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[RP]Chez Eowynn de Galway dicte Amazone1ere

Amazone1ere
RP ouvert à tous!!! PNJ, vrai nom venez mouvementer l'intrigue!!


Amazone était enfin rentré à Nancy après toutes ses péripéties en Bourgogne. heureusement qu'elle avait laissé son parchemin en lieu sûr!
En Bourgogne, elle avaitrencontré un homme qui pouvait la renseigner sur sa famille d'accueil en Bretagne et sur la suite de sa quête. Mais quelle histoire avant d'y arriver.


[ L'histoire en Bourgogne]

Elle partit avec son amour de l'époque, Duke. Le voyage jusqu'à Tonnerre se passa sans encombre. Ils s'installèrent à l'auberge du Cheval Blanc . Duke s'écroula sur le lit ainsi qu'Amazone et ils s'endormirent tout de suite. Le sommeil d'Amazone était perturbé. Des images de son passé rejaillirent de sa mémoire. Les images allaient de plus en plus vite au point de lui donner le tournis ce qui la réveilla.
Elle alluma une bougie, alla s'asseoir sur une chaise et posa le chandellier sur la table. Duke semblait dormir profondément. Amazone sortit une plume et un parchemin pour écrire à Nancy et demander des nouvelles de Thomas qui avait été grièvement blessé par ce Vallois qui était près à tout pour détenir son parchemin. Elle commença sa lettre quand elle fût attirer par une forme près de la fenêtre. Elle prit la bougie et s'approcha de celle ci. Il y avait un feuillet qui avait dû voler quand Duke et elle étaient entrés. Elle le ramassa et vit un un message de rendez vous dans sa chambre, mais il lui avait mandé de venir seule.


Seule!!! Mais je ne le connais même pas et puis de toute façon dans la chambre , je ne suis jamais seule.

Ce mot l'intriguait car ce message lui semblait urgent comme si c'était une question de vie ou de mort. Mais elle ne savait pas comment lui répondre ne sachant pas où envoyer la missive.
Elle décida d'aller voir sa jument, Furie à l'écurie. La voir, la sentir l'apaisait. Elle en avait besoin. De toute façon, elle ne pouvait rien faire cette nuit. Elle se leva, alla à la porte qu'elle ouvrit le plus doucement possible pour ne pas réveiller son tendre amour. Elle la referma et partit seule en direction de l'écurie de l'auberge.
Elle se mit à caresser Furie en rêvassant. Soudain, Amazone sursauta. Un craquement se fit entendre au loin. Elle se coucha près de Furie et attendit. Un homme était en train de s'enfuir comme un lapin. Elle ne savait que faire quand elle entendit une voix d'homme l'interpeller. Elle ne connaissait pas cette voix. Le peur commençait à s'emparer d'elle. Que pouvait-elle faire?? L'écurie n'avait qu'une entrée. L'homme s'approcha doucement vers elle. Amazone qui avait le coeur qui battait de plus en plus vite, resta immobile en priant très fort.

- Enfin je puis vous voir, Dame. Seul à seul.


Amazone se releva pour voir qui était cet homme. Elle ne le connaissait pas. Surtout qu'il portait un masque de cuir.

-Renvoyez l'homme qui vous accompagne, si vous tenez à lui, je n'ai que peu de temps et mon message ne concerne que vous. Un autre, je devrais le tuer alors si vous tenez à lui qu'il parte.

Amzone se douta qu'il faisait référence à Duke qui avait dû l'entendre et la suivre. Quand elle vit la dague, elle comprit car elle l'avait déjà vu. Oui il ferait ce qu'il dit! Et Amazone tenait trop à Duke pour le perdre. Elle sortit et appela.

- Duke!!! Je t'en supplie, fais ce qu'il te dit!! Repars vers l'auberge, je te rejoindrai dès que j'aurai fini. Elle entendit des pas. Duke apparut devant elle. Au vu de son regard, elle savait qu'il ne faisait pas confiance en cet homme d'autant plus qu'Amazone s'était déjà faite agressé à Nancy. Duke, n'es pas peur! Il ne m'arrivera rien. Elle le disait plus pour le rassurer que par conviction.
Duke se présenta devant la porte de la grange. Il s'adressa à l'homme de là ou il était en haussant un peu la voix :

Donnez moi l'envie de partir Messire, prouvez moi que Amazone ne risque rien avec vous et je m'en retourne à l'auberge !
- Si elle avait dû mourir, elle serait déjà morte. mais toi tu ne me sers à rien, dès lors demandes toi s'il valait la peine de venir jusqu'ici pour mourir dans une écurie

- Duke, il a raison. Je suis toujours en vie et je suis sûre qu'il avait plein d'occasion pour me tuer. Alors va à l'auberge, je te rejoins. Je ne veux pas te perdre. J'en mourrai. Alors si tu m'aimes, pars. Maintenant

Un conseil Messire, ne la touchez pas !

