ses côtés, Walan attendait sans aucun doute qu'elle trouve le temps de répondre à son compliment, aussi se permit-elle de se pencher vers lui.

Je vous remercie pour le compliment, et suis heureuse de vous voir quitter un peu vos hommes pour assister à cette cérémonie...

Concernant ma tenue, je vous avoue que je ne m'y sens pas du tout à mon aise.
J'irais même jusqu'à dire que je me sentais presque moins bête à moitié nue l'autre soir.
Mais bref, je vais éviter toute allusion à mon physique ce soir, je ne voudrais point vous voir fuir.

L'humeur que ce souvenir venait de mettre en elle dut sans aucun doute se sentir dans sa voix, mais elle ne fit rien non plus pour le camoufler.
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Axelius

Axelius avait reçu une invitation pour une fête chez les grands de ce monde. Il se sentait un peu mal à l'aise. Il ne savait pas si un simple charpentier qui n'avait qu'une chemise et de braies sur lui ne se ferait pas refouler à l'entrée. De plus, il était en retard comme d'habitude avec tous ces dossiers à gérer pour la mairie. Mais, il était devant la porte et il n'était plus temps de faire demi-tour.

Il entra dans la saller de réception et vit tous ces invités habillés dans leurs plus beaux habits. Il fut impressionné par le lustre de la cérémonie. Il se dirigea vers Terwagne qui lui avait envoyé l'invitation.

Bonjour dame Terwagne, j'ai enfin pu me libérer pour venir à votre réception. Tout ce faste est très impressionnant, je suis désolé de venir dans une tenue si peu appropriée mais c'est la seule que je possède.
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Tenshikuroi

Peu de temps passa avant que sa fille ne le rejoint devant la salle de cérémonie. Tenshi l’embrassa tendrement et prit Indy un instant dans ses bras.

Bonsoir Papa, bonsoir Ya, j'espère que je ne suis pas trop en retard !

Non ma puce, juste à l’heure. Et tu es ravissante dis moi… je vais être obligé de surveiller le regard des hommes dit-il en rigolant.

Bon, mesdemoiselles, si vous le voulez bien nous allons…

Tenshi n’eut pas le temps de finir sa phrase qu’il fut interrompu par l’arrivé de Leoff. Le temps de lui dire bonjour et Tenshi réalisa la bizarrerie que la situation pouvait revêtir à ses yeux. Il devait effectivement être plus que surpris de le croiser en compagnie de sa douce… Ya lui répondit immédiatement et Tenshi sourit à l’allusion faite par Léoff. Toutefois, Ya semblait décidé à saluer Akmer en compagnie de Tenshi…

Bonjour à toi Léoff, je n’ai pas tellement réfléchit en invitant Ya… mais bien évidemment, je m’en voudrais de te priver de sa présence ce soir dit-il en souriant. Nous allons simplement saluer quelques personnes et je te rends ta dulcinée sans une égratignure Léoff.

Tenshi fit signe aux deux jeunes femmes d’entrer dans la salle et il les conduisit vers le Chancelier. En marchant, il remarqua la présence d’Emilie. Elle n’avait pas du se rendre compte qu’il était là car elle était en grande discussion avec un des derniers ambassadeurs nommés à Mercurol. Il était surpris de la trouver là mais se promis d’aller la saluer un peu plus tard. Tout trois arrivèrent maintenant auprès d’Akmer et des quelques personnes autour de lui.

Bonjour Excellence, ravis d’être là ce soir. Je vous présente ma fille, Indy ainsi qu’une très bonne amie à moi, Yasaëlle. Tenshi sourit puis salua aussi les différents invités qu’il connaissait. Il se promit aussi de féliciter Dame Terwagne mais elle semblait fort occupée aussi dans l'immédiat.
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Dameisabeau

A peine avait t’elle fait quelques pas dans la salle, qu’un de ces vieux compagnons de route, Bernwart, venait au devant d’elle.

Souriant au compliment sur sa toilette et à l’évocation de son mariage, un sentiment furtif de tristesse la traversa un instant en pensant à son époux.
Parti sur les routes, elle n’avait plus de nouvelles de lui depuis des semaines et bien qu’elle n’en dise rien car ce n’était pas dans son caractère de s’affoler et larmoyer comme une jouvencelle, ce retard et ce silence pesants l’inquiétaient, mais elle chassa bien vite cette sombre pensée pour saluer son ami.

Heureuse de te voir, Bernwart, mais dis donc cachotier !
Tu ne m’avais pas dit que tu avais été promu diplomate.
Félicitations, j’en suis heureuse pour toi.

Elle allait rajouter qu’il lui faudrait plus d’une tisane pour s’en faire pardonner , quand, soudainement , elle le sentit distrait.
Suivant son regard , elle aperçut Emilie qui semblait avoir capté toute son attention
Ainsi c’est donc cela pensa t’elle amusée.
Il lui bafouilla quelques excuses et elle le laissa s’éloigner non sans lui murmurer d’un ton complice

Excellent choix !

Tout sourire à présent , elle parcourut la salle des yeux et là, entre une dame riant à gorge déployée et son interlocuteur qui lui chuchotait visiblement quelque plaisanterie, elle entrevit un peu à l’écart, l’ami qu’elle avait convié à se joindre à elle pour assister à cette cérémonie.
Elle attrapa au passage, sur un plateau, deux godets en étain empli de vin de Champagne et se dirigea vers ken Cohiba
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Akmer

Il avait fait un petit saut en cuisine, s'était rempli un verre de génépi en vitesse avant de le vider en quelques secondes. N'est ce pas étrange, mais il avait encore soif. Malheureusement la présence paraissait trop suspecte, et il se dépêcha de sortir et de revenir parmi les invités.

C'est à ce moment là qu'il aperçut Tenshi, accompagné de deux dames. Il s'adresse en premier à son ambassadeur pour la Savoie.

Excellence, c'est un plaisir de vous voir, je me réjouis vraiment de vous voir. Il lui sourit, avant de se tourner vers Ya. Inutile de faire les présentations, je crois que l'on s'est déjà croisé à Grenoble, dans l'école militaire si je ne m'abuse n'est ce pas ? Lui demanda-t-il, plus par politesse en affichant le même sourire, avant de se tourner vers la troisième personne. Il la regarda, et alors qu'il commença à s'incliner, il adressa quelques mots à Tenshi, votre fille dites vous excellence ? Il afficha alors un sourire coquin à l'intention du messire avant de se reconcentrer sur la dame. Je suis vraiment heureux, que dis je, je suis honoré de votre présence, qui a tout de suite égayée cette salle. Je suis donc Akmer, chancelier du Lyonnais Dauphiné, et je dois avouer que j’ignorais que Son Excellence Tenshi avait une fille aussi radieuse !

Il se redressa, voulait ajouter quelques mots, mais le chancelier se ravisa. Il fit quelques pas en arrière, prit un air plutôt blagueur, avant d’ajouter, je vous souhaite une agréable soirée à vous trois, si besoin je suis ici, ou dans les cuisines, enfin plus précisément dans la cave. Réalisant ce qu’il venait de dire, qui sortit tout seul, il essaya de se rattraper, ho pour surveiller les réserves, je ne souhaite pas que quelques grands alcools et vins disparaissent. Il sourit de nouveau.
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Akmer, tout simplement.

Nahona

Naho fut invité à cette cérémonie, inauguration, bal que dire...
Alors elle revêtit son jupon noir préférer et son corsage bleu, Azur autour de la taille comme toujours et par tout puis se rendis à l’ endroit ...

Une fois arrivé en ce lieu, la fille entra dans la salle et salua tout ceux qu'elle connaisse et fit signe de tête à ceux qu'elle ne connaisse pas...
Ba oui, bien sur Naho ne connait pas tout le monde alors elle alla saluer Dame Terwagne qu'elle ne connaisse pas mais vue que c'étais cette Dame qui l'avais inviter Bonjour Dame, merci de m'avoir inviter puis elle s'approcha de Tenshi qu'elle bisa puis fit une grosse bise sur chaque joue d'Indy, Bonjour tout les deux, je suis contente de vous voir, la Demoiselle était vraiment contente de la revoir depuis tout ce temps, salua ensuite Raith, sourit a sa Grasce Pénélope de Barsac et s'approcha d'Akmer Bien le bonjour Excellence Akmer, la salle est joliment décorer, je vous félicite pour votre pour la Chancellerie, Messire. C'est un plaisir pour moi d'être icelieu en vostre compagnie.
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Thegoldendragon

Foutu imbécile ! Andouille farcie ! Pigeon atrophié !

C'était bien une jeune (?) femme qui criait ces insultes poétiques à souhait. Elle s'arrêta un instant pour réfléchir, et dans un dernier élan de lyrisme :

Crétin d'idiot ! Dérangé du ciboulot ! Bourrin même pas bon à bouffer !
T'VAS AVANCER OUAIS ! GROUMPF !

Nous retrouvons donc la Pomme dans toute sa splendeur diplomatique, énervée après son cheval. Enfin, celui de la poste. Pas de chance, elle tombait toujours sur les chevaux les plus réticents à lui obéir. A croire qu'il le faisait exprès le bougre qui les lui refilait. Elle se souvint de la gifle qu'elle lui avait collée le jour où son regard lui avait pas plu. Oui bon... il le faisait exprès. Mais quelle idée de reluquer Golden aussi. D'autant que sa patience s'arrangeait pas avec le temps, et sa force ne décroissait pas avec les entraînements à Thorens. 'Fin bon...
Toujours est-il que son cheval l'emmenait partout sauf où il fallait, et qu'elle mit le double de temps nécessaire au trajet qu'elle devait parcourir. Si elle avait pu, c'est elle qui aurait fini par porter le cheval. Mais bon, 'faut pas déconner non plus.

Finalement, le canasson rendit à Golden ce qui était à Golden, et celle-ci finit par arriver à bon port. Elle sauta à bas de son cheval en grognant, réajusta la robe de deuil qu'elle ne quittait que rarement depuis la mort de Voya et attacha le cheval dans un coin... Quelque part...
D'jà qu'elle aimait pas les cérémonies et que, bordel, on s'acharnait sur elle ces temps-ci, fallait en plus qu'une bestiole la foute en rogne avant qu'elle s'y rende.

Aussi toute entière à l'irritation qui l'avait gagnée sur le chemin, elle entra en coup de vent dans la salle de la cérémonie, cherchant des yeux le responsable de tout ceci. Coupable qu'elle n'eut aucun mal à trouver, prenant congé de Tenshi, pas très loin.

Akmer ! 'fin Chancelier, Excellence tout ça... T'm'énerves ! Tu le fais exprès de faire plein de cérémonies hein ? Bah moi j'dis : Groumpf ! Voilà ! Bon, je serais plus calme quand tu m'offriras un verre.

Volte-face tout à fait digne de l'ambassadrice grognante. En quelques pas elle rejoint Tenshi et celles qui l'accompagnent.

'Jour Tenshi, t'es bien accompagné dis-moi, j'suis presque jalouse. B'jour Ya, la forme ? B'jour inconnue, j'suis Gabrielle Bellecour, j'm'aime bien, et pour l'instant j'suis enchantée d'faire vot'connaissance.

