Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3   >   >>

[RP]Une allegeance expresse pour la 12 ! Une !

Naluria
Auvergne fut invitée par l'Infame Borgne de Bourgogne quant à son anoblissement dont elle avait effectuée le blason. Cela tombait à point, ses idées et son humeur s'en trouveraient sûrement positivées.

C'est habillée d'une robe de taffetas vert foncé et d'un serre-taille noir qu'elle se dirigea à l'endroit indiqué par le futur anoblit.

Elle s'imiça donc avec discretion pour ne pas troubler la cérémonie à venir puis se plaça dans un endroit de sorte de suivre icelle et l'échange du baiser vassalique que certainement Snell redoutait. Elle écouta donc sagement en souriant.

_________________
Armoria
Un petit pied tapotant le sol, au même rythme que des doigts fins et onglus - si, ça existe, puisque je viens de l'inventer à l'instant - pianotaient - même si le piano n'existe pas encore, l'on pianote déjà, c'est ainsi que l'on reconnaît les visionnaires - sur des bras croisés. En haut de tout cela, une petite moue boudeuse faisant cadre à un nez froncé.

Tout l'air du mauvais jour, en somme, pour qui la connaissait.

Mais devant l'embarras de Snell, la colère avait fait place à de l'amusement, et l'éclat des pupilles était à présent dû au second et non plus à la première. Jouer un peu, toutefois...


Et c'est pour venir me chercher que tu es venu ici... mmm mmm. Sacré détour, dis-moi.

Un peu plus haut, pour les autres.

Ainsi donc, on remercie celle qui a osé briser la malédiction, celle devant qui les malédictions de la Bourgogne cèdent sans coup férir ? Humpf.
_________________

[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Mariealice
Marie se calmait petit à petit, ayant fait un signe de tête à Lysamaelle à ses côtés pour enfin retrouver son souffle.

Bonsoir... Excusez mon hilarité mais je viens d'avoir l'image de notre hôte du jour dans la tenue particulière de la farandole improvisée en Maine.

Sourire, calme revenu, surtout en voyant la tête de Nebisa qui faisait son entrée dans la tente. Cela faisait quelques jours que les limousines ne s'étaient vu puisque la Comtesse avait pris les devants pour rejoindre son fils ici même mais la voir ainsi.....

Une sensation sur la nuque, un picotement, elle tourna la tête pour croiser deux prunelles noires, sourire au propriétaire, retour sur les protagonistes de la cérémonie.

Petit sourire à Naluria tandis qu'une autre entrée se faisait. Armoria, avec sa tête des mauvais jours, fusillant un Snell rougissant et perdant pied.

Et c'est là qu'Erik sauta sur Gaborn, le serrant contre lui tandis qu'il saisissait Nebisa de son autre main et les présentait.

Nouveau fou rire arrivant en voyant la tête du Duc ainsi pris sous le bras, essaye désespéré de ne pas rire mais non, c'était reparti.

_________________
Gaborn
Mais pourquoi, pourquoi ne parvenait il donc JAMAIS à se fondre totalement avec l'obscure d'une tente ? Bon la dernière fois, la tente n'avait point nécessité qu'il s'y fonde, il s'était plutôt fondu dans des bras... enfin... il avait jouté ce soir là, mais ce jour... ce n'était point jour de joute, mais cérémonie...

O temps suspend donc ton vol pendant que je pense à cette journée qui fut fort plaisante.... mais comme tout le monde le sait, rien ni personne ne peut arrêter le temps seul. Aussi, c'est complètement pressurisé, voire totalement écrasé par un tri duc et néanmoins pair qu'il se réveilla de ses pensées. Un grognement pistard, il rendait son étreinte à son éternel ennemi mais néanmoins ami.

