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[Lieu-RP] L'asile Saint Cmyrille d'Angoulème

Chevalierkerlouet
Un soir un homme trouble s'approche de l'asile, arrive devant la porte de l'asile , ésite un long moment en fixant la batisse sous la pluie , puis enfin se decide à frapper a la porte.

Bam!!Bam!! Y a t-il quelqu'un?

Une femme vient ouvrir et demande Qui étes vous? et que voulez vous?

L'homme repond je suis sire Kerlouët et cherche refuge ici car je suis devenu fou j'ai falli tué du monde à la taverne pouvez vous m'aidez?

La femme le fit entrer et lui dit d'attendre ici elle allait voir comment faire.
Spierrot
Conchita... Paulette... C'est ressemblant tout ça, nan? En tous cas c'est aussi moche...
Et ne vous fiez pas aux apparences, elles sont parfois trompeuses! Je sais de quoi je parle... Nous sommes bien plus que vous ne le pensez!


Une suite? Ces petits pains ratés tout rose n'étaient donc pas le seul met du repas: Dieu soit loué... Ceux-ci n'avaient rien du DONUT: rassis, pateux, salés même... Immondes!
Paulette retournait à la cuisine: qu'elle n'en revienne pas sans un véritable plat, et non ces infâmes aliments...


Sinon mon bon Cmyrille, nous avons oublié quelquechose d'important, de vital même pour l'économie de notre cité: Mon salaire!
Alors bien sûr, je demanderais en premier lieu les même prétentions salariales que j'ai proposé au Conseil Guyennais pour mes compétences de Prévost, 500 écus par semaine...
Mais comprenant que vous n'avez sans doute pas les même revenus que ce Duché, quoi qu'en ce moment, je ne parierais même pas une rognure d'ongle la dessus, je me contenterais d'être logé et nourri. Blanchi à la rigeur, j'ai reçu quelques euh... héritages de mes tontons...
Après y'a mes dépassements d'honoraire, fixé à 300% du tarif "Sans ECU", qui doit sélev...


Spierrot fut interrompu par Alamass, qui venait non-chalament avertir de l'arrivée d'un homme...

Y'a qunqun qui vient...
Y'a quoi?
Y'a qunqun qui vient j'vous dis!


Spierrot prit quelques instants pour comprendre la gamine, qui restait là, les bras balants, sans donner plus d'information...

Ah! Y'a QUELQU'UN qui vient... Pfiou...
Regardant Cmyrille...
Z'auriez pas pu vous faire livrer le décodeur en même temps?

Bon... Est qui est-ce?
Euh... Chais pô...
Pffff... Et pourquoi est-il là au moins?
Euh... Il a tué une taverne je crois...


Gros yeux ébahis, Spierrot qui s'était levé pour s'entretenir avec Alamass retourna de dos à la table, cherchant derrière lui une arme potentielle...

Oui ,oui, ben euh... Allez le chercher!

Une cuillère... Mais pas n'importe quelle cuillère: la petite cuillère!
Mais cette cuillère se transformerait en arme puissante d'auto-défense! Ou pas...

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Vice-Chancelier, détaché à la Culture...
Chevalierkerlouet
Merci bien , mdame.
Bonsoir messire , je desirai demander asile car je crois que je suis dangereux!

Oui je le crois aussi , d'aprés se qu'on m'a dit vous auriez tue une taverne!; ça ne va pas? dit l'homme en serrant fort la petite cuillére

le fou resta ébété, devant la table, car il venat d'aperçevoir un autre homme qui siégeait à la table

Que pouvons nous faire ?!? dit l'homme debout

Et bien je pensais qu'ici on puisse me soigner carj'en ai besoin!

Et bien nous verrons sa demain pour l'instant je vais manger et vous allez allez dormir, Alamass montrez lui une chambre!
Cmyrille
Paulette ronchonnait de la façon dont Spierrot s'était adréssée à elle. Elle lui signifia son mécontentement et lui rappella que les personnes dont il parlait n'étaient "pas là". Elle informa également que la suite serait servie quand ils le désireraient.

