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[RP][Escouché] Sous l'aile d'un épervier

El Cid
*Tenir Ses promesses, tenir ses promesses, ne pas oublier, ne rien oublier* pensait Cid en faisant les cent pas dans la petite chapelle

L'heure etait venue pour Cid d'enfin accomplir l'un des derniers souhaits de sa defunte épouse. La cérénomie devait se deroulait ici. Aujourd'hui devait avoir lieu l'ennoblissement de celle que Beli avait receuillie peu de temps avant sa disparition. Desormais, la jeune fille volait de ses propres ailes et plus le temps passait et plus les risques etaient grands de la voir perdre son innocence juvénile avec le premier preux chevalier qui passerait devant ses yeux. Oui donc, il fallait se presser quoi, parce que les hormones commencer a prendre le dessus et il ne lui faudrait sans doute pas des mois pour qu'elle ne se retrouve avec un tas de viande vagissant sur les bras (ou dans sa couche...) Et Cid s'en sentirait responsable si cela devait arriver avant qu'elle ne fut pourvue de tous les attributs que Beli aurait souhaité lui confier.

Ainsi donc voila deja quelques semaines qu'il avait envoyé patente aupres du heraut pour que celui ci organise la cérénomie. Tout devait etre a présent pret pour que tout se déroule sous les meilleurs hospices, ne manquait plus que les participants .

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Duc d'Escouché
cl0e
Après son arrivée des plus mouvementées au château, la Lectouroise avait finit par être menée devant la bonne personne. Enfin.
Entre-temps, elle avait tout de même pu se préparer, se pomponner. On se faisait pas tous les jours anoblir. Vêtue de cyan, sa couleur favorite, et d'écru, ses longs cheveux blonds dorés noués sur sa nuque, elle se rendit dans la petite chapelle ou la cérémonie avait lieu. Son futur suzerain était présent, seul, faisant les cents pas.

Elle s'approcha dans un léger bruissement d'étoffe, plissa les genoux et baissant la tête.


- Bien le bonjour, Vostre Grasce.

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Rhân
Après s'être déplacé jusqu'en Normandie pour superviser la cérémonie d'hommage au nouveau duc de Normandie, le maréchal d'Armes s'était arrêté en Alençon pour être témoin de l'octroi d'un fief vassal du duché d'Escouché puisque le surintendant des finances souhaitait prendre vassale sur ses terres.

Comme d'habitude arriver avec sa petite troupe dans le château, envoyer ses hommes s'occuper des bêtes et des autres tâches diverses dont porter ses affaires, se reposer un peu du voyage et arriver frais pour la cérémonie avec juste un valet sur ses talons portant parchemin, écu, couronne, plume.. et tout ce qu'il aurait loisir d'utiliser prochainement.
Le vicomte d'Avize salua de la tête la jeune femme qui se trouvait là, puis le duc.


Le bonjour demoiselle ; vôtre grâce

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El Cid
Cid ne dut pas attendre bien longtemps avant de voir la jeune femme qui vint le saluer.

Le Bonjour jeune fille! Je vous attendais.

Elle fut suivi quelques minutes plus tard par le marechal d'Armes et son aréopage reduit à un simple valet.

Le Bonjour Orléans, nous sommes au complet. Nous pouvons procéder.

Puis regardant Cloe qui se tenanit non loin d'eux:

Jeune fille, le moment est venu. La parole vous revient

Petit sourire aux coins de lèvres pour rassurer la demoiselle avant qu'elle ne prononce sa part du serment.

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Duc d'Escouché
cl0e
Voyant le sourire réconfortant du Duc, elle le lui rendit. Quand faut y aller, faut y aller.
Prenant une grande inspiration, elle se lança sans son discours.


- Sous le regard du Très-haut, moi, Cloé, promets au Duc d'Escouché, Vicomte douaire de Montgomery, respect, aide, soutien armé et conseil, et que soit foudroyé celui qui osera remettre en cause ce serment.

Souriant de nouveau, la blonde fut tentée de dire à son futur suzerain que c'était maintenant à son tour. Mais c'était peut-être pas une bonne idée ...
Autant rester dans la simplicité, pour une fois, elle pouvait bien se retenir de dire ou faire une bêtise. Et puis, sûr que quelqu'un s'en chargerait pour elle. Aucun doute de qui cela pouvait être.

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Fantôme de Blonde
L'agence tout risque, c'est vraiment, la dernière chance au dernier moment. Et là, c'est bien le dernier moment, la dernière ligne droite, l'un des derniers trucs-machins-choses tous aussi foireux les uns que les autres que la Garce Alençonnaise aura réalisé de son vivant et de sa mort - belle la mort, quoiqu'un peu glauque, mais là encore ça n'engage que moi, et toi, Public aimé - après, ça, elle pourrait laisser en paix, les vivants ou presque, enfin, cette partie là de la vie, abandonner l'Alençon, le laisser vivre ou survivre, sans poème, sans blesser tous ceux qui l'aiment. Être heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux, et pour ce qui est de vivre à deux, la Garce a bien son idée sur celui qui lui tiendra compagnie en attendant dans l'Eternité.

