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[RP plus qu'ouvert] La Maison de la Tolérance

Soizic



Dans la campagne bourguignonne, il est un établissement fréquenté par beaucoup. Un lieu mystérieux où l’on s’abandonne à des plaisirs charnels, dans les volutes de fumée parfumées aux délices d’Orient.

Si vous décidez de franchir les portes de la bâtisse, vous serez accueilli par quelques femmes montrant leurs atours à qui veut bien les voir. Elles porteront toutes un ruban jaune autour du cou. Cela pour ne pas mettre en colère la Baronne untelle ou la Duchesse machine.

Pour augmenter le mystère du lieu, l’ouverture des portes ne se fera qu’à la tombée de la nuit. Et vous devrez quitter l’étrange atmosphère quand la lueur du jour se fera éclatante.

S’il est un endroit où vous pourrez être réellement vous-même, c’est bien ici. Plutôt que de pêcher et d’être tenté par le Malin, venez vous abreuver à la source des plaisirs.


Les filles que vous rencontrerez n’ont aucun avenir dans la vie urbaine. Elles ont été observées méticuleusement par un médicastre et n’emportent avec elles aucune maladie étrange.

Pour ces dames, quelques pièces leur seront réservées et un homme les y attendra. Demandez, exigez, vous serez servies.

Si vous êtes encore là à ce moment, messieurs, mesdames, alors entrez. Vous êtes les bienvenus dans la Maison de la Tolérance.



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Soizic
Le lieu présenté ici est un lieu ouvert à tous.

Les RP qui y seront crées le seront avec "délicatesse" dans les mots choisis. Il est impératif de respecter cette règle.

Evitez d'amener ici vos pnj. La prostitution au Moyen-âge, d'après ce que j'ai lu (cf les sources données ci-dessus) n'est pas aussi mal vue qu'aujourd'hui.

La censure est prévenue et m'a donné son feu vert. A vous de respecter les règles du forum en évitant les RP "crus".


Les joueurs souhaitant que leur perso incarne les prostituées peuvent jouer directement, sans me prévenir. Il n'y aura pas de phase de recrutement préalable... A la rigueur, si ça ne démarre pas, j'incarnerai des pnj dans un premier temps.

Ps : soizic est la tenancière du lieu.

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--Catine_la_catin
Catine la catin (incarnée par LJD Soizic).



La nuit allait bientôt tomber. Et d’un moment à l’autre, les hommes allaient arriver, désireux des actes les plus fous.

Il faudrait les satisfaire et leur faire consommer les mets préparés par la tenancière/cuisinière. Ce soir encore, l’hypocras coulerait à flot et les hommes, dans leur ivresse, se laisseront aller jusqu’au bout de la nuit.

Elle était prête. La Maison de la Tolérance s’affairait. Bientôt, ce serait l’heure.
Keris
Keris avait entendue parlé de ce lieu des plus libertin, elle poussa la lourde porte en compagnie de son amie Quezaco l'appel d'air ainsi crée leurs fit vents de fumé au visage, on pouvais sentir la delicatesse des mets et les vapeurs enivrentes des boissons aux distilations douteuses.

Sourire au levres elles contemplèrent les murs et les tables avant de fair e moindre pas

Elles aimées scs enseignes à péchers comme elle aimées à les nomer, lieux ou l'on pioche son plaisir comme on tire une friandise d'un cornet de fete. Qu'elles puissent etre confondue avec des filles de joie ne leur importée gère bien au contraire car c'est en elles qu'elles se retrouvait le plus. libre de la rigeur et des moeurs, une adiction au plaisirs des nuits, l'argents le jeux, l'amours. ici elles etees comme sur les chemins fieres et fortes et les hommes riches et saoul.

