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[RP] PRocés de Finam

Finam
-C'est la parole de deux gueux contre celle de la noblesse, Juge..

Au barbu d'hausser l'sourcil aux propos de la nouvelle arrivée.
Il ne m'a en rien calmé, le philosophe, face aux deux illuminés. J'aime à montrer patte blanche. Et c'eut juste été gênant si j'avais joint l'acte à la parole devant témoin, la noblesse ne couvre pas l'homicide d'un Vicomte dans un Duché.
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"Aristote aurait pu devenir un saint, le patron de tous ces Romains qui ne cessent de trahir.."
Cunegonde_lanaine
Réponse...
Plissement d'yeux pour faire comme si elle réfléchissait intensément...


- Vous n'auriez donc pas hésité à les tuer s'il n'avait pas été là. Messire Letiti a ainsi sauvé deux vies ce jour là. Un héro malgré lui.

Tourne les talons, encore, pour se retrouver face au juge.

- Vostre honneur je n'ai plus de question. J'ai maintenant une idée du tempérament de l'accusé.
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D.E.C.O. !
Linon
Merci dame le procureur.

Sourire aimable à ce parfait procureur avant de revenir à l'accusé, mais le sourire en moins.

J'en ai une aussi pour le vicomte avant que nous n'entendions le témoin Titi. Vicomte, à quel moment avez-vous informé la dame Luaine de votre titre de noblesse?
Finam
-J'n'ai pas eu à le faire, j'étais déjà connu semble-t-il, l'on m'a à mon grand étonnement apostrophé d'un "Finam" à mon entrée. Pour autant je n'les avais vu ni d'Ève ni d'avant. De là, je suppose qu'ils connaissaient mon rang, célèbre comme je suis.
Puis je n'suis pas vêtu de n'importe quelle manière, j'arbore de bonnes factures inaccessibles à la gueusaille. J'pense pas que l'on puisse douter d'ma noblesse à la vue de mes atours, de ma droiture, de mon hygiène de vie.. J'suis très propre sur moi.
Ses joues s'étirent alors sur toute la largeur du visage, dévoilant un sourire ravageur.
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"Aristote aurait pu devenir un saint, le patron de tous ces Romains qui ne cessent de trahir.."
Linon
Hum....

Le regard détaille la tenue de l'accusé, et un sourire en coin apparaît.

Vicomte, nombre de roturiers fortunés s'habillent aussi bien que vous voire mieux... Et la propreté n'est hélas pas si fréquente chez les nobles pour en faire une caractéristique du rang. Rang que vous n'avez donc pas précisé. Hum...


Tournant la tête vers la dame Luaine

Dame Luaine, d'où connaissiez-vous le vicomte?
Finam
Et au Vicomte de reprendre la parole, interloqué et irrité.
-C'est ronflant et pathétique de prétendre qu'on n'peut dissocier un noble d'un gueux. Si la gueusaille de Juge se rengorge comme un paon qui fait la roue, qu'elle n'oublie pas qu'elle n'en est la cousine, du paon.. comme tous les alambiqués qui s'sentent venir des airs de grand seigneur. La noblesse se sent, au sens propre comme au sens figuré: point-final. Encore une dépréciation de la noblesse, et c'est une Juge pendue haut et court qui dirigera ce tribunal.. Une mascarade ce procès! Une mascarade!
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"Aristote aurait pu devenir un saint, le patron de tous ces Romains qui ne cessent de trahir.."
Luaine, incarné par Linon
La brune écouta les dires du Finam car à aucun moment elle n'aurait pu penser à lui en des termes nobles, elle se cramponna à la barre en bois en crispant les mâchoires et faillit détruire le mobilier de la salle tant elle fulminait.

La question de Dame Linon fut mise de côté dans un premier temps et la brune vociféra.


QUOIIIIIIIIIIIIIiiiiiiiiiiiiiii...Mais pour qui vous prenez vous? Vous n'êtes qu'un gros lard puant et répugnant....Vous pensez qu'une jeune femme aurait envie de vous toucher? Dans vos rêves.

Ce triste sire mets ma pureté en doute aussi je demande à ce qu'une dame m'examine avec un linge blanc pour voir ma pureté (luaine a pas eu encore d'amant à ce jour^^). Je n'ai jamais fricoté avec personne et je vous rappelle que je suis de lignage noble.