Revenons à l'essentiel, non pas elle, pour une fois. Mais une blonde, oui, car foi de blonde, on ne peut décemment que la chérir celle-ci. Petite fleur cueillie dans un pommier d'Argentan, voilà un temps, voilà longtemps et la voilà qui aime, et la promesse se fait plus forte. Une dot, un reste, un lien fort entre les deux blondes aux destins si différents. La fille du Grand Maitre des Hospitaliers suit du regard la Fiancée d'un Chevalier de la Licorne, vraiment différentes, oui. Et pourtant, un homme les réunira par de-là la mort. L'éthérée se glisse aux côtés de celui qui avait assisté à ses joies, ses peines, ses rires et ses larmes, droit, fort. Roc inébranlable. Mentor, ami, amant, mari, l'Epervier qui prend sous son aile, la jolie Fleur lectouroise pour une promesse faite par sa femme. Un sourire en voyant arriver l'époux de celle qui lui avait appris à être une vraie femme. Amandes qui s'interrogent, comment va-t-elle la vicomtesse zinzoline, il lui faudra aller voir de plus près. On n'oublie pas facilement celle qui aura accouché Marche en plein buffet nuptial, Marche et son lait de chèvre pour la peau. Un sourire qui éclate sur les lèvres de la Dame Blanche.

Bouh.. C'est ce qu'aurait pu dire la Dame Blanche de l'Alençon, si l'envie de mettre le bazar encore une fois la prenait, mais l'heure était aux serments solennels, aussi, une fesse posée sur un coin de meuble, la jeune morte/blonde/blanche/sex'toplasme observait-elle la scène sagement... Enfin presque. Main qui s'élève tandis qu'elle écoute les voeux prononcés.


Elle aurait pu faire un effort, on est d'accord ? Par exemple, elle aurait dit "Sous la guidance de la Très Sainte et Indivisible Trinité" .. Déjà, ça aurait eu plus de gueule.. M'enfin.

Et le sourire qui s'étire au fur et à mesure, auxilium, consilium, obsequium, dans l'ordre et le désordre, en latin, en français, qu'importe puisque c'est Cloe. Tiercé gagnant ! Bingo. Et le minois de la Garce qui se pose sur l'Epervier.

A ton tour, Amour.

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Rhân
Quand vous voulez

Faire un signe au valet pour qu'il sorte un parchemin, une plume, fasse chauffer un peu la cire et enfiler rapidement du tabard aux couleurs royales tout en prenant le bâton de velours d'azur fleurdelysé d'or, insigne de sa charge pour faire un peu plus sérieux pour la cérémonie qui partait au quart de tour avec la jeune femme qui s'était lancé dans son serment.
"Que soit foudroyé celui qui osera remettre en cause ce serment".. à priori elle était la seule à pouvoir remettre en cause son propre serment, donc la tournure était un peu bizarre pensa le maréchal qui trouvait toujours à y redire comme un certain fantôme qui passait par là mais qu'il ne sentait évidemment pas. Le contraire eût été extrêmement étrange.

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Fantôme de Blonde
Dieu que ce tabard est laid. Pour avoir fréquenter plus que de raison, la flamboyante Normandie et la zinzoline Sylvestre, allégrement le défunt Alençon et soupirer avec douleur aux oreilles de la Marche Nébiséenne quand celle-ci lui broyait les métacarpes lors de son accouchement. Le fait est là, et la moue se fait boudeuse. Dieu que ce tabard est laid. Dame Blanche qui délaisse un tant soit peu ou un temps, bien peu, le couple suzerain et vassale pour s'approcher du maréchal de tutelle. Le dernier de sa race, et quelle race ! Le tabard est laid mais les caducées.. Les caducées, quelles histoires faramineuses lient donc la Garce aux caducées. Elle se revoit assise sur des caducées, un caducée pointé sur son nez. Ah les caducées et leurs adorables petites fleurs de lys dorées, cette couleur bleue qu'elle affectionnait tant qu'elle s'était mariée en bleu et non, en rouge comme de coutume. Oui, vraiment, elle aime les caducées.. Mais par Dieu, que ce tabard est laid. Sourire compatissant à l'adresse d'un Orléans qui ne sent évidemment pas sa présence. Le contraire eût été extrêmement étrange. On est d'accord ?

