E_newton
Les crises intestines au Royaume fleurissaient comme pâquerettes au printemps. On en était pourtant bien loin de ces rayons de soleils qui faisaient fondre les dernières neiges et redonnaient vie aux campagnes. Quand bien même les Licorneux furent déjà nombreux, le Haut Conseil de l’Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne ne pouvait que constater que leurs effectifs étaient encore insuffisants pour répondre à toutes les sollicitations qui leur étaient faites. Aussi, fût-il décidé de susciter les motivations et d’informer le peuple en son intégralité, de l’ouverture des portes de la citadelle de Ryes à toutes les bonnes volontés qui répondraient aux exigences de la Charte qui régissait l’Ordre.
De passage dans ce Comté Languedocien qui l’avait éveillé à l’honneur il y avait de cela bien des années, le Capitaine Licorneux ne put s’empêcher de venir y informer la population de la décision de l’Ordre. Deux résidents du Comté avaient déjà rejoint la Licorne il y avait quelques semaines à peine de cela, et peut-être seraient-ils à même d’enthousiasmer leur entourage. Nul besoin de le crier sur les toits, car par ailleurs les rencontres en tavernes avaient déjà officiées et le bouche à oreilles semblait fonctionner du mieux. Cependant, tout le monde ne passait pas son temps dans les débits de boissons, et quoi de mieux qu’une annonce officielle pour que chacun puisse en prendre connaissance à sa guise ?
Armé de ses affiches, d’un marteau et de quelques clous, Ethan s’attacha donc à les placarder en des points stratégiques de chacune des cités du Comté.
De passage dans ce Comté Languedocien qui l’avait éveillé à l’honneur il y avait de cela bien des années, le Capitaine Licorneux ne put s’empêcher de venir y informer la population de la décision de l’Ordre. Deux résidents du Comté avaient déjà rejoint la Licorne il y avait quelques semaines à peine de cela, et peut-être seraient-ils à même d’enthousiasmer leur entourage. Nul besoin de le crier sur les toits, car par ailleurs les rencontres en tavernes avaient déjà officiées et le bouche à oreilles semblait fonctionner du mieux. Cependant, tout le monde ne passait pas son temps dans les débits de boissons, et quoi de mieux qu’une annonce officielle pour que chacun puisse en prendre connaissance à sa guise ?
Armé de ses affiches, d’un marteau et de quelques clous, Ethan s’attacha donc à les placarder en des points stratégiques de chacune des cités du Comté.
Le Haut Conseil de l'Ordre Royal des Chevaliers de la Licorne a écrit:
Au Peuple du Noble Royaume de France, salutations.
En ces jours sombres où les guerres ne deviennent qu'une tradition, nous, Fils de la Licorne, sommes toujours présents pour défendre le Royaume et ses habitants.
Depuis des années nous combattons brigands, félons, envahisseurs, comploteurs, afin que ce pays ne devienne pas la proie du chaos et de la vilénie.
Être Licorne est une vocation, un sacerdoce, mais qui apporte à l'âme ce que nul ennoblissement, nulle charge politique ne pourront jamais lui donner.
Être Licorne c'est être prêt à donner sa vie pour les miséreux, les faibles, les innocents, à faire couler son sang pour l'Honneur, la Justice et la Bravoure. Être Licorne est un accomplissement que bien peu d'hommes et de femmes peuvent se targuer de réussir.
Nous savons qu'il en est parmi vous qui rêvent de se vouer à une telle cause, mais que la solitude freine ou décourage.
Notre Forteresse de Ryes en Normandie a été bâtie pour que s'y rejoignent les bonnes volontés qui forment le socle indestructible du Royaume de France. Innombrables sont les grands noms à avoir porté nos couleurs haut dans le ciel et à avoir donné leur vie pour que ce pays existe toujours. Et si notre œil est sévère au moment de juger d'une demande, nous sommes toujours prêts à écouter et à accueillir celui ou celle qui fait la preuve de sa volonté et de sa force.
Vous vous sentez l’âme d’un Licorneux ? Écrivez une lettre, envoyez un messager, demandez une audience.
Tant que la Chevalerie vivra, le Royaume ne tombera pas.
Les personnes à joindre sont les suivantes:
Nith le Perplexe, Grand Maistre (Nith)
Ethan Newton, Capitaine Prévôt (E_newton)
Cerridween de Vergy, Capitaine Maistre de guerre (Cerridween)
Simonin d'Albizzi, Chancelier (Simonin)
Fait à Ryes, le 17ème jour de février, an de grasce MCDLVIII
En ces jours sombres où les guerres ne deviennent qu'une tradition, nous, Fils de la Licorne, sommes toujours présents pour défendre le Royaume et ses habitants.
Depuis des années nous combattons brigands, félons, envahisseurs, comploteurs, afin que ce pays ne devienne pas la proie du chaos et de la vilénie.
Être Licorne est une vocation, un sacerdoce, mais qui apporte à l'âme ce que nul ennoblissement, nulle charge politique ne pourront jamais lui donner.
Être Licorne c'est être prêt à donner sa vie pour les miséreux, les faibles, les innocents, à faire couler son sang pour l'Honneur, la Justice et la Bravoure. Être Licorne est un accomplissement que bien peu d'hommes et de femmes peuvent se targuer de réussir.
Nous savons qu'il en est parmi vous qui rêvent de se vouer à une telle cause, mais que la solitude freine ou décourage.
Notre Forteresse de Ryes en Normandie a été bâtie pour que s'y rejoignent les bonnes volontés qui forment le socle indestructible du Royaume de France. Innombrables sont les grands noms à avoir porté nos couleurs haut dans le ciel et à avoir donné leur vie pour que ce pays existe toujours. Et si notre œil est sévère au moment de juger d'une demande, nous sommes toujours prêts à écouter et à accueillir celui ou celle qui fait la preuve de sa volonté et de sa force.
Vous vous sentez l’âme d’un Licorneux ? Écrivez une lettre, envoyez un messager, demandez une audience.
Tant que la Chevalerie vivra, le Royaume ne tombera pas.
Les personnes à joindre sont les suivantes:
Nith le Perplexe, Grand Maistre (Nith)
Ethan Newton, Capitaine Prévôt (E_newton)
Cerridween de Vergy, Capitaine Maistre de guerre (Cerridween)
Simonin d'Albizzi, Chancelier (Simonin)
Fait à Ryes, le 17ème jour de février, an de grasce MCDLVIII
Il en termina par la cité de Nîmes où, plutôt content de son travail, il rejoignit ses frères et sœurs qui l’accompagnaient sur les routes pour aller profiter d’une bonne pinte dans l’une des nombreuses tavernes. Ils patienteraient ici quelques jours, le temps de voir ce qu’il en advenait du conflit Provençal. On ne savait jamais ce qu’il en adviendrait des combats qui se déroulaient là-bas …
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