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[RP] Les Renforts Helvètes

Tchantches
Tchantchès, vieux, laid et sans presque plus aucune dent dans la machoire débarquait enfin en provence.

Plus d'un an plus tôt déjà les armées freançais l'avait empêché de venir aider la provence en difficulté.

Cette fois il était là, mais le travail semblait déjà presque fini.

Lui le fier Helvète, Fribourgeois, capitaine à l'armée Fribourgeoise et surtout fondateur et Sénéchal de la Noblesse Noire, n'allait pas tirer son épée contre les arrogogants françoys ?

Fi de la diplomatie, il fallait permétrer les libertés des provinces contre un empire lointain et si loin des aspiration des braves gens.

L'helvétie et la provence étaient soeurs il est heureux que ces deux peuples s'entraident.

Tchantchès fatigué du voyage, il n'était plus si vaillant que par le passé, alla se reposer dans les tavernes de Draguignan.

Il n'y rencontra presque personne.
L'ambiance dans le village étaéit triste.
Quand pourrait-il se battre et enfin quitter ce monde injuste ?
Le très haut allait bien enfin lui accorder ses grandes vacances tant désirées ?

Tchantchès débarassait son paquetage et montait dans la chambre de l'auberge "L'auberge du cheval blanc".

Le général Zefamousmitch lui tapa sur l'épaule.


- Tchan ça va ? Tu as l'air fatigué.

- ça ira Zefa, mais tu sais, passé 40 ans c'est dur d'être chevalier.

- Hé Tchan tu es increvable, et puis que ferait ta Noblesse Noire sans toi ?

- Sans moi la Noblesse Noire suivra la voie tracée par Aristote, il est le guide, pas moi.

Tchantchès le regarda droit dans les yeux.

Tu sais Zefa, pour moi, rien n'a plus d'importance que de trouver la porte de sortie de manière digne. Périr les armes à la main pour une noble cause, vaut mieux que de continuer à ne manger que des légumes écrasés dans de l'eau chaude.

Zefa se mit à rire et laissa le vieux Tchan installer son humble logis.

Qui sait, dmeain peut-être ils chargeraient encorue ensemble comme tant de fois auparavant contre le lion de Juda.

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Zefamousmitch
Draguignan et puis après? Un jour avant d'arriver ) Draguignan, la nouvelle était parvenu par pigeon : les armées françaises avaient été anéanties par une coalition d'armées provençales et gênoise... Les soldats helvètes arrivèrent donc dans une ville de Draguignan calme et sereine, confortée par cette grande victoire.

Bien que Zefamousmitch et les soldats helvètes étaient contents pour les provençaux, il n'en avait pas moins l'amertume de ne pas avoir chargé à leurs côtés pour égorger quelques françois.

Installée dans une taverne comme à leur habitude, la petite troupe helvète se reposa de sa longue route en attendant qu'on leur offre enfin l'occasion de se défouler sur la tête de quelques français.

Mais la déception était là... Zefamousmitch interpella Tchan avant qu'il ne monte dans sa chambre :


Ben mon pauvre Tchan, je crois que le Très Haut prend un malin plaisir à te laisser vivre... Tu vas finir par y avoir droit à ta soupe de légumes écrasés...

Mais allez... Avec de la chance les français ne resteront pas sur cette monumentale humiliation et nous enverront de toute nouvelle têtes toutes fraiches à trancher!!!

Tiens!!! Je vais me boire une chope en l'honneur des courageux gaillards qui viendront se faire trucider en Provence!!! Que le Très Haut guide leur pas jusqu'au fil de mon épée!!!


Se faisant, Zefamousmitch commanda une chope au tavernier qu'il but à grandes gorgée.
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Ancien maire de Fribourg
Tchantches
Tchantchès se leva un peu reposé.
La veille il n'avait rien pu voir, la ville de Draguignan semblait morte et personne ne se trouvait en taverne quand il était passé ensoirée pour chercher un endroit acceuillant.


- Toujours pas d'ordre, sommes nous vraiment venu nous battre ?

