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Info:
Joutes de la naissance de l'héritier de Deedlitt et Grégoire d'Ailhaud - quarts de finale.

Quarts de finale !

Ylalang
Un page vint afficher les quatre duels du jour.

Citation:
Agnès de Saint Just, Vicomtesse de Bapaume, Baronne de Desvres et Dame de Seuiri contre Jontas de Valfrey, Comte de Beaufort, Baron de Clairvaux-les-Lacs
vs


Citation:
Erel de Dénéré, Seigneur de Herlies contre Argael, Vicomte de Monestier de Briançon, Seigneur de Montgenèvre, Seigneur de Saint Giraud et Seigneur de Chateauneuf de Galaure
vs


Citation:
Guidel de Mont-Dauphin, Baron de La Salle et Seigneur de Mont-Dauphin, écuyer de la Licorne et officier supérieur de l'Ordre de Saint Georges contre Guidonius baron d'Autry
vs


Citation:
Chevalier ESquierrier contre Grégoire d'Ailhaud, Comte de St Omer et de Lille
vs

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Patrick Salut
Citation:
Agnès de Saint Just, Vicomtesse de Bapaume, Baronne de Desvres et Dame de Seuiri contre Jontas de Valfrey, Comte de Beaufort, Baron de Clairvaux-les-Lacs
vs


Et voici le premier duel de ce jour ! Que nos deux concurrents entrent en lice !

Après un tour d'honneur rituel pour faire admirer leurs armures et blasons, les deux jouteurs se mettent en place chacun du côté de la lice. Les trompette se mettent à jouer, annonçant le début de la première joute.
Les deux cavaliers se mettent en place, abaissant leurs lances, et éperonnent leurs chevaux pour les mettre au galop. Les spectateurs retiennent leur souffle, et le comte comtois brise sa lance contre l'écu de la vicomtesse artésienne. Mais celle-ci reste en selle !
Ah ah que de suspens !
Jontas va se saisir d'une nouvelle lance, et ils se replaçent !

Ils se remettent en place pour la seconde passe, le suspens monte, Agnès de Saint Just semble décider à vendre chèrement sa peau !
Les trompettes sonnent à nouveau, et les chevaux s'élancent ! Mais là, les deux concurrents se ratent et se remettent en place pour la dernière passe. Tout reste à faire !

A nouveau le signal, les lances s'abaissent, et cette fois-ci Jontas vise correctement l'écu de la Vicomtesse et la fait chuter ! L'artésienne avait elle raté son adversaire, lui permettant ainsi d'accéder à la demi-finale !
Patrick Salut
Citation:
Erel de Dénéré, Seigneur de Herlies contre Argael, Vicomte de Monestier de Briançon, Seigneur de Montgenèvre, Seigneur de Saint Giraud et Seigneur de Chateauneuf de Galaure
vs


Le fracas des trompettes prévient les deux concurrents de se mettre en place de chaque côté de la lice. Les chevaux piétinent, attendant l'affrontement, tandis que les deux cavaliers préparent leurs lance. Ils s'élancent alors, sous les vivats de la foule.

Les deux jouteurs mettent leur chevaux au galop, lances baissées, dirigées vers l'adversaire. Messire Erel rate son adversaire malheureusement, tandis que Messire Argael vise juste, et brise sa lance contre son concurrent. Mais l'artésien reste néanmoins en selle sous les vivats de la foule !

Ils se remettent en place pour la seconde passe.

Les spectateurs retiennent leur souffle, tandis que les deux Jouteurs visent juste et que les lances se brisent sous l'impact. Erel vacille sous la violence du choc et finit par tomber à terre, se blessant à la cuisse, tandis qu'Argael reste vaillament en selle, obtenant la victoire !
Patrick Salut
Citation:
Guidel de Mont-Dauphin, Baron de La Salle et Seigneur de Mont-Dauphin, écuyer de la Licorne et officier supérieur de l'Ordre de Saint Georges contre Guidonius baron d'Autry
vs


Les deux jouteurs se présentent sur la lice, prêts à en découdre. Au son des trompettes, les deux chevaliers s'élancent, abaissant leur lance pour viser leur adversaire.
Le Baron Guidonius rate son concurrent, tandis que le Baron Guidel vise correctement, brisant alors sa lance sur le plastron de son adversaire.
Déséquilibré par le choc, Messire Guidonius chute alors de selle.