Duke tourna les talons quand un carreau d'arbalète frôla Duke alors qu'il prononçait ces mots, puis alla se ficher dans la porte de l'écurie.

Avant même qu'il eut pu voir d'où il provenait, un second carreau vint frapper près de lui à nouveau, le repoussant vers l'entrée de la grange, seul refuge pour lui.

Le voyant hésiter, l'homme toujours dissimulé en tira une troisième qui vint se ficha très près de lui, dans la porte ne lui laissant d'autre choix que de se réfugier à l'intérieur.

Une fois cela fait, une voix masculine se mit à crier:


- L'homme au masque de cuir! Celui qui à enlevé Dame Parvatti! Il est dans l'écurie! Attrapez le! vite! ne le laissez pas fuir!.

Entendant cela, de nombreux habitants, ayant entendu l'histoire de Parvatti se dirigèrent vers l'écurie pour tenter de se saisir de l'homme, s'armant de bâtons et autres armes rudimentaires.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Amazone1ere
[L'Histoire en Bourgogne suite]

Se sentant pris au piège, l'homme au masque de cuir chercha du regard un autre moyen de quitter l'écurie que par la porte, mais rien, pas d'issue. Il était fait comme un rat. Comment et par qui avait il été piégé?

Il devait s'agir d'un piège, pour le démasquer. Cette Amazone était elle seulement la vraie Eowynn de Galway?
Bondissant sur le couple dans une rage difficilement contrôlée il attrapa la femme et lui posa sa dague sur la gorge
.

Ton nom! je veux connaitre ton vrai nom! Tu détiens quelque chose, dis moi ce que c'est et ne te trompes pas ou je te tues! Prouves moi que tu es celle que tu prétends!

La lame se pressait de plusen plus contre la gorge de la jeune femme, laissant son compagnon impuissant face à la menace.

- N'y pense même pas, maraud, ne bouge pas! tu vas sortir devant nous et faire écran pour notre fuite. Allez avance! Si la populace nous trouve ici tout est perdu!

Il fit un signe de tête à Duke pour que ce dernier avance vers la porte, dissimulant ainsi Amazone et lui aux tirs venant de l'extérieur...
Dehors on entendait un brouhaha de voix montant progressivement, la foule arrivait.

Duke passa la tête par la porte, puis le corps mais rien, pas de carreaux. Juste une voix qui haranguait la foule pour la diriger sur l'écuire.

-Il tente de fuir! Rattrapez-le! Il enlève une autre femme!

Ainsi dissimulé par Duke, il entraina Amazone derrière un angle du bâtiment.

-Ne nous suis pas et il ne lui arrivera rien! elle te reviendra bien vite.

La voix se tut, comme évanouie au moment précis où l'homme et Amazone disparurent aux yeux de Duke.

Puis le silence reprit sa loi jusqu'à l'arrivée des premiers villageois.

De l'arrière de la foule en colère surgit une voix forte.


- C'est lui! je le reconnais!

A ces mots, il y eut un bref instant de silence, tous cherchaient qui avait prononcé ces mots, puis un peu perdue la foule se retourna sur Duke qu'elle prit pour cible. Nul ne le connaissait. Oui ce devait être un brigand, un complice de l'homme au masque!

Plusieurs citoyens se saisirent de Duke et l'emmenèrent de force vers le poste de maréchaussée, ne tenant nul compte de ses dénégations. Un moment il faillit convaincre la foule de son innocence mais il fut coupé dans son élan par un coup violent derrière la tête qui l'assomma pour le compte.

Et la foule reprit son chemin jusqu'au bâtiment où les regardaient arriver les maréchaux.

On jeta Duke dans uncachot, toujours inconscient.
- Voilà qui me fera gagner du temps, dit l'homme qui l'avait assomé.

Il tendit une bourse au geôlier.


- Qu'on ne le réveille pas trop vite, mais qu'il ne lui arrive rien. Il doit rester en vie.

Puis l'homme repartit en direction de l'écurie, et se mit sur la piste de sa proie.

