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[RP] Un voyage, un but: Pour retrouver le monde et l'Amour..

Rosedeplantagenest


A Sainct Lizier

« -Rose…Ma chérie… »

Ces mots firent sourire Rose en voyant que sa mère se trouvait dans la maison du tout puissant, elle se rapprocha d’elle et luy déposa un baiser sur la joue, maintenant de la mesme taille qu’elle, Rose luy sourit.

« -Je venais bruler un cierge et prier Mère…Nous allons reprendre la route sous peu, les chevaux sont prêt, les carrosses aussi, les males sont en train d’estre déposée dans les carrosses. Nous pouvons partir… »

Rose lâcha les mains de sa mère, allant chercher un cierge, approchant la mèche d’un autre cierge lorsque une petite flamme fict son apparition.
Durant un instant, Rose se perdit dans les couleurs de cette flamme puys le déposa à une place encore libre, croisa ses mains ou étaient enroulé son chapelet et se mict à prier intérieurement pour sa mère et pour que leur voyage se passe à merveille.

Une fois terminée, elle se rapprocha de sa mère qui la regardait avec des étoiles dans les yeux, se souriant, elles partirent ensemble en direction des écuries ou tout le monde devait les attendre…





Aux écuries tout était prêt, ses frères endormis dans les carrosses, JJ attendait sa mère dans leur carrosse, Balarion et Fitzz sur leur montures, seul Dyruvia était monté sur une étrange monture.

Rose l’observa un instant, puys sentit un mélange de colère et de curiosité en elle.

Elle hausse le sourcil gauche en se plantant face au Maure, pas face à la bête qu’elle ne connaissait poinct.


« -Dictes moy, qu’est ce donc que ce…cette…cet animal ?!? S’il sort tout droit du Sans Nom, je vous promets que vous allez voir ma colère s’abattre sur vous ! »

La voix était sûre et ferme mais pas forte, elle ne désirait poinct estre entendu de tous, le Maure suffisait amplement…

Un valet vinct aider la Comtessa à monter dans le carrosse, et Rose, au dernier moment annonça
:

« -Mère, j’ai envie de galoper cette nuit, je serais devant vous ! »

Elle passa son buste dans l’entrée du carrosse et déposa un baiser sur la joue de sa mère avant de monter elle aussi sur sa jument.

D’un air complice, elle regarda Fitzz et se penchant vers luy, elle murmura
:

« -Un galop pour débuter ?!? »

Après son acquiescement, elle talonna sa jument et la sentit réagir immédiatement, sentant le vent venir se perdre dans ses cheveux et rafraichir son visage en direction de Foix…

Foix...

A l’aube le groupe arrivait, la neige était encore tombée en abondance durant la nuit et Rose ne put que freiner sa jument alors que les remparts de Foix s’ouvraient face à eux.

Magnifique…

Splendide…

Le ciel offrait un dégradé de couleur faisant naistre en Rose un frisson qui luy parcourut l’échine, du bleu nuit au jaune flamboyant du soleil qui se lève, la neige reflétait ces couleurs vives…

Au trot, Rose prit la teste du groupe guidée par la beauté du lieu, dirigeant le convoi près les gardes du village.

L’un d’eux devait s’estre assoupi car lorsqu’il les stoppa il avait encore une marque sur la joue.

Rose luy expliqua qu’il venait visiter et ne restait que quelque jour icelieu et il les laissa passer…


_________________

Ambassadrice Béarnaise en Alençon
Ambassadrice Béarnaise en Orléanais
Dyruvia
encore de la neige, encore se froid

Rose plantait là devant chuchotant presque une question sur la monture de Dyruvia, ne lui laissant guère le temps de répondre elle alla s'installer sur son cheval et partir au galop devant le cortège

un chameau, c'est un chameau dit il en secouant la tête l'air désespéré

et ça court encore, pauvre bête, les torturer de la sorte avec se temps

un oeil en direction des côchés, ils claquent leurs fouets dans les airs, les trois carrosses s'ébranlent brusquement et s'engouffre dans la nuit glacial

Le géant maure, qui n'avait rien à envier à sa monture, dépassait d'un mètre tout le cortège, le chameau effrayait légèrement les attelages

soullan* souffla Dyruvia a l'oreille de son Amis'** qui se mit à ralentir

les hommes lui paraissait encore plus petit du haut de son chameau, déjà frêle face au maure, qui devait garder son attention en tout instant pour ne pas se cogner, le voilà maintenant monté sur un chameau dépassant d'au moins d'un pied, huit pouces les chevaux, Dyruvia dépassa d'autant les hommes de la région
il dépassait aisément de près de trois pieds l'ensemble du cortège

le maure et sa monture semblait ne former qu'un bloc sombre et imposant, avança dans un mouvement fluide et régulier dans cette nuit que seul les étoiles éclairaient, à lui seul il aurait fait fuir tout brigand sur la route, mais il n'y eu aucune embuche
Rose se chargeait d'engager la conversation avec toutes nos rencontres, ce qui ne les empêchaient pas d'avoir un regard méfiant face au maure qui les regardait d'un oeil grave

il ne pouvait voir que ses deux yeux bleu vif dans la nuit, deux saphir bleu clair étincelant serti dans une énorme masse sombre en mouvement continu

il arrivait enfin à Foix, tôt le matin le soleil se levait difficilement, Dyruvia s'arrêta devant un parterre d'une maison laissant manger sa monture sans vraiment faire attention à ce quelle mangeait trop occupé à scruter les autour du cortège à l'affut de la moindre personne néfaste


