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[RP] Réfectoire de la Horde (Sous-sol -1)

---fromFRLa Horde Sanguinaire
Prenant les devants, suivi de près par ses subalternes, le turcoplier s'engagea dans un long couloir du niveau inférieure. La patrouille habituelle avança, ses membres raclant le sol de pierre brute de leurs talons métalliques dardés de pointes. Les soldats de la Horde Sanguinaire avaient une démarche toute militaire. Concentré sur sa tâche, Vicente le turcoplier estima à environ deux minutes le temps nécessaire pour atteindre la fin du couloir qui faisait le tour du premier niveau inférieur. C'était routinier comme démarche. Le but étant de surveiller qu’aucun invité de la grande salle puisse se balader dans les quartiers privés. Techniquement, il était difficile d’échapper à la vigilance des gardes du rez-de-chaussée mais le risque zéro n’existait pas, c’est pour cela que si le moindre problème survenait... la patrouille de surveillance pouvait intervenir.

Plus le temps d'y songer, le couloir était vide et c’est une fois totalement parcouru, que la patrouille se dirigea en direction des cantines. Signalant à tout le monde d'avancer d'un geste ample, Vicente pénétra le dernier s’assurant que personne ne se cachait dans le couloir.
Rien... Pas un chat, pas un bruit. L'artère d'habitude si animée était déserte. De sa position, Vicente se décida enfin à rentrer dans le réfectoire, Il était temps de prendre une pause et de profiter.




Le turcoplier arriva dans la grande salle enfumée et pleine à craquer et garda un instant la tête baissée, non pas gêné mais perdu dans ses pensées. Il avait du mal à patienter sur le cas des futures nominations à la hiérarchie. Sombrespoir était particulièrement silencieux sur ce sujet mais des rumeurs circulaient déjà dans les couloirs de Nauzhror et les sanguinaires se demandaient qui allait bien pouvoir se retrouver à la charge de commandement des hommes.
Quand la patrouille fut installée à une des nombreuses longues tables de la cantine, Vicente leva les yeux, interpellé par la tenancière qui le questionnait sur ce qu’il désirait manger. Le regard appuyé en direction de la femme, il parla au nom de ses hommes d’une voix monocorde comme s’il rapportait un simple rapport de routine :


- Il nous faut du vin, une bonne pièce de viande et des patates ! Ca devrait aller pour ce soir, et tu me feras plaisir de nous ramener une serveuse qu’elle vienne danser sur la table le temps de patienter.

Un étrange sourire en guise d’attente, il toisa un instant la tenancière repartant vers les cuisines avant de se retourner vers ses hommes. Regrettant d'avoir à aborder ce point, mais convaincu que le sujet ferait parler bien du monde, Vicente enchaîna donc sur les rumeurs au sujet des nominations :
- Les gars Il y a aussi eu... vous savez pour le futur commandeur. Je sais pas ce que vous en pensez mais j’ai comme l’impression qu’on va se payer une dame. Ca risque de nous faire bizarre, on avait l’habitude du gros Odludekski mais depuis sa fuite, il semble que Sombrespoir se soit décidé à éviter de donner du pouvoir seulement à un type qui brille uniquement au combat. Si on regarde bien, les seules personnes qui sont vraiment proches du Maistre et qui ont l’âme d’un meneur sont le chevalier Mathie et la Maure non pas que cette dernière soit très bavarde mais elle semble être dans les petits papiers de Sombrespoir ! Le problème, enfin, c’est que dans les deux cas on risque de moins avoir la possibilité de se détendre et de se contenter de faire des petites patrouilles de réserviste. Le prochain commandeur va certainement chercher à faire bonne figure et il va nous mettre dans une situation intenable. Dans ce cas je vous conseille les gars, profitez des prochains jours car j’ai peur qu’on risque de repartir en province… Si vous avez des doutes sur mes dires, je vous laisse le choix de la raison...
Le turcoplier avait peu à peu courbé l'échine au fur et à mesure de ses dernières paroles. Quitter le poste qu’il tenait depuis son arrivée à Nauzhror était son dernier souhait, mais il préférait peut-être rétrograder qu'être source de problèmes et tête de turc vis-à-vis de ses hommes.
Plextor, un jeune grassouillet répondit à son chef :
- C’est certain que ça risque de filer vissa, on risque bien de rentrer en guerre dans pas longtemps et moi, je me souviens même pas être monté à cheval !
Un autre se permit d’intervenir – Une belle charge comme dans le temps au sein de la cour ça risque de le faire. – Ca dépend qui est en face, des templiers ? J’en jubile d’avance…
Vicente la mine grimaçante se servit un verre de vin et entama son cuisseau de viande qui venait d’être servi par la tenancière. Le bouche pleine – Je vous conseille d’être moins optimiste, Sombrespoir a encore en travers de la gorge Tulbegh et m’étonnerait pas qu’il trouve rapidement Nauzhror trop petit à son goût. Vos templiers je les vois mieux avec des tronches d’affreux et passés maître dans l’art de l’incendie.
- Tu veux causer des autres là ? Comment ça s’appelle déjà… - Les ténébris mon gars et je pense que tu devrais le retenir car nos rangs sont plutôt minces par rapport aux leurs. Un coup de trois contre un que ça m’étonnerait pas… - Sombrespoir va pas nous envoyer au casse-pipe c’est pas son genre ! – Sombrespoir non… mais le futur commandeur peut-être…