Quelques temps plus tard, Duke se réveilla, une douleur lancinante dans la tête. Il se leva et regarda autour de lui, il faisait sombre et humide.
Il se trouvait dans un cachot ! Les faits lui revinrent en tête, il avait été enfermé par les gens de Tonnerre le croyant un brigand à la solde de l'homme masqué!
Il se souvint brusquement de l'homme qui avait harangué la foule le désignant comme dangereux, cette silhouette lui rappelait quelque chose maintenant.
Oui ! L'homme qui était entré en premier dans l'écurie !!!
Il se dirigea vers la lourde porte en fer et commença à tambouriner de toutes ses forces sur celle-ci pour appeler quelqu'un!


Oh y a quelqu'un ?


Il fallait à tout prix qu'il se sorte de ce mauvais pas, qu'il dise qu'il n'y est pour rien dans toute cette histoire, qu'il n'est pas le brigand que l'on croit !
Qu'il est un homme plus que respectable, lui l'ancien Maire de Nancy !

Et Amazone dans tout ça ? Il fallait qu'il la retrouve ! Où était elle, sa vie était elle en danger ?
Il était dévoré d'inquiétude !
Il continua à tambouriner sur la porte attendant que quelqu'un vienne ….

Un gardien vint et lui dit de se taire, qu'il ne pouvait rien pour lui. Il était le gardien de la prison pas le chef.

Pendant ce temps là, l'homme au masque de cuir amena Amazone dans une masure dans la forêt bourguignogne. Il voulait savoir si elle était la vrai Eowynn de Galway et pour cela il estimait que seul la vraie connaissait le lieu de la cachette du parchemin. Mais Amazone n'était pas complétement idiote et lui dit :


- Si vous prétendez vous aussi être celui de mon clan, dites moi les signes distinctives qui se trouvent sur moi et où!

L'homme le lui dit. Alors?? Où se trouve le parchemin?? Est-ce Thephénix, votre frère qui l'a ou le grand maître??? QUI??? OU??? Amazone le regarda étonnée mais ne dit rien. L'homme au masque de cuir s'approcha d'elle prêt à l'égorger quand tout à coup une flêche lui transperça la main qui se retrouva plaqué sur le mur de la masure, puis une autre sur l'autre main et avant même qu'il ne dise le nom de l'homme qui envoyait ces flêches, une autre se figea dans la gorge de celui-ci qui perdit la vie de suite. Amazone se figea, ne sachant quoi faire quand elle se retrouva face à un énorme chien Irlandais. Un homme entra et lui dit :- Eowynn de Galway, votre frère ThePhenixvous'a parfaitement bien décrite, courageuse mais fonçant sans réfléchir dans des situations inextricables. Je crois que nous devions nous rencontrer. Venez, j'ai des choses à vous dire!

Ils sortirent et retournèrent en ville dans une taverne. Ils discutèrent et lui donna des parchemins scellés à remettre à son frère ThePhénix ainsi qu'une boîte ornée de pierre précieuse et d'inscription à remettre au Grand Maître. Cette boite vide devait contenir une clée qu'Amazone devra un jour allait récupérer en Bretagne. Mais l'histoire de la clé sera expliqué plus tard.

Pendant ce temps là, Dame parvatti qui avait été enlevé par l'homme au masque de fer, réussi à se libérer et put ainsi innocenté Duke qui sortit enfin de son cachot.

C'est ainsi que l'histoire de Bourgogne se termina sachant que l'homme au masque de cuir n'était autre que le bras droit de Valois, l'homme qui avait agressé Amazone à Nancy au sujet de son parchemin.


[ Aujourd'hui]

Amazone était donc à Nancy et Duke a Toul. Cette aventure avait un peu perturbée Amazone qui avait décidé d'aller se reposer chez les nonnes. Elle dit à Duke ne ne pas l'attendre. Depuis son retour, beaucoup de choses avaient changé et Duke n'était plus à Nancy. Les sentiments n'étaient plus les mêmes pour Duke et Amazone avait une quête à entreprendre. Leur chemin n'allait plus dans la même direction et c'est d'un commun accord qu'ils décidèrent de se séparer. Amazone était de nouveau seule.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Amazone1ere
Pas de Valois à l'horizon, son frère était parti avec Didine. Les gardiennes étaient sur leur garde mais tout était calme, étrtangement calme.

Serait-ce le calme avant la tempête?? se dit-elle.

Elle attendait un signe du Grand Maître afin d'entreprendre son voyage pour trouver la clé. La fameuse clé!! En attendant, elle se détendait un peu, profitant de ce calme mais prête au cas où Valois reviendrait dans les parrages. Il avait été coriace, Amazone ne pouvait pas croire qu'il en resterait là. Il lui préparait quelque chose mais quoi?


