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[RP] Les Etuves de Gien

Liloute
Liloute les yeux brouillés par ses larmes, arriva aux étuves qui étaient déserte à cette heure… Elle avait mal à la tête et était encore toute dépitée de sa journée… Elle se déshabilla et entra dans l’eau chaude… Elle sentait tout son corps se détendre… Pourtant les larmes continuaient de couler le long de ses joues… Elle plongea sa tête sous l’eau comme pour essayer d’effacer ses mauvaises pensées… Mais rien n’y faisait… Non rien du tout… Même les tendre bisous de son homme n’ont rien put y faire…Elle sentait comme un sentiment de trahison de la part de son amie… Et comme si tous voulaient refreiner ses envies, ses idées… Jamais elle ne se serait permise de donner des conseils à quelque un de plus expérimenter qu’elle…. Et ça elle n’oublierai pas… Elle avait déjà vu changer les gens dès qu’ils ont un semblant de pouvoir mais elle ne pensait pas cela possible de sa part à elle… Elle remonta sa tête de l’eau et respira profondément… Elle était tellement jeune et naïve, tellement engagée et fougueuse… Elle avait tellement espéré participer au changement des choses… Que son travail ne soit pas inutile… Mais elle s’était encore une fois trompée… Et encore, elle versait des larmes… C’était la deuxième fois que cela lui arrivait… Et apparemment elle n’avait pas appris… Appris à être plus effacée, plus pondérée… Elle se rendait compte qu’elle n’était qu’une bête de somme, tout juste bonne à obéir aux ordres sans penser par elle-même… Puis elle esquissa un sourire en pensant à un détail qui lui avait échappé jusque là… Elle secoua la tête et cessa de pleurer… On lui avait reproché cette chose… Mais eux même n’étaient pas tout blanc non plus… Elle serra les dents en se redressant et sortit de l’eau et s’habilla en continuant ses pensées… Par cette promesse elle trouverait sans doute le temps bien long, mais elle savait qu’après pour elle s’ouvrirai une autre page de sa vie… Une page plus calme, ou elle les laisserai agir comme bon leur semble, ou elle se tiendrait loin des donneurs de leçon… Ou en tant que simple paysanne elle pourrait exposer ses idées au su de tous… Le temps pour elle aussi de prendre ses affaires et de partir… Trouver loin d’ici un autre coin de paradis, ou elle pourrait être libre avec celui qu’elle aime tant…
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--Lucie_la_gouvenante

Lucie était épuisée par le voyage, la disparition de Molly et les courses après le chaperon. Elle avait grand besoin de se détendre après cette rude semaine a marcher dans la neige et surveiller la petite, ce qui n'est pas une mince affaire !
Lucie pris donc la décision de prendre 10 minutes pour elle, et elle seule. Elle s'était dit qu'à cette heure tardive il n'y aurait personne aux étuves et que ce n'était pas plus mal.
En entrant dans la bâtisse elle vérifia qu'il n'y avait personne et se dirigea vers la pièce ou apparemment l'on abandonnait ses habits.
Peu habituée, Lucie mit quelques minutes avant de se décidée et après maintes tergiversions, commença a défaire sa robe. La laissant glisser au sol dans un froissement de tissu elle l'enjamba. La gouvernante ne put se résoudre a quitter sa chemise, tout de même se baigner nue alors que l'on peut être surprise! Non décidément non, c'est donc dans sa longue chemise que Lucie ira se baignée.

Enfin prête elle se dirigea vers le bassin et se glissa dedans, un léger "Plouf" se répercuta sur les murs des salles vides de l'endroit. Lucie resta accrochée au bord, la natation n'était pas son point fort... Elle se posa son menton sur ses mains et regarda par la petite fenêtre la course des nuages dans le ciel.


Molly_folie
Molly avait grand besoin d'un bain, c'est donc couverte de boue et de poussière qu'elle se dirigea vers les étuves de Gien.

Elle prit la peine de laisser ses pauvres haillons a coté des frusques brodées de Lucie et courut jusqu'au bassin, un énorme plouf retenti cette fois, Molly vit Lucie se retourner soudain et sourit.
Elle avait encore réussi a lui faire peur, c'était si facile. En barbotant la petite s'approcha de Lucie et l'éclaboussa.


"Lucie, je m'excuse pour toute a l'heure, j'aurais pas du partir comme ça sans prévenir, tu m'en veux pas hein? dis?? " Molly avait prit sa petite expression de chien battu, ses grands yeux larmoyaient et elle vit Lucie craqué, et la serrer dans ses bras. C'est gagner...
Après avoir barboté avec Lucie, Molly reparti la laissant la entourée d'eau chaude et vapeur, Molly avait envie d'aller explorer la ville et surtout une grosse envie de dormir.
Elle remit ses haillons et parti en courant vers d'autre aventure ...

