Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, ..., 31, 32, 33, 34   >   >>

[RP] Eglise de Blaye

Hartemis
Hartémis prit harmonie dans ses bras et rentra dans l'eglise, avec cyb à ses côtés,il se signa avec l'eau bennite et pensa un instant arf pas de chouchen encore pour cette fois çi,puis demanda à harmonie d'en faire autant.et regagna la place au premier rang ou avait l'habitude de s'assoir sa mie.
Le père Kro se tenait la sur l'autel et apperement il devait pas être dans son meilleur jour car il ne semblait pas vouloir deccrocher un sourire.

Les cloches céssèrent de resonner et notre père commença la messe ,par un confiteor à réciter,des que hartémis entendu ça il ouvrit de grand yeux eberlués il avait rien compris de ce qu'il venait de raconter et il lui était impossible de reciter ce confiteor,mais pour faire plaisir au père il fit semblant articulant juste la machoire...pour une fois hartémis avait décidé de se tenir corectement à l'église surtout en ce jour de receuillement,il avait trop de respect pour les personnes décédés,même si il ne connaissait pas la personne.
Il se mit à marmonner tout bas enfin pour ce qu'il comprennait.



ça au moins c'etait presque fait et continua sur sa lancé pour le crédo



puis il se signa tout en disant amen,bref regard vers le père Kro qui se tenait droit comme un piquet de tomate
Kronembourg
Ils riaient ?
Ah non.

Chacun récitait religieusement le Confiteor puis le Credo dans un même ronronnement de recueil qui faisait plaisir à entendre.
La petite église de campagne était certes loin de faire salle comble ce jour, mais l'essentiel était de garder la qualité.


Mes chers poussins je vais vous parler aujourd'hui de cette grande et belle notion qu'est l'amitié, à travers une approche toute atypique. Pour cela, je vais commencer par vous lire un passage du livre des Vertus, le chapitre XV de la Vita de Christos. Samoht, nous raconte donc ceci :


Petit raclement de gorge avant la lecture.

Citation:
Arrivés dans le bureau du procurateur, celui-ci nous regarda et nous interrogea :
" Qui de vous deux est-il celui qui se fait appeler Christos ? "
Nous répondîmes tous les deux d’une même voix:
" C’est moi, Romain ! "

Oui, mes chers enfants, j’aimais tellement Christos que je souhaitais subir son châtiment à sa place et c’est pourquoi j’ai essayé d’attirer sur moi les soupçons… Mais ma candeur était grande : Pierre Ponce n’était pas dupe, il avait en face de lui un grand et bel homme et un jeune rebelle. C’est donc naturellement qu’il s’adressa au premier en ces termes :



Nous avons là une première vision de l'Amitié : le sacrifice. Cet homme qui désire se faire passer pour Christos n'est guère guidé par la vanité, mais par l'Amitié la plus pure. Son but, on le voit bien, est de "subir son chatiment à sa place". Un tel dévouement, sans attendre la moindre contrepartie, est la preuve d'un attachement profond et pur.


Marquant une pause, il reprit sa lecture :


Citation:
" Ainsi, tu es celui qui se fait appeler le messie, le guide, le miroir de la divinité ? et tu troubles l’ordre de la cité ? "
" Tu l’as dit, bouffi ! " répondit Christos.
" Ecoute, reprit Pierre Ponce, depuis que tu es à Jérusalem, la cité se porte mal, le pain est rassis, les légumes passés, le poisson puant, et la viande nauséabonde. Tout cela parce que maintenant, les gens ne veulent plus rien faire d’autre que de t’écouter. De plus, tu fragilises le pouvoir de Rome et le culte païen en débitant des âneries plus grosses que toi sur l’amour et toutes ces conneries auxquelles personne ne croit ! Tiens, je viens de recevoir une plainte du grand chef des prêtres païens ; il paraît que tu t’es payé sa fiole, c’est du joli ! "

La figure de Christos se fendit d’un grand sourire, avant qu’il ne réponde :
" Oui, je le sais. Votre Empire vit tel une roue à aube. Chaque mécanisme a la place qui lui convient de part sa naissance, et accomplit régulièrement la tâche pour laquelle il a été créé. Et vous profitez de cela en asservissant les peuples, et les forçant à travailler pour des salaires indécents. Or, voilà que moi, qui apporte la vérité, je gène, c’est classique… Je connais un gars qui dit ça très bien, d’ailleurs : Le premier qui dit la vérité, il se fera assassiner ! "