RP ouvert à tous!!! PNJ, vrai nom venez mouvementer l'intrigue!!

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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
--Cahos


Un homme que personne ne connaissait semblait surveiller les moindres faits et gestes d'Amazone.
- Ne te repose pas sur tes lauriers Eowynn , nous te lâcherons pas de si tôt! se dit-il à lui-même
Amazone1ere
Amazone rentra chez elle éreintée , mangea, se lava puis alla se coucher. Elle s'endormit rapidement en révant de l'homme qui lui avait sauvé la vie en Bourgogne.

[Le rêve]

L'homme sortit un petit parchemin de sa poche sur lequel étaient dessinés de curieux objets, dont l'un ressemblait à une croix d'or à la différence que sa partie supérieure était formée d'une boucle ovale.

- Ceci est la clé qu'il vous faudra trouver en Bretagne. Notre Maître en a le plus grand besoin. Je ne suis pas sûr qu'elle se trouve parmi les reliques enfouies car des rumeurs en donnent trace en Italie. Elle pourrait avoir été séparée du reste du trésor des anciens pour rendre la tâche de nos ennemis plus difficile.
Il soupira.

- Cela fait plus de deux ans que je suis sur sa trace, mais nous ne sommes pas les seuls à la chercher. Elle semble être la clé de bien des révélations pour notre peuple. Il vous faut vous hâter car les autres en savent semble t'il tout autant que nous quant à son existence.

Il la regarda et s'envoya une grande gorgée de vin, puis reposant son verre presque vide sur la table de la taverne, il reprit en sortant une boîte d'un métal pesant de son sac.

- Il existe une malédiction sur cette croix. quiconque la touche à mains nues mourra dans d'atroces souffrances. Seule cette boîte peut la contenir sans risque pour son transport. Je sais qu'elle fut déplacée en Bretagne car il est fait mention de gens morts d'une étrange maladie rongeant leurs chairs, un genre de peste. C'est surement une trace de la malédiction. Seul le Grand Maitre pourrait déchiffrer le langage ancien des inscriptions de la boite, remettez la lui quand vous croiserez son chemin.

Il remit discrètement la magnifique boîte richement ornée dans le sac et le remit à Amazone. Rien que les pierres précieuses l'ornant auraient permi à un homme de vivre tel un Roi pendant mille ans.


[Le réveil]

Amazone se réveilla. Elle pensa à son rêve ou plutôt son souvenir de Bourgogne. Elle devait trouver le grand Maître pour qu'il lui donne ses ordres. Il était plus que temps de trouver la clé avant qu'elle ne tombe entre de mauvaises mains.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
--Cahos


Cahos surveile toujours Amazone. Il doi la tuer.

Pas avent de trouvé le parchemin Son maitre le veut et quand il veut quelquechose faut obéir sinon COUIC
Amazone1ere
Amazone avait bien travaillé et décida qu'elle méritait un peu de repos. Elle partit donc chez elle à deux pas de l'échoppe quand un pigeon vint à elle.

- Tiens! Salut toi! Que m'apportes-tu?
Elle détacha le parchemin de la patte de l'animal et lut la missive



Eowynn de Galway du clan des Claddagh

J'ai décidé de te faire un cadeau afin que tu comprennes notre détermination à obtenir ce que nous voulons. Rends toi à la mine. Vous y trouverez un sac. J'espère que ce cadeau vous ouvrira le cerveau toi et ton clan et que vous saurez que nous sommes prêts à tout pour parvenir à nos fins.

Valois


Valois encore lui!

Amazone se dit que cela devait être un piège mais sa curiosité était bien plus forte ainsi elle décida d'aller chercher quelques gardes et Murron au Castel de son frère. Ils partirent donc tous à l'endroit prévu.

Arrivant à la mine, les gardes se mirent de façon à faire écran à la moindre attaque sur leur maîtresse.
Murron et elle chèrchèrent puis trouvèrent le fameux sac. Amazone s'agenouilla et ouvrit le sac. Elle y vit un corps. Son sang ne fit qu'un tour
.

- OH MON DIEU, NON!!!! Pas elle. Mais je la croyais chez les nonnes en sécurité!! Amazone était désespérée. Dans ce sac se trouvait le corps de Léa sa soeur adoptive. Et là elle avait bien la preuve de sa mort.

- Gardes!! Aidez moi. Elle mérite un enterrement décent. Mais faites le discrétement. Pas la peine d'ameuter toute la ville.

