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Le réfectoire

Nennya


Lieu de repas, les élèves se verront administrer de l'huile de foie de morue si ceux-ci ne se tiennent pas correctement à table. Les magistrers prendront leur repas à une table à l'écart. Toute volée de petit pois intempestifs sera réprimandé.
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Eloise.de.guerande
A peine la cérémonie de remise de la soie rouge terminée, que la jeune Eloïse se tourna vers tous ses camarades enrubannés et s'écria d'une vois forte et joyeuse :

A TABLE ! Le dernier arrivé est de corvée de vaisselle !


Elle se reprit immédiatement, se souvenant qu'elle n'était pas à l'office de Guérande et que Germaine la cuisinière n'était pas là pour apprécier la blague rituelle. Elle s'arrêta dans sa course débutante et sans se démonter, éclata de rire et reprit :

MAIS non, euh ! C'était pour rire ! En vrai, le dernier arrivé me donne sa part de dessert !!

Et Chouchen sur ses talons, elle partit en trombe, jupon relevé, toute émoustillée et sans doute émoustillante, mais, de celà, elle n'en avait point encore conscience, pour arriver la première en salle du réfectoire.
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Eloïse de Guérande - 13 ans - Fille de son PaPitou et de sa Maminou, ducs de Guérande, pays de Bretagne.
~~Je veux être tout ce que je suis capable de devenir ~~
(Pour vos dons de PR - merci)
--Frenegonde
Bien manger avait toujours été une chose des plus importantes pour Russo. Cela voulait dire manger des spécialités locales, et si possible faites à partir de produits rares, de gibiers difficiles à chasser, et chercher ces plats spéciaux en remuant ciel et terre le temps qu'il fallait. D'autre part, une alimentation digne de ce nom se devait d'être prolifique en viande, patés, tourtes et rotis variés.
Bref... d'un côté, il fallait que les magisters soient nourris comme il sied à leur rang. D'un autre côté, il fallait que les collégiants soient nourris, mais sans faste, pour qu'ils se concentrent sur leurs études sans dépérir. Hors de question d'avoir une brochette de ventres engourdis par la digestion, ronflant au lieu de s'instruire.

Une cuisinière serait prochainement recrutée, en attendant, Russo avait envoyé sa fidèle (et vieille et muette) Frénégonde s'occuper de l'office.



Les consignes étaient simples: préparer un repas de plats typiques de la capitale. Frénégonde devait se rendre aux halles, s'informer - ce qui n'était pas commode quand on ne parle pas -, puis choisir le repas, acheter les produits - également délicat en gesticulant, mais la vieille avait l'habitude - , les ramener sur une charrette à bras, et préparer de quoi manger.

Frénégonde s'était donc affairée. Certes, elle avait profité de l'occasion, elle n'aurait pas forcément d'autres occasions d'aller flaner en capitale, débusquer de jeunes puceaux à son goût. Donc apprêtée, pomponnée, rasée de près, lavée des mains et des pieds.
Une fois rentrée, elle s'était mise au travail en cuisine.

D'abord une soupe gratinée aux oignons, histoire de remplir l'estomac de la marmaille.
Puis un agneau à faire rotir avec des petits bouquets de persil sous la peau. De la viande tendre, pas du vieux boeuf de labour mort d'épuisement comme en mangent les paysans. Les collégiants auraient droit à une petite tranche pour gouter, les magisters seraient abondament servis. Un accompagnement de champignons complèterait. Il se disait que les champignons étaient une spécialité parisienne, élevée dans des caves, comme le vin, les nains, et les fromages.
Ensuite, une platée de fromages régionaux, odorants et coulants à plaisir. Et du bon pain de froment, du pain de riches, pour accompagner tout cela.
En boisson, du vin des vignes de montmartre, coupé d'eau pour les enfants, bien sur..... qui voudrait attraper des miasmes en buvant l'eau de la Seine ?