Regard qui dérive sur le côté, couronne ducale qui passe par là. Et vu qu'elle avait pas envie de venir, 'fallait bien qu'elle s'occupe, aussi elle fit ce qu'elle aurait dû faire depuis longtemps. Sans s'excuser le moins du monde, elle planta là ses interlocuteurs et se dirigea vers Péné d'un bon pas.

Péné ! 'fin, Votre Grasce, navrée de cette familiarité.

Sourire en coin de la Pomme qui poursuit.

A cette excuse j'en joins une autre : me pardonnerez-vous de ne point vous avoir félicité plus tôt pour votre nomination en tant que Gouverneur Votre Grasce ? Je me suis dit qu'il serait agréable d'être félicitée tout au long de votre mandat, plutôt que d'avoir tout au début.

Aux mauvaises raisons les bonnes excuses, Péné saurait quoi en penser, mais de toute façon, mieux vaut tard que jamais...
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Elorane

[ A Saint-Symphorien-sur-Coise]

Hector essoufflait d'avoir couru dans tout le château suivit de Eloi qui voulait encore se battre contre des ennemis imaginaires et avait prit le pauvre major d'homme comme cible

Vicomtesse,vicomtesse un messager a déposé ceci pour vous il y a quelques heures, mais le temps que j'arrive a échapper a votre fils

Le pauvre homme n'en pouvait plus, il en avait vu de toutes les couleurs déjà avec Geoffroy, il n'était plus tout jeune et Eloi ne lui laissait pas une minute de repos

Merci Hector, vous pouvez disposer, profitez pour rejoindre vos appartements pour vous reposer

Elorane prit connaissance de la lettre que venait de lui remettre le major, une invitation, elle fut surprise cela faisait longtemps très longtemps qu'elle avait quitté son poste d'ambassadrice. Elle posa la lettre sur son bureau, l'invitation était aussi pour son mari vu qu'elle pouvait comme stipulé prendre une ou deux personnes avec elle.
La vicomtesse en parlerait avec son époux a son retour, d'ailleurs il lui au moment d'en parler il lui dit qu il avait lui aussi reçu une invitation.

[Le jour J]

Florence s'était levée de bonne heure pour préparer les effets de la vicomtesse et son époux, une robe de la même couleur que le gris de la mer les jours de mauvais temps, une fois le couple prêt ils se rendirent a Lyon.
La vicomtesse ne pu s'empêcher de s arrêter à la mairie pour voir si tout se passer bien, au grand d'espoir de son époux, qui pensait pouvoir avoir une journée en présence de sa femme, une fois fini le couple se rendit enfin a la réception.

Elorane salua les personnes présentent d'un signe de la tête ou d'un sourire, elle ne les connaissait pas toutes, même l'actuel chancelier, elle ne le connaissait point.

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Aubanne.

Aubanne avait été prévenue à la dernière minute de cette invitation. Sa mère d’une écriture qui ne laissait aucun doute quand à la réponse, l’invitait à la rejoindre à la soirée diplomatique...

La jeune fille lu et relu le parchemin, plissant le nez un peu plus à chaque lecture.
Elle adorait sa mère, mais cette invitation surprise lui arracha malgré elle quelques grognements…

Aujourd’hui et au dernier moment !

L’instant d’après, les robes jetées sur le lit, elle pestait toujours autant. Aucun choix de fait et l’heure avançait…
Longtemps elle déambula, jusqu’à ce qu’elle s’arrête enfin devant son lit devenu pour l’occasion étal aux couleurs chatoyantes…..
La simplicité et l’ivoire de cette robe qui s’étalait devant elle..
Voilà ! se dit-elle

La bataille qui suivit laissa bon nombre de cheveux sur la brosse mais Aubanne en sortit victorieuse.
Coiffure sage, pas un seul bijou et cape sur les épaules elle s’engouffra dans le coche que sa mère avait dépêché chez elle et arriva enfin sur les lieux.

Un coup d’œil et elle entraperçut la silhouette de sa mère.
Celle-ci se tenait bien au fond de la salle et Aubanne ferma un instant les yeux.
Cherchant des visages connus et grommelant tout en évaluant la distance qui la séparait du Gouverneur.

Un sourire machinal fiché sur le visage elle s’avança au milieu des invités, esquissant quelques saluts de la tête, se disant que le prochain pigeon irait droit vers les cuisines….

Raithuge

Raithuge était tranquillement dans son coin à attendre que les invités arrivent Il ne voulait pas se mêler à la foule, une espèce d'agoraphobie le gagnait ces derniers jours, trop de temps passé dans les mines certainement en était la cause.

Il était adossé à une colonne et regardait le vicomte avec la bailli...Il accentua son regard discrètement sur la bailli qui était splendide dans cet habit...Mais le vicomte devant elle, empêchait Raithuge de regarder plus longtemps sans se faire remarquer.

A ce moment, il vit la gouverneur arrivée, puis le chancelier qui vint adresser son bonsoir.
Bien le bonsoir à vous Messire Akhmer, c'est un plaisir que d'être convié a ce beau moment pour vous.
Bonsoir gouverneur.

Rai n'eut pas le temps de reprendre son activité d'observation qu'il vit Naho arrivée et lui souhaiter également le bonsoir.

Coucou toi, tu vas bien? tu as également été invité? Alors quoi de beau?

Rai détourna son regard et essaya de concentrer sur un autre point que celui qu'il avait eu en vue depuis le début de la soirée...
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Ken_cohiba

Comme toujours, il prenait la température de la salle, tentait d'identifier les convives, de voir un peu comment tous ces gens interagissaient, comment ce Duché fonctionnait. Il avait pu reconnaître Tenshi, entouré de deux charmantes Dames, la Dame a qui il avait il y a quelques jours acheté des billets de tombola, et quelques visages croisés ça et là au hasard des couloirs de la Maison de Roanne.

Perdu encore dans ses pensées, il vit s'approcher de lui sa vieille amie, deux verres à la main. Il lui sourit poliment, sentant que ses analyses de la société dauphinoise touchaient à leur fin.

Bon sera chère amie, vous estes radieuse comme à vostre habitude

Il sourit plus largement et la regarda s'approcher
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Terwagne_mericourt

Tandis qu'elle attendait que l'élu de son coeur lui réponde, elle remarqua que bon nombre des invités étaient arrivés, et que l'heure tournait.

Pour tout dire, le quart d'heure académique était bel et bien terminé, et il était grand temps que le Maître de cérémonie prenne la parole devant ses invités.

Se penchant à nouveau vers le Vicomte d'Ancelle, elle s'excusa avant de s'éclipser.

Je vous demande de ne pas m'en tenir rigueur, mais je vais vous abandonner un instant... Je gage que notre Chancelier a besoin d'un peu de soutient de ma part pour débuter officiellement cette soirée.

Avec une tentative de sourire, elle se mit donc à la recherche du sieur Akmer, et finit par le trouver, en train de discuter avec quelques personnes auprès desquelles elle s'excusa avant de lui prendre le bras avec un regard encourageant.

Pardonnez-moi, mais je me permets de vous enlever ce charmant homme...

Messire Chancelier, je crois qu'on vous attend là-haut...

Son regard se tourna vers la petite estrade, et le mouvement de ses premiers pas, sa main toujours à son bras, se fit dans la même direction.

Quelques minutes plus tard, elle montait en sa compagnie les trois petites marches et prenait la parole, avant de la lui céder. Son anxiété à lui avait l'étrange effet de la rendre plus sûre d'elle-même.

Nobles Dames et charmants Seigneurs...

En tant qu'organisatrice de cette soirée, à la demande de notre Chancelier, je me permets de vous remercier toutes et tous de votre présence en ces lieux.

Avant de le laisser vous adresser quelques mots également, et sans aucun doute vous expliquer la raison de cette soirée, je vous invite à prendre place aux tables, si vous le voulez bien, de la façon qui vous conviendra, aucune place n'a été désignée ou imposée... Un verre va vous être servi immédiatement là-bas.

Messire Chancelier, je crois que c'est maintenant à vous...

Lachant enfin son bras, elle lui sourit et redescendit de l'estrade, s'éclipsant.
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Nahona

Coucou, ça va merci et toi ? Oui, en effet et apparemment toi aussi. Ho...pas grand chose et toi ?

Elle leva vivement la tête en entendant la voix d'une femme qui tenais l'intention de tous, c'étais Dame Terwagne alors elle l'écouta puis donna la parole au Chancelier Akmer...
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Aubanne.

Elle s’avançait donc tranquillement entre les gens, saluant et décrochant de larges sourires.
Elle appuya un peu plus son sourire à l’adresse de Tenshi et Ya qu’elle avait rencontré de nombreuses fois à Vienne.

Reconnut la silhouette blonde d’une dame aperçue un soir à Valence, et même Messire Raituge le Conseiller qu’elle avait eu le plaisir de croiser quand elle remplaçait Thibérian à la construction du port.

Aubanne était pratiquement à la hauteur de sa mère, quand Dame Terwagne prit la parole.
Bien évidemment, elle resta immobile le temps du discours et attendit patiemment de voir vers ou sa gouverneur de Mère allait diriger ses bottes.

Walan

Perplexe, le vicomte d'Ancelle ne pouvait que l'être. Alors qu'il se présentait devant sa bien aimée, véritablement heureux de la voir, complètement conquis par sa mise et avec l'un de ces sourires qui ne manquaient d'apparaître sur ses lèvres dès qu'il la voyait, il avait été pris de court par la réaction de la Tempête.
Sans Repos n'avait ainsi pu masquer un haussement de sourcil surpris lorsqu'il avait vu Terwagne préférer répondre à un autre arrivé après lui avant de se pencher pour lui tenir un discours discret teint d'une colère sous-jacente dont il n'arrivait pas à déterminer la cause.

Ne sachant véritablement que répondre face à cela, Walan allait répondre après un petit temps de réflexion quelque chose comme "A vrai dire, votre physique et cette tenue me laissent plutôt penser que vous attirerez plutôt que ferez fuir" avec un sourire en coin lorsque la dame de Thauvenay se pencha à nouveau vers lui avant de s'éloigner.

Avec un air quelque peu incertain, le seigneur de Meyrieu la regarda donc monter sur l'estrade avec le chancelier pour y prononcer un petit discours et inviter les personnes présentes à s'installer aux tables. Jetant un oeil autour de lui, Walan préféra écouter ce que dirait Akmer et attendre un peu avant de prendre place.
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Loelia

Des yeux qui s'emerveillent, un sourire ravi, une bise de remerciement, le gouverneur venait d'inviter la jeune fille cadette du sa grâce Estalabou, au même titre que sa propre fille, nouvellement amie a la damoiselle, à une cérémine d'allégeance. 3 eme depuis ses debuts dans la noblesse dauphinoise, sa mine toujours aussi rejouie à cette idée confirmait qu'elle ne s'en lassait pas.
Apres donc l'anoblissement de Sire Antoine et sire Geoffroy, voila celui de sire Akmer..

