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Info:
Partie supprimée pour respecter la cohérence que certains ne comprennent pas. Mais comme Régis, Raoul et Raymond sont des bêtes de garde, je vous les mets ici. Bonne courte mais fun lecture.

Amour Crime et Botanique bis

Mimmome
[En passant par les salles avec mes bottes qui ne sont pas en peau hohohohoho avec mes Bottes qui ne sont pas en peau.]


Mimmome passa encore une fois devant cette salle du conseil.Cette fameuse porte qu'il aurait voulu passer, il aura voulu pouvoir la passer cette foutue porte, car ce passage aurait signifié la réussite professionnelle.
La porte parlait des événements qui s'étaient passé en Bourgogne jusqu'à maintenant ou mieux, les décrivait. En effet, la porte était décorée avec toutes les res gestae que les notables Bourguignons avaient accomplis jusqu'à maintenant.

Aprés tout, pourquoi ne pas reste contempler cette porte. Il n'y avait pas de garde devant. Meme si elle était verrouillé, on pouvait le savoir car il y avait une ouverture entre les deux porte d'où on pouvait apercevoir la barre de fer, rien n'empêchait de voir dehors.

Et puis, après tout, pourquoi ne pas espionner un peu ? Il appuya délicatement l'oreille sur la porte. Dieu, du noisetier, très mauvais isolant sonore. Il pouvait tout entendre. Ou quasiment tout. En effet, il semblait qu'une discussion animé sur les médecins était en cours. Et puis oohhh, intéressants, des malédictions sur quelqu'un. Et pas des moindres. Mimmome envoya Derrick faire le guet, et écouta le reste de la conversation.

Il étendit la voix tonnante de Breiz.



Un médicastre?! Vous voulez l'achever? Faites mander médecins! Et des rats, demandez des pièges pleins aux cuisines! Qu'on sache quels sont les verres empoisonnés!

Faut faire venir une civière, que l'duc aille ago...se reposer ailleurs. Dans son bureau, dans un premier temps. Puis... Il a des appartements à Dijon? En dehors de ceux du Château je veux dire, visiblement ici il n'est pas en sécurité!



Intéressant. Du poison. Sachant que c'était le plus gros propriétaire de Bourgogne de poison en tout genre, exception fait pour une Dijonnais qui le fournissait à son tour , il en connaissait un paquet au sujet. Une idée lui surgit alors.

Il pris le panier de pruneaux que Derrick portait toujours avec lui( Ba oui, Derrick c'est un Ecossait fan de pruneaux ), et toqua 2 fois à la porte.

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--Le_garde_de_mauvais_poil
Ras le bol qu'il en avait le Régis. Faire le pied de grue devant la lourd porte de chêne du conseil ducal, c'était casse pied. Surtout que le conseil s'enfermait systématiquement là dedans, il n'y avait pas moyen d'avoir le moindre ragot à colporter.
Alors, glandouiller pour glandouiller, il se cala confortablement dans le recoin de la grande porte. De toutes façons, il était là pour faire joli, il le savait. Les passant n'allaient jamais plus loin que la double porte battante au bout du couloir, à bien dix pas de lui. On avait beau lui dire que c'était un honneur et qu'il était le dernier rempart pour défendre les élus de Bourgogne, il le savait bien lui qu'il était là juste pour tenir la porte. Et se la prendre sur le museau, à chaque fois qu'elle était claquée. Et ramasser les pommes que l'nouveau duc laissait tomber devant le tableau de la belle rousse. Ah, ça, il la regrettait la rousse plantureuse. Elle était gironde dans l'habit ducal!
Heureusement, elle passait toujours, chaque jour, devant lui. Tout comme la délicieuse baronne Angélyque! Angel', comme il la surnommait dans ses rêves les plus fous. Dingue ce que la politique pouvait embellir les femmes de Bourgogne, ça oui. Casse pied le boulot, mais les compensations visuelles en valait la chandelle. Y'avait bien que l'autre rouquine, avec son gros ventre de femme enceinte, qui cassait un peu le tout. Encore qu'il paraissait que les femmes enceintes, c'était chaud comme une livraison de poix par les mâchicoulis!
Chouette conseil tout de même donc, si l'on exceptait quelques consultants comme le Duc Asdrubaelvect, raide comme un passe lacet, et le Duc Vaxilart, champion du troussage de jupons. Même l'évêque qui siégeait au conseil était une jolie femme alors sur que ça valait le coup de faire le planton toute la journée!