Pierre Ponce dit alors : " Comment, n’approuves-tu pas l’esclavage ? même quand il est exercé sur d’autres peuplades que la tienne ? "

" Non, affirma Christos, la solidarité doit maintenant dépasser le simple cadre de la cité ! Nous sommes tous humains et en cela des créatures de Dieu. C’est pour cette raison que faire travailler un vagabond à la mine pour moins de dix-sept écus est une honte, même s’il vient d’une autre Cité. Et le faire suer pour moins de dix-huit écus, en le faisant tuer veau, vache, cochon, couvée, est un scandale ! "


Si j'ai tenu à lire le passage jusqu'ici, alors que la première partie suffisait à illustrer l'Amitié, c'est pour soulever un second point, ou un second aspect de l'Amitié.
L'Amitié peut être vue comme une certaine fraternité. Christos demande à ce que chaque être humain soit traité de la même façon. L'esclavage, il ne veut connaitre. Si un étranger peut être mis en esclavage dans notre cité, alors nous pouvons l'être dans la sienne, et cela dit ainsi aurait deux impacts :
Le premier serait la cessation d'échange entre les cités, de peur de devenir esclave.
Le second serait l'acceptation de nous soumettre nous-même, donc renier ce que nous sommes : des humains et non des animaux.
L'esclavagisme est interdit de nos jours, je pense pouvoir affirmer que chaque duché punit sévèrement l'esclavagisme, même si les lois, par la force des choses, légalisent les petits salaires. Je vous demanderais donc d'y songer, au nom de l'Amitié, du respect de l'autre, quand vous créerez une offre d'emploi.

A présent, partageons ce bon pain que j'ai acheté au prix bradé de 5.90 sur le marché ce matin, sur le dos d'un pauvre boulanger qui ne fera pas fortune.

Je vous demanderais également, durant le partage du vin, d'avoir une pensée toute particulière pour damoiselle Espé, qui aimait tant l'alcool et le bon vin de Bordeaux. Que son esprit repose en paix au paradis solaire.


Cybella
Citation:
Je vous demanderais également, durant le partage du vin, d'avoir une pensée toute particulière pour damoiselle Espé, qui aimait tant l'alcool et le bon vin de Bordeaux. Que son esprit repose en paix au paradis solaire.


Ce que disait Kro la fait sourire, elle aurait aimé Espé, la jeune femme toujours à plaisanter et à boire un verre avec les amis comme les inconnus.

Ma chère Espé repose en paix et veille sur la famille, toi qui à la chance de nous voir d'où tu es et de retrouver nos êtres chers.

son visage se tourna vers sa famille, Hamonye toute sage contre elle, qui regardait plus les tableaux peint que d'écouter ce que disait le sacristain, et Hart qui essayer de suivre aussi, cela la fit sourire. La vie avec ses peines et ses joies et ses petits cadeaux aussi, un sourire, un regard, une parole. Elle sorti de ses songes et reprit le fil de la messe.
_________________
Louveteau
Decidement ptitloup n'était jamais aller a l'église aussi souvent que c'est dernier temps mais il voulait faire sa pastoral pour le batème..,
il s'apercu que ce n'était pas trop le moment qu'un enterrement était en court et ce dit qu'il repassera plus tard...

il souffla au père Kro...

je repasserai plus tard mon père, la je vois bien que ce n'est pas le moment...


il se signa et sorti discrètement...
_________________
Alika
Alika qui detestée les église fit un effort car on enterrer Espé et voulait soutenir Cyb comme elle pouvait personne ne la connissait vraiment mais elle savait que Cyb serai contente de la voir ici pour elle

Repose en paix Espé,un jour je te rejoindrai .....