Et bien ma chère Paulette.
Pour savoir quand servir la suite, si vous rajoutiez ces fameux couverts et que vous et la petiote vous joigniez à nous pour le dîner?

En parlant de petiote, celle ci entra alors. Elle avait vu quelqu'un à l'entrée.

Le sieur n'était d'ailleurs pas du genre patient et n'avait pas pris le temps d'attendre qu'Alamass lui accordifie toutes les dences, et pas les dances hein, pour entrer.


Et bien messire, dans votre "folie", auriez vous oublié les règles de politesse? Ceci n'est pas un moulin, mais un asile. On est pas en romanie ici! On passe pas devant les gens comme ça!

Cmyrille eu un regard rassurant pour la petiote, lui signifiant qu'elle n'avait rien fait de mal

Je ne pense pas que vous ayez été invité à entrer. La demoiselle qui vous a acceuilli ne nous ayant appris votre présence que juste avant votre irruption.
(En gros on respecte l'enchainement des évènements dans un RP )

Ceci étant dit. Je ne crois pas que vous soyez fou.
De toute façon les fous, ils sont fous par rapport à une norme, mais pour eux, ce sont les autres qui sont fous.
Mais vous êtes sans doute un peu "irritable".
Il faudra que vous ayez une conversation avec le Docteur Spierrot à ce sujet. Il aura sans doute une solution à votre problème.

Cmyrille se dit que non content d'être impatient et mal poli, le sieur était en plus un crimier! Il tuait les lieux les plus importants à ses yeux, les tavernes!

Non mais d'ailleurs! Comment vous faites pour tuer une taverne vous?! C'est pas vivant ces machins là!

Non mais, comme vous l'avez fait dire à Spierrot, de toute manière on est à table. Alors on verra ça plus tard.
Pis comme ça se fait pas de faire parler les gens à l'insu de leur plein gré, pour la peine, vous serez privé de dîner. Un verre d'eau et au lit!

Il se tourna de nouveau vers la petiote.

Alamass, tu veux bien conduire notre hôte à sa chambre et lui amener un pichet d'eau s'il te plait.
Et après reviens manger avec nous. Enfin si tu as faim.

Puis tout le monde se réinstalla à table, sauf Cole, qui rata sa chaise...
La conversation reprit, dans laquelle Cmyrille glissa que le salaire des employés se négociait selon les compétences, et que chacun devait faire ses preuves.

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Qui pisse contre le vent a la chemise mouillée.

Directeur de l'Asile d'Angoulème
Membre de l'EPPA
Spierrot
Poussant discrètement Cmyrille du coude...

Elles vont vraiment manger avec nous? Chez mon ancien employeur, on ne partageait pas le repas avec les serfs... Ni avec les biches d'ailleurs...
Pis t'es sûr qu'on m'a fait parler à l'insu de mon plein grès? Olalalalala! Mais c'est pas possib'! Z'auriez pu me prévnir quand même, j'ai l'air de quoi moi maintenant? J'espère juste ne pas avoir trop dit d'aneries, ca pourrait vous choquer...


Commençant à plancher sur le cas du dernier patient...

Irrité? Mercurochrome! J'en piquerais quelques boîtes, dans le lot qui doit partir pour nos estropiés en Bretagne...
Quant à ses penchants pour l'assissinat de taverne, ben l'a qu'a ouvrir une entreprise de démolition, pis c'est tout. Il sera p'tet toujours malade, mais au moins il sera riche! Il pourra p'tet même prétendre au pouvoir dans ces conditions...


Voyant Alamass partir afin d'accompagner le nouvel hôte dans sa chambre, Spierrot se fit discret, afin de ne pas subir le même sort que le faiseur de dires...

Négocier en fonction de ses compétences? Mais ce que...

