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[RP]Le droit de passage

Sofio
Citation:
RP privée ou sur demande merci



Passer des nuits a le dire et le redire le restez groupiiir qui attirait les foules ne faisait plus rire personne,passer des jours et des jours a compter répéter les mêmes mots a tous, courage, on passeraplus personne ne répondait le fameux] bastonnn des jours heureuxet rien n'y faisait ni espoir d'enivrements prochain, ni retrouvailles joyeuses, rien...des regards vides, des désappointements.

Rasta, tombé sur Arles, way, azou et tant d'autres, mais on avançait encore encore parce que !!!!puis raianui .
... il avait dit partout ou t'iras je te suivrais comme ton ombre, partout ou ta lame passera la mienne suivra, jamais elle ne lui aurait dit a lui ou aux autres venus pour elle, vous êtes ma fierté, non mais les voir décimer, les voir souffrants, les voir sans plus rien, et ne rien voir d'autre dans leurs yeux que la déception et l'ennui, elle aurait préféré en mourir.

Maintes discutions, sur un départ, puis cette nuit, tout changea, namay tomba au sol sous ses yeux, elle vacilla un instant, trois jours sans avoir mangé, elle savait que son tour arriverait bien a temps, la nuit passa, avec le silence des souffrances, les souvenirs du temps passé, au matin elle compta encore.....

Plus besoin de mots, pour comprendre,adossé a son arbre,en train de contempler le ciel et ses nuages, ses rêves partaient en fumées, le ciel ne lui parlait plus, l'herbe ne la chatouillait plus, et aucune senteur de flanc de colline n'était ressentie, kjerag passa devant elle, sans un regard sans un mot, il semblait vide et las, elle se leva et se rendit a sa monture, sortit de sacoche un vélin, il était temps.


Longtemps réfléchie, il fallait d'abord s'adresser a la bonne personne,être sure, certaine, c'est d'une main tremblante qu'elle entama son courrier par ces quelques mots...



Marquise Hersende.......

Sa vue se brouilla, sa poitrine s'oppressa , le vent frôla ses larmes pour les assécher, elle reprit son écriture d'une main lourde se mélangeant dans les mots, les noms et les faits, ratifia recommença, de rage jeta son parchemin le déchiquetant en morceaux, prit une profonde inspiration et s'appliqua a recommencer.

Marquise hersende

la guerre, est finie pour mes hommes, ils en ont ras le bol et veulent partir,voici une liste de noms qui quitteront l'armée et partiront de Provence,sans rien tenter, sans se retourner, sans retour, ce soir, un départ pour Arles, retrouver leurs femmes, leurs époux, leurs amis, en garantie je vous offre ma vie, en garantie je range mes armes et me dirige sur Aix, prête a répondre a un procès, le temps que mes amis soient tirés de tous dangers,
La guerre c'est bien, la guerre defois ca paye, je ne peut les blâmer, je ne peut que les aider.
Loyalement

sofio dame du Mercurol


Le temps de s'assurer de l'envol de son pigeon, qu'il parte, qu'il revienne, qu'il se hâte, elle essuya d'un revers de la main, ses yeux mouillés et reprit son vélin pour un courrier plus lointain celui la.Elle se prit a rêver, a ses hautes montagnes et ses volcans, le temps d'un instant ses haut plateaux d'Auvergne en mémoire, cette terre qui lui manquait tant...



Lanfeust

Tu vas me trouver, bizarre , je sais mais tu ne m'a jamais trouvé normal non plus , je le sais aussi, mais la j'ai besoin de toi sur ce coup la, et oui tu rêves pas, j'écris bien ca...c'est bon enlève ton sourire je te vois venir, je parle de diplomatie, t'étouffes pas non plus, ramène toi, viens humer les lavandes, a quelques Auvergnats ici qui ont besoin que tu les aides, demain surement je serais en procès sur Aix,alors voila.... t'as surement des talents et tout d'orateurs j'ai hâte de voir ca.
Lanfeust aide moi
soso


Celui la de pigeon, elle le garda longuement en main, pensive a lui caresser le haut du crane, pensive jusqu'à ce que son bras se lève haut et qu'elle le lâche.


Un sourire au passage, un geste de la main, s'approcha de la gibecière a gorbo elle glissa son dernier message dedans.

partez ce soir direction arles tous

Sans hâte, elle défit son ceinturon, enleva son fourreau fit glisser la sangle au sol, posa contre un arbre son bouclier et son épée couchée au sol, ramassa un peu de terre, qu'elle glissa dans sa poche,la route sera longue et silencieuse cette nuit, voila longtemps qu'elle n'a plus voyagé seule,un cheval comme compagnie, et la lune comme amie pour guider ses pas jusqu'à Aix,une arrivée silencieuse, sans sourire, mais il y a bien une chose qu'elle ne trahira pas c'est sa parole.

Penser, a l'avenir, et toutes ces choses qu'ils doivent faire plus tard, penser a Ninon et ses rêves de bateau, penser a lui.....