elle alluma un cierge, fit une priére puis sortie discretement
Verya2
Elle avait quitté la bicoque de bon matin … s’était baladée dans les rues endormies … pensait à son avenir …pensait à son avenir …
ça c’était fort ! elle pensait à vivre alors que quelques jours plus tôt elle ne pensait qu’à en finir …
Quelques jours plus tôt oui … son arrivée à Blaye … ce moine en taverne … elle se mit à sourire bêtement …
la vrai neuneu de service ! heureusement que la ville dormait !
Il lui avait dit que les miracles existaient … elle avait bien rit doutant fortement de ses paroles ! des miracles !! ça se saurait quand même !
Pis oui … il y eut miracle … ce qu’il lui avait prédit était arrivé pour son plus grand bonheur …
il y eut miracle oui … mais ça il ne l’avait pas prédit … elle retrouvait le goût de vivre, voulait vivre …
pas prédit non plus que son cœur s’emballerait si vite … pas prédit non plus qu’elle prendrait un bain !
S’il lui avait prédit tout cela … elle lui aurait bien rit au nez ! on ne lui faisait pas gober n’importe quoi !
Oui les miracles existaient vraiment ! … ses pas l’avaient conduite à l’église … à l’église !

Verya hocha de la tête, sourit … s’avança sur le parvis … poussa la lourde porte …
Elle n’y venait pas souvent à l’église … rarement même depuis cette fois ……

Ella LA chercha des yeux … sourit … alla s’asseoir près d’ELLE …
Depuis cette fois … l’enterrement de Blue … les tissus de mensonges … l’hypocrisie … les missives échangées avec le curé … sa longue retraite … souvenirs amers …
Mais là c’est fillot qui officiait … elle lui devait bien de venir … une fois … l’écouter déblatérer ses sermons …
une seule fois … faudrait pas qu’il croit qu’elle changerait ses habitudes ! Quoique … maintenant … elle s’attendait à tout …

Elle l’avait eu son miracle … l’avait … le goutait, le savourait, l’aimait …
Lo était son miracle.

_________________
Lohengrinn
Lohengrin était afféré comme jamais tant de chose à reprendre, tant de choses à régler … Alors qu’une seule pensée l’accaparé… Elle… ses yeux verts magnifiques ou il aimait se perdre … sa bouche d’où sortais des rires comme autant de perles merveilleuses … Elle si fragile et si forte … Elle ….
Rome, le couvent, les affaires régulières, séculières … ses amis de Blaye, cet homme mystérieux dont la stature empêchait d’ouvrir son cœur à sa fille qui lui écrivait comme peut être un appel …
Toutes ses affaire emplissait sa tête trop peut être … Il décida de se rendre à l’église prier le divin astre, inspirateur de tant d’amour … de tant de beautés …

Il poussa la lourde porte de l’église et vit dans la pénombre celle qui emplissait son cœur d’espoir …
Sans mot dire il se glissa à ses coté et la regarda, il lui sourit son cœur battant si fort dans sa poitrine qui cru entendre son écho sous la voute de la nef…

Il glissa sa main dans la sienne la sera avec infiniment de douceur, comme pour saisir un oisillon tombé du nid, et la porta à sa bouche. Il déposa un tendre baisé, l’effleurant du bout des lèvres, caressant sa peau, il senti se doux contacte merveilleux qui lui fit comme coulée de lave dans les veine, que pouvais t’il faire pour la remercier pour la combler, pour la porté aux nues merveilleux, ou batifolent les anges.
Il la tira doucement pour qu’elle le suivit, ils allèrent en un endroit qu’il avait repérer lors de sa première venue, une chapelle latérale, ou le soleil traversant les vitraux dessinait sur le sol une lumière coloré de milles feux. Il s’agenouilla devant l’autel de cette chapelle posant les genoux dans cette flaque lumineuse, teintant ses haillons de mendiant de vives couleurs pareil à quelque riches habits de seigneur, elle s’agenouilla à ses cotés … Puis il commença sa prière …


Aristote je n’ai eu de cesse de te servir pendant toutes ses années, faisant fi des statuts des richesses et autre gloire, ton humble serviteur je fus … Aujourd’hui tu as placé sur ma route une richesse plus belles que toute autres, un cœur pure à nul autre pareil, tu as placé proche de moi Verya pour que je la chérisse et la serve comme je t’ai servit. Ta bonté n’a d’égale que ta magnificence…

Toi Veyra, je jure devant Dieu de te servir, de t’aimer, de t’apporter sécurité et paix en toutes circonstances dans la vie et même après, De te donner le meilleur de moi-même, et devenir le meilleur des hommes.
Dieu m’a donné vie et amour, aujourd’hui je te les remets en présent, gage de ma fidélité et de ma dévotion.


