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[RP]Funérailles de Jossc,Baronne du gros Theil

Wallou74
[A quelque part sur les routes]

Wallan comme toujours depuis très longtemps même était sur les routes et rarement chez elle en Normandie. Puis un pigeon vint la trouver, va savoir comment ils font pour toujours trouver le chemin du destinataire de leurs missives peut importe où ils sont. La Maréchal, pris le message qui était attaché à la petite patte du volatile et la lu rapidement après lui avoir donné quelques grains de blé pour le restaurer et le reposer de son long voyage depuis Lectoure. Elle caressa ses plumes tout en lisant sans s'en rendre compte.

C'est en lisant qu'elle se rendit compte que son amie était morte. Mais comment cela est arrivé? Rien dans la missive ne l'expliquait. Pourtant elle était si jeune, comment ca se pouvait. Elle la savait enceinte la dernière fois qu'elle avait eu l'occasion de la voir. Où était la dernière fois qu'elle l'a vu... Puis se remémora les derniers évènements, elle se souvint qu'il s'agissait sans doute à Langres en combat continuel contre les Lions de Juda sans doute. Ses larmes ne purent rester en elle et coulèrent le long de ses joues. Elle restait longtemps a pleurer la disparition de son amie.

Elle savait qu'elle devait rassembler son courage et se rendre à la cérémonie qui allait l'enterrer afin qu'elle puisse enfin reposer en paix. Wallan devait maintenant se préparer pour ce départ et se rendre au point de rendez vous. Elle prépara tristement son cheval, la bête se douta qu'elle était pas comme d'habitude et blotti sa tête au creux de la main de la jeune femme comme pour dire t'en fait pas, je suis là aussi.

Elle devait avertir Salim de son absence, peut-être qu'il viendrait avec elle aussi comme il ne la quittait pas durant toutes ses missions depuis plus de 3 mois maintenant. Et bien sûr tout autant que son fidèle loup Wolf qui maintenant était assez vieux pour courir et la suivre fidèlement partout où elle allait.



[Arrivé au point de rassemblement]


Le matin du départ, Wallan mis son uniforme fraîchement nettoyé pour l'occasion puis pris quelques miches de pains et sacs de maïs pour le voyage sachant qu'elle en aurait pour quelque jours tout de même. Puis voyant que tous était prêt pour le départ, elle lança le cris qui les fit tous bouger. Durant tout le trajet jusqu'à la chapelle, la jeune femme se remémorait tout ce qu'elles avaient accomplis ensemble. Les trois mousquetaires allaient être réuni pour la dernière fois avant la séparation. En y songeant, les larmes revinrent perler les yeux de la Maréchal, elle qui s'était promis d'être forte en tout temps, elle faiblissait alors qu'elle se rappela de tout ce qui faisait d'elle aujourd'hui ce qu'elle est.

C'était grâce à Jossc si aujourd'hui elle voyageait tout le temps, elle lui avait fait connaitre cette joie de la route et combattre pour ses convictions. Elle lui avait donné la chance d'évoluer en lui confiant sa première tâche comme Tribun. Puis ensuite, elle était rentré dans l'Ost ou elle était infirmière pour ces soldats auxquels elle s'était attaché jusqu'au dernier moment ou elle avait tout laisser derrière elle et parti de l'armée tout court. Quand elle y repensait, elle avait drôlement évolué depuis son arrivé à Rouen. Elle abora maintenant fièrement l'uniforme des Templiers dont elle avait évolué depuis quelques temps maintenant, c'était maintenant a son tour de montrer ce qu'elle savait aux 2 écuyers dont elle étaient responsable.

Wallan l'aperçu qu'elle était arrivé déjà plusieurs personne y était dont une jeune femme qui pleurait près de la tombe qui avait une ressemblance avec Jossc, sans doute sa fille, l'auteur de la missive qu'elle avait reçu quelque jours plus tôt. Elle s'approcha de la jeune femme.

Je suis Wallan, l'une des amies de ta mère..... je t'offre mes sympathies et espere qu'elle sera toujours pres de toi lorsque tu auras besoin d'elle, j'en suis sûr.

