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Bal faisant suite aux joutes de Saint-Omer en l'honneur de la naissance de l'héritier de Deedlitt et Grégoire d'Ailhaud-Cassel.

[Repas et Bal] Grand fracas pour une petite Décoration

Esquerrier
Bon, demain soir tout le monde ira à la fin de ces festivités, ce qui signifie que toute la journée les domestiques circuleront dans tous les sens pour que tout soit parfait. Cette nuit était donc LE moment pour Esquerrièr de faire ce qu'il devait.

En pleine nuit donc, alors que tout le monde se reposait dans ses chambres, Esquerrièr se faufila jusqu'à la salle des festivités. Heureusement, celles-ci étaient simples d'accès, il n'avait pas à se perdre dans l'habituel dédales des châteaux.

Pour plus de discrétions, il ne portait aucune chausse ce qui était fort gênant au vu du sol fort glissant quand on était déchaussé. Il n'avait avec lui que le gui et de quoi l'accrocher. Guidé par les rayons de lune, il était désormais devant la grande entrée de la salle des fêtes, restait à trouver comment aller tout là-haut pour y mmettre le gui.

Il alla chercher une chaise le plus discrètement possible... On eut pas dit comme ça, mais c'est lourd ce mobilier ! Il ne glisse pas et réussit son coup. La chaise devant la porte, il monte dessus et... non c'est pas assez. Il va falloir improviser : monter sur les reliefs de la porte ? On va le faire. Remettons la chaise sur le côté pour le moment.

Quelques minutes plus tard, notre chevalier s'est perché en haut de cette porte entr'ouverte pour la circonstance, il se contorsionne et à force d'efforts accroche enfin le gui : qui entrera dans cette salle accompagné se devra d'offrir un baiser.

Mais la porte s'ouvre encore et encore, équilibre instable pour notre décorateur, il choit.


Ouch !


Il vaut mieux ne pas s'éterniser ici, pour la discré....


*CLING !* *BLING !* *CHLONG !*
PAR LES COUI**** DU SAINT PERE !!!


Oups, sorti tout seul le juron. Oui, en se relevant il a glissé et n'a trouvé rien de mieux que se raccrocher à ces armures décoratives. Il n'a pas le temps d'avoir mal il faut se barrer, et fissa !
On vient ! Vite cette porte, ce couloir... à droite ! Le voilà désormais perdu dans ce château....
Deedlitt
La Comtesse venait préparer la salle de bal ainsi que les tables immenses ou le repas marquant la fin de ces festivités serait donné. Depuis son accouchement elle avait le cycle du sommeil troublé aussi, c'était avec conscience qu'elle se rendit dans la Salle de bal.
Après tout un domestique ca ne dort pas, et la comtesse était capricieuse.

Alors qu'elle était dans le couloir, elle entendit un grand bruit et un juron fort peu Aristotélicien....
Elle se hâta d'aller se rendre compte de l'ampleur des dégâts. Quand elle poussa la porte elle vit une silhouette s'éloigner.


Qui va là?

Mais il était trop tard il semblait que la silhouette était déjà loin. Peut-être même ne l'avait on pas entendu.
Elle convoqua les valets et autres servants...Une fois les lustres allumés elle vit enfin ce qui avait motivé le fuyard. Une chaise à terre, et plus haut, au dessus de la porte, du gui...Cela la fit sourire, aussi elle laissa la plante en place et garderai son baiser pour son époux quand elle le croiserait. Cependant cela ne la détourna pas de son but premier, installer la salle cette nuit....Ces insomnies quel calvaire...Surtout pour les domestiques. Elle frappa dans ses mains.



Aller on s'active. Je veux d'immenses tables tout le long, je veux que l'estrade poru les musiciens soient finis au petit matin!

Elle observa le chantier, une fois celui ci bien avancer, elle décida que cela l'avait épuiser, aussi elle retourna se coucher, laissant les domestiques à leur tâche.
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Deedlitt
Le lendemain matin, la comtesse conduisit les troubadours, cracheurs de feu et autres bouffons jusqu'au lieu de la réception. Elle ouvrit les portes tout était parfait, il ne restait qu'a afficher les plats. Par humour et clin d'œil à son amie la Vicomtesse de Bapaume, sur le menu on pouvait lire "Chevreuil accompagné de sa gelée de Groseille" en autre mets.
La salle se voulait richement décorée. Chacun était libre de se placé ou il le souhaitait tant qu'elle était aux cotés de son époux et non loin de la nourrice de son fils, chargée de la présenter à l'assemblée.