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El Cid
Cid écouta attentivement la jeune femme prêter serment devant lui. Lorsque son tour vint, il savait exactement ce qu'il avait a faire, il s'approcha donc lentement d'elle puis lui joignant les mains, il les recouvra des siennes. Puis solennellement il dit alors

Cloé, aujourd'hui je fais de toi ma vassale et j'accepte d'etre ton suzerain. Ainsi je te confie les terres de Fleuriel. Puisse tu les faire prospérer et les gouverner en mon nom afin d'en tirer subsistance pour toi ainsi que pour ta famille. Je fais également le serment de t'apporter protection sur mes terres et m'engage a te rendre la justice due a l'un de mes vassaux.
Sache de plus que, même si je suis certainement de moins bon conseil que l'aurait eté Belialith, tu trouveras toujours chez moi oreille attentive.


Ainsi fut fait et la dame de Fleuriel pourrait bientôt rendre visite à son domaine riche de ses verts pâturages et ses cultures abondantes.
Mais il n'en avait pas tout a fait fini et il se tourna légèrement pour appeler le valet du regard. Celui çi fit quelques pas en soutenant un large coussin de gueules sur lequel avait eté disposé une épée.


Je te remets cette épée, tu la reconnais sans doute, c'est celle qu'arborait fièrement Belialith. Conserve la et fais en bon usage. Elle porte gravé, la devise de la famille Ypriex.

Sur le pommeau surmonté d'un saphir étaient gravées les lettres "Decet Ypriex Stantem Mori". Il se hata de la lui tendre tant le fait de voir ces mots ainsi inscrits lui rappelait de douloureux instants.

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Duc d'Escouché
cl0e
La jeune fille écouta avec la plus grande attention celui qui devenait désormais son suzerain, ses mains dans les siennes pendant qu’il prêtait serment, avant que de le remercier pour sa confiance.

- Je me montrerai à la hauteur de la confiance votre confiance et vous en remercie du fond du cœur. Aussi, tous les conseils sont bon à recevoir, et une oreille attentive est toujours la bienvenue.

Lorsque vint la remise de l’épée, une image passa devant les yeux de la blonde. Béli, la découvrant dans son arbre, endormie, une magnifique épée à sa ceinture. L’épée. Celle-là même qui reposait sur le coussin, et qui lui était destinée. Une vague d’émotion défila sur le visage et dans le cœur de la Lectouroise, les larmes lui montant aux yeux, à ne plus voir devant elle. Clignant des yeux jusqu’à chasser ces larmes, les gens auraient facilement pu croire qu’elle avait une vilaine poussière dans l’œil. Cette épée, elle l’aurait reconnue entre mille. Oh que oui.

Si pour son suzerain elle était source de tristesse, pour elle , c’était un immense honneur que de la recevoir. Elle tendit les mains, les yeux toujours brillants de larmes, et l’on y déposa l’épée. Sienne, elle était sienne. A elle à présent d’en être digne, et de respecter la devise familiale gravée sur le pommeau.

Détachant son regard de l'arme, elle le leva vers Cid, éternellement reconnaissante.

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Fantôme de Blonde
Soupir faussement exaspéré, bien meilleur dans le rôle du conseiller et du mentor qu'elle, fausse modestie quand tu nous tiens. Valet qui approche et sous les amandes écarquillées d'un Ectoplasme, Elle est tendue à une autre. Fidèle amie, alliée, soeur. L'Azur des Ypriex. L'éthérée s'approche, les doigts courent sur la lame, la pulpe du pouce revient jouer sur la pierre, les doigts suivent les entrelacs des mots. Decet Ypriex Stantem Mori, oui, mon père, j'ai failli, mais j'aurai essayé jusqu'au bout. Et la Dame Blanche de revoir ces instants où son seul support était le mur crasseux d'une ruelle, pas tout à fait debout, mais elle aura essayé.

Cristal qui dévale le vallon de sa nostalgie, revoyant le premier jour où l'Azur s'était retrouvée en sa possession, la devise, elle l'avait fait graver plus tard, pour ne jamais oublier. Ypriex, sanglier, butor, tape fort, et toujours, l'Azur avait frappé fort. La main s'élève et dans une caresse légère, l'index vient caresser la joue de la nouvelle Dame de Fleuriel.

Sois digne de Lui, pour moi, tu aurais pu être Ypriex, ma Fleur.

La main vient caresser tendrement la masse dorée de la chevelure avant de rejoindre le suzerain et de sourire, mélange d'amour, reconnaissance et admiration.

Notre histoire a commencé avec l'ennoblissement d'une Fée, elle s'achève avec celui d'une Fleur. N'oublie pas que je t'aime devant l'Eternel.

Et alors qu'une Blonde s'éveille au monde, une Blanche le quitte pour de bon, en paix avec elle-même. Evanescente Dame Blanche qui s'évapore dans la brise alençonnaise. Aut Ypriex, Aut Nihil, mon père, je t'attends.