_________________
Maréchal de l'Ordre du Templier
Metabaron
la nouvelle avait vraiment attrister
Metabaron ,il garda la tète haute et retient ses larmes en souvenir
de son compagnon d'arme Dame Jossc
ses souvenirs étaient encore bien présent


Citation:
________Jeudi 17 Avril 1456_________
-------LA PATRIE EN DANGER ---------
la Bretagne lâche ses troupes sur la Normandie

________Samedi 19 avril 1456_________
l'armer se mait en marche et j'en fait partie

________Dimanche 08 JUIN 1456_________
-------------FINI LA CONVALESCENCE ---------
je repart sur Rouen avec la Lance de Dame Jossc
notre bien faiseuse Dame Jossc a réunie tous les Rouanais éparpiller sur les différents champs de bataille afin de faire une lance de vétèrants
je retrouve mes anciens compagnons de route vivants et en formes
nous rentrons sur Rouen pour faire le plein de provisions

Dame Jossc a sillonner la Normandi afin de retrouver tous les Rouanais blesser ou perdu jusqu a ramener les reliques des Rouanais Mort au combat a leur famille
Rouen nous arrivons


________Vendredi 4 Juillet 1456_________
------ Offensives bretonnes à Fougères-------------
FOUGERES (AAP) 7 armées bretonnes sont parties de Rennes dans la nuit du 3 au 4 juillet en direction de Fougères qui est toujours rattachée au comté du Maine, avec pour objectif de reprendre cette ville à l'origine bretonne.

L'Armée 'Montfort' commandée par Coldtracker,
l'armée 'Pouf Pouf dans ta tronche !' commandée par Ascoli,
l'armée 'Breizh' commandée par Giwdull,
l'armée 'Ost Levieg' commandée par Armeria,
l'armée 'Guérande' commandée par Albatrus,
l'Armée 'BAM' commandée par Amalric36 et
l'Armée 'Bec'h, la relève' commandée par Yyrkoon
ont donc tenté les deux dernières nuits de pénétrer dans la cité fougeraise.

Des efforts vains pour le moment puisque les armées françoyses :
l'armée "Vae Victis" dirigée par Princesse_lotus,
l'armée "1er Corps de la Bande de Normandie" dirigée par Aegidius et
l'armée "Armée de Bourgogne "Pour le Roy"" dirigée par Garwael
ont réussi à repousser l'offensive, obligeant les Bretons à reculer jusqu?à la mine située entre Fougères et Rennes.

Des pertes humaines sont à dénombrer dans les deux camps et ce, de manière équitable.

cette bataille fut une boucherie Dame Jossc était la avec nous
sur les remparts de Fougére ,5 armées françoise ont repousser 7 armées Bretonne



quand Rouen n'allait plus ,Dame Jossc a pris le pouvoir
naturellement et aveuglement je l'est suivie

Citation:
________dimanche 31 Aout 1456_________
--------------Révolte à Rouen---------
Dame Jossc prend le pouvoir
je participe a la révolte par conviction


Dame Jossc restera une amie et un compagnons d'arme
pour l'éternité a mes yeux
--Jossc_fantomette


[entre la Lune et le Soleil]



-- bien ma chère Baronne, n'est-ce point plutôt à vous que la question doit être posée ? Mais pour vous répondre, et bien, l'on ne change guère les bonnes habitudes : je déguste, je goûte, je savoure, je me régale... d'ailleurs, prenez donc un verre avec nous afin que l'on se délecte autant de boire qu'ouïr le nom du triste sire qui a eut l'audace de vous pourfendre de son épée.

--mais non même pas une épée qui m’a pourfendu, c’est juste une mauvaise fièvre, ça la fout mal pour un médecin hein ?

Elle prit place a la tablée ou se trouvait Aristote et Cristos et sortit la petite bouteille que Garance lui avait mise dans son cercueil, pas question de la laisser oh...
Ha!!!!son amie Garance toujours le petit truc en plus que les autres.

--Tiens mon prince buvons, c’est qui eux ?