Elle ordonna aux musiciens de s'accorder et au cuisines de s'activer tout devait être prêt pour qu'après la finale tous puissent venir se restaurer et s'amuser ici.

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Gédéon
La finale venait de s'achever, et Gédéon s'était retrouvé habillé et lavé une nouvelle fois contre son gré. Sa dernière prestation en tant que serveur ayant retapissé de soupe une invitée du mariage du couple comtal, la domesticité avait décidé qu'il se tiendrait à la porte.
Qu'il ne devrait pas ouvrir le claper, ni, bouger, ni faire quoi que ce soit pouvant mettre en péril l'harmonie du banquet et du bal.

Les musiciens se mirent à jouer, l'air entrainant se faisant entendre jusque dans les jardins, signalant que les festivités culinaires et joyeuses commençaient.
Valets et serveurs s'emprèsserent de vérifier que tout était parfait, les invités pouvaient désormais venir se restaurer et danser.
Lunedor
La question était: canne ou pas canne? Si elle avait eu un cavalier, la question ne se serait pas poser mais tel n'était pas le cas. Donc, canne ou pas canne?
Avec, elle était plus assurée et pouvait se déplacer de façon autonome, mais pour danser... il ne fallait pas y penser. Non pas qu'elle sache bien danser, mais on ne savait jamais, sur un malentendu...
Sans, elle avançait à tâtons mais avait l'avantage, une fois assise par exemple, de pouvoir essayer de paraître normale et donc de moins repousser les prétendants.
Cruel dilemme.

Peut-être pouvait-elle concilier les avantages de l'une et de l'autre situation? Par contre, cela impliquait d'arriver vraiment tôt...
La décision fut prise et l'on vit apparaître une jeune Malemort joliment vêtue alors que les musiciens n'en étaient encore qu'à leurs premiers morceaux. Ils s'étaient d'ailleurs payés le luxe d'une légère dissonance dans leur final. La canne claquait sur le sol mais cette rythmique disgracieuse prendrait fin bientôt.

Au seuil de la salle d'où provenaient la musique, Lune' s'arrêta un instant pour estimer ses dimensions et imaginer sa disposition. Pas de conversations, il semblait qu'elle soit la première arrivée. Parfait.
Elle se dirigea vers le centre de la pièce jusqu'à ce qu'elle trouvât enfin table et siège face à celle-ci. Elle s'assit et mit sa canne sous la table, dans le sens de la longueur pour qu'on ne trébuche pas dedans tout en prenant garde à pouvoir l'atteindre avec son pied. Ainsi elle ne paraissait handicapée en rien mais ne se trouvait pas dépourvue d'appui.

La soirée pouvait commencer.

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Ylalang
Les invités arrivaient petit à petit au banquet, probablement affamés après cette journée passée dans le froid des tribunes.

L'arbitre, une fois les dernières formalités accomplies, décida qu'il était temps de profiter un peu de l'hospitalité et de la bonne chère fournie par ses hôtes.

Vêtue d'une houppelande purpurine dévoilant sa peau blanche, des broderies d'or florales partant de ses manches pour monter jusqu'aux épaules, elle entra dans la grande pièce qui les accueillerait pour la soirée. Pas de plan de table affiché, tant mieux, et déjà les musiciens tâchaient de faire de leur mieux.

Elle leva les yeux vers les branches de gui suspendues à l'entrée de la salle de réception, et un sourire amusé. "Celui qui guérit tout" était un présage de bon aloi pour cette soirée.

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MarieAlice
Elle avait fini par y arriver à ce banquet, même s'il lui avait fallu plus de temps que prévu.

Une drôle de scène dans une tente, un sentiment de malaise toujours présent, et puis elle se devait de venir. Après tout, elle avait quelque chose à faire. Serait-ce une réussite? Elle n'en avait pas la moindre idée.

Erel devait se trouver juste derrière elle, du moins le bruit de la béquille lui semblait proche. Un pas pour entrer, un autre pour lui laisser de la place tout en regardant la salle et les gens présents. Rapide mouvement de sa main pour sentir le parchemin glisser dans sa manche, elle l'avait appris par coeur mais savait-on jamais..Le tout était de trouver le bon moment.

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Erel de Dénéré
[Sur le chemin du Château]

Bien... Nous y allons? Vous m'expliquerez tout ceci en route.

