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Info:
Mariage de Plume de Fairdowns, Dame de Sauzet avec Geoffroy De la Chambre, Seigneur de Divajeu.

Mariage de Geoffroy et de Plumedange

Wilgeforte
[Note HRP :
La cérémonie se déroulera sur plusieurs jours HRP mais ne dure qu’environ une heure RP, et a lieu le 12 avril.
Les joueurs des personnages des fiancés et de leurs témoins sont priés de faire rester leurs persos sur le perron jusqu’à ce que Wilge leur dise d’entrer. Les autres peuvent prendre place à l’intérieur directement.]




Wilgeforte avait passé la matinée à fleurir la petite église de Vienne. Ce mariage devait être fastueux et le bâtiment de Dieu devait traduire toute la joie qu’un tel événement comportait.

Il était maintenant l'heure de signaler aux fidèles le début du mariage. Elle demanda à un moine de sonner les cloches et alla sur le perron pour accueillir les fidèles arrivant.




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axel2fersen
Axel était partie depuis le weekend de Die afin d'être à l'heure pour le mariage. La jeune Plume lui avait demandé d'être celle qui l'accompagnerait jusqu'à son futur époux. Son choix s'était d'abord porté sur leur suzeraine mais la très mauvaise santé de celle-ci lui interdisait de quitter le lit. La demoiselle de Sauzet avait alors reporté sa décision sur la Rouvray qui l'avait toujours soutenue depuis leur rencontre.

C'est accompagnée du parrain de la jeune fiancée que la dame de Roynac arriva à la cathédrale. Il lui avait depuis bien longtemps à présent offert son amitié et en ce jour il lui avait offert son bras, afin qu'elle ne subisse pas l'affront de se présenter seule à un tel événement.

Elle avait choisi pour cette occasion une magnifique robe neige et or. Le tissu importé directement d'Italie avait été travaillé par l'un des tout meilleurs tisserands du duché qui avait orné la laine finement tissée de fil doré. Les broderies rehaussaient à merveille cette houppelande qu'elle avait souhaité assez simple, pour contrasté avec l'audacieuse coupe de cheveux qu'elle avait décider d'arborer. Le vicomte de Savines avait trouvé cela ravissant bien que déroutant et peu conventionnel. Elle espérait que cela ne choquerait personne, enfin quand elle disait personne, elle pensait surtout aux ecclésiastes souvent prompts à juger ce qui ne les regardaient pourtant pas...

Elle se présenta le plus humblement et avec le moins de ressentiment possible devant Wilgoforte qui allait officier. Elle lui confia qu'elle était l'un des témoins de la mariée et lui confirma qu'elle avait bien été baptisée par monseigneur Ingresstar s'inquiétant de savoir s'il lui fallait en apporter la preuve ou si Plume avait déjà réalisé les démarches à ce sujet.
Violette
Violette arriva devant la cathédrale et fut éblouie par la beauté de l'édifice, elle qui était si timide, hésitait à monter ses escaliers si imposants, quand elle fut sur le parvis on lui indiqua qu'en tant qu'invitée, il fallait qu'elle entre à l'intérieur, elle se glissa par une petite de côté , alla poser les fleurs qu'elle voulait offrir aux mariés.............



et alla s'asseoir sur un banc de façon à les voir arriver, puis ses pensées vagabondèrent.............

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Aide Maître de chien
Les déceptions ne tuent pas et les espérances font vivre
ya
Elle se para de sa plus belle robe et lorsque l’ heure de la cérémonie arriva elle si rendit , encore seule les cérémonies ne manquaient pas en ce moment mais elle se dit qu’il fallait vraiment que trouve une personne pour l’accompagner elle finirait un jour vraiment seule , enfin bref . Arrivée sur place peu de monde était encore arrivée , elle entra dans l’édifice , se signa et alla prendre place sur un banc

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Plumedange
[Les mariés, deux maisons en une, chacun son côté en ce matin particulier]

*Plume et Geoff n'avait pas beaucoup dormi, passant leur nuit à rédiger les dernières invitations et Aristote savaient qu'ils n'avaient pas chômé...
Près de 69 missives avaient été écrites et même le massage que son futur lui avait fait n'avait pas réussi à rendre son poignet droit moins douloureux.
Ils avaient finalement été se coucher à une heure assez avancée, sombrant rapidement dans le sommeil.