Une heure passée aupres de ses gens à se faire habiller sur mesure, chaque sortie en au lieu faisant l'office d'une nouvelle robe.. coquette la fillette.
La couleur du jour etait un vert emeraude profond, faisait rejaillir les reflets blonds des quelques meches liberées de sa haute coiffure, ornée d'une coiffe conçue a l'aide de plumes de paon, allant a ravir avec sa robe de velour, lui ceignant sa taille de guepe magnifiquement dessinée grace a un corset de satin en dessous, distinguant alors une gorge naissante appétissante. Des arabesques le long du col venait pimenter cette somptueuse tenue, brodées de fil d'or. Pour finir d'amples manches bordées de sombre fourure..

Accompagnée de ses eternels gardes du corps, la fine fleur de la jeunesse nobiliaire du dauphiné entra dans la pièce avec élegance. Ses grands yeux de biches d'un ton vert-noisette parcoururent la pièce jusqu'à venir se poser sur le gouverneur.
Souriante, ses balerines se hissèrent parmis la foule afin de l'atteindre et la saluer d'une majestueuse reverence digne de la grande dame qu'elle est. Cyanne lui certifia egalement que c'était un honneur d'etre son invitée en cette cérémonie avant de la laisser s'occuper de tous les convives. Interception de sa nouvelle amie perdue dans la foule, heureuse de la trouver ici, lui adressant un regard sincere d'amitié, Aubanne.

La saisissant par le bras elle prit de ses nouvelles discretement au creu de son oreille, complice, ne voulant pertuber le silence et le calme de la cérémonie. Pas mal de gens dans la salle lui était connus, de par ses parents pour la pluspart, mais personnellement elle n'en connaissait que tres peu bien qu'elle espera que cela changé a mesure du temps.

Sagaben

Le Vicomte de Laragne-Montéglin n'avait jamais été un grand partisan de rassemblement mondain. Mais lorsqu'il s'agissait de diplomatie et de la représentation inérente, il se pliait plus volontiers à cet exercice. Il avait fait le déplacement jusqu'à la salle de réception. Il passa devant les huissiers de la salle et évalua les personnes d'un tour de regard.

La dame de Thauvenay était au centre de l'attention. Il savait qu'elle était l'organisatrice de l'événement. Il entendit la fin de son intervention disantr qu'elle invitait le chancelier à dire quelques mots. Le Tempéré s'avança donc dans la salle, d'un pas lent, tout sourire. Il reconnut quelques personnes du conseil ducal, des ambassadeurs... Le Gouverneur était en discussion avec dame Golden. Il s'approcha et inclina la tête.

Mes hommages! Votre Grasce, Excellence.

Il sourit tout spécialement à cette dernière. Cela faisait longtemps qu'il n'avait plus eu l'occasion de la croiser.

Content de vous voir, ma chère. Cela faisait bien longtemps. Continuant, un peu taquin.Il me semblait pourtant que votre carrière de diplomate touchait à sa fin.Il plissa les yeux.
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Pathan

Montluel n'était pourtant pas si loin de la capital, pourtant, le vicomte arrivait avec beaucoup de retard à la réception auquel il était convié.
Il en était rouge de honte d'être un des dernier arrivé.
La première soirée du nouveau chancelier était pourtant connu de tous, et en tant qu'ambassadeur d'un part, vicomte d'une autre, mais aussi major des CN, il se devait d'y être.
Mais rien n'y fut, il avait oublié le jour et l'heure.

Il arrive enfin à la salle, juste a la fin du discours de Dame Terwagne.

La réception venait donc a peine de commencer, il pousse un léger soupir de soulagement, et s'avance au milieu des autres invités.
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Salah_ad_din

Le Vicomte pris dans les affaires du domaines était trop occupé à voir tout ce qui se passait dans Lyon et même le duché. Il avait lui même reçu une invitation la même que Elorane avait posé sur le bureau. Ils en touchèrent deux mots pour se mettre d'accord pour s'y rendre, que ça les changeraient surtout lui des murs de Saint Syphorien.

devant la mairie Salah ad'Din grommela comme à son habitude sa belle n'avait de cesse son nez dans les affaires de la mairie elle voulait toujours veiller à ce que tout tourne bien rond. en tout cas cela fonctionnait Lyon était prospère.

Arrivé au Lyon de la cérémonie le Vicomte pris sa belle par la main et parcoura la salle tout en faisant un signe de bonne tenue aux convives présent, et s'attarda à faire un sourire au Gouverneur.

Sacha

Après avoir connu tous les aléas possibles et immaginables qu'il est possible de rencontrer en route, Sacha était indubitablement en retard et... de charmante humeur, comme à l'accoutumée diraient certains, mais en pire. Cela dit le rapide regard circulaire qu'elle adressa à la salle en entrant pour constater l'ampleur du retard lui procura une pointe de satisfaction. Du monde sur l'estrade, des gens qui avaient l'air de préter une oreille plus ou moins attentive à des échos : peut-être avait-elle réussi à échapper aux discours.

Aussi discrètement que possible, au cas où son retard soit passé inaperçu, la jeune femme se fraya un passage pour rejoindre le semblant de groupement, notant au passage les frais vestimentaires qu'avaient fourni la plupart des convives. Sans être pour autant habillée comme une pouilleuse, elle était quand même loin du niveau ambiant. "Zut... je savais bien que j'avais oublié quelque chose...". La question chiffon fut remis à une date ultérieure et Sacha observa les alentours pour tacher de comprendre où en était la soirée, tout en s'efforçant d'afficher un air appliqué à ce qu'il venait probablement d'être dit.
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Colombine.d.albon

Rien à faire, la Damoiselle d'Albon ne dérogerait point à sa règle du retard.
Dans la cour de l'hotel familial celà fait plus d'une demi-heure qu'un attelage patientait lorsqu'enfin elle s'y engouffra,
se confondant en mille excuses auprès de celui qui avait heureusement une patience d'ange.
Bien heureusement le lieu de la réception était proche, il fallut à l'attelage bien moins de temps pour le rejoindre qu'il n'avait perdu à l'attendre.

C'est donc au bras de Léon Devirieux que Colombine fit son entrée en la salle de réception où tous les visages étaient tournés vers la Dame de Thauvenay qui apparemment venait de faire un discours, ainsi leur retard passerait inapperçu et elle en était fort aise.
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Mischmetal2

L'ancien (très ancien même) chancelier de guyenne arriva en tenue de cérémonie au lieu convenu. ...Aristote que cela faisait longtemps qu'il n'avait eu l'occasion de se rendre a ce genre de mondanités! Une fois sa monture confiée à un palefrenier, il alla dans la salle proprement dite. A tout seigneur tout honneur......ou plutot a toute Vicomtesse tout honneur, il alla d'abord saluer sa suzeraine

-Mes respects Dame Elorane fit t'il avec un baisemain courtois. Je suis ravi de vous voir icilieu. Surtout pour une cérémonie telle que celle ci

Il se tourna vers Salah

-Bonsoir cher ami. Ravi de vous voir icilieu également. Cela fait longtemps que je n'ai plus assisté a des mondanités telles qu'icelle.

Puis, il se tint a leur coté, saluant discrètement Colombine, ses cousins Sagaben et Péné....Puis il fit un large sourire à Akmer quand il le vit passer

-Bonjour messire chancelier.....J'espère que vous allez bien en ce grand jour pour vous. Je me devait d'être là.....entre collègues on se serre les coudes

Petit rire, puis il attendit la suite des opérations
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Dameisabeau

Arrivée à hauteur de son ami Ken_cohiba qu'elle avait repéré dans un coin de la salle, elle lui tendit une des coupes de vin de champagne qu’elle avait miraculeusement préservées en se frayant tant bien que mal un passage au milieu de la foule de convives

Bonsoir cher ami, heureuse que vous ayez pu vous libérer…
Tenez, trinquons à votre installation dans ce duché.. qui est le votre à présent

pas trop perdu au milieu de toutes ces têtes inconnues ?
Vous verrez, je suis certaine que très bientôt vous remplirez votre carnet d’adresse poursuivit t’elle en souriant
Si d’aventure, nous pouvions approcher sa grâsce, je vous la présenterai dans la soirée.
Mais… je ne vois pas votre charmante épouse, rien de grave j’espère ?

C’est à ce moment que Dame Terwagne prit la parole pour inviter les convives à prendre place.
Prenant le bras de Ken, sans plus de cérémonie, elle l’entraîna vers la table.

Venez, nous allons tâcher de trouver place, j'ai aperçu quelques amis que j'aurai plaisir à vous présenter.
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Ken_cohiba

Il prit de bonne grâce le verre que la coupe que lui tendait la Dame de Hauterives, son gosier avait eu le temps de s'assécher depuis qu'il observait l'assemblée. Il trinqua joyeusement avec son amie.

Si d’aventure, nous pouvions approcher sa grâsce, je vous la présenterai dans la soirée.
Mais… je ne vois pas votre charmante épouse, rien de grave j’espère ?

Ce sera un bien grand plaisir tout autant qu'un honneur. Et concernant mon épouse, je vous rassure, je lui ai laissé une note, un peu tard peut-estre, faisant état de vostre invitation, mais je ne sais si elle le verra à temps...

Il allait poursuivre lorsqu'il entendit Dame Terwagne inviter les convives à s'installer, et son amie de lui prendre le bras et de l'emmener au travers de la salle. Il manqua de renverser sa coupe en jouant des épaules.

Venez, nous allons tâcher de trouver place, j'ai aperçu quelques amis que j'aurai plaisir à vous présenter.
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Penelopedefrance

Les discutions commençaient pendant que les serviteurs s’affairaient autour des tables.

Tout était parfaitement orchestré et la salle se remplissait. Un bonsoir adressé au Vicomte de Laragne, un autre au Vicomte d'Ancelle, un sourire à Nahona....
Elle en était là de ses pensées, se livrant, ainsi, à une observation attentive de chacune des personnes qui constituaient ce festif attroupement, quand, soudain, une silhouette familière attira son regard.
Un large sourire étira ses lèvres, et sans attendre rejoint sa fille

Demoiselle de Barsac, heureuse de te voir ici !

Elle déposa une douce bise sur ses joues puis prit son bras pour se frayer un chemin entre les convives quand elle croisa le regard de Cyanne. Elle s'approcha d'elle en souriant.

Bonjour Cyanne je te remercie d'avoir accepté l'invitation

Puis plus bas

Il y a beaucoup de monde mais en principe ils ne sont pas méchants...

D'autres arrivées, d'autres invités, d'autres surprises...Le Gouverneur s'excusa auprès des deux jeunes filles pour saluer son cousin Mich qu'elle n'avait pas vu depuis fort longtemps. Puis Colombine et Léo, Sacha et Golden....Tant de monde à saluer, pourvu qu'elle n'ait pas à trinquer avec tous.

Elle s'approcha alors d'un plateau, il lui fallait bien un verre pour profiter un peu. Tout en buvant son alcool préféré, elle souriait à la vue de certains, s'approcha de Salah et de sa belle Vicomtesse à qui elle chuchota quelques mots espérant la voir plus tard dans la soirée.
Inclinaison de tête car certains sont à l'autre bout de la salle puis elle rejoint Aubanne et Cyanne quand le Vicomte de Montluel fit son apparition.

