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[RP ouvert] Petit Braconnage entre meilleurs ennemis...

Madnight


CE RP EST OUVERT A TOUS CEUX QUI SONT DESIREUX DE VIVRE AUTRE CHOSE QUE LA GUERRE.

Si cela vous tente, voici le fil conducteur :
Lieu : un petit bois à l'abri des combats entre deux villages.
Thème : des braconniers se retrouvent sur un même gibier.
But : faire évoluer l'histoire au gré de notre fantaisie, avec disputes, batailles et rigolade bien sur.

Si cette histoire vous interesse, je compte sur vous pour lui donner vie, sinon elle s'arretera comme elle a commencé, je n'ai pas l'intention de faire un monologue avec PNJ
Merci à tous et à vos plumes !!!



Cà ne pouvait plus durer ! les gargouillis de son estomac devenaient trop bruyants, et la faim lui faisait quelquefois entrevoir des mirages où des dindes roties bien dodues cotoyaient des cuissots de sanglier, enrobés de sauces crémeuses.... Glop ! la bulle a encore éclaté. Et la jeune Mad cherche désespéremment du regard, les restes de ce repas digne de Pantagruel qui s'est évaporé encore une fois.
Elle n'avait que quelques malheureux écus, et de toutes façons, les étals du marché restaient inexorablement vides.
Cette vie de végétarienne n'était plus supportable. C'était décidé, Mad allait réagir.
La nuit était tombée depuis peu sur la ville endormie.
Le vent et le froid n'incitaient pas aux ballades nocturnes.
Mad s'était affublée de vêtements masculins bien chauds et plus confortables pour l'opération "Bouffe" comme elle l'avait surnommée.
Elle avait coincé dans sa botte un coutelas bien affuté et mis son arc en bandoulière, sans oublier bon nombre de flèches et bien sur sa besace.
Elle traversa la ville à grands pas, rasant parfois les murs lorsque elle croisait quelque ivrogne titubant au sortir d'une taverne.
Le plus risqué était d'échapper à la vigilance des gardes en faction devant les remparts de la ville.
Mais la jeune Mad était souple et agile, et la faim lui donnait des ailes et tous les courages.
Elle arriva à hauteur d'une brèche dans le rempart, creusée sans doute par un obus ennemi. Aristote était avec elle, pourvu qu'il ne la lache pas maintenant !
Ouf, ça y est ! Elle était passée à travers le trou, et se retrouvait à présent dans un immense champ qu'il fallait traverser. Elle plissa les yeux, et évalua la distance jusqu'au bois qu'elle avait l'intention d'atteindre.
Ce bois plein de promesse d'un vrai et bon repas !
Il était à portée de Mad. Elle n'hésita pas un instant, et traversa en courant et zigzagant entre les obstacles afin d'arriver au plus tot sans se faire repérer.
En nage, le coeur battant la chamade, elle s'assit enfin sur le tronc couché d'un vieux pin. Elle y était. C'est maintenant qu'elle devait agir.
Elle arma son arc et commença à entrer doucement dans le bois, l'oreille et tous ses sens à l'affut.
Le huhulement d'une chouette la fit sursauter.
Ca se mange une chouette ? marmonna Mad d'un air dégouté.
Bahh, j'espère bien attraper un beau lapin, peut etre même un cerf ou encore un sanglier !!!
Elle avançait toujours, en rêvant à sa future proie.
Soudain, un craquement derrière un fourré non loin d'elle, puis le bruit d'une fuite.
Elle courut jusqu'au buisson et vit l'énorme arrière train d'un sanglier qui s'enfuyait.
Ni une ni deux. Elle ajusta sa flèche et tira sur la bête. En plein dans le ...mille !
L'animal blessé continua toutefois d'échapper en se mettant à couvert dans le bois.
Mad prit en chasse la bête. Elle scruta les alentours.
Malgré une belle lune toute ronde, l'obscurité était grande.
Madnight
Bon sang, elle l'avait blessé pourtant !
Mais il est vrai qu'une flèche dans le postérieur n'a jamais tué personne, et encore moins un sanglier !

Faudrait donc continuer à traquer la bête, en espérant qu'elle ne devienne pas dangereuse.

