[rp] Le dispensaire de guéret: Causae et curae

Arthaud avit vu juste les premiers malades qui arrivèrent furent deux blessés.tout deux semblaient bien mal au point .elle les fit porter dans la salle de soin

Elle examina dabord la femme ,l'homme qu'elle ne reconnu point sur le coup semblait avoir deja reçu des soins

"faite bouillir de l'eau vite "

le teint de la jeune femme était anormalement livide .elle avait perdu beaucoup de sang. Aima étant absente ,elle devrait la recoudre elle même .La jeune femme n'étant point transportable à Limoge . Elle n'était pas encore médecin mais elle avait soigne suffisamment de cas comme cette jeune femme quand elle etaita la guerre .De toute façon soit Arthaud l'opérait ,soit la jeune femme mourrait avant le coucher du soleil

on lui apporta l'eau bouilli .Arthaud y jeta diverses plantes dont de l'Angélique ,de l'aigremoine pour pouvoir nettoyer la plaie

"lankou j'ai besoin de toi" cria t'elle afin que celui ci pris en charge le jeune homme qu'elle avait maintenant reconnu avec une horreur non dissimule

"vient vite antoninus est la il est gravement blesse et jen ai une autre "


La plaie de la jeune femme nettoyer .elle se rendit compte de l'ampleur des dégats .

La plaie était longue ,avait beaucoup saigné mais pas aussi profonde qu 'on aurait pu croire au premier abord
.Certais médecins auraient cautérisé directement au fer rouge .mais arthaud avait vu trop souvent que ce traitement avait parfois de pire conséquence que la blessure

S'inspirant de techniques des médecins arabes qu'elle avait cotoyé ,elle décida de recoudre la plaie .Elle ordonna à deux costauds de maintenir la patiente.Elle était évanouie mais elle pouvait trés bien se reveiller .Arthaud ne pouvait rien lui donner pour le moment contre la douleur et avait donc besoin qu on la mantienne fermement pour qu'elle puisse recoudre correctement .

La tache était longue et difficile mais Arthaud s'y attela avec ardeur.Bientôt la blessure se retrouva fermer afin d'aider la cicatrisation ,Arthaud fit un cataplasme à base de graisse d'oie ,de cerf et de bouc ,auquel elle avait ajouté une pointe de Plume de suc de belladone .Cette onguent permettrait renouveller deux fois par jours à la première cicatrisation.Arthaud avait veille à ce qu ela dose de belladone soit la plus minime possible .elle n'aimat pas cette utilisation et préfére d'ordinaire utilise la consoude mais l'état de la patiente exige une tel onguent.

La Plaie était nettoyée ,recousue et pansée. La patiente n'avait toujours pas repris connaissance; Son pouls battait .Maintenant ,il fallait patienter ,attendre son réveil pour pouvoir lui donner de quoi ranimer son coprs qui s'était vidée de son sang .les prochaines heures seraient vitales.....
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J'étais en train de faire l'inventaire dans l'apothicaire lorsque j'entendis la voix de Arth raisonner contre les murs.

J'accourus pour savoir ce qu'il se passait, puis je vis Antonius qui se tordait de douleur, la jambe complètement ensanglantée.
Je demanda aux soldats qui l'ont ramené de le pose sur la table d'opération.

Je fis chauffer de l'eau, découper des bandes de tissus, alors que je donna l'ordre aux soldats de le faire boire un alcool fort pour le faire anesthésier dans un coma éthylique.

Courage Anto, Courage mon ami! lui dis je avant de le voir s'endormir.

Puis, je lui ôta la cote de maille, tout en remerciant les soldats de leur aide.
Je nettoya la plaie avec de l'eau froide d'abord pour que je puisse mettre une compresse extrêmement serrée pour arrêter l'hémorragie.
Je désinfecta avec de l'alcool et avec un fer chauffé à blanc je cotorisais la cicatrice, puis je pris du fils pour recoudre la plaie tel que nous l'a enseigné notre professeur en chirurgie selon une méthode sarazine.

Après quelques heures je sortis pour rencontrer Mirana et lui dire qu'il s'en sortira. Mais il faudra qu'il reste quelque temps ici pour contrôler la cicatrisation de la plaie, auquel cas il faudra l'amputer.
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Mirka ne sentait plus grand chose. De toutes façons, depuis qu'elle avait avait perdu connaissance, elle n'avait même plus l'impression d'avoir un corps. Etait-elle enfin morte ? Mon dieu mais que c'était ennuyeux alors la mort... et puis surtout... Mirka avait gardé une seule chose : sa conscience. Et celle-ci la faisait souffrir...

