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[RP]Des cookies au chocolat!

Agnia
Agnia se décomposait, elle ne pouvait s'empêcher d'avoir foi, de faire confiance à la sage-femme, mais pourtant une étrange amertume lui rongeait les entrailles. Elle entendit vaguement, la future maman lui parler, elle regardait ses lèvres remuer et tenta de focaliser son attention sur elle.

Comment? Elf? Oui... c'est... un ami, de longue date... enfin, plus qu'un ami... il est... je...

Son esprit s'embrouillait, une image s'imposa à son esprit, elle revit Jean mourir. Une ultime révolte se noua en elle. Non, pas deux fois, pas deux fois le même enfer!

Hum... Il se meurt? ilva en réchapper? Que se passe-t-il? dites moi je vous en prie...

Se rendant compte qu'elle ne s'était même pas présentée, elle ajouta:

Pardonnez moi, je suis Agnia, et je suis heureuse de vous rencontrer... malgré les circonstances.

Agnia, les yeux cernés, le teint blême regardait la sage-femme s'activer et continuant à caresser la main de Gran, elle implora d'un regard la jeune femme qui était là.
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Souvent conquise, jamais soumise.
Kallypso


Ayant appris que son parrain avait été bléssé, kally se dépêcha de se rendre a son chevet. A tout hazard elle avait pris dans sa besace ce dont elle aurait besoin si des soins étaient encore a faire.

Le plus rapidement possible elle se rendit a la maison de la sage femme ou elf avait été emmene d'apres ce qu'on lui avait dit. La porte était ouverte et elle entra dans la salle ou Agnia et une autre femme se trouvait.

Sur une table, son parrain était allongé. Des flèches, qui venaient a première vue d'être enlevées de sa poitrine étaient posées a coté de lui. Rapidement elle salua et voyant la paleur d'Agnia la força a s'asseoir.

Bonjour, ma mère était médecin et m'a appris son art je peut vous aider? J'ai ce qu'il faut pour le soigner dans ma besace et ai souvent vue ce genre de blessure.


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Cooky
La détresse de l'inconnue faisait peine à voir mais d'un côté, elle lui faisait oublier la sienne.

Enchantée Agnia...

Elle la regarda trembler, sur le point de s'évanouir. Puis, s'approchant, elle la prix dans ses bras et la serra très fort. Elle la connaissait depuis quelques minutes à peine mais elle se sentait presque proche d'elle à la voir ainsi attachée à Elf. Elle avait entendu quelque part que de serrer quelqu'un très fort quelques minutes permettait de faire cesser les tremblements et de le soulager. Elle ne réfléchit pas davantage et tenta ainsi d'apaiser la dame.

Je n'en sais pas plus que vous sur l'état d'Elf, mais faites confiance à Baptistine, si elle s'en occupe c'est qu'elle peut le faire et qu'elle sait quoi faire.

Elle obligea Dame Agnia à détourner son regard du corps allongé de leur ami et la fixa droit dans les yeux.


Baptistine est une femme d'expérience, elle nous le sauvera et il vous sera rendu très vite. Croyez moi, vous pouvez lui faire confiance... et à moi aussi.

Elle tentait de rendre son visage aussi impassible que possible afin d'appuyer ses dires, respirant aussi calmement qu'elle y parvenait. Puis elle desserra son étreinte et laissa la jeune femme prendre à nouveau la main de Grandelf dans la sienne.
Elle se tourna à nouveau vers la sage-femme qui n'avait pas cessé de s'activer autour du blessé. Les plaies semblaient nettoyées à présent et Baptistine s'emparait des compresses et des bandages. Elle se demanda si son ami allait bientôt se réveiller. Il lui semblait qu'il était ainsi, les yeux clos, depuis des heures interminables.
S'approchant de la doyenne, elle risqua timidement...


Puis-je vous aider en quoi que ce soit ?