Les tranchoirs avaient été disposés sur les tables. Frénégonde était muette, mais pas sourde, et le pas de la meute de collégiants à travers les couloirs se faisait entendre à 30 pas. Un dernier tour de louche dans la soupe, elle attrapa le chaudron, et le traina jusqu'au réfectoire, et commença à remplir les bols, sans jamais renverser une goutte.
Qu'un marmot fasse le mariole ici, et elle lui mettrait quelques coups de louche sur les mollets. Faut pas abuser des vieilles personnes.
Aymeric_de_saunhac
L’heure du repas enfin ! Pour cela, inutile de me le dire deux fois, je suis la petite troupe vers le réfectoire sans broncher. D’ailleurs, si je savais où il se trouve, j’y serais déjà…

À mesure que j’approche, les flagrances du très certainement merveilleux repas qui nous a été préparé me narguent les narines. Si je me fie à mon odorat surdéveloppé, tout au moins pour reconnaitre la nourriture, je dirais qu’il s’agit d’une viande rôtie avec… (snif snif) des champignons ? Oui peut être des champignons… Une autre odeur s’y mêle mais je ne parviens à la distinguer clairement. Si la rectrice ne passait pas au moment même à coté de moi, j’en aurais presque oublié sa promesse de me priver de viande. Étaient-ce des paroles en l’air ou avait-elle vraiment l’intention de le faire ?

En entrant dans le réfectoire, je suis surpris d’y trouver Frénégonde affairée à disposer les plats. Le collège ne procède t-il donc pas de ses propres cuisinières ? À moins que Russo ait préféré imposer la sienne par peur de ne pas manger convenablement… Il est vrai qu’il est préférable de rester sur des valeurs sûres. Puis la fidèle servante sait à quel point sa maitresse aime à découvrir les mets locaux.

Discrètement, j’invite Elyalle à manger à coté de moi. De tous les collégiants présents, elle est certainement celle avec qui je pourrais le mieux m’entendre. Au moins ne ressemble t-elle pas aux autres « pintades » comme dirait le garçon aux pâtes de fruits. Puis elle s’intéresse à la chasse et aux joutes ! Par certains cotés, elle te ressemblerait presque… presque…

Lorsque frénégonde passe près de moi pour me servir ce qui ressemble à une soupe, je lui adresse un petit sourire puis la complimente sur ce repas qui sera comme toujours forcement délicieux. Reste à voir si j’aurais le droit à un morceau de viande ? Puis pas un petit, un vrai morceau… Russo dit que pour être fort il faut manger de la viande, puis pas n’importe qu’elle viande. Il faut manger de la viande d’ours pour être très fort… ou de la viande de sanglier mais on est moins fort avec de la viande de sanglier… Forcement, l’ours c’est plus fort qu’un sanglier…

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Elyaelle
Le réfectoire. Tout les élèves ou presque s’y ruèrent, à croire que les discours interminable des magisters avaient ouvert l’appétit des collégians.
Ely en lâcha même la main de Clémence, ouvrant grand les yeux pour découvrir toute émerveillée le collège, ses couloirs et son réfectoire.

Jamais elle n’avait vu si grande pièce. Déjà que la salle où ils étaient lui paraissait immense, mais alors celle-ci encore plus.
Les grandes tables dressées devant eux rendaient l’endroit impressionnant mais devant la bonne humeur de certain collégians, la fillette se laissa a son tour envahir par l’excitation et la gaieté.

Le garçon qui lui avait parlé sous le porche l’invita a s’asseoir a ses cotés, Ely lança un petit regard vers Clémence et s’installe tout a coté d’Aymeric. Une dame un peu bizarre les cheveux tout hirsute qui faisait penser à la gamine au père Filibert le jardinier du domaine de Chaumont, leur servit une soupe.
Au premier regard, Ely fronça les sourcils. Si l’odeur était délicieuse, l’aspect était tout autre.


-Qu’est ce c’est qu’ca ? Demanda-t-elle à son voisin en grimaçant légèrement. Dis tu crois qu’elle s’est pas trompé ? C’est pas la soupe pour les chien ça ?

Mais sans attendre la réponse, la fillette plonge sa cuillère dans le bol et trempe ses lèvres, goutant le mets.