[Champ de bataille, entre Guéret et Chateauroux]

Dos à dos, elle combattait. Anderg couvrait ses arrières et elle s'occupait des siennes. Ils avaient trouvé l'harmonie parfaite. Le couple sentait les mouvements de l'autre, les anticipaient. Ils savaient parfaitement ce qu'ils faisaient et combattaient presque comme un seul homme.

Tout allait pour le mieux, ils ne fatiguaient pas trop et repoussaient leurs ennemis de façon presque intuitive. Quand tout à coup, Mirka vit un homme écarter ceux qui étaient de son côté. Tadek. L'un des chefs de l'armée ennemi. En reconnaissant l'homme, elle cracha à ses pieds et engagea sans plus attendre un féroce combat.

Malheureusement, il était bien plus fort qu'elle et alors qu'elle s'apprêtait à avertir Anderg, Tadek recula son bras pour prendre de l'élan. Non, elle ne voyait que trop bien ce qui allait se passer... Dos à dos avec son amant, ils se feraient embrocher tous les deux si elle le laissait faire. Elle n'avait plus le temps de parer la botte, trop rapide, ni d'esquiver. Elle regarda alors la pointe venir, la sentit entrer dans son ventre et s'écarta à cet instant précis.

Tombant sur le côté en sentant la lame déboucher dans son dos, elle tourna la tête vers l'homme qu'elle aimait. Elle pensa à ses filles, Ange et Maëlys. Elle pensa qu'elle aurait tellement voulu les voir grandir... mais cela ne serait pas. Mirka croisa le regard d'Anderg et y lut une tristesse inexprimable. Pour la dernière fois elle sourit à celui qu'elle avait tant aimé, avant de sombrer.

[Salle de soins, Guéret]

Hhhhhhhhan...

Grande inspiration au sortir de l'inconscience... mais accompagnée d'une vive douleur dont Mirka s'empressa de tirer les conclusions. Elle grimaça et expira très lentement en gémissant.
Malgré la grande faiblesse de son corps, elle se força à entrouvrir une paupière. D'abord, vérifier où elle était tombée. Au cas où des ennemis l'auraient capturée, elle devrait s'enfuir. Et elle ne reconnaissait pas l'endroit...

Grrrrmbl...

Grognement d'agacement cette fois. Trop fatiguée, elle referma son oeil. Elle n'allait pas tarder à se rendormir. Morphée lui ouvrait d'ailleurs déjà les bras en grand, murmurant à son oreille des promesses de repos plus alléchantes les unes que les autres...
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Arthaud entendit sa patiente grogné .elle savait que la douleur la ferait vite retomber dans l'inconcience .Elle s'empressa de lui faire boire une decoction d'eau dans laquelle avait trempé longuement un clou rouillé .Cela aiderait à combattre l'anémie dont elle souffrait et à reprendre des forces dont elle aurait grand besoin . Puis afin de calmer les douleurs ,elle lui fit boire une decoction de grande cigue .Cette plante mortelle a forte dose ,avait une propriete analgesique et sedative à dose tres réduite .L'état de sa patiente méritait un tel traitement

Puis apres avoir verifier ,que les fonctions vitales de sa patiente répondait bien à son traitement et avoir refait le bandage.Elle la fit transporter en salle des femmes.Maintenant ,seul le temps permettrait de dire si tout se passerait correctement .mais Arthaud avait bon espoir .Sa patiente dont elle ne connaissait toujours pas l'identitée semblait jouir d'une bonne santé avant ce coup d'épée.

Puis elle se retourna vers Antoninus .Lankou avait cautérié la plaie au fer rouge comme elle s'était refusée à le faire avec sa patiente .L'odeur de cochon grillé avait emplie la salle de soin . Arthaud regarda la blessure ,elle était propre mais un cataplasme de consoube aiderait la cicatrisation et éviterait le pourrissement des tissus. Elle refis le bandage.
Puis ordonna à l'aide de camp barbier ,de transporter Antoninus dans la salle des Hommes et de lui faire une decoction qu'elle avait prépare pour lui permettre de moins ressentir la douleur

Epuisée ,elle demanda à ce qu 'on vienne la chercher au moindre signe d'aggravement de l'étar d'un des deux patients .Lankou avait suffisament à faire à la mairie . ET les deux blessés devraient dormir plusieurs heures ,ce qui lui permettrait de prendre également un repos bien mérités
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L'armée était présente face aux hauts remparts de la cité. Les étendards flottaient au vent. Pendant quelques secondes un silence de mort vint tomber sur la cité. Tous les hommes regardaient l'ennemi en face de lui. Chacun savait ce qu'il avait à faire. Donner la mort ou mourir. Gueld leva la tête et lança un regard vers les remparts.


