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[RP] Dé-foulé aux pieds! Mais c'est torrible !

--Galibert
Ou comment un titre ne veut absolument rien dire.
Mais, c'est que c'est pour intriguer.

Passons, passons, et voyons notre fringant héros aux charmes éblouissants -et sponsorisé par Bébert, épicier du coin et fournisseur de feuilles de sauge qui vous blanchissent les dents en un clin d'oeil-
Tadaaaa!



Vous les dames, que je charmeuh,
Mes sourires, vous retirent toutes vos armeuh.

Et ses mains ne devaient pas y être étrangères, raflant les bourses et les bijoux de famille au passage. De ces dames, bien sûr.

Et sur ce petit chemin, Galibert fredonnait -il a de la voix-, reniflait -il a du flair-, reluquait -il a l'oeil-, et appréciait -il a du goût- le spectacle de ces voyageuses qui chevauchaient fièrement jupons au vent, cheveux qui voletaient et rires de gorges déployés.
De quelle manière ? A plat ventre sur le bord de la route, le regard en biais et les pieds dans les buissons.

Quand soudain... *musique de suspense insoutenable*
--Lucette
Une cavalière qui surgit hors de la nuit !!!! Court vers l'aventure au galoooooppppp ....

*Pataglop, pataglop, pataglop.*(bruit des sabots pour ceux qu'auraient pas capté ^^)



V'là la Lucette qui débarque sur le chemin de cambrousse juchée sur sa mule, la cuisse légère à l'air, dévoilant sa jarretière.
Boucles châtain voletant autour de son visage buriné. Bah ouais elle a la sexy attitude mais pas le physique la Lucette, mais ça à la rigueur on s'en tape. Enfin le Galibert s'en tape, il le dit lui même il veut les bourses ...

Mais ce qu'il ne sait pas, c'est que la Lucette son truc, c'est plutôt le gourdin ... Celui qu'on tient fermement dans la main. Enfin voyez quoi ...

Donc je reprends. La voilà qui débarque comme de par hasard là où le Galibert se tapit.
--Galibert


Mais que vit-il ? Une merveilleuse pomme fripée tailladée par un sourire sans dents! Peu importait, notre séducteur avait suffisamment de quenottes pour deux. Ce qui importait en revanche, c'était que la-dite pomme surmontait un corps et une monture qui fonçaient droit sur lui.

D'un bond dégingandé, il se redressa et lui adressa un sourire flamboyant en l'abordant de manière hypocri.. hypocoristique.

Bien le bonjour ma minette, vous habitez chez vos enfants ? Vous a-t-on déjà dit que vous portez votre sagesse sur votre ravissant minois comme les arbres au coeur de leur tronc ? Jamais ? On aurait du, je vous assure, vous semblez encore pleine de sève, et j'oserais rajouter que vos... euh.. vos chausses sont un pur régal pour les yeux !


Et voilà, avec ça, il l'aurait dans la poche.
--Lucette


Hi ! Oh ! Ha ! (sous entendez le cri d'une jeune vierge effarouchée ...)

Toute surprise, la Lucette porte la main à son palpitant qui s'emballe dans sa poitrine ô combien ... Hmmm comment dire ... Disons qu'elle soutient bien ce qu'elle avance. Oui voilà, c'est comme ça qu'on dit.

Donc le palpitant qui palpite,
le thorax qui se désaxe, la poitrine qui se débine, les épaules qui se frôlent et les reins bien trop fins...
Haussement du sourcil broussailleux face à ce sourire "érail" diamant, elle écoute le discours pompeux du paon qui fait la roue, histoire de lui faire le coup du "ni vu ni connu j't'embrouille", sauf qu'elle est pas née de la dernière pluie la Lucette.

Qu'est-ce qui m'veut le drôlatre lô avec sin sourire eud'comédien. Bien sûr que chuis encore eud'première jeunesse. Ca se voit pô ? Première main, jamais servie. Alors, ça en jette t'y pô hein ?

