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[RP] Bastonnade en place de Reims Accusé Malaterre

--Samsonlebourrel





Le bourreau Samson était attablé avec son fidèle assistant Calembredaine en taverne. Les chopes de bière allaient bon train avec les clients, quand une garde vient lui apporter un pli.

La Juge d'application des Peines le mandait pour faire son office.
Un certain Malaterre devait recevoir coups de bastons et faire des excuses publiques à la Baronne de Tracy.


Sacré non de non, Calembredaine ! Vite rentrons-nous préparer; sommes pas en avance.

Il paya le tavernier prit congé avec le p'tiot qui trainait la patte.
Il avait recueillit cet orphelin que la vie n'avait point gâté et qui s'était brisé le tibia dans un carcan.

Arrivée chez lui, il revêtit son habit de bourreau et sa cagoule noire et regarda goguenard son assistant tout de noir et de rouge vêtu.
Il prit deux bastons et partirent prestement. la veille dans la nuit estrade et roue avaient été montées pour le supplice.

Des badauds étaient groupés et attendaient sur la grande place. Il y avait du bon monde, des nobles habillés avec leurs plus beaux atours, des notables, des paysans, des gueux. Il faisait froid et le vent balayait la grande place.

Cela faisait bien longtemps, que le tourmenteur n'avait été appelé.
Il avait eut vent que l'accusé faisait parti des pilleurs de Reims et que son passé judiciaire était long comme un jour sans pain.

Il guettait la charrette de l'infamie amenant l'accusé.
le Juge d'application Delvitaeternum ainsi que le juge Shauwdi ne seraient tarder pour lire Dictum pour faire son office.



Malaterre
Légèrement amaigri mais toujours le regard vif et haineux, Matarre attendait que le temps passe au fond de sa geôle. Il ruminait contre la noble qui avait osé le priver de sa liberté pour quelques mots et son épée. Ils ne comprenait rien décidément ces champenois; à quoi bon avoir une épée si on ne peux pas la porter... Et puis dans son métier c'était indispensable; attaquer un château ou même un simple voyageur avec un bâton ! Et quoi encore ?

Le temps passait lentement. Il ne savait pas vraiment pour combien de temps il était là. Il y avait bien eu un verdict mais dans un accès de colère sa voix avait couvert celle du juge.



Maudit juge; je te saignerais comme un porc !
Et de quel droit, je me dois de suivre vos lois ?
Mon choix justement c'est de ne pas les suivre



Le bruit d'un rat qui s'enfuyait... Un claquement de porte. Enfin ! La liberté l'attendait


Empaffé de geôlier !
Je te ferais bouffer ton infâme gruau jusqu'à ce que t'en crève...


Le geôlier ne prenait plus la peine de répondre; ni par le verbe ni par la violence. Il se contenta d'ouvrir la porte. Malaterre ne se fit pas prier et sorti sans mot dire. Légèrement aveuglé par la lumière du jour qu'il n'avait guère vu depuis quelques temps, il distinguait à peine les silhouettes environnantes. D'un simple geste, il tendit les bras pour qu'on lui ôte ses fers. Il s'impatientait.


- Alors chien; accompli la tache que ton maitre t'as confié. J'suis libre maintenant.



Pas de réponse. Ils l'attrapèrent; chacun un bras et le trainèrent dehors. Une carriole de transport de prisonnier l'attendait. Il était plus le bienvenue en ville a priori. Déjà ca; ni goudron ni plus. Malaterre se cala au fond de la charrette récupérant progressivement l'usage de ces yeux. Ils ne prenait pas la direction de la sortie de la ville...


Au loin une estrade était dressée. Un bâtard de bourreau dissimulé sous sa capuche se dressait sur l'estrade. On lui avait sorti le grand jeu... La fête était pas finie pour lui. Un sourire ironique se figea sur son visage. Elle devait plus importante qu'il n'y paraissait la nobliote ...

On l'amena sur l'estrade.
Il attendait la suite; sans illusion. Il allait passer un sale quart d'heure.
Delvitaeternum


La jeune juge d'application des peines devait se rendre en place de Reims. Elle ne pouvait pas se soustraire à cette obligation. Alors elle se prépara, fit un brin de toilette et revêtit sa plus simple et sombre robe mais fait dans les plus beaux et somptueux tissus. La jeune brunette se rendit directement près de l'estrade montait pendant la nuit.

