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Info:
Octroi des couleurs de ces dames aux jouteurs, avant la joute en l'honneur de la naissance de l'héritier de Grégoire et Deedlitt d'Ailhaud-Cassel.

L'octroi des couleurs : rituel courtois

Ylalang
Peu avant le démarrage des joutes, des pages empressés allèrent prévenir futurs jouteurs/jouteuses et nobles dames/messire que la cérémonie d'octroi des couleurs allaient commencer.

Sur la lice, visible des hourds, là où les invités prendraient place pour le tournoi avaient été installés les écus aux couleurs des 25 participants au tournoi.
Certains combattants pouvaient alors annoncer qu'ils avaient déjà les couleurs d'une dame à défendre, d'autres restaient libres et jouteraient pour eux.
Le placement des écus permettraient aux nobles dames de parfaire leur choix.

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MarieAlice
Marie et Muad avaient une sorte d'échange de couleurs. Elle pouvait jouter mais pas lui, il s'était donc inscrit à la course royale et avait porté un tissu violet au bras pour la représenter, et elle allait faire de même avec celles de Lascaux pour ses joutes.

Elle s'avança donc pour annoncer que la Vicomtesse d'Arnac Pompadour jouterait en l'honneur de son vassal.



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Béatritz
L'héritière Castelmaure s'approcha des écus et les regarda bien tous. Où donc était son oncle, puisqu'il ne joutait pas ? N'assisterait-il point au spectacle ?
Peut-être était-il à courir la gueuse, pendant que tout le monde avait le dos tourné ; c'était bien là son genre, et l'image que Béatrice de Tapiolie avait de lui.

Elle portait cette fois - car elle s'était changée, depuis son arrivée - un ensemble aux couleurs d'Ailhaud et Cassel, pour faire honneur à ses hôtes, encore une fois... Et fourré de zibeline, noire, rehaussé d'or, car le noir était une teinture fort chère. Pour languir en attendant qu'un jouteur aux couleurs qui lui seyaient passât sous son nez, rien ne valait une tenue chaude et confortable. Il ne fallait pas que la précieuse prît froid.

Son regard allait et venait sur la lice, cherchant l'attention des jouteurs aux armures plus ou moins étincelantes. Elle savait déjà que celui qui jouterait pour elle aurait une armure propre et brillante : ceux qui n'en avaient de telles ne pouvaient être riches et titrés, c'était l'évidence même.
Dans son observation distraite, elle ne remarqua pas que le jeune Gédéon, avec un autre devant une tente, l'observait et s'enhardissait même à la pointer du doigt.


[Edit : j'oubliais le sempiternel lien vers la tenue que porte Beatritz : .]
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
Ylalang
Non loin de là, la tente de l'Arbitre.

L'effervescence était à son comble quelques minutes avant le début des joutes. Les gens du bourg de St Omer étaient venu en nombre, autant pour espérer voir de belles personnes que de faire ripaille aux frais du Comte, les valets des jouteurs quéraient huile ou lustrant pour l'armure en dernière minute, et les nobles gens s'installaient dans les tribunes.
Face aux blasons, Ylalang remarqua une jeune fille, fort bien parée, qui semblait attendre. Décidement les gentilhommes n'étaient plus ce qu'ils étaient, et aucun ne semblait s'être présenté pour porter les couleurs de l'héritière de Nevers.

Elle sortit donc de sa tente et s'avança vers Béatrice.

Mademoiselle, je suis la Vicomtesse d'Avize, arbitre de ces joutes. Souhaitez-vous quelques indications sur les armes présentées et que je fasse quérir leur propriétaire si cela vous sied ?


Joli le compte en banque, on croirait que t'as détroussé Alsbo lol !
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Béatritz
Le regard mer colérique de la jeune fille se tourna vers l'arbitre. Un léger sourire, sans joie, pointa sur son visage.

