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[RP]Feu de camp, armées françoises...

Arianrod
Bonjour à vous chers joueurs, joueuses, c’est un rp privé, mais ouvert à qui veut participer du moment qu’il fait parti des armées françaises. Ce rp à un sujet bien précis ou tout du moins un but bien précis. A qui veut participer c’est avec grand plaisir, un mp, j’explique et hop bon jeu !!





Remontons un peu dans le temps,


Il y a quelques mois maintenant, Arianrod avait rejoins les troupes, des amis, des proches, pour aller combattre les Lions de Judas, croisade fut mise en place. La Bourgogne, duché qu’elle appréciait, elle s’y sentait bien à chaque fois qu’elle frôlait son sol, mais y avait elle réellement sa place ?! La Baronne n’arrivait pas à trouver un lieu ou elle aimait rejoindre, se reposer loin de tout, sauf Ouillie...


Ouillie, la Normandie qui coule dans son sang, mais voila la Baronne a beaucoup de mal à y rester sans pleurer le soir venu, quand le silence n’est que mélodie de ses nuits, quand seule elle repense à toutes ses peines, quand seule elle réalise que sa vie depuis des mois maintenant n’est que malheur.


Château... ou elle entendait ses enfants rires, courir dans les étages, malgré leurs âges adolescents, mais il manque, ses pleures lui manque, ce jeune snobinard lui manque, par moment la Baronne se refugie en cuisine, regardant l’armoire ou elle cachait les confitures que son fils Hugues venait chiper des qu’il le pouvait pour se goinfrer avec, c’était son péché mignon, grand dieu qu’il aimait ca.


Combien de nuits avait elle passé dans cette pièce, à pleurer en regardant cette porte, à revoir les scènes ou son jeune fils la suppliait de lui en donner, mais la mère tenait bon, elle ne voulait pas qu’il atteigne le quintal, elle voulait qu’il reste le bel homme qu’il devenait. Des souvenirs qui flottaient dans la demeure, mais qui faisaient trop de mal à la brune pour qu’elle y reste, fallait qu’elle s’éloigne de tout cela.


Seule tenue qu’elle porte, robe blanche, deuil qu’elle ne veut plus quitter, qui est maintenant toute sa vie, la mort de son époux le printemps dernier, puis la disparition de son fils jumeaux Hugues, puis cette attaque à l’entrée de l’Artois qui lui fera perdre l’enfant qu’elle portait du père de son fils ainé, père qui l’abandonne pour une autre avec qui il l’a trompé depuis combien de temps ?! Seule cette Duchesse pourrait réellement le lui dire, mais elle ne veut pas le savoir à quoi bon planter encore le couteau dans la plaie ouverte de son cœur ?! Elle en souffre déjà de trop la Brune.


Elle s’échappe donc avec la croisade, tenue de combat, toujours en deuil, armes qui ne la quittent plus, s’enfonçant toujours plus dans le tourbillon de la peine. La Baronne n’est plus ce qui était une bonne compagnie, parlant très peu ou voir même quasi jamais, avec un regard perdu, se demandant à quoi bon vivre ?! Elle était encore en vie pour Ulrich, Emeline, rien que pour eux car plus rien lui donnait l’envie, et quand on y réfléchit un peu, elle faut mauvaise mère, ne leur souriant même plus, seul compagnon de nuit et de jour cette souffrance, jour après jour, elle le sent, elle se relèvera jamais de toute cette douleur qui l’a envahit, mais [...]


[...] Rencontres se font en taverne malgré qu’elle ne parle pas ou peu, Alex... et surtout cette jeune fille, la camériste de la Princesse Armoria, qui doucement rentre dans la vie d’Arianrod. C’était elle rendu compte qu’elle était malheureuse, qu’elle ne se souhait qu’une chose, c’est que la faucheuse vienne la prendre à son tour pendant cette lute contre le Lion ?


Les jours passent, elle est encore là, présente à chaque fois, lui tirant quelques mots, quelques phrases, un sentiment nouveau fleuri en le cœur de la brune, mais elle ne veut pas y faire cas, mettant de coté tout cela, puis elle arrive à lui arracher un sourire, elle la gronde, hausse le ton par moment même, ce petit bout de jeune fille en a marre de voir la Baronne comme ca, elle se permet des choses qu’Arianrod laissera faire, elle veut lui bruler ces tenues blanches de deuil, mais pas moyen encore, elle les lâchera pas, les lâchera plus jamais, fuyant tout homme qui s’approche d’elle, sauf un... ce chevalier qui prend soin d’elle que cette croisade lui soit plus agréable. Merci Galahad...