Le soleil était aujourd'hui haut dans le ciel, illuminant ce jour unique de ses merveilleux rayons.
La blondinette dormait à poings fermés dans les bras de son aimé lorsque, Mariette déboula dans la chambre.*


-Debout Damoiselle!
Allez!
Le soleil est déjà haut!


-Mmmmhhh!

-Pas de protestations, levez-vous ou je serais obligée d'employer les grands moyens.

*Les grands moyens correspondaient à un seau d'eau froide, que dis-je, glacée qui lui atterrirait dessus, alors doucement elle s'extirpa de son sommeil, regardant son tendre cœur qui, dans quelques heures, serait son mari et qui dormait encore profondément.*

-Tu ne réveille pas mon aimé ce matin Mariette?


-Il va nous falloir bien 4h pour vous apprêter, pour lui il n'en faudra qu'une, il peut encore dormir.

-Hé bien, les hommes ont bien de la chance...

*Léger marmonnement de protestation alors qu'elle s'extirpe du lit après lui avoir déposé sur le front de son ange un doux baiser.
Sa chainse légère étant parfaite par un temps si beau, elle s'étire doucement et ni une ni deux Mariette la recouvre de ce manteau qui sert de robe de chambre et l'entraine vers la maison qu'elle avait achetée en arrivant à Lyon.
La maison était collée à celle du Seigneur de Divajeu et ils avaient depuis un moment fait des aménagements pour qu'on ait l'impression qu'elle avait toujours été une.
Ainsi, ils n'eurent qu'à traverser un couloir, à ouvrir une porte, que Plume avait déjà ouverte en compagnie de Cyanne et à la refermer à double tour derrière elle.
Une armée de domestiques féminines étaient réunis là.
Le regard de la jeune fille se porta directement sur le drap qui recouvrait sa robe...rêveuse.

Plume ne sortit de sa rêverie que lorsqu'on lui retira le manteau, à ce moment elle remarqua qu'un grand baquet, qui n'était habituellement pas là, trônait dans la pièce.
Dans le baquet flotte nombre de fleurs, elle sourit, on dirait qu'on veut la parfumer au printemps en ce jour de fête.
On lui retire sa chainse, elle rougit, n'ayant pas l'habitude d'avoir autant de spectatrices au moment de son bain et se plonge rapidement dans le baquet dont la décoration la cache un peu aux regards.
L'eau est chaude, elle se détend, laisse son corps s'imprégner des nombreuses senteurs qui viennent jusqu'à son nez.
Au bout d'une bonne heure et demi on la fait sortir du baquet et on l'enveloppe d'un grand drap de soie pour la sécher.

Ensuite, la jeune fille est vite entourée de dames et de servantes qui sont fort occupées à l'atourner.
Ce qui les occupe d'abord le plus longuement, ce sont ses cheveux blonds.
La damoiselle de Sauzet aimait, jusqu'ici, les porter flottants sur ses épaules, mais elle veut pour ce jour particulier les avoir tressés.
Armée de son peigne d'ivoire, sa dame de compagnie sépare donc ses cheveux en deux grosses nattes.
Les servantes lui présente des rubans, des bandelettes de soie ou encore des galons d'or que Mariette entrelace habilement avec ses cheveux.
C'est ce qu'on appelle des crins galonnés.
Plume n'a point besoin d'emprunter de faux cheveux, comme tant de femmes sont contraintes de le faire, car elle les a fort longs.
Au bout d'une demi-heure, les deux nattes sont achevées et tombent sur son dos.
Par un geste charmant, elle les ramène sur le devant de ses épaules, se regarde un peu dans le miroir et s'estime satisfaite.
Elle n'a pas besoin de se teindre ou de se poudrer de safran, telle elle est sortie du bain une heure plus tôt, telle elle est maintenant, naturelle.

A ceux qui trouvent que la toilette est longue, on pourrait répondre que ce jour-ci ne ressemble pas aux jours ordinaires et cela en est de même pour la toilette.*
Mily
Ayant reçu la veille une invitation, elle passa une part de la nuit à se confectionner, avec les quelques étoles en sa possession, une tenue correcte pour se rendre au mariage de son Instructeur et de la charmante Plume rencontrée il y a peu.

Elle arriva sur le pas de la porte de la cathédrale, un joli bouquet à la main confectionner par ses soins.




Quand elle fut prise d'une angoisse.
Et si il était de coutume de toujours venir en couple?
Et si elle était une fois de plus la seule non accompagnée?

