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[RP] Le journal d'une Petite Servante abandonnée

--Lyrielle
[La nuit d'avant le départ - Bourge, en Berry]
 
La petite avait bien des ennuis. Elle regardait autour d'elle la maison qui tombait peu à peu. Elle avait bien essayer de la maintenir mais c'était pas son boulot. Elle, elle savait faire le ménage, la nourriture et vider les chiottes. Quand elle était tout petite, elle allait nourrir les poules, mais encore l'interdiction de quitté la cours et la limite de la clôture.
 
Bien vite elle avait demandé le pourquoi de la chose. La réponse fût fort simple:

 
Le monde extérieur est vilain pour les jeunes filles. Vos mieux rester sous la protection des maitres.
 
Enfin, le maitre, elle le connaissait peu, mais la maitresse l'avait pris en cœur et lui montrait à lire et écrire. Donc, depuis son jeune âge, elle devait consacré une heure minimum par jour, parmi ses nombreux travaux domestiques, pour l'apprentissage avec la dame.
 
Avec le temps, il arrivait que les devoirs dépasse la nuit et qu'elle ne dormait pas. On lui appris aussi les mathématiques, bien sur, elle n'avait pas droit de sortir mais nul ne tolèreraient qu'elle soit ignorante.
 
Voilà donc, elle était au milieu de toutes ses pensées quand la souris lui vola son dernier morceaux de pain, que la tavernière lui avait donné le jour où elle sortie du domaine par faim (deux jours passés) .
 
Le froid c'était levé et le dernier bout de bois c'était éteint. Encore une fois, elle allait devoir bravée la température de la nuit. Une chance que le maitre avait tout abandonné dans la maison, car il lui faudra rajouter quelques lainages à son lit de plume.
 
Elle prit son courage à deux mains afin d'aller fouiller dans la penderie interdite. Oui, le maitre n'était plus au domaine depuis la mort de la dame.
 
 Tous avaient quitté peu à peu le présument mort en guerre. Il fallait bien se rendre comte que depuis le temps, il devait être mort, mais une partie d'elle craignait qu'il ne revienne au moment où elle ouvrirait la porte.
 
Elle l'avait mis en colère une fois, elle avait environs 10 ans, elle était sortie dans le boisé entourant la maison et ce malgré l'interdiction. La dame en devenue malade d'inquiétude et le seigneur envoya ses hommes la chercher. À son entrée il avait l'air grave, il la prit par les épaules et dit:

 
Personne, aucune servante n'est mieux traité que toi en se monde (la conception de monde pour la petite s'arrêtait au village qu'elle avait entrevue en automne entre les branches d'arbres dénudés). Tu aurais pus croisé des bêtes, des loups ou PIRE encore des Hommes vilain et méchant.
 
Puis son ton se fit sévère et son regard se posa sur le médaillons autour du cou de la petite:
 
Tu n'auras plus besoin de ça je te le confisque,il sera mis au feu par moi-même, ainsi je serai sur que tu ne le remette plus.
 
Il lui arracha le médaillons en brisant la chainette qui le retenait. Elle se souvenait la douleur dans le cou et y porta la mains machinalement. La peine revint envahir ses pensées, la seule chose qui lui était chère, le seul souvenir de sa mère renverser par la charrette du Sieur, avait disparut.
 
Il ordonna ensuite que la cuisinière lui donne la fessé, jamais il aurait levé la mains sur une dame ou jeune fille, puis ordonna que les deux prochaines nuits soit sur une paillasse inconfortable, devant le poêle de la cuisine afin qu'elle se rende compte de l'honneur qu'elle avait de partager une chambre avec une autre servante et d’avoir un lit  de plume à elle seule.
 
Elle n'osa plus braver les interdictions après cette journée là. Doucement son pied frôla l'escalier qui menait à la penderie qui contenait l'armoire interdite. On lui avait dit que là se trouvait tout les objets de valeurs et tout les couvertures les plus chaudes, seul l'intendante avait un droit d'accès et lorsque le maitre ou la maitresse demandaient les choses à l'intérieur.
 
Elle mit la mains sur la poignée gelée et regarda plusieurs fois derrière elle. Elle prit une grande inspiration avant de tournée la poignée et retint son souffle, comme si on pouvait l'entendre...Peut-être le fantôme du sieur ou de la dame pourrait être à l'affut devant cette armoire...
 
On lui avait dit que les fantôme des arrières grands-parent du sieur était au grenier et ceux de la dame dans la cave à vin. Cela était la raison des grattements le soir et des bruits étranges de la nuit. Il n'en fallut pas moins pour que jamais elle n'y mette les pieds.
 