Arf c'est haut leur mur là. Veulent pas descendre pour qu'on puisse jouer? Tricheur pffff.

Gueldnard sortit son épée légèrement recourbé. Il misait sur sa rapidité et son agilité pour battre ses adversaires. La force pur n'est rien, avec dextérité on peut venir à bout de n'importe quel adversaire. Les cors commencèrent à résonner sur le champs de bataille mettant ainsi fin au silence qui régnait depuis quelques secondes. Les cris des hommes s'élevèrent et chacun courut vers l'ennemi. Certains coururent directement à leur perte. Déjà les premiers bruits de combat se firent entendre. Les premiers boucliers et les blessures firent vite leur apparition. Gueld s'apprêtait à engager le combat quand une atroce brulure au niveau de la tête se fit ressentir. Son premier réflexe fût de reculer. De l'huile, ces lâches lui avait balancé de l'huile bouillante. Désorienté il recula puis trébucha sur un corps inanimé. non se n'était pas possible!


Mirkaaaaaaaa. Hey mirka c'est pas vrai tu vas pas nous laisser tomber. Allez réponds moi.

Il s'appaisa et s'approcha de son visage. Elle respirait encore. Une flaque de sang entourait son corps. Il la retourna doucement et vit l'horrible blessure. Gueld arracha un morceaux de sa chemise, mit de l'eau dessus et recouvra la blessure. Un simple bandage de fortune, ça devrait suffire jusqu'au campement, du moins il l'espérait. Il porta son amie et prit la direction de Guéret. De temps à autre il s'arrêta et changea de bandage. Au fur et à mesure sa chemise rapetissait. Pendant le voyages quelques gémissements de douleurs se firent entendre. Ça rassurait Gueld, au moins elle se battait pour rester en vie. Après quelques heures de marches, Guéret se montrait enfin.

Gueldnard cherchait un endroit où l'on pouvait soigner son amie. Des villageois lui indiquèrent le dispensaire nouvellement construit. Il le trouva rapidement et déposa son amie au soin d'une femme. Il suivit tout ce qu'elle lui faisait.


Rhalala Mirka, te mettre dans de ces états pour qu'on te fasse boire. Malheureusement pour toi ça n'est pas aussi bon que la prune.

Sourire forcé, il laissa son amie se faire embarquer par deux personnes. Elle était maintenant entre de bonnes mains. A peine le temps de vouloir remercier celle qui soigner son amie que celle ci était déjà partie. Il tourna donc les talons et reviendrait la voir un plus tard pour prendre des nouvelles de son amie.
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Mira faisait les cents pas devant la salle de soin. Son Antoninus était grievement blessé et elle pleurait...
Elle accourru quelques heures plus tot sachant par Yolane que son amour était revenu et qu'il risquait de perdre sa jambe
Mira n'avait put encore le voir car Lankou et Arthaud étaient a tout faire pour lui ...

Elle vit alors Lankou sortir de la piece et aller vers elle pour lui dire qu'il s'en sortira. Mais il faudra qu'il reste quelque temps ici pour contrôler la cicatrisation de la plaie, auquel cas il faudra l'amputer.

La jeune femme écarquilla les yeux horrifiée a l'entente du mot AMPUTER
Elle se sentit prise de panique et supplia Lankou de tout faire pour ne pas que ca arrive

-Je t'en prie Lankou je t'en prie ...il ne l'acceptera jamais si ont doit l'amputer et tu le sais ! Il faut sauver sa jambe !!

Mira pleurait a chaudes larmes et se faisait un sang d'encre pour son prince...

- Je peux aller aupres de lui Lankou ? s'il te plait ?

Mira voulait rester pres de lui pour le soutenir et le consoler...Elle ne voulait pas le laisser seul une seconde...
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toc toc bonjour !!!
je suis pascalous je me suis blesse au combat pouvais vous me soigner !!

