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[Rp-ig] Une baffe et des pains pour Mâcon la Rusée

Eusaias
Eusaias avait monté un baraquement de fortune sur la place du marché. Il y avait placé un panneau sur lequel on pouvait lire :

Citation:
Mâcon est tombée ! Macon notre soeur a été pillée par les brigands !
Ici nous luttons contre la famine qui la guette !
Achetez nous une miche à 10 écus, les fonds sont pour nos voisins Maconnais !

Grand Dieu montrez donc que Sémur à du coeur !


Les dites miches furent déposées sur l'étale. Rondes, chaudes et attirantes, elles attendaient acheteur. Eusaias guettait.
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--Marriette
Une vieille femme, retirée du monde depuis des années mais qui se tient au courant de toutes les rumeurs, avait eu vent de la collecte de fond pour aider les Mâconnais.

Leur village avait été pillé et même si la femme n'avait pas un bas de laine très épais, au moins pouvait elle participer. Aussi approcha t-elle de l'étal monté par le Seigneur de Saint Robert.

Plus jeune elle lui aurait sûrement adressé une œillade dont elle avait le secret, bel homme que ce Balbuzard, pour sûr que la légende n'était pas feinte. Mais tout cela n'était plus de son âge, et la beauté étant passée, elle n'avait plus le loisir de s'amuser à ces jeux, aussi se contenta t-elle d'un salut respectueux de la tête.


J'vous en prendrai quatre Messire ... C'pas grand chose, mais j'peux pas faire beaucoup plus.

40 belles pièces vinrent alors se poser devant lui alors que la vieille dame prenait possession de ses quatre miches de pain.

Citation:
17-02-2010 17:30 : Vous avez acheté à Eusaias 4 miches de pain pour 10,00 écus.
Mariealice
Marie, en vadrouille pour prendre l'air un peu, reconnut la silhouette de son vassal devant un étal. Une vieille femme était en train de lui acheter quelque chose mais elle ne pouvait voir de quoi il s'agissait de là où elle était.

Curieuse, elle s'avança vers eux et salua la dame qu'elle ne connaissait pas avant de se retourner vers lui.


Bonjour Eusaias. Comment allez-vous?

Elle jeta un coup d'oeil sur le panneau puis sur le pain, ouvrit sa bourse et grimaça.

Mettez m'en 4 pour le moment, je vais faire envoyer chercher d'autres écus. J'ai peur d'être sortie avec peu.

Mais excellente initiative.

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Eusaias
Qui a dit que les femmes n'avaient pas de coeur ? Bien sot celui qui croit cela.

Eusaias regarda la dame qu'il ne connaissait pas. Un sourire franc et sincère il lui offrit avant de lui tendre les 4 miches.

Voilà pour vous madame, Aristote vous le rendra et Macon vous aimera.

Puis Marie Alice dit "la Suze-Reine" vient à son tour.

Je suis fort flatté, oh ma reine, de vous voir venir chercher mes miches. Vous verrez, elles sont rondes et fermes comme on les aime.

Rire franc pour le piaf de sémur.

Merci à vous Marie... puis je vous donner la bise en prime ?
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Morgane
Une voix, qu'elle reconnaitrait entre toutes pour l'avoir entendue durant toute la fin de son adolescence.
Une prestance digne d'un légendaire... Que dis-je : un Légendaire, ni plus ni moins, haranguant la foule afin de sauver Mâcon d'une famine certaine.

Décidément, le prince Kheldar s'en retournerait dans la tombe qu'il n'occupe pas encore, s'il assistait à pareil spectacle.

Elle sourit.

Des miches de pain à 10 écus. Et bien soit, elle peut bien y mettre la main - à la pâte hein... 'fin à la bourse... pas aux miches - Surtout pas celles d'Eusaias même s'il se targue de les avoir fermes et joliment galbées.

Sortant de la pénombre d'un coin de rue où elle a trouvé refuge pour admirer le Mauvais jouer au Bon, elle lui lance :


Ah mais si le Légendaire offre une bise en échange, je veux bien lui en prendre 5, de ses miches.

Citation:
18-02-2010 10:20 : Vous avez acheté à Eusaias 5 miches de pain pour 10,00 écus.


Sourire taquin au brun, bonjour souriant à dame Marie Alice.
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Mariealice
Grognements à l'attention du Balbuzar et réplique directe.

Je ne vois nulle reine ici mon cher va-sale. Et ces miches sont parfaites.

Elle en prit possession, les posant dans le panier à son bras.

De rien. C'est fort peu. Et oui vous pouvez me donner une bise si vous en faites tout autant pour cette dame ici.

J'espère que nous ne serons pas que deux à le faire.


Elle se retourna en entendant une voix qu'elle connaissait.

