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[RP] Taverne du Poney qui Tousse...

Finute
[Domaine de la Casa Aussonà, Bureau d’une Comtesse]

Regarder une nouvelle fois sa robe, prête pour le mariage mais le regard qui brillait encore d’incompréhension. Si sa vie se résumait à entendre des rumeurs, peut être fondées, sur la vie de son futur époux, à ne le voir que rarement, à le savoir loin… ne valait-il pas mieux partir ? Voilà qu’elle entendait ses sœurs Dames Blanches parler de séquestration… mais cela ne sera point possible, à moins de s’y mettre à plusieurs.
Déjà, elle avait bien crue qu’elle allait avoir quelque chose durant l’entrainement qu’elle avait concocté pour les Blanches. Entrainement de quatre jours qui avait bien failli lui coûté une partie de son visage. En effet, une belle cicatrice se dessinait sur sa joue gauche, de son nez jusqu’à l’oreille.

Revenue de ses quatre jours épuisée, la Brune pris les missives que lui tendait l’une des servantes et montait dans son bureau. Refermant bien la porte derrière elle, elle allait s’installer à son bureau, déposant missive sur le bureau tout d’abord, se servant un verre de vin rouge ensuite.
Première missive entre les mains, une réponse du Grand Maréchal du Logis, soit.
Deuxième missive, une réponse pour une demande.
Troisième missive… un sceau qu’elle reconnaissait, qui certes n’était pas le bon, mais elle le connaissait.

Une hésitation avant de l’ouvrir, était-est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Une respiration suivie d’une forte expiration. Après ces quatre derniers jours, que pourrait-il arriver de pire ?


[Suite]

GAAAAAAAAAAAAARRRRDDDDDDDEEE !!!!!!!!!! Je veux voir tous les vassaux et amis de la famille au "Poney qui tousse" et tout de suite ! Allez prévenir les intéressés et ce, au plus vite !

La Brune s’était d’abord assise en lisant les missives. Elle n’en avait cru un mot avant de relire une deuxième fois. Voici donc la raison de son retard… et de sa non-réponse à sa missive…
- Grrr… pourquoi ça n’arrive qu’à lui !
- Il vaut mieux, ma dame, que cela arrive à lui plutôt qu’à vous, répondait un valet.
- Et Sept Mille Ecus… je pensais qu’il valait bien plus que cela.
- Il faut croire que non ma Dame…
- Je vais de ce pas au Poney, si l’on me cherche je ne suis point disponible.
- Bien ma Dame, à vos ordres ma Dame.

Un arrêt pour se changer, enlever ses habits sales de guerrière pour les remplacer à ces habits moins pratiques de Comtesse…
Le bruit du tissu sur le sol émettait un léger bruit. L’on pouvait entendre chacun de ses mouvements.
La mâchoire était crispée, non elle ne pleurait point, elle n’avait de larme que pour la mort, or là, il ne l’était point. Elle était juste énervée… à une semaine du mariage en plus….


[Casa – Poney…]

Quelle idée de se faire avoir comme un enfant… et quelle idée de partir aussi proche d’un mariage ! grommelait-elle entre ses dents tout le long du voyage…
Son cheval arrêté devant la taverne, la Brune descendait sans difficulté, puis elle entrait dans la taverne encore vide. Elle était arrivée bien avant les autres apparemment, il ne lui restait plus qu’attendre, lisant une énième fois la missive.

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Ioz
La missive de Finute arriva à l'adolescent, rendez-vous au Poney qui tousse, un lieu public ? Bah, après tout c'était la Comtesse qui décidait.
D'après la missive d'autres personnes allait venir surement les vassaux de Flex, ses amis -dur à trouver-, et la famille du Vicomte -mais en avait-il au moins ?- à y réfléchir l'adolescent connaissait peu de choses à propos de la vie très privé de son suzerain. Il s’estimait pourtant assez proche de lui que la plupart des personnes de l’entourage du Vicomte.
L’adolescent prit le chemin du Poney qui tousse. Le jeune seigneur s’en voulait toujours d’avoir failli à sa tache de protection envers son suzerain, si seulement celui-ci était moins têtu et borné…
Il avait heureusement reçu de bonne nouvelle de la part de la garde royale qu’il s’empresserait de donner à Finute.
Quelqu’un semblait déjà présent dans la taverne, sûrement la Comtesse, il allait surement devoir lui donner ses excuses, le jeune homme appuya sa main sur la porte et au moment de la pousser il s’arrêta, ferma ses yeux quelques secondes pour se préparer et poussa la porte.
La personne présente était bien Finute, il la salua :


Le bonjour Comtesse...Désolé d'avoir failli à ma tâche, j'apporte heureusement de bonne nouvelles.