* doucement
** chameau de selle
Arielle_de_siorac
[Note: Au fait, ceci est la suite du RP visible ici: http://www.univers-rr.com/RPartage/index.php?page=rp&id=342]

Ainsi, ils estoient en Toulouse. Fort bien.

J'ai quelque parenté en ce pays, chuchota la comtesse à son coursier. Ma belle-soeur Katou de Plantagenest, de mesme que Myrtillia de Dénéré. Trouvez-les et invitez-les céans, ainsi que leur famille. Je les recevrai avec un festin.

Aubergiste,
murmura-t-elle à l'intention d'un homme bien droit derrière son comptoir, préparez vos marmites! Je veux du sanglier, de la truite et du faisan pour mes invités.

La comtesse de Nijmegen estoit installée à une table de l'auberge où ils logeoient. Elle tentoit de s'organiser la vie, à défaut de le faire dans son esprit. Un cahier presque neuf luy servoit de point d'ancrage à la réalité.

Glissée dans son carnet, une missive encor scellée. Un coup d'oeil informa Arielle qu'elle ne connoissoit guère l'expéditeur, un certain Alleaume de Maroa.

La lettre s'ouvrit comme une fleur funeste, laissant les mots se planter violemment dans le coeur de la comtesse.


Citation:
Dame le bonjour,
Je me permets de vous écrire... Je suis un ami de Sire Mathieu, votre fils, Mathieu était un ami de longue date et un ami sincère. Sa mort me chagrine et me rend triste, j'étais venu en Béarn dans l'espoir de le revoir, mais il est mort quelques jours à peine après mon arrivé... Quel malheur.

Je vous adresse à vous et votre famille ma considération la plus sincère.

Alleaume.


Les doigts tremblèrent, puys les lèvres.

Non. Non, pas Mathieu. Pas luy. Non. Il estoit devenu un fils indigne, certes, mais...

Fermant les yeux en une grimace douloureuse, Arielle porta sa main à son ventre, comme si elle sentoit à nouveau le poids de son premier-né. Mathieu... Tant d'amour, tant d'espoirs. Tant de peur et de souffrances. Elle luy avoit baillé la vie en pleine fin du monde, à la prise d'Angers, jadis, alors qu'elle estoit encor jeune et aimée de son premier époux. Alors que Woozie estoit encor là. Alors que son existence estoit encor simple. Ou... non, pas tant que ça.

Mathieu, son trésor. Sa déception. Mathieu devenu aussi vain et fat que son père.

D'un geste simple, infiniment triste, la comtesse inscrivit une nouvelle note à son cahier.

Mathieu est mort.

Sans un mot, Arielle resta prostrée là, à observer, les prunelles éteintes, la lumière fuir loin d'elle, la laisser transie, seule, seule avec l'éclat fade d'un passé pas encor oublié.


[Edit pour corriger le lien tout en haut, j'espère qu'il fonctionne maintenant...]
_________________
Dyruvia
cette ville de Foix paraissait d'un calme affligeant

les tavernes trop calme, les rues de même augure, le village respirait les terres mortes.
même le désert de l'Aïr semblait plus attrayant.

Dyruvia en profitait pour créer des liens solides avec sa nouvelle monture, après avoir concocté un baume avec les plantes locale, il massait très soigneusement les membres de son chameau.

il l'avait logé à l'écart des chevaux du cortège près de ce qui semblait être un potager, aux vues de l'animation du village, nul ne viendrait s'en plaindre

à ses moindres mouvement Dyruvia se cognait, chaque poutres, chaque bâtis de porte était une nouvelle bosse, il avait pris soin d'ajouter quelques tours de chèche pour amortir les chocs, mais l'accumulation de coups le rendait encore plus irritable

à de nombreuse reprise on pouvait l'entendre gémir d'un grondement audible à plusieurs dizaines de mètres

Pays de nains

les bâtis de porte subissaient chaque fois une énorme gifle.

cette fois-ci la solidité du toit abritant sa monture en fit les frais, une poussière fine sortie de la poutre juste avant qu'elle ne s'écroule manquant de peu d'écraser son Amis'

mais qu'est-ce que l'on fait dans ce pays? Il fait froids, tout le monde dort à longueur de journée et maintenant tout s'écroule, ô divin aide moi à surmonter tes épreuves