De bon moments a partager et des pieces à prendre, commendant un picher chaqune elles prirent place sur une banquette en retrait en attendant le defiler de la gente masculine sous leurs capuche, auttant de masques et de bienséance qui aller tomber suite à quelque verres.
--Catine_la_catin
Décidemment, les Bourguignons étaient concentrés dans les élections. Nul ne venait prendre quelques instants de plaisir... Pourtant, s'eût été agréable de les savoir plus légers, moins stressés ! Confier le pouvoir à des hommes aigris n'était pas ce qu'il y avait de mieux à faire.

Mais Catine était persuadée qu'un jour, ils reviendraient.

En attendant, deux femmes venaient de prendre place dans une banquette, attendant elles aussi la gente masculine. Catine s'approcha d'elles :


Alors mes jeunes dames, vous commencez ? On vous a jamais vu par là ! Z'avez déjà réussi à en fidéliser certains ?

Nan parce que franch'ment, c'est l'mieux ça. Quand y'a des habitués qui r'viennent.

J'me souviens jadis, j'en avais un par nuit.. c'était les mêmes qui revenaient chaque lundi, etc. Au moins, pas besoin d'calendrier avec eux !
Guillaumin
Guillaumin avançait dans la nuit en retenant les pans de sa cape autour de lui. L’air était un peu frais et il ne faisait pas bon mettre un homme dehors, mais comme on dit « qui ne tente rien n’a rien » ! Et puis le jeune homme était confiant. Cette conversation qu’il avait eue en taverne la veille avait été très claire… Cette maison était ce qu’on faisait de mieux en la matière ! Des dames avenantes, un endroit bien tenu, de quoi boire ce qu’il fallait et tout cela a un prix plus que raisonnable !

Guillaumin, éternel célibataire, ne pouvait espérer mieux… De toute façon, ce type d’étreinte était tout ce qu’il avait connu ! Il ne voulait pas «déshonorer » les femmes sérieuses et il était hors de question pour lui de se marier… Restait donc cette solution qui finalement était bien agréable ! Il n’avait pas à faire une cours insensée, les filles étant déjà toute disposées à lui faire plaisir. Pour un timide un peu sauvage comme Guillaumin, les choses étaient si simples…
Par contre, et justement à cause de sa timidité, il n’était pas évident de s’adapter à un nouvel établissement. Il aimait que tout se fasse simplement et la première fois, il lui arrivait de perdre un peu ses moyens… Enfin, il verrait bien comment se passerait l’accueil…

Arrivé enfin devant l’endroit, il leva les yeux et vit l’enseigne discrète… Apparemment c’était bien là !
N’hésitant qu’une seconde, le jeune homme passa la lourde porte et s’imprégna tout de suite l’ambiance feutrée qui régnait dans la maison. Les lumières tamisées, les parfums lourds et capiteux, Il lui semblait même entendre des rires de femmes… Ah tout cela semblait de bon augure !
Retirant son bonnet, il regarda alors autour de lui, attendant de voir qui allait l’accueillir…
Ellya
[ Bien qu'tout' la vie ell's fass'nt l'amour ...] *

...La noce est jamais pour leur fiole. (*)


Les putains. Les filles de joie. Oui, Ellya en avait évidemment entendu parler. Rencontrer? Jamais. D'ailleurs, jamais elle ne s'était interrogée sur leur condition. Après tout, quiconque allait les voir en revenait ravi! Pour la Candide, ces femmes aimaient et étaient libres. Alors oui, ce n'était pas très Aristotélicien car elles n'étaient pas mariées et changeaient de partenaire plus que de chausses. Peut-être avait-elle prié une fois pour leur salut?

La jeune femme était d'ailleurs pratiquement à leur opposé. Elle ne faisait pas l'amour, allait se marier et n'était même pas payer pour cela. Au contraire, c'est elle qui payait. Où va le monde, me direz-vous? Dans la bonne direction, hélas.

