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L'église Saint Georges

Patrocle34
i]Une fois Giuseppino devant le baptistère, Patrocle l'invita à rester debout, face à l’assistance, pendant la lecture du Livre des vertus.[/i]

Il prit la parole :

Citation:

"Nous sommes certes enchaînées à la matière, certes soumis à ses lois, mais notre but est de tendre vers Toi, l’Esprit Éternel et Parfait. Donc, selon moi, le sens que Tu as donné à la vie est l’amour.” Alors Dieu dit: “Humain, puisque tu es le seul à avoir compris ce qu’était l’amour, Je fais de tes semblables Mes enfants. Ainsi, tu sais que le talent de ton espèce est sa capacité à M’aimer et à aimer tes semblables. Les autres espèces ne savent aimer qu’elles-mêmes.



Puis s’adressant au futur baptisé :

Avez-vous compris le sens de ce texte ?

Souhaitez vous être baptisés et devenir des enfants, des fidèles de notre bien-aimé Aristote ?

Si c’est le cas, répétez ces Paroles : Oui, moi,Giuseppino, je souhaite être baptisé et devenir un fidèle de notre bien-aimé Aristote.

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Giuseppino
Giuseppino était devant le baptistère et écoutait attentivement la lecture qu'entreprit frère Patrocle.

Le futur baptisé dit ensuite:


- "Oui, je pense avoir bien compris le sens de ce texte, que j'avais d'ailleurs travaillé lors de ma pastorale.

C'est pourquoi je suis sûr de pouvoir vous répondre ceci : oui, moi,Giuseppino, je souhaite être baptisé et devenir un fidèle de notre bien-aimé Aristote."


Giuseppino, le coeur battant de plus en plus vite, attendit la suite de la cérémonie.
Patrocle34
Une fois, le serment effectué, Patrocle reprit

Maintenant, répétez après moi le magnifique credo de notre dogme, si réellement vous croyez


_________________
Giuseppino
Giuseppino est alors fier de pouvoir réciter le Credo en se souvenant du parchemin enluminé que lui avait offert le père Ijarkor:

Patrocle34
Une fois, le crédo récité, il reprit

Approchez-vous, car je vais vous purifier des fautes passées, par l’immersion :

Je te baptise Giuseppino au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.


Patrocle, étant l'officiant mais aussi le parrain, même si c'est peu banal, prit le cierge pour le remettre à Giuseppino.

Une fois qu'il l'eut en main, il rajouta

Reçoit ce cierge transmis par ton parrain dit-il en souraint que tu portes par ton exemple la lumière aux autres… leur rappelant le respect du dogme sous peine d’excommunication ou de brûler en enfer !



Puis continuant

Reçoit aussi cette médaille, qui pourra sceller vos courriers, et affichant votre appartenance à notre Eglise



Bienvenue dans notre grande famille, que tu serves d'exemple dans ton village.

Maintenant vous pouvez aller fêter ça.


dit-il en montrant la porte pour signifier la fin de la messe, espérant ne rien avoir oublié

Il accompagna, les fidèles jusqu'à la sortie, avant de ranger l'Eglise et de retourner voir sa Nohell.
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Giuseppino
Giuseppino, très ému, reçu avec honneur et bonheur le cierge et la médaille que son "parrain-officiant" lui tendait.

Ses yeux aussi mouillés que sa tête, Giuseppino sortit de l'église avec la ferme intention d'aller fêter cela. Le coeur battant la chamade, la tête tournant comme s'il était ivre, il débordait de joie, d'une joie pure.

Les paroles du frère Patrocle l'avaient touché au plus haut point, il ne les oublierait jamais et aura à coeur, maintenant qu'il n'est plus souillé par le péché, de servie d'exemple et de ramener sur le droit chemin, le chemin aristotélicien toutes âmes égarées.

Pour Giuseppino, le fait d'être baptisé n'est pas une fin en soi, ce n'est que le début, le point de départ, une nouvelle naissance, sa venue au monde au sein de la grande famille qui est maintenant le sienne : l'Eglise aristotélicienne.
Billbok
Comme chaques dimanche, Billbok faisait encore et toujours le même trajet. Le rapport de douane envoyé au chateau, il allait trainer dans les allées du marché, acheter sa miche de pain et se rendre doucement à l'église. Il poussa la porte et entra. Comme souvent, il arriva si tôt qu'il était le premier.
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Isaure492
Isaure enleva la capuche posée sur sa tête des deux mains en entrant dans l'édifice. Elle s'installa sur l'un des bancs du fond, le regard portant au loin jusqu'à l'autel. Prête à écouter le sermon du jour, prononcé par le Duacre Patrocle.
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Compagne de Giemge, maman radieuse de leur petit Nicolas...
Comore
 


Le curé venait de terminer de se préparer. Il était arrivé à l’église voila déjà une quinzaine de minute et se préparait à commencer la messe. Avant de monter près de l’autel, Comore alla chercher une dernière petite chose, c’était un papier sur lequel il avait gribouillé plein de note. Voyant que tout était prêt et que les fidèles attendaient, le curé se dirigea au-devant de l’assemblé réuni dans l’église et il commença la messe.