Elle pointa un index accusateur sur lui.

Il ment comme il respire....Il n'a aucunement les manières d'un noble et de plus il est assez fourbe pour ne même pas assumer ses actes. Espèce de Castra!!!!!!

Luaine était hors d'elle, le visage rouge pivoine et les yeux exorbités.

Elle se tourna vers la Dame Linon qui lui avait posé quand même une question et cela revint à son esprit.

Quand FINAM est entré dans la taverne, le tavernier Letiti l'a appelé Finam mais je ne savais pas qu'il était noble....Comment le deviner et même maintenant j'ai encore du mal à l'admettre. Les nobles angevins devraient lui faire la peau pour trainer dans la boue la noblesse angevine. Je rappelle qu'à peine est-il rentré qu'il m'a traité de laideron sans même que nous ayons échangé un mot...Je n'ai même pas eu le temps de décliner mon nom.

Il frappe les femmes les traitant de gueuse....Ce que je ne suis pas. Et même si je l'avais été, je ne vois pas ce qui l'autoriserait à frapper une femme sans même une raison.


Elle allait finir par devenir xylophages et bouffer les balustrades en bois.
Finam
Et au Vicomte de rétorquer, roulant des coquards, et s'adressant à l'assistance:
-Je suppose que là non plus, je n'dois pas rosser cette chienne?
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"Aristote aurait pu devenir un saint, le patron de tous ces Romains qui ne cessent de trahir.."
Linon
Ouais ouais Vicomte. Mais avant d'être pendue, j'aurai sûrement le temps de vous condamner pour outrage. Car si je n'ai pas rang de noblesse me permettant de mépriser la terre entière, j'ai fonction ducale qui exige un minimum de respect même de votre part, et pouvoir de...

A cet instant, la requérante qui visiblement n'en pouvait plus se mit à vociférer.. Linon fronça les sourcils mais renonça à l'arrêter. Des fois, faut que ça sorte. Et ça sortit! La juge fronça le nez à l'idée de faire examiner la demoiselle et y renonça immédiatement.

Euh non, non... on vous croit, hein...


Son regard se porta à nouveau sur Finam quand Luaine hors d'elle le désigna rageusement, et le sourire de Linon se fit narquois... avant de revenir à la plaignante.

Calmez-vous dame, les angevins connaissent bien les manières du vicomte. Mais seule l'Hérauderie peut juger de ce qui correspond ou pas au mode de vie acceptable d'un noble. Donc on va en rester à l'altercation en taverne.

Saisissant un parchemin, La juge écrivit quelques mots rapides et le remit à un greffier tout en répondant à Finam sans le regarder.


Non vicomte, vous n'allez rosser personne dans mon tribunal.

Puis elle se tourna vers le procureur.


Dame le procureur, en attendant l'arrivée du témoin Letiti, souhaitez-vous interroger la plaignante?
--La_verrue
Adèle Picard avait atteint l'âge honorable de soixante-six ans et des brouettes. Nul ne mettait en doute son appartenance au patrimoine angevin, bien qu'on lui connut des origines bretonnes qu'elle ne faisait pas prier pour revendiquer en maintes occasions. La vieille était partiellement édentée, elle avait le visage bien ratatiné, le cheveu presque absent et une verrue pointait au dessus de son nez, bien en évidence. Elle était de la gueusaille, mais son extraordinaire résistance aux intempéries et sa carne aussi sèche qu'un vieux radeau échoué depuis des lustres lui avaient valu un certain respect. Peu de gens osaient la contredire, de peur de s'attirer les foudres divines, à dire vrai, cette longévité peu commune suscitait la crainte. D'aucuns lui attribuaient même certains talents de sorcellerie, et il courait le bruit partout en Anjou qu'il suffisait de se frotter à sa verrue pour guérir de la chaud-de-pisse.

Bien entendu, le procès du Vicomte Finam avait retenu l'attention de mémé La verrue, comme on l'appelait ici. Elle s'était trouvée une bonne place dans les premiers rangs près du passage d'où accédaient les témoins, il fallait bien ménager sa vue qui déclinait chaque printemps un peu plus.