Amazone regarda le corps de sa soeur et jura de la venger. Elle hurla sans trop savoir si ses ennemis l'entendraient;
- Croyez vous que cela m'empêchera de continuer. Bandes de vils pourceaux, vous n'avez réussi qu'à hatiser ma haine et aujourd'hui je n'aurai de cesse que de la venger.

Amazone les larmes aux yeux et la haine dans le coeur partit se descendre des verres à l' Assomoir. Elle ne pouvait voir plus longtemps le corps de sa Léa au coeur d'or.
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Seigneurbaz
belle histoire et tu as mes condoléancepour ta soeur
cordialement du seigneurbaz
--Lacloche
Fouinant comme à son habitude, à la recherche de quelque renseignement qu'il eu pu monnayer, un homme bedonnant vagabondait dans les bas fonds de Nancy. Au détour d'une ruelle il entendit un vague râle sortir d'un recoin sombre, bien à l'abri des regards.

Il allait passer son chemin quand un énorme chien, ou étais ce un loup passa en trombe devant lui en grognant à son intention, au moment précis ou une drôle de sensation, comme un bruit très strident quoiqu'inaudible lui vrilla le tympan...

Un râle, un chien effrayant... les coincidences n'existent pas ... Il se remémora les paroles de son maître. Enfin Maître... il le trahissait si souvent, malgré qu'il savait qu'il représentait le bien, mais pas assez fort pour compenser sa nature mieleuse d'intrigant qui ne vivait bien que dans la trahison et les complots de tout poil. Un jour, il le payerait cher, pour sûr! Le grand Maître de l'Ordre n'était pas un idiot et il sentait bien que l'étau se resserrait autour de lui.

Sortant de ces pensées, il se dirigea vers le recoin sombre avec prudence puis se figea... de derrière un tas de débris de caillasses et de planches pourries s'écoulait lentement , presque nonchalament un ruisseau de sang... tant de sang... puis un râle, plus faible quoique plus proche prit sa curiosité par la main et le fit avancer à nouveau, lentement comme si cette dernière luttait contre sa peur et sa lâcheté que lui préfèrait considérer comme de l'instinct de conservation (plus glorieux).

Il contourna l'amas de débris et se trouva devant un homme, égorgé et horriblement mutilé , méconnaissable tant la bête qu'il avait croisé s'était acharnée sur son visage.

L'homme se tenait la gorge , d'où s'échappait le sang en flots réguliers mais de plus en plus lents... La vie le quittait. Il se pencha vers lui et l'autre s'agrippa à sa manche, de toutes ses dernières forces et , pendant que Lacloche le dépouillait déjà de ses maigres biens il lui hurla dans un dernier regain d'énergie, comme pour le mettre en garde...

IL EST ICI!!! Il est ... ici...il va tous .... nous tuer! Prévenez mon Maitre... Cet homme est le Diable. Il... il... puis l'homme se tut, définitivement. Soulagé, Lacloche achevait tranquillement de le dépouiller, quand au détour d'un revers de manche il sentit comme une pochette cachée. Tout émoustillé il y tâta et en sortit un petit médaillon qu'il fixa un instant avant de blémir...

Pourquoi il faut toujours que je tombe sur eux? Me voilà à nouveau pris dans leur guerre. Très mal à l'aise il se releva, tous ses sens aux aguets car "ils " ont des yeux partout et repartit très vite, voulant ne laisser aucune trace de son passage.

Il fila droit vers sa masure, ruine branlante sise aux abords de la ville, se demandant à qui il confierait sa découverte. Il craignait trop les ennemis de son Maitre, tous des assassins qui n'hésiteraient pas à le trucider s'il ne leur confiait pas les derniers mots du mort. Et qui était donc ce diable qui semblait avoir éliminé un des adversaires de l'ordre comme on égorge un poulet?

Lacloche ne savait que choisir... et observait le pendentif, le même que celui des hommes de Vallois. Puis il décida d'attendre, de se taire et d'attendre, car il le sentait... la mort allait frapper encore et rôdait désormais dans Nancy.

Dehors, dans l'ombre, un énorme chien gris sombre était assis devant une trace de pas ensanglantée qui menait droit vers la maison de Lacloche, son empreinte...

Une main gantée vint lui caresser doucement le haut de la tête ....
C'est bien mon chien... très bien. Voyons où celui là va nous mener...
Puis la nuit tomba sur la ville qui comptait ce soir non pas un habitant de moins mais trois
--Eileen_de_claddagh
Eileen approchait de Nancy au trot lorsque son cheval s'arrêta à l'abord d'une courbe de la route, comme ressentant un danger. Tous sens éveillés, elle attrapa son épée et sauta à terre, laissant sa monture reculer et entreprit de découvrir ce qui se tramait sur son chemin.