Soudain, Mad sentit un frottement sur sa jambe accompagné de halètements saccadés. Elle fit un bond sur le coté, et surprise !
Sac à puces, cet affreux clébard qui commençait à la suivre un peu partout, et qu'elle finissait par prendre en affection, l'avait retrouvée et se frottait énergiquement sur la botte de Mad, plus pour évacuer ses puces que par signe de fidélité à sa nouvelle maitresse.

Mad s'accroupit et pris doucement la tête du toutou entre ses mains, lui caressant la truffe, seul endroit ou les doigts ne risquaient pas de rester collés sur le poil crasseux de l'animal.

Brave chien ! T'as fini par me retrouver ! Maintenant à toi de me montrer si t'es meilleur à chasser le gibier que les rats de la ville hein ? Et surtout t'avise pas de me ramener un mulot, ce soir on chasse le Gros Gibier, tu m'as bien compris ? Allez vas y renifle moi un peu le terrain et débusque moi ce sanglier. C'est bien, allez ! ouste !

Et voila donc Mad et Sac à Puces prêts à courser le sanglier blessé.
Flore
Pfff, marre du pain. Monotone.
Et c'est pas les maïs que Flore a emportés dans sa besace qui arrangent les choses.
Nanmého, on n'est pas des poulets ! Aaaaah miam ... Un poulet doré ... Cette pensée fait saliver le jeune brune qui subitement, se décide pour une partie de chasse.
A quelques lieues du campement se trouve un bois isolé, trop petit pour qu'une armée s'y cache mais suffisant pour réunir du gibier varié. De toutes façons, si elle ne bouge pas un peu, elle va finir par prendre racine. Un peu d'exercice ne fera pas de tort.
Munie d'une arbalète, son arme favorite, et de sa hache, moins maîtrisée mais efficace si ça tournait mal, elle pénètre dans la forêt par sa partie la plus touffue. Avant de se mettre en quête d'un repas sortant de l'ordinaire, il est préférable de vérifier que l'endroit est aussi sûr que ce qu'elle pense. Ce serait en effet assez stupide de se faire prendre en de telles circonstances.
Flore constate que la végétation est dense. Pas de branches cassées, pas de traces de roues bref l'endroit n'est guère fréquenté. Excellente chose.
Elle prend donc position, arbalète armée. Sa cible, un lapin. Inutile de mettre la barre trop haut pour une première fois.
Très vite, le candidat plat du jour se présente. Elle vise, l'animal bondit dans sa direction, facile.
Il lève la tête. Mais ... mais ... c'est que c'est mignon ... Le petit lapinou ... Baisse son arbalète dans un profond soupir. Tu parles d'une tueuse. Pas crédible.
Elle entend alors un grognement, le lapin disparaît dans les fourrés. Flore a juste le temps d'apercevoir une masse sombre foncer vers sa position. Pas le temps de voir ce que c'est. Elle sort de sa cachette et court droit devant, insensible aux griffures qui se forment sur ses avant bras au contact des branches acérées.
Le sol se dérobe sous ses pieds.
Roulé boulé interminable pour terminer plusieurs mètres en contre-bas. Costaud le dénivelé. L'animal commet la même erreur et s'écrase non loin de la cadette des Lendelin. Il ne bouge plus, sa tête a heurté de plein fouet la massive souche d'un arbre déraciné par une récente tempête.
Flore tâte son corps, fait des petits mouvements rapides. Pas de douleur, rien de cassé. Elle a eu de la chance. Sa chute s'est achevée pile à côté d'un bosquet d'orties. Ouf.
Flore s'approche du sanglier, maintenant elle voit ce qui la coursait. Belle prise. Une flèche est plantée dans ce qui doit être sa fesse gauche. Pas de chasseur dans les environs. Bah, tant pis. C'est sa proie en définitive.Cadeau du Très-Haut pour les coeurs vaillants.
Reste une question : comment le transporter ? Rien à voir avec un lapin. Bon, découpe, pas le choix.
Elle saisit sa hache et se prépare à frapper au niveau du cou.