_________________
--Lanfeust_
Le Duc de Souvigny revenait du Lyonnais Dauphiné pour des discussions diplomatiques et il était exténué. Les voyages nombreux, entre duchés, entre Clermont et Souvigny, les déambulations dans les différentes institutions : tout cela devenait épuisant mais bon c'était ça ou l'ennui.

Il se trouvait dans son bureau à présent à étudier les derniers comptes de la mairie de Clermont lorsqu'un pigeon arriva. Un parmi tant d'autres, il allait devoir investir dans un pigeonnier beaucoup plus grand.

Récupérant la bestiole, il détacha le parchemin, il venait de loin celui là à en voir l'état. Lanfeust le déroula pour parcourir les quelques mots.

Il en resta sur le fondement le rouquin...Sofio, la dame de Mercurol...Elle lui demandait de l'aide...Et ben ça pour une nouvelle. Il relit alors à nouveau les quelques mots.

Elle devait parler des auvergnats en guerre contre la Provence et elle voulait les faire sortir très certainement. Maintenant mise en procès ? Bizarre ça quand même. Fallait il partir là bas ? Hum après tout ils s'étaient rendus là bas de leur propre chef.

Le rouquin ne pouvait pas non plus laisser tomber des auvergnats et après tout qui à part un ambassadeur pourrait les aider à ce niveau.

Prenant deux parchemins il se mit à rédiger deux lettres, une pour la marquise et l'autre à Sofio.


Citation:
A vous, Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales.

De Nous, Lanfeust de Troy, Duc de Souvigny et Consul du Bourbonnais Auvergne.

Nous avons appris que des bourbonnais auvergnats étaient présents au sein des armées françaises de leur propre chef.

Nous avons également reçut une lettre de la part de la Dame de Mercurol, une noble auvergnate que vous connaissez peut être.

Dame Sofio requiert mon aide pour une affaire de procès et n'en sachant plus je me rend dès à présent en vos terres pour engager une discussion à son sujet.

Respectueusement

Ecrit et scellé le quatorze décembre de l'an de grâce mil quatre cent cinquante huit.

Lanfeust de Troy
Duc de Souvigny





Citation:
Sofio,

Je dois dire que ta lettre me surprend beaucoup.

J'ai de bons contacts grâce à ma charge d'ambassadeur donc si je peux t'aider, je veux bien essayer.

Je prend la route dès demain pour Aix.

Lanfeust


Il donna ensuite les ordres pour qu'on prépare son attelage pour le lendemain, il fallait faire au plus vite vu l'appel à l'aide qu'on venait de lui lancer.
Luciole, incarné par Iskander
Luciole ...

La première née ... prend son envol dans un ciel nouveau ...

L'hivers fuit tout doucement ... le temps revient.

Elle s'envole en tourbillon, éveillant soeurs et frères ...

L'hivers fut rude ... le Printemps est là, bientôt ...

Luciole l'éveille ...

Elle prit à peine garde à la cavalière solitaire et triste ... puis y revint ...

La Provence tiendrait ses promesses ... la Provence vivra ...

Il y a de l'ouvrage et de la place pour tous ...

Luciole se mit à son ouvrage, faire venir le printemps ...

La cavalière passe ... luciole pétilla alentour.
Hersende
Le colombier qu'Hersende avait fait placer à proximité de la tente marquisale, bruissait de battements d'ailes à l'arrivée de chaque pigeon. Le remue-ménage attira l'attention du garde de faction qui se saisit prestement de l'oiseau qui venait de se poser et détacha le message qu'il portait à la patte.

A peine le bruit sourd de ses bottes sur la terre détrempée se fit-il entendre devant la tente voisine, qu'un bras surgit par l'ouverture et attrapa le parchemin. Il ne fallut que quelques secondes à Yvain pour parcourir la missive et en apprécier le contenu.

Hersende était en train d'étudier une carte des environs d'Aix, entourée des conseillers militaires et en compagnie de la Comtesse. Le positionnement des armées était figuré par de petites pièces de bois. Tout en discutant, certains les déplaçaient, essayant de visualiser différentes stratégies.


Votre Majesté, je pense que ceci devrait vous intéresser, lui dit Yvain en lui tendant le parchemin.

Hersende se saisit du message et le parcourut.


Eh bien, si je m'attendais à cela! Décidément l'armée de Namaycush est pleine de surprises... Entre celui-ci qui négocie son passage il y a deux jours, engageant sa parole de chef d'armée, puis ne donne plus signe de vie et nous attaque... et maintenant cette proposition...
Ce message vient de Sofio, Dame du Mercurol, qui est actuellement dans l'armée de Namaycush. Elle nous demande de laisser partir ses hommes, et s'engage à se livrer prisonnière comme garantie.
J'avoue que je ne la connais pas et que le peu de cas que fait son chef d'armée de la parole donnée ne m'inspire guère confiance... Qu'en pensez-vous?
Ceci dit, j'aurais tendance à penser la même chose que lorsque Namaycush m'a proposé son départ. Nous ne sommes pas vindicatifs. Tout ce que nous souhaitons c'est que les personnes qui nous ont envahies partent et nous garantissent de nous laisser en paix. Donc qu'avons-nous à perdre?
Cependant... quelqu'un parmi vous connaît-il la Dame de Mercurol?