Bonjour à vous tous, je vous heureux de vous accueillir en ce 15 mars pour la messe. J’espère pour chacun de vous que vous avez appréciez votre semaine et si ce n’est pas le cas alors vous avez eu raison de venir à l’église afin de trouver le calme et la sérénité que vous n’avez eu la chance de trouvé cette semaine. Je vous pris maintenant de commencer par la prière de demande du pardon afin que nos péchés soient pardonnés.



Lorsque tous eurent fini de réciter la prière, le curé entonna le crédo afin que tous réaffirme leur foi en Dieu.



Après le crédo, le père Comore se dirigea vers le Livre des Vertus. Il l’ouvrit à la page du passage qu’il voulait lire et pris un instant pris survoler le texte à nouveau.

Aujourd’hui pour la première fois j’ai choisi un petit extrait du récit de la vie d’Aristote. C’est parle de comment Aristote à rencontré Dieu.

Le père Comore commença à lire, mais avant cela il prit le temps de regardé les fidèles présents et de prendre une bonne inspiration.


Citation:
Un jour le jeune Aristote, âgé seulement de cinq ans, voulu s'asseoir près du temple du faux dieu Apollon dans sa ville de Stagire. Le temple était sur une petite colline à l'extrémité est de la ville. L'enfant aimait regarder les hautes colonnes de pierre blanche se découpant dans l'azur du ciel.

Alors qu'il s'approchait des marches du temple il s'arrêta, comme immobilisé par une force invisible. Ne comprenant pas ce qui ce passait, il se retourna vers la ville pour appeler sa mère Phaetis, qui était à quelque distance de là. Mais ses lèvres ne produisirent aucun son.
La terreur commençait à inonder son âme, quand un roulement de tonnerre gronda au dessus du temple du faux dieu. Un éclair vint le frapper en son centre et il s'écroula aux pieds de l'enfant.
Puis une voix puissante qui faisait frémir les cieux retentie dans l'esprit d'Aristote; elle disait: "Voilà ce que ma puissance réserve aux démons qui se font honorer comme des dieux. Cherche le Dieu unique, cherche la Vérité et la Beauté, car un jour viendra celui qui restaurera tout".

Bouleversé l'enfant tomba inanimé sur le sol. Lorsque ses yeux se rouvrirent il était dans la maison de son père, et sa mère était tendrement penchée sur lui: " Mon fils, que t'es t'il arrivé? Nous t'avons trouvé près du temple écroulé, le visage tourné vers le ciel. Est-ce le dieu qui t'es apparut? Qui a détruit le temple? "
Mais l'enfant ne répondit rien. Il restait en silence et regardait sa mère avec les yeux de quelqu'un qui voit pour la première fois.
Enfin il pris la parole: " Mère chérie, je vous en prie, dites moi: qu'est ce que la Vérité? "
La pauvre femme était bonne, mais hélas son âme était encore pleine des erreurs païennes, et elle ne sut répondre à cette question. Elle se pencha sur le front de son fils, l'embrassa et lui ferma les yeux avec douceur.
"Je t'aime mon fils, n'est ce pas la seule chose importante? Dors maintenant; demain ton père revient de guerre et il faut que tu sois reposé pour le recevoir dignement."


Ce texte est très important car il explique un peu comment le plus important des prophètes de notre magnifique religion à trouvé la voie que le mènera au Seigneur. Lorsque cela est arrivé Aristote était très jeune, néanmoins il avait été choisi par Dieu pour accomplir quelque chose de très important et Très-Haut avait donc décidé de lui parler. Le Seigneur est tout puissant et en peu bien le voir ici, car si Apollon aurait été un vrai Dieu, il n’aurait pas laissé son temple se faire détruire ainsi. Par ce geste Dieu avait réussi à ébranlé le petit Aristote qui fini par abandonner ces anciennes croyances païennes pour se tourner complètement vers ce Dieu qui lui avait parlé. Il a ensuite entrepris d’enseigner au monde ce qu’il avait compris de Dieu et c’est grâce à lui que nous pouvons maintenant dire fièrement que nous sommes Aristotélicien.