Bonsoir Pathan, contente de te voir parmi nous, à présent il nous faut rejoindre une table, tu nous suis ?

Assurée que les deux jeunes filles les suivaient, et sans attendre la réponse du Major, elle l'entraina à sa suite en direction du Procureur et du Juge qu'elle n'avait pas encore salués.
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Après avoir accompagner Tenshi et sa fille présentait au Chancelier ses salutation .Elle se tourna vers Tenshi

Bien je pense que tu as bien du monde à saluer et je pense que tu n’as pas besoin de moi dans les pattes elle sourit Je vais aller voir si je trouve Léoff pour ma part rejoint nous après .

Sur ses mots elle alla faire un tour parmi toute les personnes présentes , bien sur elle ne trouva Léoff Elle ne connaissait pas vraiment grand monde .Au loin elle reconnut sa marraine ,Ya se dirigea à sa rencontre et la salua .Après avoir échanger quelques mots , depuis le temps qu’elle ne l’avait vu Ya se décida de prendre place sur une chaise autour d’une table et t’attendre patiemment .
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Militante " GONES " // Soeur de Jrjm10

Akmer

Alors que la cérémonie diplomatique (et non d'allégeance ^^ .....) se poursuivait, dame Terwagne le prit par le bras. Immédiatement il s'imagina le pire : plus de génépi ! Le visage blême, le chancelier la suivie jusqu'à ... l'estrade. Il haussa un sourcil, et l'écouta.

Par Aristote, c'était à lui maintenant de parler. Tremblant légèrement des mains, il prit une grande inspira, mais commença par s'adresser à la dame à ses cotés à voix basses :

Merci très chère.

Il se tourna ensuite en direction des convives qui prenaient place.

Chers convives, je vous invite à prendre place dit il en montrant de la main les différentes tables. Puis, au bout de quelques secondes, une fois que tous s'étaient mis en mouvement, même s'ils ne s'étaient pas tous assis, il poursuivit, Je souhaiterais donc commencer par remercier Sa Grasce le Gouverneur, qui nous honore de sa présence et ses conseillers également qui ont prit de leur temps pourtant si précieux afin d'assister à cette cérémonie diplomatique. Il marqua une courte pause, reprenant juste son souffle avant de poursuivre, je souhaiterais également remercier tous ceux qui ont répondu présent à notre invitation, et qui font de ce moment un instant agréable.

Les différentes personnes prenaient place, alors que d'autres continuaient encore d'entrer. Il lenca un rapide coup d'oeil vers ses invités privilégiés avant de se tourner vers dame Terwagne.

Il y a également une personne en particulière que je souhaiterais citer avant de débuter cette cérémonie de récompense, il s'agit bien entendu de Dame Terwagne, dame de Thauvenay, sans qui tout ceci ne serait possible.

Voyant un page passer devant lui, des verres à la main, il s'empressa d'en prendre un, voyant que tous étaient enfin assis.

Je propose de lever mon verre en son honneur, en l'honneur de notre chancellerie et de notre grand duché !

Il leva son verre, et alors que la salle dans un petit bruit de fond commença à s'exécuter, il murmura quelques mots à un page, avant de le voir, sourire aux lèvres, s'éloigner en direction des cuisines. Il fit rapidement le tour de la salle des yeux, et aperçut, par un grand hasard dame Terwagne à ses cotés, mais sans le moindre verre dans les mains. Il ne réalisa qu'après, en voyant son visage, qu'il avait fait encore une boulette. Il tourna la tête une première fois vers elle, puis regarda les invités, et il répéta l'opération plusieurs fois avant de soupire légèrement en lui tendant son propre verre. Il lui sourit avant de regarder dépité ses mains vides.

Il se mit alors à la recherche d'un autre page. Par Aristote il en trouva un, prêt de la porte qui donnait sur les cuisines. Il le fixa des yeux, et réussi à capter son attention. Maintenant il ne restait plus qu'à le faire venir jusqu'ici, le tout discrètement bien sur. N'utilisant que les yeux, et faisant des signes discrets de la main, il s'assurait quand même que son attitude ne paraisse pas étrange à la vue de toutes les autres personnes, et cela n'était pas sur du tout.

Après un petit échange de regard, le page finit par venir vers lui, plus intriguer qu'autre chose. Akmer, l'air toujours souriant s'empressa de prendre un verre, et de le lever comme les autres.
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Akmer, tout simplement.

Aubanne.

L’arrivée de Cyanne ramena le sourire sur le visage de la jeune fille et elle se pencha discrètement vers elle et murmura à son tour.

Ravie de te voir ici...
Je t’avouerais que je ne connais que peu de monde et commençais à me sentir bien seule.
Je pense que maman m’a vu.
Il faut l’espérer sinon nous n’avons plus qu’à nous imposer à grand renforts de révérences.
Elle offrit un petit clin d’œil à son amie tout en marmonnant à son oreille. Et en plus j’ai soif….

Demoiselle de Barsac, heureuse de te voir ici !

Elle esquissa un sourire en entendant sa mère et se laissa guider par son bras, profitant de l’occasion pour attraper au passage un verre emplit d’une liqueur dorée.
N’en jetant pas moins un regard à son gouverneur.
Se demandant si en pareille occasion elle allait être épargnée par un plissage de nez maternel…
Aubanne n’avait pas du tout envie de boire de la tisane ou un verre de lait ce soir.

Elle posa un regard curieux sur le jeune homme que sa mère venait de saluer et lui offrit un sourire.
Elle eut juste le temps de le saluer et de prononcer quelques paroles, que déjà le gouverneur les enjoignait de les suivre vers une table.

Bonsoir Vicomte, ravie de vous connaitre…Aubanne de Barsac.

Leovigilde

La salle de cérémonie était bien remplie et Léovigilde avait perdu Ya de vue. L'assemblée avait finalement été invitée à s'attabler et les convives prirent place au fur et à mesure. Il espéra pouvoir retrouver sa belle afin de pouvoir s'asseoir avec elle. Après de longues minutes à scruter autour des tables Léoff finit par distinguer Ya...

Il se dirigea vers sa chère et tendre. Lorsqu'il fut à sa hauteur il se baissa légèrement pour lui glisser un mot à l'oreille...

Puis-je m'asseoir jolie Damoiselle?
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Terwagne_mericourt

Autant prendre la parole ne lui avait cette fois pas posé vraiment de soucis, autant le fait d'être mise à l'honneur de la sorte la mit profondément mal à l'aise, faisant monter le rouge à ses joues.

Rouge... Comme sa robe... Sa robe qui à cet instant lui revint en mémoire, la faisant se sentir de plus en plus mal.

C'est alors qu'elle aperçut un plateau avec un verre passer à leur hauteur à tous deux... Voila qui lui rendrait sans doute un teint un peu plus passe-partout... Oui, mais non! Le Chancelier avait tendu la main plus vite qu'elle et elle se demanda un instant où il avait bien pu mettre ses bonnes manières pour en oublier ainsi que la bienséance aurait du le pousser à le lui laisser à elle, cet unique verre.

Le pensa-t-elle tellement fort qu'il s'en rendit compte? Toujours est-il que comme si ça avait été le cas, il lui tendit le verre et chercha de façon pas vraiment discrète à s'en procurer un pour lui main, ce qui la fit sourire et se décontracter.

Lorsque ce fut fait, tous deux levèrent leur verre avec toutes les personnes présentes.

En parlant des personnes présentes, elle se demandait bien où était passé Walan, et... Non, ça n'était pas le moment de laisser tout cela gâcher son humeur.
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Elle suivit le discours du Chancelier et leva son verre en se direction tout comme l’assemblée puis Ya vit Léoff arrivait vers elle , tout en se penchant à son oreille .

Puis-je m'asseoir jolie Damoiselle?

Oui bien sur avec grand plaisir messire Léovigilde elle lui sourit
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Militante " GONES " // Soeur de Jrjm10

Loelia

(vi rooo cérémonie de diplomatie..

c'est pareil

)

Au pays des songes, à moitier rêveuse, tous ces beaux gens lui faisant repenser au bal du Roy, bien que les robes là bas etaient bien plus prestigieuses mais tout de même, ce faste, ces tables si hormonieusement dressées.. lui rappellent vaguement le Louvre. Oreille attentive aux murmures de son amie, retenant un rire amusé de sa derniere reflexion car, bien qu'habituée aux reverences, elle ne se fera pas prier pour s'en épargner une ou deux.
Le gouverneur ouvre la marche dans les allées dessinées a travers les assises de tables. Presentation du frere de la filleule de sa mère, sire Pathan. Dejà croisé dans un contexte tout autre, le salue courtoisement, s'informe de sa santé jadis mal en point.

Bonsoir messire le Vicomte, ravie de vous revoir, vos poumons n'enflamment plus votre poitrine? Vous sembliez fort malade l'autre fois que je vous ai vu.

Se rappel t il d'elle? Aucune importance, au pire il lui redemandera son nom si sa mémoire lui joue des tours.
Ecoute religieuse du discours d'Akmer, observant avec amusement ce qui lui semble au premier abord à une série de mimiques plutot voyantes, avant de realiser qu'il cherche simplement a faire appel à un valet.

Continuant de suivre Dame Penelope au bras d'Aubanne,un rire gentiment moqueur au coin des levres, son regard observe une levée de verres simultanée. Même la chipie à ses cotés a trouvé l'opportunité d'en piquer un entre deux discussions... Moment de solitude.. A l'affut, ses yeux de biches noisettes en amandes aux reflets verdoyant parcours les alentours. Plateau en vue orné de coupes aux brevages de couleurs variées, discretement la damoiselle envoi son valet lui porter un verre de Cidre. Trop tard, sa boisson est bel et bien entre ses mains gracieuses mais tout le monde a fini de porter le toast.. bon ba... yeux doux vers Aubanne qui à deja fortement entamé le sien pour qu'elle accepte de retrinquer avec elle.

Arrivée devant la table, hésitation sur la place a prendre, sur le moment ou elle doit s'assoir. Presentement il y a plus de chaises que de personne autour de la table du gouverneur, qui donc doit les rejoindre? Hardryan? Le maitre de cérmonie Akmer? Curieuse, discrete, elle s'interroge sur chaque personne penetrant l'environnement du gouverneur de pres. Manque de chance, tout le monde semble vouloir la saluer ce qui n'aide pas vraiment Cyanne dans son enquête du moment. Chose certaine, Cyanne compte s'abstenir de s'établir entre son amie et le Vicomte, par politesse esperant tout de même occuper la place a coté d'Aubanne même si il y a de forte chance que la seconde place pres d'elle soit consacré a sa mère. Bon tant pis.. apres ils sont encore tous debout alors arretons de trop reflechir et profitons de ce moment! Pas le temps de s'en rendre compte, son verre est déjà vide. Commande d'un vin de champagne aupres d'un serviteur, continuant d'observer l'estrade avec le maitre de cérémonie qui officie.

Milyena

Milyena arriva devant la salle, elle espérait bien ne pas se tromper d'endroit.

