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[RP] Silence Maraud ! Je parlemente mon achètement !

Blanche_
Ce rp se déroule au marché. Il est ouvert, tout le monde peut participer, interagir ou pas avec les autres persos. Have fun !


....Et si vous continuez à me coller, j'appelle à la garde !

C'était comme ça depuis des heures. Une hermine hurlant dans les ruelles de la ville, à slalomer entre les passants, les éviter de justesse tandis que marchant à sa suite, le Prince Gildwen qui ne savait visiblement quoi faire, emmerdé sans doute par cette peste blonde qui lui balançait des ordres à tout va.
Remettons les choses dans leur contexte.
Elle était venue en ville pour dépenser une fortune en tissus précieux ; elle l'avait croisé lui, descendu dans la rue pour acheter trois babioles, en radin qu'il était sans doute.
Assommé par sa pressante demande, il l'avait suivi. Fatal error. Qui allait le sortir de ce sacré pétrin, hein ?

Elle s'arrête soudain, se tourne vers lui, yeux brumeux. Elle respire l'intelligence.

Mais qui est ce donc ? Un manant cherchant quelque ripaille ? Qu'il aille se sustenter à la première auberge venue, nous l'y aiderons.

Et la paume blanche de lui tendre une bourse pleine, sourire hypocrite.

Nous prierons pour vous, mon brave !
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"- Mais que faites vous ici, Princesse ? Vous n'avez pas encore connu les souffrances de la vie !
- Manifestement Docteur, vous n'avez jamais été une jeune femme amoureuse."
Joachim.du.bellay
Comment diable en était-il arrivé là ... Il s'était pourtant dit qu'il devait faire vite, qu'il avait pas le temps de faire ami-ami et encore moins de faire des emplettes avec une femme qui avait manqué de le faire emprisonner pour viol!

Nom de nom ! Comment avait il pu atterrir dans une telle situation ? Il se souvenait d'une descente rapide. Pas le temps d'en perdre. Il avait repéré deux trois étals, les bons, marchandé deux ou trois pommes et un quignon de pains : un vrai festin en ces jours de voyage.

Il avait alors marchandé un peu ...


"- 10.5 écus la pomme ? Quelle arnaque ! A angers il y en avait pour 9 écus ! Des Montagnes de Pommes qu'il y avait là bas !
- Hé bé retournes y ! En attendant, si tu veux manger ici, ce sera 10.5 et puis c'est tout.
- Bon sang ... Bon envoies en deux. Voilà 19 écus pour toi, sale bougre et ..."


Et là ... Boeing ! Oui "Boeing !" Blanche avait en effet foncé sur comme un Boeing de la KLM qui heurtait un 747 de la PanAm**. Il n'avait pas pu dire un mot, même pas pu finir sa transaction que voilà ! Le voici embarqué dans une quête épique à la recherche d'un tissu introuvable.

Il soupire. Totalement ailleurs.
Elle semble lui parler.


Oui oui tout à fait, c'est superbe. Sublime même.


Sa mine semble changer. Avait il répondu trop tôt ? Mince ...ses sourcils qui se froncent alors semblent indiquer qu'il a commis une erreur dans la réponse. Mince ... comprendrait-elle enfin qu'il s'en foutait totalement ?

[** Guillon forever]
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Blanche_
Mais de quoi il parle, là ?

*Il est bizarre, celui là. Il me laisse pas tranquille, il me colle et puis je lui ai rien demandé.
Enfin je crois.*


Griet, dites lui qu'on va le faire passer au questionnement de frère Pon... Oh mais c'est de toute bôôté !

Et elle se rue sur un étalage qu'elle vient de remarquer, qui luit de toutes couleurs. Les doigts s'empressent de tâter chacune des étoffes, de soupeser les pans pour mieux en garantir la qualité.
Puis, comme pour demander son avis à celui qui,visiblement, prie pour s'extirper de cette galère sans nom, elle lui pose en mains deux échantillons, et attend sourire aux lèvres qu'il donne son avis.

Mayday, Mayday ! Danger en vuuuue !