-Hum… ah non, c’est bon en plus !!! Mais pas aussi bon que la soupe que fait Ana !
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Jehan_de_montfaucon
Tout fier d'avoir son cordon rouge au bras, Jehan rejoignit le réfectoire à l'annonce de la Rectrice. Les autres élèves s'y rendaient également.

En tête du cortège, la jeune fille qui était arrivée en parlant bizarrement. Elle semblait impatiente de manger au vu de son élan pour se rendre au réfectoire. Elle semblait également vouloir nouer le contact avec les autres en proposant un petit concours. Le dernier arrivé devait être de corvée de vaisselle. Était-ce vrai ? Pouvait-elle ordonner une telle chose parce qu'elle l'énonçait ? Elle avait parlé bizarrement la première fois. Il semblait qu'elle agissait également bizarrement.

C'était à peu près ce qui passait par la tête de Jehan à ce moment-là. Il avait vécu toute sa vie presque coupé des autres enfants. En tout cas, des autres enfants ne venant pas d'une noble union. Il n'avait pas forcément les mêmes règles que les autres. Et son passage en ce Collège lui permettrait justement de se mettre au même niveau que les autres. Il était né fils de noble, il avait été élevé en tant que tel. Et l'éducation qu'il recevrait dans ce Collège n'en ferait pas exception.

Ne sachant pas trop s'il devait prendre la jeune fille au mot, il préféra avancer un peu plus vite que la normale, juste histoire de laisser au moins une personne derrière lui. Il ne savait pas encore quel serait le dessert, mais dans le cas où ce serait quelque chose qui lui faisait envie, il ne voulait pas avoir à le céder.

La salle était grande. Plus grande que la salle à manger du Château de Bailleul ou encore du Manoir de Hoegaarden. Bien plus grande. Un groupe d'élèves était déjà assis. Le jeune garçon qui l'avait fait saliver auparavant en parlant de tout un tas de mets, ainsi qu'une jeune fille.

Ne sachant s'il pouvait s'asseoir à leur table, le jeune de Montfaucon leur demanda :


Bonjour. Je peux m'asseoir avec vous ?!

Devait-il se présenter ? Oui, c'était peut-être plus poli. Il continua donc.

Je suis Jehan de Montfaucon.

Il s'était apprêté à dire la suite, celle qu'il aimait bien dire à chaque fois qu'il avait à se présenter. "Père est le Grand Chancelier de France". Il était fier de son père et il ne se lassait jamais d'en parler. Il ne se rendait pas spécialement compte de l'effet produit. Mais, il ne savait pourquoi, lui qui donnait souvent l'impression d'être hautain de par son élocution, s'était arrêté à son nom et prénom.

Regardant alternativement l'un puis l'autre, il attendit un assentiment afin de pouvoir s'installer à leur côté.

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Majda_eulalie
Arrivant dans la salle, quasiment la dernière, le jeune Hervald la laisse passer... Il est vraiment tel qu'elle l'avait imaginé. Passant donc devant, bien qu'elle sache qu'il y a apparemment une privation de dessert pour le dernier, elle le regarde et d'un sourire amical lui murmure :
On partagera le dessert, en souvenir de la Provence, jeune homme. Il serait injuste que vous vous en priviez pour moi.

Arrivée près de la table, elle s'installe, et se signe, récitant une brève prière, pour remercier du repas qu'ils vont prendre. Ensuite, elle regarde le potage, et soupire, l'appétit n'est pas au mieux, et les évènements récents font qu'elle n'a vraiment pas très faim. Après deux petites cuillerées, elle repose sa cuillère, ne pouvant en avaler plus.
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Aymeric_de_saunhac
Un bouillon ? Une soupe ? J’ai beau touiller le liquide, je n’y trouve pas grand nombre de légumes. En revanche, une sorte de fromage fondu s’entortille tout autour de ma cuillère. Bien sûr, ce n’est pas pour me déplaire. De toute façon, les légumes, c’est pas bon puis ça ne sert à rien… Ça rend même pas fort ! Bon puis c’est un plat de Frénégonde donc c’est forcement bon…

- (Elyaelle) : Qu’est ce c’est qu’ca ? Dis tu crois qu’elle s’est pas trompé ? C’est pas la soupe pour les chien ça ?
- (Aymeric) : Qu… quoi ?? Non non… Enfin… Cracotte aimerait certainement mais ça sent bon donc ce doit être bon non ? En tout cas moi ça me donne envie de (…)

- (Elyaelle) : Hum… ah non, c’est bon en plus !!! Mais pas aussi bon que la soupe que fait Ana !


