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Mobilisation Champenoise - Les Hospitaliers Avril 1458

Sniper67150


Le Grand-Maistre de l'Ordre Royal de l'Hospital était arrivé dans la nuitée à Conflans-lès-Sens avec son Escuyer.

Dans la ville au petit matin, attendaient déjà d'autres Hospitaliers qui étaient arrivés un à deux jours plus tôt.

Le Chevalier au Griffon désigna une place de terre battue, au pied des remparts, afin d'établir le campement de l'Ordre.

Après avoir délimité grossièrement au sol les limites du campement et le positionnement des tentes. Une allée principale mènera à la tente du Grand-Maistre, accolée à la muraille.

Autour se tiendront les tentes du Haut Conseil, une pour le Sénéchal, une pour le Grand Maréchal , pour le Grand Bailli, pour le Grand Hospitalier, et une pour le Grand Consul.

Entre cet espace du "Commandement" et le reste, s'établiront les cuisines, le réfectoire, une chapelle de Campagne et la tente qui abritera les armes et le matériel de soin.

Puis s'installeront au fur et à mesure, les tentes des Hospitaliers.

Près de l'entrée du campement une tente qui tiendra lieu de Poste de Garde, surveillant les entrées et les sorties du campement, manquerait pas que quelqu'un s'échappe de la tente à la gauche de l'entrée, l'essence de l'Ordre Royal, l'Hospital, le lieu de soins, où exercerait le Grand Hospitalier, acceuillant la population, pour la soulager de ses maux.

Un peu en retrait, acculé contre un mur, "l'écurie" où se reposeront les chevaux.

C'est avec ce plan bien définit en tête, que le Grand-Maistre, donna les ordres, où placer les chariots transportant les tentes et le matériel.

Déjà des Cadets, portaient les tentes du Haut Conseil au fond du campement, pour commencer à les monter.

Le Chevalier prit une hache, et commença à travailler un rondin de bois, qui servirait avec ses acolytes, d'enceinte au campement.

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Yut
Yut arriva au campement. Il fit un bref salut au Grand-Maistre, puis entra dans la chapelle. Il se dit qu'il y dormirais, ça ferait une tente de moins à monter...
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Chevalier_dide


Le blondinet avait parcourus moult lieu avec sont groupe d’homme depuis les terres du Sud avant d’arrivée en Champagne sous sont étendard et sa lame en main.

Non loin de l’entrée principale de la ville de Conflans ce trouvée le point de rassemblement des Hospitaliers de l’Ordre.

Un temps parfait ou presque ! Pour commencer la création du campement de l’Ordre.

Sous l’écoute attentive des indications du Grand Maitre, il dessiner le plan du futur campement sur un parchemin afin de commencer à montée les tentes.



Mais le plus grand problème du G. Maréchal était la défense et l’armement car sous les remparts nous somme une cible facile, seul 5 balistes pouvais le rassurée.

Il donna donc l’ordre d’installer une baliste à l’entrée du campement dans le poste de garde et l’autre derrière la porte du campement pour riposter en cas de replis.

Les 3 autres balistes aller ce trouvée dans les tourelles de garde.

L’idée en tête, il commença à montée la baliste de l’entrée …

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Ursin
Campement des hospitaliers de Saint Jeans de Jérusalem


Le Sénéchal de l'ordre supervisait au montage du campement de l'ordre.
Les tentes sortaient des terre et les frères et sœurs s'activaient pour que le camps soit propre et présentable.
Une distribution de vivre allait être organisée les habitants de la ville qui pourraient êtres dans le besoin conformément aux statuts de l'ordre.
les gardes autours de la cité s'organisaient afin de permettre une défense de la ville contre toute personne malfaisante qui voudrait s'y présenter.
Lui même avait revêtu habits de guerre.
Sur sa tunique de soie noire il avait mis son meilleur Haubert, par dessus le tabar frappé de la croix de Malte montrait son appartenance à l'ordre Royal.
Par ce froid matin de printemps il avait passé son grand manteau noire frappé de la même croix.
Au coté sa traditionnelle épée au pommeau d'argent.
Devant sa tente quelques cadets de l'ordre veillaient.
Un feu de camps brulait au milieu de l'équipage afin d'éloigner les quelques bêtes qui pourraient vouloir venir chaparder les nourriture des Hospitalier.
Ursin viellait au bon ordonnancement de l'ensemble des choses lorsqu'il entendit au loin les cloches sonner l'heure du saint Office.....
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Fontvell
Le Grand Bailli et sa Soeur Colombe qui avaient pris chambrée en la ville avaient rejoint le campement en cours de construction.
Il alla saluer le Grand Maitre puis transmis le commandement de son avant garde au Grand maréchal.
Ceci fait il se rendit auprès du Sénéchal dont il était l'Écuyer afin de se mettre à sa disposition.