Oh mais quelle surpriiiiise ! Vouzici, monsieur de Brocéliande !
C'est pas habituel dites moi. Vous veniez vous acheter quelques trognons à grignoter ?
Je suis ici pour quelques menus achats, voyez vous. J'ai une garde robe très peu remplie, c'est pitié de voir le peu d'armoires que j'ai. Il fallait changer ça. Enfin je crois.
De quoi je parlais déjà ?

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"- Mais que faites vous ici, Princesse ? Vous n'avez pas encore connu les souffrances de la vie !
- Manifestement Docteur, vous n'avez jamais été une jeune femme amoureuse."
Pelotine.
Un regard sur les poissons , trop chers a son goût , fallait dire qu'elle était radine la baronne , son époux lui avait appris la valeur de l'argent , elle ne pouvait plus se permettre des achats plus faramineux les uns que les autres ...
Qu'il y a t'il de moins cher , son regard se projette sur les sacs de maïs , quitte a économiser .
Haussement des épaules de la brunette , elle se contentera de ce repas.
En attendant qu'on la serve , Pelotine contemple les alentours , une moue enjouée se dessine sur son visage aux traits communs.
Blanche qu'elle a remarqué ! la mairesse de Brest lève donc aussitôt sa main , afin de porter l'attention de la blonde vers elle , erreur !
Son bras chute directement lorsqu'elle constate que non loin de la jolie demoiselle se trouve Joachim ... Ce n'est pas qu'elle l'apprécie guère , mais on lui dit tellement de mal du sire , que faire plus ample connaissance pouvait attendre.

Rajustement habituel de son chignon , la jeune fossoyeuse , se penche , Blanche regarde dans sa direction mais ne semble pas l'avoir remarquée.
Doigts croisés , commande terminée.

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Chimera
[Être une femme libérée, c'est pas si facile... ]

Parfois, une femme doit prendre son destin en main.
Le destin, ce jour à la forme d'une aumônière rebondie...
Puisqu'il semble inutile de compter sur son cher et tendre pour la vêtir dignement, la baronne non-duchesse consort encore profite d'un passage diplomatique, druidique et culturique à Rennes pour aller flâner, bras glissé sous celui de sa suivante.
Foule abondante, elle sourit en pensant à l'effroi de Beilhal s'il la trouvait seule ici avec Nolwenn pour seule compagnie. Mais rien de tel qu'une virée sur les marchés pour garder les pieds sur terre...

Elle a encore des papillons dans l'estomac datant de la réception du colis d'Attia, bliaud de soie, manches en tafta, l'élégance faite robe...
Une seule envie: encore une autre!
Le rouge lui monte aux joues au souvenir de sa mise en scène au château de Wened.
Vite, se concentrer sur autre chose.
Coup de bol, il y a foule, et donc autant de possibilités.
La rouquine entreprend de prêter attention aux voix plus ou moins discrètes qui l'entourent.


Hides!! Hides from Englaaaaaaaand! Ya won't find its like on the continent!

Pfiou... les anglois ont-ils plus de coffre? Ou est-ce que ses oreilles y sont plus sensibles?
Point de mission diplomatique ce jour. Un temps pour chaque chose et chaque chose en son temps. Le vice-chambellan passe son chemin, sans trop se faire remarquer, feignant de n'avoir rien saisi aux injonctions du marchand d'Albion.


Hola Senora! La senora quiere comprar algo! eso acaso?

Sourire embarassé. Là cette fois, pas besoin de feindre quoique ce soit, elle n'entend rien à cette langue chaleureuse. Le sens du message est pourtant clair, mais elle n'est point venue pour cela.
Assurément, le marché s'est diversifié avec le développement des échanges maritimes... Rennes abrite ce jour le marché de Babel. Et Chimera s'en réjouit.

Ébahie, elle s'arrête soudain devant un étal de soieries distingué entre deux têtes hirsutes de livreurs en pleine activité.
L'une, pourpre, attire son attention... La soie est telle une femme, attirant l'oeil de part ses lumineux attributs....
La baronne s'approche et glisse un doigt sur l'étoffe fine, souriant au contact caressant du tissus, rêveuse soudain.


Qu'en dis-tu Nolwenn? J'ai toujours eu envie d'une robe à tassel!
Autant en profiter pendant que mon décolleté est encore regardable... non?

C'est ravissant... léger... oui... nul doute que dame Attia pourrait faire des merveilles avec cela.