_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Max12
Max regardais les pièces de bois avancer, reculer, changez de position. La marquise prit la parole "Sofio..." Décidément le passée le rattrapez dans cette fichu invasion.

- Les habitants du BA n'ont qu'une seule parole, je l'ai apprit par le passée, si il veut rentrer elle est ces amis laissons les passez.

Je la connais cette dame, je l'ai croisez en Rouergue quelques fois, elle à sans doute une dent contre moi d'ailleurs, peut être que je pourrais enfin m'expliquez avec...

_________________
Ledzeppelin
Citation:
Cependant... quelqu'un parmi vous connaît-il la Dame de Mercurol?

Après avoir entendu avec intérêt la réponse du Commandeur Max12 Led dit :

- J'en ai entendu parler oui. Lorsque tout a éclaté, Lanfeust m'a demandé si des Auvergnats étaient impliqués dans cette guerre. Pas que ce leur soit interdit mais je suppose qu'en bon ambassadeur entre nos deux pays il tenait que les choses se passent sans trop de mal.

J'ai cité le nom de Sofio que je savais auvergnate et assez connue et là il a dit qu'elle était Dame de Mercurol et qu'elle avait été autrefois Connétable ... euh non .... Sénéchale de la COBA. Mais je ne sais rien d'autre à part qu'il semblait assez bien la connaître, mais il ne m'a rien livré d'autre sur ses pensées.

J'ai des contacts formidables avec l'Auvergne pour ma part en tant qu'ambassadeur. J'y connais plein de monde, tous des gens formidables et que j'estime énormément et si nous pouvions faire quoi que ce soit pour eux, j'en serais ravie.

Mais de toute manière je crois qu'il nous faut accueillir ce message avec joie. Nous avons tout intérêt à laisser partir les hommes et les femmes qui veulent cesser le combat. Nous en avons laissé partir quelques uns avec succès déja d'ailleurs.

De la part du Comté tu as mon soutien et mon accord pour cette demande.

_________________
Hersende
Hersende écouta Max et Ledzeppelin. Elle échangea un regard avec cette dernière, bien plus éloquent que de longs discours : elles se comprenaient si bien.

Donc nous allons accepter. Toi seule peux donner ton accord pour le procès, Led, parce que la justice, c'est l'affaire du Comté.

Elle se tourna vers Lila qui participait à la discussion.

Concrètement, Lila, nous devons donner comme consigne à nos hommes de laisser passer ceux que Sofio nous a indiqués comme étant les personnes faisant l'objet du contrat, ainsi qu'elle-même qui s'arrêtera à Aix pour la mise en accusation.
Il est inutile de prévenir le chef d'armée de la Cigale furtive. Le casernement de son armée est en ville et les fugitifs n'auront pas l'occasion de croiser ses soldats.
Assurons-nous que les ordres sont bien transmis : je vais engager ma parole auprès de Sofio en notre nom à tous et en plus aujourd'hui c'est jour de trêve. Ces hommes et femmes doivent passer sans encombre.


Déjà, son fidèle secrétaire se tenait prêt, la plume à la main. Hersende enchaîna donc à son adresse.

Yvain, écrivez, je vous prie :



A Sofio, Dame du Mercurol, salutations,

Ce combat n'est pas le vôtre et vous souhaitez vous en retirer : aussi acceptons-nous votre proposition.

Nous nous engageons à laisser partir librement vos hommes vers l'ouest et vous retiendrons à Aix le temps d'obtenir l'assurance qu'ils ont quitté le Comté pour d'autres cieux, sous réserve que vous nous donniez votre parole qu'ils n'y reviendront point pour combattre.

Ils pourront passer devant les portes de la capitale cette nuit sans être inquiétés.

Qu'Aristote soit témoin de cet engagement!





Que l'on retourne à Sofio son pigeon porteur de cette missive. Quant à nous Lila, allons immédiatement donner nos ordres... Il ne s'agirait pas d'être parjure. Nous reprendrons cette discussion sur la stratégie à tenir dans l'après-midi.
_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Sofio
Aix , enfin.....

Accompagnée d'une lune pleine, elle avait prit la route seule, elle savait que ce soir les premiers partants prendraient la route aussi, contournant Aix, droit vers Arles, le courrier de la marquise en main, c'est confiante qu'elle leur avait confirmé le départ, dernières consignes de sécurité pour la part du on sait jamais,

Rangez vos armes, ne montrez pas d'agressivité, sert a rien d'énerver les armées, et armée ou pas , seul vous vous ferez massacrer quand même, on se retrouvera bientôt...