Jossc montra du menton les deux autres assis en train de boire.
Elle n’était pas si pressée d’aller voir le très haut, il devait avoir pas mal de taf en plus, donc pas la peine de le surcharger non plus.


--Bon on trinque ici, ça se fait ou pas ?
Faut que tu m’apprennes les us et coutumes d'ici toi. Dis-donc t’as l’air en forme, heu..... à part ta tête, j’te trouve un peu rougeot tout de même.

Jglth


C'est avec tristesse que Jglth se rendit à l'enterrement de Dame Jossc et à la vue de la foule présente, il fut réconforté. Pas un ne semblait l'avoir oublié. Il faut dire que c'était chose bien difficile quand on avait croisé la "baronne"...
Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas eu de nouvelles de sa part si ce n'est ces derniers jours afin de lui transmettre des informations militaires confidentielles. Il avait été plus que surpris le surlendemain d'apprendre la mort de son interlocutrice. Interlocutrice qui, voila plus d'un an l'avait formé aux rouages de l'intendance de l'armée normande.
En silence, Jglth prit le temps de se recueillir et chercha à se frayer un petit chemin vers la famille afin de les assurer de son soutien et de son affection.
Prud80
C'est entre Dieppe et Rouen que Prud fût informée du décès de Jossc , par une missive dépêcher par un coursier . Il faisait déjà frais sur le chemin , mais à la lecture de la missive envoyée par la fille de Jossc , Alix , Prud sentit un frisson lui parcourir tout le corps .
Elle se souvenait de son arrivée à Rouen , de son accueil et de son aide . Jossc était toujours présente lorsqu'elle avait eu besoin d'un conseil ou avait eu un doute .
Elle entra vite fait au moulin , laissa son époux , légèrement souffrant , avec leur fils et la nourrice , puis avait sceller son cheval et galopa en direction de Lectour .
Lorsqu'elle arriva , déjà beaucoup de personnes étaient présentes . Certaines qu'elles connaissait et d'autres pas . Elle passa en saluant à qui voulait répondre .
L'hommage se passait en pleine nature , ce qui n'étonna pas Prud , connaissant son amie et son amour pour la nature .
Elle s'avança jusqu'au cercueil , où une jeune fille se tenait . Sans doute sa fille Alix Elle paraissait bien courageuse de se tenir là seule devant sa mère . Mais elle était entourée de toute l'affection des amis de sa mère et elle n'en manquait pas .
Elle se présenta discrètement auprès de la jeune fille en lui prenant les mains dans les siennes , comme une mère qu'elle était , lui apportant son soutien .


Quel triste bonjour je vous présente damoiselle . Je suppose que vous devez être Alix , la fille de notre bien aimée Jossc ... Je suis Prud de Rouen . J'ai connu votre mère à mon arrivée à Rouen , que je n'ai quitté depuis .
Je vous remercie de m'avoir informé de cette triste nouvelle et suis de tout cœur avec vous . mais je suis sure que vous suivrez les pas de votre mère .


Prud avait le coeur de devoir ainsi parler , mais pour Jossc qui n'aurait sans doute pas voulu voir ses amis pleurer , elle se retint puis se retira à l'écart .
Elle se plaqua contre un gros chêne , les bras trop petits pour l'envelopper et communia silencieusement .
Dieu se trouvait en tout lieux et quoi de mieux que ce chêne pour recueillir ses pensées , ses prières .
--Ylanis_is_dead


[Toujours dans les étoiles]


Alors qu'elle posait son noble postérieur, Ylanis fût quelque peu étonné qu'une simple fièvre puisse l'emporter sur la Baronne... quoique... ça arrivait bien souvent aux buveurs d'eau chaude. L'ancien juriste se préparait à une remarque cinglante sur ce lamentable penchant, mais fût prit de vitesse et rassuré que ce pêché n'avait pas gagné la blonde, lorsque celle-ci sortit une petite bouteille.
Le puits sans fond sourit.


- Tiens mon prince buvons, c’est qui eux ? ajouta-t-elle en désignant les deux messies.
Les trois hommes en restèrent coi l'espace d'un instant, et avant qu'ils éclatent de rire, la Baronne continua ses pertinentes questions de son air innocent.