Le Baron Guidel est déclaré gagnant de la joute.
Patrick Salut
Citation:
Chevalier Esquierrier contre Grégoire d'Ailhaud, Comte de St Omer et de Lille
vs


Les deux concurrents se mettent à leur place, préparant leur lance, les chevaux piaffent d'impatience. Le signal du départ est donné !

Les deux jouteurs mettent leur chevaux au galop, lances baissées, dirigées vers l'adversaire.
Les deux lances volent en éclat sur l'écu adverse, et le suspens est à son comble, avant que le Comte d'Ailhaud ne chute finalement de selle, laissant la victoire et l'accès à la demi-finale au chevalier masqué, qui décidement fait parler de lui !
Guidel
Ouïssant le nom de son prochain adversaire, Guidel n'en revient pas, Guidonius, baron d'Autry, mais aussi et surtout pour lui Guidonius, le dernier "TEMPLE" à être entré en Chapelle des Hérauts de France, Guidonius qui officia auprès de ses amis, il y a bien longtemps de cela, lorsque Charles de Macquart, alors "DAUPHINE" annoblit ses vassaux de Rochechinard, Boursiero et Samuel Kamps.

Guidel ne peut se retenir. Voyant son adversaire prendre place, pour une fois il dérogerait. Lance toujours pointée au ciel, il s'élance au petit galop vers son opposant et arrivé à sa hauteur, lève sa visière.


Guidonius, successeur du Wulfen à l'hérauderie du Temple, ami fidèle de mon défunt mentor, Charles de Macquart, j'ai grand plaisir à croiser le fer avec vous en ce jour, c'est un immense honneur pour moi. Ma maison vous est ouverte comme l'a toujours été celle de Carnil de son vivant. Si vous traversiez le Lyonnais-Dauphiné, je serais heureux de vous accueillir afin de rappeler à notre bon souvenir cet ami trop tôt disparu.

Pour cette joute et pour toute autre, que votre chance soit bonne!


Et il repartit aussitôt en sens inverse pour rejoindre son côté et se mettre en place, avant d'élancer son cheval vers l'ancien templier.

Patrick Salut a écrit:
Citation:
Guidel de Mont-Dauphin, Baron de La Salle et Seigneur de Mont-Dauphin, écuyer de la Licorne et officier supérieur de l'Ordre de Saint Georges contre Guidonius baron d'Autry
vs


Les deux jouteurs se présentent sur la lice, prêts à en découdre. Au son des trompettes, les deux chevaliers s'élancent, abaissant leur lance pour viser leur adversaire.
Le Baron Guidonius rate son concurrent, tandis que le Baron Guidel vise correctement, brisant alors sa lance sur le plastron de son adversaire.
Déséquilibré par le choc, Messire Guidonius chute alors de selle.

Le Baron Guidel est déclaré gagnant de la joute.







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Guidonius
Guidonius repartit en lice pour les quarts de finales. Il était assez énervé par les forfaits de ses précédents adversaires. En entendant le nom de son concurent, il eut un petit sourire. L'adversaire était coriace, mais il savait que lui, au moins, ne se désisterait pas. Il se fit aider par son ecuyer pour monter Tornade et se harnacher.

Bien Jérome, voila un adversaire de taille. tiens toi pret, au cas où, car je sens qu'il me fera la vie dure.

Guidnoius vit son adversaire arriver vers lui, lance au ciel.Il eut la gorge nouée en l'entendant évoquer ses anciens amis disparus.

Guidel de Mondauphain, j'étais de fort mauvaise humeur suite aux désistements de mes précédents adversaires.Jouter contre vous me redonne joie à être ici.Et ce sera toujours avec grand plaisir que j'évoquerais avec vous la mémoire de Charles, disparu bien trop tot. Chez vous ou en mon domaine de Maledent, la porte vous y est grande ouverte. Joutons donc en sa mémoire et que le meilleur gagne.

Guidonius salua son adversaire et le regarda repartir en bout de lice. Avant de s'élancer, il dit un mot à son écuyer.

Mon fils, tu viens de voir là ce qu'est un vrai et grand chevalier, prend en de la graine.