Aix, ses remparts, ses cheminées, longtemps aperçue de loin, jamais franchit, et ce jour si prêt, et ce sentiment qui montait en elle, comme une angoisse, un doute,elle fila son courrier au premier garde rencontré, et les portes de la capitale s'ouvrit, elle jeta un dernier coup d'œil derrière elle, les bois, les chemins, ces chemins de traverse qu'elle affectionnait tant, dans combien de temps les reverra t'elle, pour combien de temps devra t'elle rester...

Soleil noir.... soleil noir sofio, c'était le mot de son capi avant qu'elle parte, des mots durs empreints de haine, savait t'il vraiment que se prénommer capi n'importe quel troufion en avait la prétention, savait t'il que le rester il fallait avoir de la trempe pour cela, il n'avait pas su protéger ses hommes, il n'était pas un capitaine, tout juste un mercenaire.Trahison...elle en acceptait le terme et les conséquences, qu'importe pourvu que ses hommes sortent de la, trouvent de quoi se nourrir et retrouvent la force de croire en la vie, le reste, passait après....


Trouver une auberge, pour quelques temps, trouver de quoi manger, le visage fermé elle parcourt les ruelles, des regards se portent sur elle, des chuchotis, aura pas un français ici, Lanfeust bon sang tu es ou....

taverne Oustalarié Provencau

Rien que le nom de la taverne lui fait bien comprendre qu'elle n'est pas chez elle, elle entre et commande de quoi boire, pour aller s'installer dans le fond, mais déjà un homme s'amène, cela doit être marqué sur son front d'où elle vient, bien décidée a l'ignorer il commence,il sait son nom , il en sait beaucoup, le commérage elle pensait que c'était réservé au lavandière de Polignac, apparemment ici ils nomment ca 'le ficanassage' mais ca marche aussi, sa choppe a la main elle brûle de lui envoyer a la figure, brûle de repartir d'où elle vient, les insultes fusent de chienne a catin, vive le Sud.....


Écrire, pour ne plus entendre, et se refermer dans son monde,il s'énervera tout seul, puisque apparemment il a pas l'air de s'arrêter, elle sort de son sac de quoi écrire, premier courrier pour se mettre a disposition des autorités.


Citation:
Marquise Hersende

Me voila comme convenue, bien arrivée sur Aix, charmant village, charmant accueil, charmant villageois, j'espère que mes amis son déjà loin en ces terres bien engagés vers Arles, d'autres personnes partiront bientôt, le temps de panser quelques blessures, je prendrais une chambre a l'auberge municipale, le temps que le procès commence, vous savez donc ou me trouver.

Aristote peut être témoin, c'est pas lui qui nourrira mes hommes

respectueusement

sofio dame du Mercurol


Referma son pli, le remettra plus tard, peut être en passant devant le château elle même, toujours le même sentiment qui la tiraille, le jour vient de se lever, certains doivent être encore en route, la route menant a Arles est longue, elle espère un pigeon, une nouvelle, repense a son engagement, rester sur Aix jusqu'à ce que le dernier de ses hommes partent de Forcalquier, bon sans raianui, t'as ps intérêt a tirer au flanc et te magner a cicatriser, finalement elle appercoit un môme qui livre les journaux, lui file quelques écus, et lui remet le pli pour la marquise,puis retourne s'assoir au fond de la taverne.


Alors, c'est toi la catin de memento?

gros soupir, purée les journées vont être longue en cette terre de Provence, elle va attendre ici, hersende enverra peut être quelqu'un.
_________________
--_levoyeur
Levoyeur n'en revenait pas , devant lui se déroulait une scène qu'il n'aurait jamais pu croire s'il ne l'avait lui même vu de ces propres yeux .
Une femme , désarmée et portant drapeau blanc se faisait littéralement assassiner devant lui .

Il entendit le capitaine crier son nom : Nadaelle !
Il fallait absolument qu'il contacte la Dame Sofio pour lui faire part de tout cela .

Attendant que tous cela se termine , il partit de fourrés en fourrés pour entrer dans Aix et se mit à la recherche de la Dame .

Il n'eut pas longtemps à la chercher , la voyant au fond d'une taverne . Il entra précipitamment .


Dame .......Dame Sofio .............
Il faut que je vous raconte


Raconte du moment que ta bouche ne porte pas d'insultes .

Je reviens de sur les chemins , j'y ai vu quelque chose d'épouvantable .......

L'homme avait du mal à parler , il était encore sous le choc .

Je l'ai vu , elle était seule , désarmée et portait un drapeau blanc .

Le capitaine de l'armée , la cigale furtive , il a donné l'ordre ..........


Il vit la Dame serrer les poings et les dents .

De tuer Nadaelle !