- Bon on trinque ici, ça se fait ou pas ? Faut que tu m’apprennes les us et coutumes d'ici toi. Dis-donc t’as l’air en forme, heu..... à part ta tête, j’te trouve un peu rougeot tout de même.

Le rire retentit.
- Non non, crois moi ! je ne rigole pas quand je te dis qu'il s'agit d'Aristote et de Christos. lâche Yla en rigolant, puis il se penche comme pour souffler un secret sans pour autant baisser le ton qui résonnait d'amusement. Et voyons Baronne, ne parlez pas comme s'ils ne pouvaient vous entendre... ces messieurs ont aussi leur sensibilité.

Aristote et Christos d'où émanait une aura apaisante souriaient à la nouvelle venue et confirmèrent d'un signe de tête positif. Le Prince, habitué des conventions, en fît fi, comme à son habitude en se saisissant de la bouteille rapatriée par la défunte.

- Et pour trinquer... et bien si, ça se fait... petits rires convenus des trois hommes ... du coup il est possible que cela explique mes rougeurs... mais loin de moi de le penser, accusons plutôt la proximité du paradis solaire !

Remplissant nonchalamment les verres des présents, l'homme aux cheveux de jais reconnut le doux parfum du calva.

- Et bien ma chère, du calva ? N'étiez-vous pas sensé ramener de l'armagnac plutôt ? A moins que vous soyez retournée vivre, ou mourir, auprès de vos tendres pommiers.
Miline
Triste elle l'était, la baronne n'était plus.

Miline ce souvint d'une de leur rencontre, elle n'était qu'une jeune vagabonde.
Un bel homme bien mis était passer à la taverne où elle traînait ses haillons. Il avait tenté de convaincre quelque villageois à participer à la défense du village. Elle avait refusé tous net, pourtant il y avait mis du cœur.
Puis Jossc était entrée, à peine avait-elle fini d'exposer la situation que Miline s'était levée, morte de peur mais prête à partir au combat.
Le lendemain comme convenu, Miline s'était présentée au chef de son groupe de défence.

A ce souvenir Miline sourie.
Elle avait fait une de ces têtes en le voyant. Son chef était l'homme à qui la veille elle avait dit refusé de prendre les armes, considérant que la défense était affaire de gens d'armes, pas de vagabond comme elle.

Son sourire pouvait paraitre incongru en ses lieux, pourtant en faisant ses adieux à la grande dame qu'était Jossc, il flottait toujours sur les lèvres de Miline.

Jossc, tu n'es plus, nul nouveau nés dorénavant pourra entendre ton rire cristallin.
Mais tu es la pour toujours, au fond de bien des coeurs, au détour de souvenirs joyeux ou tristes, graves ou légers.
Tu vis au travers de ton oeuvre tout entière.

J'ai gravé dans ma mémoire le souvenir de cette soirée à la taverne, c'est ainsi que je veux me souvenir de toi. Pleine de vie et d'entrain, pleine de ce je ne sais quoi qui m'a donné envie de te suivre au bout du monde.

Merci m'dame la baronne, merci d'avoir tendu votre main à la vagabonde que j'étais.
Puisse Christos vous accueillir en sa demeure parmi les saints.


Miline, s'approchât d'Alix, elle ne savait que lui dire, aussi elle se tut. Posât simplement un instant sa main sur la sienne. Puis se dirigeât vers son tendre ami.
Galahad*
Galahad était présent, éternel fidèle. Ils étaient passés par tant d'épreuves. Cette terrible guerre de Bretagne, inoubliable, ces missions à travers le royaume, les chasses de brigands sur tous les chemins et par tous les temps. Jossc était une femme de tête mais aussi de coeur. Elle prenait tout passionnément.
Galahad s'avança devant Alix.


Vous ne devez pas me connaître si ce n'est de nom. Mais si votre charmante et pourtant défunte mère vous a parlé un peu de moi, vous pourrez mettre ainsi un visage sur un nom. Il est des moments pénibles et tout peut vous paraître dérisoire, même les mots peuvent devenir inutiles. Je ne vous dirai qu'une chose, votre mère était une sainte.