*Dyruvia met le souk dans votre village, ne faites pas que lire réagissaient *
Katou


Dans la petite chaumière de Katou, Colin, le valet et Flore, une cuisinière que son frère Phenix Alexandre avait insisté qu’il reste avec elle, firent entrée le coursier envoyé par sa belle sœur Arielle et l’accueillit comme il se doit. Flore servit une tisane au coursier et Colin entreprit une conversation avec son hôte dans l’attente de Katou.
Après la réunion de TNT, Katou qui retournait à sa modeste demeure, charte du Juge à la main pour bien l’étudier. Elle posse doucement la porte de la maison et vit que un homme discutant avec son valet, elle dépose la charte sur une petite table près de l’entrée et va vers son hôte.
Le coursier se leva à son entrée et se présente.


Bonjour à vous Dame Katou de Plantagenêt, je me présente Guillaume, le coursier de sa Grandeur Arielle de Nijmegen. Elle vous convie à un festin à l’Auberge à Foix.

Il se tue et Katou lui répondit tout en enlevant son manteau adroitement.

Sieur Guillaume, dict à la Comtesse de Nijmegen que je serai présente et que je serai seule. Vous pourriez l’informer que son neveu, sa Grâce Arthur de Plantagenest, fils de feu Sa Grâce Hazgard ainsi que sa demi sœur Lou Ange sont tout deux à Castelnaudary.

Le coursier, prénommer Guillaume, acquiesça de la tête, s’habilla de ses survêtements, salua Katou et reprit la route vers Foix.

Lorsque la porte se ferma, Katou demanda à Colin de faire préparer sa monture, il s’exécuta sur le champ. Elle monta à sa chambre et se changea afin d’être plus présentable. Elle opta pour une robe bleue, orné d’une dentelle blanche, la robe que son défunt époux lui avait offerte lorsqu’ils étaient en Helvétie et qu’il appréciait particulièrement. Elle descendit de l’étage et Colin l’avise que son cheval est prêt. Elle laissa quelques écus à Flore pour qu’elle puisse faire quelques commissions au marché, laissa quelque indication à Colin et sortie.

Son pure sang l’attendait, Katou posa sa main sur son museau et lui murmure quelque mots à son oreille… Monte sur son dos et part vers Foix.

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[url=http://ordotempliorientis.probb.fr/][url]Chevalier de l'Ordre de Saint-Jacques-L'Épée
Jutge et Vice-Chancelière du Comtat de Tolosa
Rosedeplantagenest
Rose avait tenue a accompagner sa jument aux écuries, afin de visiter ces dernières et chérir la jument après ces retrouvailles plus qu’attendue de la part de la jeune femme.

L’auberge luy paraissait accueillante, et son groupe devait prendre à luy seul les chambrées, ce qui rassura Rose qui en fict un tour complet avant d’entrer à l’intérieur.

La lourde porte s’ouvrit l’accompagnant dans son pas d’une légère clochette.

Un sourire naquit sur le visage de Rose qui se souvinct sa propre auberge en Béarn. Avançant dans l’auberge allumée par quelques torches, elle vict sa mère, attablée, le regard dans le vide.

Rose soupira en se dirigeant vers elle, elle était toujours aussi élégante, son visage, plus maigre qu’auparavant était dégagé de toute mèche de cheveux par un chignon strict, ses pommettes saillantes étaient blanche et creusaient ses joues à la peau si fine.

Ne tenant compte de la bienséance, Rose s’agenouilla face à sa mère, persuadé qu’elle ne se souvenaict plus du lieu ou elle se trouvaict.
Tout en douceur, elle luy prit sa main fine et tout aussi blanche que son visage, luy parlant avec douceur.


« -Mère… ? Mère, vous sentez vous bien ? »

Elle resta planté là, tournant son visage à un moment vers les domestiques qui écoutait les ordres donné par l’aubergiste.
Il donnait l’impression qu’un festin se préparait…

Une voix criarde fict sursauter Rose, connaissant cette voix, mais ne sachant d’où elle venait, elle resta un moment indécise, aller voir ou rester icelieu et attendre que sa mère sorte de ces pensées… ?

Elle resta, sa mère passaict avant tout, et le Maure était bien assez grand pour se débrouiller seul....

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Ambassadrice Béarnaise en Alençon
Ambassadrice Béarnaise en Orléanais
Fusette
"Pays de nains"

Alors qu’elle dormait à poings fermés non loin de là, cette réflexion fit ronchonner Fusette, visiblement contrariée d’avoir ainsi été dérangée dans son sommeil. Elle qui n’avait pas voulu déranger à l’auberge après avoir passé quelques minutes en taverne, suffisamment en tout cas pour qu’il soit préférable qu’elle aille s’endormir rapidement mais dans un lieu qui fut d’ailleurs bien difficile à trouver, sous prétexte que chaque place tanguait autant qu’en pleine mer.
En la croisant, les villageois devaient bien se douter que la jeune fille avait … bien trop bu, et oui. Une bonne poignée d’écus étaient passés dans la boisson mais au moins, elle pouvait dormir paisiblement, enfin, jusqu’à cet instant.

