Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 16, 17, 18, 19   >   >>

[RP]"L'Auberge des Voyageurs"

Nerval
Les regards ne se lachaient pas. Il n'y avait que peu de mots mais il n'y en avait pas besoin. Les yeux parlaient bien assez pour exprimer ce dont ils avaient envie.

Elle prit le pain et le coupa en deux pour y tartiner quelque chose que le jeune homme ne le voyait pas. Une seule chose l'obsedait c'était les yeux de la bourgmestre placée en face de lui. Il mit quelques secondes avant de prendre ce qu'elle lui tendait. Il en oubliait la faim qui le tiraillait. Son sourire était magnifique et lui faisait tout oublié.

Elle prit le pain a pleine bouche arrachant un eclat de rire à Nerval. Son stress, pensa-t-il, se repercutait sur sa façon de manger et elle faillit gober entierement le demi pain qu'elle mis dans sa bouche.


Ce n'est rien Bourgmestre, couverte de miettes vous etes a croquer.

Il s'arreta net. Ses paroles étaient sortie toutes seules. Certe il le pensait mais il ne se savait pas aussi direct et les circonstances auraient peut etre mieux vallu qu'il tourne sa phrase autrement. Peu importe il l'avait dit vu qu'il le pensait. Il lança un regard aux alentours tout de meme il ne s'agissait pas de foutre la honte à cette si charmante dame.

Il prit a son tour le pain et croqua dedans. Mais une bien plus petite bouchée histoire de ne pas se ridiculiser. Car meme si elle était couvert de miettes, son atitude était tout autant noble, alors que lui...

Il posa sa main sur la table comme encorcelé par la belle dame qui était en face de lui. Il n'avait plus faim, le froid ne l'assaillait plus.


Votre presence donne toute son importance a ce repas. je vous remercie d'etre ici Bourgmestre.
Valentine_e


Tine d'un geste naturellement simple glissa ses doigts entre ses deux vallons pour enlever les miettes qui s'y étaient glissées. Le fromage d'Ennis avait un pouvoir sur elle, un bien être lorsque celui ci descendait rejoindre son estomac elle poussa un long soupire de satisfaction.

MMMMMMMMMMMMMMM, c'est vraiment un délice.

Elle avait à peine finit sa phrase que le Sieur Nerval lui fit remarquer que sa tenue pouvait être tendancieuse, son "craquant" voulait surement dire aguicheuse, elle pinça les lèvres ne relevant pas, elle se contenta d'une deuxième bouchée plus petite prenant soin de manger comme une Dame.

Elle sentait bien son regard sur elle, ce regard si doux qui la faisait vibrer mais la raison faisait son office et ne leva pas les yeux, prenant sa choppe, en buvant une gorgée et continua à déguster sa tartine.

On entendait les bruits de gamelles en cuisine, les voix d'Ennis et Robberts raisonnaient dans la salle, les enfants jouaient toujours entre eux. Les pensées de Tine se prétaient à un combat sans merci, céder à l'envie qu'elle avait de lui, rester celle qu'elle était, sérieuse, trop sérieuse peut-être.

_________________
Nerval
Un large sourire.

Elle était si naturelle devant lui. Elle était juste elle et ne lui faisait pas sentir l'écart qu'il pouvait y avoir entre un simple gueux de son genre une belle noble. Oui car noble elle l'était mais pas seulement sur le papier, son coeur était noble. il comprenait pourquoi elle avait beaucoup de pretendant. Normal, une belle femme, dont la beauté n'a d'égale que son intelligence et son humour, noble de surcroit, toujours ce sourire enjoleur aux levres pour ne rien gacher.

Il était conscient de la chance qu'il avait de l'avoir a sa table. Et voila qu'entre le nettoyage de son decoletté et son soupire de satisfaction, une seule pensée lui venait et se repetait dans sa caboche...

Mirifique...

Ce n'était point le corps qui l'attirait mais bel et bien la personne qui mangeait en face de lui, qui semblait croquer la vie a pleine dent. Il aurait pu passer le repas entier sans dire un mot juste a la regarder, à detailler chaque faits et gestes.

