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[RP]Cathédrale de Tours

Alberius
Alberius était parti de bonne heure et arriva à la cathédrale alors que l office etait commencé, il entra et s'étant signé. entra en priére.

- Pardonnez nos fautes, Seigneur, afin que nous puissions pénétrer jusqu'au Saint des Saints, jusqu'au cercle d'amitié le plus intime, avec une âme pure
Qu’il en soit ainsi.

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_hermine_
Comme toujours, Hermine s'imprégnait de la lecture faite mais aussi du sermon qui s'ensuivait. Elle apprenait à chacune des messes. Les paroles de l'archevêque résonnaient contre les murs et venaient s'ancrer dans l'esprit de toute l'assemblée réunie. Elle espérait que chacun serait touché par la prière et par le message contenu dans l'homélie.
Hermine entendit Son Eminence annoncer les nominations et prononcer son nom. Elle tressaillit, quelque peu surprise, et le remercia (silencieusement pour l'instant) de lui renouveler ainsi sa confiance.
Lorsqu'il eut fini les annonces, elle se leva et alla chercher les pains préparés pour la communion.
La diaconesse se plaça près de l'archevêque et prit la parole devant l'assemblée
:


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_hermine_
Les pains furent partagés et distribués aux fidèles qui s'avançaient pour communier.
Lorsque tout le monde eut repris sa place, l'archidiaconesse regarda son Eminence Clodeweck. Elle comprit qu'il lui laissait achever la cérémonie. La jeune femme se tourna donc vers l'Assemblée et enchaîna :

Avant de vous laisser reprendre vos activités dominicales, je tenais à vous informer que dimanche prochain aura lieu une procession avec retraite aux flambeaux suivie d'une messe célébrée ici même par tous les clercs du diocèse afin de célébrer l'an neuf.
Nous espérons tous vous y voir nombreux.
D'ici là, souvenons-nous des enseignements d'Aristote...


La diaconesse ouvrit les bras et termina la messe dominicale
:


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_hermine_
Les lumières des torches brillaient dans la pénombre. Les fidèles avaient commencé à se rassembler près de la petite église Saint-Gatien, sur la route qui menait à Vendôme.
L'archidiaconesse arriva emmitouflée dans sa cape noire. La torche qu'elle portait se reflétait dans ses yeux clairs. Son visage avait les traits tirés dûs à la récente naissance mais un sourire y était dessiné et elle salua les clercs présents ainsi que tous les paroissiens avec chaleur et sincérité.
Des paysans, des artisans, des familles entières rejoignaient maintenant le groupe qui devenait à chaque instant plus conséquent. Les clercs prirent place sur le chemin qui menait à la cathédrale.
Hermine fit brûler les résines qui se trouvaient dans l'encensoir qu'elle portait. D'épaisses volutes de fumée commencèrent à danser dans la nuit. La diaconesse fit d'amples gestes afin de propager le parfum de l'encens : l'odeur de la prière et la purification qui les accompagneraient jusqu'à l'imposant édifice religieux au coeur de la cité.




Le blason de l'archidiocèse était porté haut et encadrait la procession.



La jeune femme regarda Prince qui se trouvait près d'elle et la longue file de fidèles commença à cheminer à travers la capitale Tourangelle. Ils traversèrent la Place Plumereau, dépassèrent la caserne avant de tourner au coin du marché et de la Cour de Justice et de déboucher dans la rue principale où se dressait au loin la façade claire de la cathédrale.
Pendant la procession, l'archidiaconesse guidait les fidèles par des louanges au Très-Haut. Tous entonnèrent le cantique sur la sagesse :

Je veux mourir pour tes beautés, Sagesse,
Pour ce bel oeil qui sait voir le destin,
Pour ce doux ris, pour la Cité enfin
De pierre et de bois, de la vie la Maîtresse.

Je veux mourir pour cette forteresse,
Pour les légumes de ce bien beau jardin,
Pour la rigueur de cette Juste Main,
Qui soigne les gentils, et les méchants blesse.