Se tournant alors, la brunette ne mit pas longtemps à retrouver le sommeil, mais un grand bruit vint à nouveau la sortir de ses rêveries et bientôt un nuage de poussière envahissait l’espace.
Fusy qui venait tout juste d’ouvrir les yeux, ne voyait rien. Elle toussa violemment en se relevant et tâtait devant elle pour se sortir de l’épaisse couche de poussière.
La donzelle ne voulait plus qu’une chose, houspiller celui qui avait osé ainsi semer la pagaille et par la même, interrompu une sieste qui avait pourtant si bien commencé.

C’est alors que la grande silhouette de la personne en cause dans cette histoire se forma devant Fusette. Cette figure imposante n’était en fait que cet homme qui était en tête de l’étrange cortège dans lequel elle-même s’était retrouvée pour arriver jusqu’à Foix. Ou plutôt était-ce elle qui faisait pâle impression face à ce majestueux déplacement de carrosses.

Toujours est-il que le petit bout de femme n’en perdait pas moins en caractère et que ce n’était pas ce grand personnage qui allait l’effrayer, bien qu’il aurait pu en faire reculer plus d’un.
Croisant les bras contre sa poitrine, Fusy constatait les dégâts d’un air peu encourageant.


Non mais là, c’est un comble ! Vous pouvez m’expliquer ce que c’est que … ça ?

Les vapeurs d’alcool s’étaient rapidement échappées et c’est une jeune fille fraîche et agacée qu’on retrouvait là.
Elle ronchonna de nouveau et après avoir affiché un air renfrogné, pointa de l’index droit le tas de débris qui faisait suite à l’éboulement.


Ca vous arrive souvent de faire ce genre de chose ? … Je veux dire, de venir perturber de la sorte le repos des honnêtes gens ?
Arielle_de_siorac
Un visage surgi du néant. Rose.

Arielle sourit, serrant entre ses doigts fins la main baillée. Jadis si espiègle, une souris intenable, la jouvencelle estoit devenue un véritable ange, lumineux de beauté. Elle caressa la joue de sa fille comme un froslement d'aile sur un fruit soyeux.


Bonjour ma chérie, chuchota-t-elle, ça va, je...

Froncement de sourcils. Ah non... Elle ne se sentoit effectivement pas bien. Elle avoit le coeur serré, la nausée, l'estomac noué. Une effroyable tristesse la tenailloit encor au ventre. Que se passoit-il? Et où estoient-ils, au faict?

Je... J'ai besoin d'air, je crois. Je veux aller faire une promenade.

Mais quelle est toute cette agitation?


Dehors, on avoit crié, un gargouillement aux accents exotiques. Céans, un piquet qui sembloit estre un tavernier s'activoit en baillant des ordres à ses gens. On couroit, s'interpelloit. On aiguisoit les couteaux, parloit d'un festin, d'invités. De nobles qui vouloient fester. La pagaille.

En se levant, appuyée sur sa canne, elle aperçut un carnet et une missive oubliés là devant elle, sur la table.


Oh, ma Rose, veux-tu ranger cela, je te prie? Ou... Non, je vais prendre le carnet avec moy, il pourroit m'estre utile. J'y noterai quelques petites choses. Je me sens quelque peu confuse... Où sommes-nous?
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Xzily


Auberge en vue... Xzily qui avait traversé le Royaume de France pour rejoindre sa sœur touché enfin à son but. Toulouse... un Comté encore inconnu pour lui. Il en avait beaucoup entendu quand celui ci avait ouvert ses frontières sous Levan III mais n'avait pu y venir suite à ses fonctions. Mais le temps avait bien changé depuis et il pouvait enfin rejoindre sa sœur... Sœur qu'il n'avait pas vue depuis fort longtemps.

Les longues nuits d'hiver sur le dos de sa monture furent plus qu'encombrante. Il n'avait que peu de bagage... une épée, tenu par un grand bouclier attaché dans son dos. Quelques miches de pains et morceaux de viande dans une petite besace offerte par une amie d'enfance. Il n'avait que quelques écus sur lui afin de voyager le plus discrètement possible, évitant de se faire remarquer par les brigands. Brigands qui se trouvaient de plus en plus fréquemment sur les routes du sud...

Son arrivé à Toulouse le fit sourire. Il n'était plus qu'à quelques pas de sa destination. Mais il se devait de s'arrêter afin de reprendre quelques forces et bien sur se reposer avant tout, ainsi que son cheval. Il avait eu vent par quelques passants d'une auberge de voyageurs... Auberge qu'il ne tarda pas longtemps à retrouver grâce aux indications reçu. Mais elle semblait déjà pleine à en croire les grands et luxueux carrosses qui s'y trouver devant.