Il se prépara donc à aller au village prendre un emploi.
Il vit Zefa qui a moitié nu se lavait dans un baquet.
Il remarqua que Zefa avait presque autant de cicatrices que lui sur la squrface du corps qu'il avait un peu opulent tout de même, très différent de la maigreur rigoureuse et sèche du viel homme.


- Bon Zefa, je vais en ville.
A défaut de manier l'épée, je vais aller labourer et semer un champ de maïs.
Faut que je garnisse un peu ma bourse, le voyage fut long et rapide sans haltes.
Il sont drôle ces provenceaux, ils devraient nous intégrer, car les français ne vont sûrement pas les laisser se reposer sur leurs lauriers.

Si nous n'avons pas de nouvelles demain, prenons une décision.

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Zefamousmitch
Zefamousmitch regarda l'image cocasse du fier guerrier la lourde épée à la ceinture qui s'en allait... Labourer un champ de maïs... Il s'étira en grand sortant d'une confortable nuit dans un lit, chose que ses 8 jours de voyage dans la campagne lui avait fait ardemment désirer.

Amuse toi bien Tchan, mais un soc sera bien plus efficace que ton épée je pense. Mais bon, ne t'inquiète pas, on va pas trainer ici, peut-être que demain on va reprendre la route pour Aix pour se dégourdir un peu! Mais avoue quand même que cette halte nous a fait un peu de bien, juste ce qu'il faut pour être requinqués avant la bataille!

Je ne sais pas si on ira vraiment se battre, mais à Aix je pense qu'on aura plus de chance : les français préfèrent de loin les capitales en feu aux petites villes de province.

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Ancien maire de Fribourg
Tchantches
Tchantchès avait entendu Zefa tandis qu'il s'éloignait.

La journée paisible lui avait permis de remettre de l'ordre dans ses idées.

Vraiment le climat par ici était plus doux qu'en Helvétie et la végétation lui rappelait un peu de l'Italie beaucoup moins de la Syrie.

Oui vraiment la Provence serait une belle place pour mourrir, mais il espérait que les autres ramènerait sa dépouille en Helvétie.

hè, hè, il voyait déjà Zefamousmitch râler à cause de l'odeur pendant tout le voyage.

Déjà que vivant il puait plus que les autres ...
On le lui disait touyt le temps.

C'est que Tchantchès était convaincu que d'enlever la crasse favorisait la maladie, car on enlève une protection.
aussi ne se lavait t'il vraiment que par politesse et quand l'odeur était insoutenable pour les autres.

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Tchantches
Citation:
08-02-2010 04:07 : Vous avez été attaqué par un groupe composé de Ewaele et de Grimoald.


A peine l'escarmouche terminée, soldée par la mort des imprudents, Tchantchès rencontra Zefamousmitch sur les remparts d'Aix.

Dis donc, j'espère qu'on va avoir d'autres aventures que ces simples ghors d'oeuvre, je veux du costaud moi.
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Lothem
[Draguignan – 8 février 1458]

Après une longue chevauchée, Lothem et le chef de l’ACL avait enfin pu rejoindre le groupe de lausannois avant Ventimiglia. Suivirent en guise de retrouvaille quelques vives discussions et remontrances de la part du Lieutenant Général à ses soldats.
Lothem, le fribourgeois, ne connaissait aucun membre du groupe et laissait faire. Un souci de communication avait fait perdre deux jours au groupe, au LG de prendre les dispositions qu’il voulait et de se remettre en question…ou pas.

Le jeune homme suivait les autres, apprenant un peu chaque jour à connaître ses compagnons de route bien que l’ambiance n’était pas au beau fixe.
Ses propres démons se faisaient moins pesant ces jours-ci et il s’ouvrait d’avantage aux nouvelles rencontres qu’il n’avait pu le faire il y a de cela 4-5 jours. O non, il ne les oublierait pas pour autant. Mais il se sentait plus léger, plus apte à entamer des discussions, plus aise à rigoler des blagues des soldats car il avait pris une décision.