Je veux mourir pour le bon entretien
De cette mine dont le produit devient
Économie, cette richesse dispose.

Je veux mourir aristotélicien,
Donnant mon sang, la Cité défendant,
Protégeant la vie de la belle chose.


Alors que les dernières harmonies du chant religieux résonnaient encore dans l'air glacé, les cloches lancèrent leur appel et les fidèles, éteignant leurs torches à demi consumées, entrèrent dans la cathédrale pour y suivre l'office.

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Zafara
Zafara sortit de chez elle pour la Messe de l'An Neuf. Elle s'emmitoufla dans sa cape bleu nuit et rejoignit la Cathédrale. Elle enleva sa capuche et caressa son ventre en entrant dans l'édifice religieux. Les jumeaux s'activaient, la future mère se demanda à quoi ils ressemblaient, elle le saurait au Printemps.

Ah le Printemps, magnifique saison débutant le 21 mars, elle sourit à la pensée des fleurs qui s'ouvriraient lors de la naissance de ses enfants, à l'odeur sucrée et fleurie de l'air. Elle salua Hermine chaleureusement et la félicita, elle allait bientôt rendre visite à la nouvelle-née.
Feuilllle
... Elle s'était emmitouflée de sombre pour ne pas heurter la nuit.
Les petites lumières vacillantes et les fragrances d'encens lui avait ravi l'âme, elle ne pensait plus qu'Au Très-Haut et son cœur était ému par la solidarité Aristotélicienne.
La longue file de gens recueillis s'était amenuisée au fil du chemin légèrement enneigé menant à l'église : des groupes compacts d'amis ou de familles se rejoignaient, se coulaient dans l'ombre de la rue en la noircissant encore davantage, dessinant un large ruban mouvant illuminé de petites torches dites domestiques.

La file entière chuchotait des bruissements de pas feutrés sur le sol parfois crissant. Le Ciel gorgé de nuées basses donnait l'illusion d'un amoindrissement de l'espace, mais le froid faisant courber les têtes sous les nombreux capuchons, nul ne s'en souciait.
Le serpent de lumière s'effila devant la porte pourtant monumentale de la cathédrale, le respect du lieu induisait au mouvement collectif un comportement individuel sage et silencieux. Quelques lueurs stagnèrent un moment, puis chacun pénétra dans la cathédrale.

Les cloches avait entamé leur Appel. Elle eut une pensée de gratitude envers les Saintiers, ces forgerons hors pairs, qui" sentaient" les vibrations futures de leurs créations, sanctifiées plus tard. Ils savaient avec certitude définir le profil et les caractéristiques musicales d'une cloche pour faire de chacune d'elles une œuvre d'art digne du Créateur. Les formidables gongs battaient le bronze épais, vibraient au delà d'un seuil auditif à peine tolérable, tintaient enfin moins sauvagement pour rejoindre les pulsations des cœurs des Fidèles.

Feuilllle souffla sur sa flamme, entra doucement dans la Demeure Sainte, sourit aux autres Clercs sans parler et se plaça discrètement dans un coin.
De là où elle était , elle pouvait tout voir parfaitement sans ennuyer quiconque.

Un enfant encore au lange gémit, sa routine devenait sombre et trop inhabituelle. Mais était-ce la lumière spirituelle ou le calme de la mère, imperturbable et déjà à l'écoute de l'office? Le tout jeune enfant se tut brusquement et regarda avec étonnement les geste mesurés des officiants. Son visage reflétait la lueur du cierge laiteux qui l'embrasait de roses.

Une foule compacte se tenait sous la haute voûte sacrée. Ils se tenaient serrés pour la plupart, mais dignes. Quelques uns sortiraient du lot à cette messe pour y donner le meilleur d'eux-mêmes.

Feuillle sourit, puis se concentra sur l'office. Elle suivait des yeux Sœur Hermine avec recueillement, et murmura également avec elle :

"- Je veux mourir pour tes beautés, Sagesse,
Pour ce bel œil qui sait voir le destin,
Pour ce doux ris, pour la Cité enfin
De pierre et de bois, de la vie la Maîtresse.