L'homme baissa la tète n'osant regarder de face la Dame dont la colère se faisait sentir .
Vero5
[Taverne Oustalarié Provencau]

Arrivée tardive... la nuit, les cris l'attire,
Perplexe bavarde volubile,
La Barbouilleuse perdue dans ses songes
La Provence...innocence

S'ensuit l'interrogation... des mots sales.
Regarde la rousse la reconnaitre à peine
Transformée.. la voire défaite
Sentir sa douleur, ne pas en comprendre le sens.
La mâchoire serrée, face à des humiliateurs.
Si elle se trouve la ...c'est que ...que
Vero n'ose pas s'en renseigner directement
Si jamais c'est ce qu'elle pense, inutile de prendre une rame pour fouillé ce qui doit déjà faire un mal de chien.

La salut, sans haine. Comme elle l'avait accueilli...
écoute ses compagnons de taverne
Libérer leurs haines, de leurs peurs.. se rabattre sur celle qui s'expose
avoir honte du peu de tenu si humain
Pourquoi pas la lyncher directement

Essaye de trouver un moyen de calmer...sourire en coin
La barbouilleuse affiche ouvertement son amitié, en faire trop ...marquer
Voila qui va faire réfléchir, espérons le...

Demande de Sofio envers celui qui lui a rendu visite
Arrivée du Prince
Sentir le poids, sentir le poids de la déception, d'une attente fracassée.
Observe et se trompe peut-être.
Percevoir encore une douleur
Proposer un refuge.

L'observer encore du coin de l'oeil, la laissé dans les méandres de ses réflexions.

La regarder partir dans la nuit
Glacée, seule, le poids de sa décision l'écrasant.

Laquelle? la fada de Marseille le saura..

_________________
Hersende
Chateau d'Aix, nuit du 15 mars 1458

Hersende fut réveillée par des voix devant la porte de sa chambre. Pour une fois, profitant de la trêve dominicale, qu'elle passait la nuit dans un vrai lit, il fallait qu'on vînt interrompre son sommeil... Elle ne parvenait pas à distinguer les paroles mais apparemment le garde en faction devant sa chambre refusait de laisser passer l'importun et le ton commençait à monter entre les deux hommes.

Hersende se leva et alla elle-même ouvrir la porte pour savoir ce qui se passait.

Elle se trouva face à un soldat de la Cigale furtive, qui interrompit aussitôt ses exclamations et rectifia sa position en présence de la Marquise. Mais tout dans son attitude dénotait une grande agitation et le besoin pressant de communiquer les informations qu'il détenait.


Que se passe-t-il, soldat?

Votre Majesté, commença-t-il fièrement, les Français ont tenté la même tactique que la semaine dernière de s'approcher de nuit d'Aix pendant la trêve. Les armées devant la porte principale de la ville, la votre et celle de dame Lila, ne les ont apparemment pas repérés, mais un de nos hommes qui était de garde dans la tour du château, ayant regardé à l'extérieur, les a aperçus alors qu'ils avançaient. Aussitôt un de nos archers en a abattu un et quelques hommes d'armes sont sortis par la poterne ouest pour éliminer les autres!... Victoire complète!

Voyant l'air horrifié d'Hersende au fur et à mesure qu'il parlait, il poursuivit rapidement :

Mais ce sont eux... qui ont rompu la trêve... heu... ils sont venus... nous attaquer?... Sa voix perdait de l'assurance.

Hersende explosa :


Quelle abomination! Vous avez combattu des Français cette nuit devant Aix? mais ce n'était pas votre secteur de garde!... Je m'étais engagée devant Aristote à leur laisser le libre passage! Vous, vous ne devez garder que l'intérieur de la ville. Evidemment que les armées de Lila et la mienne ne les ont pas interceptés, elles avaient des ordres!
Vite conduisez moi à leur chevet! Comment obtenir leur pardon et celui du Très-Haut? J'avais juré...


Sa voix trahissait sa douleur. Le poids qu'elle portait au cours de cette guerre s'alourdissait. Déjà Ewaele et Grimoald, frappés par erreur, là d'autres victimes qui avaient tenté de passer, sans doute confiantes dans la parole donnée... Et en tant que chef de guerre, c'était elle la responsable... Rien ne l'avait jusqu'ici préparé à affronter une telle culpabilité. Tuer des ennemis en combat loyal, elle s'y était difficilement résignée, mais tuer des gens désarmés ou ne recherchant pas le combat, trahissant sa parole...

Comme elle attendait visiblement que le garde la conduise auprès des victimes, celui-ci commença à se recroqueviller et balbutia :


C'est que... Votre Majesté... ils ne sont plus là...

Comme Hersende le regardait sans comprendre, il poursuivit péniblement :

Ben... on les a mis dans un chariot... et on les a renvoyés... Il avala difficilement. ... à Forcalquier...

Quoi? à Forcalquier? Où je ne peux même pas me rendre, les armées ennemies me barrant le passage? Et Sofio? elle est arrivée indemne en ville? Je suppose que oui, elle devait se présenter à la porte principale.