Il tendit la lettre cacheté du sceau, maintenant brisé, de la capitaine de la garde royale.

J'ai...euh...pris la liberté de la lire avant.avoua l'adolescent dont la curiosité avait encore fait son effet.
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Finute
Faire les cents pas... à vrai dire, il ne lui restait plus que cela à faire : les cents pas.
L'attente lui semblait être une éternité. Les gardes avaient mit du temps à chercher les personnes demandées, certainement. Chacun se trouvant de part et d'autre du Comté et elle qui demande à les voir... Point simple.

Et pourtant, elle ne s'étonnait pas de son comportement. Habituée à plus de travail sur elle-même par rapport à des cas comme celui-ci, le fait que ce soit son fiancé qui soit enlevé...
Après tout, elle se doutait qu'un jour ou l'autre il arriverait une telle chose, certes elle ne s'attendait pas à une semaine du mariage recevoir une missive la prévenant de cet enlèvement... Ainsi jamais ils n'arriveront à se marier... Serait-ce un signe ?
En réalité, l'on pouvait imaginer tellement de chose par rapport à ceci... Et puis, il était un fait que Flex était convoité, attendu par beaucoup de brigands.

En donnant rendez-vous ici, elle savait qu'ils seraient tout de même tranquilles. Le Poney était bien fréquenté, mais à certaines heures il n'y avait que peu de monde. Et rien ne serait des plus confidentiels. De plus, seuls ceux présents sauraient ce qu'ils se serraient dit.

Dos à la porte, elle se retourna lorsqu'elle avait entendu son grincement. A la vue du jeune seigneur de Saint-Laurent, son visage s'essayait à un sourire. Moment néanmoins difficile pour sourire.
Une inclinaison de la tête, les mains jointes sur sa robe, elle l'écouta.
Le mouvement de sa tête lui signifiant qu'elle n'était pas vraiment d'accord sur ce qu'il disait.


Seigneur de Saint-Laurent, ravie de vous voir... Et point la peine de vous excuser... Je suis sûre que vous avez tout fait pour empêcher cet enlèvement... Était-il avec vous lorsque... ceci c'est passé ? Non... que s'est-il passé pour qu'il se soit fait prendre... ?

Beaucoup de questions sans réponses trottaient dans sa tête. Ce qui semblait tout à fait normal.
La Brune s'avançait en direction du jeune seigneur tandis que celui-ci lui transmettait une missive.
Elle reconnaissait le sceau, bien que brisé, du fait qu'elle avait déjà vu cet forme de blason ainsi qu'un tel sceau dans les archives de Sigillant & Estampes.

Les premières lettres qu'elle lisait...

En même temps... Elle vous était adressée... Vous pouviez prendre toutes les libertés que vous vouliez avec cette missive...
Continuation de la lecture... Soit, la nouvelle était des plus plaisantes mais ne suffisait pas à la Brune.
Bien... si eux au moins participent à l'enquête... c'est une bonne chose.
Et n'avez-vous point reçu d'autres informations ?...

Comment ceci a t-il pu arriver....

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Vonafred
Le "Poney qui tousse"...Etrange lieu de rendez vous, mais le garde portant livrée du Fleix avait été fort clair...La Comtesse souhaitait voir le Baron là bas.
Le Capitaine s'y rendit donc en petit équipage, voyageant à bride abattue.
Plantant son Aide de Camp Wolf devant la porte de l'établissement.

-Personne ne rentre hormis les vassaux ou la famille.
Il poussa la porte...

Finute se tenait au milieu de la pièce, elle conversait avec le jeune Saint Laurent...
Adressant un signe de tête à Saint Laurent en guise de salut.

-Comtesse mes hommages, j'ai fais aussi vite que j'ai pu.
Sachant pertinemment le pourquoi de cette entrevue il hasarda cependant une question de pure forme.
-Vous souhaitiez me voir je crois.
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CANA,au service du Périgord Angoumois.
Ioz
La Comtesse se montra compréhensive, l'adolescent se sentit un plus soulagé, il ne le serait surement pas autant devant le Vicomte, il en devenait presque anxieux -ce qui se voyait sur son visage cerné- les nuits blanches se faisait plus fréquentes, l'image du Vicomte le hantait.
Il imaginait son sauvetage, mais malheureusement qui se terminait mal.
Le jeune seigneur espérait que tout se déroule bien, il faisait du mieux qu'il pouvait pour aider.