-« On nous avait déjà dit que la gent masculine avait perdu de sa superbe et qu'il n'en fallait rien attendre, mais nous n'aurions pas imaginé que ce fût à ce point. Nous sommes contente de vous rencontrer : nous sommes Béatrice de Castelmaure, fille héritière de Sa Seigneurie le Duc de Nevers, Comte de Lauragais, Vicomte de Chastellux, Baron de Chablis et de Laignes, qui se trouve entre vie et mort.
Quels sont là les hommes qui ne portent encore aucunes couleurs, et dont le nom est déjà connu comme grand et fier ? C'est entre ceux là que je ferai mon choix. »


Et elle n'imaginait pas que quiconque pût refuser un honneur si grand, de défendre une demoiselle d'une telle naissance.
D'aucuns lecteurs remarqueront sans doute, et il convient d'en préciser la raison, que la jeune et orgueilleuse héroïne souffre d'un mal qui bien triste : elle a conscience de sa position et de toute la suffisance - méritée - qu'il y a à parler au pluriel, mais ce n'est pas encore totalement rentré dans ses us. La petite, après tout, n'est sortie de l'humilité du couvent que quelques mois plus tôt, et n'a eu encore l'occasion de beaucoup paraître dans le monde. L'habitude lui viendra, ne vous en faites pas.


[J'ai hérité de papa qui est radin comme Picsou, et en quatre ans, forcément, il a accumulé ^^]
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
Ylalang
Elle retira mentalement de sa liste les femmes joutant, ainsi que les seigneurs. Nul doute que la jeune fille refuserait d'avoir ses couleurs défendues par un homme de la petite noblesse au vu de son tempérament.
Puis il fallait aussi savoir lesquels étaient célibataires, et peu susceptibles de porter le ruban d'une bien-aimée. La vicomtesse ne connaissait pas parfaitement le bottin mondain, mais cela devrait pouvoir aller.


Et bien, en nobles célibataires sans couleur, nous avons par exemple le Vicomte de Cassel, ancien régent de Gascogne. Nous avons Rhân de Boiscommun, un baron orléanais qui a été Connétable de France, ou bien Alcann Blackney, Vicomte du Mont Saint Michel, ancien secretaire d'Etat
Après pour certains, je n'ai pas été informée, comme Asticot de St Aubin Routot, baron du Mont Canisy, Argael, Vicomte de Monestier de Briançon, Patsy, Baron de Bec Thomas, et Guidel de Mont-Dauphin, Baron de La Salle.

Sinon, nous avons trois nobles impériaux, Jontas de Valfrey, Comte de Beaufort, Sirius de Margny, Vicomte de Saulx, et Adrian Fauconnier de Riddermark, Vicomte d'Isles & de Montbarrey.


Peut-être que certains de ces noms seraient connus de la jeune fille et l'aideraient dans son choix.
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Béatritz
Vicomte du Mont Saint-Michel ? Qui voudrait d'un tas de cailloux en pleine mer ? Béatrice de Castelmaure croyait volontiers Leah Melani lorsqu'elle le disait célibataire - après tout, elle ne connaissait pas encore chaque noble de France - mais c'était un nom qui n'éveilla en elle aucune émotion, aucun sentiment qu'elle pût en tirer un certain avantage.

Elle élimina mentalement les barons. Et puis quoi encore ? Il fallait un peu plus que cela pour défendre ses couleurs. Elle élimina le Margny et le Riddermark, qui étaient synonyme pour elle de ce gros homme dont on disait qu'il détestait tant Sa Seigneurie son père - et tout prince qu'il fût.

Restaient le Vicomte Lothaire, qu'elle avait déjà eu l'occasion de rencontrer dans le petit salon, le Vicomte de Monestier de Briançon, dont le nom ne lui semblait pas étranger, quoiqu'elle n'en eût pas de souvenir plus précis, et le Comte impérial. La crème.
Après un moment de réflexion, qu'elle passa à regarder au travers des écus, elle répondit :


-« Il nous plairait que vous fassiez venir le Vicomte d'Ussé, le Comte de Beaufort et le Vicomte de Monestier. Nous espérons qu'il s'en trouvera un à qui nous puissions confier nos couleurs. »
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[Humour inside ~~ Béatrice n'est pas blonde et ne s'appelle pas Paris]
Ylalang
Lorenzo !