Tout de même un peu flattée faut dire, la Lucette lui adresse une belle oeillade, tentant de dissimuler le léger strabisme convergeant-divergeant, selon le point de vue où l'on se place. Détournant même l'attention du belâtre par un ostensible retroussement de jupons, pour dévoiler la gambette galbée et poilue. Bah oui fait froid l'hiver, on se tient chaud avec ce qu'on a ...
--Galibert


Ah.. ah! Oui..

Voilà qu'après avoir fait son effarouchée, la demoiselle lui sortait le grand jeu. Et quel jeu sa parole !
Petit regard en coin, du jol.. du monde au balcon, et jupon légèrement retroussé.. Rien qu'à voir la jambe de la Lucette, la tête lui tourna. Du moins, son oeil tourna un peu, espérant noter la présence de biens cachés. Que nenni, juste une bonne grosse jambe de paysanne.


C'est... quel beau poil! Vous savez que brillant à ce point, c'est un signe indéniable de bonne santé! J'avais un épagneul, pour vous dire si je m'y connais.


Quoiqu'il en soit, le voilà légèrement troublé. Si une belle jeune femme venait à passer, elle partirait sans aucun doute, pensant qu'il était occupé... Certes, il l'était, et en général les jeunes femmes ne s'arrêtaient que très peu, elles préféraient les blonds avec un sourire en coin, tordu. Mais savait-on jamais, peut-être l'impensable aurait-il pu se produire.
Dans tous les cas, il devait se délester de Lucette. S'il arrivait à l'entraîner à l'abri des regards, peut-être pourrait-il l'assommer, vérifier si elle a de quoi se payer une nouvelle visite chez le barbier et l'épicier Bébert.

Il s'approcha doucement de la bonne femme, et lui susurra d'un air miel..moelleux, tel une bonne tronche de.. tranche de pain doré.
Écoutez... dès que je vous ai vue, j'ai su que vous étiez particulière... j'aimerais tant en apprendre davantage, mais ces routes ne sont pas sûres, on m'a parlé de vils coquins qui iraient détrousser les pucelles.. Voudriez-vous vous éloigner dans ces buissons avec moi pour faire plus ample connaissance ?
--Lucette


A peine le jupon retroussé, le voilà qui la flattait sur son poil soyeux et reluisant.

Bah bien sûr mon tiot gars que chuis en bonne santé. Qu'est-ce qu'tu croé, j'prends soin d'moé.
Euh j'me lave eun foé par s'maine, j'mange bin tous les jours, eun tiot verre eud'vin tous les midi. Eun bonne hygiène eud vie quoé


Il était indéniable que le Lucette avait une trogne de
bonne vivante.
Elle le suivit du regard quand il s'approcha d'elle pour lui susurrer de douces paroles liquoreuses. Il faut admettre qu'il avait le verbiage aisé et aussi l'art et la manière de brosser les gens dans le sens du poil, en l'occurrence cela tombe à pic ...

Elle prend alors un air offusqué.


Mais, mais et si on v'nait à nous surprindre ? V'rendez-vous compte ? C'est qu'ça s'rait un peu gênant tout de même ...
Et pis .. Et pis ... Ces vils coquins comme qu'vous les appelez, y pourraient profiter eud'c't'insant eud'faiblesse pour faire vos poches ...


Puis elle rajoute à voix un peu plus basse ...

Pis c'est surtout qu'bah ... J'lô jamais fait ... Savez, la "Chose" ...

V'là maintenant notre Lucette toute rougissante. Bien que flattée, elle restait méfiante, se rappelant les mises en garde de sa bonne vielle mère (bon d'accord, ça doit dater, mais y a des choses comme çà qui marquent ...). Elle glissait donc discrètement sa main sur les fontes posées sur le dos de la mule, prête à lui en asséner un coup sur le carafon.
--Mastress_pool


Une poule sur un mur, qui picore du pain dur...

Et bien non. Cette poule là cheminait dans un carrosse, car c'était une poule de luxe. Pas l'une de ses poules qu'emballe le commun des mortels.

Son embonpoint laissait, en outre, supposer qu'elle ne s'était pas contenté du pain dur, mais avait apprécié sans modération tout ce que la cuisine anglaise pouvait lui offrir. Et Dieu sait que la cuisine anglaise peut être riche...en calories.