Hersende se tourna vers le deuxième garde, celui qui était en faction devant sa chambre.

Allez vous renseigner sur l'arrivée de la Dame de Mercurol à Aix. Si elle est en ville, qu'on m'indique l'endroit où elle se tient, j'irai lui rendre visite. Faites aussi chercher mon secrétaire. Je dois envoyer des missives à Forcalquier pour les victimes de cette nuit afin qu'on leur assure des soins.

Son énergie coutumière n'était qu'une façade. Au fond d'elle, quelque chose s'était brisé et cette fissure n'était pas prête de se refermer.
_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Hersende
Yvain arriva rapidement. Hersende qui avait juste eu le temps de se faire vêtir par sa chambrière, lui indiqua la table où le jeune homme s'assit, sortant sa plume, son encrier et plusieurs feuilles de parchemin.

Nous avons beaucoup de courrier à faire, Yvain. Je suppose que vous avez déjà appris la situation... La première lettre sera pour le Duc de Souvigny Lanfeust :



Votre Grâce,

Dame Sofio de Mercurol a demandé que nous laissions ses hommes quitter la Provence et nous avons répondu favorablement à sa requête. Afin de garantir qu'ils partent réellement, elle a accepté de rester à Aix sous inculpation.

C'est avec grand plaisir que la Comtesse Ledzeppelin et moi-même vous accueillerons en Provence dont vous vous êtes toujours montré l'ami.

Qu'Aristote protège votre route!




Inutile pour l'instant de l'avertir de la catastrophe qui s'est produite ce soir, je préfère la lui annoncer de vive voix. On dit pourtant qu'avouer ses fautes est plus facile à l'écrit...

Hersende poussa un long soupir. Yvain qui la connaissait bien pour avoir travaillé à ses côtés depuis bientôt deux ans, sentit combien elle était fragile en ce moment, encore sous le coup de la nouvelle.

Mais elle reprit :


Les 3 suivantes pour les... victimes de cette nuit. Vous avez pu savoir de qui il s'agissait?

Oui, Votre Majesté. Il s'agissait de Nadaelle, Theognis et Luwangel. Par contre, je suis allé également me renseigner à la porte principale : Dame Sofio serait bien arrivée et aurait pris une chambre à la taverne municipale. Par ailleurs, certains Français ont pu passer indemnes cette nuit. Ils se sont signalés aux gardes et ont pu franchir nos lignes sans encombres.

Hersende respira un peu mieux. Une partie de l'engagement avait donc été respectée... mais pour les autres...

Donc écrivez, Yvain, puis vous recopierez ce courrier pour les deux autres destinataires.



Dame Nadaelle,

Au mépris de l'engagement que j'avais pris, mes hommes vous ont frappée. Tous ceux qui étaient de faction devant Aix avaient reçu ordre de vous laisser passer, mais les soldats cantonnés dans Aix qui ne devaient pas croiser votre route, n'avaient pas été avertis. Ce sont eux qui vous ont repérés et ont réagi comme à une attaque.

Je ne peux que vous adresser mes excuses, même si je sais que c'est bien peu. J'ai failli et j'en porte le poids. Que puis-je faire pour atténuer vos souffrances?





Une dernière au maire de Forcalquier, Monfort



Monfort, mes salutations,

Alors que nous voulions soulager votre ville de la présence française en acceptant le départ des hommes de dame Sofio du Mercurol, certains de ceux-ci ont été gravement blessés, en dépit de l'engagement que j'avais pris, lors de leur passage à Aix et ils ont été rapatriés dans votre village.
Je vous demande instamment de bien vouloir leur faire prodiguer des soins et de veiller à ce qu'ils soient nourris le temps de leur convalescence. Ils ont affirmé cesser les combats.
Pourriez vous également leur faire parvenir les courriers que je joins et qui leur sont destinés?

Avec toute ma gratitude,


Envoyez cela rapidement à Forcalquier, Yvain.
_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
--Lanfeust_
Un pigeon était arrivé en réponse au sien, celui-ci scellé du sceau de la Marquise Hersende. Il la relut deux fois, ainsi les compagnons de Sofio voulaient repartir et elle s'était rendue à Aix pour être inculpée...

Le Duc rouquin allait devoir user des ses talents et de ses relations pour tous les faire sortir sans encombre. C'est accompagné de gardes qu'il quitta donc Souvigny pour se diriger à nouveau en Provence, prenant avec lui ses lettres de créances et la lettre d'Hersende pour arriver à Aix sans soucis.

A nouveau en direction de la Provence, il ne pensait pas que cela serait arrivé si tôt et surtout durant cette guerre interminable ou personne ne gagnait.


Aix, capitale de Provence...


Quel voyage difficile...Arrêtés tellement souvent, il avait montré ces lettres de créances à des troupes françaises et provençales plusieurs fois, on sentait la tension de la guerre mais aussi l'exaspération et la fatigue des homme set femmes qui combattaient.

