Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   1, 2, 3   >   >>

Info:
Unfortunately no additional information has been added for this RP.

[RP] Un annoblissement en Eysena

Linoa
Ce ne fut point en tant que capitaine du comté que Line se présenta aux portes d'Eysena mais ayant reçu la confirmation de la duchesse Elianor, elle était partie devant pour préparer la salle, un futur annobli en leur terre et un qu'elle connaissait avec plaisir.
La voiture s'arrêta devant les grilles du castel, elle en descendit refusant l'aide et tenant dans sa main gauche, un pan de sa simple robe.
Quelques gardes postés ça et là, il lui fallait à présent se présenter pour qu'on lui ouvre, espérant que ce soit le cas mais pourquoi l'inverse se produirait?

Elle se retourna pour attraper son écritoire qui pourrait sans doute toujours servir, de la cire à faire fondre et des parchemins et des plumes, l'on n'était jamais trop prudent.


Le bonjour mon brave, je suis Eléïce de Valten, poursuivant d'armes du Rouergue, je viens pour un annoblissement que votre comte souhaiterait faire, sa grasce Elianor de Vergy ne devrait plus tarder à ma suite pour la même raison.

Espérant que tout cela suffirait pour la faire entrer, elle patienta le temps qu'un page prévienne le maître des lieux, jetant ainsi des coups d'oeil curieux dans le jardin.
_________________
Toni_montana
Un garde approche.

Bonjorn Donà! Le coms nous a informé de votre arrivée, nous vous attendions.

veuillez me suivre s'il vous plait.

Le garde passe devant pour guider la marche. il conduit la jeune femme au travers des couloirs du château jusqu'à la salle d'apparat .

Dans cette salle, on peut y admirer toute la démesure que le comte aime. De grandes tapisseries cousues d'or fin couvrent les murs , de belles toiles sont disposées un peu partout dans la salle, des sculptures sont disséminées un peu partout dans la pièce. le trône du comte est quant a lui assez banal par rapport aux autres pièces se trouvant dans la salle. un "simple" trone" recouvert de Cuir noir sur lequel sont gravées en Lettres capitales en or les initiales TM.

le garde montre l'écritoire non loin du trône a la femme, puis en partant lui dit.


Je vais de ce pas prévenir sa grandeur de votre venue. Il devrait arriver sous peu.

Si vous avez besoin de quoi que ce soit , n'hesitez pas à demander.

Le garde part en direction du bureau du comte ou celui ci se penche sur les differentes affaires qu'il a en cours. le garde frappe assez fort a la porte puis entre .

Le comte releve la tête.

Senher coms? les personnes que vous attendiez viennent d'arriver. Je les ai emmené a la salle de reception ou celles ci n'attendent plus que vous.

Un sourire s'affiche sur le visage du comte.

bien! Faites moi savoir dès que le senher Brann et ses invités seront arrivés qu'on puisse commencer. Il serait bien mal venu de commencer sans icelui.

Il se lêve

je vais dans mes appartements me préparer pour la cérémonie, veillez a ce que nos hôtes ne manquent de rien.

le garde incline la tête puis sort de la pièce

_________________
Brann
La préparation :

Brann avait reçu missive de sa Grandeur Montana et la transe avait commencé !
Quand un courrier de la Dame de Tyx lui fut remis, il sut que le moment était venu !
Deux heures, oui deux heures, pour choisir un kilt car son stock était fort impressionnant! Et tout ça pour se vêtir de son préféré, celui la fait des mains expertes de la ô Divine Pandorine, celui la même de son mariage... Pour dire si il devait être usé ! et bien non, Brann était du genre soigneux avec ses kilts. Et celui lui là plus que tous les autres, car il était chargé de souvenirs. C'était un kilt de Villefranche de Rouergue, un kilt de félon, un kilt de marié irlandais... Voilà donc la cause du retard de Brann : un kilt !!!! (oui mais pas n'importe lequel).