Zut voila qu’elle me devance pour gouter la soupe de Frénégonde. J’ai l’air de quoi moi maintenant moi qui est d’habitude le premier à commencer et cela va sans dire le premier à finir les plats. À moi la soupe ! (slurp)


- (Jehan) : Bonjour. Je peux m'asseoir avec vous ?!


Quand je mange on ne me déconcentre pas. Non, jamais, sinon je mords !


- (Jehan) : Je suis Jehan de Montfaucon.

Bon d’accord d’accord… Mais après on me laisse manger tranquille !


- (Aymeric) : Bonjorn ! Il y a de la place je t’en pris… (puis entre deux cuillères) Moi c’est Aymeric !
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Clemence


Une fois les cordons attribué à chacun, la rectrice annonce l'heure du repas...ce qui engendre un léger gargouillis dans l'estomac de Clémence. Un bon repas ne serait pas de refus. Une bonne viande ou encore un bon poisson le tout accompagné de légume, elle en baverait presque tellement qu'elle a faim.
Cependant à l'appel d'une collègue à faire la course, la jeune Maledent garde une marche dira-t-on...normale. Ni trop rapide afin de relever couloir et repère sur le chemin, ni trop lente pour surveiller l'état d'Elyaelle ainsi que de pouvoir vite manger.

Inconsciemment la jeune fille surveille à présent un peu trop sa voisine de banc lors des présentations des magisters, ce qui fait qu'elle ne râte pas le regard lancé une fois dans la salle à manger. Une invitation à s'assoir à ses côtés? Soit! Pourquoi pas?
Ainsi, Clémence s'assoit de l'autre côté d'Elyaelle, qui est à présent encadré par elle et Aymeric. Sa voisine à déjà attaqué sa soupe, tandis qu'elle salut d'un signe de tête les deux garçons.
En cet instant, elle se rend compte qu'il lui faudra tout de même apprendre les noms de ses collègues, cela serait plus pratique tout de même.

Il est temps de jeter un regard à sa soupe, alors qu'elle va en prendre une première cuillère, presser par l'estomac qui ne cesse de réclamer de quoi manger, la jeune Compalite s'arrête, repose son ustensile et joins les mains en guise de prière.

*Très Haut! Fait en sorte que mère est un bon repas en Provence, ainsi que tous les soldats.*

Cela fait, elle se sers une tranche de pain et commence va pour commencer sa soupe, lorsqu'elle se souvient qu'elle n'est point seule chez elle....les magisters!
Tiraillé entre l'envi de goutter à ce qui ressemble à une soupe gratiné et qui est une merveilleuse entrée et le devoir d'attendre après les magisters, Clémence choisit la voie de l'esprit et attend, en regardant en direction de la table des Magisters.
Lorsqu'ils seraient tous installé et qu'ils entameraient leur repas, elle se permettrait de faire de même...cependant pourvu qu'ils le fassent assez vite, autrement les bruits de son ventre commenceraient à être entendu de ses collègues et puis, la soupe finirait froide.

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12 Description à venir
Heloise_marie
En suivant les autres élèves, Héloise arriva dans le réfectoire, la salle était grande et spacieuse et le haut plafond vouté lui fit courber la tête en arrière. Elle regarda ensuite les tables et vit que certains élèves s’étaient déjà assis l’un près de l’autre. Légèrement gauche et intimidée par tant de personne, et n’ayant point l’habitude de se fondre dans la masse ou de lier contact facilement, elle se dirigea deux places plus loin que le premier groupe s’étant installé, comptant bien garder une place pour sa sœur en posant son sac à côté d’elle. L’autre place était vide, d’un côté, elle priait pour que personne ne se pose, ne sachant pas quoi dire ou quoi faire si jamais la discussion prenait forme. Rougissant légèrement en passant devant Aymeric Elyaelle Johan et Clemence, elle posa son sac sur un siège et s’assit dans l’autre.