Lorsque la musique s'éleva dans les airs comme par enchantement elle se rappela les bals de sa prime jeunesse, alors que ses jambes frétillaient encore comme une morue saumuroise. Elle tapa dans ses mains pleines d'arthrose et s'adressa à sa voisine, sur un ton guilleret :

Ca ct'un sang bleu comme on en fait pûs. Ah ma fille, d'nos jourrs les gens n'sont plus c'qu'ils devraient être. La laie fricotte avec le faisan aussi bien qu'si c'était du cochon. Si c'est pas malheureux d'voir ça. Ct'homme là devrait se trouver un ventre bien fertile, qu'y lui donne beaux jouvenceaux tant qu'y peut encore.

Sa voisine, boulangère flêchoise de son état la gratifia d'un sourire et d'un hochement de tête approbateur, mais s'abstint de commenter. Le Vicomte de Montmorency n'attirait pas particulièrement les sympathies, en revanche il était bon client (en effet, connu pour s'entourer de personnel en grand nombre et pour entretenir un goût du festin, les artisans prospéraient autour du château de Gennes, ce qui ne manquait pas de susciter des envieux) et la grosse femme émit un soupir, songeant à ce que rapporterait une telle fortune si elle venait à s'installer à La Flêche.

Le procès suivait son cours, rythmé par les ohhh, et les ahhh du public, ponctués par endroits de silences, de pauses et de demi pauses, ce qui avait pour effet immédiat de faire monter d'un cran la tension et pour conséquence de faire ouvrir les fenêtres en grand.

Quand le passage sur l'atteinte à l'intégrité de l'accusé fut évoqué, notre doyenne s'en offusqua au point qu'elle en eut des vapeurs, manquant par deux fois de tâcher le banc sur lequel était posé son train à la retraite.


La catin vous dis-je, il aurait du lui tordre le cou à c'te poule en chaleur.

De là elle joignit le geste à la parole et serrant les articulations, poussa un petit cri plaintif, ses os la faisant souffrir, c'est sûr, il allait prochainement pleuvoir.

La salle trépignait d'entendre le témoignage de la supposée victime. Lorsqu'elle fit son apparition, Adèle Picard fronça les sourcils comme elle put, l'on ne voyait plus que deux fentes grises derrière une façade en ruine. La foule elle sifflait, raillait, selon qu'elle se situait plutôt dans un camp ou dans l'autre. Si elle avait eu des choux à lui jeter au visage, elle aurait usé ses forces pour lever le bras et lancer bien fort. Ou elle aurait demandé assistance à une âme charitable. Mais le chou était mauvais pour sa digestion, et compliqué à réduire en purée, aussi elle n'en achetait pas.


Ah qu' c'est bien vrrai qu' c'est un laiderron. L'est aussi ben faite qu'un bouqu'tin.

Elle émit un rire rauque qui s'acheva par une quinte de toux.

"Vous n'êtes qu'un gros lard puant et répugnant...."

Mémé La Verrue sautait sur son siège comme un môme qui avait des vers. Grise de colère, elle grognait, marmonnait, s'exclamait même, combien la victime était démoniaque, et elle se signa plusieurs fois, embrassant ses deux poings à moitié serrés de gauche à droite puis de droite à gauche plusieurs fois pour éloigner le mal.

A la fin, comme la juge exprima prêter foi aux dires de la jeune suppôt du malin, elle tendit les deux mains vers le banc qui était devant elle, s'y accrocha pour lever son séant ankylosé, qui n'y parvint qu'au tiers, et cria de sa voix de luth désaccordé:


Qu'on pende cet' chienne! Vive Finam, vive le Roy, le Roy est mort vive les Bretons!
Cunegonde_lanaine
Faisant abstraction du délire de la verrue et avant que la juge demande le silence, elle répond...

- Non pas de question.
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D.E.C.O. !
Linon
VLAN ! VLAN ! VLAN ! VLAN !!

Le maillet s’abattit aussi violemment que rapidement sur le bureau et immédiatement, la salle se tut. La petite juge rouge de colère s’était levée et foudroyait la vieille du regard ; elle pointa le doigt sur elle en s’adressant aux gardes.

Gardes ! Sortez-moi la Verrue d’ici ! Et veillez à ce qu’elle ne revienne pas !