Enfin en se moment le sieur ne semblait pas être là ni d'esprit, ni de chaire. La porte grinça un peu comme par désapprobation du geste. Lyrielle (si cela était son nom puisque c'était le nom que la tavernière lui avait donné...) approcha doucement la chandelle devant la penderie. Il y avait des couvertures de laines, des capes et une boite...
 
Étrangement la boite attira plus son regard que le reste. Le mystère étant toujours plus intrigant que les choses en vue. D'autant plus qu'il était écrit dessus : Pour la petite, à ma mort.

 
 
 
 Le sieur ne serait donc pas en colère si elle l'ouvrait, ni le fantôme d'ailleurs puisque fantôme voulait dire mort. Elle y trouva avec stupéfaction sa cape de laine de petite fille... Dessus était écrit : « Valmont », surement le nom du couturier ou encore de la personne à qui appartenait cette cape avant que sa mère lui mettent sur les épaules.
 
Elle retira la cape pour y voir sa poupée au visage de porcelaine craquée. D'aussi loin qu'elle se souvienne elle l'avait eu. On lui avait enlevé, lorsqu'elle n'était plus en âge de jouer, et que l'autre servante trouvait que cela faisait enfantin à la décoration de la chambre. Son visage c'était craquée dans la bousculade du carrosse qui avait heurté et tuer sa mère.
 
Enfin, une missive scellé de toute part avec une adresse et un nom inconnue.
 
Vicomte Von Wittelsbach, Mimizan ou Château de Marsan, Gascogne.
 
Elle hésita un long moment avant de soulevé la missive, devait-elle la lire? Non, cela n'était pas bien elle devait la rendre à son maitre...celui de l'adresse. Si elle était dans cette boite surement que cela était très important.
 
Sous toute sorte de vêtements de son jeune âge elle trouva tout au fond, son médaillons. Rapidement elle le prit dans ses mains le cachant par réflexe, elle prit rapidement les couvertures, capes et baluchon. Le monde était petit selon sa vision, elle savait bien qu'il avait d'autre chose à l'extérieur du village de...Comment déjà...Oui Bourge... L'autre village se nommait Berry...Enfin quelque chose comme ça...Alors celui d'après devait être Gascogne ou Mont-Marsan, pas trop difficile de faire cela à pied mais bon...Autant prendre la charrette.
 
Elle fit ses bagages et remis les choses dans la boite. Tout sauf deux, le médaillons à la chaine brisée, qu'elle garda soigneusement dans sa main toute la nuit et qu'elle mit dans sa poche secrète de femme, (pas trop besoin de détaille ici hein j’espère ^^) au matin, ainsi que sa poupée, qui pour une raison étrange, passa la nuit elle aussi à ses côtés. Bien-sur, la souris (vous croyez que je l’avais oublier avouer) dans une petite boite d'allumette dans le baluchon en question, mais Lyrielle ne  savait pas que c'était sa cachette et c'est une autre histoire.
 
 Demain, elle partira...Oui elle partira, vers ce dernier service demander de son maitre.


--Lyrielle
[Premier jour de marche]

Le réveille fut assez brutale, les cheveux coller, par le froid,aux mure, habitude des derniers jours, lui donnais mal à la tête.Fallait y aller doucement et le mur gagnait toujours en cheveux. Chauffer les mains pour les mettrent sur la fine glace faire fondre, tirer un peu.

Aille!

Fallait remettre, encore une fois, les mains sous les couvertures et recommencer avec 5-6 cheveux en moins. Pfiou..L'effort habituelle du matin maintenant faire chauffer l'eau... Non pas d'eau chaude se matin, les brindilles de la veille étant les dernières plus de feu...


Un petit tour en taverne demander pour savoir par ou aller, hop le balluchon sur les épaules cela ne servait à rien de rester plus longtemps. Petit regard autour de la maison question d'être sur que les esprits ne se mettent pas en colère...(Souvenir restant d'un enfance étrange un peu faussé) la petite regardait la porte. La dernière fois qu'elle l'avait traversé elle avait faim, maintenant elle avait soif et voulait savoir, savoir si la tavernière avait raison il avait un autre village? Bah le voyage serait court quoi deux villages...Ça va vite demain elle serait de retour à la maison.


Elle quitta donc le domaine d'un pied semi-lourd, puis arrêta dans un pâturage.Elle avait un peu d'argent mais autant volé un morceaux de maïs à un animal qui avait à manger tout les jours...Elle pourrait peut-être manger du pain avec son argent...Si son maitre la voyait la colère qu'il aurait... Étrangement cette petite pensée la fit sourire et lui fit encore plus apprécier le morceau un peu séché.

Un petit tour de passage vers la tavernière qui gentilment lui offre une tisane et lui donne quelques bouts de pain:

-Tien prend tu en aura besoin sur le chemin
.