Une fois posée et ses pensées dissipées, un effluve d’odeur s’attaqua à ses narines et Héloise prit conscience qu’elle était affamée. Depuis le matin elle n’avait point mangé et toutes les émotions de la journée l’avaient rendue fébrile. Elle leva son visage mutin vers les buffets ou une vieille femme s’activait. Elle leur servit une soupe d’une bonne couleur. Jetant un coup d’œil autour d’elle, elle remarqua qu’ils n’étaient vraiment pas nombreux à s’être déplacés jusqu’ici. Trainaient-ils encore pour ces horribles bandeaux ? Fichtre si le temps qui était nécessaire aux bandeaux s’avérait le même pour un devoir une punition ou un cours, ils ne risquaient pas d’avoir beaucoup de temps libre. Un léger soupire s’échappa de ses lèvres. Elle fut tentée un moment de sortir son matériel pour écrire une lettre à sa mère, lui décrire les endroits, les gens les profs et les activités, mais ne voulant pas déranger toute la table ou se faire réprimander déjà le premier jour, elle reporta ça à plus tard.
La jeune fille croisa ses jambes et posa ses deux mains sur ses cuisses, guettant alors l’arrivée de son reflet tout en chipant quelques brides de la conversation d'à côté.

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Isaure.beaumont
La jeune Morvilliers voyait se presser ses nouveaux camarades. Certains allaient par deux, d’autres seuls. Bientôt, elle fut dans le réfectoire. C’était une vaste pièce au plafond haut et vouté. De lourdes et grandes tables de chêne s’alignaient. Certains collégiants avaient déjà pris place, Aymeric la petite fille aux tâches de rousseur et la pimbêche étaient assis ensemble. Un des jeunes retardataires, debout près d’eux semblait attendre quelque autorisation pour prendre place. Que faire ? S’isoler au bout de la table pour goûter au silence et savourer son assiette ? Ou alors aller s’installer face à la benjamine de la promotion ? Sachant que la dernière possibilité reviendrait à s’attirer les foudres du jeune Sauhnac, lui qui ne voulait rien à voir avec elle, la digne Wagner ! S’isoler ou se fondre dans le moule, là était le dilemme. Elle connaissait la solitude et s’en accommodait plutôt bien, mais se mêler aux autres l’attiraient tout autant pour la première fois.

Sa décision était prise. Il fallait penser au plaisir qu’aurait sa Clémence à apprendre que sa jeune cousine s’était conduite sérieusement. C’est donc l’air de rien qu’elle vint prendre place face à la jeune Elyaelle sans un regard pou ses voisins et le jeune Jehan toujours debout. Peut-être venait-elle de prendre la place qu’il convoitait. Peu importe ! Elle faisait déjà assez d’effort comme ça, et puis si cette place l’avait vraiment intéressé, il se serait battu pour la garder.


Droite sur sa chaise, la petite bleue regardait la fillette.

Elyaelle, c’est bien cela ? C’est un bien joli nom que vous portez ! Je suis Isaure. Isaure Beaumont-Wagner, damoiselle de Morvilliers.


Sourire enjôleur pour Elyaelle, regard de défi pour Aymeric. Et de reprendre d’une voix douce :

Que de monde pour cette première rentrée ! Cela en serait presque impressionnant ! Avez-vous fait bon voyage ? De quelle région venez-vous ?
Hervald
La magistere Russokarine avait prit tout son temps pour lui remettre son ruban, du coup Hervald était probalement dans les derniers a arrivé au refectoire, voir meme le dernier.

Il avait entendu que le dernier arrivé serait privé de dessert, c'était peu probable, mais sait on jamais, il laissa Majda entrer la premiere afin d'etre sure qu'elle ne soit pas la derniere.

Les combats en Provence leurs avaient permis de developper une amitié naissante, et sa présence le réconfortait un peux, car il se demandait si les deux orgeuilleuses, la petite timide, les deux turbulent, je jeune homme éffacé, ou les jumelles pourrait etre amis avec lui. Quand aux autres il n'avait fait que les appercevoir.