Dans son carosse, afin de tromper l'ennui qui la guettait, la poule chantonnait. Car, ne dit-on pas que c'est la poule qui a chanté qui a pondu l'oeuf ? Et son dernier datait de...guère plus, mais pas moins.

Elle sussurrait de sa voix de fausset son air favori :


J'avoue que je vous verrais bien

Vil voyou

Venir dévoiler mes atours

vil voyou...


Tout en fredonnant, elle pencha sa tête à la fenêtre pour respirer un peu d'air frais...et aussi pour laisser s'aérer des parties plus carnues de son anatomie. Des fois qu'un riche seigneur passant par là soit ébloui par autant d'appas...

Dans ses moments de lucidité, la Pool savait que la marchandise était, au mieux d'occasion, au pire sur le retour d'âge. Mais existe t-il un âge pour aimer ?

Son regard tomba alors sur une scène champêtre : une paysanne burinée par les ans au charme en solde et à l'apparence plus charcutière que gracieuse, entreprenait le doux minois d'un Appolon au regard de velours et au sourire béat révélant des dents d'un blanc étincelant. La Pool en fut toute éblouie. Palsambleu ! Son coeur se mit à bondir : Quand le bonheur, en passant, vous fait signe et s'arrête, il faut lui prendre la main, sans attendre à demain...

Mais avant de goûter ce bonheur, il lui faudrait mettre le jambon en fuite...
--Galibert


Soudain, un carrosse déboula dans le décor, avec du monde au balcon. Une belle poule aux œufs d'or qui les regardait tous deux.
Avec un large sourire, il susurre à la Lucette aux mollets velus :

Saluons-la, n'attirons pas l'attention, ce genre de nobles n'hésiterait pas à nous prendre pour des contrebandiers, mieux vaut lui donner ce qu'elle veut, être reconnue, pour qu'elle nous laisse en paix.
Avec un clin d'œil canaille, il rajoute rapidement : ensuite, nous aurons tout notre temps.. pour..euh.. parler de la Chose.

Préférant se tourner vers la poulette, notre dentu fait miroiter son émail scintillant -scintillant, parfaitement!-, se passe la main dans les cheveux effervescent, la fixe de ses yeux pétillants et effectue une rapide courbette sans la quitter des yeux. On le sent en ébullition, notre preux chevalier de l'amour - qui comme tout chevalier, terrasse son obstacle, profite de la fille, et compte bien s'approprier le château de la belle en guise de dot avant qu'elle ne meure prématurément, pauvrette-.

La Lucette ? Oubliée momentanément. Il n'aurait peut-être pas du.
--Lucette


*I gotta feeling ...*

Oh oui, elle avait un pressentiment la Lucette. Et celui-ci était tout autre que celui de la méfiance, il était bien différent cette fois ci. La timidité avait été effacée bien vite quand un carrosse avait déboulé.
Bien vite oubliée la Lucette quand le bellâtre lorgna la belle poule dans le carrosse. Une véritable poule de Bresse estampillée AOC, Arictocratic Obsequious Chicken.

N'allez donc pas croire que la Lucette malgré son physique atypique et son inexpérience, allait lâcher l'affaire. Oh non, non, non ! Pour une fois qu'un Don Juan lorgnait sur elle, elle n'allait pas le laisser filer à l'anglaise.
Profitant d'être toute proche de l'intéressé que les donzelles allaient de disputer, elle afficha son désir d'être l'élue.

Finie la timidité de la Lucette face à "la Chose", après tant d'années, elle se sentait enfin prête à sauter le pas et elle n'allait pas gâcher cette belle occasion.
Le coeur encore palpitant de l'oeillade du coq de bassecours et répondant à son désir à lui de passer pour ce qu'il n'était pas, elle se la joua décontractée. Elle se pencha un peu pour lui passer une main dans les cheveux et les ébouriffer. Saluant la passante de la main, elle espérait bien qu'elle ne serait que passante.
Elle agitait donc sa main, lui présentant bien sa paume calleuse, l'air de dire
"Parle à ma main".

Soyez naturel et p'tet bin que l'carrosse y f'ra qu'passer.
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