Il put remarquer que cela était de la haute noblesse... bien qu'il n'en avait jamais croisé auparavant, excepter son Suzerain. Mais il n'avait pas le temps de chercher autre auberge. L'hiver était assez froid et sec cette année. Ce qui avait déjà ralenti considérablement son voyage. Il prit le temps de mettre sa monture à distance des carrosses. Descendant tranquillement, il rattacha son épée soigneusement dans son étui et replaça le bouclier sur le dos du cheval avant de se diriger vers l'auberge...

Il arriva devant la porte, et y toqua de quelques petits coups avant d'entre ouvrir la porte et y jeter un rapide coup d'œil. Une Dame se tenant non loin d'une table sur ce qui semblait être une canne et d'un visage bien pâle, comme frigorifié. Est-elle malade? Mais il porta son regard avec intention sur une autre Dame se tenant non loin de l'autre. Il semblait à première vue qu'elle voyageait ensemble... des gardes se trouver également dans la salle, avec l'aubergiste et quelques domestiques à ce qu'il semblait. Il ne s'était pas tromper... cela était vraiment une grande Dame pour voir tant de monde autour d'elle... Il détacha son regard et attendit que ces Dames prêtent un tout petit instant d'intention pour pouvoir les saluer d'une révérence. Malgré qu'il y ait bien longtemps qu'il en avait plus fait, il savait toujours être courtois et polis envers des Nobles.

Ne sachant s’il avait droit à se reposer ici même, il attendit tout signe ou toutes paroles afin de pouvoir se rafraichir et commander un lit. En espérant qu'il y en est toujours libre, au vu de tout ce monde. Cela serait vraiment un dérangement et encore un signe de retard dans son voyage. Il se mit à sourire, sans bien fixer les Dames, évitant ainsi toute provocation qu'y verraient les gardes, ayant encore son épée attaché à sa ceinture... Il s'avança de quelques pas pour ne point être impoli et attendit, essayant de ne pas trop courber son dos et montrer sa fatigue...

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Dyruvia
"Ça vous arrive souvent de faire ce genre de chose ? … Je veux dire, de venir perturber de la sorte le repos des honnêtes gens ?"

la voie giflait l'air froid, surpris dans l'instant, il fallut quelques longues secondes au maures pour trouver un visage à cette voie

quelle assurance dans un corps si fluet pensât-il

un visage connu sans pouvoir, pour autant, lui donner de nom

une main à la ceinture, comme pour se rassurer ,

Ne me tenez pas responsable de la vétusté des lieux, si tout est si petit et fragile ce ne peut être ma faute

puis après une courte interruption il repris

que faites-vous dehors, par ce temps d'ailleurs...voyant les cheveux ébouriffés de la jeune femme que les lueurs de l'auberge soulignait légèrementvous dormiez ? Quelle idée de dormir dehors par ce temps, venait au chaud avec moi ; juste le temps de déplacer mon Amis'

sans prêter plus d'attention à la jeune personne, Dyruvia leva sa monture et la dirigea vers l'écurie ou était atteler les chevaux du convois
puis dans le même invita la jeune femme à le suivre vers l'auberge, une ombre venait d'apparaitre en contrejour de la porte qui s'était aussi vite refermé sur elle

il allait falloir de nouveau expliquer à Rose les raisons de tous ce chaos, un sourire au coin des lèvres en pensant à la jeune femme et à sa façon de rougir lorsqu'elle était en colère

proche de la porte, il s'arrêta pour se retourner

Vous venez ?
Jeanjacob
Après avoir fait un petit tour dans la ville pour découvrir le gout (de houblon) locale, le Comte, accompagné par un de ses gardes, retourna vers l'auberge.

Entrant dans la salle animée, son oeil tomba rapidement sur Arielle et Rose qui étaient assise à un table. Il se dirigea vers eux et déposa un tendre baiser sur la tête de sa belle femme.


Tavernier, 3 bières!

Tout va bien mon chéri? Tu as l'air un peu pâle...


JJ baîlla. Le voyage avait été fatiguant.

Le tavernier arriva avec 3 choppes et en donna une a JJ Arielle et une a Rose.


Boit un peu, ça aidera sans doute.
_________________
Fusette
Fusette était un peu surprise sur l‘instant. Elle s’attendait à ce que ce grand bonhomme lui réponde plus sèchement, mais il n’en fit rien.
Il était clair qu’elle ne pouvait le porter entièrement responsable des dégâts, mais il n’était pas obligé non plus de tester, inconsciemment certes, la solidité de l’infrastructure.