Puis se tournant vers le vicomte, elle agita l’index à son intention

J’vous avais prévenu, hein… pas de bazar ici ou je fais évacuer ! Tâchez de tenir un peu vos … fiancées…

Linon se rassit en prenant garde à que les plis de sa robe tombent bien, avant de reprendre.

J’ai fait convoquer votre témoin Letiti. Espérons qu’il nous éclaire sur ce qui s’est réellement passé.
Letiti
Diable qui s'avance. Mince pour une fois qu'il est au tribunal pour dire quelque chose voila qu'on lui gâchait son plaisir. Il avait promis d'arranger somme toute les faits, mais s'en voulait avant même de l'avoir fait de mentir à celle qui le rendait chaque jour un peu plus niais diront les mauvaises langues, baignant dans un océan de bonheur sans cesse renouvelé diront les âmes plus sensibles.
C'est donc d'un air mi-fier, mi-embêté qu'il s'avance. Pas évident à faire je vous l'accorde. Imaginez quelqu'un qui s'avance bombant le torse, mais avec le regard fuyant.

S'installant à la barre, il balaie l'assemblée du regard:


Trogn...Votre Honneur...

Petite moue alors que les mots s'effacent.

Voyons je ne vais pas mentir à mon Trognon, mais au juge, puis c'est pas vraiment mentir c'est enrober la vérité. Et toute façon c'est trop tard! J'ai accepté.
Il avait un certain sens de l'honneur le philosophe. Pas forcément celui de tout un chacun, mais un quand même. La décision était prise, on ferait comme d'habitude pour les conséquences: on verrait plus tard. Il les as imaginés...regardez donc comme elle l'a déjà transformé notre petit Maje.

Il reprit d'un vois plus claire, le visage serein et le regard franc:

Votre magnificience, la grandissime juge d'Anjou et vous chère procureur, un peu moins sérenissime, mais pas trop mal quand même.

Que conserve donc ma mémoire de ce tragique évènement?
Tout d'abord ces deux étrangers, reçut comme des princes comme chaque client dans la meilleur taverne d'Anjou, le tribunal du philosophe, dirigé d'une main talentueuse par la merveilleuse linon. J'imagine que cela vous dit quelque chose.
J'affirme en être le fier tavernier, poste dont j'ai hérité avec grande joie. Mais je digresse.

Je dirais que nous avions une conversation animé mais agréable quand le vioc..euh le Vicomte Finam fit son entrée. Une entrée non moins renversante qu'à l'accoutumé, ne laissant aucun doute sur ses qualités.


Grimace du philosophe. Les qualités qu'il se rappelait était plutôt du genre insultes et taloches à son adresse.


Avec pareil entrée, n'importe quelle dame serait tombé en pâmoison avec ces beaux atours et sa prestance. Cela ne rata pas avec celle-ci, qui fondit littéralement sur lui. Le Vicomte fit preuve de patience en la laissant faire un moment. Mais il la retint quand celle-ci dépassa les limites du raisonnable. Le mot bien senti de "laideron" fut donc lâché, ce qui eut son effet, et même un peu trop sur cette dame fière.

Une soufflante parti à toute allure vers le visage de Finam qui répondit aussi prestement par un coup au plexus qui lui coupa le souffle.
Bien embêté entre un client habituel qu'il fallait maitriser, vexé d'une telle insolence de la part de cette femme, et ladite femme qui s'étouffait, j'ai préféré m'occuper avec la diligence, la discrétion et la finesse qui me caractérise du Vicomte pour qu'il reste à l'écart, voyant que le second messire cherchait à aider la souffleteuse.

Fort heureusement, elle recouvra son souffle, et même assez pour échanger nombre de jolis noms d'oiseaux avec le vicomte. Ce fut une après midi riche en évènements.


Le philosophe fit un sourire, content de s'être aussi bien rappelé des évènements. Il espérait trouver une petite chope de bière après pareille tirade, mais du se contenter d'un petit peu d'eau. Restant fièrement la il adressa un grand sourire à la juge.