1, 2 ...
Attention, ça va gicler.
_________________
--Cristopho
Cristopho en avait marre de la bectée du camp. Le mais, le pain... Bon pour des femmelettes sa, pas pour des guerriers! Aussi, il ramassa son arc, sa dague et se mit en quête d'un peu de gibier. Il se dirigea vers un petit bois, à mi-chemin entre les deux armées. Y'aurais pas assez de place dedans pour abriter une armée mais devait y'avoir du bon gibier. Gibier... Pigeon, lapin, daim, sanglier, cerf ou biche, voir français... Il serait pas difficile de se servir un morceau. Il s'engouffra dans le bois, l'oeuil au aguets, la flèche prête à partir... Il entendit du bruit sortir d'un épais fourré pas très loin. Encore plus méfiant, s'y avance, en prenant soin de vérifier qu'il est sous le vent. Puis il épie discrètement ce qui se passe à quelques dizaine de mètres de lui... Une bonne femme qui tombait sur un sanglier blessé à coup de hache... Arff la pauvre bête... L'as du glisser dans un dénivelé de terrain... L'as une flèche planté dans le derrière le pauvre... Et voit la dame qui commence à dépiauter le sanglier à grand coups de hache... Sa fait tellement pitié au mercenaire qu'il sort de sa cachette, et se dirige vers elle. Mais l'est quand même prêt à décocher sa flèche vers la dame si elle fait du vilain... Il sait pas trop si elle est française ou quoi celle-la... Bah, de toute façon, le temps qu'elle s'empare de son arbalète, Cristopho auras largement eu le temps de l'aligner... Mais si elle fait pas de vilain, pourront partager la proie...

_Senorita, vous auriez besoin d'un coup de main? La hache, c'est pas super pour découper un sanglier...

En plus elle est couverte de sang....

_Je peux vous filer un coup de main si besoin est...


Sourire poli, mais prêt à la baston si elle fait un geste un tant soit peu menaçant... De toute façon, en cas de castagne, sa carrure feras vite la différence... L'attend la réponse de la dame, flèche prête au cas ou...
Madnight
C'est bien le chien, renifle !
Mad encourageait Sac à Puces à suivre la trace du sanglier.
Elle avançait dans le bois, quand elle entendit un bruit bizarre.
Un cri étouffé suivi de grognements bestiaux.
Elle accéléra le pas pour enfin arriver à une sorte de petit ravin.
Elle écarquilla les yeux et poussa un juron.


Nom de Dieu, vous ne manquez pas de culot !
En effet, Son sanglier était en train de se faire mettre en pièce par une Dame et un homme se tenait à côté d'elle.

Arretez immédiatement ! Qu'allez vous faire ?
Mad s'approcha telle une furie et s'interposa entre la bête gisante et la dame qui s'apprêtait à le dépecer.
C'est mon sanglier ! Je l'ai vu avant vous, et je l'ai blessé.
La foret est grande, allez trouver un autre gibier ! Celui ci est à moi et je vous interdit de le toucher !


La jeune Mad voyait déjà son précieux repas s'échappait. Elle ne pouvait pas rester sans rien faire. Son ventre recommençait à gargouiller, mais cette fois, la crainte s'y mêlait.

Ils étaient deux sur la bête. Elle était seule, et Sac à Puces ne serait pas d'un grand atout.
Il fallait trouver quelque chose et vite ...
--Cristopho
Le mercenaire regarda la nouvelle arrivante. Décidément, la faim devait régner dans la région...

_'Coutez senorita, on vas pas se taper dessus pour un sanglier... Apparemment on crèvent tous de faim. On n'as qu'a partager équitablement... Et si ont fait équipe, on auras plus de facilité à trouver du gibier, nan?

Le mercenaire mit sa main à sa dague. Après tout, pour dépiauter une bébête comme sa, se serait plus adapté qu'une hache... S'avance vers le goret en bousculant un peu la dame à la hache et commence à hisser péniblement le porc sur ses épaules.


_Aidez-moi non de dieu! On vas l'attacher à une branche et j'vais l'dépouiller. Quoi qu'ont fasse vas bien falloir faire sa... Alors au boulot...

Traine péniblement la carcasse jusqu'à une branche basse horizontale et assez solide pour supporter le poids de la bébète et commence à essayer de l'attacher par les pattes de derrière à la branche... Chose malaisé quand on a pas d'aide...
Flore
La hache s'abat. Eclaboussures. Flore rouvre les yeux. Bah c'est malin, elle a coupé une patte. A ce rythme, elle va y passer la semaine. Cela se conserve combien de temps la viande de sanglier fraîche ?

Je peux vous filer un coup de main si besoin est...