Bonjour Morgane. Hum... Croyez-vous qu'il va offrir des baisers aux hommes aussi?
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Eusaias
Morgane, comme toujours était là pour lui, pour ses idées... Un soutien en tout temps, toujours et pout tout. Le Babuzard lui rendrait le tout, du mieux qu'il pourrait, il s'en fit la promesse.

Ma foy ! Toutes les beautés de Sémur pour moi ! Dommage que vous soyez toutes si mal mariée, hélas il n'y a qu'un moi.

Rire amusé pour le Balbuzard qui se leva et vint avec joie biser Marie, Morgane et la vieille.

Cela vous va mesdames ? Attention de ne pas tomber en pamoison sous mes baisers.
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Puylaurens
Au courant de l'opération pour récupérer un peu d'argent pour Mâcon, Puy se dirigea vers le marché dans l'intention d'aller acheter quelques unes des miches mises en vente par Eusaias. Il déambula dans les travées avant de trouver l'étal en question.
S'y trouvaient quelques personnes, dont certaines ne lui étaient pas totalement inconnues. S'approchant, il ne put retenir un sourire à la vision du Balbuzard transformé en commerçant pour l'occasion. Cela dit, de commerçant il n'en avait point l'air, et nul voleur ou engeance du même type n'aurait osé tenté le coup avec lui.


Bien le bonjour, mes dames.

Salut aux dames en question, puis il se tourna vers Eusaias, non sans qu'un mince sourire réapparut. Main au chapeau, pour le saluer, puis il désigna les miches.


C'est bien volontiers que je vais vous en prendre quelques unes... Mettez m'en donc dix, je vous prie.
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--Marriette
Et une vieille qui rougit et ne sait plus que dire, retrouvant pour une fraction de seconde la joie de ses 20 ans.

Mais le moment ne dura pas et la femme prit rapidement congé d'Eusaias et des deux femmes devant lesquelles elle s'inclina avec respect.


Je ... j'm'en vais me retourner chez moi ... La bonne journée à vous tous et mes félicitations jeune homme pour cette généreuse idée.
Aristote vous garde tous.


Et notre vieille ridée disparut comme elle était venue, bousculant un homme qui arrivait au passage, sans que personne ne sache qui elle était réellement.
Morgane
Bonjour Morgane. Hum... Croyez-vous qu'il va offrir des baisers aux hommes aussi ?

Je ne sais dame, mais je le crois capable de tout.


Petit rire malicieux auquel vient mettre un terme une remarque de l'oiseau de proie sémurois.

Ma foy ! Toutes les beautés de Sémur pour moi ! Dommage que vous soyez toutes si mal mariée, hélas il n'y a qu'un moi.

Non mais écoutez-le, le voilà qui déjà s'y croit. Marcko est le plus tendre des époux qu'une femme puisse rêver et je ne doute point que Marie Alice pense la même chose du sien. Tout est donc relatif et tu dois être ici le seul à regretter de ne pas nous avoir pour épouses, justement.


Chose promise étant néanmoins due, ses cinquante écus, dépensés pour une bonne cause, peu important la poche où ils avaient fini quelques secondes auparavant, elle lui tend sa joue, dans l'attente d'une bise du Balbuzard.
Bise qui ne se fait point attendre, agrémentée d'une question. L'Eusaias aurait-il besoin de se rassurer ?


Cela vous va mesdames ? Attention de ne pas tomber en pâmoison sous mes baisers.

Cela me convient, pour ma part. Merci de ta prévenance, mais ne t'inquiète pas, je ne suis pas femme qui se pâme facilement, il m'en faut plus.


Mouvement au coin de son champ de vision, nouvel arrivant, un homme cette fois, qu'elle reconnait comme étant le Seigneur des Auteux.


Bien le bonjour, mes dames.

Messire Puylaurens, le bonjour à vous aussi.

C'est bien volontiers que je vais vous en prendre quelques unes... Mettez m'en donc dix, je vous prie.


A l'adresse de dame Marie Alice, dans un murmure :

En voilà un homme généreux, je pense que cela vaut bien deux bises au moins... Peut-être allez-vous avoir réponse à votre question. Remarquez, à choisir, le Saint Robert optera certainement plutôt pour une virile poignée de main.
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Eusaias
Le Balbuzard ne put que se satisfaire de voir le seigneur des Auteux le rejoindre dans sa démarche.

Le bonjour l'ami ! Tu me vois ravi de te voir icelieu.

Les miches passèrent de main en main. Puis le Balbuzard lança un regard de défi à Morgane.