Mais... aujourd'hui serait une journée pas comme les autres. Les portes n'étaient pas encore fermées, et le duc commençait déjà à faire des siennes. Avide, Régis n'en perdait pas une miette. Ça se frittait, ça râlait! Ah ça, il en aurait à raconter pour une fois à la taverne! Elles étaient teigneuses les deux rouquines! Il les aurait bien fourrées toutes les deux dans sa couche lui, et ensemble encore! Elles demandaient que ça, un vrai mâle, ça se voyaient! Brusquement, le Duc lui paraissait sous un nouveau jour. Sur, ça devait défiler dans son bureau à cet homme là! Un homme, un vrai! Un solide, qui jamais de faiblit! Euh... beuh... qu'est-ce qu'il faisait par terre tout d'un coup?
Les bras ballants, Régis se fait bousculer par un Vaxilart qui pénètre dans la salle, essaye d'en ressortir, et finit par se faire claquer la porte au nez par le Juge. C'en est trop pour son esprit simple. Il n'a rien compris.

Il se concentre. Derrière les portes closes, il ne peut plus rien entendre. Diable qu'elles sont épaisses ces portes! Même la rouquine gueularde, on ne l'entend plus! Puis pourquoi le duc est tombée. Pense, Régis, pense! Poison!! Quelqu'un a dit poison. C'est sur, il faut qu'il oublie tout ce qu'il a vu et entendu. Sinon, il est mort. Il tient à la vie le Régis.
Alors il reprend sa fonction : il se tient bien droit devant la porte.

Cependant, après un certain temps, un bruit l'intrigue. Comme un gratouillement. Et ce bruit, il est certain qu'il ne vient pas de l'intérieur de la salle du conseil, non non. Il y a bien trop longtemps qu'il connait l'étanchéité de la lourde porte de chêne. Non... on dirait que ça vient... de la porte au bout du corridor, à dix pas de là. Celle que tous croient être la porte donnant directement sur la salle du conseil. Enfin tous. Tous ceux qui ne sont ni conseillers, ni consultants, ni anciens conseillers ni anciens consultants, ni valets, ni anciens valets, ni gardes et ni anciens gardes. Peu de monde finalement.
Il s'avance. Fier. Il va enfin affronter le danger, et protéger le conseil d'une attaque! Enfin, non, le duc est déjà tombé, mais il pourrait avoir son heure de gloire en repoussant un assaut où...

D'un geste brusque, il ouvre la porte. Et sa colère égale sa déception : immense. Ce n'est qu'un petit roturier de l'Assemblée Bourguignonne, pas un ennemi à repousser. Furieux, il s'exclame :


Sortez immédiatement d'ici! Le Conseil Ducal travaille! Vous n'avez rien à faire là! Circulez!

D'un geste vigoureux, il repoussa le petit homme et son valet, et leur claqua la porte au nez après avoir braillé en direction des portes de l'Assemblée :

Raoul! Raymond! Venez récupérer vos boulets! Y'en a 'core un qui vient déranger l'Conseil!

Porte claquée, barre à nouveau posée, il retourna prendre faction à dix pas de là, devant la vraie porte du conseil, fier d'avoir bravement défendu le Conseil Ducal de Bourgogne, d'où d'ailleurs aucun son ne filtrait. Il faudrait qu'il aille trainer aux cuisines pour avoir droits aux ragots. Mais à tous les coups, il serait encore le dernier informé... Ah, oui... elle était épaisse cette porte...