Arthaud ,apres quelques heures de repos était revenue au dispensaire
D'autres patients attendait ses soins

elle vit unhomme dans la salle dattente et elle le fit entrer dans la salle des soins afin qu il lui explique où il etait blessée

c'est à ce moment qu'elle aperçut mirana sorti deux minutes de la salle des hommes pour respirer .Elle était en larmes

S'approchant de la jeune fille ,elle lui dit

"ne tinquiète pas mirana ,antoninus , va guérir et puis sa jambe normalment ira bien .Le cataplasme dont on la recouvert empechera la pourriture des tissus.Je suis sans la salle des soins si tu a besoin."

Elle s'en retourna apres avoir encourager mira à prier.Elle prit des nouvelles de sa patiente . Apriori elle s'etait réveillée une fois, on lui avait redonné à boire de leau rouillée et elle avait replongée dans linconcience,effet de la decoction de Belladone .l'homme qui l'accompagnait avait demandé à la voir et promis de revenir


Arthaud alla donc voir son nouveau patient

"alors messire je susi à vous,que vous arrive t il ?"
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Mira, Apres les paroles réconfortantes de son amie Arthaud, se calma un peu et retourna au chevet de son Anto qui ne s'était toujours pas reveillé...Elle lui chuchotta doucement a l'oreille:

-Antonin mon amour tu a entendu Arthaud ? tu ira bien mon amour ta jambe est sauvée

Mira lui caressa les cheveux et l'embrassa tendrement sur le front.
Elle resta pres de lui un moment, lui prit la main, par espoir qu'il se reveillera sous peu...

-Je t'aime mon amour, je suis là.
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Après mes obligations à la mairie, j'allais faire une tour au dispensaire.

Je fis une visite de contrôle pour voir comme se portent les blessés.

Puis je vis Mira au chevet de Anto qui était toujours plongé dans un sommeil profond.

Salut Mira, je viens prendre de vos nouvelles à vous deux.
Tu sais Mira j'ai fait mon possible pour le sauver, il va s'en tirer j'en suis sûr.

Puis j'osculta la jambe de Anto voir l'état de cicatrisation de la plaie.
L'ongue de Arth faisait son effet quand bien même il eusse été trop tôt pour se prononcer.
Très bien! C'est bon signe! Mira il est en bonne voie de guérison
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pascalous montra sa jambe il y avais une pointe de fleche qui y etait enfoncer

Arthaud regarda le jeune homme .La blessure saignait à peine .la pointe de la flèche ayant empeché le sang de s'écouler ce qui serait different quand la pointe serait retiré

c'était une opération délicate mais Arthaud se voulait rassurante .Elle connaissait la technique et ferait tout pour tout se passe bien

"et bien messire ,il va donc falloir l'enlever.je vous avouerais que ce ne va pas être une partie de plaisir .Cela a fai tmal quan delle est entré cela risque d'être pire quand elle ressortira car il ne faut pas qu'elle se casse sinon depetit morceau pourraient rester inscruster dans la peau à vos risque et peril"

Elle lui sourit comme pour atténuer ses propos
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Antoninus se reveilla doucement et vit le visage de son aimée penchée sur lui et sourit
Ah tu es la Mira.... Je vais beaucoup mieux. Peut être parce que j'ai sentit ta présence. J'en ai plus que pour quelque jour maintenant.
Il lui demanda de s'approché et l'emvrassa tendrement. Puis se redressant lui pris la main et lui demanda

Tu m'emmène faire un tour au Lac? si'l te plait.. respirer l'air pur me feras du bien.

pascalous serra les dents de toutes ses force il contempla son infirmiere avec plaisir quand soudain
:" aie aie !!!!"
la dure realite de la vie refis surface !!!
elle s'affera sur sa blessure ......

Arthaud sourit au jeune homme et lui dit

"je vous ai à peine touché ,il me semble. je pense que vous allez avoir besoin de ceci "dit elle en lui tendant une decoction de sa préparation antidouleur
Une fois celle ci avalait.Elle alla voir sa patiente le temps que l'effet des plantes se fasse sentir chez le jeune homme

La jeune femme avait repris des couleurs mais dormait toujours .Son teint etait encourageant. les fonctions vitales bonnes.
Elle repartit le sourire aux lèvres

Arrivant dans la salle de soins ,elle fit signe à deux costauds de maintenir le jeune homme qui semblait plus détendu.

Elle attrappa une pince à bec de corbin et retire le morceau de flèche . Le jeune homme hurla malgré la tisane et s'évanouit.
Le plus dur était passé. elle recousu la plaie et lenduit dun cataplasme à base de consoube.
Puis elle le fit porte en salle des hommes
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