Elle portait la seule et unique robe qui était en sa possession, mais bientôt elle savait qu'elle pourrait s'en offrir une neuve, quelle plaisir cela serra pour elle.

Une grande respiration, quelques passage de ses mains sur ses vêtements un rien chiffonné et la voilà qui pousse la porte.

Elle chercha des yeux après sa soeur, mais ne la vit pas pour l'instant.

Terry ne s'attendait certainement pas à voir Mily ici, son retour de mission MA, elle ne lui avait pas signalé afin de lui faire une surprise.
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Phelim

Le Vicomte d'Oingt avait pris soin de faire une croix sur le calendrier avant de faire route vers le lieu du festin organisé par le nouveau Chancelier.

Les cérémonies, et tout le tralala, c'était pas trop son truc. Aussi, il n'apparaissait que peu à ce genre d'évènements. On l'y verrait bien sur plus si ça avait lieu en taverne. Mais pour une fois il avait fait l'effort. Pour quelles raisons? Bonne question, il ne savait pas trop pourquoi. Une envie passagère sans doute, un peu comme ont les femmes enceintes, quand elles sont bourrées d'hormones.
Tiens, voilà ce qu'il répondrait si on lui demandait ... qu'une montée de testostérone l'avait fait sortir de son trou.

Il passa sur le fait qu'il était en retard ... c'était en soit une chose banale en Lyonnais-Dauphiné, du moins c'est ce que le Capitaine se disait en pénétrant dans la salle avec le flot de retardatairse.

Il fronça légèrement les sourcils en regardant les gens présents, tout en se demandant comment ne pas passer huit jours à saluer tout le monde.
Le Seigneur de Tassin la Demi Lune opta donc pour l'entrée discrète, dont le principe consiste à ce que personne s'aperçoit qu'on est là. Au moins jusqu'à ce qu'il soit l'heure de dire aurevoir, pour pouvoir dire bonjour et salut en même temps ...

Mais pour un homme de sa taille, de sa carrure, et surtout de sa maladresse ... cela ne se passa pas sans marcher sur quelques pieds. Mais ça à la régueur, c'était pas trop de sa faute, les gens n'avaient qu'à pas les laisser trainer sur son passage.

Finalement, à force d'excuses et de regrets de ne pas avoir penser à demander à l'ange allopass un pack furtif pour l'occasion, il fut près de Sacha.
Prenant l'air le plus détaché du monde, le genre du gars qui ne vient pas de faire une entrée discrète, il demanda.

Alors, j'ai raté quoi?
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Akmer

Et alors que la plupart des personnes levèrent leurs verres, Akmer jeta une nouvelle fois les yeux vers l’entré des cuisines, mais la page qu’il avait envoyé n’était toujours pas revenu. Il lui fallait gagner un peu de temps le temps que cet abruti de valet trouve une boite noire sur la table blanche des cuisines.

Je dois dire que j’avais à cœur d’organiser cette cérémonie, une cérémonie où l’on discuterait diplomatie. Il quitta l’estrade, et se mit à faire des pas lents, non loin cependant de la scène. Pour moi il était crucial de faire entendre la voix de ces hommes et de ces femmes qui travaillent toujours enfermés dans leur bureau. Une petite pensée lui traversa l’esprit. Il ne savait pas pourquoi, mais à ce moment là il repensa à toutes les bouteilles cachées dans ses tiroirs qui étaient plus nombreuses que ses dossiers. Il laissa échapper un petit sourire alors qu’il poursuivit l’air de rien. C’est pour cela qu’aujourd’hui je tenais à me faire leur porte parole. Et dire à tous que si jamais le Lyonnais Dauphiné est aussi rayonnant, c’est grâce à eux.

Malheureusement leur travail est souvent méconnu de tous, mais cela va changer. A ce moment là il aperçut enfin le page, une grosse boite dans les mains. Je ne vais pas plus m’attarder, et appeler tout de suite Messire Tenshikuroi, ambassadeur pour la Savoie, à venir me rejoindre.

Aussitôt dit, il se mit à sourire, scrutant désormais la salle des yeux afin de regarder avec un peu plus d’intérêt les personnes présentes alors que la page vint prendre place à coté de lui. Toujours un sourire aux lèvres, il vit tenshi se lever, sûrement un peu surpris alors qu’Akmer aperçut la table du gouverneur qui était tout de même bien garnis. Il aperçut entre autre bien sur le gouverneur, mais aussi quelques belles demoiselles qu’il n’arrivait pas à distinguer au milieu de toutes ces personnes.

Nouveau sourire sur les lèvres avant de se reconcentrer sur son invité du moment.
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Akmer, tout simplement.

Maccornell

Terwagne a écrit:

Ne parlons pas de ce qui fâche, et donc surtout pas de budget ducal ce soir, voulez-vous?
Pour ce qui est du coup de main, vous savez comment je suis... En me rendant compte que vous étiez parmi les invités, je n'ai guère voulu vous déranger avec la mise en place.
Vous ne m'en voulez pas, n'est-ce pas?

Pas le moins du monde. Merci de votre prévenance.

L'embrunais salua le Vicomte d'Ancelle qui semblait content que la présidente du Comité des fêtes s'occupe de lui. Puis il s'éloigna en direction du buffet. Une petite faim lui tiraillait l'estomac.

Mais déjà, les organisateurs de la réception ouvraient la partie protocolaire, et comme il fallait s'y attendre de la part du Chancelier, la partie festive. Lorsque tout le monde eu bu en l'honneur du Lyonnais-Dauphiné, il appela à ses côtés Tenshikuroi, l'ambassadeur du Lyonnais-Dauphiné en Savoie.

Sacha

"Caramba, encore raté..." se dit Sacha en constatant qu'elle n'avait pas aussi bien esquivé les discours qu'elle l'avait escompté. Toujours à l'affut des réactions alentours pour se conformer aux instructions qu'elle n'écoutait que moyennement, elle avait fait quelques pas en direction des chaises dont personnes ne semblaient vouloir réellement prendre possession et se saisit d'un verre d'elle ne savait trop quoi. Entre deux prises de parole du chancelier, un mouvement légèrement bruyant attira son attention et lui tira un sourire en coin avant qu'elle ne fasse mine d'écouter attentivement ce qu'il se disait. En réalité, elle suivait l'avancé des Aïe... pardon... mais !... Scusez, bonsoir...Chut !... oups... screugn.. qui finirent par être remplacé par un

Alors, j'ai raté quoi?

Avant qu'elle ne puisse répondre, Akmer avait repris la parole, et la jeune femme attendit un arrêt avant de passer au résumé de la situation.

Et bien...Votre entrée déjà. Sinon la Dame de Thauvenay a dit quelque chose, je crois, mais je suis arrivée après. Ensuite le Chancelier a dit quelque chose également qui ressemblait à "bla bla bla... verre, bla bla... merci". Il a enchainé avec une petite séance de mime, mais j'ai bien peur qu'il ne soit pas très doué pour cet exercice. Et là et bien, si j'ai suivi, il a appelé quelqu'un pour faire... quelque chose sans doute. dit-elle avec un léger haussement d'épaule avant d'achever par un très approprié En gros.

Après une légère pause, et indiquant ce qu'elle tenait à la main, elle ajouta :

Enfin a priori, le verre à la main est de rigueur si vous voulez faire mine d'avoir suivi.
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Terwagne_mericourt

Groumpfh... Voila qu'elle se retrouvait seule sur l'estrade, comme une potiche...

Jetant un coup d'oeil à droite, un coup d'oeil à gauche, elle se dit que c'était sans doute le moment le plus adéquat pour s'éclipser de façon discrète. NI une ni deux, elle descendit les trois marches la ramenant sur le plancher des vaches (meuh non, les invités n'étaient pas des bestiaux^^).

Et à présent, il ne lui restait plus qu'à partir à la recherche de l'homme de ses pensées, qui devait sans doute se tenir dans un coin discret de la salle.

Entamant le tour de celle-ci, en longeant les murs, elle aperçut son unique invitée, celle qui lui avait répondu ne pas être certaine d'être de retour de voyage pour venir.

Mily! Tu as réussi à venir?
Voila qui me fait bien plaisir, vraiment.
Viens ma belle, cherchons une table pour nous installer.
Je présume que Walan nous y rejoindra plus tard.
A moins qu'il ne soit déjà assis...

Hum... Tu ne l'as pas aperçu par hasard?
Bein non, suis-je bête, tu ne sais même pas encore à quoi il ressemble.

Quelques minutes plus tard, toutes deux prenaient place à une table libre, et observaient la suite du discours du Chancelier.

Celui-ci attendait toujours que le sieur qu'il avait appelé s'approche, lorsque la Dame de Thauvenay se pencha à l'oreille de sa soeur.

Je m'absente quelques instants, excuse-moi.
Je ne me sens pas trop bien, j'ai besoin de prendre l'air un peu.

Discrètement et sans tarder elle se leva et gagna la sortie de la salle...
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Thegoldendragon

S'ennuyait presque la Pomme, jusqu'à ce que son ex-Chancelier préféré vienne le voir. L'accueillant d'un large sourire, elle lui rendit son salut, même si trop formel à son goût.

Content de vous voir, ma chère. Cela faisait bien longtemps. Il me semblait pourtant que votre carrière de diplomate touchait à sa fin.

Ouais bah il loupait des épisodes quand même, son Vicomtal interlocuteur.

Allons bon Vicomte, chaque fois que j'essaie de la quitter, la diplomatie me rappelle à elle. Cela fait des lustres que je suis revenue sur ma décision de l'abandonner. Si j'pouvais, je l'épouserais, mais tout de même, j'préfère les hommes. Ceci dit, je suis ravie de vous voir également.

Elle n'eut pas le temps de poursuivre -et c'était peut-être mieux- qu'on les invita à s'asseoir.

Bon ben, allons nous installer alors, y'aurait pas un verre dans le coin... Bon sang, si avec Akmer on n'a pas à boire, le monde tourne à l'envers. Sinon, comment va Alixe ? Je n'ai plus de nouvelles d'elle depuis... Pfiou...

Distraitement, elle suivit les discours et leva son verre comme les autres à l'appel du Chancelier. Puis elle sourit lorsqu'un Tenshi surpris fut demandé près dudit Chancelier... Finalement, p't'être que la soirée serait drôle.
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Tenshikuroi

Après avoir salué Akmer et rendu Ya à son cher et tendre, Tenshi entraina sa fille vers le buffet histoire de ne pas mourir de soif … Les invités affluaient, Tenshi les aurait bien tous saluer mais chacun semblait déjà fort occupé. Et puis, le Chancelier n'allait pas tarder à commencer son discours. Mieux valait se trouver des sièges confortables, des fois qu'il se lance dans une longue diatribe.

L'ambassadeur en Savoie dénicha donc deux chaises pas trop loin de l'estrade et invita Indy à prendre place. Ses yeux se portèrent sur tout les invités qui défilait, il les connaissait pratiquement tous, plus ou moins personnellement. Tiens, même Gabrielle était venu. Il avait l'impression que ça faisait une éternité qu'il ne l'avait pas croiser. Il fallait absolument qu'il aille saluer la Pomme avant la fin de la soirée.