Au bout de quelques secondes et quelques respirations lente, elle reprit un rien d'assurance et entra dans cet endroit magnifique.
Discrètement elle chercha un banc ou elle n'aurait l'impression d'être chandelle.

En s'avançant elle put apercevoir Axel, Ya et une autre dame, dont elle pensait l'avoir déjà croisée dans les couloirs de l'Ost.
Constatant que Ya était seule également elle hésita un instant et puis se dirigea vers elle.

La salua et parla le plus bas qu'elle le put.


Mes respect armurier Ya, aspirant Milyena, attendez vous quelqu'un à cette place?
Je suis seule dont je me disais que si vous aussi...


_geoffroy_
Dernière nuit de non marié, pour certain, il était sûr qu'il allait en profiter mais même pas.. Il avait passé la grande partie de la nuit à écrire quelques courriers et aider sa douce qui était complètement débordée... S'avancer pour le lendemain afin de n'avoir plus que le mariage en tête.. Ce serait leur journée, pas celle de la veille, ni celle qui suivrait... Quoi que celles qui suivraient allaient être toutes aussi merveilleuses, mais qu'importe, il fallait se concentrer sur la journée qui allait venir... Les courriers finalement envoyés, la nuit était déjà bien avancée quand ils purent enfin se coucher..

Ce matin là, le réveil fut difficile pour les deux.. Enfin plus pour une, puisque Mariette avait débarqué dans leur chambre pour l'extirper de leur lit, il se réveilla dans le même temps en marmonnant, juste quand elle déposa une bise sur son front, le temps de la voir simplement sortir de la chambre... Humpf... la journée allait être longue... Alors autant dormir encore un peu.. De toute façon il ne devrait probablement pas avoir à prendre autant de temps pour se préparer lui..

Une heure.. Non deux heures plus tard, il s'extirpa du lit en entendant de la pièce les piaillements de ces damoiselles de l'autre coté de l'appartement... Généralement ils ne fermaient pas les portes entre leurs deux appartements, mais cette fois ci.. Il n'entendait plus que des chuchotis et gloussements par moment. Il était curieux de nature.. Il aurait bien écouté aux porte pour savoir ce qui se passait, mais il fut surpris par un bruit qui venait de la porte d'entrée.

S'y dirigeant alors nonchalament il finit par ouvrir la porte et vit un homme grand beau et fort (c'est bon ou je mets plus de qualificatifs ? ^^) qui attendait devant chez lui.


Phelim !

Il poussa la porte en grand pour qu'il puisse entrer.

Tu tombes bien ! Je vais avoir besoin de tes services ! Si j'veux pas me préparer en plus de temps qu'il ne le faut à Plume, je vais avoir besoin de tes services !

Alors qu'il l'entrainait dans le salon, il le laissa en plan quelques secondes le temps de revenir avec un grand coffre qui paraissait lourd, mais qui en fait ne l'était point, c'était seulement un bon moyen de l'impressionner en le portant à bout de bras ! Il le déposa sur le sol et l'ouvrit pour montrer ce qu'il allait porter pour le mariage à celui qui venait d'arriver.

Tu vois ça fait beaucoup de choses à mettre tout ça... Et ça me semble bien compliqué ! Tu veux bien me donner un coup de main ?

Il prit son regard de chien battu, ou ses yeux de biche, chacun son animal préféré après tout, et s'étira quelque peu avant de se lancer et sortir un à un les vêtements qu'il allait porter, les classant par ordre à mettre, certains pour la fin, pas question de se retrouver comme un héros des temps modernes avec la culotte par dessus le pantalon !

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ya
Elle était arrivée vraiment en avance et le monde arrivé à compte goûte .Elle en profita pour se recueillir un moment .Puis elle vit une jeune femme arrivée , elle sourit reconnaissant alors dame Milyena .

Elle la vit prendre place à ses cotés , se poussant avec joie un peu pour lui laissait de la place pour s’asseoir


Hé Bonjour elle lui sourit rho dame Milyena appelez moi juste Ya nous ne somme pas en garnison Je suis toute seule oui cela me fait plaisir que vous veniez prendre place à mes cotés pour cette belle cérémonie .Alors comment allez vous ?

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Phelim
Après une nuit de dépravation et de beuverie, tôt le matin, le Vicomte d'Oingt s'était présenté à la porte du Seigneur de Divajeu pour lui proposer de venir faire un tour sur le port, avant qu'il ne rejoigne sa couche pour dormir, pensant que le bastard aussi peut-être venait tout juste de rentrer de taverne.