Galahad prit délicatement la main de la jeune fille qu'il trouva glacée et lui fit une bise sur le dos de sa main. Puis il s'écarta en faisant une révérence.
Horloger


Horloger avait appris la funeste nouvelle par missive, envoyée par la fille de dame Jossc. Il l'avait peu connue, l'ayant croisée quelquefois dans les couloirs de Château, et ayant eu l'occasion d'échanger quelques mots avec elle, il avait apprécié sa franchise. Dame Jossc parlait sans détours, une qualité, selon lui.
Il avait informé Matou de cette triste nouvelle, et tous deux, après avoir confié Mahaut à la nourrice, s'étaient mis en route.
Lorsqu'ils arrivèrent, un grand nombre de personnes se trouvait là, chuchotant en groupe, ou entourant le cercueil, qui se trouvait en pleine nature. Saluant les personnes présentes, Matou et Horloger se dirigèrent vers le cercueil. Dame Jossc reposait, son visage en paix. Tous deux s'inclinèrent devant la dépouille, puis présentèrent leurs condoléances à la jeune fille se tenant près du cercueil. La ressemblance était si frappante que nul doute n'était permis: même s'ils ne l'avaient jamais rencontrée, c'était Dame Alix qui se tenait là, digne dans la douleur. Matou et Horloger s'approchèrent d'elle, et Horloger dit:


"En ce triste jour, soyez assurés de toute notre affection, en mémoire de votre mère. Si nous pouvons vous aider en quoi que ce soit, n'hésitez pas à nous le faire savoir."

Ils reculèrent de quelques pas, et se recueillirent en silence.
Noiraude
Noiraude aidé de Kachi avaient aidé Alix la fille de défunte à la préparer pour son dernier voyage.
Maintenant son corps reposait dans un cercueil où des gens venus de toute par venaient lui offrir un dernier hommage.
La jeune sage-femme et étudiante en médecine rejoignit son amie qui s'occupait du dispensaire de Joss,prit sa main dans la sienne et pria avec elle.

_________________
Attalus
Attalus en lisant la missive de la Alix du Vivier, partit dans ses souvenirs. Au moment où il entendit le nom de Jossc pour la première fois. Al a caserne de l'Ost c'etait. Elle était medecin chef, si sa memoire était bonne.
Il se souvenait de ses colères qui faisait trembler les murs.

Ensuite, il la connu mieux qu'en ai fut connetable sous la regence d'Asticot et que lui, pauvre petit Lieutenant d'une des garnisons de Normandie fut nommé Lieutenant général, après l'evenments qu'on appelra plus tard le Grand Départ.

C'était et restera une sacrée bonne femme, Attalus avait eu plaisir à la connaitre. Le Baron Reaver avait eu de la chance de l'avoir pour épouse et la jeune Alix comme mère. Enfin elle n'etait pas non plus parfaite...


Le récenment baron s'approcha afin de rendre hommage à la jeune femme, parti comme beauoup trop tôt.

Attalus était venu avec sa promise, Estoile. Elle lui apporté le soutien qu'il avait besoin dans cette dure épreuve. La savoir à ses côtés était une bénédiction.

Il tenait à la main, un petit bouquet de Dahlia, fleur qu'aimait la defunte.

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Hidatsa


Le coeur lourd, Hida arriva aux funérailles de Jossc. Elle n'avait pas eu le droit d'approcher du dispensaire à cause de sa grossesse, Noiraude et Kachi avaient peur que la maladie dont souffrait Jossc soit contagieuse elle était très peinée de n'avoir pu lui dire un dernier adieu...
Elle serra très fort le pendentif qu'elle lui avait offert lors de son mariage. Elle était déjà bien souffrante mais voulut assister à la cérémonie, une femme forte en toute circonstance, c'était de cette façon qu'Hida se souviendrait de Jossc. Une guerrière hors-pair, uen femme généreuse au fort caractère. Elle pensa très fort à Reaver et à sa fille qu'elle ne connaissait point encore mais elle pourrait compter sur les femmes de Lectoure pour la consoler et la soutenir dans cet instant pénible.