Je veux mourir pour cette forteresse,
Pour les légumes de ce bien beau jardin,
Pour la rigueur de cette Juste Main,
Qui soigne les gentils, et les méchants blesse.

Je veux mourir pour le bon entretien
De cette mine dont le produit devient
Économie, cette richesse dispose.

Je veux mourir aristotélicien,
Donnant mon sang, la Cité défendant,
Protégeant la vie de la belle chose."

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"La blancheur des ébènes, au soleil n'est pas sombre, Les ivoires deviennent, dans la nuit couleur d'ombre."
Drusilia
Une personne de bons conseils lui avait dit que cela serait fort intéressant de participer à un office à la Cathédrale de Tours.
Drusilia avait donc pris la route! La Messe de la Nouvelle Année était une très bonne occasion. Arrivée devant le grand édifice, la jeune femme fut très surprise de voir autant de monde entrer.

Elle se senti un peu gênée... Elle suivi la foule et entra lentement dans la Cathédrale. Elle alla se mettre discrètement un fond de la grande salle et se recueilli en attendant le début de l'office...

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Clodeweck
« Les cloches de la Cathédrale sonnaient à l'arrivée de MM. du Chapitre, qui s'arrestèrent au bas de la nef, rangés en haie sur deux lignes. Quelque temps après arriva le seigneur Archevêque de Tours, primat de Bretagne, Grand Inquisiteur, Son Eminence le cardinal Clodeweck de Montfort-Toxandrie Duc de Montforzh, précédé du clergé, en teste (qui était allé au devant de lui) et des Pères franciscains (qui l'avaient amené processionnellement) ; il était en rochet, camail et sans étole, sous un dais porté par quatre marguilliers de Saint-Etienne. Au moment que Monseigneur entrait dans l'église, le premier massier lui mit un carreau sur lequel s'étant mis à genoux il baisa la médaille d’Aristote et prit de l'eau bénite au goupillon que lui présenta M. le trésorier; celui-ci, après une profonde révérence au seigneur archevêque qui s'était levé, se couvrit et le complimenta.
Après la réponse, le chœur chanta en musique une antienne, durant laquelle Monseigneur, précédé de MM. du Chapitre, avança vers le sanctuaire, où les Pères franciscains occupaient le côté qui était le leur ; MM. du Chapitre se placèrent du côté de l'épître ; on avait eu soin de faire défendre l'accès par deux gardes épiscopaux envoyés exprès de la part du Chapitre. Après avoir fait sa prière au pied de l'autel, Monseigneur étant monté sur la plus haute marche, M. le trésorier lui donna l'étole à baiser et la lui passa au col, lui mit au doigt l'anneau pastoral, le revêtit d'une chape, lui mit la mitre en tête et la crosse en main. Ainsi revêtu de ses habits pontificaux, Monseigneur monta à l’autel.
Il s’assit dans le fauteuil qui lui été destiné et attendit, que le Duc régnant et les nobles de Bretagne arrivent à leur tour.
La cérémonie était bien réglée.
Assis sur le cathèdre, le prélat laissa son regard parcourir la nef, passant des nobles au premier rang puis aux notables et enfin aux gens du peuple qui se tenaient debout au fond de l’édifice. Durant que les gens continuaient d’affluer il entra en prière.

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Zebracolor
Le Duc arriva lorsque les cloches sonnais.
Il entra dans la cathédrale qui sentais bon l'encens et qui était bien éclairée par de nombreuses Torches.

Il avait amené ses enfants Joran et Aurë qu'une gouvernante tenais par la main.

Son Eminence, le cardinal Clodeweck de Montfort-Toxandrie, Duc de Montforzh, étais assis sur le cathèdre qui lui était réservé.

Le Duc se présenta à lui et s'inclina pour lui baiser l'anneau pastoral


Monseigneur....

Puis il se rendis sur son siège, au velours rouge, les places étant libres pour le reste du conseil et des nobles.