Pendant que les fidèles méditaient ce qu’il venait de dire, le curé prépara la communion. Il laissa le temps aux fidèles de penser un peu, mais après 2 minutes il commença la communion.

Cher fidèles communions ensemble pour notre Seigneur.



Comore fit signe aux villageois que la messe était terminé. Il venait de finir la communion et les villageois pouvaient maintenant partir ou rester prier.

Vous pouvez maintenant renter chez vous et que la paix du Seigneur Tout-Puissant soi avec vous et qu’il vous protège. Je espèrent avoir le plaisir de vous voir dimanche prochain.












Comore
Le père Comore, qui était à l'église depuis un moment déjà, finissait d'inspecter l'église. Il tenait à être certain que l'église était bien entretenu. Il avait trouver quelque problème mineur comme le toit qui fuyait à un endroit ou encore une vitre qui était casser , mais somme toute l'église était là pour rester. Regardant l'heure il s'aperçut qu'il devait dire la messe dans peu de temps il s'empressa donc de faire sonner les cloches.



Lorsqu'il eu terminer il alla se préparer dans la sacristie. après quelque minute il revint s'asseoir à côté de l'autel pour attendre les fidèles.
Comore


Le curé qui était assis sur une chaise en attendant que les fidèles entre dans l'église sifflotait doucement. Il était perdu dans la contemplation des effets que formaient les magnifiques vitrail de l'église sur les dalles du plancher. Au bout d'un moment, il se rendit compte qu'il y avait plus de bruit dans l'église, se tournant vers l'assemblé il découvrit que la plupart des fidèles étaient déjà arrivé. Il se leva donc de sa chaise et commença la messe.

Bonjour à vous tous, je suis heureux de vous voir aujourd'hui pour cette messe du 22 mars et j'espère que je ne suis pas le seul à avoir ce sentiment en moi. Le printemps est arrivé et déjà l'hiver n'est presque qu'un mauvais souvenir, mais cela ne fait pas parti de la messe. Donc nous allons commencer comme à l'habitude en récitons la prière du pardon.



Récitons maintenant ensemble le credo aristotélicien. Pour ceux qui ne s'en rappel pas, nous récitons le crédo afin de témoigner de notre foi en le Très-Haut .



Après que le silence ait retombé dans la salle, le père Comore continua la messe.

Pour la messe d'aujourd'hui j'ai longuement hésiter à propos du passage que je voulais vous lire, mais j'ai finalement réussi à me décider. Alors je vais vous lire un passage de la vie d'Aristote et je vous prierais d'être attentif.

Citation:
Le soir tombait sur le ville de Pélas. On entendait que les murmures des femmes qui, près des temples paiens, invoquaient les faux dieux pour la santé du roi. Ce dernier en effet, était mourant. Nicomaque, le père d'Aristote, était à son chevet pour tenter de retarder, et d'alléger le poid de l'échéance fatale.
Aristote, agé maintenant de 14 ans, marchait au hasard dans les rues de la ville, sans voir ni entendre ce qui se passait autour de lui. Qu'adviendrait il de son père si le roi venait à mourir? Bien sur, il ne saurait être tenu pour responsable, mais qui sait ce que des courtisans mal intentionnés pouvaient imaginer, et quelles vengeances pouvaient s'exercer dans ces moments d'interrêgne?
Il s'arrêtta près du temple de Proserpine. Il ne croyait certes pas à la puissance de ces dieux, qui ne lui semblait que des pantins morts, mais il y avait comme une majesté secrête dans cette évocation de la déesse des morts en un instant pareil.l sentit une main se poser sur son épaule. C'était Epimanos.

Epimanos: Tu prie pour le Roi Aristote?

Aristote: Prier? Qui devrais-je prier? Et que dois-je demander?


Ce passage est à la fois simple à comprendre et complexe pour ceux qui ne connaissent pas un peu la vie d'Aristote. Si vous vous rappeler bien, j'avais la semaine passer lu un autre passage de la vie d'Aristote. C'était le passage qui racontait sa première rencontre avec Dieu. Il faut donc vous rappeler que à cause de cet apparition Aristote ne croyait en les autres dieu propre à sa culture. Aussi c'est pour cela qu'il c'était résolu à ne pas prier pour la guérison du roi. Il avait confiance en Dieu et si Dieu avait décider qu'il était temps pour le roi de le rejoindre et bien il se rangeait de son côté. Car Aristote, en enfant intelligent qu'il était, avait compris ce qu'était la mort, ce n'était que passage vers une autre vie.