Les heures passent au réfectoire de Nauzhror et les conversations sont variées comme les personnes qui le fréquente. On y mange, on s’y repose, une véritable taverne en fait, mais c’ était aussi un endroit où les jeux d'argents étaient réputés et on voyait couramment des sanguinaires perdent leur solde du mois pour un malheureux lancé de dé.
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---fromFRLa Horde Sanguinaire
La porte en bois épais ouverte, Igor tirant sœur marie et Akilae pénétra dans le réfectoire de la Horde. Le plafond bas et enfumé parcouru de longues poutres de charpentiers de marine récupérées sur de vieux rafiots trop usés par le temps était particulièrement bondé. Une ambiance sonore animée par une grande majorité de chevaliers savourant une pause méritée, les uns étaient occupés à jouer aux dés, les autres à parier sur le prochain combat de chiens prévus le soir même dans un entrepôt voisin, tandis que les autres enfin, un peu plus avinés chantaient des chansons paillardes en agitant leurs choppes. A côté de l'entrée une tablée d’officiers, reconnaissables par leur ceinture en soie rouge qu’il portait à la taille, étaient absorbés par une conversation animée autour d’une soudaine activité des ténébris. On pouvait entendre au milieu du brouhaha ambiant :
"Qu'ils crèvent tous ces chiens, il faut les écraser une bonne fois pour toutes"
"Il paraît que Sombrespoir va...."
"C'est pas évident... et c’est risqué... hein ?"
Ailleurs, deux marchands richement vêtus discutaient à voix basse, les restes d'un repas encore tiède encombrant leur petite table alors qu'ils finissaient leur timbale de vin en fumant les pipes que la tenancière mettait à la disposition de ses clients.

- Vous êtes ici chez vous mesdames, toi la tigresse regardant Akilae, tu peux aller t’amuser mais attention à tes fesses ! Quant à toi se tournant vers sœur Marie les tiennes sont pour moi ! le turcoplier pouffa avant de saisir par la taille sa captive. – On va boire un verre !
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pnj
Aki observait le décor et le paysage qui s'offrait à elle.Elle descendit du cheval à la suite d'Igor et de la jeune fille.Igor la regarda et lui dit;

''tu peux aller t’amuser mais attention à tes fesses !''

Aki se rapprocha de lui,et lui glissa quelques mots à l'oreille;

La Tigresse a peut-être envie de s'amuser avec un aussi valeureux soldat que toi...

Elle le regarda avec un peu de malice au fond des yeux,se retourna et alla un peu plus loin,observant toujours le sourire sur les lèvres d'Igor.
---fromFRLa Sarrasine
Les nouvelles n'étaient pas bonnes, et il y avait une mission urgente à remplir.
Ayant besoin de renforts pour une visite "courtoise", la Sarrasine, toujours voilée et armée déboula dans le réfectoire.

Comme à son habitude, Igor y lutinait les servantes, et taquinait les jeunes femmes de la horde.
Elle grogna contre la stupidité bestiale du turcoplier derrière son voile, puis frappa un bon coup du poing sur le comptoir, pour attirer l'attention.

- Désolée d'interrompre vos occupations si... primaires, mais j'ai besoin de 3 chevaliers, avec moi !
Igor, allez préparer des montures si vous ne savez pas quoi faire de vos mains.


Elle examina les personnes présentes. Peu d'élues, mais la jeune femme ferait l'affaire. Elle pourrait servir d'éclaireuse, avec une vêture plus adaptée bien sûr.