Le reste fut plus aisé ! Les invitations envoyées, un corbeau spécial pour la Nymphette lui mandant de l'y rejoindre, la chemise noire, plus cérémonial, vêtue, Crow, sa claymore huilée et mise au coté, et au galop, à dos de Gotham, son étalon/percheron ! Direction Eysena !!!


Chemin faisant :

Sur le chemin, qu'il avait tenu a faire seul - oui il était tendu et la solitude l'aiderait - il l'espérait - à se reprendre -, il repensa à ce qu'il devait faire, répétât cent fois les phrases qu'il devait dire.
Mais c'est à sa famille qu'alla le flot de ses pensées : Jehan et Nenou, Harpège, surtout Harpège, son fils, sa fille.... Et ses ami(e)s peu nombreux mais véritable... Ah !!Et Sa Grandeur, il espérait ne pas le décevoir !!!

Serrement de gorges ! Boule au ventre ! Presque la larme a l'oeil !

Il eut, soudain, une vision ! Une vieille, très moche, très vieille, le toisait en criant, la bave aux lèvres : "espèce d'enkilté, une vrai lopette !!!"

Ouah!! faut que je me reprenne, se dit il, en se demandant ce qu'il avait bien pu prendre ce matin au petit déjeuner avec son haggis....

Un pti coup de sa gourde pleine de bon whisky - gloups - et au galop ! tête vide, facile , kilt au vent !!!


Arrivée à Eysena :

Faire stopper Gotahm....
Point facile ! mais bon un cheval, même de guerre, n'est point apte à défoncer la porte d'un castel.

Huuueeeee.... Arrete s'il te plait..... Stopppeuuuuuuuxx

Brann se fait glisser de sa monture, rajuste son kilt et va au devant d'un garde quelque peu ahurit par ce qu'il voit...





Salutations !!!
Pouvez vous me faire annoncer ??

...


Ah oui, pardon !

Brann, Brann d'Orkney, dicte le Herisson.
je suis attendu ... je crois...

_________________
Harpege
La route était belle et la liberté à l'horizon. Quoi de mieux que le prétexte d'une livraison de whiskey pour s'évader un instant de ce comté trop loin de la mer, qui dormait profondément sous un pâle soleil de printemps …. Les mules cheminaient tranquillement, la jument, docile, s'avérait infiniment plus facile à manier que l'étalon de guerre décidément ombrageux, les chemins étaient vides et calmes, le bonheur quoi.

Bonheur de courte durée, écourté par un corbeau vindicatif et impérieux. Mouais, pas moyen d'échapper au volatile, autant obtempérer. Chemin de traverse, chariot cahotant et bringuebalant, la volaille devant qui croassait, pensées agacées, 'tain où j'ai mis cette robe, ils auraient pu prévenir avant non ?, la jument, nerveuse qui épousait les pensées de la cavalière et s'agitait à tout propos.

Vais être en retard, pour changer ….

Bin nan, même pas, à la porte un kilt qui s'agite. On freine le tout, le chariot et ses mules ne seront pas autorisées à entrer je pense, un sourire sans démonter …


Salutations seigneur, vous m'attendez depuis longtemps ?
_________________
Brann
Brann un peu secoué par les événements, avait rappelé le Garde avant qu'il ne s'en aille :

Messire le Garde ??
Oui pardon, juste un pti truc !

Dites à sa Grandeur que j'attends ma Dame ici !



Le Garde pas convaincu de la santé mentale du nouvel arrivant, toucha deux mots en chuchotant à ses collègues. Ces derniers ne quittèrent pas des yeux l'homme au kilt... Ils en avaient entendu parlé, pas dangereux, mais sait on jamais !!!!

Et Brann, tranquille, alla attendre un peu plus loin, sifflant sur la colline (ça calme) et cueillant des églantines pour sa douce ...

Elle ne se fit pas attendre d'ailleurs ! En grande pompe, nan en grand convoi elle arriva, un air passablement.... passable....