Elle héla son fils qui amenait du matériel pour le baron de Boiscommun, probablement pour faire briller son armure. L'enfant d'une douzaine d'années, blond comme les blés aux yeux violet, s'approcha avec méfiance de sa mère, se demandant quelle tâche ingrate elle allait encore lui coller.

Fais donc mander Lothaire de Cassel, Argael de Monestier et Jontas de Beaufort, qu'ils se présentent ici pour que cette jeune fille décide de son champion.

Elle lui désigna successivement les deux derniers blasons, vu que l'héritier connaissait déjà le glacial cousin de Cassel. Il accorda un regard curieux à la jeune fille, et lui décocha un "Madame" un peu perfide au vu des airs qu'elle arborait. Sous le regard noir de sa maternelle, il décida de prendre la poudre d'escampette et d'aller quérir les trois jouteurs, en criant un moqueur :

Bien mère !
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Lothaire de Cassel
Celui que Lothaire reconnu comme le fils Melani ailla Lothaire avant son tour de lice, l’arbitre des joutes demandait à le voir… voilà une ben étrange demande de la part de cette femme qu’il avait quitté la dernière fois avec perte et fracas. Il se dit qu’il devait s’agir d’une quelconque demande administrative qu’elle amènerait telle un plaisir sadique pour saper la journée. Il garda sa lance et parti, vers l’exposition des couleurs. Il ne prit pas la peine de lever sa visière pensant que son cimier de la Madelaine, en aigle suffisait à le reconnaitre. Il aperçu, au travers des de son heaume une forme qu’il reconnu comme celle de la vicomtesse avec un autre femme a laquelle il ne prêta pas attention, il était déjà difficile de reconnaitre les gens en temps normal, en y voyant quasiment rien c’était un jeu trop complexe. Il s’exclama à l’adresse de la vicomtesse d’une voix forte et déformée par son carcan de fer:

Ola vicomtesse ! Nous sommes tout disposé à vous voir car tel est vostre volonté si nous avons bien comprit ! Il fut heureux que vostre… valet… nous ai trouvé avant de partir en lice, nous estions tout proche

Lothaire prit son air le plus noble, chose aisée dans son armure d’apparat qui, aujourd’hui qu’il n’était plus ni Grand Maistre, ni régnant ne pouvait lui servir que pour les rares joutes. Son cheval, quant à lui était un mi sang musclé des plus banals mais choisi par le vicomte pour sa robustesse, un cheval traité ces derniers jours comme un héros grec avec des massages à la bière du pays de St Omer.
Ylalang
La première boite de conserve ambulante se présenta. Lothaire... Elle resta de marbre et ne réagit pas à la petite pique qu'il venait de lui lancer.
Elle se chargea donc de faire les présentations, non sans arborer un sourire hypocrite envers Lothaire.


Vicomte, cette jeune fille ici présente est Béatrice de Castelmaure, fille héritière de Sa Seigneurie le Duc de Nevers, Comte de Lauragais, Vicomte de Chastellux, Baron de Chablis et de Laignes...

Un instant de réflexion a se demander si elle n'avait rien oublié, mais logiquement non.


... et elle souhaite avoir un champion pour défendre ses couleurs lors des joutes organisées ici. Nous sommes dans l'attente de deux autres jouteurs afin qu'elle puisse choisir à qui donner cet honneur.