- Toi, la nouvelle... C'est le moment de faire tes preuves.
Rejoins moi au harem.

Igor, trouve moi Griffith, et une autre personne. Vite.
Si tu trouves Trez, envoie le moi également.



Le ton était sans appel.
Sans attendre les questions et les protestations, elle quitta la salle à grandes enjambées. Il était temps que les choses se mettent enfin à bouger, et pas seulement au niveau des hanches des donzelles.

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---fromFRsoeur marie
Transbahutée sans conscience et sans scrupule aucun. Aucune envie de les suivre, mais on ne lui avait pas demandé son avis. A vivre dangereusement à la Cour, il fallait bien qu'un jour elle s'en morde les doigts. Même si pour l'instant ce ne sont guère ses doigts qui sont à l'honneur. Horreur et frémissement de dégout alors que la brute pose ses mains sur ses hanches frêles et légèrement vêtues d'un voile. Voile sur ses yeux alors qu'elle pense sombrer à nouveau dans l'inconscience. Consciemment, elle entend la voix d'une femme, voix forte et autoritaire qui vient à point la soulager, la délivrer presque... même si elle ne l'est pas tout à fait.


*Fais attention Marie... tu ne sais même pas où tu es... et visiblement, il ne faut pas poser de questions par ici...*

Ses yeux se posent sur la pièce et ses occupants, comme si elle était dans une taverne de la Cour qu'elle ne connaissait pas. Pas de demie mesure ici en tout cas apparemment. Mensonge que d'espérer fuir dans l'immédiat, vu le nombre de personnes présentes. Pressentiment désagréable de peur qui vrille le bas ventre... Marie, libérée de son geôlier, s'approche pourtant de la tenancière.

Dites... Où est ce que je pourrais me soulager... en privé? Y a bien quelque chose au fond de la cour sans doute, non...?

Coeur à battre la chamade dans la poitrine de la jeune écervelée. Cerveau qui va éclater. Hâte de vouloir sortir, coûte que coûte... sauf la vie.
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C'est le lot des mal-aimées de se raccrocher des heures voire des jours à des bouts de phrases écervelées
A. d'Ozan
pnj
Aki revint au réfectoire,bien pensive.Elle allait participer à sa première mission dans la Horde,elle en était fébrile...Elle poussa la porte du réfectoire et vit la jeune captive.Aki s'approcha d'elle lorsqu'elle eut le dos tourné.Elle lui tapotta l'épaule et la jeune fille se retourna vivement.

On cherche à fuir,peut-être?

Un sourire sournois aux lèvres,elle alla un peu plus loin.Elle avait croisé Trez durant la soirée et lui avait dit qu'il devait prendre contact avec La Sarrasine,pour quelque chose de bien important.

Aki avait hâte de faire ses preuves,plus que hâte...Elle attendit avec impatience la suite des choses,observant la captive qui ne semblait plus savoir où donner de la tête...
---fromFRsoeur marie
Une main posée assez vivement sur son épaule. Pôle position pour Marie, du moins le croyait-elle. Elle cherche à fuir, forcément, vu que ce lieu n'est pas pour elle et qu'elle sent bien qu'on l'y a mise de force, sans qu'elle en comprenne la raison.

*Raisonne ma fille. Réfléchis sans en avoir l'air. Prends ton air ingénue et essaye de t'en sortir...*

Fuir? Moi? Pourquoi le ferais-je? Il y a ici gite et couvert... que demandez de plus? Ah si, les commodités pour les dames... parce que bon... c'est un tantinet pressé quand même, hein...

Regard clair de donzelle à peine effarouchée, farouchement intrépide pour son jeune âge et la situation dans laquelle elle se trouve.
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A. d'Ozan
pnj
Aki,un sourire sadique aux lèvres,s'approcha de la captive,dague à la main...

Je me ferais un plaisir en te faisant payer ton arrogance..

Elle lui plaqua la dague a un cheveu près de la gorge.Elle lui fit même une égratignure,d'où un filet de sang s'écoula...

Je ne suis pas la femme de qui on rigole,petite insouciante...

La dague toujours sous sa gorge,Aki la regardait avec un oeil sournois...
---fromFRsoeur marie
Dague sous la gorge qu'elle sent se réchauffer légèrement d'un filet de sang. Sans se départir de son insouciance, salvatrice sans nul doute, Marie dévisage la femme qui vient de l'agresser sans raison apparente.