Elle remarqua le bourrel était déjà prêt pour exécuter la bastonnade à l'accusé. Un foule déjà était amassé autour de l'estrade, les gens du peuples, mais les nobles et notables avaient pris place sur de belles loges. Delvi serra contre elle sa cape de velours doublée et rehaussée de fourrure car il y avait un vent d'une telle froideur.

La jeune femme entendit des bruits de sabot qui se rapprocha elle tourna la tête et remarqua la charrette qui amena l'accusé. Elle prit la direction de l'estrade et monta dessus. S'est d'une voix forte qu'elle demanda aux gardiens de montée l'accusé sur l'estrade. La foule hua le prévenu à son passage. Le silence se fit petit à petit parmi les gens du peuple on entendit encore un peu de murmure parmi les nobles et notables. Une fois chose faite elle commença à lire le Dictum(verdict) d'une voix forte et portante.


Citation:
Le jugement a été renduEnoncé du verdict
Le prévenu a été reconnu coupable de trouble à l'ordre public.
*Le juge va rendre son verdict*

Un peu de silence dans la salle, l'honorable juge Shauwdi de Saint-Mathieu va rendre son verdict!!!

*Shauwdi se lève pour prendre la parole*

Nous allons rendre notre verdict, dans l'affaire qui oppose le duché de Champagne à Malaterre.

Attendu que la présomption de culpabilité prévaut en Champagne,

Attendu que nul n'est censé ignorer la loi,

Attendu que tout individus doit se conformer aux lois du duché dans lequel il se trouve.

Attendu que l'accusé s'est rendu coupable de trouble à l'ordre public, en insultant une noble champenoise,

Nous, Shauwdi de Saint-Mathieu, Juge de Champagne, déclarons l'accusé
coupable de trouble à l'ordre et d'insultes, nous le condamnons donc à
1 écu symbolique d'amende mais également à une bastonnade en place
publique suivie d'excuses publiques à la baronne de Tracy. L'exécution
de ces deux dernières peines sera contrôlée par le juge d'application
des peines.

Nous indiquons à l'accusé qu'il peut déposer son dossier en appel.
Voici les démarches à suivre :

http://forum.lesroyaumes.com/viewforum.php?f=46

Qu'il en soit ainsi.

*Le juge frappe avec son lutrin pour clore le procès*

Le prévenu a été condamné à une amende de 1 écu.


À la fin de la lecture la jeune dame descendit de l'estrade pour laisser place au bourreau. Elle prit la direction des loges pour voir l'exécution de la bastonnade. Pour la juge d'application des peines cet événement était le premier et en espérant ne pas à avoir en subir d'autre.
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Darkaprincesse


La Baronne de Tracy arriva sur la place sur sa jument Barish. Le soleil timide était au rendez vous , mais un vent glacial balayait la place.
Les badauds attendaient impatients la bastonnade de ce couard. Elle descendit lestement de son monture et l'attacha.
Se dirigeant devant le premier rang, elle croisa le Juge d'Applications des Peines qui venait d'annoncer le verdict.
S'approchant d'elle et la salua courtoisement et prit place.


Le Bonjour Chère Delvitaeternum,. Enfin, justice va être rendue ! Espérons que cette chiure de brigand expie sous les coups de bâton et qu'il me fasse des excuses pour m'avoir insulter.

Elle leva les yeux au ciel en soupirant.

Que le Très Haut me pardonne d'avoir de la haine dans mon coeur.

Elle le toisa de son regard vert sombre ayant pour lui que haut le coeur et aversion. Il avait l'air amaigri par des jours de géôles , mais avait toujours ce regard hautain et un sourire narquois.


Le bourreau attendait les bras croisés, impassible, que les gardes fasse monter l'accusé sur l'estrade. Elle détourna la tête pour voir si ses complices de brigands , Kika, Delta et Licinia étaient venus le soutenir dans cette épreuve.

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Cyrille22
Cyrille qui passait par là entendit et écouta tout cela avec une oreille très à l’écoute des mots.

Puis il entendit une femme dire quelques mots.

Espérons que cette chiure de brigand expie sous les coups de bâton et qu'il me fasse des excuses pour m'avoir insulter.

Il se mit a éclater de rire a ces mots, un rire nerveux, la colère montait en lui comme une rué d’orage a son apogée.

Je vous écoute depuis un bon moment dame, mais que faites vous si l’un de vos concitoyen et de surcroîts conseillé ducal de votre conté agresse un honorable voyageur, allez vous lui aussi le rué de coup comme vous savez si bien le faire, que de vous soucier de votre bien être, vous devriez vous soucier de l’incident diplomatique qu’il pourrait en écoulé dame.