Une voix inconnue, un homme à l'accent étranger. Pas provençal. Pas français non plus, ni germain. Hum. Se retourne, la hache baissée. Inutile d'adopter une attitude qui peut être mal interprêtée.

Bonjour, Messire. Ce ne serait pas de refus. Me voila bien embêtée avec ce gros gibier. Je venais pour attraper du lapin ... Je suis bien loin du compte.

Il n'a pas le temps de répondre qu'une tierce personne se présente. Son visage dit quelque chose à Flore.

Nom de Dieu, vous ne manquez pas de culot !
Arretez immédiatement ! Qu'allez vous faire ?
C'est mon sanglier ! Je l'ai vu avant vous, et je l'ai blessé.
La foret est grande, allez trouver un autre gibier ! Celui ci est à moi et je vous interdit de le toucher !


Ben à vrai dire, il m'a quasiment sauté dessus sans prévenir. J'ai chuté et lui a eu moins de chance puisqu'il s'est écrasé sur cette souche. C'est à vous la flêche ?

Coutez senorita, on vas pas se taper dessus pour un sanglier... Apparemment on crèvent tous de faim. On n'as qu'a partager équitablement... Et si ont fait équipe, on auras plus de facilité à trouver du gibier, nan?

Assurément. Je me demandais justement comment j'allais pouvoir ramener cette pièce. Gâcher une telle source de nourriture en période agitée, ce ne serait guère intelligent.

Aide l'étranger à attacher la bête à l'arbre.

Euh vous pensez que la branche sera assez solide ? Vous voulez le soulever ? Je ne sais pas si nous serons assez forts pour cela.
Oh, j'oublie de me présenter. Je me nomme Flore.

_________________
Madnight
Mad se trouve un peu désarçonnée par les réponses des deux personnes en train de s'attaquer à son sanglier. En plus voila t il pas qu'ils se font des politesses et des présentations ! Le comble !

Effectivement la bête est grosse et on pourrait la partager..
N'empêche que c'est quand même grace à moi que vous aurez à bouffer tous les deux ! Na ! Aussi je me réserve ce cuissot.


Telle une gamine butée à qui on refuse un jouet, Mad croise les bras sur sa poitrine et attend la réaction de la dame et du monsieur.

Elle prend le temps de les regarder en coin. Et écoute la dame se présenter.

Mais on se connait Dame Flore ! Pas question que je cède.
Je veux ce cuissot. D'ailleurs, je l'ai marqué de ma flèche. Na et Na !


Aussitot dit, aussitot fait, Mad arrache la flèche plantée dans l'arrière train de l'animal mutilé par Flore et que l'homme essayait de suspendre tant bien que mal à un arbre.

Mais l'énorme bête, qui n'était en fait qu'assommée par la souche d'arbre, avait commencé à réagir à la mutilation de sa patte. La douleur aigue l'ayant réveillé de sa torpeur.
Il poussa un grognement terrible et se débattit comme un diable pour échapper à ses tortionnaires.
Il gigota tant et si bien, qu'il finit par se détacher et se retrouva toutes défenses dehors, face à Flore, à l'homme et à Mad.


Pas le temps de faire ouf, que Mad se colla contre ses deux compagnons d'infortune, aussi effrayés qu'elle.

Pfff, si vous m'aviez laissé faire, moi je l'aurais pas charcuté comme ça.
J'aurais vérifié d'abord qu'il soit bien mort !!!


La jeune Mad ironisait, mais elle n'en menait pas large.
Le sanglier grognait de douleur et de rage et devenait de plus en plus menaçant.
--Cristopho
Le mercenaire sentit brutalement le sanglier gigoter. Il le laissa tomber à terre et s'écarta un peu, se rapprochant des deux qui se battaient pour un cuissot. La bestiole avait l'air remonté contre eux.

_Donner moi sa Senorita...

Arrache la hache des mains de la nommée Flore. Le sanglier s'excite de plus en plus... Se remémore un cadavre qu'il a trouvé une fois, dans une forêt, en Espagne: Un brave vieux avait été attaqué par un sanglier... La bête l'avait éventré; Cristopho et ses hommes avait retrouvés les tripes étendus sur le chemin sur une dizaine de mètres. Vision d'horreur... même pour eux qui étaient pas des tendres... Et le mercenaire savait qu'un sanglier blessé était bien plus dangereux que quand il était intact... Or l'animal avait une jambe qui pendouillait tristement... L'hercule barbu levas la hache, se rapprochant lentement de l'animal...