Puis elle les vit... deux hommes gisaient en travers de la route, l'un atrocement mutilé à la gorge et au visage semblait avoir été disloqué comme une poupée de chiffon par une bête féroce, mais l'autre...

Elle retint de justesse son dégoût devant le second cadavre, gisant sur le ventre, la tête empalée sur une branche ou une racine saillante montant du sol... les traces montraient qu'il avait tenté de fuir, puis lutté un instant et fini ainsi embroché, le bois pointu lui avait transpercé le crâne dont il ressortait, orné d'un bout de cervelle encore visqueux.

Les deux hommes avaient le teint hâlé de ces peuples du Sud. Des maures? Non, ils étaient différents. Richement vêtus, ils ressemblaient à des diplomates ou de riches marchands probablement dépouillés par un groupe de voleurs.

Très vite, la gardienne compris son erreur, ni or ni bijou ne leur avaient été dérobés... Elle approcha de l'empalé et lui releva la tête , l'extirpant de son épieu improvisé dans un bruit gras et le retourna... un janissaire de l'Ankh.
- Que fais tu si loin de tes terres mon mignon? En dehors de te manger des racines en plein hiver...

Un vif éclat de rire fusa de nulle part à ses mots et une boite richement parée tomba dans un bruit sourd à ses pieds, puis une voix, comme sortie des ténèbres...
- Il convoyait ceci vers son Maitre avec le dernier de ses compagnons... mais n'y touche point, il t'en cuirait.

Eileen fit un bond en arrière, tirant en un éclair l'épée. Ainsi redressée, elle vit un énorme chien assis placidement devant elle, les babines pleines de sang contrastant avec son air paisible et enjoué.

Un Irish Wolfhound énorme la contemplait paisiblement, puis se remit debout à la vue de l'arme.

- Rengaine ton arme, il n'aime toujours pas cela...Ces deux là ne l'ont pas cru...

Elle le fit sans hésiter car , d'instinct elle sut qu'elle connaissait et la bête et la voix.
- Depuis quand es tu de retour? Aux dernières nouvelles tu traquais nos ennemis en Italie. Est il au courant de ta présence en ces lieux?

Un homme de taille moyenne caché sous une longue cape blanche comme la neige sortit de derrière un arbre et s'avança vers elle.

- Il n'en sait encore rien. Je suis ces deux là depuis des semaines, enfin ils étaient plus nombreux au départ. En les liquidant un à un ils ont fini par paniquer et ont changé de route, filant droit sur la Lorraine. Il sont ici, je le sais ils doivent se regrouper quelque part. Toutes les pistes mènent en Lorraine. Et s'ils ont ramené la croix ici, c'est qu'ils s'apprêtent à reprendre le parchemin...

- Toi! ici! Des lustres que tous se demande si tu es vivant ou mort... Il ne dit rien à ton sujet, jamais... mais je suis sûr qu'il sait en permanence où tu te trouves.

- Il le sait en effet. Mais parlons peu, parlons bien. Il me faut l'écrin pour y replacer la Croix... je n'ai pas envie de transporter cette horreur à mains nues, même protégée par ce coffret. Va chercher quelques hommes et ramènes la moi, je sais qu'elle est ici. Et dis leur de me préparer un bon gueuleton, je n'ai rien mangé de bon depuis des jours...

Il lui sourit et lui fit un signe impatient pour qu'elle reparte au plus vite.

- Et surveillez l'auberge municipale! elle accueillera bientôt des nouveaux venus qui ne sont pas nos amis

Eileen entendit ces mots et rentra à bride abattue.

Lorsqu'elle revint avec l'escorte et le coffret, la nuit était tombée. Quand la troupe s'approcha de l'endroit elle croisa un cheval sans cavalier qui errait le long du chemin, puis, au détour du sentier trois autres montures qui paissaient tranquillement, comme n'ayant rien d'autre à faire. Au sol gisaient quatres nouveaux cadavres, certains égorgés de la pire façon, d'autres percés de carreaux d'arbalète ou mortellement tailladés.

Une voix s'éleva à leur arrivée

- J'ai gardé celui ci en vie, il semble vouloir nous conter une bien belle histoire.
L'homme mystérieux soignait posément son chien qui semblait avoir été blessé au flan durant ce dernier affrontement. Rien de bien grave, apparement. Il ne semblait même pas avoir remarqué sa propre blessure dont un filet de sang s'échappait lentement.
Les hommes d'armes fouillèrent minutieusement les corps, mirent précautionneusement "La Croix" dans l'écrin puis tous se mirent en route pour ramener leur précieux butin à leur Maître.