Suite à son sermon, le curé alla chercher le matériel nécessaire à la communion et revint par la suite se placer près de l'autel.

Cher fidèles je vous invites aujourd'hui à venir célébrer la communion avec moi.



Une fois la communion terminée, pris une petite pause avant de terminer la messe afin de réfléchir à quelque chose. Cela ne pris guère de temps et il s'empressa de terminer la messe.

Au nom d'Aristote, de Christos et du Tout-Puissant, je vous bénis.
Puisse le Très-Haut continuer de vous protégez pendant cette semaine qui vient.













Comore
Pour une fois père Comore arriva à l’église en avance. Il s’était lever tôt se matin et semblait doté d’une énergie nouvelle. Le curé avait fait ce qu’il y avait à faire chez lui, mais ensuite il avait décidé d’aller à l’église pour prier. Aujourd’hui était sa fête et il voulait remercier Dieu de lui permettre de vivre tant d’expérience. Ouvrant une des deux lourdes portes pour rentrer à l’intérieur, il remarqua que les gonds ne grinçaient plus, il avait bien fait de les huiler. Ayant refermé la porte derrière lui il alla s’assoir sur un banc près de l’autel et commença à prier. La messe n’allait commencer que dans une demi-heure il pouvait donc se le permettre. Lorsqu’il eu terminé de prier il se releva et alla sonner les cloches.



Il partit ensuite se préparer tout en continuant
Comore


Le père Comore se trouvait dans la sacristie comme à chaque dimanche matin pour y préparer l'office, et quand le moment fut venu, il alla se placer derrière l'autel et accueillit les fidèles. Il était fin près pour célébrer la messe. Et lorsque les quelque villageois présent se tournèrent vers lui il commença

Bienvenue, mes enfants, à la messe de ce dimanche 29 mars.
Je vous invite à méditer sur les valeurs aristotéliciennes qui nous sont chères, comme l'amitié, l'amour, mais surtout la charité et le partage. Pour ma part, je vais vous lire l'exemple de Saint François de Gênes. Mais avant cela nous allons maintenant réciter la prière du pardon afin que Dieu accepte de pardonner les péchés que nous avons commis.




A la suite de la prière du pardon, Comore commença à réciter le crédo aristotélicien et les fidèles l’imitèrent.



Après que le crédo eut été récité, le curé se dirigea vers l’endroit où reposait le Livre des Vertus normalement, mais aujourd’hui ce n’était pas le Livre des Vertus qui y était posé. C’était le livre de
Saint François de Gênes qui lui avait pris sa place.


Pour la messe d’aujourd’hui j’ai choisi un passage du livre de Saint François de Gênes. Le passage que j’ai choisi se retrouve au chapitre 4 et il parle de la rencontre avec le Pape de Saint François.

Ouvrant le livre à la bonne page, Comore commença sa lecture.

Citation:
François regardait autour de lui et disait qu'il n'y avait pas encore assez d'amitié et de solidarité entre tous ... Les gens mouraient de faim étaient toujours trop nombreux, et les malades comme les lépreux trop abandonnés. Il était temps de faire reconnaître notre action par le Pape lui-même afin que forts de cette reconnaissance, nous puissions attirer encore plus de frères et de soeurs dans nos rangs et de là allumer la fraternité dans le coeur de tous et soulager tous les malheureux.
Au début, personne ne voulait nous recevoir ... Il faut dire que cela faisait pas mal de temps que nous étions sur les routes et nous ne sentions pas tellement la rose. Et puis pourquoi le Pape recevrait-il un groupe de gueux ? Mais comme je l'ai dit, parmi nous, il y avait de jeunes nobles et il n'eut pas été de bon ton de les négliger ... d'autant que leurs parents auraient voulu que le Saint Père les fasse revenir à la raison. C'est pourquoi Innocent III accepta de nous recevoir. Ce Pape portait ce nom en mémoire de tous les innocents chrétiens qui étaient morts pour leur foi alors qu'ils n'avaient commis aucun crime. Il ne pouvait donc être complètement mauvais.
Lorsque nous entrâmes au Vatican, nous fûmes impressionnés par la splendeur de ce lieu ... Tous ces jardins, ce marbre, ces pièces aux proportions impressionnantes ... Enfin, ce trône où était assis Innocent III devant lequel nous nous mîmes immédiatement à genoux. Avant que Frère François ait pu ouvrir la bouche afin d'expliquer pourquoi nous étions là, le Pape nous expliqua que l'Eglise devait être puissante afin de mieux gouverner les âmes pour les guider vers la foi en Dieu. Elle devait donc être riche et prospère et tous ceux qui étaient riches ou nobles se devaient de la servir dans ce but de leur mieux. Mais notre Eglise avait aussi des ennemis extérieurs, des princes, des rois, des sultans qui menaçaient le monde aristotélicien et contre lesquels les nobles et leurs armées devaient aussi nous protéger. Le Pape nous recommanda donc de rejoindre nos familles afin de nous préparer à servir l'Eglise au mieux de cette manière. Puis il nous congédia. La Curie était satisfaite. Le Pape n'avait pas écouté ces jeunes inconscients qui prônaient la pauvreté...