Après un petit temps d'attente, Geoffroy adorant se faire désirer, la porte s'ouvrit sur le beau grand et fort (mais moins que Phelim hein) futur marié.


Tu tombes bien ! Je vais avoir besoin de tes services ! Si j'veux pas me préparer en plus de temps qu'il ne le faut à Plume, je vais avoir besoin de tes services !

Retenant un baillement, il entra en se passant une main dans ses cheveux bruns en bataille, ses yeux bleus le fixant dubitatifs. Mais de quoi lui parlait-il? Tout du moins, ses pas suivirent ceux du jeune homme, pour connaitre le fin mot de l'histoire.
Le Seigneur de Tassin la Demi Lune fut encore plus perplexe en voyant le gros coffre de bois que portait le Lyonnais. Soit dit en pensant, ce dernier avait du prendre en musculature pour tenir ainsi à bout de bras ce machin qui avait l'air lourd. Son regard plongea à l'intérieur du contenant dès qu'il fut ouvert, enfin de découvrir ce qu'il refermait.


Tu vois ça fait beaucoup de choses à mettre tout ça... Et ça me semble bien compliqué ! Tu veux bien me donner un coup de main ?

Ses doigts grattèrent sa barbe naissante, donnant à l'Imprévisible un grand air méditatif. Aucune réponse ne fut donnée tout de suite, ses mirettes suivant en silence le classement des vêtements. Geoffroy voulait s'habiller en grande pompe pour le Conseil Ducal?
Son visage palit quand Phelim comprit de quoi il était question. Le mariage, comment avait-il pu oublié. Et lui ne pourrait pas y allait non plus habillé comme ça !

Heureusement que Plume ne pouvait pas le voir, il imaginait déja le long monologue de reproches de la femelle :
"Tsss, tu as encore oublié la date de mon mariage alors que tu es mon témoin !
Pti Phel, on ne peut te confier aucune responsabilité.
Encore heureux que tu n'ais pas les alliances, tu les aurais perdu au jeu !
Pti Phel ^-^
Je me demande ce que je vais faire de toi.
Tu devrais prendre une secrétaire, tu ne devrais pas avoir de problème pour en trouver.
Non mieux, une femme.
Quand te décideras tu as te marier Pti Phel? ^-^
Regarde, moi j'ai enfin trouver la chaussure de mon pied.
Enfin, tu serais capable d'oublier aussi la date de ton mariage Pti Phel"

Enfin donc, pour le coup, la voix de la dame de Sauzet dans sa tête finit de dissipé les brumes dans sa tête. Il regarda le Connétable, cette fois-ci avec un peu plus d'intelligence dans ses azurs qui ressemblaient un peu plus tôt à ceux d'un bovidée.

Le Juge baissa la caboche pour se sentir. Pouah ! Il se pencha ensuite vers son compagnon pour vérifier qu'il avait pris un bain lui. Re pouah !


Oui, je t'aiderais à mettre ton attirail. A deux, ça serait bien le diable qu'on arrive pas à comprendre le mécanisme de tout ces vêtements. Trouve moi des habits à ta taille, peu importe à quoi ils ressemblent, pourvu qu'ils ne sentent pas la bière.
Du temps, je vais demander qu'on apporte deux baignoires.


On aurait presque pu croire qu'il commençait à s'affoler le témoin. Il héla les domestiques qui restaient disponible dans cette mesnie, et leur demanda d'apporter bassine et eau chaude. Puis, il alla jusqu'à la commode de Divajeu, pour sentir les différents parfums de bain qu'il possédait afin de sélectionner ceux avec lesquels le fils d'Elorane se laverait. C'est qu'il ne voulait point que sa petite protégée prenne peur en reniflant une odeur de fauve cette nuit quand elle devrait perdre sa vertue.
Comme on dit, le loup ne peut manger le petit chaperon rouge qu'une fois déguisé en grand mère.