Patrick Salut a écrit:
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Citation:
Guidel de Mont-Dauphin, Baron de La Salle et Seigneur de Mont-Dauphin, écuyer de la Licorne et officier supérieur de l'Ordre de Saint Georges contre Guidonius baron d'Autry
vs


Les deux jouteurs se présentent sur la lice, prêts à en découdre. Au son des trompettes, les deux chevaliers s'élancent, abaissant leur lance pour viser leur adversaire.
Le Baron Guidonius rate son concurrent, tandis que le Baron Guidel vise correctement, brisant alors sa lance sur le plastron de son adversaire.
Déséquilibré par le choc, Messire Guidonius chute alors de selle.

Le Baron Guidel est déclaré gagnant de la joute.







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Esquerrier
Spoiler:
 
Patrick Salut a écrit:
Citation:
Chevalier Esquierrier contre Grégoire d'Ailhaud, Comte de St Omer et de Lille
vs


Les deux concurrents se mettent à leur place, préparant leur lance, les chevaux piaffent d'impatience. Le signal du départ est donné !

Les deux jouteurs mettent leur chevaux au galop, lances baissées, dirigées vers l'adversaire.
Les deux lances volent en éclat sur l'écu adverse, et le suspens est à son comble, avant que le Comte d'Ailhaud ne chute finalement de selle, laissant la victoire et l'accès à la demi-finale au chevalier masqué, qui décidement fait parler de lui !
Citation:



Il était le dernier à jouter. L'annonce des candidats : Saint Omer... Ah ben ! Il joutait contre son hôte tout simplement ! Joute bien particulière en ce cas ! Il jouait à domicile et pas de doute, la clameur avait son héros, lui le chevalier d'Esquerrièr, masqué avait donc une lourde tâche : vaincre le favori du public. N'était-ce pas lui qui avait amoché un noble orléanais - dont le nom lui échappait - plus tôt dans le tournoi ?

Il avait aimé l'enthousiasme de celle dont il portait les couleurs lors des éliminatoires. C'est d'ailleurs elle qu'il saluait avant de saluer son adversaire. Son cheval était nerveux. était-ce la nervosité du cavalier qui se transmettait au cheval ou l'inverse ? Inspire, expire, ne lâche rien. Pas d'observation cela pourrait coûter cher.

Le chevalier Esquerrièr était un des rares à garder si longtemps son heaume avant et après les affrontements par volonté de discrétion mais cela le fatiguait, on n'était pas à l'aise dans ces armures !

Le signal, c'est à lui. On fonce, on vise on encaisse. Ouch ! Encore un choc bien dur. Il entend le public et sait qu'il a gagné avant de se retourner. Il est vite rassuré son adversaire ne semble pas blessé. Comme de coutume il se doit de commenter la joute.


Comte, ce sont là de fort belles festivités. Il est à espérer que le public, les invités et Votre grandeur apprécient ces fêtes, à la hauteur de la qualité du travail fourni pour les organiser.
Ceci étant dit, félicitations pour l'heureux évènement.


Il applaudit son adversaire, montrant au public le respect qu'il lui porte et sa gratitude pour l'hospitalité du Comte. Il donne lance brisée et écu à celui prévu à cet effet et s'arrête devant les tribunes, celle de sa belle, la salue plus ostensiblement cette fois : main sur le coeur avant de baisser la tête.

Les hommages terminés chacun se devait de se réparer pour la suite....




















Puylaurens
Eliminé la veille, le Seigneur des Auteux avait pris place dans le public pour ces quarts de finale. Il n'en était pas fâché compte tenu de sa douleur persistante à l'épaule ; jouter ainsi aurait été une sacrée épreuve, au plaisir discutable. Mais cela ne servait à rien de se complaire dans l'imagination d'un peut-être ; le résultat était sans appel, il regardait la suite de ces joutes depuis une tribune, et son épaule était bandée. Heureusement il n'avait point été nécessaire de mettre le bras en écharpe, cela aurait fort peu pratique. D'ailleurs il appréhendait un peu le bal qui ne manquerait pas d'avoir lieu, il aurait l'air fin si sa douleur le gênait de façon trop criante. Au moins ne le gênait-elle pas pour lever son verre, c'était déjà cela.