C’est ainsi que se passa la fin du voyage ; des visages maussades des premiers jours après la rencontre entre les groupes, suivirent, au fur et à mesure de l’approche de la destination, des sourires qui s’affichaient plus distinctement sur les visages.

Ils étaient entrain de discuter des nouvelles qui leurs parvenaient de leurs cantons respectifs quant le meneur annonça qu’on approchait de Draguignan.
Un lit, un bon lit enfin, après des jours et des jours à dormir auprès d’un feu, sans même une tente pour s’abriter.
Tous semblaient ravis d’arriver à leur première destination provençale.

Quelques heures plus tard, ils s’annoncèrent à la porte du bourg. Les gardes étaient méfiants. N’était-ce pas une tromperie de l’ennemi ? Que voulait ses étrangers venus de si loin ?
Il fallut rassurer les gens d’armes de la ville avec quelques piécettes pour qu’ils laissent entrer les compagnons.

Les rues étaient presque vides, les rares badauds les regardaient passer du coin de l’œil et semblaient méfiant.
Bref, l’ambiance dans la ville n’était pas des plus joyeuses malgré la victoire il y a peu des armées provençales et génoises.

C’est dans l’auberge dans laquelle ils avaient trouvé logement qu’on leur rapporta que les révoltes dans la ville se succédaient et que ce n’est que ce matin qu’un fidèle au marquisat put reprendre la direction de la mairie. Ils apprirent aussi que s’ils étaient arrivés la veille ils n’auraient guère eu beaucoup de bières à se voir proposer.

Louez soit le Très Haut qui veille ainsi sur notre réconfort ! disait Lothem en tendant sa chope, sourire en coin.

Le rouquin avait cependant des missives à rédiger. Il s’excusa et regagna sa chambre demandant à ce qu’on l’informe cependant des suites du voyage.

La première était pour l’avoyère. En tant qu’avoyer adjoint, il se devait de faire ce qu’il pouvait, même à plusieurs kilomètre de la, pour aider son canton. C’était aussi l’occasion de donner des nouvelles à Cleophee.

La suivante devait être portée aux fribourgeois et autres suisses arrivés depuis quelques jours en Provence afin de les informer de l’arrivée de quelques renforts.



A Lionel, Zefa, Tchan, les autres fribourgeois et les autres helvètes présent à Aix.

Je vous signale mon prompt rétablissement. L'aubergiste grassouillet auprès duquel vous m'avez laissé à Alessandria avait quelques talents de médicastre et à pu, à force de potions dont je n'ose imaginer la teneur, me remettre d'aplomb assez rapidement.
Après quelques péripéties dont je vais vous passer les détailles, j'ai pu rejoindre un groupe de lausannois de renfort qui passait par ma route.
Nous avons fait les derniers kilomètres nous séparant de Provence ensemble.
Aujourd'hui nous sommes à Draguignan, dont la mairie semble fort agitée, demain Brignoles.
J'espère que vous vous portez tous bien et que vous avez reçu bon accueil.

J'ai nouvelles à vous apporter : les élections ont eu lieu en confédération et sans surprise c'est Helvetie lève toi! qui a gagné. Le chancelier sera surement Shadow...ou bien Heimdal. A voir...
Comme d'habitude, il y a encore des sujets de discordes entre les cantons. Mais ca, vous savez tout comme moi qu'il semble impossible que les cantons s'entendent de trop.
Pour ce qui est de Fribourg, il risque d'y avoir un procès tonitruant entre Carlabesque et Takka. Peut être les fribourgeois se rappellent du procès de Chevesch qui ressemblait plus à un spectacle. Allons nous rater l'acte 2 avec Carlabesque ?
Sinon l'adjudant Chamosard est toujours captif de brigand. L'avoyère a du mobiliser les hommes pour le retrouver. L'armée le recherche en dehors de la ville et la prévôté dans les murs de Fribourg. Il parait qu'ils ont eu fort à faire dans le quartier populaire.
Pour les autres cantons je n'ai guère reçu de nouvelles.