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tazspike
taz arriva calmement devant le lieux saint avec avec vanes a son bras afin d'asister au mariage de leurs amis

ne voyant personnes devant il entrèrent tout deux et allant s'assoir a l'intérieur il appércurent ya et milyena deja assise et allèrent a leur rencontre

bonjour ya , bonjour mily vous etes deja la , vous ne vouliez pas arrivé en retard je pense

il y a encore de la place pres de vous ? a moins que vous ne souhaitez pas de notre presence pres de vous ^^



taz leurs souriaient en tenant vanes par la taille
Aldraien
Laval, une journée comme une autre, ou pas tout à fait…

12 avril. Une date comme les autres, ou pas tout à fait. Pour Ald, ça resterait une journée de plus à la recherche de sa Suzeraine. A la recherche de sa vie qu’elle avait perdu, au détour d’une taverne. Mais une journée à laquelle elle se devait de porter attention, car elle avait reçu, il y a quelques jours de cela, une invitation tout particulière, une invitation qui concernait le mariage de deux amis du Lyonnais Dauphiné qu’elle connaissait depuis…depuis longtemps.
Alors elle mettrait sa rancune, sa haine et sa folie de côté, le temps de la rédaction d’une lettre.
Bien sûr, elle aurait pu se déplacer, se rendre en Lyonnais-Dauphiné pour assister en personne à l’union de ces deux êtres. Mais non. Alors, l’Ecuyère, sur les nerfs qu’elle était, faisait les cent pas dans l’auberge qui leur servait de camp de base.

Alors ! Ca vient ce vélin et cette encre, nom de Dieu ! Bougez vous bande de larves, c’est pas le moment de me faire attendre !

Oui elle s’énervait, la rouquine avait perdu toute notion de patience depuis qu’Elle avait été enlevée. C’est que sans catalyseur, fallait pas espérer réussir à la calmer. Et plus les heures passaient, plus son état empirait, de savoir que les chances de la retrouver vivante était quasiment nulles à présent…Sur ses épaules, la cape azur que portait Antlia et qu’elle avait retrouvé dans la forêt lors des recherches…Elle n’y avait pas touché, aussi on pouvait encore voir les tâches de sang qui étaient présentes ça et là sur le tissu, comme un rappel de la mission qui était devenue sienne dès l’instant où elle avait su que l’Etoile avait été enlevée.

Les femmes qui avaient été désignées pour s’occuper d’Ald avaient dans le regard ce petit quelque chose d’effrayées, prêtes à s’enfuir en prenant leurs jambes à leur cou si la silhouette plus que terrifiante, ensanglantée même s’il ne s’agissait pas de son propre sang, décidait d’exploser, chose qu’elle était prête à faire depuis un moment. Alors elles s’étaient exécutées, rapidement, et avaient disposé de quoi écrire à la rouquine sur une table.
Elle s’était attablée, prenant la plume, commençant à réfléchir à ce qu’elle allait écrire.
C’est-ce qui était bien avec le principe épistolaire, on pouvait tricher, faire comme si tout allait bien. Et elle avait bien l’intention de ne pas gâcher cette journée si importante pour les deux.
Voilà, elle avait réfléchi, et la silhouette encapuchonnée se penche sur le vélin pour y coucher ses mots.

Citation:
[i]Laval, le 12 avril de l’an 1458, [/i]


[i]A Plumette et Geoff, mes amis,


Salut et vœux de bonheur et prospérité.

Je vous écris en ce jour si particulier pour vous faire part de mes meilleurs vœux et de mes félicitations pour votre mariage. J’en profite également pour vous remercier de l’invitation dont vous m’avez honorer, et m’excuser de ne pouvoir être présente à vos côtés en ce jour unique pour vous. Je suis actuellement en mission pour la Licorne et il m’est impossible de me déplacer, de plus je ne voudrai pas obscurcir la joie de ce moment.
Je vous souhaite de vivre heureux et d’avoir tout le bonheur qu’il vous sera possible d’avoir. Puisse Aristote veiller sur vous et votre famille.

Amicalement,

Ald,
Dame de Chamaret,
Vassale de l’Etoile,
Ecuyère de la Licorne.

[/i]
De la cire et son blason apposé dessus, le vélin est ensuite confié à une des servantes pour être mené en Lyonnais Dauphiné.

Tu te débrouilles comme tu veux, ce message doit être mené en main propre au Seigneur de Divajeu ou à la Dame de Sauzet, et au plus vite. Va, maintenant.

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ya
Parlant avec Milyena elle vit Taz et Van arrivaient prés d’eux .Elle leur sourit et se leva pour leur faire la bise à tous deux .

Contente de vous voir vous deux pour sur qu’il y as de la place rho pas de votre présence prés de nous bien au contraire aller prenez place

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_geoffroy_
C'est qu'il était assez long à comprendre ce Phel.. Mais une fois que tout était bien assimilé dans son joli crâne de beau mâle fort et intelligent (^^), on pouvait bien compter sur lui !