-Je suis de retour demain juste un petit tour à Gascogne le village après l'autre et je reviens.

La tavernière aimait pousser la jeune demoiselle à la découverte, elle n'allait pas lui enlever la surprise du voyage, ni détruire une quête qui lui serait salutaire pour son apprentissage de la vie.Non, elle fit pour réponse:

-Si demain tu es de retour revient me voir et je te donnerai la tisane pour parler du monde.Mais prend le pains et ses quelques écus et commence par mener tes pieds à Chatelroux...


Châtelroux, se dit-elle intérieurement, mais ce n,était pas Berry le village suivant...Bien alors une petite erreur de parcourt maintenant suivont le chemin indiqué.Elle saluat la tavernière, qui elle lui sourit en politesse sachant ce qui attendait la jeune dame.

Lyrielle
Le voyagement :

Oui, elle était partie depuis un moment déjà. Découragée un peu de ce qu'on lui avait annoncée à Chatelroux, qui en fait était Chateauroux. Un homme étrange lui avait sortie une carte et montrer le chemin à prendre. Petit os au parcourt, une carte est utile seulement si on sait la mettre du bon côté.

C'est à mis chemin entre le village de Loches que le monsieur la retrouva.


-Dit donc vous auriez pus m'dire que vous saviez pas lire la carte...

La petite pris un air quelque peu courroucer.Elle n'aimait s'avouer vaincu un orgueil qui était en elle depuis la nuit des temps...Enfin...16 ans...

-Je sais lire, regarder, elle lui montra la carte qui n'était plus du tout dans le bon sens...

C'est juste que les pencartes dont pas clair, clair sur le chemin...

L'homme retint un fou rire.

-Dommage que j'ai autre chose à faire, je vous accompagnerais bien... Mais voilà... Vous la tenez pas dans le bon sens votre carte... Quand le soleil se lève...

Les yeux de la petite lui indiquait à quel point cela était impossible à comprendre, pour elle...

-Bon plus simple, retourne sur ta route vers le village et prend la sortie du village de droite, à côté du boucher...Marche un moment tu arrivera à Guéret...De là montre la carte pour qu'on t'indique le chemin, mais prend garde de ne pas dire quand tu part. Il a des vilains partout...

(Oui, je sais sa sonne plus difficile mais faut se mettre à la place d'un visuel ^^)

La lumière se fit enfin dans le regard de la petite,elle savait pas trop lire les cartes, et venait d'apprendre à quoi pouvait ressemblé le monde...OUf, il en avait du chemin à faire jusqu'an Gascogne...

Le soir, elle regardait l'enveloppe, que pouvait-elle contenir? Une lettre d'amour de la dame? Un message important qui dirait de la tuer à son arrivé?(Ah, non tout de même on est pas dans Hamelette) Une lettre banale ou encore très importante pour le future et la distribution des biens.

Une dame de Guéret lui indiqua le chemin à suivre. Jusqu'à Limoge, ça allait, mais ensuite sur 4 chemins qu'elle pouvait en prendre, 3 menaient vers la Gascogne. (Cependant, arrêton ici le petit récit pour venir à la première nuit sur le chemin.)

La nuit tombait entre Bourgonais et Limoge,(j'ai dis sur le chemin pas dans le village donc le premier noeud ^^) le cheval se faisait épuisé, la petite aussi. Se soir, elle dormirait dans le foin de sa charrette avec ses couvertures de laines. L'ennuis se fit en soirée, le cheval avait froid et l'eau qu'elle avait était froide. Il fallait la faire chauffer, s'il buvait froid, nulle doute que celui-ci aurait tombé raid mort.

Elle se rappela alors ses allumettes, (elle la craqua puis regarda le feu en imaginant une maison chaude et de la dinde c'Est ainsi qu'on la retrouva morte gelée avec un sourire...Oups pas bonne histoire, désolé^^), elle pouvait faire du feu, il suffisait de quelque pierres et de bois, ce qui en théorie se trouve assez aisément dans une forêt.

Après un tas amassé, en quelques 2 heures de travail, puisque la nuit et la pénombre aidait à rien... Elle put enfin, ouvrire son baluchon et en sortir une petite boite contenant à l'origine des allumettes. Ohhh! Surprise, une petite souris y était logé.

-Que fais-tu là toi...RHoooo tu as grignoté mes allumettes et mes couvertures, VILAINE SOURIS...

Cependant la petite bête resta là, à la regarder,sachant pertinament que cette jeune demoiselle n'était en rien vilaine. Elle l'avait vu plusieurs fois dans la grosse boîte qu'ils appelaient chambre, et jamais elle ne lui avait fait de mal. C'est en signe de reconnaissance de liberté qu'elle lui gratifia un Cuiiiii et monta son nez vers la donzelle.