Brann chercha, sonda la couleur des yeux de la douce ! (un jour vous comprendrez).



Harpège : Salutations seigneur, vous m'attendez depuis longtemps ?

Heu du tout ! Je loue votre célérité et celle du corbeau messager !
Un pti bouquet...pour vous !!!


Lui tend les églantine car elle est venu ...

S'approche d'elle, lui fait une bise dans le cou et lui murmure

Merci, d'être là !

Le Seigneur des lieux est prévenu de notre arrivée, j'attends des nouvelles !


Brann se retourne, un peu rapidement et montre la porte et les gardes !
Ces derniers font un geste nerveux, se crispent sur leurs lances, prt à se défendre...

_________________
Harpege
il y a des jours comme ça, faut pas chercher à comprendre … 'fin si quand même : mais k'ess k'il fiche en tenue d'apparat à la porte d'un domaine qui d'habitude est ouverte sans tralala ?

Pis des fleurs … d'accord, avec des épines, mais quand même.

Harpège réfléchit à toute vitesse. Pas d'indice. "Je suis mandé en Eysena" était écrit sur la missive… bon, d'accord, elle lui a fait tellement de fois le coup d'envoyer sa mouette avec un "chuis loin, j'm'ennuie, viendez me chercher" que ça devait bien lui arriver de devoir tout lâcher pour le récupérer en situation compliquée. Mais des fleurs …. Et pourquoi il patiente devant les gardes alors que d'habitude on entre en Eysena quasiment sans s'annoncer ? Enfin elle du moins.


Il y a des jours comme ça, faut pas chercher à comprendre … Un coup d'œil sur sa vêture de voyage, bottes souples, tunique élimée et si confortable, cape chaude mais d'une couleur indéfinissable. Un coup d'œil sur le kilt d'apparat. Activation des méninges….


Le Seigneur des lieux est prévenu de notre arrivée, j'attends des nouvelles !

aaaah, on a le temps alors, c'est que c'est grand Eysena, va falloir que le messager trouve l'habitant, qu'il attende patiemment que ce dernier consente à lever le nez et à s'apercevoir de sa présence, comprenne les instructions, les rapporte, les transmette … on a le temps de voir venir.

Elle grimpa dans le chariot, déplaça des malles, des paquets, et entre deux tonneaux finit par dégotter ce qu'elle cherchait. Quelques tortillements plus tard, elle réapparut, ficelée comme il se doit, sourire candide vissé sur le visage.





ça va mieux comme ça ? heuuu, vous préférez l'épée ou le sabre d'abordage ? et si vous m'expliquiez ce que vous faites icelieu ???

edité pasque le couturier a râlé
_________________
Ibalam
Ibalam avait reçu une missive d'un vieil ami lui demandant de se rendre en Eysena.
Elle se prépara promptement et prit quelques bouteilles de vin dans sa cave.
En chemin, elle repensa au début de Villefranche... Aux maréchaux qui dansaient nus sur les tables de la taverne municipale... A Moïrha et Nennou...
Le regard fixe. "En mode mulet", elle marchait à bonne allure quand une pierre attira son attention. Un petit disque, d'environ un pouce de diamètre, poli par les roues des charrettes. Sa couleur mi-blanc, mi-noir, re-mi-blanc derrière, le rendait encore plus mystérieux que sa forme. Elle le prit et continua sa route.
...
Traversant forêts et champs que le printemps à réveillé, elle arriva finalement aux portes du Castel.
Elle reprit son souffle et salua les gardes.
Bonjorn !
Je suis Ibalam de Villefranche.
Je viens voir le défilé de kilt.
Lui dit-elle avec un large sourire.
Linoa
L'attente fut de courte durée et le garde réagit prestement lui répondant que le coms l'attendait, sa missive lui avait donc été remise rapidement.
Un hochement de tête et la voilà qui le suit à travers le jardin puis les couloirs plus richement décoré qu'elle ne l'aurait cru, certe elle avait pu voir ce genre de richesses en le castel d'amis ou encore à Paris où elle se rendait depuis deux semaines qu'elle était capitaine mais jamais elle n'aurait soupçonné la même richesse en ces lieux et pourtant...