Le moine devenant homme, senti une larme lui couler sur la joue, il baissa la tête en signe de dévotion pour celui qu’il avait servit, et pour celle qu’il servira à présent.
Verya2
Elle entendit la lourde porte grincer, se retourna, sourit …celui qui lui avait réparé le cœur, redonné vie arrivait … elle était aux anges …
Enfin aux anges … un fillot curé, un namoureux moine, la messe et un miracle en prime … sur qu’ils se ligueraient les deux curetons pour la forcer au baptême !

Il s’approcha d’elle lui prit la main … il n’était qu’amour douceur tendresse …
elle frissonnait à chacun des baisers … de ses effleurements ... frémissait à chacune de ses caresses … imaginait ...
C’est en souriant malicieusement ... les yeux pétillants ... qu’elle le suivit ...

Elle s’attendait à se retrouver dans quelque coin sombre … voire même le confessionnal … cachés en tout cas !
bien cachés même histoire de se bisouiller sans se faire prendre par le fillot … ou encore comploter pour préparer un coup pendable à Kro mais non …

Lo l’avait doucement amenée dans une petite chapelle … une merveilleuse lumière se diffusait … elle devait rêver …
oui rêver c’était ça … c’était un de ces rêves que l’on croit réel mais qui disparait dès que l’on rouvre les yeux … le paradis n’existait pas !

Verya ferma fort les yeux … les rouvrit doucement … tout était bien là … même son Lo … changé mais là …
il était là agenouillé … revêtu d’un habit de lumière …ce moine missionnaire rencontré il a si peu de temps …
ce moine qui semblait si bien la connaitre … la comprendre ... un moine voué ... uni à Aristote ...

Elle ne put que s’agenouiller à son côté crevant d’envie de l’embrasser pour le remercier de l’avoir conduite ici …
elle écouta sa prière en souriant, buvant ses paroles … c’était sans compter sur l’émotion qui la gagna …
le sourire avait disparu … parti envolé … il avait laissé place … à des larmes de bonheur qui lui innondaient le visage …

Le cœur de Verya devenait trop petit pour contenir l’amour qu’elle éprouvait pour lui …
Il était miracle … Lohengrin l’avait conduite au paradis.

_________________
Calam
On n'choisit pas toujours la route ni même le moment du départ. On n'efface pas toujours le doute, La vieille peur d'être en retard et la vie est si fragile
_________________
]
Kronembourg
Une fois la messe terminée, notre bon Kro put se recueillir un moment et assister à un nouveau miracle.
Marraine avait enfin mis un pied à l'église.
Si si !!
Véridique.
Et d'ailleurs il était grand temps qu'elle le fasse : Le grand barbu était à deux doigts de la dénoncer en haut lieu et de la poursuivre pour hérétisme. C'est qu'il avait un grand sens de la famille, le Kro.
Mais tout de même, l'évènement était de taille, et le sacristain s'approcha d'elle pour la féliciter. Un baiser sur sa joue, et un murmure à peine audible :



Tu vois ? Ca n'était pas si difficile que ça. A présent je t'attends en confessions, et ton âme sera entièrement purifiée.


Regard malicieux pour renforcer ses paroles, et regard noir à l'attention du Frère Lohen qui ne se trouvait jamais bien loin de sa richissime parente.
Grumblll ....
Lorsqu'il vit Calam pénétrer dans le lieu saint, le visage de Kro s'adoucit. Il se tint silencieux non loin de la jeune femme, au cas où elle aurait besoin de ses services, puis il prit lentement la direction du confessionnal. Se demandant quelles horreurs il allait encore pouvoir entendre aujourd'hui.
Lohengrinn
Le franciscain qui était à des lieux de comprendre les noirs desseins de son frangin cistercien le regardait avec douceur et bonté.

Oui tu as raison mon bon Kro, tu verras mon ange, tu te sentiras l’âme plus légère, comme après un bon bain… L’âme douce et séché au soleil de la lumière divine.
La confession n’est pas une simple énumération de fautes commises sous l’influence d’une pulsion que l’on excuse de maléfique …
La confession des péchés est un acte de fois à part entier, ou le confesseur n’est qu’un mince lien ténu qui te relie à la magnifique miséricorde de Dieu. Il n’est pas là pour juger de tes « péchés » il est l’incarnation de l’oreille divine qui écoute, avant de pardonner ...