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Malone1


Des jours et des jours à cheval pour arriver à ça ... Une aventure trépidante croyez-vous ?! Des exploits, une ville à feu et à sang à sauver ? Nenni, nada, rien ! Juste une ville des plus normales, certes les gens semblaient un peu stressés, mais rien de pire que quand les habitants de son LT natal avaient instauré eux-mêmes le tour de garde, voyant des étrangers pas nets dans leurs murs.
Et c'est pour ça qu'ils avaient marché si longtemps ?! Heureusement qu'au moins ils avaient pu faire le chemin à cheval !

C'est donc en cachant difficilement sa déception devant si peu d'aventure, et des tâches si simples, que Malone s'attela à ce qu'elle avait dû faire chaque soir jusque là : monter la tente du Sénéchal, en veillant à mettre l'auvent d'entrée suffisamment en avant pour pouvoir s'y faire une petite place au sec les soirs de pluie : elle avait trouvé comment ajouter d'autres toiles recoupées de ce qui aurait été sa tente si elle n'avait dû garder chaque soir celle du Sénéchal, de manière à se faire un petit espace couchette abrité. Allez savoir pourquoi le vieillard tenait à ce que ce soit la cadette Malone qui garde sa tente : ce n'était assurément pas la force de la gringalette de 15 ans qui lui avait valu le poste.

Son ouvrage achevé, elle rejoignit d'autres cadets afin d'achever les remparts qui isoleraient le campement du reste de la ville. La prochaine fois qu'elle rêverait d'aventure, promis juré craché, elle retournerait à la Maréchaussée, au moins des fois on se fait un peu peur, à la Maréchaussée ...

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14 ans.
Mug
Mug était arrivé avec la lance du Grand Maréchal Didier de Warenghien.

Il s‘attela à monter la tente du Grand Hospitalier afin d’y déposer les vivres qu’il avait emporté, son coffre de barbier et tout le matériel de campagne pour recevoir les blessés éventuels.

Après la longue chevauchée qui les avait amenés du sud du royaume jusqu’en Champagne, la nuit de garde dès l’arrivée et la mise en place du campement le lendemain ; la journée s’était avérée très fatigante.
En sortant ses instruments médicaux, il trouva son anesthésique favori : une excellente liqueur de mirabelle.
Il sortit des gobelets et offrit à ses frères et sœurs une rasade de sa liqueur afin de leur donner du cœur à l’ouvrage.

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Major Général Second de la Garde Territoriale du PA. Barbier des forces armées du Comté du PA POTIUS MORI QUAM FOEDARY
Colombeetoiles
Colombe était arrivée avec Font, le Grand Bailli. Etant tous les deux sur place depuis quelques jours, il avaient pris un hébergement en ville.
En arrivant sur le campement, elle vit tous ces hospitaliers et se sentit de nouveau dans son élément. Puis elle regarde l'agencement des tentes et compris que toutes les personnes haut placées seraient un peu plus loin dans le campement. Mais, Font faisait parti de ces personnes là.
Elle soupira en pensant qu'il lui faudrait être séparées de son bien aimée tout le temps. La journée, ils n'auraient pas la possibilité de se voir et la nuit, elle devrait dormir dans sa modeste tente, loin de lui.
Elle n'osait pas encore imaginer le vide qu'elle ressentirait.
Pourtant, elle fila monter sa tante dans un coin du campement, pour être à l'écart et pourtant arriver rapidement si on la demandait.
Une fois sa tente montée, elle regarda autour d'elle et ne vit déjà plus son bien aimé, Fontvell.
Elle baissa les yeux. Mais au lieu de se laisser abattre, elle alla aider à finir de monter les "remparts" de leur camp.
A la fin, elle se retourna, mais ne l'aperçut toujours pas.
Elle chuchota tout bas:

Font... Où es-tu passé mon amour ? ... Tu me manques déjà tellement...