Puis, le Chancelier commença son discours, tourné vers les ambassadeurs eux-même. C'était forcément une bonne chose, on avait souvent tendance à oublier que sans les ambassadeurs, le LD serait bien moins rayonnant et respecté. Et puis, pour Aristote sait qu'elle raison, Akmer prononça son nom... il l'appelait à l'estrade ? M'enfin... pour quoi faire... Il allait appeler tout les ambassadeurs comme ça ? La soirée promettait d'être longue dans ce cas. Lentement Tenshi se leva et braqua un regard interrogateur vers le Chancelier. Bon... allons y alors... Tenshi finit par reprendre une contenance et par se coller un sourire de circonstance sur le visage. Il rejoignit Akmer et se plaça à ces cotés.

Excellence... je peux faire quelque chose... ?
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Akmer

Akmer vit arriver Tenshi et ne pu réprimer un petit sourire en coin. Ce dernier s’avança lentement, ce qui laissa tout le loisir au Chancelier de préparer son petit discours et de se le répéter à voix basse. Finalement son ambassadeur pour la Savoie arriva prêt de lui.

Excellence... je peux faire quelque chose... ?

Akmer lui sourit de nouveau avant de se rapprocher à peine de lui pour lui dire à voix basse, Ho non Excellence, maintenant c’est à moi de faire quelque chose pour vous. Lui dit avant de faire quelques pas en arrière, de prendre une grande inspiration pour finalement parler assez fort afin de se faire entendre de tous.

Son Excellence Tenshikuroi est l’un de ses ambassadeurs dont je vous parlais : travailleur, et ne cherchant que la gloire de son duché. Maintenant ambassadeur pour la Savoie depuis je ne sais combien de temps, je n’ai jamais eu à me plaindre et de son travail de qualité, et de sa motivation.

Il marqua une pause, un peu malgré lui, se rapprochant doucement du page qui portait sa fameuse petite boite noire.

Et bien sur, nous autres diplomates ne cherchons absolument pas la gloire personnelle, ni même les titres. Cependant aujourd’hui je vais faire une exception. La diplomatie est un domaine mal connue de tous, et pourtant tout aussi important que notre grande armée, ou encore que notre économie. Et aujourd’hui, cela va changer.

Il fit quelques pas vers le page, prit la décoration, et se rapprocha de son ambassadeur pour la lui accrocher.

Portez moi donc cela fièrement Excellence, afin de que tous, Lyonnais, Dauphinois, et chaque personne vivant sur la terre des hommes, sachent ce que vous faites pour notre grand duché.

Il fit quelques pas en arrière, sourire sur les lèvres avant de commencer à applaudir.
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Akmer, tout simplement.

Milyena

Mily toujours assisse à cette table en attendant le retour de Terry était un peu déstabilisée, elle ne voyait pas cette dernière revenir.

Que faire ? Allez voir après elle à l'extérieur, non elle avait préférer sortir seule plutôt qu' accompagnée de sa soeur.

Mily s'impatienta et sentit la fatigue la rattraper, elle reste encore un moment mais si cela devait encore traîner elle verrait Terry plus tard et rentrerais chez elle.
Il y avait bien une explication à tout cela.

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Tenshikuroi

Ho non Excellence, maintenant c’est à moi de faire quelque chose pour vous.

Pour lui ? Comment ça... Tenshi écouta en silence le discours que le Chancelier était en train de prononcer et sourit poliment aux compliments qu'il formulait à son égard. Tenshi n'avait pas tellement l'impression de faire des choses exceptionnelles et faisait tout simplement le travail pour lequel il avait été nommé il y un bon moment maintenant. Tenshi se figea lorsque Akmer ouvrit une petite boite noire et en sorti une croix... Une décoration ? Tenshi le regarda avec un air un peu idiot qui ne devait pas vraiment être de circonstance... Mais il se reprit rapidement et observa Akmer accrocher la distinction sur sa poitrine.

Excellence... je ne sais que dire à part... Merci pour l'honneur que vous me faite.

La surprise passée, Tenshi se dit qu'il était surement d'usage de prendre la parole... Il allait improviser un petit quelque chose dans ce cas.

Si vous me le permettez je dirai donc quelques mots... puis s'adressant à la l'assemblée...

Comme l'a si justement souligné notre Chancelier, la Diplomatie est aussi indispensable à notre protection et au maintien voir, à l'augmentation de notre influence, que la force armée. C'est bien là l'origine de mon engagement à Mercurol.

Soldat depuis toujours j'ai choisi de servir parallèlement mon Duché d'une autre façon, de voir les deux cotés de la lame si je puis dire. Il ne faut jamais oublier qu'une autre «armée» donne de son temps et de sa sueur. Celle des diplomates qui, même s'il ne se font pas beaucoup remarquer au sein de la population, œuvrent depuis leur bureau ici et dans les provinces dont ils ont la charge, pour que le Lyonnais-Dauphiné soit toujours considéré comme un Duché puissant dont la parole et les actes sont respectés par delà les frontières. Je prend cette décoration humblement et comme un encouragement à continuer mon travail. Je remercie le Chancelier Akmer pour cette marque de confiance ainsi que pour avoir voulu cette cérémonie qui permet de montrer aux yeux de tous, le dynamisme de la Diplomatie Dauphinoise. J'en profite pour adresser mes félicitations à tous les ambassadeurs qui ne rechignent pas à la tâche pour la grandeur de notre Duché et je remercie enfin et tout particulièrement le Comité des fêtes ducal et notamment Dame Terwagne, pour tout le travail qu'à représenté l'organisation réussit d'une telle cérémonie.

Tenshi fit un léger signe de tête avant de reculer et de se replacer, souriant, aux cotés du Chancelier.
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Phelim

Il écouta le résumé de Sacha qui ne lui apprit rien de particulier. La prochaine fois, il faudrait qu'il se dirige vers un passionné de discours qui aurait tout suivi. En attendant, pour cette fois ci, il ferait semblant quand il dirait à Akmer qu'il savait toujours aussi bien discourir.

Phelim suivit le conseil de la récente Briançonnaise de prendre un verre, et s'empara de la première coupe que tenait un domestique ... qui contenait un liquide étrange qui ressemblait à de l'eau.
Il fronça les sourcils et le porta à sa bouche, voir quel goût ce machin pouvait avoir, quand le serviteur lui glissa précipitamment.

C'est un rince doigt messire.

D'un geste un peu trop vif, il le posa sur la table derrière lui à côté d'un autre rince doigt et sortit précipitamment l'excuse qui lui venait en tête.

Oui je sais, mais j'en prends toujours deux, j'ai deux mains après tout.

Il s'empara d'une coupe de vin et but d'un air renfrogné, n'admettant aucun commentaire chez sa voisine, tout en écoutant la suite.
Le procureur reçut une belle croix, qui lui fit envie d'être diplomate ... vraiment, c'était dommage qu'il n'eut aucune qualité dans ce domaine là.

Puis, Tenshi fit à son tour un discours, mentionnant également quelques mots sur l'ost. Cela fit sourire le Capitaine qui se mit à applaudir à la fin de la tirade. Espérant qu'il ne serait pas le seul à le faire avec le Chancelier quand même ...
Il fit un regard en coin à Sacha. Et pour la convaincre de faire pareil, il lui glissa.

Je parie que vous n'êtes pas capable de battre des mains aussi bien que moi.
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Ayorleo

L'invitation l'avait laissé perplexe sur le moment et puis finalement la damoiselle d'Albon lui avait mander de l'accompagner, une invitation, celle d'une dame qui plus est, ne se refusant pas il devait l'a retrouver à l'hôtel des d'Albon d'où ils partiraient ensemble pour rejoindre le lieu préparé pour cette réception en l'honneur de la diplomatie dauphinoise.

Une tenue de bonne qualité, de couleurs claires, soigneusement enfilée, une rapide vérification dans un miroir et l'ancien Prévôt était prêt à se mettre en route. Bien vite il avait parcouru la distance séparant l'hostel Devirieux de celui des d'Albon, le coche s'engouffra prestement dans la cour de la résidence alors que déjà on vint lui signifier que sa cavalière ne tarderait plus. Les minutes passèrent les unes après les autres, en homme bien élevé le montagnard ne marqua pas son impatience jusqu'au moment où enfin elle prit place à ses côtés. Il se contenta de répondre à ses excuses par un sourire, après tout seul sa présence comptait.

Le couple pénétra dans la salle avec un retard certain. Les discours semblaient déjà terminés ce qui au final n'était pas pour déplaire à Léo. Jouant aussi naturellement que possible à celui qui n'avait rien manquait de ce qui venait de se passer il avança vers le buffet saluant discrètement les personnes sur sa route. Ses yeux se posèrent sur sa cavalière à qui il glissa quelques mots à l'oreille puis s'arrêta alors qu'un plateau sur lequel trônait quelques verres de vin, certainement issu des caves de Mercurol, passa à porté de bras. Il en saisit un premier qu'il présenta au Tribun du peuple et en prit un autre pour lui même. Délicatement il vint faire tinter les deux verres mêlant au passage son regard au sien.

Et bien... à la diplomatie dauphinoise? il lui sourit tendrement avant d'ajouter... et à nos retrouvailles évidemment!il porta son verre jusqu'à ses lèvres gardant les yeux rivés sur ceux de la damoiselle.
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Penelopedefrance

Le Gouverneur ne tenait pas en place, et à peine assise que déjà elle se relevait et vrillait ses deux pupilles vers l'estrade.
Un verre dans chaque main, parce que si quelqu'un renversait celui qu'elle tenait dans la droite, elle aurait au moins de quoi se donner une contenance....Se hissant sur la pointe des pieds désespérant de ne rien voir, elle finit par se frayer un chemin pour être aux premières loges.

Un grand sourire étira ses lèvres quand Tenshi fut appelé par le Chancelier. Il la méritait grandement sa breloque, lui qui ne comptait pas ses heures de travail, un homme juste et droit, Pénélope était fière de son filleul et ne manquerait pas de fêter sa décoration avec lui.
Pour commencer elle termina son premier verre d'une traite, c'était toujours ça de pris !
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Sacha

Une très légère grimace s'afficha sur le visage de la jeune femme quand le suspense concernant l'identité de l'appelé et la raison de l'appel fut levé. Revenait à sa mémoire une autre cérémonie qui lui avait paru fort longue et pas vraiment palpitante. Celle-ci avait l'avantage certain de ne pas lui demander de la passer au garde à vous.

C'est un rince doigt messire la sortit de sa reflexion. Jetant un coup d'oeil à son voisin, elle retourna bien vite son attention à l'estrade en attendant la fin de l'échange, luttant désespérement contre le sourire narquois qui menaçait de s'afficher. Un nouveau coup d'oeil au vicomte lui fit garder pour elle le "Vous devriez sortir plus souvent" qui lui venait et elle se contenta d'un léger :

Hum...