Voila ce que j'ai pu recueillir comme informations de nos pays. La confédération est loin de notre corps mais toujours présente dans nos cœurs.

je me réjouis de vous revoir tous en pleine santé, préparez les fûts de bière. C'est que la route m'a donné soif. D'ici deux trois jours je serai parmi vous.

Que le Très Haut vous garde,
Lothem


La dernière quant à elle était pour une personne qui lui était chère, source de ces tourments, et qu’il voulait contacter avant, peut être, de trépasser, avant qu’il ne soit oublié, car il devait se faire pardonner. Mais les mots étaient difficiles à trouver et l'encre séchait vite. Plusieurs fois il dut recommencer avant d'arriver à la version finale.



Ma chère, ma très chère Barba,

tu ne sais à quel point il m'a été difficile de prendre cette plume pour t'écrire ces quelques mots.
Oui j'ai reçu ta dernière missive. Oui j'ai été assez lâche pour ne pas te répondre de suite. Oui j'ai cru que tu parviendrais à m'oublier et moi à t'oublier...

stupide chimère !

Si tu savais quels tiraillements m'accablent...
Depuis mon retour, je ne cesse de penser à ma faute qui ne sera jamais lavée, qui ne pourra jamais m'être pardonnée.

Et pourtant mon désir est de tout oublier, est de faire comme si cette parenthèse honteuse de ma vie serait à jeter dans les ordures.
Je nous vois au bord du lac de Grandson, je nous vois dans cette clairière dans la forêt de Fribourg, je nous vois auprès du feu à la Bonne Tablée, toi et tes massages, toi et tes tisanes et je pleure ces temps perdus.

Je suis las de tout. Si ce n'est pendant quelques périodes, et ce grâce à une amie qui m'est devenue chère, je n'ai plus l'impression de vivre, je ne suis plus rien.

Si je t'écris maintenant, c'est qu'il me faut te dire que la lâcheté m'a sans doute poussé à prendre la route vers la Provence.
Peut être es tu au courant qu'il s'y passe une guerre.
La Provence contre le roi de France, l'indépendance contre la tyrannie, la liberté contre les chaines.

Mais si je suis venu me battre pour leur liberté, je suis avant tout venu aussi me battre pour ma liberté.
Je n'ai pas peur de mourir en ce jour. Non je n'ai pas peur de quitter cette vie qui n'a plus la même saveur.
Mais j'ai peur de partir sans avoir pu te dire comme je regrettais le temps passé, comme je m'en veux de t'avoir abandonné. Aucune justification à cela, le Très Haut nous a donné l'amour, et je l'ai renié. Toutes les souffrances physiques que j'ai enduré ne peuvent justifier cet oubli. Pour ca je mérite milles fois l'enfer lunaire.

Barba, ma Barba, tu me manques terriblement et je n'ai que faire de toutes les rumeurs ou vérités qui circulent à ton sujet si elles tendent à nous éloigner.
Je te connais. Je sais comment tu es. Si même il s'avérait que tu as changé, que tu as rejoins ceux que j'ai toujours combattu, je sais qu'au fond de toi il n'y a qu'amour du prochain et foi en l'être humain.

Barba, ma Barba, je vais peut être mourir sur un sol qui n'est pas le miens. Je vais peut être abreuver de mon sang une terre que je n'ai pas travaillée de mes mains. Mais je le fais pour la liberté, pour ma liberté. Si je n'en reviens pas, s’il s'avère que je trouve mon salut dans la mort...pardonne moi ma lâcheté !

Lothem


Le point final était mis sur cette lettre qui disait tout ce qu'il avait sur le cœur depuis des jours. Lothem regardait le coucher de soleil, accoudé à la fenêtre de laquelle il venait de lâcher ses pigeons.
Tchantches
Tchantchès avait reçu une missive du brave Lothem.

Il n'était pas noble Noir mais au moins il avait une foy sans faille en Aristote et en l'église aristotélicienne. Tchantchès avait beaucoup d'estime pour le jeune patricien.