Les premiers concurrents arrivèrent en lice, ce duel était celui qu'il ne voulait pas manquer, car sa suzeraine y participait. Elle joutait mieux qu'elle n'avait bien voulu lui laisser entendre, il en voulait pour preuve sa présence à ce stade du tournoi. Il espérait qu'elle aille plus loin encore.
Las, ce ne fut pas le cas ; malgré une belle prestation et trois lances courues, la Vicomtesse de Bapaume s'inclina. Il lui aurait volontiers prêter son bras, c'était là le rôle d'un vassal, cependant une fois en lice tous les vassaux du monde n'étaient d'aucun secours. Il guetta la remise sur pied de sa suzeraine, cherchant à s'assurer qu'elle ne s'était point fait mal en chutant.

Il observa un peu plus distraitement la suite des joutes, notant simplement que son adversaire de la veille était parvenu à passer ce tour et que le maître des lieux, le Comte Grégoire, s'était fait battre sur ses propres terres. Cela aurait suffit pour faire parler du gagnant, mais ce-dernier avait de surcroit gardé ses traits masqués sous son casque et ne passait donc absolument pas inaperçu. Gageons que le mystère serait levé avant la fin des festivités...

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Jérôme
Jérôme avait suivit son père à toute les joutes. Les précédentes n'avaient pas eu lieu à cause des désistement des adversaires de son père, sûrement trop impressionnés. Une fois encore Jérôme était en direction de la liste avec son père, portant son bouclier et deux de ses lances.

Il aida son père à monter en selle, lui donna son bouclier et une de ses lance tout en lui souhaitant bonne chance.
Soudain il vit apparaître l'opposant de son père, en voilà au moins un qui ne s'était pas désisté et Jérôme allait enfin voir son père combattre.
Après quelques mots que les deux hommes échangèrent la joute commença.
Jérôme vit avec une certaine émotion que son père avait rater son adversaire, et lorsqu'il chuta Jérôme courût vers lui. Il lui ôta son heaume, et s'agenouillant à ses côtés demanda:


Père... Père vous allez bien ? Je vais faire quérir le médecin tout de suite ...

Jérôme se mit alors à hurler.


Un médecin, vite, un médecin pour mon père!!!!!

Aussitôt deux hommes arrivèrent il soulevèrent Guidonius et le mirent sur un brancard libérant ainsi la lice. Jérôme ne quitta pas son père, prenant soin de récupérer son heaume et les reste de son bouclier et prit les rennes de Tornades pour l'emmener hors de la lice.
Béatritz
[Joute d'Esquerrièr contre Grégoire d'Ailhaud]

... Ce que n'aurait pas souhaité Béatrice de Tapiolie, quoique son sentiment à ce sujet fût fort partagé. Non, elle espérait que le Chevalier Esquerrièr garderait le secret de son identité ; elle-même l'ignorait, et c'était bien pour cela : elle ne voulait pas découvrir qu'en fin de compte, c'était à un petit seigneur presque sans bien qu'elle avait confié l'honneur de ses couleurs.

Vu sous un autre angle, c'était un supplice de ne point savoir quel était l'homme de valeur qui, sous ses yeux, venait une nouvelle fois d'expédier en une lance son adversaire à terre. Si l'on faisait les comptes, des trois joutes qu'il avait déjà jouées, seule celle contre le Comtois Margny lui avait demandé plus d'une passe, et c'était tout de même par une chute qu'il avait emporté la victoire.

Une enclume, mais quelle courtoise enclume, que cet homme ! Un gaucher, qui n'avait rien de gauche.
Elle applaudit avec lui le maître des lieux, et lorsqu'il passa devant les tribunes, le gratifia d'un sourire de ses lèvres purpurines, et un regard fier, mêlé de bienveillance.


-« Messire, c'est un plaisir de voir que vous ne déméritez point. »
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
gnia



L'ennui d'être de la première joute était qu'on manquait assurément une partie des duels suivants. Mais l'on évitait aussi de voir les autres chuter et finalement Agnès s'en accommodait.
Tandis qu'elle effectue le tour d'honneur, elle espère secrètement que son bras, comme lors du duel précédent, ne lui fasse pas défaut et lui permette de remporter cette joute.
Les trompettes résonnent, les visières et lances sont abaissées. Lancée au galop le long de la lice, elle sent que la lance pèse dans sa main. Tandis qu'elle manque son adversaire, lui fait mouche et brise sa lance contre son écu. Déséquilibrée, elle parvient au prix de moult efforts à rester en selle et à finir sa course jusqu'en bout de lice.