Mais Finute posa la question qui faisait rechigner l'adolescent.


Je pense que faire le récit quand tout le monde sera la serait plus progitable.

C'est à ce moment que Vonafred arriva, l'adolescent se tourna vers lui, encore un à qui il devrait surement faire des escuses.
Il rendit son salut à Pringonrieux, et l'écouta, celui-ci était toujours aussi direct, c'est un des côté qu'il aimait chez les militaires, la franchise...

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Finute
Il n'était point facile de se faire entendre en tant que femme au milieu des hommes, encore plus si l'un des hommes était le futur époux et qu'il l'avait trompé ou la trompe encore. Telles seraient donc les raisons que ses sœurs la pousse à ne point se marier.
Son honneur et sa fierté avaient été souillés il y a peu de temps, causant presque la mort d'Enguerrand. Elle se devait de se taire, tel serait son destin en restant avec lui. Se taire et mourir à petit feu.
Ou ! Le laisser faire et continuer sa vie de son côté, ce dont elle pensait de plus en plus. A quoi bon attendre un fantôme. Il y a tellement d'homme en ce Royaume.

Mais dans le cas présent, l'aspect de l'enlèvement et des menaces n'enchantaient guère la comtesse. Et elle se doutait que le tout prendrait beaucoup de temps avant que le Comté ne fasse réellement quelque chose. Au moment de sa présence dans la taverne elle ne savait rien, mise à part la missive que lui avait envoyé le Seigneur de Saint-Laurent quelques heures plus tôt.

Le visage de Ioz la laissa perplexe, peu visionnaire, elle l'écoutait tout simplement. Et de ce fait, pour avoir de plus amples informations il faudrait attendre que tous n'arrive.
Soit.
A peine le jeune garçon finissait sa phrase que la Brune tourna son regard vers le nouvel arrivant. Avec sa carrure de militaire et ses propos qu'elle préférait au verbiage long, elle reconnaissait automatiquement Vonafred.
Ni une ni deux, la Brune le rejoignait.


Baron, merci d'être venu. Votre présence me rassure en ce moment présent.
Non, ce n'était pas du baratin de comtesse, pas envers ceux qu'elle considère comme des personnes de confiance, et en Vonafred, sa confiance était totale.

Vous savez très bien la raison de votre présence icelieu. Dites-moi que vous avez quelque chose le concernant. Autre que cette.... cette.... elle souhaitait utiliser un mot péjoratif..- missive.
Mais non, utilisation d'un mot simple.
Son regard allait de Ioz à Vonafred.

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Azura_xiloscient
Azura, ou du moins si cela était vraiment son nom, elle n'était plus sûre de rien à présent, marchait à travers les ruelles de Périgueux. Elle était venu faire un tour dans cette ville suite aux révélations que lui avait fait Louis Vonafred de Dublith lors des allégeances comtale. es mots qu'il avait dit lui tournait encore dans la tête, bien que tout semble encore flou et embrouillé. Il lui avait dit que Flex... Louis Enguerrand Perceval... était peut-être son père... Non, l'avait-il vraiment dit, ou simplement sous -entendu ? Elle ne savait plus... Tout ce qu'elle pouvait savoir à l'heure actuel, c'est que le désir de voir cet homme pour lui dire ses quatre vérités s'était mué en recherche de ses origines...

La première chose à faire pour éclaircir tout cela était quand même de venir à Périgueux, sont lieu de résidence. Elle avait donc décidé d'abandonner sa paroisse pendant quelques jours afin d'essayer de lui parler directement. Elle n'avait pas osé faire cela quand elle n'avait que colère envers lui, le Très-Haut lui pardonne. Mais maintenant que la curiosité avait pris le dessus sur tout autre sentiment, à part peut-être l'appréhension, elle n'avait pu résister à entreprendre ce voyage. Mais une fois arrivé à la capitale, elle s'était rendu compte que la tache serait bien plus ardue que ce qu'elle avait pu imaginer... La ville était grande... immense même. Comment trouver un homme au milieu de tout ce monde ? Heureusement, Flex n'était pas un inconnu. Elle avait assez réussi à savoir qu'il tenait une, si ce n'est la, plus ancienne taverne de la ville. Avec un peu de chance, en s'y rendant, elle pourrait le rencontrer...