A coup sur, il allait se pavaner... Nul doute qu'il considererait d'avoir les couleurs de la jeune fille comme des possibles préliminaires à un hymen jugé glorieux selon les critères du Vicomte. Au moins comme ça, il lui ficherait la paix...
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Lothaire de Cassel
Lothaire fut étonné par le calme de la vicomtesse, c’était tout de suite marrant, elle qui d’habitude fait un bon amusement à Lothaire venait de casser son plaisir… Puis il comprit, la femme d’à côté n’était pas n’importe qui… C’était d’ailleurs la demoiselle qu’il avait fait mine de croiser au petit salon et qui était pour Lothaire un crève cœur, un Eden intouchable… Dans un grincement il salua de la tête le jeune héritière dans un:

Vostre grasce, c’est un plaisir de vous revoir

Lothaire eu du mal à relever le chef alourdi par le poids du Cimier, Lormet n’était pas là, il ne pouvait enlever son heaume et pour éviter de se rendre ridicule il ne se découvrit pas le visage. En effet il parait qu’on a une tête de c** avec un heaume à visage découvert, Perceval n’est pas une exception par principe.

La vicomtesse expliqua la raison du dérangement, ce n’était pas simplement pour admirer une belle héritière. C’était pour que Béatrice trouve un jouteur pour ses couleurs. Lothaire s’avait qu’il allait perdre, son essai de rumeur ne passerait pas devant la vicomtesse et Lothaire ne voulait pas faire mauvaise figure. Pour cette raison ou par simple arrogance Lothaire décida de ne pas faire le paon, il fit comme à son habitude la statue grecque mais sans mot dire.
Daresha
De Cassel... de Cassel... de Cassel... Oui cela lui disait quelque chose mais quoi? Retournement de méninges, réflexion intensive. Oui! Ca y est! La chancellerie bien sur, la chancellerie! Grand dieu, ça ne fait pourtant pas si longtemps que cela pourtant. A croire qu'elle est devenue folle. C'est un peu le cas; la vie avec le Vicomte d'Isles n'est pas des plus faciles. Jalousie excessive et possessive, se rendre malade rien qu'en l'imaginant dans les bras d'autres femmes. Mais c'est décidé il n'y a pas que lui qui aura le droit de s'amuser, ah ça non! Parfait donc, elle ira à St Omer. Elle reverra ainsi son ancienne interlocutrice. Combien de temps déjà? Bon, elle n'arrivera pas à mettre une date. Tant pis. C'est quand meme parti. Non, pas pour jouter. Elle sait monter à cheval, mais le reste non. Elle est folle, mais ça reste dans le raisonnable, tout de même.

Et Comtesse par-ci, et Comtesse par là... Et Dame de Jeneffe par ci et Dame de Jeneffe par là... décidément elle a vraiment du louper quelque chose. Quoique non. C'est surement ça, elle avait toujours présagé que son époux finirait comte. Mais c'est étrange, elle ne se souvient absolument pas du mandat. Elle doit etre trop tourmentée, il faut qu'elle se repose. Quand elle aura le temps, qu'à cela ne tienne. Mais le de Jeneffe, ça elle n'a toujours pas compris le pourquoi du comment. Et pareil, depuis quand elle est vassale de la Comtesse de Lille? C'est sur, quand elle aura cinq minutes à elle, elle y songera. Il faudra bien. mais avant, un peu d'amusement.

Et rien de tel pour se faire que de confier ses couleurs. Après tout, ça ne coute rien n'y n'engage à rien. En principe n'est il pas? Arrangeant sa mise, une somptueuse houppelande rouge sang, ourlée d'une douce hermine -parce qu'en meme temps ça caille un peu -, elle se dirige vers l'endroit dédié à cet effet. Il y a deja du monde. N'y aurait il qu'un seul jouteur?

Elle toussote légèrement pour attirer l'attention et adresse un digne de tete gracieux pour attirer l'attention de... l'organisatrice? C'est étrange, son visage lui dit vaguement quelque chose...

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La Rose est devenue folle à la suite de la disparition de son second époux, le Chevalier Guillaume de Jeneffe. Elle peut donc avoir de grands instants de lucidité, comme elle peut la perdre en quelques secondes. Les RP postés sont écrits en fonction de son état mental du moment.
Ylalang
Un sourire, un vrai illumina le visage de Leah lorsque Daresha se fit remarquer, qu'il était bon de revoir certaines personnes...