Bref, revenons à nos moutons. Nuit noire après de cruelles mésaventures. Plusieurs jours après d'ailleurs. L'envie de se changer les idées. Se perdre, bien sûr, mais c'était une habitude. Alors là, elle cherchait juste une auberge où passer la nuit en fait. Du regard, elle suivait les quelques passants qui trainaient encore et qui devaient sans doute faire de même. Un retint particulièrement son attention. Elle le suivit discrètement dans l'espoir qu'il la mènerait à un lieu où elle trouverait gîte et couverts. Et miracle!

Maison de la Tempérance. Un lieu qui sentait fort la religion! Elle était bien tombée! Toute ravie, elle entra à la suite de l'homme, le bousculant légèrement avec la porte.

Un sourire en guise d'excuse, songeant qu'il faudrait le remercier plus tard pour l'avoir si bien guidée. Puis un regard en biais pour découvrir son lieu pour la nuit. Elle se demandait juste depuis combien de temps ils n'avaient pas aérés. Des semaines? Ou alors ils venaient de faire une cérémonie et avaient utilisé plus d'encens qu'il n'était nécessaire.

S'adressant à son voisin, en attendant la tenancière,


Voilà un choix fameux que nous faisons, mossu! La nuit promet d'être agréable!

*[Hrp: Cf Brassens - La Complainte des Filles de Joie]
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Soizic
Les premiers clients arrivaient. L'hypocras était servi, la cuisine était en effervescence, et les filles se tenaient prêtes à agir.

Soizic, en bonne tenancière des lieux se tenait là, autour de ses filles. Les hommes, plus rares, étaient retirés dans les chambres qui leur étaient réservées.

Elle se dirigea donc vers les deux personnes qui venaient d'entrer, un verre d'hypocras à la main.


Bonsoir à vous, que la Maison de la Tolérance vous soit accueillante et douce. Le premier verre vous est offert.

Soyons polis, commençons par les dames. Qu'est-ce qui vous ferez le plus plaisir ?
Plutôt la force ? la douceur ? de la tendresse peut-être ? Oh oui, je devine en vous un besoin de tendresse. J'ai ce qu'il vous faut jeune dame. Passez la porte là bas, et dans le couloir, au fond à gauche, une banquette vous conviendra.

Quant à vous monsieur, hum... délicate ou plutôt sauvage ? Je n'arrive pas à bien vous cerner...

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Guillaumin
Guillaumin habituait à peine ses yeux à la pénombre du boudoir sombre qui composait l’entrée de la demeure lorsqu’il se sentit légèrement bousculé. Se retournant, il concentra son regard sur la dame qui entrait juste derrière lui.
En haussant un sourcil, il se demanda ce qu’elle faisait céans… Elle ne ressemblait pas à une fille… Plutôt à une honnête dame en voyage… Le style des lieux était-il si particulier pour qu’ils embauchent des personnes à l’allure si sobre ?
A moins que cela soit une cliente… Là, il fut encore plus étonné. En général la clientèle de ce genre d’établissement était des hommes, les dames se faisant fort rares, voire inexistantes !

Lorsque celle-ci s’adressa à lui, il eut alors confirmation, elle venait pour passer la nuit ! Mazette se dit-il, Toute la nuit ! Quelle femme ! Quelle santé plutôt ! Peut-être qu’elle et moi on pourrait… non… S’empressant de chasser la pensée subite qui venait à son esprit, il posa à nouveau son regard vers le boudoir…

Légèrement émoustillé, il vit arriver une dame qu’il devinait être la tenancière de cette maison. Celle-ci arrivait avec un verre d’un alcool qui semblait bien sympathique.
Hum, cela démarrait bien !

La tenancière, bien habituée à ce type d’accueil, demanda alors à la jeune femme ce qu’elle souhaitait puis, en la jaugeant d’un simple regard, elle la dirigea vers un endroit bien précis.

