Natsuki.
Le lecteur (ou la lectrice, ne faisons pas de discrimination) attentif saura que Natsuki, fille d'Hijikata, était en train de se lamenter sur son sort et sur son lit, le tout dans sa chambre. Pourquoi ? Car elle avait fait ce que l'on apellera une bévue, et cette bévue avait profondemment vexé Alycianne. Bon, erreur semble être un bien grand mot. Plus un léger souci de phrasé qu'autre chose, c'est que les enfants, de ses jours, il ne faut surtout pas les vexer. Donc elle larmoyait entre ses coussins et ses draps qui n'en pouvaient plus d'être aspergés de larmes.
Le lendemain fut, une fois n'est pas coutume, un autre jour. Elle était dans ses rêves quand on toqua à sa porte. Le soleil était un peu haut dans le ciel, signe qu'elle avait trop dormi. Cependant les premiers coups ne suffirent pas à la réveiller, et la domestique -car la personne qui essayait de pénétrer dans la chambre en était une- dut insister. Au final ses efforts se payèrent, et Natsuki émergea, se leva de son lit, se coiffa vaguement, et ouvrit. Devant l'état d'excitation de son interlocutrice, elle resta figée un moment :
-Demoiselle Natsuki, demoiselle Natsuki
-Oui, quoi ? Qu'est ce qu'il y a ?
-Vous connaissez la nouvelle ?
La nouvelle ? Quelle nouvelle ? Alycianne n'était pas partie ? C'était en fait une blague ? Mathias l'avait suivie ? La foudre était tombée près du clocher d'Armanius ? On avait enfin retrouvé le petit Ornicar ?
-De quoi parle tu ?
-Vous êtes au conseil ainsi que vôtre père jeune demoiselle !!! Vôtre famille aidant la Touraine, mais quelle chance nous avons que de vous servir !
-Au conseil dis tu.....
-Oui n'est ce pas merveilleux !!!!
Merveilleux....Au pays des merveilles, Alice sombra et rencontra deux reines, un chat, un chapelier et des lapins. Etrange cauchemard. Dans son propre pays des merveilles Natsuki était en train de sombrer, et ce qui au départ n'était qu'une vaste blague, prenait petit à petit dangereusement forme.
-Où est père ?
-Mais où voulez vous qu'il soit ? Dans son bureau, la bibliothèque bien sûr.
Petit remerciement lancé à demi-mot pour la bonne, comment s'appelait-elle déjà ? Ah oui, Marianne, et elle fila, couru, direction la bibliothèque et son père. Arrivé à l'endroit escompté, elle frappa trois coup, ouvrit la porte pour voir son père affairé dans ses livres.
Père ? Je pense que l'on doit avoir une discussion, suite à la nouvelle que je viens d'apprendre.
Et de plisser ses lèvres : comment va réagir l'autoproclamé vieux-con ?
_________________
Besoin de m'écrire ou à mon perso ? Utilisez le forum, moins de soucis de point.....
Le lendemain fut, une fois n'est pas coutume, un autre jour. Elle était dans ses rêves quand on toqua à sa porte. Le soleil était un peu haut dans le ciel, signe qu'elle avait trop dormi. Cependant les premiers coups ne suffirent pas à la réveiller, et la domestique -car la personne qui essayait de pénétrer dans la chambre en était une- dut insister. Au final ses efforts se payèrent, et Natsuki émergea, se leva de son lit, se coiffa vaguement, et ouvrit. Devant l'état d'excitation de son interlocutrice, elle resta figée un moment :
-Demoiselle Natsuki, demoiselle Natsuki
-Oui, quoi ? Qu'est ce qu'il y a ?
-Vous connaissez la nouvelle ?
La nouvelle ? Quelle nouvelle ? Alycianne n'était pas partie ? C'était en fait une blague ? Mathias l'avait suivie ? La foudre était tombée près du clocher d'Armanius ? On avait enfin retrouvé le petit Ornicar ?
-De quoi parle tu ?
-Vous êtes au conseil ainsi que vôtre père jeune demoiselle !!! Vôtre famille aidant la Touraine, mais quelle chance nous avons que de vous servir !
-Au conseil dis tu.....
-Oui n'est ce pas merveilleux !!!!
Merveilleux....Au pays des merveilles, Alice sombra et rencontra deux reines, un chat, un chapelier et des lapins. Etrange cauchemard. Dans son propre pays des merveilles Natsuki était en train de sombrer, et ce qui au départ n'était qu'une vaste blague, prenait petit à petit dangereusement forme.
-Où est père ?
-Mais où voulez vous qu'il soit ? Dans son bureau, la bibliothèque bien sûr.
Petit remerciement lancé à demi-mot pour la bonne, comment s'appelait-elle déjà ? Ah oui, Marianne, et elle fila, couru, direction la bibliothèque et son père. Arrivé à l'endroit escompté, elle frappa trois coup, ouvrit la porte pour voir son père affairé dans ses livres.
Père ? Je pense que l'on doit avoir une discussion, suite à la nouvelle que je viens d'apprendre.
Et de plisser ses lèvres : comment va réagir l'autoproclamé vieux-con ?
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