Puis elle fila dans sa tente sortir ses préparations de plantes au cas où ça pourrait servir.

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Thomaslatapie
Thomas avança dans les rues, un petit garçon dans les pied. Il y avait là un campement de ses frères et sœurs. Il soupira tous étaient trop sérieux. Il ne put s'empêche de dire haut et fort.

- Elle est où la vinasse ???

Il posa son sac pour les soin et attendit les blessé.
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Commanderie de l'Hospital

"La simplicité véritable allie la bonté à la beauté" Platon
Optat
C'était toujours la même rengaine dans ces expéditions. Les emplumés et les beaux parleurs donnaient les ordres et le reste s'efforçait d'exécuter les tâches convenablement. C'est justement ce qui différenciait l'Ordre des armées profanes, car ici chaque frère et chaque sœur est au service de tous et se donne autant que possible.

Optat descendit donc du charriot et commença l'édification des abris en suivant le plan établi.

Frère Grand Maitre, votre tente est prête. Peut-être accepterez-vous de la partager avec le Sénéchal ou avec le Grand Maréchal ? Pour la décoration, j'ai oublié les pompons roses, mais vous devriez pouvoir trouver une demoiselle aimable dans la région.

Citation:

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Optat
Puis rassemblant la forêt de piquets indispensables pour édifier la plus grande, Optat commença à déplier la toile.

Mon frère Mug, peux-tu me donner un coup de main pour la tente d'état-major. Je suis toujours embarrassé avec ces nombreux cordages et l'équilibre général de l'ensemble.

Après avoir peiné et sué comme des gorets, les deux frères eurent un moment de fierté en contemplant le résultat.


Citation:

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Optat
Frère Grand Hospitalier, je vous prépare votre infirmerie. Espérons qu'elle ne serve qu'aux consultations des populations locales qui souhaiteraient des soins privés et non point des blessés de combats.
Pour l'instant je ne déballe pas les instruments de chirurgie, ils sont au chaud dans les caisses du charriot.

Votre tente vous convient-elle ?

Citation:


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Optat
Enfin, alors que le soir tombait, Optat eut un moment pour monter la tente qu'il partagerait avec un ou plusieurs frères. Elle ressemblait à toutes autres tentes de la troupe. Normalement les tentes n'étaient pas mixtes, mais bon.., faut savoir se serrer un peu dans les moments importants.

Citation:


Belle journée de travail ma foi. Comme dit notre Grand Hospitalier, je boirait bien un petit coup.
Oh là ? Quelqu'un a-t-il songé aux provisions et à la boisson ? Diantre ! On a perdu des guerres pour moins que ça !

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Thomaslatapie
Thomas fit un grand sourire a son frère.

- Super !!! Elles arrivent quand les infirmières ??? Et pis tu a pas mis du rose ??? Du rose partout ... Wooooooouuuuuuhhhh.

Thomas part en courant vers la tente. Peut être y aurait il des patient qui sais.
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Commanderie de l'Hospital

"La simplicité véritable allie la bonté à la beauté" Platon
Siva
Que n'avait il pas fallu qu'elle soit loin de son païs pour que son ordre y soit appelé.En d'autres circonstances,elle aurait sauté en selle pour cette mobilisation.Mais Saint Jehan savait tres bien dans quel aventure l'Ordre s'avancait.C'est donc attristée et peinée d'avoir du laisser les siens en Lorraine,dont la petite Catherine Victoire Enorig,au bras de la nourrice,qu'elle pris la route pour revenir de l'Empire.