Votre sublissime désirez d'autre précisions que ma mémoire défaillante pourrait fournir?
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Linon
Linon n’en perdait pas une miette. Le regard rivé sur la bouche de Titi, elle savourait chaque parole, un sourire radieux et complètement hors de propos sur la figure. Un petit soupir silencieux ponctua la fin du témoignage.

Merci maître Titou, voici un témoignage magistral et tout à fait parfait !


Elle détacha le regard un bref instant de l’objet de son admiration pour quérir l’adhésion du procureur et de la salle, tout en désignant le témoin de sa main ouverte.


Hein? n’est-ce pas qu’il est parfait ?


Revenant à Titi

Aah… si chaque témoin pouvait être comme vous, ou mieux … si vous pouviez être témoin dans chaque procés, ma tâche perdrait un peu de son ingratitude.

Une demi-seconde de réflexion et une décision fut prise.

Allons, c’est décidé... je vous déclare officiellement témoin officiel du tribunal d’Anjou ! Dès ce jour, votre parole sera d’or devant ce tribunal.


Le sourire s’élargit encore, en même temps que la petite juge mordillait sa lèvre inférieure, le regard pétillant de plaisir.


Avant de laisser le procureur vous interroger, j’ai moi-même quelques questions de la plus haute importance pour faire le tour de cette affaire.


Le vicomte Finam et la dame Luaine ont-ils au moins consommé de notre excellente bière ? Vous ont-ils offert quelques verres ? Ont-ils fait la moindre tâche, la moindre miette, cassé la moindre chose dans cette merveilleuse taverne que vous animez si bien ?

Mais… question la plus essentielle : l’un d’eux vous a-t-il touché ? Surtout la dame Luaine… vous nous dites qu’elle s’est jetée sur le vicomte,

Petite moue en y resongeant… quelle idée de choisir le vicomte quand Titi se trouvait dans la même salle… tsss, certaines femmes n’avaient décidément aucun goût.

N’a-t-elle pas eu de geste déplacé à votre égard ?

Parle sans crainte mon cher Titou, et je la fais pendre sur le champ. Ou même les deux, tiens. La justice angevine ne saurait tolérer la moindre atteinte à ta délicieuse personne.
Letiti
Le témoin, tout sourire à la juge en avait même oublié l'assistance jusqu'à ce qu'elle fasse appel à eux pour confirmer ses paroles, puis de le nommer témoin officiel du tribunal d'Anjou! La grande classe.

Votre divinité est trop bonne. Vous êtes sans aucun doute la plus fabuleuse juge du monde connu mon Trognon.


Petit bonhomme qui pose le menton sur sa main, détaillant avec ravissement l'élue de son cœur. Il écoute attentivement les questions posées souhaitant y répondre ben évidemment au mieux. Il ne s'agirait pas de la décevoir.
Il acquiesce donc chacune de ses questions de la tête pour bien montrer qu'il l'a comprise, et finis dans un tendre sourire.


Je suis très honoré que vous me donniez l'immense privilège de pour voir répondre à quelques unes de vos interrogations.
Nous avions beaucoup discuté avec la bretonne l'autre messire, en conséquence de quoi nous avions surement du siroter quelques uns des délicieux breuvages dont tu te fais un honneur d'approvisionner régulièrement et largement afin que je puisse les proposer. Finam est reconnu pour sa radinerie, mais je pense bien que pour une fois il fit l'effort d'arroser sa venue. Seul lui m'a touché d'une vigoureuse taloche quand j'ai repris le surnom dont Otissette, entre autres, l'affuble régulièrement: Poupette.

Concernant le désordre, son fils fais bien plus de dégâts en se faisant un malin plaisir à vomir ou recracher son lait régulièrement. En revanche, je tiens à préciser qu'il paie généreusement son lait puisque Otissette refuse catégoriquement de le nourrir avec ses attributs naturels. Aucun sens de la compassion ni du dévouement. C'est bien triste.

Mon trognon... cette dame est bretonne avec tous les avantages et défauts qui vont avec. En conséquence de quoi elle a préféré se jeter sur titres et richesse. Je peux t'assurer qu'il n'y a eut aucun geste déplacé.

Toutes les femmes n'ont pas votre goût exquis ni votre clairvoyance.


Le philosophe se reprit quelque peu. Il devait se faire violence pour ne pas déshabiller sa juge du regard.
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