Ce petit geste, aussi anodin qu'il pouvait parraitre, atteigni directement le coeur de Lyrielle. Elle qui ne faisait de mal à une mouche, ne saurait pas en faire à une souris. Elle posa donc un morceau de maïs pour la petite bête qui devait être affamé. Comment lui en vouloir, elle était prise au piège et tout comme elle, elle faisait son possible pour survivre.


Bon, je fais comment maintenant dit moi?

Elle prit alors ses couvertures et les plaça sur le cheval, elle plaça quelque quantité d'eau sous la couverture afin de la réchauffer. Puis, après quelques minutes, elle donna du foin à son cheval, puis l'eau qui était plus ou moin tiédit.

Elle déposa la boite d'allumette dans sa charrette à son côté et vit la souris aller se chercher des brindilles et les mettres dans la boite. Si pour la souris cela aidait à la chaleur, surement devait-elle en faire autant. Au lieu de dormir dessus, cet nuit elle dormirait en dessous de se foin. Trop épuisée pour penser à autre chose, elle rencontra les bras de morphé, là, un bon moment...


Elle dormit tellement longtemps qu'elle se réveilla seulement à Rochechouard.

-Bien la damoiselle nous fait signe de vie r'garde...Pas bon de dormir au froid, damoiselle Valmont. Enfin c'est ce que j'ai cru voir en farfouillant dans tes affaires.

-VOUS ËTES QUI VOUS?


Oui, le réveil fût brutale, une dame conduisait sa charrette avec un vieil homme à son côté qui ne soufflait mot. Il l'avait kidnappé pendant la nuit? Pourquoi? Elle avait rien à donner, ni rien à prendre sauf cette charrette et elle en avait besoin.

-ON se calme, je vous ai ramenée chez nous pour vous soignez, mais j'vois que vous allez bien là. Comment pouvez-vous être aussi épuisée pauvre petite? Il faut manger sur les chemins et boire...

Elle prit une pose afin de réfléchir sur comment expliquer la situation.

-Comme vous étiez pas relevable, j'me suis dit, ben amenne la chez toi avec son cheval. Tu t'sauvra du temps, puis tu seras assiseu. Je suis pas jeune vous savez et j'ai du vendre le canasson avant de revenir, il aurait pas tenue la route.Voilà qu'Aristote vous met sur mon chemin, je prend la chance...

Aristote, c'est qui encore celui-là? Surement le sieur à ses côtés.

-Ben, je le connais pas votre Aristote, et maintenant que vous êtes rendu. Moi je continue ma route,redonnez moi mes choses...

-Non....

QUOI NON? C'EST À MOI...

-Diantre, la gamine on t'a jamais appris à te taire...

Ben voilà le vieux parlait maintenant...

-Tu auras tes choses quand tu auras manger...Je me doute bien que tu comprendra pas, je me doute d'ou tu viens aussi. Alors une soupe pour toi, ensuite on te redonne de quoi pour ton chemin et le fait qu'on a emprunté ton cheval. Si je me fis à la carte trouvé tu part vers la Gascogne, elle est encerclé. On t'a pas ralongé figure toi donc...

Oulà, le maitre avait tord, tout les gens sur la route n'était pas vilain, elle s'en voulait maintenant. Elle baissa le regard.Elle enttendit la dame dire:

Allon ne t'en fais pas, tu es plus très loin encore quelque jours et tu sera rendu.Nous comprenons votre colère et crainte, on ne peut faire confiance à tous, surtout sur les routes.

Dans la soirée l'homme alluma sa pipe près de la cheminée et la dame lui raconta histoire et autre pour la divertire, elle lui donna un linge mouillé chaud pour se laver et lui peigna les cheveux. Ensuite, elle lui offrit poliment le gite. Mais le fait était que Lyrielle avait peur, peur que l'esprit de son maitre se mette en colère pour de telle paresse.

-Je vous remercie, grandement cela m'a fait plaisir mais je dois continuer ma route.

-Et bien vous devez avoir chose très importante à faire ma petite pour partir à cet heure. Allez-y, je vous donne le chemin jusqu'à Mont-de Marsant.Prenez garde les chemins vous ont été clément, maintenant écouté: Ne pas dormir comme vous l'avez fait sur le bas côté de la route. Allez un peu dans les bois pour ne pas être perçue trop facilement.

Elle alla dans la remise et revint.

-Prenez se bâton, c'est mieux que rien pour se défendre... Faite attention à vous et votre petite bête dans la boite. Elle ne vous à pas quitter d'une semèle.