BRAOUM! Et un Cole par terre, après avoir renversé sa gamelle d'une magnifique manchette, permettant de bie en mettre partout.
Dans un excès de bonté, Spierrot aida l'homme à se relever:


Lève toi pour te mettre debout! Pis après assied toi et mange!
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Vice-Chancelier, détaché à la Culture...
---fromFRArletty
Côté des artistes, trimballant son barda la Arlette passait tranquillement la route pour rejoindre la maison des timbrées.

C'est-y faut dire que c'était mine de cette taule. M'enfin bon Arlette y aurait de coin gagner son pain justement, alors elle cracha pas dessus. Résultat elle se posa à la porte marquée "livraisons". Ou en tout cas un truc qui ressemblait faussement à ça.

Total elle toqua à la porte du lieu mais comme aucune réponse ne vient, elle poussa la chambranle.


Il y a du monde dans ce trou gueula-t-elle ? Non parce que moi j'ai une livraison de pain qui attends. Pour monsieur Cmyrille...

Mais visiblement ils étaient pas préssés dans la maison car personne venait la décharger.

Tant pis elle attendrait.

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" Atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? "
---fromFRGardes_mobiles
[Devant les gardes qui comme d'habitude n'avaient rien vu, parlaient tout simplement]

- Punaise qu'est-ce qu'on s'emmerde ici !
- Ben c'est pas vraiment le lieu ou on n'aura le plus d'activités tu sait.
- Bien sûr mais à ce point c'est vraiment insupportable. Je sais pas moi. On aurait pas pût envoyer un jeu de carte, quelques binouzes, ou une balle de soule ?
- Non le nouveau chef du chef s'est mit en tête d'éliminer tout ça. Et puis faut dire que le tenancier de l'asile là était pas vraiment trop chaud pour qu'on trinque avec ses pensionnaires.
- N'empêches que c'est un boulot pourri !
- Tu croyais quoi qu'ils nous payeraient si cher pour la beauté du geste ?
- Non bien sûr...
- Alors te plaint pas.


Après quelques secondes.

- Pour passer le temps j'ai peut-être une histoire drôle.
- Ben vas-y qu'est-ce qu'on risque.
- Alors c'est deux fous...
- Ah non on a assez de ceux de l'intérieur.
- Ben allez on va en rire et c'est fini.
- Oh tu fais c*** !
-Allez oh c'est juste une blaque...
- Bon une seule alors ?
- Bien sûr une seule. Donc c'est deux fous qui parlent. Le premier dit à l'autre. Qu'est-ce que tu fais ? J'écris une lettre répond le premier. A qui ? A moi. Et qu'est ce que tu racontes ? Je ne sais pas. Je ne l'ai pas encore reçue.

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- PNJS -

Prêts à défendre la veuve et l'orphelin à Angoulême.
Tant que ce n'est pas la pause et tant qu'ils ne sont pas bourrés.
---fromFRPaulette_la_paupiette
Paulette dressait les deux couverts pour elle et Alamass quand de speudo toubib marmonna

Elles vont vraiment manger avec nous? Chez mon ancien employeur, on ne partageait pas le repas avec les serfs...

Paulette avait l'ouie fine alors quand elle l'entendit elle lui lança un regard noir, s'il veut la guerre il l'aura.
Des serfs...., nan mais pour qui y s'prend chui là, pourquoi pas des esclaves pendant qu'il yé, y commence sérieusement à m'énerver. Si y continue j'va lui arranger ses repas à lui, légumes en bouillis, petit morceau de viande bien carbonisé, pain de la veille et dessert au lait tourné ce s'ra pour lui pensait Paulette.


Alamass parti accompagné le tueur de taverne dans sa chambre venait de faire son entrée dans la salle à manger. Paulette lui indiqua la place à prendre et la servie.

Allez manges ma fille !!

Elle même commençait son repas quand elle entendit une voix provenant de la cuisine aussi s'excusa t-elle, se leva pour aller voir qui avait investi sa cuisine.

Paulette vit une dame portant un panier rempli de pain, celui ci paraissait bien lourd. Ce devait être Arletty la boulangère que lui avait décrit le petit Kenn-y.