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--Lucie_la_gouvenante
Lucie n'en revenait pas, cette gamine arrivait a la faire céder rien qu'avec ce petit air...Seigneur cela ne va pas être facile de l'élever! Lucie avait vu la petite patauger et elle prit le parti de faire la même chose, elle lâcha le rebord et...coula a pic !

D'un coup de pied au fond elle remonta affolée, elle qui ne savait que vaguement flotter ! Elle se raccrocha au bord tremblante, les mauvaises idées elle en avait bien trop, cela en devient inquiétant !
Elle sorti du bassin pour se remettre de ses émotions et essora un bout de sa chemise trempée qui lui collé au corps, révélant ses formes. Elle en rougit, bien qu'elle fut seule, quelle impudeur ! *aller ma fille tu a passé assez de temps a barboter, il faut que tu t'occupe de la petite, elle s'est surement encore endormie dans un coin!*
En soupirant Lucie se leva et parti vers les vestiaires. Elle se sécha et remit ses habits, fin prête elle sorti dans le froid de la nuit et rejoignit Molly.

Lorette56
Lorette avait enfin trouvé le chemin des étuves, il avait hâte d'y être puisqu'il s'avait que Lucie s'y trouvait et que c'était l'occasion rêvée de la coincer dans une alcove et de lui compter fleurette.....avec délicatesse, bien entendu.
Son estomac se noua lorsqu'il la vit sortir de l'établissement.
Trop tard, trop tard, trop tard.
Il était vert de rage et de frustration, il tapa de toutes ses forces le plat de son épée contre son bouclier pour évacuer son dépit.
Il vit Lucie s'approcher d'un air étonné, mais il ne l'attendit pas, il s'enfuit sans mot dire pour aller se cacher et ruminer sa déception.
--Lucie_la_gouvenante
Un bruit se fit entendre, Lucie se retourna et vit une ombre partir en courant, mais qui est-ce ? Surprise mais curieuse,Elle cria au vent:

" Hey ! Attendez !"


Trop rapide était l'ombre Lucie haussa les épaules, Gien était vraiment peupler de gens étrange !

--Lucie_la_gouvenante
C'était a nouveau l'heure de prendre un bain et de se détendre, la jeune Lucie en avait lourd sur le cœur pour sa petite protégée, la voir ainsi trainée en justice par des adultes sans cœur, elle incapable de se défendre, pauvre enfant si tôt séparée de ses enfants, et si tôt prise par les malheurs de la vie. En soupirant Lucie défit son corset et laissa glisser ses vêtements au sol. Le froissement du tissu habiter la salle vide de toute autre personne.
Lucie défit ses cheveux qu'elle cachait souvent sous un voile et avança, habillée d'obscurité vers les bains.
Elle se glissa dans l'eau, et sentit ses muscles un a un se détendre dans la chaleur. Un sourire vague se dessina sur son visage et elle ferma les yeux, abandonnée a des rêveries incertaines.


Akim
Akim avait entendu parler des étuves. Elle avait été ravit d'apprendre qu'à Gien un tel endroit existait. Parce qu'en hiver aller relaxer dans l'eau était plus qu'improbable sans un lieu pareil.

Lorsqu'elle y arriva suite à une marche quelque peu ardue, ne connaissant pas les rues et les ruelles comme les gens qui vivaient ici depuis des lustres, Akim découvrit un espace quasi désert.

Elle découvrit chaque lieu, pour bien choisir la salle qu'elle prendrait et une fois décidé, lentement elle laissai glisser sur sa peau satinée le tissus de son vetement sur le sol et doucement entra dans l'eau pour s'y abandonner avec délice.

Une véritable de sensation de paix et de douceur envahit son corps en laissant celui ci se mouvoir sensuellement à cet eau bénifique. Elle prit donc le temps de flotter sur l'eau, comme elle avait apprit d'un seigneur auquel elle préférait ne pas trop se souvenir, et ferma les yeux pour apprécier pleinement ce plaisir merveilleux. Repoussant loin tout tracas qui pourraient troubler sa béatitude du moment.
Akim
Il va s'en dire qu'Akim en eut tôt fait et prit le soin de sortir pour secher sa peau de la serviette qu'elle avait apportée. Doucement elle commença par le haut de son corps, essuyant le galge parfait de chacun de ses seins, son ventre, ses bras....et elle descendis sur la sveltesse de ses jambes aux mollets parfaits. Pour terminer avec son dos passant le tissus derrière.

Les frissons qui parcourèrent alors sa peau, fit durcirent un élément de son anatomie que vivement, elle se revetie en se disant qu'il était bien dommage qu'aucun homme digne de ce nom ne puisse en profiter.

C'est le corps apaisé qu'elle quitta les étuves pour retourner dans sa cambuse, sirotant du Calva devant le bon feu. Aujourd'hui elle fait jeûne. Question d'avoir plus vite ce champ de maïs. Demain enfin, elle serait digne de Gien. Paysanne.