Jeune fille qui devient son ombre, qui sans comprendre penses comme elle, réfléchit aussi vite qu’elle, finissant même ses phrases. Ca faisait de plus en plus sourire intérieurement la Baronne, si elle était sa propre fille on n’aurait pas pu mieux faire, elle se ressemble tant et pourtant, elle n’est pas sienne. Et voila, la dite jeune fille, prend la place d’une fille de cœur chez la Baronne, durant cette promenade de santé en Savoie. Elle s’est jurée de la protéger le temps qu’elles seraient ensemble, sous son aile elle resterait à jamais, elle lui avait dit, elle lui apprendrait tout ce qu’elle savait, vous ais je dit que c’était une pipelette ? Non ben oui ouiii elle en est une, posant toutes les trente seconde une question, puis pas le temps de répondre qu’elle enchaine avec une autre.


Collante... ce mot est si faible pour expliquer ce qu’elle est avec Arianrod, fusionnel c’est devenue entre elles, impossible de se séparer plus de quelques jours, aussi à la séparation à la fin de la croisade, elles se retrouvent et depuis elle marche de paires, Stephandra et Arianrod les inséparables, et que cela soit dit, si un homme s’approche d’elle sans demander la permission, Douce sera posée sur la gorge de l’homme à nouveau.


Stephandra, fille de cœur, elle l’aime, autant et aussi fort que ses enfants, il ne faut pas demander pourquoi, c’est comme ca, on ne choisit pas, et comme dirait le père de cœur d’Arianrod le Baron Modius, ses enfants de sang on ne les choisit pas, mais les enfants de cœur ils sont choisit et aimer autant.

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Stephandra



Remontons un peu le temps

Sémur en Novembre 1457 Stéphandra eut l’honneur de croiser la princesse Armoria de Mortain en taverne, quelques phrases échangées et celle-ci dans sa grande bonté lui proposa de la prendre à son service comme camériste.

La jovente n’avait aucune attache, pas de famille connue, pas encore d’ami, s’était donc sans hésitation qu’elle accepta. Premiers voyages avec la Princesse, pour le port de Cosne, puis très rapidement sa maîtresse lui parla de la croisade contre les lions de juda. La camériste suivit le mouvement.
De toutes façons, qui l’attendait à part sa nouvelle amie Ladyphoenix, Maëlle la fille du borgne de Bourgogne et ses légumes ? Personne !

Arrivée à Chalon, elle rencontra pleins de nobles venus de tous les coins du Royaumes, des soldats, des hommes d’ordre…, dont une Baronne Arianrod. Cette dernière semblait triste, aimait à se retrouver seule, était silencieuse ; mais y avait un petit truc invisible qui avait plu à Stéphandra.

Chaque jour, elle allait harceler cette Baronne en taverne, elle tentait de la faire parler, sourire, lui poser des questions et des questions. Pas une fois, Arianrod l’avait refoulé, elle avait toujours pris le temps de lui répondre.

La croisade avançait et l’amitié naissante entre la Femme et la Gamine commençait à prendre de l’ampleur. Stéphandra avait réussi à la faire sourire, Arian prenait confiance en elle et lui parlait un peu plus, rien de personnel au départ mais des phrases qui lient des liens.

Dès qu’elle avait quartier libre, la camériste cherchait la compagnie d’Arianrod, parfois elles ne se parlaient même pas, mais elles étaient assises côte à côté et ça faisait le plus grand bien à Steph.
La gamine n’avait pas connu ses parents, elle savait peu de chose sur sa famille de naissance, donc elle n’en parlait jamais, elle disait « j’ai pas de famille », c’était plus simple et ça évitait bien des questions.

Retour de croisade, les aléas de la vie firent que Stéphandra s’excusa auprès d’Armoria de ne plus pouvoir la suivre. La baronne du partir en mission et la jovente resta avec Alex et Siaam à Macon. Arian lui manquait terriblement Stéphandra avait du mal à se remettre de cette séparation, une complicité était née et le fait de se retrouver sans elle, elle se senti perdue abandonnée pour la seconde fois de sa vie.

Enfin, elle n’était pas vraiment seule, en plus de son couple d’ami, elle avait Snellounet le petit furet que lui avait offert Arian.

Quelques jours plus tard, missive reçue, Arian devait remonter en Normandie, Steph fit des pieds et des mains pour qu’elles se retrouvent à Nevers, la suppliant presque de la prendre avec elle. Cela n’avait pas été si dur, Arian lui avait ouvert son cœur et était ravie de retrouver son pot de colle.