Son intervention eut l'effet qu'elle soupçonnait. La vieille femme la regarda d'un air exaspéré, lui signifiant ouvertement qu'elle aurait pu se manifester plus tôt au lieu de la laisser tout faire seule. Une grimace penaude vint déformer le bas de son visage et elle se jura intérieurement qu'elle se souviendrait de la leçon pour la prochaine fois... si prochaine fois il y avait.
Elle déglutit puis redressa la tête. Allons, il n'était plus l'heure des reproches ou des regrets. Elle s'empara des sels posés non sur la petite table et les tint près du visage de Grandelf comme le lui indiquait la vieille femme. Elle était sceptique quand à l'utilité de son geste, mais Baptistine semblait certaine que cela aiderait Elf à se réveiller et cela suffisait à la faire tenter l'expérience...
Agnia
Agnia était vidée, harrassée. Les dernières heures passées avaient été éprouvantes. Ce qui la rongeait le plus était qu'elle devait prendre la route dès ce soir. La nuit était tombé, il lui fallait se presser.

L'ardeur qu'avait mis Cooky a la soutenir lui avait mis du baume au coeur, elle y mettait toute sa chaleur la p'tite dame! et même si Agnia n'arrivait pas trop à articuler des mots intelligibles, elle se sentait un peu plus apaisée.

C'est alors qu'arriva Kally. La brune aurait aimé s'effondrer et vider son amertume mais elle ne pouvait pas. Elle sourit à Kally et s'asseillant lui prit la main.


Mer... merci Kally d'être là... comme tu le vois ton parrain se porte bien mal... mais si tu veux voir avec cette dame peut-être qu'elle voudra de ton aide.

Agnia, lasse, poussa un soupir. Elle devait partir. Le coeur meurtrit, elle se pencha vers Grand. Elle était sûre qu'il pouvait l'entendre.

Gran, mon cher et tendre ami, toi que j'aime de tout mon être, sois fort et reviens nous... tu es aimé et entouré, reviens nous mon amour, nous avons encore tant à faire...

Ravalant ses sanglots et sans mot dire, elle salua chaleureusement Cooky et la filleule de Gran, d'un signe de tête elle remercia la sage-femme et jettant un dernier regard sur l'homme qu'elle aimait, elle s'emmitouffla dans sa cape et partit dans la froidure de la nuit.
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Souvent conquise, jamais soumise.
Cooky
Toute occupée qu'elle était à tenir les sels et à prendre garde qu'aucun ne tomba, elle vit du coin de l'oeil Dame Agnia se lever. Celle-ci lui semblait légèrement moins pâle qu'à leur arrivée dans la pièce et elle espéra qu'il ne s'agissait pas seulement d'une impression. Elle la vit nouer sa cape et s'apprêter à quitter les lieux.

Un tel silence régnait dans la pièce, qu'elle manqua sursauter en entendant le froissement du tissu et elle fut plus surprise encore en voyant une jeune femme ouvrir la porte et entrer. Elle ne la connaissait pas davantage qu'elle ne connaissait la première, et en d'autres circonstances, elle n'aurait pas manqué de s'étonner de voir autant de visages inconnus dans la ville. La jeunette s'adressa à Baptistine qui comme à son habitude se contenta de lui jeter un regard neutre avant de se pencher à nouveau sur le pansement qu'elle effectuait.

Agnia s'avançait à présent vers la sortie et la jeune orthézienne compris qu'elle devait se remettre en chemin. Il était vrai qu'elle n'habitait pas la ville et que d'autres obligations devaient certainement l'appeler plus loin.
Sans mot dire, elle lui rendit son salut, mettant dans son regard tous les mots de soutien et d'amitié qu'elle le pouvait, tous ces mots que sa gorge se refusait à laisser échapper.
Grandelf
Plusieurs heures sont passées. Sentant sa main se réchauffer et bien serrer. Grandelf se sent soudainement attiré, mené. Il suivit sans résister, Elf si dirige soudainement vers une lumière aveuglante.

Grandelf ouvre les yeux doucement. Il y avait une dame qui lui regardait. Il se souvient bien que c'est là dame qu'il avait menacé quand Cooky accouchait... Il jeta un oeil à sa main. Elle était devenue froide. Sans avoir la force de bouger la tête, Elf jouait du regard afin d'inspecter les alentours. Agnia était déjà partie. Son regard tombe aussitôt sur ceux de sa filleule et de sa très grande amie Cooky. Avec tout l'effort qui pouvait, le blessé leur fait un sourire rassurant juste avant de de partir dans un leger sommeil.