La menace du sourire n'étant pas totalement passer pour autant, Sacha prit le parti de tenter de le noyer dans son verre. Grand bien lui en prit car, même avec le nez dedans, elle fut bien forcée de constater qu'elle n'avait pas la moindre idée de ce qu'elle tenait à la main, ce qui détourna efficacement ses pensées. Le temps du discours du tout nouveau médaillé fut donc occupé à l'examen approfondi de ce que pouvait contenir son verre jusqu'à ce que des applaudissements naissants lui indiquèrent la fin des hostilités et lui firent redresser légèrement la tête. Redressement suivi de près par un rapide coup d'oeil au plafond après avoir entendu le glissement de Phelim. Il ne pouvait pas croire qu'un piège aussi gros allait fonctionner tout de même... si ? Le regard de la jeune femme revint se fixer à l'estrade et elle répondit :

Vous avez tout à fait raison monseigneur, j'en suis tout à fait incapable. De plus vous avez l'air tellement doué dans cet art que je m'en voudrais de ruiner vos efforts par une tentative pitoyable. Sans compter que j'ai une main prise indiqua-t-elle en levant son verre, ce qui lui rappela sa précédente préoccupation Une idée de ce que cela peut être d'ailleurs ?
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Akmer

Akmer qui s’était reculé de quelques pas, laissa son ami dire quelques mots. Il baissa la tête par moment, sourit même à quelques occasions avant de se mettre à applaudir de nouveau. Il le regarda s’éloigner, redressa la tête avant d’afficher un nouveau sourire.

Je souhaiterais que sans tarder, le Vicomte Sagaben me rejoigne !

Il essaya de le fixer, et une fois fait, le voyant s’approcher, il ne pu de lui sourire un peu amusé.
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Akmer, tout simplement.

Loelia

Avancée vers les tables comme demandé, il devint impossible de voir ce qu'il se passait sur l'estrade ou même au devant sans attraper un vilain torticoli. Judicieuse idée qu'eut alors le gouverneur a se frayer un passage jusqu'à la principale "attraction" de la soirée. Posant son verre sur un plateau malgré qu'il ne soit fini ne désirant encourir le risque de le renverser malencontreusement sur l'un des invités en se déplaçant... car dieu sait qu'elle peut etre maladroite, prevenant son amie Aubanne qu'elle allait l'abandonner seule un instant avec le Vicomte Pathan, bien peu bavard dailleur, sauf si celle ci désirait la suivre. Agilité et grâce, Cyanne parvint a éviter le moindre entre choc avec les personnes qui croisaient son passage, il faut dire que le passage de Penelope juste devant elle avait ouvert une allée majistrale qui fut a l'origine pour elle mais dont elle se servit pour rejoindre l'estrade.

Son regard se perdit a observer le medaille sur le poitraille de l'ambassadeur venant d'etre décoré. Jolie recompense, et le discours était tres interessant pour une jeune fille qui avait toujours détesté la violence, les armées et la guerre.
L'idée de compatibilité entre la fonction de soldat et celle de diplomate lui semblait totalement absurde, un diplomate cherchant a apaiser les esprits et chercher des solutions pacifiques et le soldats n'étant qu'un executant d'ordres sangunaires et barbares.. Penser que les armes pouvaient amener a la paix la où la diplomatie avait échoué lui paraissait inconcevable avant une discussion et un interet a cette fonction pour des raisons personnelles.
Probablement était ce son envie de croire en la bonté des âmes humaines qui lui avait laissé cette idée, de croire que tout meurtrier et brigands qui chevauchent ce royaume pouvaient entendre raison un jour. Naive, bien trop naive...

Interessée donc elle attendit donc la venue annoncée de Sire Sagaben, dont elle aurait bien aimé voir la soeur.. Espoire, qu'elle femme! Un modele pour la jeune fille qu'elle était. Et voilà encore a revasser.. incorrigible!! Placée a côté du gouverneur elle se vit legerement bousculée lorsque le chancelier descendit de l'estrade pour y laisser monter le Vicomte de Laragne-Montéglin, tous agglutinés devant la scène il n'y avait meme plus de place pour les principaux interessés.
Regard desolé envers sire Akmer, sourire enchanté, elle se décala poliement avant de continuer a suivre les discours de chacun.

Sagaben

Epouser la diplomatie! Il l'aurait bien fait aussi s'il n'avait pas été marié! Il sourit aux propos de son ancienne ambassadrice auprès des ordres.

Si vous ne l'épousez, elle vous enterrera!

Rho, le mauvais jeu de mot. Il passa rapidement dessus. Il hélait à boire. Il est vrai qu'Akmer, qui voulait systématiquement tout fêter lors de son chancelariat, ne pouvait laisser s'assécher l'assemblée. Tenshi était maintenant près du chancelier. Tiens, tiens, on dirait qu'il a ressorti le vieux projet de décorations d'Espoire! Pourquoi pas? A chaque chancelier ses marotes et sa manière de gérer Mercurol, ce n'est pas lui qui pourrait dire le contraire. Mal à ceux qui se seraient opposés à lui sur ce point.

Ma chère Alixe vit la fin de sa grossesse en se reposant à Amilly. Mais elle va bien. Si ce n'est que l'inaction commence à lui peser. Dire que j'avais du courir en Bourbonnais-Auvergne, à l'époque pour la récupérer! Et en Rouergue pour demander sa main à son frère!

Il attrapa finalement un valet pour lui demander de leur apporter des coupes lorsqu'Akmer cita son nom. Il se retourna vers lui l'air pantois. Il se retourna ensuite vers Golden, l'air de chercher une explication. Fronçant finalement les sourcils, il s'excusa auprès de son interlocutrice et s'avança vers le chancelier, tout en attrapant les pans de sa cape pour éviter qu'elle n'aille renverser tel ou tel objet dans cette salle.

Le Tempéré se campa finalement devant le chancelier. Il ne savait quel air arborer, mis amusé, mis étonné...
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Akmer

Voyant, sourire aux lèvres, les invités se rapprocher alors le Vicomte qu’il venait d’appeler faisait également route. Il descendit rapidement de l’estrade afin d’y apercevoir Dame Terwagne, mais aussi pour laisser l’ancien chancelier monter et le laisser être le centre d’attention de tous les regards. Fixant ce dernier avec un sourire alors qu’il descendit les marches, il se heurta à quelqu’un.

Il leva en premier lieu ses yeux au ciel avant de tourner la tête vers la dite personne, prêt à s’excuser. Il fut comme bloqué quand il aperçut la jeune demoiselle. Il lui sourit un peu naïvement avant de s’incliner en signe d’excuse.

Il aurait bien voulu continuer à la regarder, mais le vicomte vint à son tour le bousculer peut être un moyen de lui dire « et ho c’est bon j’suis là, et j’attends ». Il se mit à sourire de nouveau avant de remonter sur la scène, au coté du Tempéré. Il prit une grande inspiration, jeta une dernière fois le regard vers sa petite boite noire avant de commencer son discours.

Le vicomte est l’une de ses personnes qui ont construites années après années notre diplomatie, et ce au prix de nombreux sacrifices personnels et de longues nuit de travail. Aujourd’hui que serait donc Mercurol sans lui, et tous ces prédécesseurs ? Pas grand-chose j’en ai peur. Il marqua une petite pause, Si aujourd’hui nous avons de grands ambassadeurs, c’est qu’ils ont été formé par ces mêmes personnes qui n’ont pas arrêtées à partager leur savoir, leur connaissance et leur expérience avec les plus jeunes afin de faire rayonner notre diplomatie.

Je crois que vous aurez compris l’importance de tel individu, je ne vais pas plus m’attarder. Car à mon sens, et tout comme les ambassadeurs qui travaillent chaque jour pour notre duché, ces anciens chanceliers se doivent de recevoir tout le prestige et l’honneur qui leur est du.

C’est donc humblement que je me permets de vous accrocher ceci :

Il se rapprocha du Vicomte, sourire aux lèvres avant de lui accrocher la décoration, et de lui dire quelques mots plus bas :

Je réservais le même sors à son Excellence votre sœur, dommage qu’elle n’est pu se libérer.

Il fit alors quelques pas sur coté, laissant aux yeux de tous le vicomte fraîchement décoré.
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Akmer, tout simplement.

Terwagne_mericourt

Prendre l'air lui avait fait du bien, et elle revint dans la salle avec les joues un peu plus colorées.

Toujours pas de trace de Walan, dont elle se demandait de plus en plus si il était toujours là ou si il s'était éclipsé discrètement.

Elle reprit donc place à la table où elle avait abandonné sa soeur quelques instants plus tôt, lui sourit, et essaya de comprendre ce qui s'était passé comme remise de médailles durant son absence.
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Aubanne.

Son verre négligemment tenu dans une main, elle écoutait le début du discours d'une oreille distraite.

Elle esquissa un sourire en voyant sa mère se relever sans ambages et se diriger tout droit de manière fort décide vers l'estrade.
Dans un même élan, après une phrase rapidement murmurée Loelia lui emboita le pas et rejoignit le devant de la scène.

Aubanne jeta un coup d'œil furtif vers le Vicomte, voisin silencieux et reprit son observation de la salle.
Elle s'était remplie et les habits aux couleurs chatoyantes rivalisaient entre eux et renvoyaient la lumière.

Le Chancelier Akmer ainsi que la Dame de Méricourt pouvaient être satisfaits.
La fête était réussie...

Per delà les médailles et félicitations distribuées à des gens, qui sans nul doute étaient méritants, une pensée peu à peu l'envahissait.
Depuis fort longtemps, elle parlait de Mercurol et de cet éclat sans pareil qu'elle trouvait à cette noble tache.
Un léger sourire restait étrangement posé sur son visage, tandis que déjà elle échafaudait le plan de rendre visite au chancelier...

Milyena

Mily aperçu Terry revenir vers la table, cette dernière se rassis et regarda vers l'estrade après avoir esquisser un sourire à sa soeur.

Mily regarda dans la même direction, mais n'écoutait pas vraiment, elle pensait à Terry et ce qu'elle avait vécu durant les deux années écoulée où elles étaient séparée.
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Sagaben

Akmer

Terwagne_mericourt

Akmer

Terwagne_mericourt

Akmer

Terwagne_mericourt

Loelia

Milyena

Tenshikuroi

Milyena

Emilie_la_belle

Terwagne_mericourt

Milyena

Tenshikuroi

Leovigilde

La cérémonie et la remise des distinctions étaient terminées et avaient laissé place aux musiciens. Les convives commencèrent à se lever de table pour se rendre sur la piste afin d'honorer l'air entonné par les musiciens. Léovigilde hésitait un peu et se demandait s'il serrait vraiment bon danseur. Cependant souhaitant faire plaisir à sa chère et tendre qui se trouvait à ses côtés, il décida de se lancer. Léoff se leva doucement de table, et s'inclina légèrement vers Ya...