Se tournant ensuite vers lui, elle lui demanda à son tour ce qu’il souhaitait, « délicate ou sauvage ?».
A vrai dire, Guillaumin savait exactement ce qui lui plaisait. La petite Lisette qui « officiait » dans le village de sa jeunesse savait toujours lui prodiguer tout ce qui fallait car elle était un mélange de tout cela, la tendresse au départ et puis une déferlante de sensualité… Ah Lisette !

Mais enfin, le passé était le passé et il fallait bien se décider pour ce soir, Guillaumin prit donc la parole doucement


Et bien pour tout vous dire Dame, je la voudrais avant tout blonde ! J’aime beaucoup les blondes et… hum… relativement bien en chair ! Après pour le tempérament, j’apprécie beaucoup la tendresse mais je ne sais pas si vous avez tout cela réuni ici…
Ellya
L'homme resta muet. Alors qu'elle s'apprêtait à reprendre la parole - on ne peut pas lutter contre un naturel bavard - une femme arriva. Accompagnée de nombreuses autres, étrangement vêtues. Enfin dévêtues était sans nul doute un terme plus approprié. Les joues rouges, imaginant mille hypothèses à une telle tenue, elle prit machinalement le verre.

Croyant toujours naïvement être dans un lieu honnête, elle avala la substance d'un trait, songeant qu'il s'agissait d'une tisane prompte à endormir. En lieu et place, cela lui tira une grimace et acheva de rendre sa face pivoine. Et pour la réveiller, cela l'avait réveillée!


Soyons polis, commençons par les dames. Qu'est-ce qui vous ferez le plus plaisir ?
Plutôt la force ? la douceur ? de la tendresse peut-être ? Oh oui, je devine en vous un besoin de tendresse. J'ai ce qu'il vous faut jeune dame. Passez la porte là bas, et dans le couloir, au fond à gauche, une banquette vous conviendra.


Un sourcil haussé en guise de réponse. De quoi la tenancière parlait-elle donc? Étourdie légèrement par l'hypocras, peu habituée à boire de l'alcool, elle conclut par un sourire gêné et commença à se diriger vers l'endroit indiqué.

Mercé dauna! Voilà un accueil que je n'avais jamais connu auparavant!

Quelques pas dans le couloir. Peut-être allait-elle y trouver une dame bien charmante qui la consolerait de tous les maux qui l'assiégeaient. Une sorte de confession? La nonnette se félicitait d'être tombée dans un lieu si saint. Bien que certains détails la troublaient... Mais l'esprit embrumé, elle n'arrivait pas vraiment à s'y arrêter.

Mhm. A gauche ou à droite, déjà?

Un doute, elle commença par la droite avant de revenir sur ses pas. Non, la gauche, c'était la gauche. Et voilà la-dite banquette! Mais qui semblait déjà occupée.

Haem... Adishatz Mossu...

Elle lui adressa un chaleureux sourire, bien qu'un poil perplexe. Se confier à des femmes passait, mais à des hommes? Rares avaient été ceux à qui elle avait confié ses chagrins. Cela devait être un véritable Père! Evêque peut-être même!


... Monseigneur, je veux dire!

Fière d'avoir une telle compagnie avant d'aller trouver le sommeil, elle prit place près de lui. Mais par où commencer?

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Don_Diego, incarné par Soizic
Don_Diego, l'homme aux doigts d'or. C'était du moins ce qu'on disait de lui. Il était capable de con-fesser la plus prude des dames et ses talents avaient fait sa renommée.

Issu d'une famille bien pauvre, il n'avait reçu aucune éducation. Couard comme pas deux, l'armée l'avait éjecté en un rien de temps quand, effrayé par une souris, il avait failli embrocher le colonel qui se trouvait face à lui. Maigrelet comme il était, les travaux où la force était nécessaire lui étaient impossibles. Quant à la religion... il ne croyait que bien peu à ses balivernes.
La seule chose qu'il avait pour lui, c'était sa "belle gueule" comme certains disaient.