_Rester en arrière... Ne bougez surtout pas...

Considère de nouveau le sanglier immobile. Il peut pas charger avec sa jambe en moins... Laisse tomber la hache et tire sa dague, une large dague d'égorgeur, pas un joujou... Sa vas saigner... Tourne autour du porc, et soudain se jette sur son dos et glisse sa main armée sous son coup, et tire un coup sec. Le sang asperge la terre... Et le barbu par la même occasion. La bête se laisse choir, blessée à mort. Le grand brun rouge sang s'écarte, laissant la bête mourir. Repasse sa hache à la Flore.

_Bon...

Se secoue, aspergeant de sang les environs et accessoirement ses compagnes de chasses.

_Pour le partage... Moi j'ai ma compagnie à nourrir; on est 10, on a besoin de boustifaille... Vous, j'imagine que c'est juste à votre usage propre.

Regarde autour de lui, l'air affamé.

_Je propose qu'ont se fasse cuire un cuissot ici; si vous ètes aussi affamé que moi, je serais prêt à manger cette viande crue.. marre du pain et du maïs pour ma part...

Sans attendre leurs réponses, découpe un cuissot, enlève la peau, l'embroche sur son épée -bah oui faute de mieux, on fait avec les moyen du bord-, suspend sa à deux morceaux de bois croisé et commence à ramasser du bois pour allumer un feu.
Natale
Un cavalier surgit hors du pré et rentre dans le bois.
Cavalier et noble qui plus est, en recherche d’une proie à prendre, ou bien à voler.
Il sait qu’il a tous les droits, tss !

Les oreilles de la monture aux aguets.

GROOUUUUIIIIiiiiik
*Ça sent le cochon par ici*

Prestement deux coups de talons dans les flancs on se remet en chasse.

Arrivé sur les lieux du désordre, trois gueux qu’il ne reconnaît point à prime abord et surtout la cochonnaille.

Ha ! Ha !

Holà !
Dit l’occitan
Cette bête est à moi !
_________________
--Cristopho
Regarde le cavalier qui arrive et veux se tailler la part du lion. Se redresse et saisit une hache, celle de la Flore...

_Si vous voulez de quoi mangez, allez vous chercher du gibier... On l'as tué ce sanglier, il est à nous et on vas se le partager. Si vous la voulez, venez la chercher...

Se redresse de toute sa taille, hache à la main... Avec ses vêtements tachés de sang, sa barbe de huit jours et sa carrure d'hercule, l'est impressionnant quand même le mercenaire...
Flore
L'autre dame s'avère être Madnight. Décidément, cela doit être cosmique. Les voila qui s'affrontent à nouveau, pour un sanglier cette fois. Ce dernier se rappelle subitement à leur bon souvenir. Coriace, la bête.
Pfff, si vous m'aviez laissé faire, moi je l'aurais pas charcuté comme ça.
J'aurais vérifié d'abord qu'il soit bien mort !!!

Mais il était mort ! D'ailleurs, la preuve, il n'a rien dit quand je lui ai coupé la patte.
Non mais, pour une fois qu'elle touche quelqu'un avec sa hache.

Les deux dames restent sans réactions devant l'air menaçant de l'ex-civet. L'étranger saisit la hache de Flore.

_Rester en arrière... Ne bougez surtout pas...
Oh ben ça, on ne risque pas. Ajoute-t-elle d'une voix peu rassurée.
Elle regarde avec admiration la lutte entre le guerrier et l'animal. Sentiment vite evacué par une nouvelle douche de sang porcin. Magnifique, elle en a partout et le plus ancien commence à sécher, ce qui raidit ses vêtements. Sans parler de l'odeur rance que le tout dégage.
Desespérée par son apparence, elle laisse la responsabilité du partage à l'inconnu.

Bah, faites donc comme ça. J'ai faim, j'ai froid et ma chemise dégouline de sang. Même plus la force de discuter !

Holà !
Cette bête est à moi !