Mais il lui avait bien fallu trois jours pour enfin se décider à y aller. L'appréhension était trop grande. Et si elle n'avait fait que fantasmer tout cela ? Ce lui serait insupportable. Mais elle finit tout de même par prendre la seule décision raisonnable : mieux valait savoir que de rester éternellement dans le doute. Prenant son courage à deux mains, elle prit la direction de la taverne.

Un embranchement, puis l'autre, et ainsi de suite... Elle arrive finalement en vue du bâtiment. Mais un coup d'oeil rapide lui fit voir qu'il y aurait un nouvel imprévu. Un homme armée se tenait devant la porte de l'établissement, semblant bien décidé à ne laisser entrer personne. Ca, ce n'était vraiment pas bon... Tentant de détailler un peu l'ordre, elle fit plus attention à sa livrée. Il lui semblait l'avoir déjà vu quelque part. Mais elle n'arrivait pas à souvenir où. Ah mais si ! Qu'elle était bête ! Cet homme qui l'avait renseigné lors des allégeances, ce Louis Vonafred, c'était sur lui qu'elle l'avait déjà vu. Sa poitrine se libéra un peu. Il était peut-être simplement venu rendre visite à son cousin. De plus, il saurait bien mieux comment aborder le sujet avec lui qu'elle-même. Bon, il ne lui restait plus qu'à se lancer maintenant.

D'un pas timide, la tête un peu baissé, elle se dirigea vers la porte de l'auberge...
Gadzelle
Un garde passa. Perchée sur les remparts, de sa position favorite, elle avait passé la journée à réfléchir et à surveiller le passage par la porte principale. Quelques unes de ses petites mains surveillaient les autres entrées, connues et inconnues de la population honorable de la capitale. Des yeux elle le suivit, cela faisait beaucoup plus de soldats qu'à l'accoutumée...
*Swiiit!* Le signal. En quelques mouvements, Gadzelle descendit les marches et alla à la rencontre du garçon qui l'attendait dans l'ombre.

Alors?
Plein d'gardes en ville, certains courent, d'aut' fouillent les rues on dirait. Sont pas de la ville, trop maladroits. On a vu du beau monde près du fumeur.
Mmmh. du beau monde comment?
Comtesse, un puant, et l'Pingouin.
Tu sais que je n'aime pas quand tu nous appelles 'puant'.
Pff tout de la m'chaussée, ça pue par chez vous.
Continuez, dis aux autres que je double le tarif cette nuit. Vérifie qu'on ne s'approche pas du 'fumeur', restez discret.


La brune connaissait les noms qu'utilisaient les coquins pour désigner les tavernes de la ville et dirigea ses pas droit vers la taverne du borgne, le 'Poney qui tousse'. Furieuse de la lenteur du conseil comtal, elle n'arrivait pas à rester en dehors de cette affaire.
Arrivée devant la taverne, la tableau fut intéressant à regarder. De la lumière, mais l'angle n'était pas bon pour savoir qui se trouvait à l'intérieur. Devant la porte, le chien de garde du Capitaine qu'elle détestait intensément, pour des raisons qui n'étaient connues que de peu de personnes. S'approchant de celui ci, une jeune femme avançait lentement. D'un geste discret, Wolf tirait une lame dans son dos, la fille ne semblait pas l'avoir remarqué. Pressant le pas, la brune fut près d'elle et l'aborda, faisant semblant de la reconnaître.


Oh! Comment vas-tu, ça fait si longtemps qu'on ne s'est vues!
Se rapprochant d'elle comme pour lui faire la bise, elle s'arrêta néanmoins proche de son oreille et murmura.
Je ne vous veux pas de mal. L'homme devant la porte n'est pas un tendre et il a sorti une lame. A moins que vous n'ayez de très bonnes raisons d'entrer dans cette taverne et d'être sûre de vous, je vous conseille de faire demi-tour.
Le regard interrogateur, elle se redressa.
Tu te souviens de moi? Gadzelle, on s'est rencontrées il y a quelques mois en taverne!
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--Aide_de_camp


Wolf, les sens en alerte repéra très vite la jeune femme qui s'approchait timidement...Elle devait avoir 15 ou 16 ans et son air angélique ne l'impressionna point.
Une Damoiselle qu'il connaissait parfaitement pour l'avoir vue à Prigonrieux la rejoignit et semblait la connaitre.
Une main sur la garde de son épée, l'autre dans le dos serrant une dague effilée, le soudard les observa un instant, bien décidé à obéir à son Seigneur.
Vonafred
Citation:
...Dites-moi que vous avez quelque chose le concernant...