Apparemment vous m'avez mal compris madame. S'il est vrai que je suis innocente et naïve, je n'ai guère chercher à être arrogante, surtout point en ces lieux qui ne me sont pas familiers.
Mais peut-être pourriez-vous me guider à travers les méandres de ces couloirs obscurs et m'indiquer le lieu que je recherche... pour me soulager et non fuir. Comment le pourrai-je de toute façon? Croyez vous que je sache me défendre...?

Un sourire s'esquisse presque sur les lèvres de Marie. Pleine de grâce, la jeune fille ne doute pas que la bonté réside en chaque individu, aussi sournois et vicieux soit-il.
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A. d'Ozan
pnj
Aki écouta les paroles de la captive.Elle cherchait des yeux les autres membres....Où étaient-ils?Elle baissa sa dague.Elle déchira un morceau de la chemise serrée qu'elle portait et la tendit nerveusement a Marie

Tiens..grommela-t-elle,attendant qu'elle essuie le sang qui coulait dans son cou.

Maintenant suis-moi...hoqueta-t-elle.

Elle lui aggripa le bras et l'amena à une porte.Elle regarda Marie

Si tu fais la moindre bêtise..Tu sais ce qui t'attends.

Marie entra dans la pièce.Elle allait fermer la porte lorsqu'Aki attrapa la poignée,la laissant entre-ouverte de quelques centimètre,sous le regard perplexe de la captive.

Mais t'attends quoi?Et fais vite!grogna-t-elle.
pnj
Griffith était arrivé à la cour depuis seulement quelques jours, mais il connaissait déjà assez bien l'endroit pour y avoir mit les pieds plus d'une fois par le passé. Mais cette fois, il y était pour des raisons différentes. En fait, il avait récement rejoint l'Hordre Sanguinaire et c'est en direction du refectoire qu'il se dirigeait, seul, dans les rues sombres de la cour. Revêtu de sa longue cape noire, cachant son épée et sa dague ceingnit à sa taille, dont le col montait assez haut pour cacher son visage jusqu'à ses yeux perçants. C'est ainsi qu'il entra dans le réfectoire, bondé de gens, et qu'il alla s'accoter, dos contre le mur, dans un des coin de la salle. C'est à ce moment qu'il aperçu furtivement deux dames qui entraient dans une salle. Griffith crut reconnaître une des membres de l'hordre, dont il avait oublié le nom, qu'il avait dut croisé une ou deux fois. Mais il n'était pas un homme curieux, préférant s'occuper uniquement de ses affaires, et surtout, il n'était pas bavare. Peu de temps après qu'il soit arrivé, il dégagea son col, dévoilant ainsi son visage pâle, marqué par des signes de fatigues, dont des cernes sous ses yeux, presqu'à demi fermés. Le chevalier était en effet tourmenté, dans ses rêves comme éveillé, par des souvenirs, par une haine immense, mais dont il ne laissait pas transparaître sur son visage. Il attendit donc ainsi, dans le silence, la tête légèrement incliné vers le sol.

*Espèrons que l'Hordre auras bientôt besoin de moi. Ma main tremble si souvent, impatiente de saisir ma lame et de transperçer une de ses âmes maudites. Nous sommes tous maudits... Mais ils ne souffrent pas assez...*

Griffith jeta un regard à l'assemblé qui se trouvait devant lui, puis murmura très bas

-Non... Ils ne souffrent pas encore assez...
---fromFRsoeur marie
Bout de chemise déchiré pour essuyer son cou en sang. Sans plus attendre, la femme lui empoigne le bras et l'entraine derrière elle vers une petite salle dont elle ouvre la porte avec rudesse. Rudement aimable la dame... pour lui damer le pion, il faudra plus d'un tour dans le sac à malice de Marie.

Faire vite, faire vite... vous en avez de bonnes vous! J'contrôle point ces affaires là moi. C'est Aristote qui m'a faite et bien faite. Mais il ne m'a pas donné le mode d'emploi...

Porte maintenue entrouverte. Verte de rage, la femme lui décoche un regard venimeux. Mieux vaut le silence dans ces cas là. La jeune fille se retourne délicatement car elle est encore prude. Prudemment elle soulève le pan léger de sa robe et s'abaisse pour se soulager. Largement méritée cette pause après les derniers évènements démentiels.

Ciel! Je saigne!