Bonsoir Arlette, comment allez vous ? Mais posez donc votre panier il doit être lourd et asseyez vous donc. Voulez vous un petit rafraichissement, il doit me rester de la citronnade. Pensez avec cette chaleur !!! vous devez avoir soif
---fromFRArletty
Arlette s'était installée sur une vieille souche pour poser son derche et le reposer tranquillement. Il faut dire qu'elle avait cavalé mémère pour rejoindre le lieu aussi vite. Et elle n'avait pas les petites gambettes d'un Kenne-y.

Alors quand la cuisinière débarqua à la porte pour l'accueillir elle était tranquillement en train d'étendre ses cannes.


Bonsoir Arlette, comment allez vous ? Mais posez donc votre panier il doit être lourd et asseyez vous donc. Voulez vous un petit rafraichissement, il doit me rester de la citronnade. Pensez avec cette chaleur !!! vous devez avoir soif

Oh là tout doux ma grande ! Un bécot d'abord ça te tente ? Non parce qu'on a l'air de se connaître. Personnellement je te recadres pas totalement mais si tu me dis je suis sûr que je vais te remettre.

Mais après tout Arlette s'en fichait un peu. Les deux femmes étaient deux ouvrières ça lui suffisait bien pour se dire qu'elle pourrait être copines.

Alors dès qu'elle déposa son barda elle lui dit.

M'en fiches en fait. L'important c'est que je soit là. Alors sers moi ton rafraîchissement sinon le gosier il va tourner à sec et c'est pas bon pour l'estomac tout ça.

Arlette reluqua la cuisine.

Mazette ils se sont pas fichus de toi les patrons, c'est classe ici...
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" Atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? "
Cmyrille
Après l'altercation avec le tueur de tavernes, Cmyrille repris place à la table qaund une douleur atroce lui étreignit les côtes.

Gnéééé....
J'ai choppé une maladie je crois!
Un truc qui comprime les côtes jusqu'à ce que mort s'en suive!
AAAAaaaaAAAHHhHHhHHHH.....

Spierrot lui glissa à l'oreille: Mais non banane! C'est moi! Et mon coude.

Ah. Autant pour moi. C'est vrai que ça va mieux...

Il écouta ce que Spierrot avait à lui dire.

Mais? Que porte le nain!
Qui t'as parlé de manger du cerf? Dame Paulette à dit du poulet grillé.
Allo! Mc Fly! Y'a quelqu'un au bout du fil?

Cmyrille commençait à se demander si ce "médecin" n'avait pas des goûts de luxe. A ce moment là dans quelques jours, il serait soit déçu, soit à la porte... On a pas les moyens d'engraisser les érudits pour le moment...

Spierrot se mit alors à psalmodier. Sans doute une incantation pour bénir le repas, ou conjurer les morts qui s'invitaient à la table. Il le regarda attentivement, on ne sait jamais, ça peut toujours servir.
Il comprit des bribes de phrases: "mercurochrome", "irrité", "entreprise de démolition", "taverne". C'est alors que la lumière fut! Il réfléchissait à la façon de soigner le céréale killer, enfin non, tavernal. Mais il doutait quand même que du mercurochrome empècherait l'individu de reproduire son forfait. Il le regarde bizarrement.


...
Si vous le dites. C'est vous le Doc, Doc...
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Qui pisse contre le vent a la chemise mouillée.

Directeur de l'Asile d'Angoulème
Membre de l'EPPA
---fromFRPaulette_la_paupiette
Citation:
Arlette reluqua la cuisine.

Mazette ils se sont pas fichus de toi les patrons, c'est classe ici...

N'est ce pas, y'a p'tête des fous ici mais question boulot et cuisine chui vernis enfin presque parc'avec le Spierrot-toubib de mes deux va y'avoir des étincelles.

Après avoir servie un verre de citronade à Arlette qu'elle avala d'un trait

Ben dit donc y l'était temps qu't'arrive sinon tu s'rais arrivée avec la langue pendante de soif alors bonjour les réflections des deux idiots à la grille. Eh au fait tu les a pas vue en arrivant, pas très malins avec leurs blagues à 2 deniers.