-Comtesse, je suis sans nouvelles hormis ce torchon placardé dans toute la ville.
Le Baron jeta une affiche déchirée à terre.
-Les démarches officielles du Comte n'ont rien donné jusque là...Les Teutoniques sont sur place et d'autres arrivent, l'Ordre ne laissera jamais un Reiter abandonné.
Signe de tête vers Saint Laurent.
-Grace à Saint Laurent...
Reprenant en s'adressant à Ela.
-Aubeterre fait également diligenter une enquête...
Se faisant songeur.
-C'est tout ce que je puis vous dire.
Il songea un instant à cette jeune femme rencontrée au Château et sa quête de paternité, devait il en parler à Finute...Non ça n'était ni l'endroit ni le bon instant.
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CANA,au service du Périgord Angoumois.
Azura_xiloscient
Azura avançait doucement vers la porte. Elle ne savait pas bien ce qu'elle devait faire. Un tel homme devant le passage pouvait signifier que personne ne devait entrer... Mais bon, elle devait le faire; Qui sait si demain sa décision d'enfin savoir ne se serait pas envolée ? Il fallait mieux agir maintenant. mais elle ne savait as quoi dire ! Tout juste avait-elle idée de ce qu'il pouvait se passer devant Flex... mais présenter la situation devant un illustre inconnu était plus que gênant. Le rouge lui venait aux joues quand elle songeait à la discussion qui risquait d'avoir lieu... Comment pourrait-il la croire ?

Alors qu'elle était presque arrivée devant lui, une jeune femme surgit à ses côté et l'aborda avec effusion comme si elle se connaissait de longue date. La jeune fille eût un mouvement de recul devant cette approche soudaine d'une parfaite inconnue, laissant échappé un petit cris de surprise. Elle faillit dire à son assaillante qu'elle devait la prendre pour quelqu'un d'autre quand celle-ci, se penchant comme pour lui faire la bise, lui glissa à l'oreille :


"Je ne vous veux pas de mal. L'homme devant la porte n'est pas un tendre et il a sorti une lame. A moins que vous n'ayez de très bonnes raisons d'entrer dans cette taverne et d'être sûre de vous, je vous conseille de faire demi-tour."


De nouveau, l'incrédulité parut sur sa face. Elle avait failli se mettre dans une belle galère... Mais il fallait quand même qu'elle rentre... Elle devait savoir... cependant, elle n'eût pas le temps de répondre que déjà la jeune femme lui ayant sauté dessus continuait son discours, lui rappelant une rencontre en taverne qui ne disait absolument rien à Azura. Cependant, elle acquiesça de la tête, l'air toujours aussi dubitative. Finalement, elle releva sa figure encore un peu enfantine vers son interlocutrice et, les yeux plein d'espoir bien qu ses joues soient d'une belle couleur écarlate :

"Je... Heu... J'aurais vraiment besoin de rentrer... S'il vous plaît..."
Finute
« L’espoir ne meurt jamais » : elle aura bien des nouvelles à un moment donné… Tout du moins, c’est ce dont elle espérait. Mais elle avait une autre idée en tête et il serait difficile de la lui faire enlever. Il fallait dire que c’était sa seule manière de se sentir utile, de se sentir faire quelque chose. Ses sœurs étaient parties en mission, elle non du fait qu’elle était au conseil et voilà cette histoire. Mais elle ne s’en plaignait pas, la seule chose, elle ne pouvait que peu bouger, or, elle aimait cela : voyager.

Son regard ne quittait les deux hommes. Ah si seulement…


Oui, Sa Seigneurie m’a prévenu par missive et je suis –un peu- soulagée de le savoir dans cette enquête.

Après tout, le Comte Aubeterre était quelqu’un de très bien, et il était vrai qu’elle préférait le savoir sur cette enquête par rapport à une tout autre personne qu’elle n’aurait pas forcément connue.

Vous me dites baron que votre Ordre est sur place… Vous y rendrez-vous ? Si oui… Emmenez-moi. Je veux venir et qu’importe ce que dira le Comte. Et ce ne sera point une désertion, je me débrouillerai afin que l’enfant qui travail avec moi affiche toujours les annonces. J’ai en horreur le fait de rester ici sans rien faire.