Lyrielle repris la route vers la Gascogne, maintenant elle savait tout le chemin à faire et que le prochaine arrêt serait en Marmande.
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Lyrielle
L'arrivé:

L'arrêt en Marmande ne fût pas des plus évidents, la petite était épuisée, la souris était sur son épaule tellement elle ne voulait plus marché...Elle entra donc dans le village pour voir la tavernière. Faux espoir on lui avait dit une journée de marche mais elle du en faire deux pour la Gascogne. Cependant cela lui permit de faire réparer sa chaine afin de la mettre à son cou. Elle la glissa doucement comme un trésor attendu depuis longtemps. Puis pour pas se la faire volée, elle la mis dans sa chemise pour cacher, plus jamais on lui enlèverais la seule chose qui lui restait.

Elle fini le chemin sans ennuis jusqu'à mont-Marsant et trouva une jolie chambrette pour dormir. Ce n'est que le lendemain qu'elle se mit à la recherche du Vicomte, comte Duc...muche truc écris sur la missive. Elle aimait bien mont marsant, elle avait vu les pommiers et les pommiers c'était génial parce qu'elle adorait les pommes...

Elle arrêta un passant posant cette question...

Bonjour Monsieur/(ou)dame, Je cherche un Sieur Von Wittelsbach j'ai un message urgent à lui remettre, vous connaissez se nom?
_________________
Riwenn
L'homme estait dorénavant, et pour quelques semaines, le nouvel Escusé-Pet. Porter la parole, voilà une tasche qui paraissait intéressante à ses yeux. La parole d'un peuple. La parole de la Gasconha.

Bref.

Voilà donc Riwenn de Castel Vilar en train de parcourir les rues de la capitale afin de rejoindre le chasteau. Mont de Marsan, Lo Moun, toujours aussi charmante, et calme. L'avenir lui donnerait, il l'espérait, d'autres adjectifs bien plus beaux.

Il marchait, regardant tantost les enfants passer en courant près de lui, tantost une bande de poivrots effondrés contre le mur d'une taverne, tantost un couple de marchands crier à qui voulait l'ouïr les bienfaicts de leurs produits.

Il estait perdu dans l'atmosphère citadine, ses pas le guidant instinctivement, et sans trop d'hésitation, vers un lieu qu'il avait l'habitude de joindre, lorsqu'il fut arresté par une jeune fille aux cheveux clairs où le soleil reflétait les quelques rayons que les nuages laissaient passer.


Bonjour Monsieur, Je cherche un Sieur Von Wittelsbach j'ai un message urgent à lui remettre, vous connaissez se nom?

Il se retint d'esclater de rire.

Bonjorn, un Von Wittelsbach dictes-vous damisèla... la Gasconha en regorge, il va estre difficile de vous respondre si la seule chose que vous connoissez de ce messer est ce nom de famille...
_________________
Lyrielle
Son visage brillant d'arrivé montra un signe de déception. Elle sorti, la missive. Elle se repris et plaça le peu de vêtement défait qu'elle avait. Fallait paraitre bien, peut-être se sieur serait le nouveau maitre?

Je enfin je...

Elle leva la missive et la bougea en tout les sens afin d'arriver à déchiffrer la lettre à moitiés effacés devant le nom de famille.

Je crois que c'est L.- quelque chose Von Wittelsbach.

Elle plissa les yeux...

OUep...L quelque chose... Vicomte/Duc ... Enfin, n'importe lequel serait bienvenue, ils pourra ouvrir la missive, moi je ne sais pas qui doit le faire je l'ai trouvé à la mort de mon maitre.

D'ailleurs, je cherche un nouveau maitre, si vous avez besoin de servante?

La tavernière de Bourge m'a dit que je devrais apprendre à vivre libre, mais je ne comprend pas quel en ai le but.

Elle m'a aussi donner un nom, ce que j'avais pas, je me nomme Lyrielle. Et vous, vous avez un nom? Votre mère était bonne au point de vous en donner un?

_________________
Riwenn
L... ?

Riw retint à nouveau un rire.

Eh bien, nous approchons du but mais nous n'y sommes point encor. Car les "L.-quelque chose Von Wittelsbach" sont deux en Gasconha : Louis-Napoléon et Louis-Philippe. Sans compter AngeL. Boutade.

Vicomte/Duc ...

Il allait lui respondre mais la jeune fille déferla un flot de parole sans qu'il ne puisse en placer une. Ah la jeunesse ! Cela lui rappelait sa fille, la petite Maëlya qui, malgré son jeune asge, pouvait déblatérer autant de paroles en aussi peu de temps. Une des demandes de son interlocutrice l'estonna, mais il la laissa finir avant de respondre, et quoi de mieux que de commencer par les présentations. Cela demeurait la moindre des politesses, mesme s'il ne lui en aurait point porté grief vu l'estat dans lequel il estait (cf. "jusqu'à ce que"). Il s'efforçait de garder le sourire.