Il entra dans le refectoire apres avoir laisser s'écouler quelques instants. Immence piece aménager de tables de chêne accompagnées de chaises du meme bois, un pan de table avait deja été monopolisé par les premiers arrivés.

Majda était assise un peu a l'écart, mais pas assez loin des autres a son gout. Il n'avait pas envi de répondre a leur questions, a vrai dire il ne voulait meme pas les entendre. Celle qui lui sembla etre Heloise-Marie, il n'avait pas encore trouvé de moyen sur pour les diférencier, avait pris place deux chaises plus loin. manifestement elle souhaitait etre un peu a l'écart des autres, et gardait surement un place pour sa jumelle.

Ou allait il donc s'assoir ?

Majda était trop pret des autres collegiants, les jumelles voulaient manifestement rester entres elles, il n'allait donc ni s'assoir en face, ni a coté d'elles. Il lui restait le bout de table.

Il s'était un peu fait a l'idée que par la force des choses son lien de parenté avec la toute puissante rectrice l'isollerait des autres, cela commençait juste plus tot qu'il ne l'avait prévu.

Quitte a etre seul, autant le faire avec classe, aussi alla t'il s'assoir tout en bout de table, sans croiser le regard des autres, et c'est sans relever la tete qu'il attendis d'etre servit.

De la soupe, il detestait ça, la journée prométait d'etre une des pire de sa vie, enfin si l'on met de coté la foi ou il avait faillit se noyer a cause d'une tempete en mer.

Il avait faim et la soupe sentaient pas trop mauvais, avec un peu moins de mauvais esprit il aurait meme été jusqu'a dire qu'elle sentait bon.

La table des magisteres n'était pas complete il fallait attendre que la soupe refroidisse par dessus le marcher. C'était vraiment une salle journée.

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Loelia
Un amas d'enfants qui s'engouffrent dans la porte de sortie tel un antonoir, peur de se faire bousculer, Cyanne observe en retrait avant de passer a son tour le seuil, legerement en arriere. Les longs couloirs résonnent les chamailleries de chacun. Murmures d'admiration pour ces tunnels sans fin, d'amusement avec leurs camarades, et le cliquetis de certaines choses sur le carrelage. Une seule porte ouverte d'ou émane une lueur de clarté ainsi que les voix melangées des élèves. Entrée en douceur, un tentiné curieuse, son regard parcourt la salle immense. Difficile choix, se placer avec les deux jumelles, ou avec le reste des élèves. Son envie de comprendre le comportement si différent d'Aymeric l'attirerait en temps normal a se meler discrete et silencieuse au petit groupe, mais son aisance a parler en petit comité plutot qu'aux tablées inondées de monde, la rend réticente.
Bon décide toi vite ma fille, tu vas pas coucher là... Va pour les deux fillettes du fond.
Proche de la table, ses yeux interrogateurs demande autorisation, par politesse, à s'assoir en face de la petite Heloise. Les manières de celle ci et sa belle tenue dégage un coté distingué familier a la jeune Cyanne et surtout rassurant.

Voyant une vieille dame rabougrie servir le soupé à ses voisins de table un peu plus loin, une moue de repulsion se dessine sur le visage de la belle, qui s'empresse de cacher son état de surprise par un sourire. Pour sure elle ne manquerai pas a regarder par deux fois si un cheveux ne s'est pas égaré dans sa soupe. Aperçevant les professeurs dont Geronimo, la jeune dame de Mions ne pu s'empecher d'avoir une pensée pour Maximien, Gerbo et Nyna. Enserrement nostalgique leger de son sac rempli secretement de necessaire de dessin, avant de prendre place. Un jeune homme semblant ne savoir ou prendre place capta son attention. Lui proposer de venir ici? mes les jumelles le voulait elle? et puis comment faire, elle ne le connaissait pas... de grands signes? un regard insistant? A la maison un valet aurait été murmurer à l'oreille du jeune homme que Cyanne aurait bien aimé l'inviter a sa table mais là... Decidement il allait faloir qu'elle apprenne a vivre seule.. mais se comporter avec les autres dans certains contexte demeurait une enigme pour elle. Elle laissa ses perles de bronze verdoyant observer le jeune homme, peut etre alors il remarquerait quelque chose, peut etre pas, nous verrons bien. Il avait fini par prendre place seul.. tant pis. Il ne manquait plus que le petit dernier arrivé et la jumelle? Il fallait donc attendre pour commencer a manger.. dumoins elle le croyait avant d'en voir certains gouter au plat malgré tout.