Vêtue comme à son habitude, d'une robe simplissime de son bleu nuit qui la seyait tant avec naturel. Les bras quelque peu chargés, elle parcourait le castel regardant de ci de là, les tapisseries, les peintures et autres formes d'art, sa curiosité égale à elle même, lorsqu'ils arrivèrent dans la salle de cérémonie où le trône du coms s'imposait, elle se fit remarque qu'il était lui, simplement décoré en comparaison du reste.

Se faisant tirer de ses pensées par le gardes qui pointait du doigt l'écritoire qui servirait plus tard, lui fit savoir que sa grandeur serait prévenu de son arrivée. A nouveau elle hocha la tête de satisfaction puis lui répondit.


Je vous remercie, je vais de ce pas m'afférer à ma tâche en attendant le reste des conviés ainsi que sa grandeur.

Ainsi fut fait, elle posa chacun des outils sur l'écritoire espérant que tout tienne dessus, que chacun ait sa place.
Cherchant quelques secondes plus tard, une bougie pour faire fondre la cire en temps voulu, elle n'en trouva pas, il faudra qu'elle demande.
_________________
--Fou_de_bassan


Le fou savait bien que les allers retours allaient s’accentuer. Il ne quittait plus le point d’observation qu’il s’était trouvé et de là, vue directe sur l’écritoire.sa princesse brune s’y plantait régulièrement devant. Elle avait petite mine ces derniers jours, aussi il planait bas et en silence.
Elle y était tiens là !
Penchée sur un vélin, elle noircissait la page et avait un petit sourire qui accompagnait chacune de ses phrases. Il en regonfla les plumes.
Allons bon ! Elle avait quand même du brillant dans les yeux…
Rhoooooo !!!!! , Mais elle était déchainée…elle écrit trop là….Vais encore être en surcharge pour sûr….

Citation:
Mon cher père,
Comme vous pouviez vous en doutez, je suis retenue bien loin de notre belle terre du Rouergue et croyez bien, croyez bien que j’en suis fort contrariée... Ne pas être là …rater le kilt (tiens d’ailleurs...J’espère que vous avez enfilé celui du mariage…le beau rouge…vous savez ?…zaviez fière allure la dedans …). Et puis maman…en robe !!! Tssss… J’enrage de ne pas être là.
Soyez ma mémoire là et pensez à me compter cette journée...
Mon hérisson de père, votre fille, bien qu’a des lieux de vous, révérence grandement, longuement et avec admiration devant vous...
Soyez beau, soyez fier…Brann d'Orkney !
Je vous embrasse.
Embrassez ma capitaine de maman et n’oubliez pas Ariot le silencieux.
Ah et …saluez Messer Toni, voulez vous….
Cerdanne.


Bassan, missive amarrée solidement ne jeta même pas un dernier regard à sa maitresse. Les caresses impatientes et le bisou dans le cou lui avaient donné des ailes….
Ptêt trop…Jamais le Rouergue ne fut rejoint aussi vite….
Eseyna en vue !…Eysena en vue !
Trop rapide...Trop rapide…troooooop rapide…freine !…freine !