Oh Daresha, comment te portes-tu ? Je croyais que tu ne pouvais pas venir, mais je suis heureuse que tu ai pu te libérer.

Elle fit une accolade chaleureuse, même si la vicomtesse remarqua que la Comtesse de Scye semblait un peu... ailleurs. La fatigue du voyage probablement.

Je suis navrée, je ne t'ai même pas présenté mes condoléances pour la disparition de Guillaume... tout a été à un moment vraiment confus pour moi.

Une bise sur la joue, avant de regarder à nouveau la Rose. Probablement qu'elle était venue ici pour se changer les idées, alors autant parler de choses plus légères.

Alors, as-tu envie qu'un beau jouteur porte tes couleurs en ce jour ma chère ?
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Daresha
Haussement de sourcil suspect. On active la cervelle enfouie sous une caboche recouverte de longues mêches chatains, marbrées pour certaines de blanc. Et oui le temps est une chose sur laquelle on peut toujours compter. Elle cligne des paupières la Rose, cherchant et recherchant seule elle sait quoi.


Yla ! Elle marque un temps de recul. Ainsi elles se connaissent pour autant qu'elle ai prononcé le bon prénom. Pourvu que oui, sinon... sinon ben c'est tant pis. Elle fera comme si de rien n'était. Mais elle l'a quand meme deja vu, c'est sur! Elle répond donc favorablement à l'accolade amicale et dessine sur son visage un sourire sincère.

Je me suis dit que, j'allais en effet venir. Plutot que de rester enfermée dans un chateau aux murs froids...Condé ressemble plus à une prison qu'autre chose mais je n'avais pas le coeur à retourner à Marchiennes... à cause de Guillaume... Elle soupire et marque un temps d'arrêt. Et voila qu'elle parle de ce Chevalier dont elle s'est secrètement éprise comme s'il était son amant. Se peut il que? Bien sur que non. Jamais elle ne pourrait tromper son époux. Enfin pas avec un de ses frères d'armes. Mais bon, quoiqu'il en soit, la question ne se pose plus, il a disparu le Chevalier.
Elle balaye cette pensée agaçante - oui agaçante : parce que le Baron de Marchiennes n'aurait eu qu'à claquer des doigts pour se retrouver satisfait et qu'il n'a jamais été capable de le faire. Maudit soit le Destructeur. Mais elle aussi saura prendre la vie à pleine dents! Elle l'a décidé.



Et pour vo... te répondre j'avoue etre en effet assez tentée par le fait de confier mes couleurs à quelque valeureux jouteurs.... dit elle dans un sourire espiègle en jettant un regard en biais sur le sieur juste a coté.
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La Rose est devenue folle à la suite de la disparition de son second époux, le Chevalier Guillaume de Jeneffe. Elle peut donc avoir de grands instants de lucidité, comme elle peut la perdre en quelques secondes. Les RP postés sont écrits en fonction de son état mental du moment.
Esquerrier
L'armure.
Cette prison de fer qui le protégeait de la violence des joutes. Prison sans laquelle une grande majorité des jouteurs seraient morts, ou gravement blessés. Cette armure n'était pas celle qu'on lui connaissait... et pour cause il état Chevalier Esquerrièr. Il avait travaillé avec le maître d'ouvrage, ensemble ils avaient réfléchi à divers moyens d'alléger cette protection, de donner plus de liberté de mouvements. Alliage un peu différent, améliorer la jonction des pièces.... Cela aidait, mais notre jouteur préférait ne pas s'éterniser dans sa prison.

Toutefois, aujourd'hui son armure le servait, elle protégeait son identité, un mal pour un bien...

Voilà donc le chevalier Esquerrièr à devoir se présenter ainsi et offrir son bras à qui chercherait champion... Dans quelques minutes c'est sa lance parlerait pour lui, là il s'annonce humblement, son occitan trahissant ses origines.


Chavalièr Esquerrièr pour vous servir.

Son arrivée ne coïncidait avec les conversations précédentes que par hasard.
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