Elle déposa une rose blanche sur le cercueil, caressa son ventre arrondi en priant quAristote prenne bien soin de son amie.
Tekil
Tekilabanda n'aimait pas trop les cérémonies, les discours et tout et tout. Mais là, c'était différent. Jossc avait été pour lui une grande amie ! Elle avait beaucoup donné pour Rouen avant de quitter la capitale normande, Tekila n'ayant d'ailleurs jamais compris pourquoi. Enfin, il était naturellement là, pour lui rendre un dernier hommage...
Amboisyne


Les jours précédents les funérailles de Jossc , EStoile écouta attentivement son aimé lui parler de cette personne qu'elle même n'avait que très peu rencontré lorsque cette dernière était venue en la belle ville de Bayeux.
Attalus semblait affecté par sa disparition et c'est donc tout naturellement que Saint Ursin accompagna le Baron de Creully à la cérémonie d'hommage qui allait commencer ; elle ressera sa main sur la sienne en murmurant ...
Je suis de tout coeur avec vous MIlord ... essayant d'ainsi lui apporter un fort soutien car il n'était jamais aisé de voir partir pour l'Acadie une personne très chère .

_________________
*Una Luce Divina Sulla Strada*
Wilou61
[A LA RECPETION D'UN PIGEON]

Son coeur s'était brisé, ses genoux avaient fléchi lorsque Wilou avait pris connaissance de la lettre que ce pigeon avait apporté à sa fenêtre.
S'il n'avait pas été si fier, il serait surement tombé à genoux en pleurant et implorant Aristote.
Mais en plus de sa fierté, il savait que ce n'est pas ainsi que Jossc aurait voulu le voir. Il se devait de rester digne, digne de cette femme de caractère et de grand coeur.

Son esprit vagabonde et part vers Bordeaux assiégée, là où il l'avait rencontré pour le première fois. Rencontre fugace mais appréciable.
C'est ensuite à la CMO que leur amitié s'était forgée. Il sourit en se rappelant de quelle manière ils avaient lié connaissance. Jeu de séduction, jeu de dupes et puis une franche et cordiale amitié établie, au fur et à mesure des discussions, des missions. Et c'est presque à la fin de leur aventure commune qu'il avait compris quelle femme était Jossc.


Felinas, mon ami, viens par ici ! J'ai triste nouvelle qui te concerne aussi !

Felinas, son fidèle compagnon, était devenu aussi amie de Jossc, dont il remplissait le verre sans compter. Le lecture de la lettre le troubla aussi et Wilou put voire les larmes apparaître dans les yeux de son ami avant qu'il ne tourne les talons et court à l'extérieur. Fidèle Félinas !

[LE JOUR DES FUNERAILLES]

Le regard triste, il s'approche tristement au bras de son amour. Il aperçoit quelques connaissances, en d'autre temps il se serait réjoui de revoir Galahad par exemple, mais le jour n'était point aux retrouvailles exubérantes. Pourquoi le Destin avait-il voulu que cela soit 3 jours avant leur mariage !? Il se faisait une joie de la revoir, mais c'est bien tristement qu'il vient lui rendre un dernier hommage.
Felinas n'avait pas voulu venir, surement trop triste, et trop fier pour montrer ses larmes.

Le couple s'approche de la jeune fille qu'on leur a signifié être Alix et s'arrête devant elle.


Mademoiselle, permettez nous de nous joindre à votre chagrin. J'aurais tant voulu revoir Jossc autrement, cela faisait bien longtemps que je n'avais eu le plaisir de sa compagnie.
Mais à présent il n'est plus temps, cela est bien triste.
Toutefois, au nom de l'amitié qui me liait à votre mère, sachez que je n'hésiterais pas une seconde à vous venir en aide si vous êtes dans le besoin.


Il sourit tristement.

C'est là la moindre des choses que je puisse faire pour toutes les dettes de coeur contractées auprès de feue votre mère.

Il s'incline devant la jeune fille, jetant au passage un oeil sur le cercueil, ce qui lui arrache un soupir de tristesse. Combien lui faudra-t-il voir d'amis mourrir pour qu'il s'y habitue ?
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