Deux simples gardes l'accompagnait,jusque Vesoul ou son Marechal la rejoint.De la ,ils prirent la route jusque Langres,ou leur chemin se separerent de nouveau.
Quand elle arriva aux abords de Conflans,son visage se teinta d'un fade sourire,bercé de la nostalgie d'un temps bien revolu,ou cette terre faisait sa fierté,et ou son peuple etait solidaire.
Balayant d'une secousse de sa tete,ces facheuses idées,elle avanca encore.Fort heureusement,de Langres elle etait partie vetue de sa tenue hospitaliere.Une tenue qu'elle n'avait pas porté depuis fort longtemps.Une simple cotte de maille etait enfilée sous la bonne vielle tunique longue noire a la croix blanche,que le temps et les batailles n'avait pas su alterer.La cape sur ses epaules finissait de lui tenir chaud,et les hautes bottes de cuir empechait l'air d'entrer par ses braies.Seules quelques protections couvraient ses articulations.
Vaillant n'avait lui,pas ete affublé de son attirail de combat.Il etait lourd,et peu adapté pour faire une longue route.Aussi le destrier n'avait que sa selle.
Un des gardes tirait la bride d'une monture,chargée de sacs,et de sacoches de cuir,emplies de parchemins.

Enfin,les remparts se dessinerent,et deja,quelques membres s'affairaient a monter les tentes.Un rapide coup d'oeil lui fit comprendre qu'evidemment,nul n'avait eu la presence de songer a une tente pour Saint Jean.Ingratitude d'un poste royal,independant de la hierarchie du Haut Conseil.Martin arriva bientot par l'autre route,venant de la proprieté meuniere,et repondant aux ordres donnés sur un pli parti de Langres.
Ce brave Martin,menant une charette dont des bois depassaient.Heureusement que l'Ecuyer etait prevoyante.Le serviteur,aidé des gardes,se mit a l'oeuvre,et trouva un emplacement,un peu a l'ecart des autres tentes,et laissant un endroit a coté,pour que soit installé par la suite,la tente du Chevalier que Saint Jehan servait.
Le Vicomte serait bientot la,et cette idée egayé le coeur triste de la Dame.

Alors qu'elle etait affairé a diriger ses hommes,un bruit sourd se fit entendre dans son dos.Son regard se posa sur celui,embarassé,de son lad,qui ,paniqué,tentait de rassembler vivement quelques rouleaux de cuir.La taloche s'abbattit bientot sur le crane du jeune garcon


Malaye!Fais donc attention!Tu roule dans la boue le travail de toute une semaine!
Prie pour que l'eau n'ai pas penetré le cuir,ou il t'en cuira!Il s'y trouve de precieuses armes,et seul une penitence,saurait te voir accorder un quelconque pardon!


Que ca faisait du bien de passer ses nerfs sur le jeune gamin,qui blemissait a chaque mot prononcé.Le pauvre petit prenait pour tout ceux qui ne pouvaient,et pour tout l'agacement eprouvé de se trouver ici,plutot qu'ailleurs.

A force de manoeuvre,et d'ordre savament donné,la tente fut bientot hissée.Un lieu bien a elle,ou le travail pourrait etre effectué entre deux gardes,et un moment de detente.Les emaux,et autres fourrires y trouverent bientot une place,ainsi que ses pinceaux,et outils necessaires au blasonnements.Un bureau fut fait de treteaux,ou reposait de gros registres finement relié.
Un feu brulait devant,et une marmitte y tronait.Un fumet delicat s'en echappait.L'odeur ennivrante du lapin fraichement tué arriva a ses narines,et la Dame eut vite rejoint Martin qui la servit,alors qu'elle s'installait sur le rondin de bois,qui faisait office de bancs.Degustant son plat,son regard croisa celui d'autres membres,et sa tete les salua.
Le tout,toujours accompagné d'une invitation a la rejoindre.Las,les cadets etaient trop affairés.
Martin servi le vin de Chailly porté specialement du Moulin,et un sourire satisfait eclarci les traits de Siva.

Au final,malgré les rancoeurs,la peine,elle arrivait a trouver quelque reconfort a se retrouver là,parmi ses freres et soeurs,dans un campement.Elle regardait travailler les uns,alors que son esprit se bercait des visages du passé,de l'odeur ensanglanté des plaines bretonnes,du son de sa viele,qu'elle avait alors portée,et de l'odeur des fraises,cueilli parfois,pour les cataplasmes.

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