L’homme égrisé par ce qu’il s’était passé.

il partit en boitant votre conseillé, mais je vous jure que si il recommence de nouveau, je lui écarte les entrailles et les accroches sur votre place publique.

L’homme partit en colère et rien de tout ce qu’il pouvait en résulter le calmerais, même de sa Flandres, il n’avait eu vent que l’un de ces concitoyen en poste ducal n’avait fait si belle sottise.



N’oublions pas que l’homme est en colère, et que certains mots peuvent dépasser les pensées

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pour me faire taire veillez parler au sourd a coté SVP
Knarel
Ayant eu vent d'une bastonnade public, Knare s'était rendu sur la place où celle-ci allait avoir lieu. Une foule de badot s'y pressée déjà, et on pouvait aperçevoir l'accusé sur une estrade, au milieu. Le jeune homme fixa l'accusé, et le reconnut : Malaterre. Il avait participé à la prise de Reims, à l'incendie du chateau et à la ruine du duché. Pourtant, il éprouvé de la pitié pour cette homme. Certe il avait fait du mal, mais il allait être battu, peut être même à mort, sans aucun moyen de se defendre. Knarel comprenait un tel chatîment, mais son sens de l'honneur lui aurait interdit d'être un tel bourreau. Il ne comprenait pas que tant de monde puisse aimer un spectacle pareil. Une femme monta sur l'estrade, et il reconnut la JAP de Champagne. Celle-ci lu le jugement final rendu par le juge, puis elle fit place au bourreau. Le jeune homme ferma les yeux une seconde en se répétant *c'est un brigand, il mérite ce qui lui arrive... c'est un brigand...* mais rien n'y faisait ! Il éprouvait toujours de la pitié pour cette homme, malgré tout les actes vils qu'il avait formenté.

Knarel remarqua alors le boureau se munir d'un baton, et il comprit que la sentence était sur le point d'être appliqué. Ne voulant aucunement assister à cette bastonnade, il continua son chemin. Pourtant il n'avait pas réussi à prendre asser de distance rapidement, et il pu entendre les trois premiers coups de batons, suivit des cris de l'accusé...

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Membre de l'Ordre Equestre du Saint Sépulcre
Présentation de l'Ordre
Wyky
. Wyky se rendait sur la place où une bastonnade devait avoir lieu.

La justice rendait son verdict, un des malfrats ayant été un des responsables de la chute du château, de la ruine de la Champagne de la famine, allait recevoir la sanction méritée.

Il est brigand, il est jugé et condamné pour ses actes, peut être se s'est il pas rendu compte sur le moment que la chute de Reims pouvait apporter misère au duché, manque ses complices, balayant du regard ceux-ci, ne sont point là .enfin pas pour le moment, Samsonlebourrel ne pouvait faire qu’une chose après l’autre par prudence.

Sans haine, sans mépris, Wyky regardait au loin la scène, elle aperçut un homme rouge de colère, un rire nerveux, crier au juge d'applications des peines ce qu'elle pouvait comprendre, elle eu vent de son agression par un Champenois en plus surcroît un conseiller du comté.

Wyky aurait bien aimée saluer madame la Baronne de Tracy son amie de toujours, elle discutait avec le juge, par politesse par respect de son rang, Wyky restât légèrement en retrait.

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Ava


Ava arriva sur la place et reconnut parmi les gens, le sieur Cyrille22 qui venait d'essuyer une tentative de brigandage. Son agresseur n'était que Mandagrone, Conseiller Ducal et l'affaire faisait grand bruit.

Bien le Bonjour Sieur Cyrille, Comment allez vous .
Dites, j'ai bien transmis vos courriers à notre Prévôt.
J'espère que Mandragone subira le même chatiment. Quelques coups de batons lui feront peut être entendre raison et bienseance.



Elle attendait que le bourreau commence. Elle n'était pas du genre à fermer les yeux. Ce brigand n'avait que ce qu'il méritait.

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--Samsonlebourrel





Le Dictum était lu, Le tourmenteur fit un signe aux gardes de lui détacher les mains.
Sous sa cagoule, son visage restait froid et impassible. D'une voix grave, il lui intima de s'avancer vers la roue. pour l'attacher
.

Approche, accusé Malaterre, as tu un souhait avant la sentence ?
Tu as excuses publiques à faire, comme l'a prononcé, le Juge, il serait bon de les faire avant la bastonnade, après tu seras plus en état !