Alors un jour, il avait pris sa décision. Ratée pour ratée, autant passer sa vie à faire plaisir aux autres. C'est donc ainsi qu'il était arrivé là, dans la Maison de la Tolérance.


Il se trouvait donc étalé sur une banquette, attendant la personne qu'il devrait combler pour la nuit.
Et enfin, elle arriva.

Elle parlait une langue étrange au début. Il la crut étrangère. L'exotisme ne lui faisait pas peur, bien au contraire. Mais au final, elle l'appela "monseigneur". Cela le fit rire. Encore une et ses fantasmes religieux... Classique.


Que votre nuit à mes côtés soit douce jolie demoiselle.


Ca, il l'avait bien appris, il fallait toujours flatter la fille qui venait à lui. Même si elle venait désireuse du péché de chair, il fallait la rassurer sur sa capacité de séduction. C'était la règle. Après tout, s'il se devait d'exceller, il n'était pas contre un peu d'échange.

Que désirez-vous alors ? Je vous laisse agir seule ? Dois-je commencer la chose ?
Soizic
Guillaumin a écrit:
Et bien pour tout vous dire Dame, je la voudrais avant tout blonde ! J’aime beaucoup les blondes et… hum… relativement bien en chair ! Après pour le tempérament, j’apprécie beaucoup la tendresse mais je ne sais pas si vous avez tout cela réuni ici…


Et bien au moins, l'homme savait ce qu'il voulait. Alors que la jeune dame se dirigeait déjà vers l'endroit désigné, Soizic réfléchissait à qui conviendrait le mieux à cet homme qu'elle ne connaissait guère.

Blonde, elle avait. Bien en chair, ce n'était pas un problème, elle nourrissait bien ses filles dès lors que les clients ressortaient satisfaits. Tendre... Elles savaient s'adapter en général même si elles avaient toutes leur style.


Hum... Attendez moi ici, je reviens.

Elle se dirigea alors vers la couchette de Catine. Puis chuchotant, elle décrivit :

Un homme de belle allure, quelque peu réservé d'après ce que j'ai vu. Mais il sait ce qu'il veut. Il n'a pas l'air trop farouche et désire de la tendresse. Tu t'en occupes Catine ?
Et visiblement, il aime l'hypocras, alors n'hésite pas à le faire commander.


Catine répondit par la positive. A coups sûrs, elle avait compris.

Soizic revint donc vers l'homme.


J'ai celle qu'il vous faut. Catine, une femme bien en chair et aux cheveux clairs, comme vous le souhaitiez. Quant à la tendresse, elle en déborde.

Si vous re-voulez de l'hypocras, n'hésitez pas. Commandez.

Je vous laisse vous diriger vers la chambrée, elle vous attend.



J'incarne pour le moment tous les personnages du lieux ou presque. Mais ce RP est un RP ouvert, tant pour les "visiteurs" que pour les "occupants" du lieux... Alors viendez, c'est drôle

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Guillaumin
Quelque chose tracassait Guillaumin. La mine et l’allure de la jeune dame qui était entrée avec lui n’étaient vraiment pas ordinaires pour un tel lieu… Elle ne ressemblait décidément pas à une femme en quête de sensualité débridée !
De plus, après avoir bu son verre qu’il avait reconnu comme étant de l’hypocras, elle était partie dans une semi conscience au travers du couloir en balbutiant des paroles incompréhensibles… Quelle chose étrange !

Enfin, en haussant les épaules, il se reconcentra sur la tenancière, bien au fait de son commerce, et qui lui proposa les services d’une dénommée Catine. Une fille qui apparemment correspondait à ce qu’il souhaitait. En quelques minutes l’affaire avait été menée, et le boudoir était déjà prêt !
Guillaumin, bien heureux, s’adressa alors à la Dame


Ah Dame, je vous remercie ! Je vois qu’on ne s’était pas trompé lorsque l’on m’a recommandé votre établissement. J’espère que le reste de la soirée sera à la hauteur de votre accueil !
Je m’en vais donc de ce pas rejoindre Catine…
Ah et en effet, ne soyons pas regardant, votre hypocras est une merveille, je prendrai donc une bouteille !