Mais alors que la jeune fille allait se chercher un autre endroit pour se reposer, l’homme lui posa quelques questions quand au fait qu’elle se trouvait là au moment où tout s’était écroulé.
Elle décroisa les bras, prise de cours, véritablement "démasquée".


Et bien c’est-à-dire que j’avais besoin de … m’aérer l’esprit. Rien de tel qu’une sieste en plein air et par ce temps pour ça !

Et oui après tout, pourquoi pas, un bon bol d’air frais pour se remettre les idées en place … oui enfin, pour cuver plus rapidement …

Fusy pensant se retrouver de nouveau seule dans son coin, se vit en cet instant proposer de se rendre à l’auberge. Toute la famille semblait déjà s’y trouver, mais il est vrai que maintenant réveillée et lucide, la brunette commençait à ressentir le manque de chaleur. Mais elle n’était pas des plus présentables.

Une flaque au sol, Fusette s’y regarda. Elle avait vraiment mauvaise mine et sa coiffe à nouer n’était plus placée dans l’axe. Après deux ou trois retouches, les mèches rebelles remises à leur place, l’adolescente était de nouveau présentable.


"Vous venez ?"
Hum oui j’arrive !

Elle ramassa donc sa gibecière et suivit le voyageur une fois qu’il eut fini de mettre son compagnon en sureté et qu‘il eut rejoint le pas de la porte d‘entrée de l‘établissement.
Rosedeplantagenest
Légère pression de sa main dans celle de sa mère alors qu’un sourire naissait sur son visage, rapidement contrarié par les mots sortant d’entre ses lèvres, Rose avait vu juste, sa mère ne se souvenait pas encore à chaque fois du lieu ou ils étaient, mais ce voyage était dans ce but non ?!?

Alors avec patience et détermination, ils réussiraient à vaincre ses trous avant qu’un medicastre ne la décide qu'elle devait se remettre sur pieds chez elle…

Rose se redressa lorsqu’Arielle déclarait vouloir aller dehors, la voix du Maure et celle de la jeune Fusette retentirent une nouvelle fois.

Amusée, Rose se demandait s’il réussirait à rester une journée calme luy…


« -Oh l’agitation, on dirait le Maure… » Emeraudes tourné vers sa mère, sondant les traits de son visage, allait-elle se souvenir de Dyru ? « Vous savez, Dyruvia, il nous accompagne durant ce voyage ».

Arielle se leva, prenant appui sur sa canne, Rose la laissa faire, seule, voulant voir les progrès qu’elle ferait

« -Ranger ce…Oui bien sur ! »

Elle prit le carnet qu’elle tendit à sa mère puys la missive qu’elle garda entre ses mains lorsque la porte de l’auberge s’ouvrit et un homme fict son entrée, discrète.

Rose se tourna vers luy, missive en mains, luy souriant en réponse à son sourire et sa petite révérence. Elle le salua, inclinant légèrement le visage


« -Bonjour ! »

Bien évidemment, son épée à la ceinture ne plu pas vraiment à l’un des gardes qui s’était rapproché de l’homme lorsque JJ entra brusquement avec son propre garde, se planta devant Arielle et leur donna une bière !

La jeune fille haussa les épaules en souriant au nouvel arrivant, baissant les émeraudes sur la missive qu’elle tenait, elle la prit entre ses deux mains afin de la replier soigneusement.

Son monde s’écroule alors. Les mots s’imprègnent dans son esprit, se grave en lettre rouge sang…


Citation:
« - Je suis un ami de Sire Mathieu, votre fils…. Sa mort… il est mort quelques jours… Quel malheur… considération la plus sincère »


Le souffle court, le vélin se met à tomber à mesme le sol, ses mains se posent sur la table face à elle, la teste luy tourne, le noir s’insinue lentement en elle, trois petites lettres s’échappent de ses lèvres rosées avant qu’un trou noir ne l’emporte dans ses méandres…

« -Noooooonnnnn….. »
_________________

Ambassadrice Béarnaise en Alençon
Ambassadrice Béarnaise en Orléanais
Antinaelle
Castelnoù d’Arri, auberge « la Rose des Vents » route de Foix

Antinaelle n’avait plus guère le temps de rentrer à sa maison et comme depuis bien longtemps maintenant, elle avait pris l’habitude de demeurer à son auberge où une des chambres avait été amé,nagée en bureau ou elle pouvait travailler en toute sérénité et loin de l’effervescence du Château, tellement de dossiers et de courriers à lire, corriger, rédiger qu’elle veillait souvent bien tard dans la nuit.
« La Rose des Vents » se trouvant sur la route de Foix, à l’extérieur de l’enceinte de la ville, elle gagnait ainsi un temps bien précieux et se retrouvait ainsi au contact de nombre de voyageurs étrangers qui lui apportaient rumeurs et nouvelles des Comtés et Duchés voisins ou lointain.
Souvent les écoutant d’une oreille distraite mais parfois retenant son attention lorsqu’il s’agissait de nouvelles d’anciens noms connus.