Dans sa quête pour aider les autres, François avait raison et le Pape qui s’en était rendu compte les fit venir à lui à nouveau et les écouta finalement. Ce que François voulait expliquer au Pape c’est qu’il faut profitez du temps que vous avez pour donner, offrir, aider, et restez humbles. Il voulait lui expliquer que l'ennemi de l'Église n'était pas extérieur mais intérieur. Tout ce qui en nous nous empêchait d'être l'ami de notre prochain était notre véritable ennemi. Il fallait donc réveiller partout l'amitié qu'Aristote nous avait si bien enseignée et dont Christos nous avait montré l'exemple à la lumière de Dieu.

Le curé ayant fini son court sermon, il alla se préparer pour donner la communion aux fidèles. Lorsque tout fut prêt il invita les fidèles à venir communier avec lui.

Cher fidèles communions ensemble pour notre Seigneur.



Lorsque la communion fut terminée, Comore fit signe aux villageois que la messe arrivait terminé. Il les fit néanmoins rester à leur place afin d’ajouter une dernière chose à la messe.

Vous pouvez maintenant renter chez vous et que la paix du Seigneur Tout-Puissant soi avec vous et qu’il vous protège. Bonne semaine à vous et je vous laisse en espérant vous voir dimanche prochain.












Capucine.
En ce dimanche ensoleillé, Capucine décida de se rendre a l’église, afin d’assister a la messe et a la même occasion faire ample connaissance avec le curé de ce charmant village…

Elle arriva devant la porte de l’église ;
Avec difficulté elle les poussa, entra, et prit place sur l’un des blancs devant l’autel et se mit à prier…


Credo in unum Deum, Patrem omnipotentem,
factorem caeli et terrae, visibilium omnium et invisibilium.
Et in unum Dominum Jesum Christum Filium Dei unigenitum.
Et ex Patre natum ante omnia saecula.
Deum de Deo, lumen de lumine,
Deum verum de Deo vero.
Genitum, non factum, consubstantialem Patri :
per quem omnia facta sunt.
Qui propter nos homines, et propter nostram salutem decendit de caelis.
Et incarnatus est de Spiritu sancto ex Maria Virgine : Et homo factus est.
Crucifixus etiam pro nobis : sub Pontio Pilato passus,
et sepultus est.
Et resurrexit tertia die, secundum Scripuras.
Et ascendit in caelum : sedet ad dexteram Patris.
Et iterum venturus est cum gloria, judicare vivos et mortuos :
cujus regni non erit finis.
Et in Spiritum sanctum, Dominum, et vivificantem :
qui ex Patre Filioque procedit.
Qui cum Patre et Filio simul adoratur, et conglorificatur :
qui locutus est per Prophetas.
Et unam, sanctam, catholicam, et apostolicam Ecclesiam.
Confiteor unum baptisma in remissionem peccatorum.
Et expecto resurrectionem mortuorum. Et vitam venturi saeculi.

Amen.
_________________
Capucine. aux cinq pétales qui pousse parfois dans la tête des hommes...
Comore
Père Comore, qui venait de terminer sa messe, regarda les quelques fidèles présents. Il remarqua que, assis sur un banc non loin de lui, se tenait une jeune femme qu'il n'avait jamais vu auparavant à l'église. En bon curé qu'il est, il se décida donc à aller la voir. Il voulait savoir si elle vivait à Bourbon et si oui depuis combien de temps.

Il descendit donc les marches qui menait à l'autel et se dirigea d'un pas silencieux vers la jeune femme qui paraissait concentrer à prier. Elle ne le remarqua pas et lorsqu'il lui dit bonjour elle sursauta.


Bonjour à vous, désoler si je vous interrompt pendant votre prière, mais je tenais seulement à vous rencontrer puisque c'est la première fois que je vous vois assise sur un banc de cette église. Venez-vous de Bourbon où êtes-vous seulement de passage dans notre village?
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