En Normandie, la jovente découvrit la Baronnie, fit connaissance avec les enfants d’Arian…On lui offrit une chambre, cette dernière était aussi grande que sa petite maison de Sémur. La famille et les gens de maison l’avait accueilli comme l’une des leur, la Baronne lui offrit un cheval de son haras, car la gamine en était tombée amoureuse. Stéphandra n’avait jamais ressenti cela…Elle avait l’impression de faire partie de la famille, d’ailleurs si elle l’avait pu, elle aurait aimé qu’Arian soit sa maman.

Qui prend du temps : à prendre soin de quelqu’un, à veiller qu’elle ne manqua de rien, à surveiller chaque personne qui l’approcha, à lui faire des câlins et des bisous, à mettre des taloches quand besoin était, à tenter de tenir l’impulsivité qui était en vous, à vous rassurer quand vous aviez peur, à partager tout et rien comme si vous étiez elle ? Une mère, avec toute la tendresse que cela représentait.

La camériste découvrit pleins de choses à ses côtés, elle osa enfin s’investir en bravant ses craintes et toujours dans le but de rendre Arian fière d’elle. Les jours, les semaines, les mois passent et elles étaient toujours aussi unie, peut être même plus si cela été possible.

Lorsqu’on voyait Arian, la Stéph n’était jamais bien loin. L’admiration et la dévotion de la jeune fille pour Arian n’avait point de bornes et Stéphandra donnerait sa vie pour sauver celle d’Arian qui était redevenue une femme épanouie et éblouissante. La jovente à ses côtés grandissait et se construisait doucement.

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Armoria
Campement d'Arles :

Lambert ? Envoie ceci vers nos camps de Toulon et Forcalquier. Ah, et n'oublie pas évidemment, le camp d'Arles... Va de tente et tente.

Citation:


A tous,

Soldats et blessés d'Arles, Toulon, Forcalquier. Puisque les armées de Provence s'entêtent à rompre la trêve, et à attaquer les gens qui ont des laissez-passer, ainsi que les Provençaux eux-mêmes, je propose le pari à la Godiva.

Je m'engage, moi, Armoria de Mortain, à retirer pour une semaine l'un de mes vêtements à chaque funeste erreur des armées provençales.

Faites comme moi, sachant que si nous finissons par combattre nus comme au jour de notre naissance, cela risque fort de troubler nos ennemis, et nous assurer aisée victoire.

Fait pour valoir ce que de droit, en Arles la franche, le 20 de Mars 1458,
Armoria de Mortain - qui préfèrerait rester habillée, les nuits étant fraîches.

PS : si ce pari vous sied, signez itou.

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Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique
Alix_du_vivier
Alixc arriva après avoir lu la missive de la princesse et elle ria de bon coeur, bien sur elle en ferai de même.



Citation:
A tous,

Soldats et blessés d'Arles, Toulon, Forcalquier. Puisque les armées de Provence s'entêtent à rompre la trêve, et à attaquer les gens qui ont des laissez-passer, ainsi que les Provençaux eux-mêmes, je propose le pari à la Godiva.

Je m'engage, moi, Alix du vivier à retirer pour une semaine l'un de mes vêtements à chaque funeste erreur des armées provençales toit comme la princesse.

Faites comme moi, sachant que si nous finissons par combattre nus comme au jour de notre naissance, cela risque fort de troubler nos ennemis, et nous assurer aisée victoire.

Fait pour valoir ce que de droit, en Arles la franche, le 20 de Mars 1458,
Alix du Vivier - qui préfèrerait rester habillée, les nuits étant fraîches.

PS : si ce pari vous sied, signez itou.

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.didier_de_sars.
ah ben en vla une bonne idée ,et puis comme ca je vais pouvoir montrer mes dessins !!!!

je signe a deux mains .......... heu ont peut garder le casque ??!! c'est qu'il fait encore fraix pour le moment

Citation:
A tous,

Soldats et blessés d'Arles, Toulon, Forcalquier. Puisque les armées de Provence s'entêtent à rompre la trêve, et à attaquer les gens qui ont des laissez-passer, ainsi que les Provençaux eux-mêmes, je propose le pari à la Godiva.

Je m'engage, moi, Didier de sars à retirer pour une semaine l'un de mes vêtements à chaque funeste erreur des armées provençales toit comme la princesse.

Faites comme moi, sachant que si nous finissons par combattre nus comme au jour de notre naissance, cela risque fort de troubler nos ennemis, et nous assurer aisée victoire.

Fait pour valoir ce que de droit, en Toulon la franche, le 20 de Mars 1458,
Didier de sars - qui préfèrerait rester habillé, les nuits étant fraîches.

PS : si ce pari vous sied, signez itou.

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