Guillaumin, bien plus en confiance qu’à son arrivée, remercia une nouvelle fois la tenancière et prit la direction indiquée pour rejoindre Catine qu’il espérait aussi experte et tendre que sa chère Lisette !
--Catine_la_catin
Sitôt que la tenancière fut partie, Catine se mit en place. Elle ôta les quelques bouts de tissu qui recouvraient encore son corps et se glissa sous les draps. Ainsi dénudée, elle se positionna dos tourné à l'entrée de la couchette et fit descendre les draps pour qu'ils ne cachent que son bassin et ses jambes.

Et c'est donc dans cette allure que l'homme l'aperçut quand il entrouvrit les rideaux épais qui fermaient le lit.
Le mot d'ordre, la tendresse. Mais un peu de mystère ne pouvait qu'exciter encore plus les sens de ce jeune homme.

Catine n'était pas des plus belles de la région. Grassouillette, le visage relativement banal, et des cheveux clairs qu'elle tenait courts tant ils étaient rebelles et difficiles à coiffer. C'est clair, ce n'était pas une de ces filles qui faisait tourner la tête de ces messieurs, mais au lit, elle savait si prendre.

Elle commença donc son rituel, avant même que l'homme n'ait réellement pris place dans le lit.


Alors mon chou
- dit-elle d'une voix grave, posée et un brin mystique... - Il paraît que tu veux du plaisir pour ce soir ? De la tendresse, c'est ça ?

Allonge toi et glisse toi sous les draps. Puis ferme les yeux et laisse moi faire.


Catine ne savait si l'homme serait déjà dévêtu ou non. Elle ne savait dans quelle position il se mettrait une fois allongé. Elle ne savait rien, mais tout ceci révèlerait facilement le caractère du bel amant.
Guillaumin
Guillaumin entra dans la chambre sombre. Seule la lueur d’un candélabre éclairait la couche sobre mais de bonne facture. Les rideaux étaient tirés, il ne voyait donc encore rien de la personne qui s’y trouvait.
Le jeune homme appréciait ce moment de douce tension qui précédait la chaleur de la chair. Il lui semblait déjà entendre la respiration de la fille, un froissement de draps discret…

Silencieusement, il commença à se dévêtir…pas totalement…Ses habitudes paysannes lui faisait toujours garder sa chemise… En tout cas jusqu’au moment propice !

Puis enfin, il ouvrit les courtines… Le corps de Catine était de dos. La il se rendit bien vite compte que la donzelle était replète ! Tant mieux, c’était ce qu’il appréciait, un corps bien dodu et des cheveux blonds… Bon les cheveux n’étaient pas aussi soyeux qu’il l’aurait voulu, mais après tout ce n’était qu’un détail…

Avant que le jeune homme ne continue à se faire sa petite inspection, Catine prit la parole d’une voix grave et agréable. Les mots qu’elle prononça dénotaient une grande habitude de son métier et de ce que les hommes attendaient d’elle. Cela facilita l’entrée en matière, ce que Guillaumin apprécia.
Cependant avant de faire ce qui lui était demandé, il s’exclama à son tour d’une voix douce et basse


Bonsoir Catine ! Je suis bien content de faire ta connaissance… Du plaisir et de la tendresse, j’espère que j’aurai tout cela ce soir… Mais avant de fermer les yeux, approche toi un peu… j’aimerais déjà toucher à ta peau…

Joignant le geste à la parole, il se glissa dans le lit, sous les draps puis posa une main chaude sur l’épaule de Catine, toujours le dos tourné et la caressa doucement.
Puis avec un soupir de satisfaction, il s’allongea sur le dos et attendit de voir quelles surprises la jeune femme lui réservait…
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