Plusieurs heures se sont écoulé encore une fois. Elf se réveille de nouveau ayant la force de bouger doucement. Il se souvient de son rêve, un homme encapuchonner dans l'ombre, arc à la main. Il fallait faire quelque chose avant que quelqu'un d'autre se fasse blesser. Elf se tourne vers Cooky et Kallypso.

Bonjour, merci beaucoup d'être là, je ne pourrai jamais assez vous remercier.

Regarde Kally

Je ne suis pas très présentable hein? Rit doucement

Regarde Cooky

Coucou toi. Y a eu d'autre blessé? Il faut faire quelque chose. Tu pourrais faire venir quelques uns parmi nous? J'aurai peut être une idée.
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Manue_ange
Il était 8 h du matin et Manue ne s’était pas encore couchée, sa tête était embrouillée et ses paupières lourdes, elle ne voulait pas dormir, ne pouvait pas…

Elle était en taverne les yeux rivés sur la trentaine de chopes sirotées dans la nuit, quand son amie Cooky vient la chercher...

Elf aurait besoin d’elle….et des autres…

Sans hésitation, elle se lève et se dirige à son chevet

Rassurée de le voir conscient, elle lui sourit.

Salut toi ! tu nous as fait appeler ? je suis là
Desio
Dezz était dans son bureau, quand il avait entendu la belle voix de Cooky l'appeller par la fenetre. Vu comme elle criait, quelque chose n'allait pas.
Dezz s'avança a la fenetre... Elf avait un problème... défection!
Dezz ne prit pas le temps de passer par la porte et de descendre les escaliers.
Il enjamba la fenetre, pris appui sur le rebord, et se laissa glisser le long de la goutière. arriver a deux mètres cinquante environ du sol, il sauta, et atterit lestement aux pieds de Cooky qui le regarda d'un air ébahi, mais se reprit bien vite et le conduisit...

Dezz arriva au chevet d'Elf et salua vite fait les personne présente, avant de se pencher vers Elf.
Un rapide coup d'oeil lui suffit a voir que ses amis avaient pris soin de lui.
Il s'approcha d'Elf, et préféra ne pas le toucher, de peur de réveiller ses blessures.


Salut Chef, alors, des soucis?
Mon corps est a ta disposition... ordonne, j'obéis.
Cooky
Restée en compagnie de la matrone et de la jeune inconnue, elle avait regardé le temps s'écouler, l'angoisse lui nouant le ventre. Pourquoi ? Pourquoi restait-il les yeux clos ? Pourquoi ne bougeait-il plus ? Pourquoi ne se réveillait-il pas ?
Puis Baptistine les laissa le veiller et rentra chez elle. Elle revint toutes les deux heures, changer le pansement, sans un mot pour les deux jeunes femmes toujours assises au chevet de leur ami. La jeune orthezienne regardait à travers la fenêtre, fixant les cimes enneigées et laissant son esprit aventureux vagabonder au loin. Tout sauf rester ici à se poser toutes ces questions pour lesquelles elle n'avait aucune réponse. Elle pria en silence, remerciant Aristote d'avoir permis que cet incident horrible arriva ici et non dans de lointaines contrées où Elf aurait pu être seul. Elle pria pour qu'il s'en sorte et pour qu'elle puisse à nouveau voir son sourire et entendre sa voix.

Puis, sans que rien ne pu le laisser présager, le gascon se réveilla. D'un bond, elle fila à son chevet. Baptistine venait d'entrer à nouveau pour vérifier ses constantes et son bandage. Elle s'approcha, les larmes au bord des yeux, le menton tremblant...

Elf ! Béni soit Aristote, te voila de nouveau parmi nous !

Elle lui sourit, du sourire ému et tremblant de ceux qui n'attendaient plus rien et se voient offrir un merveilleux présent. Il lui sembla qu'il souriait en retour, mais l'impression ne fut que passagère et très vite il referma les yeux et partit à nouveau dans le monde étrange des rêves.
La jeune femme se tourna vers Baptistine...