Le bruit aux alentours, il ne l'entendait pas. Il était juste la a profiter de sa presence. Il termina sa tartine et prit de nouveau sa choppe. Est ce le sourire qui se fit sur le visage de la bourgmestre ou sa maladroitesse mais toujours est-il que le verre lui echappa des mains pour finir sur les pauvres haillons qu'il portait.

Il se leva d'un coup en marmonnant sur ce qu'il venait de faire. Le voila avec une demie pinte de biere sur le peu de vetement qu'il portait. Il leva les yeux vers la bourgmestre tout géné par ce laché de biere. Il se reprit derechef en prenant une voix assuré... enfin un semblant...


Ce n'est rien ça va vite secher...
Valentine_e


OHHHHHHHHHH, je suis désolée

Tine se leva d'un bon essayant d'aider au mieux, cherchant du regard un tissus pour l'essuyer, ne le trouvant pas machinalement passa sa main sur son haillon pour en chasser la bière qui dégoulinait.

Lorsqu'il bégailla presque un petit "Ce n'est rien ça va vite sécher.." elle sourit et lui dit

Ne bougez pas je vais vous chercher un vêtement sec

Sans même attendre de réponse, elle disparut derrière la porte de l'auberge ne la retenant pas, la porte se referma dans un grand fracas.

_________________
Nerval
Trempé...

Il restait debout devant elle tout trempé. La biere coulant le long de sa chemise, glissant sur ses braies pour finalement atterir par terre.
Elle sauta de son siege. Sa gentillesse était sans borne, elle cherchait de quoi l'essuyer alors que d'autres se seraient pas géné pour faire un commentaire des plus désagréable. Peut etre avait-elle deviné que tout était de sa faute. Oui elle le troublait, et il s'en était renversé sa choppe dessus à force de la contempler et de laisser son esprit vagabonder sur ce doux sourire.

Il n'eut pas le temps de lui répondre elle était deja partie.
La porte claqua le laissant seul dans la piece entouré des braillements des mioches habitants en ces lieux.

Il prit en main le bas de sa chemise et tenta de l'essorer. Ca ferait toujours quelques gouttes de bieres en moins sur lui. Il pestait contre sa maladroitesse.

S'il n'avait pas été en ces lieux la solution aurait été simple. Il aurait retiré sa vieille chemise et l'aurait faite sechée devant la cheminé. Mais a cet instant precis il ne pouvait se permettre de faire cela. Il voulait ne pas trop perdre la face devant cet ange nommé Valentine.
Valentine_e


Tine courut jusqu’à son moulin, sa tête allait exploser tellement son sang circulait vite dans ses veines, elle poussa la porte, grimpa les escaliers quatre à quatre, arracha une chemise du gros meuble de sa chambre ou été ranger les affaires de son mari et repartie aussi vite vers l’auberge ou elle entra aussi vite qu’elle en été sortie, souriant malgré les poumons fatigués de la course folle, elle s’affala sur le siège après avoir envoyer la chemise sur l’épaule de son prince dithyrambique.

Tine n’était même pas consciente qu’en agissant ainsi, restée si longtemps aux côtés du jeune homme, partageant des moments à se laisser courtiser alors qu’elle était mariée, les mauvaises langues allaient surement s’aiguiser, quoi que, des mauvaises langues à Bourg il y en avait si peu, il y avait bien Dan qui essayait par tous les moyens de savoir si Tine allait, n’allait pas, avait, n’avait pas craqué pour son beau blondinet, il y avait surement ses amies proches qui restaient muettes, n’osant ou ne voulant pas poser de question par peur de blesser Tine ou pensaient elles que l’absence de Bran était trop forte et que la bourgmestre très prise dans son travail avait besoin de se délasser un peu.

Toujours est-il que la situation était invraisemblable, une vie si bien réglée, un petit grain de sable en haillon se glissant dans le rouage de la vie bien huilée d’une femme sérieuse et la voilà perturbée au point d’en confier son nourrisson à une nurse prétextant le travail de la mairie, au point d’oublier que son mari pouvait entrer d’un jour à l’autre, au point de… non ça on peut pas dire ce serait une rumeur, mais quand même, comment cet homme venu de nulle part se permettait de chambouler la sérénité de la sagesse que représentait Tine ?