Il décida de sa mauvaise écriture, de lui répondre.



Lothem, Mon ami,

C'est un étrange pays que la provence, la nuit, l'eau ne gèle pas et il ne faut pas briser la galce pour se rincer le matin (tu sais que je ne me lave poour ainsi dire jamais)

Je suis bien aise de ton prompt rétablissement, je sentais que la vie n'allait pas te quitter de sitôt.

Ici on a perdu de toute façon beaucoup de temps, les bataille se font chaques fois avant qu'on arrive et à part quelques énergumènes suicidaires, nous n'avons pas encore eu à affronter un réel danger.

Irais-je jusqu'à dire que je m'ennuie ?

Je n'ai même pas un hérétique ou un réformé à me mettre sous la dent. Le climat doux du pays est pourtant propice à la bataille, il ne faut pas, comme chez nous, attendre le fourrage d'été pour faire bataille.

Les français ne font pas preuve de beaucoup d'intelligence, mais ça, je sais que tu n'en seras pas supris, cela n'a jamais été le meilleur de leur qualité.

Je pense toutefois qu'il est prévu que des armées ennemies montrent enfin leur petit bout de nez, je sens que je vais enfin pouvoir éviscérer à nouveau et étripailler quelques esgourdits de bonne facture.

Rejoint nous vite, et saignons les ensemble, veux-tu ?

Ton éternel ami, Tchantchès, capitaine à l'ACF et Sénéchal de la noblesse Noire.


Il prit le pigeon envoyé par Lothem, mais celui-ci avait perdu sa bague.
Il lui enfonça le message dans le fion en disant :


- tu ne vas pas loin, surtout ne pète pas pendant le vol hein ?
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Zefamousmitch
Cette nuit là des intrus tentèrent de franchir les lignes provençales... L'alerte fut déclenchée et ne sachant combien d'ennemis se présenteront tous les helvètes se lancèrent à l'assaut comme des bêtes sauvages... Zefamousmitch, qui avait mis du temps à trouver son épée, rejoignit un peu en retard ses compatriotes qui étaient en cercle autour de... Il ne savait quoi et qu'ils matraquaient méthodiquement avec leurs armes diverses.

Zefamousmitch rejoignit Tchan, car il savait qu'il avait toujours bon goût dans le choix de ses cibles, brandit son épée et tapa sans réfléchir là où Tchan tapait déjà :

Citation:

08-02-2010 04:07 : Vous avez frappé Grimoald. Ce coup l'a probablement tué.

Lorsque tout cela se calma, il regarda enfin sur quoi il tapait à la pâle lueur de la Lune. Il distingua le corps de deux pauvres voyageurs couverts de sang. Nettoyant son épée Tchan lâcha laconiquement :
Dis donc, j'espère qu'on va avoir d'autres aventures que ces simples hors d'oeuvre, je veux du costaud moi.
Zefamousmitch fit une moue contrariée
Mouais, j'ai connu plus marrant comme bataille... Le français c'est comme la choucroute, ça n'est bon qu'en grande quantité...
Le regard de Zefa se pencha à nouveau sur les cadavres sanguinolant qui gisaient et geignaient au sol.
Rhooo, les pauvres, qu'est-ce qu'ils ont pris... On devrait ptet les emmener à l'infirmerie, si on fait vite il ne devraient pas avoir trop de séquelles...
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Ancien maire de Fribourg
Ledzeppelin
LedZeppelin sur les remparts attendait l'arrivée des renforts venus d'Helvétie.

Un nuage de poussière à l'horizon ... mettant la main devant elle elle aperçoit au loin un groupe de cavaliers, en voyant les étendards flotter dans le vent, elle sourit.

Agitant un mouchoir vers un observateur en bas, elle déclenche l'arrivée d'un groupe en bas.

Les enfants avec des fleurs dans les mains criaient comme la Comtesse leur avait gentiment demandé :


- Bienvenue en Provence Libre ! Bienvenue à Aix !