Est-ce que.. Est-ce qu'il... euh, tout va bien ?


Le regard exaspéré de la matrone la fit rougir, mais elle eut le temps d'y déceler une lueur satisfaite qui la soulagea. Elle comprit alors que son ami dormait tout simplement du sommeil du juste et qu'il était désormais tiré d'affaire. Elle avait envie de sautiller, tellement sa joie était libératrice, mais elle se rappela à temps que si elle s'y aventurait la vielle dame la mettrait dehors sans préavis et se contenta donc d'arborer un sourire béat.

Elle s'installa dans un fauteuil et se remit à attendre.
Ce ne fut que le lendemain, alors qu'un nouveau jour aussi froid que les précédents se levait qu'Elf se réveilla à nouveau. Aussitôt alertée, elle revint en trombe à son chevet, prête à boire chacune de ses paroles.

Coucou toi. Y a eu d'autre blessé? Il faut faire quelque chose. Tu pourrais faire venir quelques uns parmi nous? J'aurai peut être une idée.

D'autres blessés ?? Un seul suffit non !?!
Oh, tu nous as fait une peur bleue tu sais !

Elle le regarda, effarée de l'entendre déjà prêt à partir à l'assaut de son agresseur.

Hop hop hop, tu ne bouges pas de là toi. Tu vas rester sagement couché et me laisser m'occuper du reste. Non mais, on aura tout vu ! Tu te réveilles à peine et tu penses déjà à courir partout !

Elle roula des yeux, l'air exaspéré. Puis jeta sa cape sur ses épaules et partit chercher du renfort.
Sa première visite fut pour la taverne municipale. Elle était certaine d'y trouver quelques personnes à cette heure indue. Elle ne fut pas déçue en y apercevant Manue qu'elle s'empressa de mettre au courant des derniers évènements. Puis, sans attendre, elle couru à la mairie. Desio et Brennach devaient s'y trouver à n'en pas douter. Se sentant déjà trop essoufflée pour grimper les étages jusqu'aux bureaux, elle se posta sous les fenêtre du maire et l'appela.


Dez !!! Brennach !!

Dès qu'elle vit la frimousse du maire apparaître, elle débita à toute allure les nouvelles qu'elle apportait. Celui-ci ne mit pas longtemps à réagir et elle le vit descendre le long de la façade dans une cascade qui manqua la faire tomber à la renverse. Horrifiée, elle le regarda... leva les yeux au ciel dans un geste implorant... puis repartit, le coeur battant à toute allure, grommelant..

Il vont me rendre folle ces hommes... mon dieu, ils vont y arriver...

Puis, elle revint au chevet d'Elf, s'assurer qu'il restait en paix et entreprit de rédiger quelques missives pour informer leurs amis.
Brennach
Une fois qu'il apprit la nouvelle, Brennach resta un instant coi de stupeur. Au fur et à mesure que Cooky entretenait Desio de la situation, le trouvère se demanda comment une telle chose avait pu se produire dans le havre de paix qu'était la cité... tout au moins qu'il croyait qu'elle était!

Puis la stupeur fit place à la colère! Un étranger avait osé agresser un ami, d'une aussi vile façon qui plus est! Fallait-il être lâche pour agir ainsi! Grandelf réclamait des hommes pour une idée qu'il venait d'avoir. Le moins que l'on puisse dire et que d'avoir foulé le seuil de la demeure de la mort ne semblait point avoir amoindri son esprit d'initiative.

Point guerrier et peu va-t-en-guerre, Brennach décida malgré tout de se rendre au chevet d'Elf pour l'écouter. Il s'agissait de se défendre et surtout de défendre les siens, de peur que cet homme de l'ombre ne s'en prenne à quelqu'un d'autre...

Grandelf
Grandelf voit Desio, Manue et Brennach arriver également. Manue lui tend un bout tissu et juste avec son odeur, il recdonnait que ça appartient à sa maraine. Une lueur se fait paraître dans ses yeux et l'encourage à lutter. Il leur sourit pour les remercier de leur présence et prend parole, essayant de bien prononcer.