Reprenant son souffle, elle le regardait, hésitant quelque peu à se changer, elle ne savait si son embarras venait du cadeau d'une chemise appartenant à son époux ou la gène de se changer devant elle.


Vous pouvez aller la-bas, la porte en chêne dans le coin, vous serez plus à l'aise.

Elle lui sourit tendrement.

Ennis n'avait plus montré le bout de son nez hors des murs de sa cuisine, à moins qu'il soit sorti par la porte de derrière ne voulant pas avoir à la regarder dans les yeux, un regard qui pourrait traduire ses pensées sur l'attitude de son amie. Tine en oubliait meme l'endroit ou elle était, négligeant les trois enfants qui de temps en temps se faisaient des chuchotis en riant.


_________________
Nerval
Elle revint toute essouflée de son periple hors de la taverne. Ou était-elle allé, surement chez elle pour recuperer la chemise qu'elle venait de lui lancer sur l'épaule. Il ne regarda pas de suite la chemise et sourit devint la demoiselle tentait de reprendre son souffle. Elle était allé vite. Elle habitait peut etre dans le coin mais ça il ne se permettrait pas de lui demander, il y a une limite a tout.

Son regard était fixé sur le sien.


Je vous remercie Bourgmestre.

Il prit le morceau de tissu qui était sur son épaule et la deplia. Elle était allé lui chercher une chemise. Elle était certe tres belle, peut etre trop pour un gueux de son genre mais c'est surtout l'intention qui le toucha profondement.

Il était tout géné et se dirigea la ou la Bourgmestre lui avait indiqué. Il enleva le vetement mouillé et passa la chemise. Il reapparu dans la piece et vint lui déposer un simple baiser sur la commisure des lévres. Il en avait envie et en bon épicurien qu'il était il ne pouvait se le refuser.


Elle est tres belle Bourgmestre.

Il voyait le trouble dans son regard. Que devait-il faire maintenant? La prendre comme amante au risque de lui manquer de respect. Non... elle était bien trop noble de coeur pour qu'il lui fasse cela. Il le sentait, il aurait pu plonger dans le stupre et la fornication a tout instant, comblant le manque de bras de la bourgmestre mais il n'en n'était pas question. Elle lui avait témoigné son amitié et venait de faire un geste que nulle autre n'avait fait jusque la pour lui.

Le choix n'était pas cornelien. Il se devait de preverser cette personne qui devenait au fil des jours une femme importante a ses yeux. Il resta debout lui.


Valentine, je m'excuse mais le travail m'attend.

Il n'en n'était absolument rien. Il n'avait rien de prevu, mais il savait que s'il restait en ces lieux il allait commettre quelque chose qui risquait de salir la relation qu'ils avaient meme s'il sentait bien que cette envie était reciproque. Il n'y avait pas besoin de mots.

Il s'approcha d'elle et comme le disait si fierement Dan... il lui lecha l'oreille pour lui murmurer...

Merci et au plaisir de vous revoir Valentine.

Ses yeux plongerent dans les siens et instinctivement il vint lui déposer un baiser. Il se redressa lui adressant un sourire et sortit rapidement de la taverne histoire qu'il ne change pas d'envie.
Valentine_e


Tine le buvait du regard, cet homme qui la faisait tant vibrer. A ce moment précis elle aurait aimé être une courtisane, une de ses filles qui se laissent aller au plaisir pleinement, se donnaient sans retenue, ou une de ses grandes Dames qui savaient prendre amants sans salir leur réputation.

Il la remercia, s'éclipsa ou elle lui avait indiqué et ressortit vêtu de la chemise, elle le sentait gêné, il parlait peu, des phrases courtes, elle n'eut pas le temps de réaliser qu'il allait disparaitre de sa vue, entendit un souffle "Merci et au plaisir de vous revoir Valentine." et sentit ses lèvres rejoindrent les siennes pour un baiser. Tine ferma les yeux savourant ce baiser tant désiré.