Le fou rasa un kilt rouge, embrocha de jolies fleurs, évita la lourde de porte de bois par un virage de folie et les yeux exorbités, crachant pétales s’engouffra par la première ouverture qui passait là. La seule piste d’atterrissage qu’il put voir était verticale !! Perpendiculaire au sol quoi !
Didioouu… Le ventre racla scène de chasse et autres momies craquelées et en couronnées pour finir par trouver une large ouverture et LA piste d’atterrissage…
L’hôtesse d’accueil, en uniforme strict, bleu marine ne fut pas à la hauteur...
Pas un sourire, pas un seul calinou. Le fou aplatit en bout de table, empêtré dans un amas de plumes (pas les siennes !) et autres bric à brac.
Colis toujours accroché à la patte, il se permit de manifester son mécontentement par un
KIIIiiAAAAAarDDDddd !! À déclencher un pipi dans les braies….
Clopin- clopant, et d’un coup d’ailes mauvais, il reprit le même chemin rasant à nouveau, vieilles croutes et vieux tapis et se posa légèrement décoiffé entre un corbeau et une mouette.
--Elianor_de_vergy
La poupée à caducées, brinquebalée dans sa litière, regardait avec attention le paysage qui s'offrait à ses yeux par l'entrebaillement des rideaux de cuir. Plus exactement, à cet instant précis, elle regardait avec une pointe d'amusement son page qui tentait tant bien que mal de rester en selle. Le pauvre. Que voulez-vous, il faut bien se distraire pendant les voyages, et le spectacle du pauvre garçon juché sur une bête capricieuse était des plus cocasses.

Heureusement pour le jeune garçon, l'étape du jour était la dernière, et la plus courte: le convoi arrivait en vue du castel d'Ayssène. Sans tambour ni trompette _ il ne faut pas exagérer tout de même _ mais avec garde, escorte, page et suivante, la duqueseta faisait son entrée sur les terres du comte Toni_Montana. Parvenue devant l'entrée, elle descendit de sa litière, lissa d'un revers de la main la soie de sa robe d'un vert éclatant et s'approcha du garde. L'on ne pénètre pas en demeure de noblesse sans se présenter, enfin!


Le bonjour mon brave! Je suis Elianor de Vergy, duchesse de Bellesme, baronne de Lesparre, Castelnau de Médoc, Sillé le Guillaume et Mulsanne, héraut d'armes de Guyenne et héraut suppléant du Rouergue. Sa Grandeur le comte d'Ayssène m'attend pour une cérémonie d'anoblissement.

Et on reprend son souffle. Oui, c'est ça l'ennui de la première présentation, c'est long comme un jour sans vin.

Oh, et si vous pouviez indiquer également à mon escorte l'auberge la plus proche, ils pourront ainsi m'y attendre.
Brann
Harpège : ça va mieux comme ça ? heuuu, vous préférez l'épée ou le sabre d'abordage ? et si vous m'expliquiez ce que vous faites icelieu ???

Brann heureux que la Nymphette soit là et lui fasse honneur en arborant une superbe tenue, reste coi un moment. Mais il pu quand même parler à nouveau, au bout d'un certain moment. Il rajusta son kilt, montrant de façon ostentatoire sa belle tenue, cranant un peu, comme pour lui donner un indice...

Et bien Ô Dame D'Orkney, si je vous ai mander...


Ibalam :Bonjorn ! Je suis Ibalam de Villefranche. Je viens voir le défilé de kilt


Et bien qui voilà !!! adieussiatz amigàs Ibalam !!!

Large sourire envers la nouvelle venue, bras grands ouverts vers le ciel

Vous êtes venue !!! J'en suis honoré et heu...


Il ne pu dire plus car il du se jeter de coté pour éviter un projectile a plume fort bruyant.
Brann un peu connaisseur en volatile, reconnu le messager ! Il couru a sa suite car le brouhaha qui s'ensuivit fut révélateur d'un atterrissage hors norme.

Les Gardes,, un peu surpris par les événements tentèrent, une interception du type au kilt ! D'abord une attaque au projectile à plume - une diversion - puis une charge de kilt ! C'était l'attentat ! On en voulait au Coms Montana !

Mais l'avantage du kilt c'est qu'on est a l'aise pour courir et c'est même une arme car elle détourne l'attention. tous étant obnubilés par l'ondulation du vêtement et de ce qu'il cache ou révèle en fonction de la foulée - ne dites pas non, j'ai vu vos regards en taverne !