C'est quoi qu't m'apporte Arlette


Arlette vida le contenu de son grand sac sur la grande table en chêne de la cuisine alors aussitôt Paulette se découpa une tranche dans la miche de pain le plus dorée et la gouta.

Ah là!!! y s'fou pas d'nous l'boulanger, il est bon son pain, tu pourrais pas nous apporter deux ou trois brioches avec les miches pour les p'tits déj.

Pas d'problème ma vieille je t'apporterais ça mais à mon avis c'est donner du caviar au cochons de donner des brioches aux fadas.

Allez il faut que je m'en retourne
disait Arlette.

Les deux femmes se firent un smack bruyant sur les joues et Arlette quitta la pièce quand elle ajouta


Eh !!! demain prépare moi plutôt une chope de bière bien fraîche hein....!!

Paulette la regarda partir en riant
---fromFRArletty
La grande Arlette qui s'était débarrassé de son matos n'en était pas moins qu'elle avait fait une ardoise au tenancier des lieux. Fallait pas qu'il se mette dans le ciboulot que c'était nib pour sa pomme. Non mais ils travaillaient pas pour des prunes les boulangers.

Donc elle ne tarderait pas à revenir si les écus ne viendraient pas.

Bon boyons, au début elle enverrait juste une lettre pour signaler les traites mais après, pour sûr elle taperait à sa porte jour et nuit. Foi de Arlette.

Donc chemin faisant elle rentrait à sa boutique. Comme ça aussi elle pourrait surveiller Fernand et peut-être bien Kenne-y s'il avait fini. La route était longue mais elle se débrouillerait pour que ça passe tranquille.

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" Atmosphère, est-ce que j'ai une gueule d'atmosphère ? "
---fromFROh fada!
Un vieil homme, la tignasse longue, hirsute et blanche et à l'allure déguinguandée, se présenta devant la grille. Sans dire un mot, il poussa la grille et entra dans le parc. Il se dirige vers la bâtisse en observant les moindres détails. Il entre.

Après quelques instants à crapahuter dans les divers escaliers à la recherche d'une personne vivante, le vieillard tombe sur le bureau de celui qui semble être le directeur, affairé à gratter du papier.


Bonjour monsieur. Emmett Loyd Brown.

Enchanté monsieur. Cmyrille. Que puis-je pour vous?
répondit le directeur.


Et bien voilà, je suis comme qui dirai un scientifique. Et en ville, je ne semble pas être très apprécié.Aussi je me suis dit qu'étant un marginal, je pourrai peut-être séjourner ici pendant mon passage à Angoulème.

Hummm...
Et bien pourquoi pas. Mais n'étant pas à première vu atteint de troubles mentaux, il vous sera demandé une petite compensation en échange du gite et du couvert.
L'homme prit une sorte de boulier et commença des calculs apparemment savants.
Bien. Oui. Il vous en coûtera 2,21 gigowatts par jours.


2,21 gigowattsssss!!!!
Deuuuux virgule vingt et un gigowattssss!!!
Mon dieu!
Mais c'est une catastrophe!!!

L'homme au bureau semblait vraiment perdu.

Allons allons, calmez vous!
Pis en plus, c'est quoi un gigowatt?!

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PNJS destinés à ne connaitre le repos et la sérénité de tout un chacun.
---fromFRPaulette_la_paupiette
Paulette la veille avait mis de l'ordre dans la salle à manger et la cuisine afin que tout soit bien ranger au levé le lendemain.

Au chant du coq elle se leva et réveilla Alamass, il y avait beaucoup de travail en perspective.

Alamass et elle prirent un petit déjeuner composé d'une tisane et de pain livré la veille par Arlette, bien enduit de confiture de framboises.

Ceci fait elle envoya Alamass au potager cueillir les légumes pour le repas du midi et pendant ce temps se mit à briquer la cuisine.