Elle le vit sortir de l'auberge comme si il la fuyait. Ses yeux se mouillèrent, figée sur son siège, le regard sur la porte, elle avait envie de hurler. Quelque minutes passèrent, elle ne saurait dire combien tellement son esprit était avec lui, cet homme qui avait su réveiller en elle, le désir, la libido perdue, l'envie de ne pas se laisser aller dans le catastrophique de sa situation. Elle ne le remercierai jamais assez de son attitude si respectable vis à vis d'elle, il était ange et démon à la fois, elle garderai toujours au fond d'elle les moments privilégiés qu'elle avait partagés avec lui.

Elle finit par se lever, machinalement débarrassa la table, rejoignit Ennis et Robbert dans leur cuisine.

Je file, à plus tard.

_________________
Ennis


Il y avait de l'agitation à l'auberge. Jaz et Ennis entassaient dans un coin tous les bagages qu'ils avaient préparés et qu'ils auront à amener à Avrieux.
Jaz était demeuré très silencieux ces derniers jours, mais Ennis, prit dans l'agitation n'y prêta que très peu d'attention.

_________________
Saradhinatra
Trois silhouettes encapuchonnées sillonnaient les ruelles de Bourg. Elles avaient pu passer discrètement le guet sans problème, grâce à une bourse glissée de main à main. Maintenant il leur fallait accomplir ce pour quoi elles étaient venues dans cette ville savoyarde. La tâche n'était pas aisée mais ...

ASSEZ ! lança une voix féminine sur un ton agacé. La plus menue des silhouettes fit avancer son cheval pour dépasser les deux autres. On va à la première auberge que l'on trouvera !

Mais, donà, vous savez que ... répondit une voix masculine.

Pas de mais ! interrompit la femme avant de poursuivre : J'ai assez greloté sur les routes ! Je veux un bon bain chaud et ne plus sentir la viande faisandée !
Là, en voilà une : l'auberge des voyageurs. Ce sera parfait !


Et sans un mot de plus, la femme se dirigea vers l'auberge en question. Elle confia sa monture à l'une des silhouettes et pénétra à l'intérieur. Elle fit une pause sur le pas de la porte, plissant les yeux pour se protéger de la lumière de la pièce. Une fois qu'elle fut accoutumée, la femme parcourut la salle du regard et hocha la tête d'un air satisfait.

Bonsoir, qui est le maître des lieux ici ? demanda-t-elle
_________________

"Par la Sainte Boulasse, la Blonde vaincra !" - Donà de L'Escura, héraut de Toulouse, dicte Tolosa
Edelle
Edelle arriva ce jour à l'auberge des Voyageurs afin de livrer la commande de bière qu'Ennis lui avait passé quelques jours auparavant .
Elle arrêta la charrette remplie de tonneaux dans la cour de l auberge , fit signe à deux costaux du coin de la vider leur promettant un bon pourboire et entra dans l'auberge par la porte de derrière .

Ne trouvant pas Ennis ni Tine dans la pièce arrière elle entra dans la grande pièce . pressée Edelle l'était on l'attendait à Chambéry . Elle appelait le propriétaire pour lui signaler la livraison ...


" ENNISSSS .... tu es là .... " elle se tue apercevant des visiteurs .. personne tout le monde devait être à la mairie

" Bonjour , dit elle , vous cherchez des chambres ? ou un repas chaud ... je me présente je suis Edelle de kroNenBourg .. malheureusement Ennis le propriétaire n'est pas là et la tavernière non plus ... ils doivent être à la mairie . Mais si je peux vous renseigner c'est avec plaisir . En tout cas soyez lez bienvenus à Bourg "
_________________
--Petitporteur
OYE OYE MSIEURS DAMES V'NEZ A LA BIBIOTEQUE Y A BOIRE A MANGER ET DAME MELISSE SUR UN TONNEAU

Saradhinatra
N'obtenant pas de réponse, la femme fit quelque pas pour chercher quelqu'un.