Et le voilà trainée de force vers la maréchale d'arme. Un sourire pour la Dame. Première parole du Duc, sympathique... Seconde fournée beaucoup moins... C'est que notre Erik n'avait sans doute jamais compris l'intensité des désillusions du Torturé. Quoiqu'il en soit, pour Snell, Gaborn cacha sa déconvenue à ce rappel des faits qui n'avaient de cesse de le tirailler. Quoiqu'il en soit, il resta coller à ce duc éthylique, comme une vieille chausse décatie reste collée à son propriétaire, par devoir... et par habitude... Quoiqu"il en soit, il tacha d'être aussi poli que possible et réussit même à articuler un : Bonsoir Dame Nebisa...

_________________
banniere en cours de confection par mon épouse, mais voici le blason :
Snell
Snell sentit la chaleur se propager de ses joues au reste de son visage, jusque dans son cou. Décidément, cette femme entre les femmes avait le don de lui jouer dans les tripes.

Arf ! La malédiction, oui ! Il faut encore prouver qu’elle est brisée ! Assez procrastiné !

Le Borgne tourna soudainement sur ses talons et se dirigea droit sur son futur-depuis-six-mois-oui-un-jour-il-le-sera suzerain. En passant, il offrit des sourires à Lauriane et Naluria qui étaient arrivées entre-temps, mais il n’avait plus le temps de parler. Le temps était maintenant aux choses sérieuses !

Mon duc ! Corbigny ! Votre grâce !

Il arrêta rapidement pour se servir un verre de vin, cérémonie bourguignonne oblige, puis rejoint le tri-ducaillon.

Je crois que tous sont là ! Les absents ont toujours tort, de toute façon. Commençons, donc !
_________________
Armoria
Hop, petite revanche prise... Rien de méchant, mais jouissif tout de même. Elle s'avança du pas lent de qui savoure sa victoire, se fit servir un petit verre de vin qu'elle leva dans la direction des futurs-tout-bientôt-parce-que-forcément-gagnants-avec-la-GMF suzerain et vassal.

Le sourire vers Erik était chaleureux, celui vers Snell un rien ironique.

"Je t'ai bien eu", disaient ses yeux malicieux.


Oui, commencez, que diable...

Elle salua les autres personnes présentes, avec une mention spéciale pour ce qui dépassait d'Erik, à savoir Gaborn, le frère choisi, tout comme Sebonemo.
_________________

[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Erikdejosseliniere
Lundi : Où l'on se demande si la Malemort ne l'est pas... Enfin, pas mâle, hein !

Oubliant toute forme de bienséance, préséance, séance, silence on tourne, moteur, action, étiquette, évidence, courtoisie, civilité, urbanité, popularité, servilité, prédestinée, vite un café... Bref, oubliant qui, avec qui, pour qui, devant qui - on ne tire pas ainsi sur le qui qui- il se trouvait, tout à son bonheur de retrouver "ce petit quelque chose", tel que le baragouinent avec tant de ce flegmatique charme nos angloys ennemis , ce petit quelque chose, donc, de bourguignon dans l'ambiance de ce soir inattendu, Erik, serrant toujours plus fortement contre lui le frele Gaborn, et cependant totalement étouffé, précisons le pour celles qui songeraient à penser que le maitre de Chateau-Chinon y pouvait faire quelque chose, Erik, entamais-je, s'appretait à trinquer lorsque...

Mon duc ! Corbigny ! Votre grâce !

Suivit d'un plus délicat :

Oui, commencez, que diable...

Puis d'une moins glorieuse et principalement altérée/déshaltérée réponse Corbignyiesque :

Vous z'enfin z'Altesse ! Joie ! Bonheur ! Vous z'êtes z'evidemment l'étoile qui manquait à notre firmament !

...

Erik du interrompre son envolée lyrique pour cause de panne d'inspiration subite ainsi que de trémolos vocaux inattendus. Allons bon, voila que ses cordes vocales n'appreciaient point la Prune ! Voila donc bien curieux effet second de ce breuvage pourtant point bien fort à la bouche pas plus qu'au palais. Quant au gosier, à la luette, cela faisait belle lurette que ces derniers étaient brulé, morts et enterrés au champ d'honneur des soiffards anonymes et autres bouilleurs de cru.