Kika15
Kika savait que Mala allait prendre une correction qui restera gravée à vie...
Il le fixa un moment, puis ses yeux se portaient sur le Bourrel...drôle de métier que de vouloir à tout prix être le bras vengeur de la justice des hommes.
Son ami allait se faire bastonner.
Pour lui ce n'était qu'une histoire de jour...lui aussi serait face à la foule avide de tortures et de sangs...
Rien ne changerait. Jamais. La violence appelant la violence, il était évident que cet acte allait se payer. Cash.

Kika retenait sa respiration. Il avait les yeux humides.
Il detestait rien de plus que de voir ses amis dans des positions malheureuses...il eu voulu prendre sa place, de suite...

Il regardait autour de lui.
Une femme, tête haute et teint frais semblait être fascinée par la scène...
Seul Knarel, le gonze du Saint Sépulcre semblait aussi ému que lui.


Tiens ton rang, Mala...nous ferons justice nous même.
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Ouaille certifié conforme
Malaterre
Malaterre observait la foule. Étrangement; il était serein... Les bastonnades c'est comme tout; on finit par s'y habituer et lui il y avait été habitué dès son plus jeune âge. il jaugea le bourreau. Il était certes plus costaud que ce qui lui avait servi de père avent qu'il ne s'en débarrasse... Mais il n'avait plus 5ans et encaisser il savait faire.


Il reconnut son pote Kika dans la foule. Si on le remettait pas directement en cage après la bastonnade. Une sorte de sport nationale venait de s'instaurer en Champagne, le procès de Malaterre. Il comprenait pas forcement pourquoi mais ca finissait à chaque fois pareil... La cabane. Lui le vagabond il avait fini par trouvé un toit songea t'il ironiquement.

La voix du bourreau le tira de sa rêverie.


Citation:

Approche, accusé Malaterre, as tu un souhait avant la sentence ?
Tu as excuses publiques à faire, comme l'a prononcé, le Juge, il serait bon de les faire avant la bastonnade, après tu seras plus en état !


Je vais commencer par les excuses si ca ne vous fait rien; on verra pour le souhait ensuite.

Il se racla la gorge et repris d'une voix sonore


JE M'EXCUSE...

POUR MA SINCÉRITÉ ENVERS CETTE CHIENNE QUI SE DIT NOBLE; QUI SE CROIT SUPÉRIEUR A MOI ET A TANT D'AUTRES.

JE M'EXCUSE PAR AILLEURS AUPRÈS DE TOUTES LES CATINS CHAMPENOISES QUE J'AI COMPARE A CETTE NOBLE VERMINE. ELLES FONT LE BONHEUR DE TANT D'HOMME TANDIS QUE CETTE GARCE HAUTAINE A RUINE VOTRE DUCHÉ PAR SON INCOMPÉTENCE JUSTE UN PEU AIDE PAR NOTRE MALVEILLANCE

AVEC MES FRÈRES,
DEPUIS CETTE TERRE
ON VOUS A A DÉCLARÉ LA GUERRE

ON NE S'ARRÊTERA PAS LA


Se tourne rapidement vers le bourreau pour lui coller un méchant coup de boule. Quittes a ce faire massacrer autant porter le premier coup... Puis ajouta

- Fais ton office esclave
--Samsonlebourrel




Samson le maîtres des basses et hautes œuvres restait impassible aux paroles ordurières du rapineur. Le juge devrait sûrement apprécier les excuses peu communes de l'accusé. L'homme passablement excité , surpris le tourmenteur en infligea un coup de tête. Il resta sonné quelques instants et reprit rapidement ses esprits.

Il n'avait point demandé à être bourreau, il était né ainsi !

La transmission se faisait de père en fils . Il fait peur et habitait la maison du pilori, il ne fallait pas le toucher, il était maudit.
Il est la personnification de la mort, il est la mort qui veille au milieu des vivants.

Samson était obligé de prendre en charge d'autres tâches comme la torture, l'équarissage des animaux morts, la capture des chiens errants, l'ensevelissements des supplicés et des suicidés, le nettoyage des cloaques ou encore la surveillance des bordels.

Il était haÏ et méprisé. Ce mépris de la société se manifestait de milles manières. Pendant longtemps, le bourreau était qualifié « d’opérateur », « maîtres des basses et hautes œuvres ».
Il le savait tel était son destin.
On pensait que le bourreau qui avait souvent à briser des os, avait des connaissances en anatomie. Il était donc rebouteux.

Il faisait aussi commerce de remède contre la douleur, fournissait des drogues aux personnes soumises à la torture pour leur éviter d’avouer, … Cela lui assurait un revenu confortable.