Rapide, le kilt furtif se fit un chemin vers l'oiseau messager.
Brann eut le temps de lire la missive et consoler l'oiseau, une petite larme perla sur sa joue (celle de brann), juste avant que les gardes ne le cernent et l'entourent d"épieux.


A ce moment même, un noble convoi arriva et se fit connaître :


Elianor_de_vergy : Le bonjour mon brave! Je suis Elianor de Vergy, duchesse de Bellesme, baronne de Lesparre, Castelnau de Médoc, Sillé le Guillaume et Mulsanne, héraut d'armes de Guyenne et héraut suppléant du Rouergue. Sa Grandeur le comte d'Ayssène m'attend pour une cérémonie d'anoblissement...

_________________
Frederine
Frederine ayant reçut un pigeon de son filleul , c’était faite la plus présentable possible , elle avait mit sa belle tenue rouge, sa préférée. Contente de pouvoir être au côté de Brann et de Harpege dans ce beau jour .

Il faut que je me dépêche car si ça continue je vais être en retard , avec tout le travail du bureau pas trop de temps pour moi .

Elle arrive au castel tout le monde est presque arrivé , Brann a revêtu le kilt de son mariage hum !!!! Harpège a bien de la chance

Elle reconnu dans l’assemblée dame Ibalam et bien d’autres personnes, le comte Toni _Montana ne semblait pas encore arrivé .

Frederine s’avance pour aller dire bonjour à ses amis Harpege et Brann
_________________
--Garde_d_eysena
les gardes postés a l'entrée accueillaient les invités. Ils n'avaient pas de grosse liste d'invités, seulement une liste d'indésirables qu'ils scrutaient scrupuleusement, n'en voyant pas dans la foule qui était là, ils avancèrent pour, diriger les personnes présentes

Tout d'abord vers Brann qui était la star de cette journée et qui commençait par quelques sauts périlleux


Senher! suivez le garde qui vous guidera jusqu'a la salle, lo coms devrait bientot s'y trouver.

un garde lui fait signe pour le saluer et emboite le pas.
un autre garde avait, de son coté , s'avance vers le héraut.


Benvenguda* en Eysena votre grâce! votre poursuivante se trouve déjà en ces lieux, suivez moi, que je vous conduise jusqu'à elle. Pour votre suite, ceux ci peuvent vous attendre en Espalion, la taverne "les hirondelles" nous leur enverrons un page lorsque les festivités seront closes.

les autres gardes se coordonnent pour saluer et diriger les autres invités. Les têtes courronées en premier comme l'us le veux puis tous les autres en veillant bien a ne pas faire entrer les indésirables que le comte avait soigneusement listés.


* bienvenue
Brann
Brann tout occuper à protéger le volatile des fureurs du personnel d'Eysena, relâcha bien vite l'oiseau, tout en évitant de s'empaler sur un épieu. Ce dernier, le Fou de Bassan, ne réclama pas son reste et parti râlant au loin...

Brann obtempéra donc :


Tout doux Messieurs, je vous suis sans soucis, piouuuu ça pique ses épieux !!


et suivit le garde en faisant un grand signe de bonjour, lentement pour ne pas affoler les gardes, envers Dame Frédérine.

Chemin faisant, il rajusta sa tenue, histoire d'être visible devant le grande société. un pti coup de peigne dans un reflet, un pti coup de brosse sur la chemise et un énième rajustement du kilt... Pi un pti coup de whisky de sa gourde pour se donner bon teint.

_________________
Toni_montana
Dans ses appartements, le comte cherchait toujours la tenue a mettre. Il cherche fouille et retrouve une tenue qu'il n'a mis qu'en de rares occasions.
il enfile la tenue, fait ajuster les derniers détails de sa tenue puis quand il semble satisfait, se rend dans la salle d'apparats du château.


................................

Il pénètre dans la salle et va s'installer sur son trône attendant que les participants et les invités prennent place dans la salle.

_________________
See the RP information <<   1, 2, 3   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)