Lohengrin regardant les feuilles de choux du sacristain et se dit que Dieu n’était vraiment pas sourd à Blaye …

Donc tu te dois de repenser à certains moments ou tu as eu le sentiment de faire le mauvais choix, ou tu as fait une erreur blaisant autrui, et ou éventuellement que tu n’as pas respecté le contrat divin … mais bon comme t’as pas signé de contrat …. T’es pas sensé connaitre le règlement intérieur … Et puis aussi tu te dois de raconter les mauvais pas inspirer par les mauvais conseilles … les mauvais maitres.

Il la regarda en proie à la réflexion sur la conscience de Dieu, puis la regarda prendre la direction du confessionnal… Ses yeux se posèrent sur cette magnifique chute de rein … Pour la première fois il regretta de ne pas être roi, afin de déposer à ses pieds la richesse de son royaume en gage d’infini amour …
Attala
Sur le parvis de l'église de Blaye, y'en a une qui se dit qu'encore une fois c'est elle qui doit tout faire et que pendant que le blond "vaque à ses affaires" elle doit assurer l'urgence...
L'urgence en l'occurence c'est ces bans à publier car d'ici dix jours les deux narbonnais en goguette seront ENFIN mariés!!
La brunette est confiante: c'est le curé de Blaye en personne qui lui a dit s'en occuper... l'a-t'il vraiment dit?
Pas sûr...
Mais quand une femme a une idée en tête...
Donc affichage!



Allez... dix jours qu'il a dit... Bans publiés!

Heu... au censeur du coin... je ne me souviens plus des règles pour les parchemins donc mp si besoin et j'éditerai merci d'avance! ^_^

_________________

Répétons tous en choeur: "Je joue, tu joues, nous jouons, vous jouez, ils jouent!"
Slyvester
"Sly" arriva dans l'endroit saint poussa la porte et rentra

Il mit un genou à terre et ce signa d'un même geste...
Salua d'un signe de la tête les gens présent
Puis s'assoit au fond de l'église et pria...
Chonde
Chonde entra, s'avança et pria pour sa mère morte ce matin même dans sa cuisine. Il pria Dieu de l'emmener au paradis elle l'avait bien mérité et Dieu le sait. Mais à partir d'aujourd'hui, Chonde va se sentir bien seul dans sa petite maisonnette. Car sa pauvre mère, Marie-Jeanne Jacquet va lui manquer...terriblement lui manquer...
Attala
Retour à l'église, mais cette fois, direction la sacristie.
de peur d'importuner le géant brun par son bavardage, la narbonnaise espère pouvoir déposer là où il tient office de curé ce qu'il lui a demandé pour le mariage.
En remontant le bas-côte de la petite nef, elle marque un temps d'arrêt.
Parmis les gens en prière, aperçoit une tête connue...


Tiens... le farfelu jardinier ex-buveur de tisanes... oh oh... semble ben triste...

Pas le moment de s'enquérir, mais à l'occasion la brunette se renseignera par curiosité.
La sacristie atteinte, sans frapper , Attala se baisse et fait glisser sous la porte un velin plié.
A l'intérieur:
son acte de baptême


l'autorisation du curé de Narbonne
Citation:
(Expéditeur : Etiled
Date d'envoi : 10/11/2010 - 13:48:15
Titre : Re: autorisation)

Bonjour.
En effet, dans le cas d'un mariage hors de la ville d'origine, il est nécessaire de demander au curé local.
Et vous avez ma bénédiction.
Je vous souhaite un merveilleux mariage.
Qu'Aristote vous bénisse.

Aristotéliciennement,
Père Etiled

et un petit mot.



De Attala au Père Kronembourg

Salutations mon Père,
voilà ce que vous m'avez mandé.
Donã Cybella de l'auberge des Amazones a aussi accepté d'estre mon témoin.
Qu'elle en soit remerciée!
Mon promis Déodin ne saurait tarder à se trouver lui itou un témoin mon Père et ainsi nous serons fins prests.
Comme vous me l'avez aussi mandé, je me retiens, je me retiens... mais priez pour moy de grasce pour que ça tienne!

Dans l'attente de votre bénédiction,
bien respectueusement,
Attala

Puis se relève en souriant et murmure:

Sept jours... encor sept jours à attendre!
_________________

Répétons tous en choeur: "Je joue, tu joues, nous jouons, vous jouez, ils jouent!"
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 31, 32, 33, 34   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)