Ce soir ne dérogeait pas aux autres soirs et c’est lors de son repas pris dans la grande salle de l’auberge, tout en discutant avec Marie, la cuisinière, qu’elle entendit parler d’une grande Dame dont le nom ne lui était pas étranger, arrivée à Foix avec une suite qui avait frappé l’esprit du brave voyageur. Il raconta une histoire assez invraisemblable d’un animal à la forme improbable et inconnu en les terres des Royaumes, monté par un homme tout aussi étrange et inquiétant, un géant qui démolissait les abris d’un seul coup de poing à en croire le voyageur.
Intriguée par le récit abracadabrant de l’homme, Antinaelle se mit à l’écouter sans mot dire, cherchant à déceler le vrai du faux dans toute cette faribole.

Antinaelle se dit qu’elle devrait peut–être l’interroger quand à cette folle histoire qui mêlait un nom connu jadis de très haute estime et cette étrangeté d’un homme et de sa monture, animal du sans nom. Elle lui fit offrir quelques chopes de bière et l’invita à venir lui conter sa fable à sa table où l’attendait un bon repas.
L’homme ne se fit pas prier, il ne devait pas manger tous les jours à sa faim à en croire son visage émacié, et il lorgnait de la façon la plus éhontée sur l’assiette fumante posée bien en évidence sur la table.
    - Quel est donc le nom de cette Dame de haute noblesse que vous avez entendu ?
L’homme fourrant sans vergogne une pleine cuillérée de ragoût sans sa bouche, écarquilla grand les yeux, ne pouvant laisser sortir le moindre mot, s’empressa d’avaler pour ne pas faire attendre sa réponse.
    - Une Dame Arielle, mais ça m’Dame, pour sûr qu’elle est de la grande noblesse.
    - Vous êtes bien sûr de son nom, c’est bien Arielle ? sauriez vous d’où elle arrive ? qui sont les gens qui l’accompagne ?
L’homme la regarda, interloqué par tant de questions d’un coup, il ne savait que répondre, il n’avait vu cette Dame et sa suite que quelques instant à son entrée dans une des auberges de Foix et il n’était guère à l’aise devant tant de bels gens.
    - Pour sûr Dame que son nom est bien celui là et même qu’elle était avec une autre Dame beaucoup plus jeune qui a des yeux comme des pierres précieuses qui sont vertes.
Puis se grattant la tête sous l’effort de la concentration, il ajouta :
    - Je crois qu’elle a le nom comme celui d’une fleur mais je ne sais plus laquelle, c’est que moi m’Dame je suis pas trop rendu en connaissance des fleurs.
Antinaelle se mit à réfléchir, laissant l’homme terminer son repas sans plus le perturber ; « Arielle... cela pourrait bien être elle… Arielle de Siorac était alors son nom mais cela a fort bien pu changer depuis le temps… »
Elle remercia le brave homme en lui faisant apporter une chope de plus ce qui le confondit en mercis et autres courbettes. Elle se dirigea vers la chambre qui lui faisait aussi office de bureau, pressée d’en savoir plus. Elle se mit à écrire plusieurs courriers qu’elle enverrait dans divers coins des royaumes.

Lorsqu’elle alla se coucher ce soir là, sa curiosité était à son comble, elle décida d’aller par elle-même se rendre compte sur place. Foix n’était pas si loin et il ne serait sans doute pas très compliqué de retrouver l’auberge accueillant ces nobles visiteuses.

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Toutes au T.A.F.
Fitzzchevalerie


Claquement de rênes qui résonnent et accompagne le galop effréné de sa jument qui tente de rejoindre celle de Rose. Ses cheveux détachés se laissent porter par le vent tandis que le froid s'engouffre sous sa tunique, il s'élance rapidement rattrapant peu à peu la demoiselle. Du froid? Il n'en a cure, préférant savourer la sensation de liberté qui l'étreint à chaque promenade à cheval, savourant chaque instant passés en sa compagnie.

Après quelques heures de chevauchée qu'ils arrivèrent enfin à proximité de Foix, sur un piton rocheux se dressait un superbe château surplombant la ville alors que les remparts se dessinaient progressivement à l'horizon. Ils ralentirent enfin l'allure. La neige commençait à scintiller sous les sabots de leurs montures éreintées alors que le soleil se levait progressivement teintant l'horizon de mille feux. Là, tentant de se réchauffer comme ils pouvaient ils attendirent patiemment le reste du convoi. Puis une fois tous présent Rose les dirigea vers les portes de la ville. Un sourire illumina le beau visage du jeune, quand il vit le maure trônant majestueusement sur sa monture difforme. S'il avait tendance à bien aimer les personnages atypiques il espérait tout de même que celui-ci n'allait pas leur causer trop d'ennuis...
Une fois arrivés en ville il trouvèrent rapidement une auberge cossue qui semblait tout à fait convenir aux attentes du groupe. Alors que les effets personnels des voyageurs étaient transportés jusque dans leur chambre et que certains avaient déjà le coude posé sur le comptoir, Fitzz quant à lui avait besoin de solitude.