Parcontre, il est coutume que je bise ceux qui achètent. Puis je continuer la coutume ?
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Puylaurens
Miches reçues, il ouvrit sa bourse et en sortit écus sonnants et trébuchants, qui atterrirent dans la main d'Eusaias. En attendant il semblait que les quelques mots sur une bise offerte, entendus lorsqu'il était arrivé, aillent bien dans le sens qu'il avait compris, sens qui l'avait d'ailleurs laissé un peu perplexe. Le Balbuzard fit donc la bise aux acheteuses, non sans faire preuve de sa gouaille habituelle.
Ensuite, les chuchotements entre les deux femmes, le regard du Balbuzard à Morgane, il ne fallait pas être devin pour pressentir la suite.

Hé quoi, je ne savais point que tu donnais également de ton corps pour aider Mâcon ! Quelle générosité sans pareille.

Sourire entendu.

Si c'est une coutume, je m'en voudrais d'y déroger. Fais-donc !

Regard en coin aux dames, qui paraissaient attendre ce moment.

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Eusaias
Foutredieu ! Puy ne reculait pas coinçant le balbuzard.

"Cela t'apprendra à garder ta gueule toujours ouverte" s'était il dit. Un second regard sur les deux commères. Oh il se vengera, ça allait de soit. Et la bise claqua sur la joue du seigneur de Auteux. Le Balbuzard avait tenté de donner de la noblesse dans le geste, un peu à l'image d'un baiser vassalique... En moins "cérémonial" tout de même.


Là, tout le monde est content.
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Cassian_darlezac
Faute de Gaspard, c'était avec Karyl que le jeune Saint Robert déambulait dans les rues ce jour là, lui comptant insatiablement les exploits paternels.

« Aussi il a alors prit Victoria –même que c’est le nom de son épée vu qu’il gagne toujours- et l’autre est parti en courant comme une fillette. Mais Papa l’a rattrapé en courant lui aussi et je peux te dire qu’il lui a fait comprendre ce qu’on pensait des pleutres nous ! C’est pourquoi tu peux dire que tu veux, moi je m’en fiche. C’est comme ça et pas autrement, chez les Saint Robert on est pas de la Chochot… »

Gamin qui s’arrête le regard éberlué quand il aperçoit son père juste en face entrain de taper la bise à ce qui semble être… Epaules carrées, aucune protubérance mammaire… Nul doute, il s’agit bien d’un homme. Léger coup d’oeil vers Karyl, fichtre ! Le gamin a également le regard braqué sur la scène. Comment se rattraper, et il fait quoi le père là ?! Diantre, voilà le môme qui se ressaisit donc, petite lueur malicieuse au fond du regard. Garder contenance surtout, garder contenance. Se tournant à nouveau vers Karyl il poursuit donc, bien fort, afin que tout le monde entendent.

« Mais comme tu le voir Coup d’œil marqué vers le père. Papa n’est pas qu’une brute il sait aussi avoir de la… tendresse… Nouveau regard plus qu’appuyer et non sans reproche. ... envers ses amis. » Ne reste plus qu’à enfoncer un peu le couteau dans la plaie afin qu’Eusaias comprenne bien que là il vient de lui pourrir tout son effet. « Oh Papa tu es là ! J’expliquais justement à Karyl au combien tu es… viril… »

Bon c’est pas tout mais il font quoi au juste ici? Le regard se veut alors interrogateur et la question suit. « Euh… Pourquoi vous êtes tous là en fait ? »
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Mariealice
Toutes les beautés de Sémur... Tsss. Allons, comme si à trois nous représentions toutes les femmes. Et vous savez ce que je pense de ce genre de compliments. Fadaises et boniments.

Nouvel arrivant qu'elle avait croisé voici peu en un autre lieu, salut puis sourire en entendant Morgane.

Vous lui demanderez directement à votre Truite quand il reviendra de sa retraite ce qu'il pense de son rôle de mari.

Clin d'oeil à la brune à ses côtés.

Le drame de Saint Robert a encore frappé.... Eusaias ne peut être l'époux que d'une seule. Que le Très Haut est donc cruel.

Un baiser sur la joue pour les trois, éclat de rire.

En pâmoison? Rien que cela? Dites vous ne croyez pas qu'à force vous allez craquer le cuir de vos bottes à vos chevilles?

Elle se retint d'éclater de rire quand Puylaurens prit son vassal à son propre piège mais lorsque la bise fut donnée, avec la tête du Balbuzar qui tirait une tronche de trois pieds de long et l'arrivée d'un Cassian n'en croyant pas ses yeux et cherchant désespérément à expliquer la situation à Karyl sans faire passer son père pour de la chochotte comme il le disait lui-même, ce fut peine perdue. Marie partit donc dans un fou rire, accrochée à l'étal pour ne pas tomber, pleurant de rire. Comment diable est-ce que tout ceci allait finir.
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