Sursaute et fait face au nouvel intervenant.
Ah non ! Le partage est fait, Messire. Trop tard. Et ce n'est pas vos grands airs là, sur votre beau cheval qui nous fera changer d'avis ! Ecarte la mèche de cheveux collés qui lui tombe devant les yeux pour voir à qui elle a à faire. Stupéfaction.
Natale ? C'est toi ? Enfin, je veux dire ... Se reprend et, pour se donner un genre un peu de dignité en ces circonstances peu flatteuses Vous êtes le Seigneur de Sainte Maxime ?
Elle s'efforce de ne pas penser à quel point sa tenue est pitoyable.
_________________
Enored
Pain, maïs, pain, maïs, pain, ma ... marre ! La mairie sous bonne garde, la milice organisée, l'Irlandaise avait besoin d'air. Passage rapide dans sa tente, cape, carquois, arc. Un peu de braconnage, rien de mieux pour dérouiller une mercenaire endolorie par quelques jours de convalescence. Trouver un cheval dans le campement avait été aisé, patrouille prétextée et la voilà en pleine cambrousse provençale.

Longue chevauchée pour se vider la tête ... battement de paupières le temps de réaliser que ...


Me v'la ... pleine forêt ... pis j'cause toute seule ...

Bien, la forêt c'était ce qu'elle cherchait certes, mais là ... elle ne savait absolument pas de quelle forêt il s'agissait, ni où elle était ... pas d'inquiétude pour le moment l'essentiel était de rentrer avant la nuit.

Sens aux aguets, la braconnière retint sa monture.GROOUUUUIIIIiiiiik un bruit lointain, intéressant ...


J'en connais qui vont être contents ... rôti de sanglier ce soir !

Guidant son cheval, d'une main, arc dans l'autre, la rouquine déboucha sur quelque chose qui l'interpella ... deux femmes, deux hommes qui semblaient se disputer un pauvre sanglier à terre. Ecarquillant les yeux, elle reconnu flore, et ... c'était pas Natale croisé en taverne avec la Princesse ? les deux autres lui disaient eux aussi vaguement quelque chose mais quoi ... Elle se retint de rire

'jour la compagnie ... j'peux avoir un bout aussi ?
_________________
Natale
Une opposition se fait entendre : qui ? quoi ? Comment ça ?
Impressionnant !

Mmmm
Petite moue du nobliau qui murmure entre ses dents :
Charogne

Il crache par terre avant de le regarder dans le blanc des yeux

Oserais-tu ?

Alors que s'annonce un nouveau défis vla que l'une des donzelle semble le reconnaitre.
Peuchère !
Flore ! Que fais tu avec ces renégats ?

Zut, il sera au moins obligé de partager avec elle.
Hop pris sur le vif, vla que déboule une cinquième personne qui en demande un bout elle aussi. Non mais ! c'est pas un gala de charité ! Té !
Soupire du Senher...

Mais heuuuuEnored ?
Surprise et confusion.
_________________
Madnight
La jeune Mad n'en croyait pas ses yeux.
Le géant avait massacré la pauvre bête à coups de hache (voila qu'elle plaignait sa bouffe maintenant !)
Vu la force qu'il avait montré, et sa détermination à faire rotir le cuissot sur place, il était difficile de lui résister.
Et puis Mad avait horriblement faim, et regardant avec appétit l'homme embrocher la viande, elle baissa les bras.


Bon d'accord, j'ai trop faim pour me disputer. Elle jeta un sourire forcé.
Dame Flore, je fais la trêve, et suis prête à partager avec vous et ce monsieur, Mon sanglier.

Puis tout se passa très vite. Un cavalier apparemment que Flore connaissait arriva avec un grand Ola cette bête est à moi, les traite de renégats, et puis une dame sortie de nulle part qui réclamait elle aussi sa part du butin !

Non mais ou on est ici ? C'est pas le salon ou l'on cause !
J ai tué ce sanglier, je veux bien le partager avec Flore et ce Géant qui me laisse pas trop le choix, mais trop c'est trop !
Faudrait pas pousser mémé dans les orties quand même.


Messire, passez votre chemin et vous Dame allez chasser ailleurs.

Elle regarda d'un air interrogateur Flore et le géant qui tenait sa hache. Peut etre qu'ils seraient prêts à partager ? Mais Mad ne tenait pas à laisser sa part de cuissot ! Et elle avait bien l'intention de la défendre chèrement.
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