Ce manant ne perdait rien pour attendre et allait beugler sous les coups, telle une fiote.
Il l'attrapa fortement des ses mains puissantes par la tignasse et demanda aux gardes de le coucher sur la roue.
La roue était faite de deux solives et pourvues d'encoches avec des liens pour attacher les membres.

Gardes, placer l'accusé sur la roue !, dit il d'un ton sec

Les gardes s'éxécutèrent et placèrent Malaterre sur la roue. Le tourmenteur lui attacha les mains et les pieds avec des cordelettes.
Il prit son baston et lui assèna deux coups sec sur chaque cuisse.


Tu fais moins le mariolle, là !
Clotus
Clémence lotus se trouvait à reims pour y voir ses amis quand elle entendit acclamation sur la grand place elle sauta prestement de son cheval et alla voir se qui en découlait qu'elle ne fut son horreur quand elle vit la roue de l'infamie installée sur l'estrade ,elle ferma les yeux et ses souvenirs remontèrent à la surface elle revoyait en cet instant sa mairesse et amie coucouque se faire bastonner jusqu'à ce que la mort vienne l'en soulager .
La capitaine des corinthiens ne pouvait supporté ce genre de châtiment, même si la personne ce jour avait mérité correction celle ci était sans nul doute la plus monstrueuse qui soit.

Elle regarda l'assemblée quand elle entendit le condamné injurier une certaine noble dont apparemment il devait l'en remercier pour sa condamnation .Qu'elle ne fut point sa surprise de voir la tête rousse de darka décidément la baronne aimait ce genre de spectacle et s'en délectait .

Clémence lotus cracha parterre se disant que décidément ses nobles ne savaient que faire ceci et que la justice était plus rapide pour la leur rendre à eux que pour certain jugement même si l'homme devait payé la baronne avait sa part de responsabilité en tant que prévôts par deux fois le château était tomber et elle était toujours bien protéger par ses haut amis de la noblesse.


Les premiers coups furent assener sur les cuisses du manant qui malgré séjours en geôle on pouvait voir puissantes et bien musclées même après l'amaigrissement subit par la malnutrition de l'emprisonnement et les sévices sadique des geôliers.

Clémence laissa échapper un gémissement même si elle ne connaissait pas l'homme ne pouvait qu'être désolée pour lui mieux valait mourir en champ de bataille que sous des coups ou la riposte était impossible


Honte à toi bourel que de frapper une pauvre ère sans défense c'est si facile hou hou serviteur du sans nom tu mérites autant que ce manant

Les mots avaient jaillit de sa bouche tant l'écoeurement se faisaient sentir pour quelques pièces d'or certains se faisaient plaisir d'un spectacle immonde tel des charognards ce qu'étaient devenus la champagne en très peu de temps où tout le monde déchiquetaient à pleine dents ceux qui osaient les défier là étaient tout l'apanage des nobiliaires
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--Samsonlebourrel




Le bourrel fut interpellé par une gueuse qui semblait vociférer et déverser son fiel en l'insultant. Le manant etait brigand et avait participer à la chute du château.
Il maugrea sous sa cagoule un court instant préférant ne pas répondre aux colibets.

Il se concentra préférant terminer sa basse besogne comme on lui en avait intimer.
Jollin
Jollin, ayant quitté pour quelques heures son poste à Clermont pour porter ses rapports de douane à la caserne de la Prévosté, approchait de la grand place, à cheval et au pas, quand il vit et entendit ce qui se passait. Il comprit instantanément, et aurait souhaité éviter de voir cela, car il avait horreur de ce genre de spectacle.

Mais puisqu'il était là et n'était point homme à se dérober, il préféra subir cela que de traverser la place en plein supplice, ce qu'il aurait été obligé de faire pour atteindre la caserne. Au passage, il reconnut Kika15, qui avait eu l'outrecuidance l'autre jour, de se rendre auprès du capitaine de la Prévosté, pour lui demander un poste. Il en rirait encore, si ce qui se déroulait sous ses yeux ne l'en empêchait.

La vue du condamné lui fit pitié, et le bourreau, qui frappait, lui donnait envie de vomir. Pitié et mépris, voilà ce qu'il ressentait pour les brigands. Il entendit ce que dit la baronne, et se dit in petto qu'en regard de son titre, elle pourrait se comporter avec plus de grandeur d'âme. Mais il garda ses pensées pour lui. Il entendit aussi ce que dit son amie Clotus, et eut de la peine pour elle que les chagrins et les épreuves de cette vie, l'aient rendue aussi aigrie...

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