Elle se promettait de retroussement de vetements dans les foins. mmmmmmm.
--Le.marin
Le marin avait remonter la Loire, et arrivé a bon port avec son équipage, et un capitaine de méchante humeur, le marin avait déguerpi le plus vite possible. Il avait passer deux mois sur mer et fleuve,il était sale comme un chien errant! Ses vêtements étaient poisseux de sel, et sa peau en était recouverte. Il n'y avait qu'une seule solution : Les étuves!

D'un pas vif il s'y rendit. Une jeune dame quitter les lieux, dommage, son déhanché était fort joli. L'homme osa les épaules et parti pour se débarrassé de ses frusques. Une fois nu il se glissa dans l'eau chaude et ses muscles martyrisés par les tempêtes hivernales se détendirent. Enfin un endroit ou il sentait bien, la mer avait ses avantages comme ses inconvénients. Marinant, le marin se laissa flotter la surface du bassin, en souhaitant que cette ville avait de belles femmes.
--Yomine
Yomine par le malheur des betes sans nom, avait été arrosée par une bestiole qui sentait tellement fort, qu'elle n'avait pas le choix d'aller aux étuves pour prendre un bain. Elle qui d'ordinaire ne le fait qu'au printemps. Mais avouons, que là, sa clientèle n'apprécierait pas.

C'est donc avec réticence qu'elle alla la dedans et trouva un bassin qui a première vue semblait vide juste qu'a ce que son regard tombe sur un homme flottant sur l'eau.

Doucement alors, elle enleva ses vetements et rentra dans l'eau qui a sa grande surprise était chaude. Comme elle pensa t elle amusée. Après tout elle était une femme et toute une femme.
--Le.marin
Le marin cessa de flotter quant il entendit le bruit feutré des vêtements, ou plutôt des jupons, qui glissent au sol. Il se retourna pour voir d'où provenait ce bruit et a sa grande surprise vit une femme, son corps souple se glissant dans l'eau chaude, le marin en était tout chose. Par bleu pensa-t-il, moi qui viens de passer deux mois en mer, je peux pas laisser passer une si belle donzelle!
En deux brasse il fut près d'elle, en souriant il parla : " Le bonsoir damoiselle, l'eau est bonne?" Jetant des coups d'œil plus ou moins discret, le marin se dit que s'il y avait une femme comme ça dans tout les ports il aurait vite fait de rester a quai.
--Yomine
La femme, nullement farouche par cette approche, sourit de toutes ses dents tout en s'aventurant entièrement dans l'eau.

Bonjour sir, je suis Yomine, femme ordinaire de Gien, taisant pour le moment son métier de femme de joie et ajouta, et, mmmmmmm il est plaisant de voir une ame dans ce lieu désert! Pour ne pas dire un mâle aussi homme qu'il l'était. C'est que la donzelle, avait eut le temps de voir une appendice d'une importance agréable poindre avant qu'il se mette debout dans l'eau tout comme elle et nage lentement vers elle. Vous n'etes pas d'ici je crois ?

De tout coeur, elle espérait que l'odeur n'avait pas toucher sa peau que bien des hommes adoraient caresser, ou maltraiter, mais soit, c'était sans importance et suivit du regard l'homme qui la détaillait.
--Le.marin
Le matelot n'y croyait pas, une donzelle ordinaire aurait prit la fuite ne voyant un homme nu sous ses yeux, elle avait l'air -non seulement de s'y connaitre- mais aussi de ne pas avoir froid aux yeux. Le comportement de la femme lui arracha un sourire. Le marin fit doucement rouler ses muscles dans l'eau tout en regardant la femme qui parlait.

" Pas d'ici, non c'est certain, j'viens d'la mer, j'suis un marin damoiselle. Pour être exact j'viens d'l'embouchure de la Loire. Après deux mois d'mer, vous rendez compte. " Le marin laissa les mots en suspens une petite lueur dans l'œil et une main qui hésiter a saisir la belle par la taille et a l'embrasser.
--Yomine
Le regard de Yomine brilla à cette réponse franche. Il brillait de plaisir et de désir. Certes, pour la première rencontre, elle ne dirait rien de son activité, mais peut etre que par la suite, serait il un client fidèle.

C'est donc dire, qu'elle-meme s'approcha, au point que sa poitrine, généreuse, de belles rondeurs bien ferme, au galbe parfait, effleura le torse du marin.

Alors, si ça vous dit, je suis votre donzelle d'une nuit. Voilà, c'était dit. Sans fausse pudeur. Sans autre manière. Et se levant sur la pointe des pieds, elle lecha le lobe de l'oreille de ce dernier. Sans rien toucher d'autres. Sauf que de lui, mmmmmmm, une certaine raideur caressait sa peau à un endroit très sensible.
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