Oui, je t'aiderais à mettre ton attirail. A deux, ça serait bien le diable qu'on arrive pas à comprendre le mécanisme de tout ces vêtements. Trouve moi des habits à ta taille, peu importe à quoi ils ressemblent, pourvu qu'ils ne sentent pas la bière.
Du temps, je vais demander qu'on apporte deux baignoires.


Des habits.. Humpf.. Il avait déjà eu du mal à trouver les siens... Tant pis, il devra se contenter de vêtements aux couleurs de sa famille qu'il portait quand il y avait des diners avec des convives.. Alors qu'il s'excitait avec les domestiques pour faire remplir deux baquets, Geoffroy monta jusqu'à sa chambre pour fouiner dans ses affaires puis sortit les vêtements qu'il lui fallait... Il avait la même corpulence que lui de toute façon, donc il ne devrait pas y avoir de problèmes de taille...

Phel ! J't'ai trouvé de quoi t'habiller après l'bain !



Il déposa les vêtements sur un des sièges puis alla chercher les siens. Les deux baquets fin prêts, il s'empressa de retirer les quelques vêtements qu'il portait au réveil, et s'engouffra dans l'eau chaude. Adossant l'arrière de son crâne au rebord du baquet, il s'ennivra quelque peu de l'eau parfumée pendant quelques minutes, le temps de se détendre et se reposer encore un peu, puis rouvrit les yeux pour attraper la savonnette et finir de se faire tout propre.

J'te passe la savonnette Phel t'attrape ?

Il lança son regard vers l'autre baquet, la savonnette à la main, prêt à lui lancer. Une fois l'attention requise, il le lui lança, réflexes... ? Haussement d'épaules, il ne traina pas et sortit de son baquet pour s'enrouler dans un draps de soie blanche pour se sécher, en mettant un à sa disposition une fois qu'il aura terminé... regardant les différents vêtements en se grattant la nuque..

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Sagaben
Pensant à toute l'action qui s'étaient donnée ou qui se donnait en ce moment pour les préparatifs, notamment vestimentaires, c'est en coche que la famille d'Amilly arriva à Vienne.

Eleanore avait dormi pendant le trajet. On le lui avait conseiller car elle devait être en forme et suivre la messe de manière attentive. Assise en face de ses parents, la petite fille s'éveillait à la mesure du ralentissement de l'allure. A sa demande, la couleur bleutée prédominait dans les vêtements. Famille assortie. En voyant sa fille s'étirer, le Vicomte sourit de manière complice à son épouse. Depuis sa naissance, il ne pouvait s'empêcher de la dévorer des yeux dès qu'il en avait l'occasion. Sorte de papa poule. Il n'avait pu s'empêcher de la couver. Et ce n'est pas en grandissant, ou en vieillissant - cela dépendait de la personne - que ça s'arrangerait. Laragne voyait mal arriver le temps de ses premières amours... Il se pencha quelque peu vers sa fille.


Bien, donc la future mariée, est la vassale de tante Espoire. Et le futur marié, fils d'un des soldats les plus méritants du Dauphiné. Il est actuellement Connétable du Dauphiné, l'une des onze personnes qui aident quotidiennement le Gouverneur à diriger nos terres.

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Laura Di Constantini
Faisant suite à l'invitation de Geoffroy, Laura arriva devant l'église où allait avoir lieu la cérémonie d'union, dans une tenue un peu trop serrée au vu de son arrondi de re-re-future mère, mais bon, elle n'avait pas le temps de faire un tour chez le tailleur, et puis ça n'irait pas en s'arrangeant de toute façon. Alors une toilette un peu plus poussée avait suffit à atténuer les dégâts, et puis de toute façon, c'est sûrement pas elle qui serait le centre des attentions aujourd'hui. Elle se demanda d'ailleurs avec un malin plaisir à quoi pouvait bien ressembler le jeune Boissieu sans uniforme. Probablement le même en fait.

La Florentine s'avança parmi les quelques personnes déjà présentes et ne tarda guère à trouver une place pour soulager ses lombaires et ses chevilles. Elle regarda les quelques personnes alentours, une majorité de gens déjà en grande discussion, aussi préféra-t-elle rester tranquille tant que la cérémonie n'aurait pas débutée.
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