Il put enfin entrer dans la ville espérant ne pas se faire lyncher par des habitants mécontents. Il se rendit donc directement au château d'Aix pour rencontrer la Comtesse Led ou la Marquise Hersende.

Le Duc se présenta donc à la garde, lettre de créance à la main et une fois à l'intérieur, il exprima alors sa requête.


Bonjour, veuillez annoncer que l'Ambassadeur du Bourbonnais Auvergne se trouve ici et qu'il requiert une audience auprès de la Marquise et de la Comtesse.

Il patienta ainsi jusqu'à être reçut par les deux dames qui dirigeaient le MAO et la Provence.

Lanfeust demanda alors de quoi écrire sachant Sofio à Aix.


Citation:
Sofio,

Je suis arrivé à Aix et me rend au château pour rencontrer la marquise et la comtesse.

J'ai appris que tu voulais faire sortir tes compagnons et que tu te retrouvais en procès.

Je ferais en sorte de tous vous faire sortir de là.

Lanfeust
_ninon
Un droit de passage en échange de...
Arff, ça, c’était encore une des idées épiques de la rousse.
Ou comment cuisiner les emmerdes, façon Sofio.

Comme disait une de leurs compagnes, ils étaient venus, ils avaient vu et n’avaient pas vaincu. Ni perdu d’ailleurs.
‘fin si. Ils avaient perdu l’entrain du début, celui qui les animait durant la période de folie qui avait suivit leur arrivée en Provence. Dans cette armée peuplée de mercenaires venus de tous horizons, arche étrange et loufoque, ils s’amusaient, coupé de la Provence et de la guerre par le changement de statut de la ville d’Arles qu’ils avaient pris dès leur arrivée.

Et ils attendaient…


Comment ? Quoi ? Qu’est-ce qu’ils attendaient ? Bin… M’enfin ! Le signal tiens ! L’ordre de foncer sur Aix, simple formalité, pour ensuite filer sur Italie se remplir les poches. Pourquoi vous riez ? Gné ? Des crétins ? Eux ? Nous ? Heu… Bah voui, j’avoue, on y a cru avec la So.


On s’voyait déjà en haut de l’affiche
en dix fois plus gros que n'importe qui nos noms s'étalaient
on s’'voyait déjà adulées et riches
congédiant d’un signe nos admirateurs qui se bousculaient



Et nous attendions…

Mouais, bin l’Italie on l’a pas vue ! On a jamais vu Aix non plus, d’ailleurs ! Par contre, les chemins de Provence, ça, on connaît bien !
Mais l’armée se vidait peu à peu, on en perdait par ci, on en écrasait par là… Et, finalement, par un beau matin ensoleillé, on est arrivé dans le trou du cul du monde. Forcalquier !
Là... C’est tout simple. Si t’as faim, tu bouffes du bois, parce que… A rin d’autre.
Si, si, comme je vous le dit ! Mais en plus ! On avait passé Aix ! Héhé… coincés qu’on était ! Pour revenir… Bernique ! On était plus assez ! Et pîs… J’en avais marre, mais marre ! Z’avez pas idée ! Et je l’ai dit, je l’ai crié… Je veux partiiiiir ! Bientôt qu’il disait, bientôt… Mouais, bin en attendant, sont toujours là, hein !
Alors… bin me suis cassée… La So, elle m’a accompagnée un bout de chemin puis elle m’a dit … Heu... je sais plus ce qu’elle m’a dit, mais on s’en tape, hein ! Bref, je suis partie, entrée dans Aix, fait un ti tour au marché comme si de rien n’était… et ressortie comme une fleur sans personne pour m’arrêter !
Et pis tout le monde à voulu faire pareil… Normal, le bois, c’est indigeste, pas vrai ? Et puis la So, elle a cogité dans son cerveau, savez qu’elles sont deux dedans ? Non ? Maintenant, vous savez. Et elle a rien trouvé de mieux que ça ! CA ! Ce fichu droit de passage en échange de !

Bon… Pas tout ça, mais je dois encore lui écrire à ma capi. Allez, tchô la cigale ! A la non revoyure !

Citation:

Ma So,

Ma folle dingue de Soso…

Peux-tu m’expliquer comment tu en es arrivée à avoir ta tête mise à prix dans tous les camps présents en Provence ?
Où que je regarde, où que je me trouve, je ne vois et n’entends qu’une chose… Que tu es l’ennemie publique numéro un.
Comment t’as fait pour que chacun croit que tu es dans l’autre camp ? Ils veulent tous te tuer !

Ah pour être en haut de l’affiche, t’y es, ça c’est certain ! Ta tête est placardée partout. Pour être célèbre, tu l’es, aussi ! Sauf que c’est pas parce que t’as les poches pleines et que les gens t’aimes pour tes écus.
Et comment tu vas sortir du guêpier dans lequel tu t’es fourrée ma belle ? Même si les dirigeants des cigales te laissent sortir comme promis, ils doivent bien se marrer en sachant que tu ne feras pas trois pas sans te ramasser sur le râble tous les crétins qu’ont rien compris. Et ils s’en laveront les mains. A moins que tu n’aies négocié ton escorte jusqu’à la frontière, lorsque viendra le moment de ta libération ?