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Jehan_de_montfaucon
Bonjorn ! Il y a de la place je t’en pris… Moi c’est Aymeric !

Aymeric ?! Aymeric comment ?! Juste Aymeric ?! Voilà qui intriguait une nouvelle fois le jeune Jehan.
Mais bref, il avait la permission de s'asseoir, ce qu'il ne manqua pas de... tenter... À peine allait-il poser ses fesses qu'il se vit ravir sa place sous ses yeux. Protestations de la part du jeune de Montfaucon.


Hey !!! J'allais m'asseoir ici. La table est-elle donc si petite ?!

Il avait retrouvé le ton. Ce ton qui le caractérisait. Le ton hautain qu'il avait acquis durant son enfance. Il était né bâtard, ce qui lui avait laissé des cicatrices. Et il fallait bien s'en protéger. C'était l'arme qu'il avait trouvé. C'était peut-être bien maigre, mais il s'en était accommodé. Et son ton hautain lui était resté, plus tard, lorsque l'union de ses parents avait été officialisée. C'est ainsi qu'il s'était exprimé, du haut de ses presque 9 ans.

Puis, ne voulant pas provoquer de dispute dès le premier jour, il se décala, de manière à être en face du jeune garçon. Assis, Jehan s'était redressé de tout son long. Il avait été vexé. Voilà qui commençait bien...

Regardant l'assiette que lui servit la vieille dame, Jehan ne perçu nullement l'agacement d'Aymeric devant le fait de devoir parler durant le repas. Il continua donc, tentant d'ignorer sa voisine.


Connaissez-vous déjà des collégiants ici ? Moi, je ne connais personne. Et avez-vous entendu tous les cours que nous aurons ? Je suis arrivé en retard à cause du cocher. Et du temps aussi. Quel temps aujourd'hui, n'est-ce pas ?
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Nennya
Le flot de monstres venait d’entrer dans le réfectoire, la voûte en bois faisait raisonner le bruit de la marmaille noble. Elle les laissa se place à leur souhait sur les bancs, et attendit que ses collègues viennent avec elle, se disposer sur une petite margelle avec une grande table de bois, en léger retrait des enfants. La cuisinière avait disposé déjà la mangaille, tranchoirs et soupe, il y avait aussi une viande tout à fait odorante peut être badigeonné d’herbes, son ventre se mit à faire un bruit tout à fait caractéristique d’une grande faim.

La Duchesse lorgnait son fils, elle ne pouvait s’empêcher de le surveiller un petit peu, en toute discrétion, il était isolé des autres, pourtant, il se montrait habituellement social et joyeux, ce n’était pas dans sa nature de se retirer ainsi.

Elle se souvint de la punition de Aymeric et héla la cuisinière que Dame Russocarine avait prévu pour l’occasion.


-Dame la cuisinière, je dois vous féliciter, ce repas m’a l’air tout à fait délicieux. Puis-je vous demander de ne pas donner de la viande au jeune garçon ayant les cheveux blonds et les yeux rouges, il est déjà punit à peine la rentrée débutée.

Nennya se montrait ferme, elle n’aimait pas l’irrespect et son lot de punition ne ferait que s’agrandir au fur et à mesure des bêtises, aidée par ses collègues, qui eux aussi, savaient déjà quoi faire en cas d’indiscipline. Ici on apprenait, on ne faisait pas le pitre, on devait tenir un rang quand on était l’héritier ou l’héritière d’une grande famille. Elle leva son verre et s’adressa à ses collègues :

-Magisters du Collège Saint Louis de France, que l’avenir soit rayonnant, à vostre santé !
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