Sans rien lacher, ni de son verre, ni de son duc, il opta pour le quart de tour droite, bien connu des militaires sans carriere -les autres, les "de", sont payés pour aller un peu plus loin dans le tour. On appelle cela une solde, mais en l'occurrence, on s'en fiche-, lequel -le quart, non le duc- lui donna tout loisir de comprendre que le cirque Pinder -ainsi se nommait le marchand de chapiteau- etait globalement au complet, aperçu cette charmante dame rencontrée nuitament dans une auberge de Mortagne, regretta que son agréable compagnon de route ne fut point là, salua de nouveau Marie-Alice, par aquis de conscience, ne se rememorant point l'avoir fait précédement, adressa un immense sourire à son Borgne, suivi d'une oeillade qui eut presque pu passer pour un manque de délicatesse à sa chere Armoria si celle-ci n'avait point été accompagnée d'une adéquate révérence bi-ducale, le Gaborn étant toujours embarqué dans cette galere, mais si un lecteur pouvait me dire où j'en suis, je l'en remercierais bien humblement, parce que là, ça fait une plombe que je n'ai pas pu trouver de place au point final de cette phrase, Erik est coincé dans son quart de tour, il a encore grand soif, n'aimerait rien tant que d'en arriver à la chute, alors je panique, je panique, votre narrateur s'est perdu !

Ouf...


Reprenant donc le bon sens de la marche, le Pair -pas sa boule- executa un improbable arret sur image, scrutant en tous sens la Maréchale désarmée... Depuis plusieurs longues minutes, celle-ci n'avait dit mot, ni même bougé. Pire : son verre de prune était toujours entre ses petits doigts serrés, sans y avoir gouté... Et était comme... Médusée !!!

Dame Nebisa ?

Erik s'approcha un peu plus, avançant la main qui tenait son gobelet vers le sien, les entrechoquant : aucune reaction... Cette fois, un peu plus fort :

Dame NEBISA !

Interruption de l'image et du son... La Malemort ne pipait mot, ne buvait goutte, ne bougeait cil...RIEN... La malédiction, c'etait encore un sale coup de la malédiction, Erik en eut juré ![/u]
_________________

Duc de Corbigny
Armoria
Suce-pinces... Suspens... Haletant. Non. Non ! Pourquoi lui ? Pourquoi nous ? Pourquoi Sémur ?

NOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON !

Subtilement, l'angoisse commença à s'emparer de l'assistance, dont les coeurs commencèrent à battre sur un rythme... Brrrr...

_________________

[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Snell
Fichtre...

Le Borgne se resservit un autre verre.
_________________
Nebisa
La crise était venue sans prévenir, sans s'annoncer, elle avait fondu sur la Malemort, s'emparant de son esprit et de son corps, l'enserrant jusqu'à l'étouffer dans un linceul d'angoisse et de douleurs, bloquant son souffle tandis que ses yeux se perdaient dans le vague et qu'elle demeurait figée, absente, au delà de la pièce, au delà de sa propre conscience. Et les images de cette nuit fatidique de défiler, toujours plus floues, plus obscures et pourtant plus crues et plus douloureuses le temps passant... Une part d'elle même dont elle n'arrivait pas à mesurer l'ampleur était morte cette nuit là, ce qu'il demeurait d'elle menaçait chaque jour de succomber à son tour et sa force, sa maitrise d'elle même ne parvenait plus à préserver la Malemort de l'abime, du gouffre s'ouvrant sous ses pas...

Pourtant, au bout de quelques instants, des heures ou des minutes elle ne saurait le dire, la réalité des choses lui revient... On lui parlait, on présentait à ses yeux une coupe de ... oui son sens olfactif ne la trompait pas, de la prune... Il lui fallait se reprendre, sourire, prendre la coupe et saluer les Ducs face à elle... Lui avait-on parlé ? S'était-on aperçu de son absence ?


Bon... Bonsoir, Duc Gaborn...