Eh bien enchanté damisèla Lyrielle, je me nomme Riwenn de Castel Vilar. Ma mère estait bonne oui, c'est d'ailleurs ce que les charmants hommes qui lui rendaient visite durant ma jeunesse disaient d'elle. Paix à son asme ! Et elle m'a nommé ainsi. Mais depuis, j'ai bien grandi. Je suis ce jour d'hui conseiller ducal gascon. Et je n'ai point besoin de servante pour l'heure, si ce n'est pour s'occuper de mes enfants...Soupir. Les servantes son d'ailleurs mieux auprès de gens couronnés, ce que je ne suis point. Et d'ailleurs pourquoi vouloir vous asservir ?
_________________
Lyrielle
J'ai toujours vécu ainsi messire, toujours pour une personne et au service des autres de la maison des maitres. Je sais lire, écrire, j'ai fais des études la dame m'a enseigné. Cependant je ne sais m'occuper d'enfants...

Bon alors pouvez vous me menez à ce...enfin Louis-Napoléon, ou encore Angel?


Elle lui fit un petit sourire gêner elle avait en effet hâte de passer à autre chose. Sa curiosité était t-elle en cette missive qu'elle n'avais plus la patience d'attendre.
_________________
Riwenn


La jeune fille avait l'air des plus pressées. Riw voulait paraistre des plus agréables mesme si au fond de lui il ne sentait pas bien du tout. Il tentait de conserver le sourire qui lui estait connu, bien que bien léger pour une fois.

Vous mener à l'un d'eux ?...eh bien je pense que je vais vous amener au chasteau, nous pourrons sans doute y trouver quelques Von Wittelsbach tel que Gabriel, Angel, Louis-Napoléon ou Kassandra...

Ainsi lui fit-il signe de la suivre et la guida-t-il jusqu'au Castel gascon, espérant y rencontrer le visage d'un des trois conseillers ou du jeune rédacteur.

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Lyrielle
Elle le suivit au château, ou elle fut émerveillé, mais ne pus s'empêcher de se demander combien de temps le ménage prendrait. Pourvu que si je travail pour lui dans se château, je puisse dormir...

Gaminette qu'elle était elle se lança à l'épaule du Sieur, il ne savait pas à qu'elle point il venait de faire son plaisir.Voilà, que la pie bavarde se remit à sont flot de paroles sans souffle.

Merci, Merci grandement messire, je vous dois beaucoup, il me tarde de savoir le secret de cette missive. Espérant qu'on me la dise, mais je sais que parfois les choses doivent être secrète. J'espère que les Von Wittelsbach ne sont pas trop méchant et que c'est une famille qui comprendra mon désaroie face à cette situation.

Elle recula alors comme si rien était.Oui elle avait certaine éducation, mais la fatigue et les rues,ça changeait les gens.La souris curieuse de tout ses bruits sorti de la poche de sa capuche pour venir sur son épaule.(Et non je l'ai pas encore oublié )
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Louisnapoleon
Louis, comme tous les jours, faisait le marathon dans les couloirs : salle du conseil, fort, bureau du secrétaire d'état et retour au conseil... il ne s'arrêtait jamais. D'autant plus qu'il devait poursuivre son projet de réforme de l'armée tout en ayant un rapport à rendre au secrétariat d'Etat mais qui était en retard.
D'habitude, il n'avait pas le temps de s'attarder sur les personnes qu'il croisait. Mais il aperçut Riwenn en compagnie d'une jeune fille dont le visage lui était familier. Pourtant, il ne la connaissait pas, il en était sûr.
De loin, il cru entendre Riwenn prononcer "Von Wittelsbach", mais il n'en était pas sûr; il poursuivit son chemin mais il cru cette fois entendre le nom de tous les cousins et cousines... pas de doute, Riwenn parlait de la famille. Il s'approcha du Porte-Parole et de la jeune femme.

- Bonjour, mon ami. Comment vas-tu ?
Lança-t-il à Riwenn. Il ajouta, en regardant la jeune demoiselle :
- Tu es en charmante compagnie cette après-midi !
Il fit un hochement de tête pour saluer la jeune femme, plutôt mal habillée...
- Dame, je n'ai pas le plaisir de vous avoir déjà rencontré, ni même aperçu en Gascogne. Vous êtes nouvelle ici ? D'où venez-vous ?
Oups, excusez moi, j'en oublie de me présenter. Louis-Napoléon d'Arbalture Von Wittelsbach, Capitaine et secrétaire d'Etat de Gascogne. Puis-je également connaitre votre nom ?