M'offririez vous une danse jolie damoiselle? lança-t-il en lui souriant tendrement et en lui tendant une main.
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Elle regardait Tenshikuroi ouvrir le bal avec Dame Terwagne_mericourt .Elle souriait de les voir danser , elle savait que Tenshi était un piètre danseur mais tout deux s’en sortaient très Bien. Léoff se leva de la place où il était assit puis vint se penche à elle pour l’inviter à danser .Elle sourit , elle ne danser jamais et profita alors de cette occasion , il fallait bien qu’elle apprenne un peu et Léoff lui en donner cette occasion .Elle lui tendit sa main et se leva

Oui avec plaisir Léoff si tu n’as pas peur que je te marche sur les pieds .
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Militante " GONES " // Soeur de Jrjm10

Sagaben

Une fois la récompense remise, les échanges avec le chancelier terminés, ce dernier redescendit l'estrade en direction de la dame de Thauvenay. Le Témpéré quant à lui, fit de même et reprit place parmis les convives lorsque le bal fut annoncé. Tiens, tiens... Bal avant repas. Il avait passablement faim... Mais qui inviter? Il y avait là quantité de jolies dames à faire danser. Il réfléchit un instant. C'était la première danse. Tenshi dansait déjà avec Terwagne qui était comme qui dirait organisatrice et le chancelier était parti. Eh oui... il n'y avait pas à tergiverser... Il se leva, réajusta ses vêtements, lissa ses manches et s'avança vers ... le Gouverneur. Elle était arrivée seule, il se crut donc en droit de... enfin... l'inviter à danser. Pour une fois qu'ils se voyaient en dehors du château...

Elle était attablée. Le Vicomte de Laragne toussota légèrement avant d'attirer son attention. Il mela convenances volontairement exagérées et léger amusement dissimulé. Il s'inclina respectueusement devant sa suzeraine.

Votre Grasce, ferez-vous l'honneur à l'un des décorés de ce soir de lui accorder cette danse?
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Akmer

Vite, il devait faire vite Une fois qu’il eut quitté rapidement Terwagne, il se précipita dans les cuisines. Visage de marbre, teinté d’une certaine gêne, il braqua exclusivement son regard sur la porte des cuisines, essayant de ne pas entendre ce qui se passait à coté, ni même la musique qui commença à inonder la salle.

S’il n’aimait pas quelque chose, c’était à coup sur danser. Etre harmonieux, guider une partenaire pas à pas, juste d’y penser le faisait frissonner. Heureusement rapidement il entra et poussa un soupire de soulagement. Coup d’œil à droite, puis à gauche, il se mit à sourire quand il croisa le regard de quelques pages présents, qui le regardaient les yeux hagards. Il mourait d’envie de leur dire « et ben quoi, zou au boulot » mais ne pouvait pas, sa bouche ne lui obéissait plus, et décidait d’afficher un large sourire.

Quelques instants plus tard, Akmer attrapa un verre vide qu’il rempli de génépi. A croire que cela rassura les pages qui se remirent étrangement au travail. Qui aurait pensé que voir Akmer boire un verre de génépi était rassurant ? Le chancelier pu alors s’adosser au mur, verre en main alors qu’il les voyait tous, se remettre au travail.

Il avala d’une traite le doux liquide avant de s’aventurer prêt de l’entrée des cuisines. Curieux ? Sûrement, curieux de savoir qui dansait, mais surtout curieux de savoir qui ne dansait pas. Ne penchant que la tête par l’ouverture, il aperçut bien du monde, mais une personne en particulière, une jeune demoiselle dont ses yeux ne pouvaient plus s’en détacher.

Sourire naïf sur les lèvres, il entendit une petite voix dans sa tête lui dire « mais qu’est ce que t’attends abruti, elle est là, elle t’attend ! », alors que bien sur une autre, étrangement plus basse lui disait que finalement, il n’aurait pas du être aussi curieux. Tiraillé intérieurement, et dans un mouvement certes pas vraiment gracieux, mais assez rapide, il s’élança de nouveau dans la salle. Voila, il ne pouvait plus faire marche arrière.

Il fit attention de ne pas gêner les personnes qui étaient déjà main dans la main, entrain de se mouvoir gracieusement et parfaitement coordonner. Il se rapprocha de moins en moins vite, ses pas se faisant de plus en plus hésitant alors que finalement, le Chancelier se trouva juste derrière la demoiselle. Une dernière inspiration, et il se lança :

Gente Demoiselle, pouvez donc me dire pourquoi vous n’êtes pas au milieu, dans les bras d’un beau jeune homme ?

Sourire taquin, il lui tendit sa main, plus ou moins sur de lui.
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Akmer, tout simplement.

Terwagne_mericourt

Finalement c'était loin d'être désagréable comme sensation, une fois la nervosité des premiers pas envolée. Et si ça n'avait été les regards discrets qu'elle lançait de temps à autre pour tenter d'enfin trouver le Vicomte d'Ancelle dont elle craignait qu'il ne s'offusque de son choix, nul doute qu'elle aurait apprécié encore plus l'instant.

Lors d'une de ces recherches oculaires, elle croisa subrepticement le regard d'un conseiller ducal esseulé, et lui adressa un sourire furtif, qu'elle fut sans doute le seul à apercevoir.

Revenant à son cavalier, elle lui répondit.

Je vous retourne le compliment, et je vous avoue même que le hasard n'aurait pas pu mieux faire.
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Penelopedefrance

Le Gouverneur fut tirée de ses pensées par la voix du Vicomte de Laragne qu'elle ne manqua pas de féliciter au passage pour sa breloque.
Un sourire respectueux avant de froncer le nez.....Danser, m'enfin il n'y pensait pas, personne jusque là n'avait remarqué ses bottes sous sa robe, il suffisait d'un pas de danse et tout le monde s'apercevrait de sa ruse. Danser, cela voulait dire poser sa main sur son épaule et prendre de l' élan, faire des tourbillons et enchainer des pas....

Et bien je serai dénuée de toutes formes de savoir vivre si je refusais, vous avez de la chance d'être marié à ma cousine, j'aurais sans doute refusé sinon.

Elle sourit, se disant qu'elle aurait préféré accorder son bras à quelqu'un d'autre, non invité ici, mais la bienséance la fit se taire rapidement.

Bon Vicomte, seulement quelques pas... je ne voudrais pas vous amputer d'un orteil en vous écrasant les pieds.
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Sagaben

Mon honneur, Votre Grasce. Et rassurez-vous, je prendrai garde à mes pieds.

Laragne tendit le bras à sa cousine par alliance et les deux se dirigèrent vers la piste de danse où s'occupaient déjà la Tempête avec l'ambassadeur de Savoie et le chancelier avec une jeune damoiselle dont il ignorait le nom.

Une fois sur la piste, le Vicomte rejeta sa cape derrière lui pour pouvoir, comme il se devait, saluer sa cavalière. Il lui sourit et l'entraîna dans la danse en la guidant au rythme de la musique. Le Tempéré se perdit un peu, le temps de ces quelques pas. Plus de bals devraient être organisés sur ses terres. La danse permettait d'oublier bien des tracas. Il jeta un coup d'oeil à sa décoration lors d'une passe et sourit en repensant aux temps qui lui avaient fait la mériter.
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Loelia

Tellement egarée dans ses pensées et ses rêveries que la traversée du chancelier jusqu'a elle lui resta inaperçue. Son esprit vogua jusqu'à Briançon, villes aux coins de paradis et aux paysages idylliques, de quoi faire s'émerveiller la pire des brutes qui puisse exister. Sans parler des habitants qui étaient tout une découverte pour la damoiselle qui n'avait alors que peu quitter le chateau familial, se retrouver entourée de montagnard aux manieres bien plus courtoises qu'elle ne l'aurait pensé mais surtout tous avec le coeur sur la main. Vraiment un chouette endroit..

Soudain une voix résonna juste derriere propulsant son coeur hors de sa poitrine par l'effet de surprise. Il lui a fait peur!! Oreille plus attentive elle reconnu sa voix...
C'est alors qu'elle tourna son visage d'ivoir vers lui, le sourire etincelant de bonheur, saisissant sa main tendue pour s'aider à se lever tout en se perdant dans son regard. Puis une fois debout elle relacha sa main et ajouta tres taquine tout en jetant un regard circulaire a la salle.

Oui tient bonne question! Je vais de ce pas en chercher un!

Apres quelques minutes, Cyanne se tourna a nouveau vers Akmer les yeux malicieux ne pouvant alors s'empecher de lui voler une bise sur la joue. Il était trop mignon.. elle l'avait deja trouvé depuis bien longtemps son cavalier evidemment, mais elle voulait juste l'embeter..
Acceptant alors l'invitation de celui ci, un pouce discret vint caliner la main du chancelier, marque de tendresse de la belle qui ne désirait qu'une seule chose, se pelotonner contre cet homme homme a l'abri des regards indiscrets et ne plus en bouger. Ce n'était hélas ni le lieu, ni l'endroit, la formalité invitait a la danse, son côté jeune fille joueuse songeait à fuir avec Akmer au clair de lune faire une bataille de boules de neige, un dilème auquel l'issu evidente prendrait le dessus : la cérémonie était officiée par une personne qui ne se devait de quitter la petite fête avant la fin, et c'était cette personne qui a présent était main dans la main avec Cyanne sur le point de danser. Tant pis, une autre fois.

C'est heureuse malgré tout qu'elle le suivit sur la piste, rougissante quelque peu de sentir sa main sur sa hanche devant tant de monde bien qu'il était fort probable qu'elle seule y prêta tant d'attention, posant la sienne sur l'épaule de son partenaire. Agreable musique berçant un doux moment, pour une fille romanesque que demander de plus? Un peu de rire c'est possible? A croire que la damoiselle n'est jamais satisfaite. Elle tira le bout de sa langue a son danseur pour .. aucune idée, juste comme ça, pour ne pas se prendre au serieux. Un effet qu'avait eut Akmer sur elle... la rendre folâtre, pleine de vie n'ayant plus peur de s'amuser et de rire.

Le rythme des pas était langoureux, plaçant sa bouche vers son oreille se rapprochant ainsi un peu plus de lui elle murmura toujours aussi taquine.

Vous sentez l'alcool mon cher.. c'était donc pour cela la fuite en cuisine? vider les bouteilles en cachette?

Chipie qu'elle était, se replaçant devant lui, lui souriant de plus belle, observa sa reaction sans quitter la couleur de ses iris si profondément attirants, que n'importe qui s'y noierait à la contemplation. Puis du fond coeur elle ajouta d'une voix sincère.

C'est un honneur pour moi que de partager vos bras le temps de cette danse si je le pouvais je ne m'en séparerait plus jamais.

Leovigilde

Lui tenant la main, Léovigilde accompagné de Ya, s'était glissé parmi les multiples couples de danseurs qui se mouvaient au gré des airs joués par les musiciens. Un grand sourire s'affichait sur le visage de Léoff. L'occasion ne s'était encore vraiment présentée jusqu'à lors de pouvoir accompagner sa chère et et tendre dans une danse.
Il vint se placer devant Ya, saisit la main gauche de sa cavalière et porta tendrement son autre main au niveau des hanches de celle-ci. Léoff n'avait jamais vraiment appris à danser, cependant il se rappelait des quelques pas qu'on lui avait jadis enseigné.

Il regarda une nouvelle fois sa belle dans les yeux comme pour lui demander si elle était prête. Finalement, Léovigilde s'élança doucement au son de la musique, entrainant avec lui sa cavalière tout en évitant de venir lui écraser le plus possible les pieds...
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[RP]Cérémonie diplomatique du Chancelier Akmer