En chemin , L'homme leur dit de ne plus surveiller l'auberge municipale, les 4 étrangers n'y viendraient surement plus...
Amazone1ere
[Pendant ce temps là]

Amazone avait une drôle d'impression. Cette même impression qu'elle avait ressenti quand Vallois l'avait épiée. Depuis qu'elle avait découvert qui elle était, il se passait des choses qui allaient au delà de ce qu'un commun des mortels pouvait concevoir. Le parchemin détenait un secret si immense que tout se sang versé pour le conserver ne serait rien en comparaison de ce qui sera versé s'il tombait entre de mauvaises mains.

Le dénouement de l'histoire allait commencer et Amazone se demandait si elle serait assez forte pour affronter ses ennemis et protéger le secret.

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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
--Lacloche
Lacloche tournait en rond dans son logis minable. Que faire? Aller raconter sa découverte à son Maître? Cela le remettrait peut être un peu plus dans ses bonnes grâces. Il savait que son Seigneur était un homme de parole qui aimait la fidélité avant tout, mais les autres...
Les heures passaient et il penchait tantôt pour l'un tantôt pour l'autre des deux camps, se sentant pris entre les deux. Alors, comme une conclusion inévitable, presqu'écrite pour son tempérament hésitant et lâche, il finit par decider d'en parler... aux deux antagonistes. Ainsi, il gagnerait un sursis de part et d'autre.

Il se rendit d'abord auprès de son Seigneur qui l'écouta avec attention, ne lui laissant pas paraître qu'il connaissait déjà ce renseignement, l'assassin au chien se trouvant en train de manger dans la pièce à coté.

Puis il décida de faire un détour par le repère de son autre maître, cet homme sans âge dont le simple regard vous faisait sentir la mort, le Maître de Vallois.

Il avait attendu la nuit noire pour se mettre en route, empruntant un chemin puis faisant demi tour, se retournant tous les dix mètres, affolé à l'idée d'être suivi. Mais il avait tous les tours ce bon vieux Lacloche et nul ne pourrait jamais lui filer letrain, foi de renard!

Il se rendit vite compte que trois gardes de son seigneur l'épiaient et il s'employa bien deux heures durant à les semer, entrant finalement dans une taverne. Il se but là un ou deux verres puis fit mine de tituber vers les latrines qui se trouvaient dans la cour. Une fois dedans, il vit au dehors un de ses "anges gardiens qui surveillait le cabanon.

Tout beau mon mignon, je sens que tu vas m'attendre longtemps...

Il fit moult bruit, faisant semblant d'être malade pendant qu'il décèlait les planches du fond de la latrine et fuit par l'arrière, fort amusé du coup pendable qu'il leur avait joué là.

Et il chemina, malgré tout méfiant vers le repère de son autre maitre et se rassura...

Je les ai bien eus, héhé... on ne la fait pas à Lacloche! Tudieu, ils vont se faire tancer ces gaillards! de vrais pigeons...

Il ne remarqua pas la paire d'yeux ambrés qui le surveillaient dans le noir et il conduit le loup et son propriétaire tout droit dans la forêt.

Ils avancèrent ainsi pendant une bonne demi heure à travers des sentiers qui se perdaient au plus profond du bois quand tout à coup, le loup se figea. Une présence, autre que celle de Lacloche, environ trente mètres devant eux l'avait alerté.

Une flèche fut décochée dans l'osbcurité et on entendit hurler de terreur. Lacloche vanit de servir de cible à un veilleur. On entendit une lourde chute, celle de cet idiot qui se jettait à terre.

Hééé, vous êtes fous ou quoi! C'est moi! Lacloche! vous avez failli me tuer tas de marauds! je viens voir votre maître...

Et comment veux tu qu'on te reconnaisse, idiot! Dans ce noir, tu arrives en faisant le bruit d'une troupe entière et tu ne te signales pas! sois heureux que Gontrand aie quelques bières dans la panse, faute de quoi, il t'aurait pas loupé. Allez relève toi sac à vinasse! et dis nous ce que tu viens faire icelieu à une telle heure

Se relevant péniblement, Lacloche avança en expliquant la raison de sa venue

J'ai des renseignements pour votre maitre, un des votres à été assassiné... ou plutôt massacré par une bête féroce dans Nancy, mais j'ai pu recueillir ses derniers propos. Il faut que je le voie de toute urgence

Les deux hommes de gardes semblèrent pris d'effroi et se fixèrent...