Bon maint'nant qu'la cuisine est propre va falloir s'rendre au marché mais d'abord faut voir l'patron qu'y m'donne des écus c'est pas gratos la bouffe Paulette parlait toute seule à voix haute et quand elle s'en rendit compte se demanda si elle ne devenait pas fada à leur contact.

Alamass va apporter ces tartines aux deux idiots à la grille. Pour sur qu'ils doivent avoir faim.... Y sont arrivés très tôt c'matin et une collation leur permettra de faire correctement leur travail. C'est un vrai moulin à vent c'te maison, tout l'monde entre comme y veut sans être annoncé.

Sur ce Paulette se dirigea vers le bureau de Messire Cmyrille pour lui demander une cassette pour les achats du mois au marché quand elle vit un homme entrer dans son bureau.

Encore un qui entre sans être annoncé pensa t-elle. Va falloir en parler au Dirlo. Y sont bon à rien et mauvais en tout ces pseudo gardes !!!!

Paulette attendit pendant quelques minutes à la porte. Que d'temps perdu, mais j'ai ote chose à faire qu'attendre môa marmonna t-elle.

Paulette s'était rendue compte que Messire Cmyrille n'avait embauché personne pour faire le ménage de l'asile alors après s'être muni de tout le nécessaire, elle monta à l'étage et commença à nettoyer.

Il était près de 8 heures quand elle reparti vers le bureau de Cmyrille son plateau du petit déj dans les mains. Le fada etait plus là, elle frappa à la porte aussi délicatement qu'elle le pu avec le pied mais bon les sabots c'est pas très discret quand même(bien obligé avec les mains chargés) et quand elle fut invité à entrer


Bien l'bonjour Messire,
Voilà vôte p'tit déj.

Paulette posa le plateau sur le bureau devant son patron
Ben voila, la Arlette de la boulangerie à livré le pain mais j'avais point d'écus pour la payer alors faut m'donner une cassette avec les écus pour faire les courses de l'asile et pis y faut aller au marché moi j'ai point d'sous pour faire les achats

Pendant qu'elle parlait Messire Cmyrille faisait l'inventaire de son plateau et attaquait son petit déjeuner et Paulette se demandait s'il l'avait écouté
---fromFRGardes_mobiles
[Devant la porte, encore et toujours les mêmes]

- Tiens j'en ai une autre !
- Une autre quoi ?
- Une autre blague.
- Oh non sérieux tu va pas me raconter une autre blague sur les fous.
- Ben si pourquoi pas ?
- Pourquoi pas ? Parce que un c'est nul et deux on est devant un bâtiment qui abrite pleins de fous et que c'est un peu glauque de faire ça.
- Ben allez c'est pas grave c'est juste pour se marrer.
- Pour se marrer, se marrer c'est vite dit. Moi je vois juste que je fais un boulot avec un type qui se fous de la gueule de fous.
- Ca tiens la route malgré tout... aller ?
- Racontes toujours on verra après.
- Chouette. Alors ce sont deux fous qui sont dans un jardin et l'un d'eux plante des presse-purée. Ca sert à quoi demande l'autre ? C'est pour les ours. Mais il n'y a pas d'ours ici ! C'est normal puisque je plante des presse-purée.
- Ha ! Ha ! Ha ! Ha! Oh elle est très forte celle-là !!
- Ah oui mais je connaissais la même avec un belge moi.
- Qui a parlé là ?
- Ben c'est nous.
- Mince des fous !
- C'est normal aussi pour une histoire de fous.
- Qu'est-ce que vous faites là vous devriez être à l'intérieur.
- Eh ho! C'est pas une prison ici. C'est juste un asile. He ! L'autre !
- Et puis faut pas rire à nos blagues ça fait pas partie de la thérapie ça.
- L'humour vient tout seul à l'homme comme les poils au pubis.
- Oh elle bonne celle-là ! Mince si on peut plus s'amuser qu'est-ce qu'on peut foutre ? Avec mon pote Pierrot à donc décider de venir traîner ici. Et sinon j'en ai une moi. C'est l'histoire d'un mec...

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- PNJS -

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