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Rhân
Les serments avaient été échangés comme de coutume et le suzerain avait également remis un présent à sa nouvelle vassale comme celà se faisait. En mémoire de son épouse... cérémonie en souvenir de la vicomtesse de Montgommery... celle-ci était presque là dans cette cérémonie où on ne s'exprimait que par elle.
Mais il n'y avait rien à dire et le maréchal prit le parchemin et une plume et finit de rédiger la patente pour qu'elle puisse être ajouté au nobiliaire alençonnais et que tous sachent qu'il y avait une nouvelle dame de Fleuriel.


Citation:
Par la présente nous, Rhân de Crocy, maréchal d'armes de France, vicomte d'Avize, baron de Boiscommun, seigneur de la Beslière-sur-Thanaise, de Villemurlin et des Fontaine de Chappée faisons acte de la demande du duc El Cisd,duc d'Escouché et vicomte de Montgomery quand à l'octroi de la seigneurie de Fleuriel sise en le duché d'Escouché à dame Cl0é.

Après recherches héraldiques dument entérinées, le fief de Fleuriel est bien seigneurie vassale du duché d'Escouché.

Après consultation d'armoriaux, les armes se référant à la dite seigneurie sont: "D'argent au chevron de gueule accompagné de 3 quintefeuilles de sinople"




Ci-joint une lettre patente de messire El Cid dûment authentifiée attestant de sa volonté d'octroi d'une seigneurie à dame Cl0e :
Citation:
Nous, El Cid, Duc d'Escouché, Vicomte douaire de Montgomery et Seigneur douaire de Pierrefite en Cinglais

A ceux qui le présent acte liront,

Faisons savoir que nous souhaitons octroyer la terre de Fleuriel attachée à notre fief d'Escouché à Dame Cl0e.

Jeune femme au caractère vif et pétillant, Cl0e est arrivée à Lectoure après des années de errance dans les royaumes, elle a su s’y installer et s’y faire accepter avec une facilité qu’on pourrait attribuer au charme et à la gentillesse dont elle fait preuve. Cette damoiselle a su prouver que non seulement, elle n’était pas joie et bonne humeur, mais aussi persévérance et fidélité, car après plusieurs postes comme conseillère municipale, elle a su gagner la confiance de ses concitoyens pour arriver au poste de maire de Lectoure.

En notre âme et conscience, nous avons décidé d’ennoblir cette jeune femme car suite à l'abandon du poste de Duc, de la part de Malemort, la régente ayant repris le poste lâchement fuit : Belialith Ypriex, feue notre épouse, a rencontré une jeune fille qui de part sa situation précaire, a su lui prouver qu'il existait pire sort que le sien. C'est ainsi que Bélialith l'a protégée et a promis à celle- ci de l'ennoblir suite à son baptême lui offrant ainsi une dot pour un éventuel mariage. N'ayant pas pour habitude de faillir à ses serments quels qu'ils soient comme certains, il semble juste d'accomplir ainsi la volonté d'une femme pieuse qui a trouvé la mort d'une main vile. C'est en mémoire de ma défunte épouse qu'aujourd'hui je réalise ce qu'elle aurait souhaité qu'il fût si elle avait eté à nos cotés.

Faict à Alençon
Le 2ème jour d'Octobre 1457


Par notre scel, actons ce document comme valide et conforme aux règlements Héraldiques et attestons avoir été témoin de l'échange des serments vassaliques entre l'octroyant et l'octroyé.

Faict le troisième jour du mois de février 1458 sous le règne de nostre souverain le Roy Levan le troisième de Normandie.

Citation:














Et bien voilà.. toutes mes félicitations. Vous êtes à présent officiellement noble et devez à présent vivre comme tel. Votre suzerain vous aura certainement expliqué les devoirs et le statut de la noblesse.

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cl0e
Elle avait encore du mal à y croire. Elle, noble. C'était tellement étrange. Côtoyer la noblesse était une chose. Savoir qu'à présent elle en faisait partie, c'en était une tout autre.
Énième regard à l'épée étincelante, elle sourit, avant de tourner la tête vers le héraut.
Vivre comme la noble qu'elle était devenue. Ce ne devrait pas poser problème. Aucun soucis, elle avait prit des notes sur ses nombreuses observations. Et quelles observations !


- Les devoirs et le statut de la noblesse ? Oui, je sais de quoi il en retourne.

Le souvenir d'une promesse lui revint à l'esprit. Il lui faudrait apprendre à monter à cheval et manier l'épée incessamment sous peu. Demander à son amie tisserande qu'elle brode son blason sur sa cape. Contribuer de nouveau à la gestion de la ville à son retour à Lectoure.
Oui, elle avait de quoi s'occuper en Armagnac et Comminges, ainsi que de quoi penser sur le chemin du retour. Des baptêmes, des mariages.
Demain s'annonçait des plus mouvementés ...

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