Ta bête, ce serait pas un énorme chien comme tout droit sorti des enfers?
L'homme le regarda, terrorisé par avance de la réponse

Si fait, un chien énorme, comme je n'en avais encore jamais vu, d'un gris très sombre

Les gardes blémirent et, instinctivement, regardèrent tout autour d'eux , comme si le diable allait venir les prendre.

Alors c'est vrai! il arrive! Ce démon est à Nancy

Ils lui montrèrent la direction du campement dont on pouvait entrevoir au travers des taillis la lueur, une centaine de mètres plus loin.

Il faut que tu lui contes celà pressément, tu n'as pas été suivi au moins?

L'homme, à ces mots scruta à nouveau avec inquiétude les alentours obscurs comme conscient que s'il avait vu cet être maléfique, il n'aurait pas même eu le temps de crier.

Pour qui me prends tu, maroufle! lui répondit Lacloche , l'air suffisant et il se retourna pour se diriger vers le campement. Mais, à peine retourné, il fut pris d'un doute, et frissona de tout son corps sanstrop savoir pourquoi. Puis il entra dans le camp des gardiens du temple et se dirigea vers la grande tente sise en son centre...

A dix mètres des gardes, une silhouette tapie dans la nuit observait...

Je vous ai enfin trouvés...
Amazone1ere
Amazone sortit pour prendre l'air. Elle avait assez travaillé pour aujourd'hui. Elle partit donc vers la forêt, endroit qu'elle adorait quand elle avait besoin de réfléchir.

Chemin faisant, elle rencontra Lacloche qui fuyait comme un lapin.

*Décidément il fuit toujous quelque part lui! Qu'est ce qu'il a vu cette fois-ci?? Un fantôme, un démon??

Elle rit à cette pensée puis eut soudainement un regard sombre en pensant que des démons elle en connaissait bien qu'ils ne soient qu'humains.

Elle continua sa route et tomba sur ce qui semblait avoir fait courir Lacloche. Elle eut un mouvement de recul.


*Mais qu'est ce qui a bien pu faire ça??*

Elle s'approcha enfin mais au vu de la défiguration, elle ne put reconnaître qui il était. Elle fouilla dans les affaires de la victime. Elle ne trouva rien. Soudain son oeil fut attiré par une dague. Elle l'a pris et vit les symboles dessus.

*Non!!! Encore eux!!*

Elle prit soin de prendre la dague et de la mettre dans sa besace et courut jusque chez elle. Elle ferma la porte à double tour. Son coeur battait la chamade.

*Ils sont de retour*
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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Amazone1ere
[Quelques jours plus tard]

Amazone partit rejoindre son nouvel amour au Caboulot Nancéen, taverne municipale. Elle était sur un petit nuage, heureuse de connaître une telle passion. Tout lui semblait merveilleux à ses yeux : les chats errants cherchant nourriture dans les poubelles de la ville, le mendiant au sourire édenté qui faisait la manche près de sa boucherie, les rires des enfants, les amoureux se promenant main dans la main, le levé du soleil, la pluie,...ect oui tout était magnifique. Elle partit donc , coeur léger et amoureux, conter fleurette à l'homme de ses rêves quand un homme apparut devant elle. Elle ne le connaissait pas. Elle s'excusa et voulut continuer son chemin mais l'homme l'en empêcha. Il la regarda et dit :

-Eowynn de Galway vous voilà enfin! Il eut un sourire machiavélique en prononçant ces paraloes. Avez vous apprécié notre cadeau de Noël?

A ces mots, Amazone trésaillit et prit peur. Elle voulut s'enfuir mais l'homme ne lui en donna pas le temps et au moment où elle voulut hurler, elle sentit une énorme douleur à la nuque et un voile noir s'abâtit sur elle.

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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
Amazone1ere
[Quelques heures plus tard]

Amazone se réveilla avec une douleur épouvantable à la nuque

*Que m'est-il arrivée?* Elle reprit ses esprits petit à petit et se souvint de l'homme. Elle bondit d'un coup mais vacilla tant ce fut trop rapide. Elle se rattrappa comme elle put. Elle regarda autour d'elle. Des gens étaient agglutinaient autour d'elle. Elle entendit certains se moquaient
-Encore une qui ne tient pas la mirabelle!

D'autres plus cléments demandaient des nouvelles sur son état de santé.
Elle les regarda tous , étourdie, ne sachant que faire, ni où aller. Ses seules pensées allèrent vers Léo.

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Amazone1ere son vrai nom Eowynn de Galway
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