Que dire de plus ? Une platitude mondaine vite... "Il y a foule ce soir à Alençon ?" non... "Si vostre ramage se rapporte à vostre plumage" ? Ridicule... "Ô rage, ô désespoir, ô vieillesse ennemie" ? Aucun rapport... Bon... tranchons...

Je me sens un peu comme en Bourgogne avec tant de représentant de ce beau Duché ici présent... Mais oui... commençons...

L'assurance revenant peu à peu, le vide de son regard se trouvant remplacer par quelque lucidité à défaut d'un peu de vie, elle fait signe à page 1 de s'avancer, tandis que page 2 se met quasiment au garde-à-vous ... D'un geste du poignet dénotant l'habitude et l'entrainement, elle vide sa coupe, savourant le feu de la prune dans sa gorge, la chaleur fugace s'épanouissant jusque dans son ventre, l'éphémère béatitude de son âme trop vite effacée...

Voilà... Messire Snell, genou à terre, Duc Erik, on se redresse, pensez "suzerain", respirez "suzerain", vibrez "suzerain" !
_________________
Snell
Sauvé! Aristote ne l'avait pas abandonné! La représentante de l'hérauderie n'était pas morte... même si certains diraient qu'elle en avait l'air. La dernière tentative de la malédiction de tout faire échouer n'avait donc pas réussi et l'heure fatidique était arrivée.

Snell termina son gobelet d'un trait, puis le lança par-dessus de son épaule et tel que demandé par la Malemort-presque-mort, l'infâme Borgne plaça un genou sur le sol devant le tri-ducaillon.

_________________
Armoria
Les poumons sont faits pour être remplis, certes. Ce qui remplit aussi le décolleté, soit dit en passant. Mais il faut aussi qu'ils se vident. Ce que firent ceux d'Armoria, sur une longue et lente exhalaison en forme de soupir.

Sainct Bynarr veillait sur eux. Elle fit le choix de s'écarter un peu du feu des proj... Euh des candélabres, laissant à Erik et à Snell la vedette qu'ils méritaient : l'un comme l'autre perdaient ce jour une sorte de pucelage.

_________________

[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Erikdejosseliniere
Lundi : Pas qu'on s'ennuie, mais va falloir y aller !

L'interpellation ducale ? Les effluves de la Prune ? Cet inopiné rassemblement non concerté de bourguignons pas encore périmés ? La voix de fausset d'un Gaborn préssurisé ? Impossible de savoir sérieusement ce qui avait abouti à tel résultat mais le fait etait avéré : La Malemort était bien là, un faible filet de voix s'exhalant de sa bouche, plutot que les ultimes traces d'un esprit malmené par la vie... La cérémonie allait donc pouvoir -qui l'eut cru?- se poursuivre dans cette nonchalante ambiance tranquillement bien qu'assurément éthyllique, pour le moins en ce qui concernait ses deux principaux zélateurs zoziopathes.

Qu'avait-elle dit, la fantomatique, déjà...? Ah, oui : Penser Suze, respirer Suze, vibrer Suze... Allons bon, comment on fait, alors qu'on a déjà bien de la peine à savoir dans quel sens se traduit un mode d'emploi d'Hic et Ah...? Tout à son trouble soudain -le dernier verre de prune fut avalé d'un seul trait, le Chateau-Chinon, tout ébaubi, relaché tel un sac à navet dans un entrepot-, Erik bredouilla rapidement, s'entremelant les consomnes :

Si flait, Dame Nebizla, un petit porceau de Bourguogne ! Si faite ! Sous ce chapitreau... Conne à l'épèque où vous étiez chez fous, dans les Joncs.

Un improbable rougeur saisit le Pair -tourbé- au point que même ses pieds semblaient être en braise. Tachant de retrouver un peu de son calme habituel, il répéta Coué-nnement quoi qu'à faible voix, à la maniere d'une sorte de formule magique destinée à éloigner les vampires :

Je suis une Suze, Erik, tu es un Suze, il faut que je me comporte comme une Suze, Suze, c'est moi !