Donà, un instant, lui dit la silhouette qui l'avait suivi, avant de poursuivre : Laissez moi m'assurer que vous êtes en sécurité ici.

La femme regarda le bras qui l'immobilisait et fronça les sourcils. De quel ... commença-t-elle quand son regard croisa celui inquiet de son garde du corps. Les lèvres pincées, elle ravala les paroles cinglantes destinées à le remettre à sa place. Elle se détourna de lui, sans un mot, et se dirigea vers l'âtre pour se réchauffer.

" ENNISSSS .... tu es là .... "
Deux paires de yeux se levèrent aussitôt vers la personne qui avait prononcé cela et des paroles silencieuses s'échangèrent entre eux. L'homme se découvrit et s'approcha de la femme qui venait d'entrer.

Bien le bon jour, dame KroNenBourg, la salua-t-il respectueusement. Nous vous remercions pour votre hospitalité que nous acceptons bien volontier. Serait-il possible d'avoir une chambre pour notre dame ?
Le son d'un raclement de gorge provenant de l'âtre l'interrompit. Ignorant cette intervention, il continua : De plus, pouvons nous nous restaurer ici ?

Non et non, dit la femme près de l'âtre avant de se lever et se rapprocher d'eux. Elle s'arrêta quand une voix provenant de nul part retendit :
Citation:
OYE OYE MSIEURS DAMES V'NEZ A LA BIBIOTEQUE Y A BOIRE A MANGER ET DAME MELISSE SUR UN TONNEAU.


Au mot tonneau, une lueur intéressée s'alluma dans ses prunelles. Reléguant avec regret cela dans un coin de sa tête, la femme rejoignit dame Edelle de KroNenBourg et son homme de garde.


Adissiatz donà KroNenBourg, salua-t-elle en abaissant sa capuche bordée de fourrure, dévoilantainsi ses boucles blondes, permettez moi de me présenter à mon tour : je suis Sara et je viens de Toulouse. Mes gar... mes compagnons et moi-même, nous allons restés quelques jours à Bourg. Auriez vous une suite pour moi, ainsi qu'une chambre pour eux ? demanda-t-elle avec un grand sourire. De plus, nous avons fait une longue route et la traversée des montagnes enneigées a été un calvaire pour moi. Serait-il possible de me faire préparer un bain dans ma chambre ? avec beaucoup de seaux d'eau chaude. Cela va me prendre des heures pour enlever cette odeur pestilentielle, rajouta-t-elle en reniflant avec dégout ses vêtements de voyage.
_________________

"Par la Sainte Boulasse, la Blonde vaincra !" - Donà de L'Escura, héraut de Toulouse, dicte Tolosa
Kehl


Kehl rigole le plus discrètement possible en voyant Edelle dans le rôle de la femme de chambre.
Wh1tedevil
White arrivait de l'état major, une autre journée très rempli, le nouveau mandat commençait difficilement, beaucoup de travail, du changement de personnel à chapeauté, des gens à former, un nouveau système de défense à mettre en place...

Il avait reçu une courte lettre d'une amie qui lui disait se rendre à Bourg prochainement. Il ignorait la date exact de son arrivée, mais se disait qu'elle ne pourrait-être qu'à l'auberge des voyageurs. Il était impatient de la rencontrer, eux qui n'avait communiqué que par pigeon depuis le temps...

Il faisait déjà nuit lorsqu'il entra dans l'auberge, c'était très tranquille, il n'y avait que Edelle sur le plancher, il lui sourit.


Edelle, c'est toujours un plaisir de te voir... Et on se voit tellement souvent, pas le temps de m'ennuyer!

White hésita avant de lui demandé directement si elle avait vu une femme arriver dans les derniers jours.

Dis moi, tu n'aurais pas vu une voyageuse débarquer hier ou aujourd'hui par hasard?

_________________
"La force d'une armée se mesure à la solidarité de ses soldats!"



Venez rejoindre nos rangs! l'armée de Savoie : http://armeesavoyarde.forumpro.fr/
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 16, 17, 18, 19   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)