Je viendrais bien te chercher, mais à nous deux, je ne suis pas certaine qu’on leur tiendra tête longtemps. Je crois qu’il faut essayer de trouver autre chose. Je vais écrire à Lanfeust, j’espère qu’il pourra t’aider de par son statut diplomatique.

Nous quittons la Provence, Way, moi, tous, puisque nous y sommes contraints, pas que nous ayons envie de rester, certes non, mais quitter sans toi, ma rousse mie, voilà qui n’était pas prévu.
C’est très difficile à accepter.

Fais-en leur voir de toutes les couleurs, crache, pète, rote, mange avec les doigts, en bonne noble que tu es, qu’au moins ils soient satisfaits dans leur petitesse d’esprit de taper sur la bête immonde que tu es à leurs yeux.

Je ne t’embrasse pas, même si je t’aime, j’ai pas envie de te bécoter, des fois que tu serais en manque d’Azou.

Je croise les doigts pour ne jamais apprendre que tu bouffes les pissenlits par la racine.

Reste en vie So, tu me manquerais trop sinon.

Ninon


La brune roule le vélin, prépare un nouveau et trempe sa plume dans l'encre, la langue entre les dents en signe d'intense concentration.

Citation:
Mon cher Lanfeust

Je suppose que tu dois être au courant qu'un bande d'Auvergnats un peu fous c'est embourbée dans une guerre aux tenants et aux aboutissants quelque peu étranges.
Je n'ai toujours pas tout compris après presque six semaines de présence et je ne cherche plus, je l'avoue.

Si je me permets de t'écrire, c'est parce que notre Sofio, tu la connais, fait jamais rien comme tout le monde, elle, s'est mise dans une situation inextricable.

Ce n'est pas compliqué, tout le monde veut sa mort. Tu trouveras ci joint une des affiches placardées partout en Provence.



Alors, en gros... Il semblerait que Namay veut sa peau pour s'être constituée prisonnière, Gmat, parce qu'elle était avec Namay, les provençaux pour avoir cessé le combat plus quelques amoureux éconduits qui semblent s'être perdus dans la cohue.

Je dois quitter le sol provençal car notre Sofio s'est constituée prisonnière auprès de la marquise en échange de nos vies et de notre départ immédiat.

Pourrais tu me la sortir de là, s'il te plaît ? Vivante, de préférence. Je ne vois que la diplomatie pour y arriver. Et à mes yeux, la diplomatie, c'est toi.

Au plaisir de te revoir un jour

Ninon


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Sofio
De courriers en porteurs de messages, de larmes en espoirs, quoi croire.....

Le nache bien campé dans la taverne , attendre,voir du monde, parler communiquer, la pluie, le vent, les cultures qu'importe, seule distraction qui lui arrache le sourire, le courrier de Ninon.
va ma belle, part avec ton breton, on se reverra, Nul ne peut sortir ce que nous deviendrons


Et l'attente commença, parfois en taverne il suffit simplement de tendre l'oreille pour en apprendre plus que dans tous les États major possible, les moments de longue solitude ne faisaient que commencer, épongeant la question du regret du geste comme on chasse d'un geste le moucheron agitateur....4 encore 4......pensant a ses hommes restants.

Des rumeurs d'armées naissantes, des retours d'italiens, elle préférait s'abalourdir de boissons douteuses, pour en avoir la tête qui tourne, et les souvenirs qui remontent, penser tout haut elle adore, ca lui fait croire défois que les gens l'écoutent, parce que ca fait un moment que plus personne l'écoute alors ca lui rappelle des souvenirs, même que parfois elle va voir son reflet au bord de l'eau pour se causer comme ca, enfin bon ca c'est surtout les soirs de grande solitude, ou de grande beuverie, parlant de beuverie il est ou le taulier, arff pas gagné tout ca, c'est pas les malheureuses torches qui illumineront sa journée.


Pas de lacs, ici, pas la mer, c'est pas comme ca qu'elle arrivera a noyer ses longues heures, les langues se délient, parfois l'ambiance frôlerait la sympathie, un inconnu lui a proposé de lui écrire, pour la distraire, et vero essaye de la dérider, pas gagné.....

Et s'embrumer encore, ivre de sensation les plus folles,chope après chope, que nafout, toute façon personne pour sentir son haleine, bon sang le prochain pigeon elle lui tordra le cou, elle trépigne d'impatience, en fulminant , remuant ses idées les plus folles , celle du moment, celle que l'on peut avoir quand l'alcool dirige et que on pense refaire le monde, toute son ivresse a même pas le gout du plaisir, juste de l'abandon total.
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