Deuxième passe. Agnès sait à présent que son adversaire est de taille et que la précision dont a elle a fait montre lors de la première joute n'est pas forcément de taille à lutter contre l'habileté du Comte de Beaufort.
Las ! Une passe pour rien. Sa cavale n'a pas assez serré la lice et cette erreur de guidage leur vaut de manquer la possibilité de toucher.

Le son des trompettes vibre à nouveau dans l'air et les chevaux s'élancent. La vicomtesse de Bapaume sait qu'elle ne touchera pas, son bras n'a plus la force de soutenir le poids de la lourde lance et alors qu'elle rate une nouvelle fois son adversaire, elle sent la lance de Jontas de Valfrey s'écraser sur son écu. la jeune femme a beau tenter de faire corps avec sa monture, la force de l'impact lui fait vider la selle et la précipite au sol.

La rencontre avec la terre est douloureuse et elle ne se relève qu'avec l'aide son escuyer tant l'armure la gêne. Mais sous le heaume, la vicomtesse sourit, malgré la défaite, car il aura fallu pas moins de 3 passes pour venir à bout de la Sainct Just.

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Erel de Dénéré
Citation:
Erel de Dénéré, Seigneur de Herlies contre Argael, Vicomte de Monestier de Briançon, Seigneur de Montgenèvre, Seigneur de Saint Giraud et Seigneur de Chateauneuf de Galaure
vs


"Encore un Vicomte alors" Pensa le Seigneur d'Herlies. Après avoir quitté Marie Alice, il était reparti se préparé brièvement pour le quart de finale.
Tandis que la sueur avait couvert son corps à cause de l'effort que cela demandait de jouter, le froid de l'hiver, lui, ne s'était pas gêné pour traverser l'armure, et ainsi créer une sensation très désagréable sur son corps.

Mais Erel malgré l'inconfort, n'était pas pour autant déconcentré pour jouter avec son adversaire.

La lance est saisie, les chevaux élancés, tandis qu'une foule surexcitée crie son humeur à travers des vivats.

Le Dénéré tente de se rappeler de comment il avait fait pour faire chuter au sol la Première Secrétaire d'Etat. Mais c'était peine perdue d'espérer refaire comme il avait faire tout à l'heure. Chaque jouteur était différent, et donc chaque jouteur avec ses propres faiblesses.
Ainsi, lance abaissée, alors qu'il espérait toucher son adversaire à défaut de le faire tomber, ce dernier fit mouvoir légèrement son destrier ainsi que son buste, et fit manquer à Erel sa cible. Mais son adversaire, par contre, ne le manqua pas.

Il vacilla sur la scelle, mais heureusement, arrive à tenir bon, bien que le choc ne manqua pas de se faire sentir.

À présent à l'autre bout de la lice, il se reconcentre mentalement.

À nouveau, les deux concurrents s'élancent, et cette fois, le Seigneur d'Herlies trouve la faille de son adversaire. Mais cependant le toucher ne suffit pas à faire tomber son adversaire, et éviter sa lance ou y résister.
Le Vicomte Argael le toucha au niveau de la poitrine - juste à l'endroit où sa cicatrice, vestige d'une lame qui manqua de le tuer et de lui fendre le coeur - se trouvait.

Dans un bruit sourd, Erel tomba au sol. Et son poids ajouter à celui de son armure écrasa sa cuisse droite. Déjà que la douleur qu'il ressentait au torse lui donnait l'impression de se faire une nouvelle fois poignarder ou presque, celle qu'il ressentait à présent à sa cuisse meurtrie lui arracha une grimace.

Très vite, un écuyer vint lui apporter son aide, et le jouteur vaincu l'accepter sans rechigner. Il détestait qu'on l'assiste, mais cette fois, il n'était absolument pas en mesure de protester.

Le Seigneur d'Herlies espérait qu'au moins Agnès, à contrario de lui, avait vaincu son adversaire. Et il se promit de prendre de ses nouvelles une fois revenu à sa tente, et un bon bain pris.

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