Il observa encore une fois le visage de la jeune fille... elle ressemblait à quelqu'un, mais qui ?
Il regarda également ses vêtements... vraiment médiocres, la pauvre ne devait pas être très aisée. Cela lui faisait toujours du mal de voir qu'il y avait toujours autant de misère et de pauvreté, il avait ma foi bien de la chance de vivre dans ces châteaux.

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Lyrielle
Elle allait ajoutée quelques phrases mais un homme arriva, vu sa stature valait mieux le laisser parler et lui faire courte révérence... Ce qu'elle fit d'ailleurs. Elle retint un fou rire voyant que le sieur avait autant de jasette qu'elle, au moins elle n'était pas seule avec se défaut étrange de parler sans cesse.À vrai dire la grande solitude auquel elle avait fait face, lui donnait se réflexe de ne pas aimé le silence.

Elle baissa le regard écoutant les paroles de l'homme, on ne pouvait regarder noble gens dans les yeux...Cependant le nom attira son regard vers le sien, une étoile naissait enfin dans l'espoir de son abîme.


Si messire, il me serait déplacer de ne point nommer mon nom, cependant je n'en ai pas vraiment.La tavernière de Bourge m'a nommé Lyrielle,avant quelques semaines je n'avais pas de nom. Ce sujet était tabout on me nommait la servante, elle là-bas ou la petite. À vous de me donner le nom que vous souhaitez.

Pardonnez mon arrogance de vous regardez ainsi mais si vous êtes Von Wittelsbach, ma mission vas vers sa fin. Voilà, donc je vous remet ceci...
Elle lui tendit la missive vieille certes mais encore scellé de toute part.


Son mouvement de recul fit sortir le pendentif à son cou. Elle refit une salutation espérant en son intérieur que enfin elle puisse connaitre le secret de cette missive.
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Riwenn


Lui qui venait à peine de faire quelques pas en direction des couloirs du chasteau à la recherche d'un Von Wittelsbach, voilà qu'il en voyait un approcher. Aussi Riwenn fut-il heureux. Il fallait avouer que le dédale que constituait l'antre de l'édifice estait ample et sinueux et que, bien que l'homme s'y retrouvait assez facilement à l'inverse de certains - pauvres d'eux, il n'avait pas envie de fouiller chaque salle et chaque recoin en queste de personnes qui peut-estre n'estaient point en le Castel gascon.

Bonjour, mon ami. Comment vas-tu ? ... Tu es en charmante compagnie cette après-midi !

Riwenn jeta un oeil à la jeunette avant de respondre, il nota qu'un rongeur s'estait installé sur son épaule mais ne fit aucune remarque à ce sujet.

Eh bien Louis, je tente de me porter au mieux. Il retint un soupir. Tant de soupirs retenus, mais il devait tenir le coup, pour lui, pour ses enfants, pour son duché. Quant à ma compagnie, il s'agit d'une jeune femme que j'ai rencontrée en ville, elle cherchait un Von Wittelsbach. Tu tombes à pic.

Et ainsi les laissa-t-il discuter. Lyrielle avait l'air mal à l'aise, cela le peina, mais si ce qu'elle cherchait pouvait trouver response avec Louis-Napoléon, cela la rendrait alors sans doute moins nerveuse. Un léger sourire vint quelque peu éclairer son visage presque pasle.

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Louisnapoleon
La jeune femme semblait très intimidée. Louis sourit pour tenter de la rassurer, puis il l'écouta. Ainsi donc elle n'avait pas vraiment de nom... étrange...
Lorsqu'elle dit les noms qu'on lui donnait par le passé, Louis fut réellement outré. Comment pouvait-on traiter ainsi une femme ?

Elle lui tendit une missive scellée, et lui parla de mission... Louis fut intrigué. Il regarda la jeune femme, puis la lettre, et l'ouvrit.


Louis était stupéfait. Il observa longuement la jeune fille.
En effet, elle ressemblait terriblement à sa mère et à son père. Voici donc pourquoi son visage lui disait quelque chose.

Encore sous le choc, il regarda un peu Riwenn, puis réfléchit à la manière de révéler ça à la petite cousine... il prit une profonde aspiration.

- Vous n'êtes qu'une petite servante dites-vous ?
Eh bien vous vous êtes trompée. Vous êtes la fille de mon cousin, et donc ma petite cousine.
Vous êtes loin d'être une simple servante... vous êtes une Von Wittelsbach.

Vous avez perdu tout le début de votre vie à servir un "maitre" et vous n'avez jamais vraiment vécu réellement, vous ne connaissiez pas le monde qui vous entour... il y a tant d'années à rattraper, je ne saurai même pas vous dire par où commencer.