Ces enfants s'installèrent derrière, plus loin.
Enfin confortablement installé, il regarda son peuple qui venais écouter la bonne parole.

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Clodeweck
Le cardinal sourit au Duc et le bénit d'un geste.
Dans le même temps qu'il lui laissa sa main et l'anneau cardinalice, il lui dit, à voix basse, quelques mots qui ne dépassèrent pas la lice.


Merci pour l'exemple que la noblesse donne au peuple, mon fils, soit fier de la vertu qui par son geste rejaillit sur la Touraine.

Puis le prélat repris sa prière en attendant la suite de la cérémonie.
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Alandrisse
Une Alandrisse plus à l'heure que jamais, accompagnée de sa tante Jades, il n'en fallait pas plus pour parfaire le tableau. Bitterly n'était pas bien loin, pour une fois les trois jeunes femmes avaient réussi l'impensable arriver au bon moment, sans même courir. Elles arrivèrent sur la place, Al s'arrêta un instant pour observer la cathédrale, cette grande Dame l'étonnait toujours, heureuse que l'édifice appartienne à la Touraine. La jeune Montbazon courut après sa tante qui entrait déjà à l'intérieur. Un regard dans la bâtisse, Al reconnut le Duc non loin. Tirant sur la cape de Jades. Les deux Montbazons gagnèrent la place du conseil de Touraine. Elles saluèrent le Duc et le cardinal comme la bienséance le voulait, puis elles prirent place. Les mains croisées sur ses genoux, Al écouta le son qui régnait au sein de la cathédrale

Une inspiration légère, puis les souvenir de sa propre retraite et de son bien être, tout cela paraissait si loin maintenant. Elle avait repris pied, le chemin qu'Al empruntait dorénavant, ne laisserait que bonheur dans son sillage.

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--Soeur_bazouka


Soeur Bazouka était au paroxysme du désespoir. Elle n'avait plus foi en certains hommes et encore en la justice qu'il voulait imposer en Touraine. Pour une fois, la religieuse quitta le couvent pour se rendre à la cathédrale de Tours afin d'implorer indulgence au Très Haut dans un lieu qui lui semblait plus approprié qu'une petite chapelle.

Elle croisa sur sa route, juste avant le passage sous les remparts, une procession grossissant à chaque pas et y joignit le flambeau sensé illuminé sa route. Les lueurs individuelles devenues conjointes fendait la nuit sans appréhension aucune. Et pourtant une nouvelle année était à leurs pieds.

Dès son entrée dans la bâtisse somptueuse avec tous les autres aristoléciens venus assister à cette première messe de l'an 1458, soeur Bazouka se signa et s'agenouilla parmi le peuple avec toute l'humilité que lui imposait sa condition même si une place était réservée pour elle parmi les clercs. Elle se mit à prier pour que l'on accorde la grâce à cette enfant de 5 ans, Kiiara fille de comte poitevin, accusée si odieusement par deux membres du conseil ducal tourangeau. La bonne soeur n'en demandait pas plus. Elle leva les yeux pour chercher justement ces prétendus représentants du peuple que l'on ne voyait jamais en public. Peine perdue, ces monstres ne viendraient pas demander pardon au Très Haut pour les actes infâmes passés et dictés par leur ambition. Quelle tristesse.

Soeur Bazouka se replongea dans sa prière en attendant que son Eminence débute la messe.


Vois sur ces bâtards
S'écraser le hasard,
la chaotique ironie,
Car pour assouvir
Leur moindre désir,
Ils ont brisé l'Harmonie.
Princedusud





Prince n'était jamais loin de tout rassemblement pastoral en la province de Tours.
D'abord,il était le garant que les cérémonies se passent dans la sécurité et la préséance dévolue à ces lieux.
Il avait suivi l'archidiaconesse Hermine toute la procession et ouvert le chemin quand ça bouchonnait un peu dans les ruelles.
Arrivé à la Cathédrale,il faisait des grands signes de teste à sa fidèle garde rapprochée qu'étaient ses grenouilles de bénitier.Tout était codé,s'il y avait une personne avec un comportement bizzare,on lui faisait le signe du X.