Moult questions lui traversaient l'esprit depuis leur départ du Béarn et bien qu'il refusait de le reconnaitre il se sentait coupable. Coupable d'avoir fait passer ses désirs personnels avant son devoir envers le comté. Coupable d'avoir préféré aller courir le monde en compagnie de Rose et de la comtesse plutôt que de se mettre face à ses responsabilité. Mais avant tout, pensée des plus étranges, il se sentait coupable de ce qui pourrait arriver pendant qu'il n'était pas là. Vanité typiquement humaine qui nous amène à penser que si nous avions été présent tout aurait pu être différent. Pensait il que quand il était là rien ne pouvait arriver? Certes non, mais s'il se passait quelque chose... Ne se dirait il pas alors que s'il avait été sur place tout aurait pu se dérouler autrement?

Sans qu'ils s'en compte ses pas l'avait déjà mené en dehors de l'auberge et il s'apprêtait à repasser les portes de la ville alors qu'il tentait toujours de se mettre en accord avec lui-même. Il suivait à présent un sentier à flanc de montagne, ses yeux se perdant dans le paysage qui s'offrait à lui.
Excédé par ses propres pensées qui lui paraissaient absurdes, il tenta de balayer d'un geste de la main ses inquiétudes. Pourquoi tant de pessimisme? Après tout il ne s'était sans doute rien passé et il ne se passerai sans doute rien que ses concitoyens ne pourraient contrer. Ne devait il pas plutôt profiter de cette sublime journée? Alors que ce voyage s'annonçait des plus merveilleux, il ne pouvait tout gâcher à cause de pensées qui n'avait pas lieu d'être. Il était au côté de la personne qu'il aimait plus que tout au monde, n'était ce pas là le plus important?

Toutefois, il savait bien sûr d'où lui venait cette appréhension et ce sens du devoir que certain qualifieraient de démesuré. Après avoir pris soin d'enlever la neige dont elle était recouverte, il posa son séant sur une souche siégeant en plein cœur d'une prairie. Son esprit remontait difficilement le temps le laissant entrevoir une scène qu'il pensait avoir depuis longtemps oublié, ses yeux ce noyant dans la blancheur hivernale alors qu'un souvenir s'imposait à son esprit.

"Fitzz!!!!" Tonna la voix chevrotante qu'il connaissait si bien. L'air gêné et les joues rougies, le jeune garçon alors âgé d'à peine quatorze printemps, s'extirpa lentement du corps de la jeune fille qu'il était entrain de posséder avant de courir rejoindre le père de celle-ci. Tandis le vieil homme semblait hors de lui et vociférait son nom, Fitzz s'avança à sa rencontre ne pouvant dissimuler son inquiétude. Avait il surpris leurs ébats? Heureusement non, mais ce qui suivit s'avéra bien plus pénible pour sa conscience...
Si ce jour là, il était resté auprès de la fillette qu'il était censé garder au lieu d'aller batifoler avec la sœur de celle ci, l'enfant ne se serait sans doute pas approché de la foret. S'il avait fait ce qu'on lui avait demandé de faire sans doute n'aurait on pas, quelques jours plus tard, retrouvé en lambeau le corps de la fillette. Corps mutilé, dévoré par on ne sait bête affamé en cette rude journée d'hivers. S'il avait fait son devoir la gamine serait sans doute encore en vie...

Il secoua la tête, cela ne servait à rien de remuer le passé surtout quand celui ci était si lointain. C'est donc ébranlé par ce souvenir il fit marche arrière laissant ses pas le porter jusqu'à l'auberge avec l'impression d'avoir une fois de plus fuit ses responsabilités. Il remarqua sans y faire attention qu'une poutre venait de s'effondrer et entra en compagnie du maure et de Fusette le sourire aux lèvres à l'intérieur de l'établissement , dissimulant avec brio son mal être. Au sein de l'auberge le comte, une chope à la main, semblait décidé à entrainer sa compagne vers une seconde qui l'attendait un peu loin tandis qu'un homme que Fitzz ne connaissait pas les observait. Il salua donc l'homme d'un franc sourire accompagné d'un signe de tête avant de se tourner en entendant Rose souffler un « noooooonnn » désespéré. Il se dirigea donc vers elle rapidement avant de se pencher une main distraite posée sur son épaule.

« Qui a t-il? Vous avez un problème? Ca ne va pas? Rose? » Enchaîna t-il d'une voix qui se voulait calme mais trahissait une certaine anxiété.

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"Memento audere semper"

"La vie est pièce de théâtre ce qui compte ce n'est pas qu'elle dure longtemps mais qu'elle soit bien jouée."

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