Le regard n’était pas suppliant, loin de là. Mais il était vrai qu’elle avait toujours détesté ne rien faire quand une situation était telle. Et là, encore moins. Un mot, elle irait se changer et pourrait partir le soir même. Juste un mot : oui.
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Ioz
La discussion entre la Comtesse et Pringorieux avait un air de déjà entendu pour l'adolescent. Celui-ci faisait les cent-pas dans la taverne, il était fatigué, angoissé, mais même plus, pour la première fois de sa vie il goutait à la peur, la vrai...Celle qui tient les entrailles, qui empêche toute action, qui nous cisaile jusqu'au dénouement, bon ou mauvais...
Lorsqu'il frôla la porte il lui sembla entendre du bruit, il se doutait que l'aide de Vonafred devait garder l'entrer, bah il n'était pas le maitre du soldat.

La discussion entre Finute et Vonafred semblait maintenant s'orienter vers le voyage de secours, il lui sembla bon d'intervenir.
De plus la Comtesse avait vraiment l'air de vouloir partir.


Pringonrieux, si vous vous rendez à Bordeaux, permettez-moi de vous accompagner, je voulais y aller personellement de toute manière autant faire la route ensemble, de plus...la Comtesse serait sans doute mieux protégé.

Le militaire ne dirait surement pas non à ça, mais le jeune seigneur ne lui laissa pas le temps de répondre et enchaina, en se tournant vers Finute.

Comtesse, je pense qu'il serait bon que les personnes à l'extérieur, si elles sont celles que je pense, entre; pour que je puisse faire mon réçit.
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Gadzelle
Gadzelle en aurait presque sourit si la jeune fille devant elle n'avait pas l'air aussi... désemparée. Ses joues montrèrent une magnifique palette de couleur, du blanc au rouge pivoine en passant par le rose. Elle lui rappelait cet enfant... cet enfant qu'elle aurait pu être.

"Je... Heu... J'aurais vraiment besoin de rentrer... S'il vous plaît..."

Sur ces mots la brune soupira, les yeux fermés. La décision lui revenait... Après tout, ils étaient dans une situation pas banale, et la venue d'une jeune fille étrangère à la ville, ville qu'elle connaissait parfaitement, au Poney qui Tousse était en soi un évènement pas banal aussi. Peut être était-elle un pion dans ce jeu qui la dépassait totalement... Peut être avait-elle des informations. Et pourtant, la décision lui revenait.

Gadzelle décida de la laisser entrer. Ou du moins, d'aller affronter l'ours avec elle. D'un signe de tête à Azura pour qu'elle la suive, elle se retourna donc et fit les quelques pas qui la séparait de Wolf.


Bonsoir Wolf. Son ton était froid et calculé. Elle ne voulait pas laisser ressortir ses sentiments et tentait de se contrôler. Son corps était en travers de l'homme et de la jeune femme derrière elle. En premier lieu, son regard se fixa ostensiblement sur le bras qui retenait la lame dans son dos. Ensuite, il remonta pour se fixer dans les prunelles noires comme la nuit de Wolf.

Wolf, nous avons un problème.
Je vais vouloir entrer avec la damoiselle que voici et apparemment, vous avez reçu des instructions opposées. Voilà les choix que nous avons.
Vous me laissez entrer, et je vous assure qu'il ne vous en voudra pas.
Vous m'empêchez d'entrer, et là c'est moi qui me charge de compliquer votre petite vie. Je peux aller très loin vous vous en doutez. Surtout que je vais tenter d'entrer tout de même. Si vous me blessez, il vous en coûtera... Mais... Vous avez ordre de veiller sur moi je me trompe?


La brune voyait presque son cerveau fumer devant le dilemme.
Elle fit un pas supplémentaire vers lui et se planta là, à le fixer dans les yeux, son regard exprimant toute l'hostilité qu'elle éprouvait envers lui.

_________________
--Aide_de_camp


C'était prévisible, il fallu que ça tombe sur lui comme toujours...
Citation:
-Bonsoir Wolf...

Elle lui faisait face, déterminée à entrer...Lui faisant menace.
Le Reitre ne se démonta pas, devant le dilemme...Lâchant sa dague, il lui fit signe de reculer.


Le solide ruffian aurait aimé la percer de sa forte lame du Bayern , un mauvais sourire aux lèvres il se délecta à cette lumineuse idée.
Mais et il y avait un mais de taille...Prigonrieux le tuerai certainement...Aussi opta-t’ il pour la sagesse toute militaire du Teuton devant une femme...Il céda...

-Che vais demander inztruczions à mon Seigneur adendez là Damoiselle.


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