Prince était assis à droite de Son Eminence dans un état assez fébrile vu toute la nomenklarura qui était présente.
Le Duc était arrivé et il s'inclina fortement comme le protocole l'exigeait.
Il faisait aussi des grands clins d'oeil avec ses beaux yeux bleus et ça exprimait des bonjours amicaux et rapides.

Hermine paraissait forte malgré qu'elle avait accouché il y a peu de temps mais il avait l'oeil partout et si elle avait besoin d'un simple soutien physique,il volait car elle était à deux pas.



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Théologien,Conseiller Religieux, Juge de l'Officialité
Jades
Une messe pour l'an neuf, quoi de mieux pour célébrer une nouvelle année qui s'offrait à tous. Pour l'événement elle avait décider d'arrivée bah à l'heure et c'était exceptionnel!
Mais avant passage oblige entre les mains experte de sa chambrière.

Hum Marthe je n'ai point envie de vert.

Un soupire de la vieille femme qui en disait long. Les fouilla dans les malles pour en sortir une robe d'un bleu nuit brodée de perles. Elle revint vers sa dame lui présentant l'étoffe.

Oui c'est parfais.

Parée, coiffée elle alla retrouver sa nièce et ensemble partir en direction de la cathédrale. Entrée silencieuse tant la bâtisse inspirait au calme. Salue de rigueur au quelques personne qu'elle reconnaissait. Elle vit le Cardinal qui malgré les circonstance lui sembla tout aussi abordable qu'en taverne. Un homme ouvert d'esprit. Puis avisant du Duc zébré qui avait prit place elle le rejoignit avec la Porte Parole s'essayant a ses cotés.
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Princedusud
Prince se dirigea vers l'autel et pour recouvrer l'attention des fidèles:



IN NOMINE DOMINI, ET CHRISTI ET ARISTOTELIS

AMEN!

DOMINUS VOBISCUM
ET CUM SPIRITU TUO






Tourangelles,Tourangeaux

C'est un grand privilège pour moi de vous accueillir en ce jour de grâce en nostre Grande Cathédrale de Tours.

Je veux remercier chacune et chacun pour sa présence,son attachement à l'Eglise et sa Foy,
Il m'est d'autant agréable de vous recevoir aujourd'hui,que nous sommes entrés dans l'an neuf et bien sûr,je souhaite à Toutes et Tous,prospérité,santé et des desseins au plus près de vos préoccupations et projets.
Des bourses pleines aussi! Ahhhhh wi très important!Des bourses qu'on arrivent plus à fermer tellement elles sont pleines!!!

Je suis d'autant plus heureux en ce jour,que vous avez pu voir mon nom par-ci,par là mais il est toujours connu que les bonheurs n'arrivent jamais seuls:
Je viens d'être reçu comme Théologien,ainsi que Soeur Feuille.Rassurez-vous l'humilité est dans nos gênes et nostre puissance s'incarne dans le charisme!Nul au delà!
Je veux aussi vous faire part d'un autre bonheur tout proche qui m'embaume tout entier rien qu'en voyant Soeur Hermine...
Et wi! Nostre Famille Aristotélicienne va s'agrandir! De l'Union de Laurent et Hermine que j'ai officié icelieu d'ailleurs,est né un petit bout'chou qui s'appelle Asceline,nous lui souhaitons un avenir radieux bien évidemment et le nom du parrain n'est pas encore connu mais je regarde les étoiles pour avoir la response!

Le Très-Haut est généreux en ce début d'année et souhaitons qu'il en soit ainsi toute l'année 1458!
Je veux aussi remercier Son Eminence qui me laisse la primauté d'ouvrir cette Office ainsi que tous les prélats présents.

Je vais maintenant demander de vous lever et nous allons nous confesser:



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Théologien,Conseiller Religieux, Juge de l'Officialité
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