A chacun des soldats d'Helvétie un enfant donnait son bouquet à ces rudes soldats des montagnes.

Descendue du rempart et s'adressant aux Helvètes, la Comtesse LedZeppelin :


- Bienvenue à vous Peuple Libre venu aider un autre Peuple Libre, comme vous l'avez vous-même dit dans votre offre acceptée de grand coeur.

Cette invasion nous touche au plus profond de notre être et JAMAIS nous ne plierons de notre gré devant quiconque nous n'avons pas choisi. Seule la force y parviendra .... ou n'y parviendra pas .... et cela avec votre aide et celle d'autres peuples Libres.

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Alidor
Alidor, sergent de l'Ost de Marseille, se tenait sur les remparts au côté de la Comtesse. Comme elle, il vit des cavaliers helvètes entrer dans la ville.

Une chose l'avait pourtant fort surpris, il avait vu sur un étendart le blason de son pays d'origine, la Cité ardente, celle qu'il avait du fuir depuis maintenant plusieurs années.
Il descendit en vitesse les escaliers qui menaient à la porte de la ville et apostrophat le cavalier en question.


Bienvenu Messire,
Je me présente Sergent Alidor de Brivioulle, de l'Ost de Marseille, je vous souhaite la bienvenue chez nous.
Mais puis-je vous demander d'ou vous provenez avec l'étendart de la Cité Ardente sur votre bliaud ? Faisons plus ample connaissance voulez-vous, j'ai de quoi vous rassasier et de quoi boire dans ma tente.

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Tchantches
Ledzeppelin a écrit:
- Bienvenue en Provence Libre ! Bienvenue à Aix !


- Bienvenue à vous Peuple Libre venu aider un autre Peuple Libre, comme vous l'avez vous-même dit dans votre offre acceptée de grand coeur.

Cette invasion nous touche au plus profond de notre être et JAMAIS nous ne plierons de notre gré devant quiconque nous n'avons pas choisi. Seule la force y parviendra .... ou n'y parviendra pas .... et cela avec votre aide et celle d'autres peuples Libres.


Tchantchès vit la belle comtesse avec qui il avait, entre autre, échangé quelques courriers.

Madame, Merci pour votre acceuil chaleureux et aussi pour votre grande grâce et amabilité.

Nos épées sont vôtre, votre cause est aussi la nôtre, nous sommes vos frères dans ces terribles épreuves. Madame, je vous offre ma vie pour la défense de votre honneur et votre pastrie.


Il s'inclina et prenant la main qu'elle tendait y déposa un baiser fictif, car il ne la toucha pas.

Puis il entendit ?



Alidor a écrit:

Bienvenu Messire,
Je me présente Sergent Alidor de Brivioulle, de l'Ost de Marseille, je vous souhaite la bienvenue chez nous.
Mais puis-je vous demander d'ou vous provenez avec l'étendart de la Cité Ardente sur votre bliaud ? Faisons plus ample connaissance voulez-vous, j'ai de quoi vous rassasier et de quoi boire dans ma tente.


Messire, ma vie est un roman, mais je du aussi quitter la cité ardente il y a fort longtemps. Je n'arbore ma propre armoirie de Tabor qu'en tant cque Chevalier de la Noblesse Noire et suis resté de coeur très fidèle à la patrie qui m'a vu naître. J'espère un jour y revenir quand le Prince évêque qui y règne sera un vrai croyant respectueux des chartes de la ville.

Pour l'heure je suis Helvète, membre du conseil du Canton souverain de Fribourg, capitaine à l'ARmée Cantonale de Fribourg et Sénéchal de la Noblesse Noire fidèle à l'Eglise Aristotélicienne Romaine, ennemi mortel du Lion de Juda et pourfendeurs des pseudo réformés, qui ne sont que l'engeance du Lion.


Tchantchès regarda l'homme avec Bonhomie, comme Lothem, et bien d'autre, il trouvait un autre citoyen issus de la belle cité mosane, cela lui chavirait le coeur et ill pensa à sortir sa bouteille de pékèt, dont il avait toujours un flacon en poche.