Ne comprenant pas ce qui lui arrive, Marie se redresse brusquement, manquant de tomber à la renverse et de bousculer la femme toujours derrière la porte. Portant les mains vers son bas ventre comme si cela pouvait la protéger, elle dévisage la femme, les yeux écarquillés.

Pourtant, c'est à la gorge que vous m'avez touchée...
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A. d'Ozan
---fromFRAriella
Une femme entra à son tour dans la grande salle, communément appelé le réfectoire. Elle avait déambulé dans les couloirs machinalement, sans même savoir où elle se trouvait, mais cela avait-il une réelle importance ? Pas pour cette femme frêle, voir faiblarde. Ce lieu non-familier n’était que la sombre suite des dernières années. Elle était l’ombre d’elle-même depuis si longtemps, n’étant devenu qu’un corps à l’âme engourdie par la douleur des temps passés. Cette enveloppe charnelle avait erré sans arrêt, toujours vers l’inconnu; un inconnu promesse d’une nouvelle existence.

Elle y était maintenant face à sa nouvelle vie. Elle marcha longuement dans le réfectoire, posant son regard vide, tel celui d’un mort, sur tous ceux qui se trouvaient dans l’endroit. Des êtres forts en apparence, tout le contraire d’elle-même. Petit chaton parmi tous ces lions féroces, mais ce n’était pas cela la force des plus faibles : la fausse opinion qu’on se faisait d’eux? L’imprévisibilité, la capacité de surprendre l’adversaire n’était-il pas une force en soit ? Une réponse qu’elle aurait très bientôt, révélatrice de son futur.

* Tout se décidera ici, un chemin, deux embrachement à l'horizon. Un sera la vie et l'autre la mort.*

Peu bavarde, elle s’arrêta près d’un pilier et s’y adossa. Ses yeux se fermèrent, lui permettant de s'enfuir de la réalité. Âme à nouveau disparut dans l’interminable univers des pensées …
---fromFRLa Sarrasine
Elle pousse à nouveau la porte du réfectoire.
Un coup d'oeil rapide lui apprend qu'Igor a bien fait les choses, ceux qu'elle attendait sont là.
Un jeune homme mélancolique dans un coin, une rêveuse endormie sur un pillier et Akilae qui , curieusement, semble monter la garde à la porte des commodités.
La Sarrasine salut d'un signe de tête les personnes présentes et s'installe à une table.


- Bon, on fait un dernier point, et on y va. Asseyez vous.


Voilà, comme vous le savez peut être, nous avons mis en place un système de ... protection, sur les diverses activités de la cour. Moyennant quelques prélèvements mensuels, nous garantissons que les établissements ne seront pas ennuyés par des surprises désagréable.
Il se trouve que l'un de ces établissements, l'Opalescence, n'a pas compris le message et traine à payer son dû. Nous allons donc nous y rendre et faire un peu d'intimidation pour leur rappeler où est leur intéret.
J'ai di Intimidation. Pas de morts, et le moins de sang possible. Faisons ça avec style.
Akilae va se déguiser et aller là bas pour postuler à un emploi. Le but est de faire sortir le tenancier de son trou.
Quand ça sera fait, nous la rejoindrons et je mettrais les choses au point. Pendant ce temps, vous tiendrez les clients et les pensionnaires en respect. Au besoin, brisez un peu de mobilier ou de bibelot. Il faut paraitre mauvais, mais ça n'est qu'un avertissement.

Des questions ?

Akilae ? qu'est ce qui se passe de si passionnant derrière cette porte ? Tu es prête ?

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pnj
Les voilà arrivés au réfectoire…La Sarrasine ouvre la porte et entre…Il la suit de nouveau…Des visages presque inconnus sont là….Deux jeunes femmes attirent son regard…L’une est appuyé sur un poteau…ne disant mot…une autre semble mener la garde devant la porte des latrines…Peut être que celle qu’il cherchait été là…Il ne savait pour le moment de quoi il en retourné…peu importe…Ils n’étaient pas venue pour cela…Et déjà la Sarrasine leur indique quelques précisions sur leur sortie futur…Le ton est autoritaire et à la fois amical… Il l’observe restant derrière elle…souriant intérieurement…

La voilà qui a fini…


Surtout pas de violence ! Evitez la au maximum… il faut bien savoir que nous ne voulons pas que la cour nous haie, mais simplement quelle nous respecte…

Il se tait et s’approche de la longue table…et s’assoit sur un des bancs…Il observe, attendant les réactions…
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