En réalité, la dernière fois que je vous ai vu, c'était il y a un certain nombre d'année... vous n'étiez alors qu'une toute petite fille, et l'on vous prénommais alors "Provence", nom que l'on vous a attribué en souvenir de la terre dirigée fut un temps par notre famille. Je connaissais bien votre mère, je l'appréciait beaucoup. Je lui ai beaucoup parlé avant son départ de Gascogne, cela m'a fait beaucoup de peine. Et c'est surement lors de ce voyage que vous avez été enlevée, et où les brigands ont écrit cette lettre, une demande de rançon.

Il était triste en constatant la vie peinée qu'avait eu la petite.
- Le Vicomte à qui était adressée cette lettre est donc votre père, Louis-Philippe, Vicomte de Fréjus et Baron de Came. Il est actuellement en guerre en Provence. Vous allez avoir certainement beaucoup de chose à vous dire.
Sa vie était à reconstruire après toutes ces années de servitudes. Il était néanmoins content d'avoir ainsi retrouver une cousine.
Il se tourna vers Riwenn :

- Nous avons une nouvelle Von Wittelsbach en Gascogne... ça commence à faire beaucoup n'est-ce pas ?
Il lui sourit, en attendant la réaction de la jeune petite cousine.
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Lyrielle
Lyrielle trouvait que la lecture de la missive faite devant-elle était interminable. Elle observa le regard de l’homme changer en interrogation, puis en colère de déception, puis comme si elle était une bête de foire…Le sourire du départ était partie au fur et à mesure pour devenir un regard grave.

Son geste fût instantané, à la dernière bêtise on lui avait confisqué son collier de naissance, maintenant personne ne lui ré-enlèverais ou faudrait passer sur son corps. Elle mit alors la mains sur le dit objet en question.


Citation:
- Vous n'êtes qu'une petite servante dites-vous ?
Eh bien vous vous êtes trompée. Vous êtes la fille de mon cousin, et donc ma petite cousine.
Vous êtes loin d'être une simple servante... vous êtes une Von Wittelsbach.

Les mots se mêlèrent doucement. SA cousine?Pourquoi les riches gens posaient toujours des questions dont il avait réponse?Pourquoi demander si elle était servante si lui disait le contraire?

Van wiltesboc?

Elle n'ue pas le temps de parler que celui-ci enchaina avec un flot de parole digne d’elle-même.

Citation:
Vous avez perdu tout le début de votre vie à servir un "maitre" et vous n'avez jamais vraiment vécu réellement, vous ne connaissiez pas le monde qui vous entour... il y a tant d'années à rattraper, je ne saurai même pas vous dire par où commencer.


Jamais vécu réellement, diantre mais je suis en vie, il dit quoi lui?Ben je peux pas connaitre le monde qui m’entour didiou,je suis dans un nouvelle endroit. On ne peut dans un nouvelle endroit connaitre les gens par vue?

Années à rattraper, oui la maitresse lui avait expliqué le concept des années, concept amusant, elle préférait bien plus dire:`' aujourd’hui ceste aujourd’hui, demain on verra bien…'' Cependant la maitresse était pas en accord avec cela et l’obligeait à dire la date tout les jours et vérifier.

Activité bien plus ennuyant que de lire ses livres de précepte judiciaire ou politique, dans les jours de pluie ou la dame voulait entendre une voie.

Perdue dans ses pensées avec l’habitude de prendre les bribes de conversation pour se sauver des impasses, elle compris son nom était Provence en souvenir d’une terre.Quelque truc incompréhensible puis le mot lettre ré-attira son attention.


Citation:
[…], et où les brigands ont écrit cette lettre, une demande de rançon.
Il était triste en constatant la vie peinée qu'avait eu la petite.
- Le Vicomte à qui était adressée cette lettre est donc votre père, Louis-Philippe, Vicomte de Fréjus et Baron de Came. Il est actuellement en guerre en Provence. Vous allez avoir certainement beaucoup de chose à vous dire.


Oula, elle regardait l’homme, ne comprenant pas tout du coup.Avait-elle mélanger les noms entre Provence et Provence, elle repassait les paroles dans sa tête…Vicomte, Baron c’était quoi ça des noms de ville encore…OUFF.La guerre, ça oui, elle connaissait c’est comme ça que son maitre avait disparut.

Elle ne savait pas trop quoi dire,ni faire elle se mit donc à caresser sa souris sur son épaule.La seule question qui y vint en tête fut :


Je vais pouvoir prendre une pomme à la sortie?

Citation:
Il lui sourit, en attendant la réaction de la jeune petite cousine.


Elle se demandait bien ce que cela voulait dire, oui, non…attend une réponse plus clair?Bon les réponses clair habituel était celle-ci.

Comme vous voudrez, messire.Si vous me donné une pomme je prend tout les noms qui vous plaise.Bon en échange d'un lit, même dans le grenier je serais aise de faire votre ménage.
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