Sourire et hochement de tête en direction du marchand, et Nolwenn se charge, en négociatrice experte, de prendre l'homme -breton, par chance- à son propre jeu à coup de palabres et de charme...
Chimera, elle, louche déjà sur l'étal voisin, couvert de fibules et autres fermails ouvragés.
Pas venue pour ça, pas venue pour ça....
Mais la fibule à tête de cerf offerte par Mumia a besoin de compagnie! Si, si!


Caed mile failte... , sort le marchant avec un sourire confiant, persuadé déjà d'être en terrain conquis.

Un irlandais....
Décidément... le sort la prend par les sentiments....

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Joachim.du.bellay
Il écoute, il écoute. On le bouscule. Il ne dit rien, et tente de suivre la conversation que Blanche commence. C'est qu'elle parle vite la blanche fesse, bondiou !
D'ailleurs en parlant de sa blanche fesse, il était étrange de constater que cette fesse ne lui tenait pas rigueur de ses demandes passées. Après tout cette fesse s'était faite priée pour qu'il la gratifie d'une caresse, pour ensuite hurler au viol ...
Et aujourd'hui ... la blanche fesse lui demandait de quel tissu elle devait se parer pour attirer de nouveau fous qui seraient prêt à se jeter sur elle sans tenir compte de la Blanche tête qui gouvernait la Blanche fesse en question.

Une tête plus que "blanche" d'ailleurs. Non à ce stade là, ce n'était plus de la Blancheur mais clairement de l'Illumination.

Il la regarde. Elle lui pose une question.

De quoi elle parlait ? Ein ?! Mais par tous les diables qu'est-ce qu'il en savait, lui !

"- Bon sang, Joachim, donne lui n'importe quel tissu et défait toi de cette folle ! N'apprends tu donc pas de tes erreurs ?
NE FRICOTE PAS AVEC DES ILLUMINÉES ! De près ou de loin !"

Cette voix familière survint d'un coup. Son double avait fait son apparition, juste derrière Blanche, humant son odeur. C'est ainsi que le temps d'un instant son regard se perdit au dessus de l'épaule de Blanche, et l'air dépassé, il répondit intérieurement à sa propre réflexion.

"Tiens toi bien pardi, nous sommes en public ... Je ne veux pas qu'on me prenne pour un fou."

Puis faisant fi de ce dernier, il se reconcentra sur Blanche et d'un sourire, il lui répondit.


Oh Blanche, nous parlions bien entendu de votre magnifique garde-robe. En toutes confidences, je vous conseille ce tissu, il vous irait à ravir ! Regardez donc ...

Sans même regarder le tissu en question, il prend sur l'étal un quelconque tissu et le lui tend.
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Blanche_
Il a vraiment des goûts de fi
Oooooh, Pelotiiine !


Derrière Blanche qui s'est permise une exclamation aussi peu polie, sous les yeux écarquillés des tisserands, la suivante ouvre une bouche béate de stupeur et d'indignation.
Fort heureusement elle connait le sieur peu fréquentable, et si la môme Walsh se souvenait un peu de ses déboires dans la forêt un jour innocent où elle avait accepté bon gré mal gré une innocente balade avec un innocent chaperon, eh bien elle ne serait pas là, à deux pas de lui, sans une protection quelconque.
Quoiqu'il s'était peut être assagi, avec l'âge. Certains suivaient une évolution lente et laborieuse, mais l'éducation faisant, quelques mois voire années apportaient satisfaction suffisante.


Elle agite une main gantée et amicale en direction de Pelotine, la Baronne Pelotine, sa comparse de pinceaux Pelotine, qui semble bien se cacher mais qui n'est plus apte désormais à se défaire de cette blonde bourrasque qui l'espère de toute la force de sa voix.
Et parmi les autres tissus est reposé celui soumis à son jugement par le Brocéliande, jeté sans cérémonie en boule dédaigneuse ; qu'il était laid, ce carré écossais aux couleurs criardes !
La vérité dans toute sa splendeur ; les hommes ont des goûts de fi


Ooooooh, Chimera !
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"- Mais que faites vous ici, Princesse ? Vous n'avez pas encore connu les souffrances de la vie !
- Manifestement Docteur, vous n'avez jamais été une jeune femme amoureuse."
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