J'ai ici, mesire de quoi alimenter une belle discussion si le coeur vous en dit ?
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Lothem
[Aix – 11 février 1458]

Aix ! Après 19 jours de voyage, Lothem voyait enfin les murs de la ville au loin.
Enfin ! Enfin, il allait pouvoir atteindre la destination tant attendue.

Les derniers lieux parcourus à un rythme assez élevé permirent à son groupe d'atteindre la cité avant le midi.
Les tentes des armées provençales étaient dressées aux pieds des remparts. L'agitation dans les campements ne laissaient aucun doutes, le pays était bien en guerre. Les hommes et femmes qu'il croisait semblaient fatigués, las du conflit, mais dans leurs yeux on pouvait percevoir cette volonté, celle qui exprimait qu'ils n'abandonneraient rien à l'ennemi, qu'ils se battraient jusqu'au bout si il le fallait.
Quel fière peuple que ces provençaux. En un sens il retrouvait ici l'esprit helvète qui, lorsqu'il est poussé dans ses derniers retranchements, arrive à mettre de coté ses différents, pourtant nombreux, et s'unir derrière la bannière confédérale. Comme se fut le cas lors du siège de Genève de cette année.

Ils furent accueillis dans la ville par un lausannois que Lothem ne connaissait pas et qui montrait sa joie de retrouver ses amis à force de grands cris et gestes. Le fribourgeois souriait en regardant les voisins de son canton s'embrasser, se prendre dans les bras, demander des nouvelles,...
Il lui tardait lui aussi de retrouver ses frères et sœurs de Fribourg devant une bonne chope. Comment se portaient-ils ? Quelles étaient les nouvelles ?

Il se présenta à celle qui semblait être le major Hélène.


Bonjour, je suis Lothem, le fribourgeois qui accompagnait votre groupe de soldat depuis Gênes. Maintenant que me voila à destination j'aimerais retrouver mes compatriotes. Puis je vous abandonner ?

Un signe approbateur de la lausannoise et, après avoir chaleureusement remercié les membres du bataillon qui l'avait accompagné jusqu'ici, le voila parti à la recherche du vieux chevalier, de son ancienne chef de bataillon, du LG de l'ACF et des autres fribourgeois.
Zefamousmitch
Ce matin là, Zefamousmitch se levait péniblement, la bouche pâteuse consécutive à une nuit où il passa le plus clair de son temps à cuver ses bières... Il sortit de sa tente en se grattant l'entre-jambe et constata que le Soleil était déjà très haut dans le ciel. Soudain, il vit arriver au loin Lothem qui semblait à la recherche de ses compagnons. Il l'interpella :

Lothem!!! Ha ben te voilà finalement!!! Il t'en a fallu du temps pour te remettre de ton rhume!!! Les infirmières milanaises t'ont-elles rendu hypocondriaque?

Il attrapa Lothem et le secoua vigoureusement.

T'as loupé les hors d'oeuvres, l'autre jour on a massacré deux pauvres français qui trainaient dans le coin, avec ton épée en plus je suis sûr qu'on aurait même plus pu savoir si ces cadavres étaient humains!

Il ria bruyamment

Mais t'inquiète pas : le plat de résistance est en train de mijoter à Arles y paraît!!!
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Ancien maire de Fribourg
Tchantches
Tchantchès avait entendu parler du retour de son jeune ami Lothem.

A peine rentré au camp Helvète il se rendit dans la tente du général Zefamousmitch.

Il y vit l'honorable général et Lothem


- Aaaah Lothem, quel bonheur de te voir. Tu m'as fait peur.

Au fait j'ai appris que le long voyage et les nuits d'hotel ont sérieusement entamés ta bourse. Si je peux t'aider n'hésites pas.

Il te suffit de vendre un pain au prix maximum, fais moi un message, et je te le prendrai.

Et puis Lothem, il faut que je te parle de Sigrid, ma fille adoptive.

Si je meurs au combat, il te faudra la rassurer et lui transmettre mes effets.

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