HRP : merci de respecter le RP choisi par LJD Eusaias s'il vous plait, c'est déjà assez pénible pour lui de devoir cesser de jouer sans qu'en plus on vienne s'incruster dans le RP de fin qu'il a choisi pour son personnage. Merci.
--Raoul_et_raymond




Raoul et Raymond surveillaient ... mais quoi donc ? Comment vous ne connaissez pas les plus célèbres gardes du palais. Même le Régis il était jaloux. Ba oui c'est qu'ils en voyaient passer du monde surtout des jolies filles. Ah la pépé et la présidente, deux belles brunes, bon la pépé l'est pas commode mais bon elle est si délicieuse. Ah et les rouquine, ouais ba pas toutes les rouquines, il y en a une elle les a maltraité. Mais oui ! Et les blondes, la pépé ducale et son air de Sainte Nitouche, elle devait être chaude comme la braise au lit celle là. Non vraiment Raoul et Raymond étaient les gardes les plus heureux du palais. En plus ils n'étaient pas dehors et recevaient de petits cadeaux. Le dernier en date était celui d'une petite dame revenue de Savoie avec un bouteille de Génépi. Ah la gentille petite dame. Il avait bu en son honneur, Dame Estainoise.

D'ailleurs la petite sœur se faisait désirée, Roul entreprit de les resservir quand l'Régis gueula dans les couloirs. Alors certes l'assemblée était pas loin mais c'était pas une raison pour brailler comme un veau. En même temps ce jour là, ils avaient vu le prévôt venir avec une vache. Ils sont bizarre les élus, venir avec des animaux de la ferme dans un palais. Ba en même temps c'était pas les affaires des deux hommes. Bref, ils cachèrent leur verres et allèrent voir ce qui se tramait. Et grand mal l'en fit.

Roul : Ah non pas encore lui ! Mais il peut pas arrêter de faire le zouave partout où il passe.

Raoul et Raymond se dirigèrent vers l'ex candidat à la présidence de l'Assemblée. Soit dit en passant il préfère l'avovêque qui est plus agréable à regarder même en colère. Bref, pas décidé vers le trublion. Les deux gardes se postèrent devant la porte fermée mais ça ils ne le savaient pas et empoignèrent l' homme.

Raymond : Hé ho, on passe pas ici. L'copain Régis il a dit non alors on obéit.

Raoul : L'assemblée c'est par là et qu'on vous reprenne plus ! Sinon c'est la présidente qui s'occupera de vous.

Raymond : C'est quoi c'te manière de vous mêler de ce qui vous r'garde pas ?

Les gardes commencèrent à tirer l'homme vers l'assemblée.
Mimmome
Et puis quoi encore? On oublie Derrick? Le grand écossait au muscles d'acier ? L'homme grand 2m 20? Celui qui peut labourer un champ sans cheval? Le terraseur de taureaux( ah , non , c'est pas vrai ça, en fait ).

Il semblait que ces deux imbéciles l'avait oublié. En effet, au son de son maître, Derrick pris par derrière les deux zozos, pris leurs deux casques, et les fit cogner un contre l'autre, non sans avoir profité pour leur arracher leur armes, les jeter par la fenêtre, et finir avec un bon coup de pied à l'écossaise.

Mimmome après avoir fait jeté les deux imbéciles dans les toilettes, et avoir fait appliquer une belle barre de fer à l'entrée des dites lattrines, s'en alla allégrement vers les archives avec son serviteur. Diantre, quels vilaines personnes qu'étaient les gardes. Il ne voulais plus avoir à faire avec eux.




Les MPs c'est sympa, surtout pour régler des soucis HRP.
Suppression des interventions HRP.

Bon jeu.
Atossa.


Plus tard

Topic divisé à la demande des joueurs de Mimmome, Poupounet et avec acceptation des joueurs de PNJs.
Départ à la poubelle imminent.

Bon jeu bis !

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