Donc ..voila..c'est à nous d'agir..maintenant.. Cooky et Desio.. vous allez sortir.. afin de faire croire que.. je suis seul. Manue et Brennach.. vous allez vous cacher de l'autre côté.. de moi. Quand l'assassin va entrer.. Cooky et Dez allez intervenir.. par derriere et l'assommer..au cas où ça tournerait mal.. Manue et Brennach interviendront au dernier moment.. Qu'en pensez vous? Si tout est ok?.. allons y.
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Manue_ange
Manue écoutait Elf avec attention.....

Elle trouvait l’idée un peu risquée …. Mais il fallait absolument piéger ce fils de catin !

La jeune femme émettait de grands doutes au fait que le loup sorte de sa tanière …

Tu crois qu’il va revenir ??

Manue pensait qu’il n’y avait que les lâches pour abandonner une mission non achevée… donc si il ne l’était pas il viendrait..

Pas de problème pour moi je suis prête …
--Assassin_creed
Creed apperçoit aussitôt les dames lui venir en aide. Ils les apportèrent dans une vieille demeure tout près du lieu de l'incident. Sans quitter du regard sa proie, l'assassin se pose vis à vis la fenêtre où le Grandelf y était étendu.

Bien cammouflé, Creed attendit patiemment surveillant ce qu'il se passait dans cette demeure. Il apperçu soudain l'une des dames y sortir en courant et y revenir avec des acolytes. En visualisant bien avec ses yeux de tigre les comportements de ces gens, il comprit que leur héro avait pris du poil de la bête.

Il est temps d'en finir une bonne fois pour toute Se dit -il.

Soudainement des mouvements se créent. Tous semble partir sauf deux, pas trop subtil, vont se cacher au chevet de leur maître. Rusé comme un renard, l'assassin comprit qu'ils forment un plan pour le capturer. Alors pourquoi pas aller l'enclencher?

Laissant bien cacher son arc et ses flèches, Creed sorti de son armement une arbalète et va se jete das lagueule du loup bien confiant. Il forca la porte d'un coup d'épaule solide qui clata en lambeaux. Pointe son arbalète vers la forme sur le lit et crie aux acolytes :

À vous deux, pov' incompétents cachés comme des chiens apeurés derrière leur maître, sortez de votre cachette doucement. Je vous averti que j'ai la gachette facile, que le moindre coup, mouvement brusque, j'enclenche l'arbalète doit sur votre chef adoré
Desio
Dezz vit l'homme s'enfoncer dans la porte... arbalète au point...

Dezz fit un petit signe a Cooky qui était sorti avec lui, et s'avanca doucement... tout en avancant en silence, comme a son habitude, il enleva le baton qui pendait à son dos. Il le déposa en silence au coin de la porte, et entra dans la pièce... L'homme mença Brennach et Manue, et Dezz serra la machoire.
Si l'homme n'avait pas eu cette arbalète, Dezz ce serait volontier jeté sur lui...
Il préféra avancer en silence, et asséna en grand coup de poing dans la nuqe de l'homme, l'envoyant au tapis, assomé, par terre au pied du lit...

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--Assassin_creed
Il a tout la situation en main. Creed toujours l'arbalète en main, pointée au lit, menace ces deux poltrons de sortir dessous la robe de leur chef. Puis soudainement, quelque chose le surprend, comme si c'était son 6e sens. Sachant qu'il y a quelqu'un tout juste derrière lui, l'assassin s'apperçoit que ses menaces n'ont pas été suivit comme il a mentionné.

FILS DE ... Il reçoit un solide coup derriere la tête. Par réflexe, Creed enclanche l'arbalète tout juste avant de sombrer au pied du lit. Grâce à sa haute dextérité, la flèche s'est dirigé directement vers ce Grandelf enrobé dans ses couvertures.

Peut être ils ont réussi à l'avoir, mais Creed ne les ont pas laissé sans conséquence. Ce Grandelf ne peut résister à une 3e flèche bien ciblée. Et puis l'assassin n'est que assomé, à son réveil, il trouvera bien un moyen de s'échapper et trouvera bien une façon de prouver la mort de ce type pour toucher à sa récompense tant attendu.
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