Tandis qu'il prenait position devant son enfin-presque-j'ycrois pas-ça va arriver-Ô, oui, c'est bon-j'aime ça-encore-vas-y-Snell là, là-, vassal,lequel mettait genoux à terre pile au niveau de *** (dans le cadre de la défense de la Saine Moralité et des Vertus Eternelles, nous prions au narrateur de retrouver tout le calme et la dignité nécessaire à la bonne marche de ce RP. Merci à lui. Dernier avertissement). Donc, les deux principaux protagonistes étaient fin pret.

Le bientot suzerain n'attendait plus que la reprise en bonne main de la suite par la Dame à l'air triste, ajoutant tout de même à son endroit :


Ma Dame, je crois que nous y sommes enfin !
_________________

Duc de Corbigny
Armoria
Ses mains se joignirent. L'émotion était intense : la malédiction n'avait plus à vivre que quelques instants, le temps de quelques mots, de quelques gestes... Sémur allait avoir SON noble, celui qui y était né, le premier, le vrai, pas un d'importation, comme elle, ou une née à Sémur mais fieffée ailleurs, comme Erwyndyll.

Enfin.

Elle n'était plus qu'oreilles pour ouïr et yeux pour voir. Car une Armoria oit. Une oie aussi. Une oie oit, surtout à l'huis de Louis. Lui, Louis, avait à son huis une oie qui... Ahem, pardon, c'est pas moi, c'est Erik qui me contagionne tout plein partout. Un peu de sérieux, l'instant est solennel.

Elle était donc attentive. Elle était... Tirée par la manche.

Hein ?

Elle se retourna vers l'importun tireur - lequel s'était dit juste avant "tu tires ou tu pointes ?", hésitant entre tirer la manche princière et la viser en faisant des gestes discrets.

Le tireur était l'infortuné Forrest, qui se doutait bien de la saponnaire qu'il allait se faire passer, mais n'avait guère le choix. Il murmura quelques mots à l'oreille bourguignonnement princière, ou princièrement bourguignonne, au choix ma dame, au choix mademoiselle, au choix monsieur.

Le front armorien se fit soucieux, et sur un geste discret - elle pointait, elle - vers Snell et Erik, ce genre de gestes qui signalaient une urgence urgente qui ne pouvait attendre de patienter, elle fit en sorte de partir discrètement.

Si tant est qu'on peut partir discrètement avec une couronne sur la tête, une robe lourde de riche tissu, et une gorge généreuse sur laquelle reposait gentiment un petit canard en diamant.

Avec des yeux d'émeraude.

_________________

[Vous pouvez utiliser mes lettres RP.Héraldique]
Nebisa
Bon.... la cérémonie pouvait commencer, on avait un futur suzerain habité de l'esprit suzerainel, un vassal à genoux prés à se vassaliser, un témoin héraldique aux portes de la folie prés à pouvoir témoigner héraldiquement, des invités venu pour le buffet post cérémonie prés à se remplir la panse à l'oeil...

C'était quoi déjà le cérémonial ? Ah oui...


Nous sommes réuni ce jour pour unir cet homme et ... cet homme par les liens sacrés de...

Arf non... pas ça non... Vite... se rattraper...

... de la vassalité...

Ouf tout va bien, personne se sera aperçu du lapsus...

Messire Snell, Sa Grasce Erik, Duc de Corbigny a exprimé le voeu de vous prendre pour légitime vassal. Cet honneur n'est pas à prendre à la légère. Jurez vous d'être pour vostre suzerain un vassal fidéle et dévoué ? Jurez de faire, en toutes circonstances, honneur à vostre suzerain, de ne jamais, par vos action ou vos paroles chercher à lui nuire, ou attirer sur son nom, la honte et l'infamie ? Si tel est le cas, prestez à présent et devant nostre personne, serment d'obsequium, d'auxilium et de consilium. En suite nous passerons au babaorum.
_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)