Et sans attendre, la voilà partie. Une femme énergique à n'en point douter, cependant elle garda une allure convenable de manière à ce que le Dénéré munit de son atèle et de sa canne puisse la suivre. Très vite, il s'enquit d'être aux côtés de la Vicomtesse, de manière à pouvoir lui parler normalement, et il remarqua par la même occasion que son atèle de fortune lui permettait de marcher normalement et sans douleur, et surtout sans l'aide de la canne.

Il déglutit.

Le moment d'expliquer donc, Erel prit son courage à deux mains.


-Et bien que dire...? Peut-être le savez-vous, mais tout à l'heure lors que des quarts de finale, j'ai perdu contre le Vicomte Argael et suis tombé lors de la deuxième lance, en me blessant à la cuisse droite.

Il s'arrêta de parler quelques secondes. S'intéressait-elle vraiment à ce qui lui était arrivé? En tout cas il valait mieux parler que laisser le silence s'imposer.

-Tout de suite après, je suis allé me détendre et me laver à la tentes des cuves, ce qui me laissait peu de temps pour me préparer lorsque je suis revenu dans ma tente. Malheureusement un médicastre m'attendait pour m'examiner de haut en bas, et lorsqu'il est parti, le valet que vous avez interpellé pour me prévenir de votre arrivée est entré dans la foulée alors que je ne m'étais pas encore rhabillé, il est ressorti confus et a, apparemment, mal transmis mes dire.

Le Dénéré avala sa salive.

-Vous connaissez la suite...

Sans s'en rendre compte, le temps de l'explication et ils étaient déjà quasi arrivés à la salle de bal.

-Encore une fois je vous prie de bien vouloir m'excuser... J'ai seulement voulu être courtois en vous invitant dans ma tente pour vous accompagner jusqu'au château... Et voilà.

Ils entrèrent dans la salle. Un bref coup d'oeil lui indiqua que Deedo n'avait pas fait dans la petite mesure.
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MarieAlice
Petit à petit invités et participants arrivaient, prenant place autour de la table, discutant des joutes, s'enquérant de la santé de tel ou tel malheureux tombé au bas de sa monture.

Marie avait remercié Erel de ses explications et l'avait assuré qu'elle ne lui en voulait pas pour ce quiproquo malheureux et que s'il avait besoin qu'elle plaide en sa faveur auprès de sa compagne, elle le ferait avec plaisir.

Les plats passaient, les discussions se faisaient plus enjouées, l'alcool aidant, les estomacs se remplissaient, les rires fusaient. Et...

Et...Marie devait se décider à remplir son gage.

Un verre à la main, l'autre dans la bourse accrochée à sa ceinture et contenant une émeraude particulière, elle observait la tablée, se demandant si le mystérieux expéditeur se trouvait ici. Oui il l'était forcément, sinon comment savoir si elle avait rempli son défi.

Elle se leva, se dit qu'après tout si le ridicule tuait, il ne resterait plus grand monde de vivant, prit son verre en main et le leva.


Rouge vermeil ou pourpre profond,
Doux en bouche, gouleyant
Faisant naitre visage rubicond
C'est son vin qui rend l'Artois flamboyant

Aussi je vous invite à lever vos verres en l'honneur de nos hôtes.


Bon ce n'était certes pas ses meilleurs vers mais c'était fait.
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Béatritz
Une voix jeune et claire s'opposa soudain, du pas de la porte de la salle du grand bal.

-"Et que faites-vous du vin bourguignon ?"

Béatrice de Castelmaure venait juste d'arriver. Après avoir un temps attendu son oncle, et se languissant de ce premier bal, pour elle - serait-elle mieux vêtue que les autres dames, y était-il de coutume que les hommes invitassent les jeunes femmes aux rondes et caroles, ou s'y lançait-on soi-même quand le coeur nous en disait ? Et pour la basse danse, qui assurément s'esquissait à deux, était-ce la préséance qui formait les couples sur la piste ?
Entre ce qu'elle en avait lu, entendu, et ce qui se faisait, la brune Castelmaure ne savait trop trancher, et cela ne fit qu'augmenter sa curiosité, tant qu'enfin, elle se résolut de prendre de l'avance sur son cavalier du soir, son oncle, que d'aucuns auraient plaisir à voir comme son chaperon - mais certes ne l'était-il pas.

Elle était arrivée au moment d'entendre une ode au vin artésien... Et en dépit des règles de l'hospitalité, elle dit :


-"S'il faut lever nos verres à nos hôtes et leur héritier, c'est volontiers, mais grand dieu, ne prenez pas pour prétexte la qualité du vin artésien, dont tout un chacun sait qu'il est de loin devancé par les vins de Bourgogne et de Comté !"
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
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